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  • Attaques terroristes à Paris – qui en profite ?
    Par Pepe Escobar. Article publié dans AsiaTimesOnline, le 17 novembre 2015 traduit par Par Jean-François Goulon
    http://blogs.mediapart.fr/blog/jean-francois-goulon/181115/attaques-terroristes-paris-qui-en-profite

    Jusqu’à ce très sinistre jour où les « soldats du Califat » ont frappé « la capitale de l’abomination et des perversions » – formule de l’EIIL/EI/Daech pour ses attaques contre Paris – le Président français François Hollande et son insupportable poseur de ministre des Affaires étrangères, Laurent Fabius, étaient catégoriques : Assad doit partir.

    Pour l’Elysée, Assad équivaut Daech.

    Pour prendre la mesure de l’incohérence de l’administration de François Hollande, aucun de ses conseillers formés à l’ENA ne lui a dit qu’il était encore plus à côté de ses pompes que d’habitude.

    La Russie et l’Iran ont prouvé qu’ils avaient raison avec les actions du « 4+1 » (Russie, Syrie, Iran, Irak, plus le Hezbollah) sur le terrain et dans les airs, combattant toutes les déclinaisons du djihadisme salafiste, « modérées » ou autres.

    Et même l’administration Obama – après de multiples réunions entre le Secrétaire John Kerry et le Ministre russe des Affaires étrangères Sergueï Lavrov – corrige son approche. Cela a culminé avec ces 35 minutes chargées de sens où Obama et Poutine se sont rencontrés, dimanche, en tête-à-tête autour d’une table à l’écart, lors du G20 d’Antalya.

    Devinez qui est resté aligné sur Hollande jusqu’à la dernière minute tragique : la matrice idéologique de toutes les variantes du djihadisme salafiste, l’Arabie Saoudite wahhabite et les laquais du Golfe. La « récompense » de la part du gouvernement français : plein de juteux contrats d’armement. ICI se trouve une liste partielle, en plus de l’armement irréductible par la France des « rebelles modérés ».

    Voici donc comment la France « socialiste » – le pire des gros-mots à Washington – livre sa propre GMCT (Guerre mondiale contre la terreur) : en faisant pleuvoir des Rafales sur Doha [la capitale du Qatar], facilitateur de « rebelle modéré », et avec Riyad [la capitale de l’Arabie Saoudite] qui arme les djihadistes salafistes, ses meilleurs clients. Les affaires, comme on peut s’y attendre, fleurissent.

    Il a fallu un carnage sans précédent à Paris pour que Hollande, Fabius et le Premier ministre Valls sortent de leur torpeur et s’aperçoivent dans quel sens soufflait le vent – mortel. Désormais, c’est la « guerre ». Elle est « sans merci ». Et elle est contre l’EIIL/EI/Daech.

    Déjà à Vienne, samedi, Lavrov et Kerry – secondé par les laquais habituels, dont certains avec réticence – se sont finalement mis d’accord pour désigner Jabhat al-Nosra, alias al-Qaïda en Syrie [le Front al-Nosra], comme terroristes, et non comme « rebelles modérés ».

    Et pourtant, peu se souviendront à l’Ouest du poseur Fabius faisant l’éloge d’al-Nosra, il y a tout juste quelques semaines : « Ils font un bon boulot » en Syrie.

    Hollande, immédiatement après l’inauguration de la version française de la « guerre contre la terre entière » déclarée par Bush en 2001, a bombardé Rakka, la capitale du faux « Califat ». Fabius, à Antalya, a défendu cette décision comme étant « politique » : la France se devait d’être « présente et active » à la suite des massacres de Paris.

    « Active » devrait être interprété, au mieux, comme « auparavant réservée ». Mais, « politique » ? Pas vraiment ; plutôt à la limite illégale. L’EIIL/EI/Daech n’est pas un Etat – autant qu’ils se définissent eux-mêmes comme étant un « Califat ». A supposer que la loi internationale s’applique toujours, le droit de « légitime défense » invoqué par la France est illégal. Sans mentionner le fait que Paris n’a pas été invité par Damas à frapper à l’intérieur du territoire syrien, contrairement à la force arienne russe.

    Finalement tiré de son coma, le gouvernement français devait frapper Rakka, parce que, après tout, le monde entier l’observe. Des assauts coordonnés de la police ont fait irruption dans toute la France, de Toulouse à Grenoble et à Calais. L’unique porte-avions à propulsion nucléaire de la France – et pire catastrophe (navale) de l’Europe – le Charles de Gaulle, quittera Toulon jeudi pour le Golfe Persique. Hollande a fièrement fait l’éloge de cette mission : cela « accroît la puissance de feu de Paris ».

    De la torpeur à la détermination… Mais pourquoi seulement maintenant ? (...)

  • Long extrait de J.M. Bourget (Mondafrique) :
    Sarkozy et Hollande ont déclaré une guerre sans nous prévenir
    http://www.mondafrique.com/attentat-de-paris-sarkozy-et-hollande-ont-declare-une-guerre-sans-nous-

    Les animateurs d’écrans qui vous montrent la guerre, celle de Paris, oublient de nous expliquer pourquoi la France en est arrivée là. En les regardant, en les écoutant, on a le sentiment que, nés d’une génération spontanée les djihadistes, sont comme des marrons tombés des arbres, ou bien des fruits de réverbères. Nul ne vient rappeler que cette bataille a commencé en 2003, quand le criminel de guerre George Bush et son gang de néoconservateurs a décidé de « redessiner » le Moyen Orient, autrement dit de faire de l’Irak, puis de la Syrie, une poignée de confettis. Vous me faites observer que la France n’a pas participé à l’aube de la catastrophe, et vous avez raison. Mais ensuite elle a très bien rattrapé son retard. Histoire de faire pardonner la « mollesse » de Chirac, Sarkozy a tout fait, et le pire, pour être aimé de Washington.

