city:douma

  • ‘How do they sleep?’ Roger Waters calls out US, UK & France over ‘faked’ Douma chemical attack — RT World News
    https://www.rt.com/news/459638-roger-waters-douma-opcw

    Citing newly leaked OPCW documents casting doubt on the April 2018 ‘chemical attack’ that triggered a bombing of Syria, rock star Roger Waters is calling out everyone who believed in the ‘murderous fairytale’ of the White Helmets.

    US, UK and France launched air strikes against Syria in April last year, after an alleged chemical attack in the city of Douma, northeast of Damascus. The claims came from the White Helmets, a self-styled ‘civil defense’ organization backed by Western governments and embedded with the Islamist militants in Syria.

    “The White Helmets probably murdered 34 women and children to dress the scene that sorry day in Douma,” Waters posted on his Facebook page on Thursday, next to a video of his April 2018 concert in Barcelona in which he challenged the group as “a fake organization that exists only to create propaganda for the jihadists and terrorists.”

    Waters added he hopes that those in the media and the governments in Paris, London and Washington that bought into the White Helmets’ “callous and murderous fairytale are suitably haunted by the indelible images of those lost innocent Syrian lives.”

    Internal OPCW documents leaked earlier this week cast doubt on the organization’s final report about the Douma incident, which claimed chlorine was ‘likely’ used against civilians. Syrian and Russian soldiers that liberated the town from militants found chlorine containers and a laboratory for producing chemical weapons. Moscow has suggested that the OPCW hedged its report because it did not want to contradict the US narrative.

    #syrie #propagande

    • Intéressant : Brian Whitaker a publié un assez gros point sur cette « fuite ». Leaked document revives controversy over Syria chemical attacks
      https://al-bab.com/blog/2019/05/leaked-document-revives-controversy-over-syria-chemical-attacks

      A leaked document which contradicts key findings of an official investigation into chemical weapons in Syria has surfaced on the internet. Described as an “engineering assessment” and marked “draft for internal review”, it appears to have been written by an employee of the Organisation for Prohibition of Chemical Weapons (OPCW) — the international body charged with the investigation.

      In April 2018 dozens of people were reportedly killed by a chemical attack in Douma, on the outskirts of Damascus, and western powers responded with airstrikes directed against the Assad regime.

      In March this year, after a lengthy investigation, the OPCW issued a report which found “reasonable grounds” for believing a toxic chemical had been used as a weapon in Douma and suggested the chemical involved was chlorine gas, delivered by cylinders dropped from the air.

      Although the investigators’ brief did not allow them to apportion blame, use of air-dropped cylinders implied the regime was responsible, since rebel fighters in Syria had no aircraft.

      The 15-page leaked document takes the opposite view and says it is more likely that the two cylinders in question had been “manually placed” in the spot where they were found, rather than being dropped from the air. The implication of this is that Syrian rebels had planted them to create the false appearance of a chemical attack by the regime.

      Whitaker, sur ce sujet, s’est régulièrement illustré par une dénonciation virulente de ce qu’il appelle les « truthers » sur la Syrie. Encore très récemment :
      https://medium.com/@Brian_Whit/how-a-yellow-cylinder-became-a-propaganda-weapon-in-syria-cc696a0bb0d9

    • Après, personnellement, le fait de conclure directement à l’analyse opposée (« les casques blancs ont fait le coup ») sur la foi d’un seul rapport minoritaire non retenu dans le rapport final, ça me semble excessivement prématuré.

  • Un producteur de la BBC affirme que les images de l’attaque chimique de Douma en Syrie « ont été mises en scène »
    https://www.crashdebug.fr/international/15667-un-producteur-de-la-bbc-affirme-que-les-images-de-l-attaque-chimiqu

    Un an après voici la preuve que nous avions raison de douter de cette attaque chimique pour laquelle Emmanuel Macron a failli nous embarquer dans une guerre ouverte avec la Russie, pour... rien....., ne doutez pas que si un conflit impliquant les États-Unis à lieu quelques part dans le Monde, le toutou de Donald Trump lui emboîtera le pas, quitte a nous faire atomiser........ Je rappelle que certes les Américains maîtrisent maintenant les mini bombes nucléaires, mais la Russie garde l’avantage avec ses missiles intercontinentaux hypersonique.... Heureusement contrairement à Trump et à Macron, ils ont des nerfs d’acier et n’ont pas des QI de moules.

    Près d’un an après l’attaque chimique présumée du 7 avril 2018 à Douma, en Syrie - que la Maison-Blanche a utilisée comme prétexte (...)