    Nos amis du Golfe

    L’Irak étant mis en pièces par l’Amérique, une politique étrangère intelligente de Paris aurait été, dès lors, de tout mettre en œuvre pour que la Syrie ne tombe pas à son tour en miettes. Nicolas Sarkozy a fait l’inverse. Et si les djihadistes sont aujourd’hui entrés dans Paris, c’est la simple et logique conséquence du choix opéré naguère par le mari de Carla en 2010. Cette année-là, soudain inspiré par son ami l’émir du Qatar, qui était son vrai « ministre des affaires arabes », Sarko s’est mis à battre froid Bachar al-Assad. Un ami pourtant qu’il avait adulé au point de la convier à co-présider, à Paris, un défilé du 14 juillet. Pourquoi tant de haine ? Et bien Bachar doit être puni pour avoir refusé de livrer passage, en terre syrienne, à un oléoduc qatari. Puis refusé aussi d’acheter au même Qatar 23 Airbus qu’il préférait commander à Paris.

    Pour ces crimes de lèse Doha, Bachar devait donc être puni. Avouons que sa politique de fer, son inhumanité, son culte de la personnalité digne de la Corée du Nord, donnait assez peu d’arguments pour sa défense. A ce point il est bon de rappeler que sans Staline la France s’exprimerait aujourd’hui en Allemand et, qu’en politique étrangère le bon choix est celui du moindre mal. Aujourd’hui nous savons que Bachar et sa clique c’était quand même mieux pour la France qu’Al-Baghdadi et ses djihadistes fascistes.

    Pendant des années les amis qataris de Nicolas Sarkozy ont donc nourri et armé des djihadistes de toutes barbes, du Mali à l’Irak, de la Lybie à la Syrie. En surenchère, les saoudiens sont venus leur prêter la main. Experts en démocraties les deux dictatures du Golfe n’allaient-elle pas, via les fous d’Allah, faire fleurir le « printemps » à Damas. Paris, par la voix de Fabius a même encouragé ces bons petits soldats pour leur « bon boulot ».Vous l’avez compris, Sarkozy est à l’origine du chaos et Hollande est arrivé en pompier qui crache le feu. Lui agissant d’une main d’acier au nom des « Droits de l’Homme », ce qui est bien au Café de Flore mais pas toujours aisément applicable, derechef, au reste du monde. En passant Paris, et sa politique du Rafale, n’est pas mécontent de la disparition de l’Irak et de la Syrie, en tant qu’Etats. Ces pays, transformés en une mosaïque ethnico-religieuse prendrait une belle tournure pour l’ami Israélien.

    Mais nous aussi, la France, avons livré des armes à des barbus qui étaient les nôtres, et va savoir si ce ne sont pas leurs frères qui sont venus fusiller les martyrs du Bataclan ? Jean-Yves Le Drian, admirable quincailler de notre arsenal militaire nous a bien annoncé, il y a quelques jours, que nos Rafales « avaient détruit en Syrie » la base utilisée par Daech pour « préparer des attentats en France »… visiblement c’est loupé. Et remarquons avec tristesse que des agents qui sont incapables de déceler des commandos en France doivent être encore plus embarrassés quand il s’agit de les dépister à Raqa.

  • J’ai visité SmartCity
    http://www.piecesetmaindoeuvre.com/spip.php?page=resume&id_article=765

    Voici un reportage exclusif de notre envoyé spécial à Smart City, Tom 2.0. Ce reportage présente une double nouveauté. C’est le premier jamais réalisé par un avatar et le premier également sur la mythique Smart City, actuellement en construction entre Doha et Songdo. Nous ne doutons pas de voir cette double nouveauté suivie de multiples répliques, à plus ou moins bref délai, suivant les lois de l’imitation médiatique. L’automatisation générale des emplois et métiers s’étend désormais aux journalistes, après avoir éliminé soudeurs, poinçonneurs, caissières et guichetiers. Normal. Tant qu’on nous réduira à l’état de robots, les robots nous réduiront à néant. Le journalisme était devenu depuis trop longtemps une fonction machinale, facile à décomposer en tâches successives à la portée de n’importe quel logiciel ou (...)

    #Nécrotechnologies
    http://www.piecesetmaindoeuvre.com/IMG/pdf/J_ai_visite_SmartCity-2.pdf

  • The sham Syrian peace conference
    http://www.middleeasteye.net/columns/sham-syrian-peace-conference-150334617

    Secretary of State John Kerry suggested in an interview with Kazak TV channel a few days after the Vienna conference had convened that “the way to end the war is to ask Mr Assad to help with a transition into a new government”. Russia failed to do so, and instead “is there to simply support the Assad regime,” Kerry said, adding that “the opposition will not stop fighting Assad”.

    It is doubtful that Kerry mistakes such a patently propagandistic position for the much more intractable Syrian political-military realities. But it is not politically convenient to acknowledge those realities. That would invite unwanted questions about the administration’s decision in 2011 to align its policy with the Syria hawks in Riyadh, Doha and Istanbul who were so bent on regime change in Syria that they were not only indifferent to the jihadist buildup in Syria but saw it as a useful tool for getting rid of Assad.

    Now the price of Obama’s fateful political-diplomatic strategy is a sham peace conference that misleads the rest of the world about the lack of any realistic solution to the war.

  • #TISA, un accord qui fait débat

    Pour remédier à l’échec du cycle de Doha de l’OMC, un groupe d’une cinquantaine d’États, dont fait partie la Suisse, se réunit depuis février 2012 de manière régulière à Genève en vue de conclure un accord sur le commerce des services.

    « Babylone » fait le point sur ces négociations menées à l’abri des regards et qui pourraient avoir une influence importante sur nos vies à tous.

    TISA, en français #ACS, est un acronyme encore peu connu du grand public qui signifie Accord sur le #commerce des #services. Aux dires du secrétariat à l’économie, le SECO, c’est un accord « complet » et « ambitieux » dont le but est de libéraliser les échanges économiques de services à travers le monde et d’abattre les barrières inutiles qui entravent la bonne marche de l’économie.