    • CRISE DE L’EMPLOI
      Sur les quinze métiers qui devraient recruter le plus en 2018, douze sont non ou peu qualifiés, précaires, mal payés, à forte proportion de temps partiel et largement saisonniers
      "Selon la vaste enquête (publiée il y a quelques jours, menée fin 2017 par Pôle Emploi auprès des employeurs) « Besoins en main d’œuvre 2018 », ou « enquête BMO », il y aurait certes une hausse des projets de recrutements en 2018 (+ 18 %), mais elle concernerait pour une large part des emplois dégradés (statut, conditions de travail et bien entendu salaires). À commencer par des emplois de saisonniers, dont l’enquête indique qu’ils représenteraient 34,6 % des recrutements anticipés dans l’ensemble des 200 métiers recensés ! Voici donc la liste des « quinze métiers les plus recherchés » (par les employeurs, pas par les salariés et les chômeurs) : le « top 15 »."
      Source : DEBOUT ! : BLOG JEAN GADREY

      DÉMOCRATIE
      Mobilisations étudiantes : les éditocrates face au péril jeune
      "Depuis début avril, la mobilisation contre la réforme des universités et le système Parcoursup s’est amplifiée de manière spectaculaire avec l’occupation de nombreuses facs. Contre ce mouvement d’une ampleur sans précédent ces dix dernières années, la fine fleur de l’éditocratie n’a pas manqué de se mobiliser . Pour les tauliers des médias, les étudiants seraient en réalité instrumentalisés par une « minorité agissante » issue de l’« ultragauche ». Et bien évidemment, ils se mobiliseraient pour de mauvaises raisons, voire sans raison du tout. Retour sur les plus belles démonstrations de morgue et de mépris médiatique à l’égard des mobilisations étudiantes."
      Source : ACRIMED

      ENVIRONNEMENT
      Le sable, une ressource en voie d’épuisement
      "Le sable, prisé par de multiples industries, est devenu si précieux que des trafiquants ont investi son marché. Mais nous épuisons cette ressource naturelle, ce qui a de graves conséquences notamment écologiques. L’infographie ci-dessous analyse la situation." ["Les technocrates, tu leur donnerais le Sahara, dans 10 ans, il faudrait qu’ils importent du sable" ;) Coluche]
      Source : REPORTERRE

      Le gouvernement présente son plan pour la rénovation énergétique des bâtiments
      "Le gouvernement va présenter son plan visant à encourager la rénovation des bâtiments publics et privés. Il s’agit d’un enjeu majeur pour la transition énergétique, puisque les bâtiments résidentiels et tertiaires représentent 45% de la consommation du pays en énergie et est à l’origine d’environ 25% des émissions de gaz à effet de serre, selon le ministère de la Transition écologique. L’objectif est de rénover 500.000 logements par an, en mobilisant 14 milliards € sur 5 ans, planifiés dans le cadre du Grand plan d’investissement annoncé en septembre par le Premier ministre E. Philippe. Dans cet objectif est prévu la rénovation de 100.000 logements HLM par an par les bailleurs sociaux et de 250.000 logements particuliers par an, grâce à des mécanismes existants tels que le crédit d’impôt, l’Eco-prêt à taux zéro (ECO-PTZ), les certificats d’économie d’énergie."
      Source : Connaissances des énergies

      Voitures électriques, panneaux solaires, éoliennes : la face (très) sombre des énergies renouvelables
      "Une équipe de chercheurs japonais annonçait avoir découvert dans les fonds marins du Japon des gisements représentant 16 millions de tonnes de terres rares, des minerais utilisés dans la transition numérique et énergétique. Qualifiés de « pétrole du 21ème siècle », ces minerais présents en quantité infime dans la croûte terrestre, sont de nouvelles ressources aujourd’hui essentielles à la production d’objets numériques, mais également utilisés dans la fabrication des voitures électriques, panneaux photovoltaïques ou encore éoliennes, outils nécessaires à la transition vers les énergies renouvelables. L’exploitation de ces métaux rares génère toutefois de forts coûts environnementaux et une dépendance envers la Chine qui produit 95% des terres rares et est devenue leader dans les technologies de la transition énergétique. Une enquête dans laquelle G. Pitron, journaliste au Monde Diplomatique et à Géo, alerte sur le « paradoxe des énergies vertes ». "
      Source : France Culture

      FRANCE
      Plus de 30 écoles offertes aux géants du BTP : le plan à un milliard d’euros de la mairie de Marseille
      "Un milliard d’euros pour la destruction et la reconstruction de 34 écoles vétustes. C’est ce que compte engager la ville de Marseille sur 25 ans, dans le cadre d’un grand partenariat public-privé. Elle confie ainsi la clé des infrastructures à quelques grands groupes du BTP en contrepartie d’une lourde redevance annuelle. Face à une méthode désormais bien connue pour son impact néfaste sur les finances publiques, des élus d’opposition, syndicalistes enseignants, parents d’élèves, architectes, professionnels du bâtiment ou simples citoyens se mobilisent. « C’est un véritable plan Marshall pour nos écoles qui n’a aucun équivalent ni pour la ville de Marseille ni pour aucune autre ville », claironne Jean-Claude Gaudin en conseil municipal."
      Source : BASTAMAG