    Mais cet accord, longtemps tenu secret et révélé par Wikileaks, ne met-il pas en danger la souveraineté des États signataires ? Pourquoi la Suisse s’investit-elle si activement dans ces négociations ? Que compte-t-elle gagner à participer à cet accord ? Qu’est-elle prête à offrir ? Quelles seraient les conséquences d’une éventuelle signature de TISA pour le service public en Suisse ? Comment les secteurs de l’énergie, la santé, la formation ou la communication seraient-ils touchés ? Et en cas de désaccord entre une multinationale et l’État suisse, qui serait l’instance d’arbitrage ?

    Aujourd’hui, plusieurs associations, ONG, syndicats et communes tâchent de rendre public cet accord pour mieux le dénoncer. Quelle est la marge de manœuvre des citoyennes et des citoyens dans le refus, l’acceptation ou la mise sous condition de l’accord TISA ?

    Reportage dans le cadre d’une manifestation anti-TISA et rencontre avec Paolo Gilardi, membre de la direction nationale du Syndicat des services publics (SSP) et membre du comité STOP-TISA.

    Ainsi qu’avec Nicolas Walder, conseiller administratif de la ville de Carouge, commune autoproclamée zone hors-TISA, et l’ambassadeur Christian Etter, membre du SECO et délégué du Conseil fédéral aux accords commerciaux.

    Et en direct, Andreas Ziegler, Professeur de Droit International à l’Université de Lausanne.

    https://www.rts.ch/espace-2/programmes/babylone/6870044-tisa-un-accord-qui-fait-debat-19-08-2015.html
    #accords_de_libre-échange #libre-échange #mondialisation #globalisation #économie

    • Sur le conflit à Air France et la déchirure de liquette par des salariés voyous
      http://seenthis.net/messages/415065

      Sinon, l’info sort et circule un peu
      Qatar Airways : de nouveaux vols en France en échange du contrat Rafale
      http://www.rtl.fr/actu/economie/qatar-airways-de-nouveaux-vols-en-france-en-echange-du-contrat-rafale-7778203774

      Donnant-donnant : il y a bien eu des contreparties à l’achat d’avions Rafale par le Qatar, la compagnie aérienne de l’émirat va pouvoir développer son activité en France. C’était une information du quotidien Les Echos (daté du 4 mai), qui avait été démentie de façon alambiquée par le chef de l’État.

      Elle est confirmée aujourd’hui par plusieurs sources de presse : Qatar Airways ouvrirait des lignes régulières entre Doha, la capitale, et les villes de Nice et de Lyon. À la grande fureur d’Air France, puisque ces nouvelles lignes se développeront au détriment de l’activité de la compagnie française.

      C’est la raison pour laquelle le gouvernement avait bloqué jusqu’ici l’expansion qatarie, en refusant les droits de trafic supplémentaires. Il voulait protéger la compagnie nationale. Mais ces nobles préventions sont tombées devant la perspective d’un contrat libellés en milliards. La France a donc accepté de satisfaire à la condition mise par le Qatar.

  • Saudi Arabia signals easing of tension with Islamist cleric
    http://www.reuters.com/article/2015/10/02/us-qatar-saudi-brotherhood-idUSKCN0RW1X020151002

    The spiritual leader of the Muslim Brotherhood attended a ceremony organized by Saudi Arabia in Qatar on Friday, signaling an easing of Riyadh’s hostility toward the Islamist movement.

    Sheikh Youssef #al-Qaradawi, a Qatar-based cleric whose fiery sermons have strained ties with Gulf neighbors, appeared alongside the Qatari prime minister and the Saudi ambassador at an event in Doha to celebrate Saudi Arabia’s national day.

  •  Mais que magouille donc Tony Blair ?
    par David Hearst jeudi 10 septembre 2015 -
    http://www.info-palestine.net/spip.php?article15598

    (...) Pour Netanyahou, Blair aurait pu être utile pour tâter le terrain, mais il semble qu’il ait atteint ses limites dans son rôle d’intermédiaire. Pour l’Égypte, l’ouverture de la frontière de Rafah impliquerait d’abandonner sa carte principale en matière de politique étrangère. Rien n’indique que l’Égypte soit prête à faire cela.

    Ce qui nous ramène à Blair. Qu’a-t-il à y gagner ? Tout le monde se creuse la tête à ce sujet. Mais il y a des indices.

    L’année dernière, plusieurs mois avant le début des pourparlers à Doha, un universitaire en lien avec Khaled Mechaal a été abordé par des Israéliens lors d’une conférence en Europe. Ils voulaient qu’il transmette une demande spécifique. Si British Gas développait le gisement de gaz à Gaza Marine (un gisement situé entre 27 et 33 km au large de la côte de Gaza qui renfermerait 30 milliards de mètres cubes de gaz), le Hamas l’attaquerait-il ? L’universitaire a souhaité savoir qui posait la question : le gouvernement israélien ? Non, lui a-t-on répondu. « C’était Tony Blair. » L’universitaire a refusé de transmettre le message et leur a indiqué que Tony Blair devait communiquer lui-même avec Mechaal.

    Étrange. Blair affirme en privé qu’il s’est impliqué dans les négociations à la demande du Hamas, suite à une lettr envoyée par le Hamas à l’émissaire de l’ONU pour le processus de paix Robert Serry. Mais son intérêt pour le gaz au large des côtes de Gaza est antérieur à cela. Le British Gas Group est un client de JP Morgan, qui a employé Blair en tant que conseiller principal.

    D’après les propos du Foreign Office britannique, ce gisement est de loin la ressource naturelle palestinienne la plus précieuse. Les revenus générés par sa production ont été estimés à 4 milliards de dollars en 2007. Ariel Sharon a toujours été contre son développement, et lorsqu’il s’est retiré de Gaza, British Gas a signé un mémorandum avec la compagnie égyptienne EGAS en vue d’une vente en 2005.

    #Gaza #GAZ

  • #Blair, #Gaza et tout ce #gaz | Middle East Eye
    http://www.middleeasteye.net/fr/opinions/blair-gaza-et-tout-ce-gaz-386357647

    Qu’a-t-il à y gagner ? Tout le monde se creuse la tête à ce sujet. Mais il y a des indices.

    L’année dernière, plusieurs mois avant le début des pourparlers à Doha, un universitaire en lien avec Khaled Mechaal a été abordé par des Israéliens lors d’une conférence en Europe. Ils voulaient qu’il transmette une demande spécifique. Si British Gas développait le gisement de gaz à Gaza Marine (un gisement situé entre 27 et 33 km au large de la côte de Gaza qui renfermerait 30 milliards de mètres cubes de gaz), le Hamas l’attaquerait-il ? L’universitaire a souhaité savoir qui posait la question : le gouvernement israélien ? Non, lui a-t-on répondu. « C’était Tony Blair. » L’universitaire a refusé de transmettre le message et leur a indiqué que Tony Blair devait communiquer lui-même avec Mechaal.

    Étrange. Blair affirme en privé qu’il s’est impliqué dans les négociations à la demande du Hamas, suite à une lettre envoyée par le Hamas à l’émissaire de l’ONU pour le processus de paix Robert Serry. Mais son intérêt pour le gaz au large des côtes de Gaza est antérieur à cela. Le British Gas Group est un client de JP Morgan, qui a employé Blair en tant que conseiller principal.

  • New Approach in Southern Syria - International Crisis Group
    http://www.crisisgroup.org/en/regions/middle-east-north-africa/syria-lebanon/syria/163-new-approach-in-southern-syria.aspx

    The Syrian war rages on, its devastating civilian toll rising with no viable political solution in sight. Diplomacy is stymied by the warring parties’ uncompromising positions, reinforced by political deadlock between their external backers. The U.S. is best placed to transform the status quo. A significant but realistic policy shift focused on dissuading, deterring or otherwise preventing the regime from conducting aerial attacks within opposition-held areas could improve the odds of a political settlement. This would be important, because today they are virtually nil. Such a policy shift could begin in southern Syria, where conditions are currently most favourable.

    While the White House has declared its desire for an end of President Bashar Assad’s rule, it has shied from concrete steps toward this goal, pursuing instead a strategy to “degrade and ultimately destroy” the Islamic State (IS), which it deems a more serious threat to its interests. Yet, a year into that strategy, the overall power of Salafi-jihadi groups in Syria (as in Iraq) has risen. This is no surprise: the Assad regime’s sectarian strategy, collective punishment tactics and reliance on Iran-backed militias, among other factors, help perpetuate ideal recruitment conditions for these groups. By attacking IS while ignoring the regime’s ongoing bombardment of civilians, the U.S. inadvertently strengthens important aspects of the Salafi-jihadi narrative depicting the West as colluding with Tehran and Damascus to subjugate Sunnis.

    • enabling opposition groups to consolidate military control and establish governance capacity in the south. This would improve their strength and credibility vis-à-vis Salafi-jihadi groups and could incentivise their development as political actors capable of governing their areas.

      Secondly, achieving a zone free of aerial attacks in the south could provide a model for a different approach by the rebels’ state backers in the north, where poor coordination and divergent priorities with Ankara, Doha and Riyadh have contributed to a situation not conducive to an escalated U.S. role. A move by Washington to halt regime aerial attacks in the south could signal it would consider doing so in the north as well, if those allies would assist in bringing about a similar shift in the northern balance of power away from Salafi-jihadi groups.

      Thirdly, a U.S. push to halt regime air attacks in the south would signal resolve to the regime’s most important backers, Iran and Hizbollah, and demonstrate that the returns on their investments in the status quo will further diminish. Iranian and Hiz­bollah officials play down the long-term costs of their involvement, believing they can outlast their opponents in a proxy war of attrition, and viewing the price of doing so as preferable to negotiating a resolution that includes an end to Assad’s rule. Their view appears based, in part, on the assumption that Washington’s narrow focus on IS and reluctance to confront the regime are pushing its policy toward accepting Assad’s political survival and thus, ultimately, a resolution of the conflict more favourable to them.

      The U.S. initiative described here could help refute that assumption and put weight behind the White House’s assertions that the nuclear deal will not pave the way for Iranian hegemony in the region. This message of resolve should be paired with a parallel one indicating U.S. willingness to take the core interests of the regime’s backers into account in any political deal to end the war.

      Pourquoi précisément au Sud, là ou JAN, jamais nommée (du moins dans l’article de synthèse), est en position de force, protégée par Israël ?

      Par ailleurs faire appel aux seuls #Etats-Unis comme parrains d’une paix juste et durable est vraiment une très étrange idée.

  • Selon la même source diplomatique, le texte en cours de discussion envisage que « les passages de et vers Gaza soient réaménagés et les obstacles nettement allégés. Un port serait construit à Gaza, payé par le Qatar et la Turquie, et le contrôle [des cargaisons] par Israël se ferait à Chypre. Une option à Ashkelon [un port israélien au nord de Gaza] a semble-t-il été rejetée par Hamas ».

    Programmé par les accords de paix israélo-palestiniens pour commencer en 1999, le chantier du port de fret de Gaza a perpétuellement été repoussé, du fait du refus d’Israël, dans le contexte de la seconde Intifada, de laisser rentrer dans le territoire palestinien le matériel adéquat. Selon le quotidien israélien Haaretz, Khaled Mechaal et le président turc, Recep Tayyip Erdogan, qui se sont entretenus le 12 août, ont évoqué la possibilité d’ouvrir un corridor maritime entre Gaza et la partie nord de Chypre, sous occupation turque.