      Macron An 1 : qui sont les perdants... jusqu’ici
      "A qui Macron demande-t-il des efforts ? La formule président des riches est un peu courte. Elle suppose que tout le monde, hormis une poignée d’ultra-riches serait mis aujourd’hui à contribution."
      Source : XERFI CANAL

      GÉOPOLITIQUE
      Couacs balistiques et fessées financières
      "Alors que les inspecteurs de l’Organisation pour l’interdiction des armes chimiques (OIAC) effectuent leurs premiers prélèvements à Douma, les couacs du show médiatique américano-anglo-français commencent à émerger. Nous avions déjà vu que les deux-tiers des missiles avaient été interceptés par la défense syrienne fortement "conseillée" par les Russes. Il appert maintenant que l’intervention française du petit Jupiterinho de l’Elysée a tourné à la farce, plusieurs projectiles n’ayant pu être lancés pour cause de bug semble-t-il. D’ici à ce qu’on nous dise que c’est encore un coup des hackers russes... En l’occurrence, on ne peut pas tout à fait l’écarter, l’ours ayant plusieurs longueurs d’avance en terme de guerre électronique."
      Source : CHRONIQUES DU GRAND JEU

      Cuba : « Motivés par la solidarité, pas par l’intérêt matériel »
      "“D’autres étrangers qui sont allés en Afrique ont eux aussi amené les œillères du colonialisme culturel — mais pas les Cubains. Notre formation révolutionnaire, notre expérience dans le développement de la solidarité, rend impensable toute relation paternaliste ou coloniale avec les peuples qui sont affligés.” Abel Prieto, l’ancien président de l’Union des écrivains et artistes de Cuba (UNEAC) et ministre de la culture, présente l’ouvrage Zone Rouge : l’expérience cubaine avec l’Ebola écrit par Enrique Ubieta."
      Source : INVESTIG’ACTION

      Le pilote qui a abattu le MH17 malaisien ne parlera plus
      "Vladislav Volochine s’est éteint le 18 mars, dans sa chambre, d’une balle en plein coeur à l’âge de vingt-neuf ans. Pour mémoire, il s’agissait du pilote (alors capitaine) ukrainien qui avait abattu le vol malaisien MH17 le 17 juillet 2014. La thèse retenue est celle du suicide, même si quelques journaux mentionnent qu’il se serait tiré plusieurs balles dans le coeur (la plupart ne mentionnent qu’une balle). Une enquête de principe a été ouverte par la police, comme l’exige la loi en cas de décès par arme à feu, et à plus forte raison sachant que l’immatriculation du pistolet trouvé près de lui avait été ôtée."
      Source : LUNDI DE STRATEDIPLO

      L’Iran ripostera, soyez-en sûrs
      "Toute nouvelle contrainte empêchant de réagir à une agression israélienne ne fera qu’encourager davantage d’atteintes contre l’Iran et les Iraniens. L’Iran ripostera en légitime défense. « Le fardeau de l’homme blanc » – ou devrait-on dire « le fardeau qu’est l’homme blanc » – est probablement le plus grand joug de l’histoire de l’humanité. Interrogé sur ce qu’il pensait de la civilisation occidentale, le Mahatma Gandhi aurait répondu : « ce serait une très bonne idée. »"
      Source : MIDDLE EAST EYE

      Les scénarios-monde d’Hubert Védrine
      "L’ancien ministre des Affaires étrangères et essayiste, Hubert Védrine. Il a l’expérience du pouvoir et la lucidité des réalistes, témoin depuis 30 ans des évolutions des relations diplomatiques. "On est dans un pays chimérique, et on doit faire un effort pour mesurer la réalité. Il y a un décalage entre ce qu’on pense qu’il faudrait que l’on fasse, et ce que l’on peut en vrai."" [Hubert Védrine, qui après quelques années d’errements, semble revenir à une certaine lucidité. EL.]
      Source : La Grande Table - France Culture