    Plusieurs acteurs de poids de la scène proche-orientale ont un intérêt à voir les négociations de Doha se conclure avec succès. Pour l’Arabie saoudite, qui a entamé un rapprochement avec le Hamas et redoute que l’accord sur le nucléaire iranien n’aiguise les appétits régionaux de son voisin chiite, un tel accord contribuerait à tenir Téhéran à distance de la bande de Gaza. Ankara est impatient d’apurer le contentieux du Mavi-Marmara, ce navire turc rempli d’aide humanitaire que l’armée israélienne avait violemment arraisonné, au large de Gaza, en 2010, faisant dix morts parmi ses passagers.

    ttp ://www.lemonde.fr/proche-orient/article/2015/08/27/negociations-indirectes-sur-l-ouverture-d-un-port-a-gaza_4738014_3218.html#TaCGtp1Zb4PUrXpd.99

  • Les USA « accélèrent » la ventes d’armes aux pays du Golfe « inquiets des ambitions de l’Iran » alors que Kerry a déclaré que l’accord avec l’Iran « renforcerait la sécurité des pays arabes » - La Tribune

    http://www.latribune.fr/entreprises-finance/industrie/aeronautique-defense/les-etats-unis-vont-accelerer-leurs-ventes-d-armes-aux-pays-du-golfe-49633

    Déjà très présents militairement, les États-Unis vont « accélérer » leurs ventes d’armes aux pays arabes du Golfe, a annoncé lundi le secrétaire d’État John Kerry, les monarchies sunnites s’inquiétant des ambitions régionales de leur rival iranien chiite et de l’accord sur le nucléaire. « Nous sommes tombés d’accord pour accélérer certaines ventes d’armes qui sont nécessaires et qui ont pris trop de temps par le passé », a déclaré John Kerry lors d’une conférence de presse au Qatar.

    John Kerry était à Doha pour rassurer ses homologues des monarchies du Golfe sur les bienfaits de l’accord international sur le nucléaire iranien pour la sécurité de la région. Il a participé à une réunion exceptionnelle des ministres des Affaires étrangères des pays membres du Conseil de coopération du Golfe (CCG) (...)

    Il a également évoqué une poursuite des discussions entre les États-Unis et leurs alliés du Golfe, engagées à Camp David en mai, sur l’intégration des systèmes de missiles balistiques des pays de la région, ainsi que « l’augmentation du nombre d’exercices » militaires conjoints. (...)

    Ce dernier, parlant au nom de son pays, a assuré que l’accord sur le nucléaire iranien était « la meilleure option parmi d’autres ». Les monarchies du Golfe, conduites par l’Arabie saoudite, ont accueilli avec prudence l’accord historique conclu le 14 juillet à Vienne entre l’Iran et les grandes puissances du groupe 5+1 (États-Unis, Chine, Russie, France, Royaume-Uni, Allemagne), sous l’égide de l’Union européenne.

    (...)
    Un diplomate américain s’est félicité que le chef de la diplomatie saoudienne, Adel al-Jubeir, ait « exprimé publiquement la satisfaction du gouvernement saoudien devant un bon accord ». Mais le même Adel al-Jubeir avait dénoncé la semaine dernière des « déclarations agressives » émanant de responsables iraniens, après que Téhéran a accusé Bahreïn, allié de Ryad, d’exacerber les tensions en portant des accusations infondées contre Téhéran. Dimanche au Caire, John Kerry avait déjà assuré que le règlement avec l’Iran renforcerait la sécurité des pays arabes, inquiets des ambitions de Téhéran. Des propos quelque peu contradictoires avec la volonté des États-Unis d’accélérer les ventes d’armes dans les pays du Golfe.

    Au même moment, dans une déclaration télévisée, le président iranien Hassan Rohani affirmait que l’accord nucléaire allait créer un « nouveau climat » régional afin de régler des conflits armés comme au Yémen et en Syrie. Poids lourd du Golfe, l’Arabie saoudite dirige une coalition arabe qui mène depuis fin mars au Yémen des frappes aériennes contre les rebelles chiites Houthis (...). En Syrie, l’Iran est le principal allié régional du régime du président Bachar al-Assad, alors que l’Arabie saoudite soutient l’opposition.

    John Kerry a rencontré à Doha ses homologues russe et saoudien, Sergueï Lavrov et Adel al-Jubeir, pour parler essentiellement du conflit syrien. A l’issue de cette réunion tripartie inédite, Sergueï Lavrov a dénoncé comme « contre-productives » les mesures supplémentaires annoncées par Washington pour défendre ses alliés combattant en Syrie.

  • Washington « d’accord pour accélérer des ventes d’armes » aux pays du Golfe (Kerry)
    http://nna-leb.gov.lb/fr/show-news/47671

    Les Etats-Unis vont « accélérer » leurs ventes d’armes aux pays arabes du Golfe, a assuré lundi le secrétaire d’État John Kerry à Doha lors d’une réunion des pays du Golfe inquiets de l’accord sur le nucléaire avec leur rival iranien.

    « Nous sommes tombés d’accord pour accélérer certaines ventes d’armes qui sont nécessaires, et qui ont pris trop de temps par le passé », a déclaré M. Kerry lors d’une conférence de presse au Qatar.

    « Nous sommes tombés d’accord pour engager des formations très particulières (...) pour échanger et partager des renseignements », a poursuivi le chef de la diplomatie américaine.

    Il a également évoqué une poursuite des discussions entre les Etats-Unis et leurs alliés du Golfe sur « la manière d’intégrer les systèmes de missiles balistiques des pays de la région » ainsi que sur « l’augmentation du nombre d’exercices (militaires) que nous faisons ensemble ».

    « Ce sont quelques exemples de la manière dont nous pensons que la sécurité de la région peut être renforcée et la coopération améliorée », a plaidé John Kerry au côté du ministre qatari des Affaires étrangères Khaled al-Attiya.

  • TOP RUSSIAN, US AND SAUDI DIPLOMATS TO MEET IN QATAR | News from The Associated Press
    http://hosted.ap.org/dynamic/stories/E/EU_RUSSIA_DIPLOMACY?SITE=AP&SECTION=HOME&TEMPLATE=DEFAULT

    Russia’s foreign minister has scheduled a trilateral meeting in Qatar with his U.S. and Saudi counterparts.

    The Russian Foreign Ministry said that Sergey Lavrov will confer with U.S. Secretary of State John Kerry and Saudi Foreign Minister Saudi Foreign Minister Adel Al-Jubeir during his two-day trip to Doha starting Sunday. Kerry earlier has said he plans to meet separately in Doha with Lavrov to discuss Syria, Iran and the ongoing crisis in Ukraine.

    The ministry said that during his visit to Qatar, Lavrov will discuss the crises in Syria, Libya and Yemen, international efforts to combat the Islamic State group and Iran’s role in regional affairs after last month’s signing of Iran’s nuclear deal.

    Despite Russia-U.S. tensions over Ukraine, President Barack Obama has thanked Moscow for helping reach the agreement.

  • Développement : qui finance qui ?
    http://survie.org/billets-d-afrique/2015/247-juin-2015/article/developpement-qui-finance-qui-4975

    À l’approche de la troisième Conférence internationale sur le financement du développement, les négociations mènent tout droit vers une promotion des montages de financement « public-privé », au lieu d’accepter de s’attaquer au sein du cadre onusien au piège de la dette publique et à l’hémorragie fiscale qui frappent désormais tous les pays. Après celles de Monterrey en 2002 et de Doha en 2008, en juillet aura lieu la troisième Conférence internationale sur le financement du développement, à Addis Abeba. (...)

    #247_-_juin_2015

    / #Salves, #Aide_Publique_au_Développement, Une

  • Deux Israéliens détenus à Gaza, dont l’un par le Hamas, affirme Israël
    AFP / 09 juillet 2015
    http://www.romandie.com/news/Deux-Israeliens-detenus-a-Gaza-dont-lun-par-le-Hamas-affirme-Israel/610729.rom

    Jérusalem - Deux Israéliens sont retenus à Gaza dont l’un aux mains du Hamas qui contrôle l’enclave palestinienne, a affirmé jeudi le ministère israélien de la Défense, alors que le mouvement islamiste a déjà procédé à plusieurs échanges d’otages contre des prisonniers avec l’Etat hébreu.

    Le Hamas, de son côté, s’est refusé à tout commentaire officiel sur cette affaire. Un haut cadre du mouvement a toutefois indiqué à l’AFP sous le couvert de l’anonymat qu’aucune négociation n’avait été officiellement ouverte avec les Israéliens au sujet de ces enlèvements, qu’il n’a pas confirmés ou infirmés. Mais, a-t-il prévenu, rien n’est gratuit : avant même toute discussion, le Hamas exigera la libération de tous les prisonniers relâchés en échange du soldat Gilad Shalit et de nouveau emprisonnés depuis.

    Fin 2011, Israël avait accepté de libérer un millier de détenus palestiniens pour que le Hamas libère ce soldat franco-israélien. Depuis, des dizaines de ces prisonniers élargis ont été arrêtés de nouveau par les autorités israéliennes et certains ont de nouveau écopé de peines de prison à perpétuité.

    Le ministère israélien, qui affirme dans son communiqué se baser sur des renseignements crédibles, rapporte que l’Israélo-éthiopien Avraham Mengistu, est retenu contre son gré par le Hamas à Gaza. Il ajoute que l’homme serait entré dans la bande de Gaza le 7 septembre 2014, peu après la fin de la dernière offensive extrêmement meurtrière d’Israël sur la bande de Gaza.

    Le ministère évoque en outre un Arabe israélien aussi retenu à Gaza sans plus d’informations, la censure militaire s’appliquant toujours à cette affaire alors qu’elle vient d’être levée dans le cas de M. Mengistu, affirment les médias israéliens.

    • Two Israelis missing after disappearing into Gaza, one being held by Hamas
      Gag order lifted on disappearance of Israeli-Ethiopian Avera Mengistu, 28, 10 months after he went missing; defense officials say working assumption is that he is both are being held by Hamas, but Mengisru’s whereabouts unknown.
      By Shirly Seidler, Gili Cohen , Barak Ravid, Jack Khoury and Jonathan Lis | Jul. 9, 2015 | 8:32 AM

      An Israeli court lifted reporting restrictions on the disappearance of the Israeli Ethiopian, Avera Mengistu, on Thursday morning, 10 months after he went missing, following a request from Haaretz.

      The name of the Israeli Arab, who had apparently crossed the border with Gaza a number of times in the past, has not yet been released.

      Hamas political bureau chief Khaled Meshal told reporters in Doha on Wednesday that Israel had approached the organization via European mediators and requested the release of two prisoners and two bodies being held in Gaza.

      Meshal said that Hamas could not respond or give details, and would not agree to any negotiations on the matter until Israel released the prisoners who had been freed in the Shalit deal and were rearrested following the abduction and murder of the three Israeli teens in the West Bank.
      (...)

      Not his first time

      On the day of Mengistu’s disappearance, Israeli military surveillance cameras observed a man approaching the Gaza border fence on Zikim Beach. Female Israel Defense Forces soldiers on electronic lookout duty saw he was carrying a bag, which aroused suspicion that he was a Palestinian trying to return to the Gaza Strip.

      IDF Southern Command soldiers stationed in the Gaza sector rushed to the scene. By the time they arrived, however, the man had managed to climb the fence and vanish into the Gaza Strip.

      Mengistu’s brother, Yalo, 32, told Haaretz that Avera left the bag he had been carrying on the beach, with a copy of the Hebrew Bible inside. According to Yalo, it was only when the soldiers opened the bag that they realized he was an Israeli citizen.

      Following the incident, Israel contacted the Red Cross, as well as officials in the Gaza Strip via the Coordinator of Government Activities in the Territories, Major General Yoav (Poli) Mordechai. Israel informed them that a mentally challenged Israeli citizen had crossed the border into the Gaza Strip, and demanded his return to Israeli territory.

      Israeli authorities cannot say with any certainty what has happened to Mengistu – whether he is alive or dead, in Gaza or even Egypt, to where he may have continued his journey. This is apparently not the first time he has tried to enter the Gaza Strip.

      ’More than racism’

      Mengistu’s family led calls to publicize his disappearance. “We are fed up. We want to go public with his story,” Yalo told Haaretz. “The day it happened, a person from the Shin Bet security service or the police called me and said my brother was in Gaza. I told my parents and my siblings, and that’s how we found out. But no one came to see us at our home.”

      It was only after Yalo contacted then-MK Pnina Tamano-Shata (Yesh Atid) on Facebook that the family met with army representatives.

      “Two weeks after I contacted Pnina, the commander of the Gaza division came to see us for the first time," recalled Yalo. “He told me they knew my brother was in Gaza, and that they have people who are keeping track of him and will bring him back – but that we should not tell people.”

      Yalo said that if a white person had wandered into the Gaza Strip, the state’s response would have been completely different. “It’s more than racism – I call it ‘anti-Blackism,’” he said. “I am one million percent certain that if he were white, we would not have come to a situation like this.”

      In one of the meetings between the Mengistus and the defense establishment, family members were shown footage from the security camera on the Ashkelon beach, showing how Avera crossed the border.

      “In the film, you see him on the beach,” related Yalo. "He is walking calmly, as though he knows what he is doing, striding across the sand until he comes to the fence – which is the only thing separating [Israel] from Gaza. He climbs over the fence and starts walking. On the Gaza side, you see two people in the water and another person [on the beach]. My brother starts walking, climbs a hill where there is a tent and three people, and he sits with them. End of story.”

      According to the missing man’s brother, representatives of the IDF’s Gaza division later took the family to the beach. “They told us that soldiers approached him and called out to him to stop, but that he didn’t agree and climbed over the fence. You don’t see the soldiers in the film.”

      This version also contradicts the previous Southern Command story that soldiers were sent to stop Mengistu, but didn’t reach him before he cleared the fence.

  • Disparition du Boeing #MH370 : l’hypothèse scientifique / Sputnik France - Actualités - Prises de Position - Radio
    http://fr.sputniknews.com/sci_tech/20150612/1016528759.html

    « Ce qui s’est passé avec le MH370 et ses passagers restera sans doute un mystère jusqu’à ce qu’un jour quelqu’un découvre la boîte noire de l’avion et la décode. Notre expertise révèle que le Boeing est probablement tombé dans l’océan en piqué », déclare Goong Chen de l’Université du Texas A&M à Doha (Qatar).

    Chen et ses collègues, dont le mathématicien russo-qatari Alexeï Sergueïev, sont arrivés à cette conclusion en essayant de simuler la chute de l’avion MH370 à l’aide des superordinateurs EOS et RAAD au Texas et au Qatar.
    Selon les explications des chercheurs, la chute d’un objet dans l’eau à une grande vitesse et selon un certain angle s’accompagne de deux phénomènes que nous ne remarquons normalement pas — une « bulle » d’air autour de l’objet en chute qui l’accompagne sous l’eau, et une sorte de « bosse » d’eau très condensée qui évolue avec l’objet qui coule.

    Suite à ces deux phénomènes, comme l’ont démontré les simulations de Chen et de ses collègues, l’avion ne coulera pas immédiatement, et une partie de ses débris, du carburant et des liquides techniques restera à la surface. Un tel scénario se produira selon presque tous les angles d’entrée de l’avion dans l’eau et à plusieurs vitesses, ce qui incite les chercheurs à penser que le MH370 a pu tomber dans l’océan en fort piqué.
    Les calculs répétés des superordinateurs ont confirmé qu’un tel scénario conduisait à des conséquences potentiellement identiques au scénario du MH370 : l’avion aurait pu couler dans les eaux de l’océan Indien en ne laissant aucune trace, et son fuselage rester pratiquement intact — pendant la chute, seules les ailes se seraient brisées mais, ayant une grande masse, elle auraient vite coulé au fond de l’océan.

    Article (téléchargeable) publié dans les Notes of the American Mathematical Society d’avril 2015. Résultat de la modélisation de la pénétration de la surface de l’eau en dynamique des fluides et de la comparaison des 5 variantes simulées ; le piqué vertical est la seule des hypothèses testées qui conduit à l’absence de débris en surface.

    Assez étrange, puisque dans la simulation la vitesse verticale est retenue autour de 20 m/s, sachant qu’une vitesse supérieure à cette valeur provoque la dislocation instantanée de l’appareil…
    http://www.ams.org/notices/201504/index.html

    à noter dans le même numéro, la reprise d’un article sur Grothendieck paru dans le numéro d’octobre 2014 de la revue Inference : International Review of Science, en anglais et en français

    Alexander Grothendieck
    Un pays dont on ne connaîtrait que le nom
    http://inference-review.com/article/un-pays-dont-on-ne-connaitrait-que-le-nom

  • Ts.Tsogtbayar : I am ashamed of the Mongolian Wrestling Federation | The UB Post
    http://ubpost.mongolnews.mn/?p=14512

    The Asian Wrestling Championship took place in Doha, Qatar from May 6 to 10. The Mongolian national wrestling team headed to Doha on May 3, but four members of the team couldn’t participate in the tournament as they reportedly had counterfeit visas.
    The four include athletes N.Gombodorj, N.Zolboo and D.Khuderbulga, and coach of the men’s team B.Bayaraa who were detained at the Dubai International Airport and Beijing Capital International Airport for four days.
    The group said that they had no knowledge of the legitimacy of their visa as it was provided by the Mongolia Wrestling Federation, and said that they were ashamed of the federation for not helping them.

    Trois lutteurs mongols, dont le détenteur du titre, et leur entraineur (par solidarité) refoulés du Qatar où se déroulait le championnat asiatique pour cause de visa contrefait.

  • Hamas hopes to expand regional relations - Al-Monitor: the Pulse of the Middle East
    http://www.al-monitor.com/pulse/originals/2015/03/hamas-region-relations-saudi-arabia-egypt.html#

    Bassem Naim, the deputy head of Hamas’ political bureau, told Al-Monitor, “Iran reconfirmed its support for the resistance during the meeting, thus restoring warmth to the relationship between Hamas and Iran, which had cooled due to regional events.”

    Yet a prominent journalist who is close to decision-making sources in Doha, who spoke on condition of anonymity, told Al-Monitor, “The meeting between Meshaal and Larijani was nothing more than a formality, and will produce no results in terms of the relationship between the two. This is because Iran has not changed its conditions for renewing the relationship, including the request that Hamas change its position on the Syrian crisis.”

    Read more: http://www.al-monitor.com/pulse/originals/2015/03/hamas-region-relations-saudi-arabia-egypt.html##ixzz3VX9c53f8

  • المعارضة السورية تواجه افلاسا ماليا وسياسيا بسبب تخلي العرب وامريكا عنها.. من مقعد سورية في قمة الدوحة الى التجاهل الكلي في قمة شرم الشيخ.. ما هي اسباب هذا الانقلاب المفاجيء؟ ومن هم النجوم الجدد للفضائيات العربية في المرحلة المقبلة؟ | رأي اليوم
    http://www.raialyoum.com/?p=235554

    Editorial très désabusé d’ABA que je résume.

    L’opposition syrienne, en vedette lors du sommet arabe de Doha (en mars 2013), quasiment oubliée lors du sommet de Charm el-Cheikh il y a quelques semaines. Le « gouvernement » de l’opposition reconnaît aujourd’hui être en faillite et demande à ses « fonctionnaires », soit de démissionner, soit de travailler comme volontaires. Après avoir dépensé sans compter, les royaumes du Golfe ont coupé les vivres. Pour ABA, c’est seulement parce que les USA ont changé de politique (à cause de Daesh notamment). Les régimes arabes qui ont pensé se débarrasser facilement de la famille Assad et du pouvoir syrien en général se rendont compte aujourd’hui que le soutien russe et iranien était plus solide.
    Mais tout cela pourrait changer encore, maintenant que les développements de la situation au Yémen pourraient à nouveau inciter les USA à faire de nouveaux choix.
    Dans tous les cas, les Arabes sont les jouets des intérêts américains.

  • Dessin de presse : travail forcé au #Qatar le PSG se rebelle…
    http://grigrinews.com/dessin-de-presse-travail-force-au-qatar-le-psg-se-rebelle/3028

    Actualités Afrique 24/03/2015, Doha, Qatar : les joueurs de l’équipe de football du PSG se rebellent, « travail forcé, halte aux cadences infernales, dessin de presse du dessinateur NA ! »(c) 2015 - Grigrinews.com

    #Moyen-Orient

  • Que peuvent bien penser les combattants des brigades al-Qassam lorsqu’ils apprennent que les rebelles syriens – dont Khaled Mechaal s’est senti si proche au point d’aller pointer à Doha – se font maintenant soigner en Israël avant d’être réexpédiés au front ?

    Les réunions internes aux organisations palestiniennes sont connues pour avoir parfois été invraisemblablement houleuses. Mais en ce moment, au Hamas, je suis certain qu’ils confisquent les chaises pour éviter que les gens se les envoient à la tronche.

    (J’aimais bien l’époque où Pierret nous faisait la leçon sur ses chers « islamo-nationalistes » syriens. Je me demande s’il l’a servie aux Palestiniens.)

  • Qatar’s Emir approves changes to the country’s labor law - Doha News

    http://dohanews.co/qatars-emir-approved-changes-countrys-labor-law/?pushup=1

    Sheikh Tamim bin Hamad Al Thani, Qatar’s Emir, has approved an amendment to the national labor law today, according to the state’s Qatar News Agency.

    At 8:40pm on Wednesday, the agency posted the following bulletin:

    Doha, February 18 (QNA) – HH the Emir Sheikh Tamim bin Hamad Al-Thani issued today Law No. (1) of the year 2015, amending some provisions of the Labour Act No. (14 ) of the year 2004.
    The law is to be enforced and be published in the Official Gazette.(QNA)

    No further details have been released yet.

    But in May, authorities pledged to make it easier for expats to change jobs and leave the country. Over the past nine months, amendments to the labor law have been tied up in consultative meetings.

    To the disappointment of some, the proposed changes stopped short of abolishing the much-criticized no objection certificate requirement to switch employers and exit permit system that regulates sponsored employees’ ability to exit Qatar.

    Other reforms that were discussed included requiring companies to pay their employees through direct bank transfers, making it easier for expats and the government to scrutinize and document any late or non-existing payments.

    Several human rights advocates speculated that this evening’s announcement may only cover measures mandating electronic salary transfers:

    Officials at QNA and Al Meezan – which publishes Qatar’s official gazette – told Doha News this evening that they did not have any information on the substance of the labor law changes.

    More soon.

  • ممثلية المعارضة السورية في الدوحة تعلن بدء عملية تجديد جوازات سفر السوريين | رأي اليوم
    http://www.raialyoum.com/?p=211594

    La représentation de l’opposition syrienne à Doha (Qatar) annonce la mis en en oeuvre d’un processus de renouvellement des passeports syriens.

    Sans l’accord des autorités de Damas, cela va sans dire... Une forme de soutien de la part du Qatar à l’opposition, une solution (mais où seront-ils acceptés) pour les Syriens résidant au Qatar aussi.