      LIBERTÉS
      « Veuillez accepter nos conditions » : la fabrique du consentement chez Facebook (et les moyens d’y mettre fin)
      "Facebook s’y était engagé cette semaine et cela s’est produit hier : des millions d’utilisateurs en Europe ont reçu un mail de la plateforme les invitant à accepter les nouveaux paramètres de confidentialité mis en place pour de se mettre en conformité avec le Règlement Général de Protection des Données (RGPD) qui entrera en vigueur le mois prochain. Le message était intitulé « Veuillez accepter nos conditions d’utilisation avant le 25 mai pour continuer à utiliser Facebook » et en elle-même, cette formulation est problématique, car elle revient une nouvelle fois à exercer sur les utilisateurs une forme de « chantage au service »." ["En même temps", tout le monde sait comment fonctionnent fb et consorts maintenant. Et comment leur réclamer qu’ils ne diffusent ou ne permettent pas n’importe quoi, comme le demandent les autorités (que la surveillance ne doit donc pas gêner tant que ça...), sans qu’ils surveillent les échanges ? La schizophrénie ne rôderait-elle pas dans tout ça ? EL.]
      Source : S.I.LEX

      RÉFLEXION
      « Macron risque d’être le troisième Président consécutif à ne faire qu’un mandat »
      "Wolgang Streeck est un sociologue de l’économie allemand dont le livre Du temps acheté - la crise sans cesse ajournée du capitalisme démocratique, est désormais un classique. Il intervient parfois dans la presse française (Le Monde, Le Monde diplomatique, Le Débat), où il prend des positions iconoclastes, et plaide notamment pour la fin de la monnaie unique européenne." [Pour ceux qui réclament des bonnes nouvelles ^^.]
      Source : L’ARENE NUE : BLOG CORALIE DELAUME

      Friot & Lordon : “En quoi la révolution est-elle encore d’actualité ?”
      "Dans le cadre d’un débat qui a eu lieu le 3 avril 2018 à l’Université Paris-Tolbiac, les économistes Bernard Friot et Frédéric Lordon reviennent sur l’histoire récente des mobilisations et se posent la question suivante : malgré deux décennies d’échecs, en quoi une révolution serait-elle toujours d’actualité ?"
      Source : INVESTIG’ACTION

      Quelle Terre pour demain ? Dominique Bourg creuse son sillon
      "Dominique Bourg, philosophe, vice-président de la Fondation pour la nature et l’homme (FNH)[NB : ex-fondation Hulot], publie "Une nouvelle Terre" (Desclée de Brouwer, mars 2018). Il dégage avec nous les racines spirituelles de la violence que nous nous infligeons à nous-même et à notre environnement." [Où l’on apprend notamment dès le début (surprise !) que l’abandon du projet de NDDL n’a strictement rien eu à voir avec des considérations écologiques...]
      Source : La Grande Table - France Culture

      Israël-Palestine : les fausses promesses avec William Karel
      "Une terre deux fois promise : Israël-Palestine, le dernier documentaire de William Karel, est diffusé ce soir sur Arte. Son auteur analyse avec nous les ressorts historiques qui président au blocage de la situation actuelle." "Je suis très pessimiste quant à l’avenir de la Palestine. Il y a 700 000 colons dans les territoires Palestiniens. Aucun gouvernement ne prendrait le risque de créer une guerre civile en leur demandant de rentrer en Israël." [Moi aussi ("pessimiste"). Mon avis est que les dirigeants israéliens veulent simplement tous les territoires palestiniens sans la population qui les occupe. Ils ne les traitent/considèrent pas comme des êtres humains. Remember... EL.]
      Source : La Grande Table - France Culture

      SOCIETÉ
      Le gaspillage de fringues ne choque personne, et c’est un problème
      "Il fait tourner les économies, croître les PIB et nous donne un faux sentiment de bonheur et d’accomplissement : le gaspillage textile tue la planète et tout le monde s’en fout. Et encore des fringues pour femmes. J’ouvre les sacs de dons déposés par des Parisiens dans des points de collecte au bénéfice d’une association qui vient en aide aux migrants. Nous en avons quatre dans mon arrondissement du nord de Paris, et chacun est spécialisé."
      Source : SLATE

  • Liens : *https://www.syrianarchive.org/en/collections/chemical-weapons*
    *https://syrianarchive.org/en*

    Activist group publishes database of Syria chemical attacks | Nation/World | starherald.com
    http://www.starherald.com/news/nation_world/activist-group-publishes-database-of-syria-chemical-attacks/article_d913d0e3-d784-5f52-8280-0f4e032d01e6.html

    An activist group on Tuesday published a database of information on suspected chemical attacks in Syria , adding to a growing collection of videos and images documenting alleged war crimes during the seven-year conflict.

    The Syrian Archive, which works with human rights groups such as Amnesty International, said it has verified 861 videos covering some 212 attacks — most of them believed to have been carried out by government forces.

    The material comes from 193 sources and much of it was uploaded to social media by ordinary Syrians, the group’s co-founder, Hadi al-Khatib, told an audience in Berlin.

    Al-Khatib, who has lived in Germany since 2014, said the group wants to preserve sensitive material from disappearing , so that it might eventually be used to bring those responsible for war crimes to trial. But the team, which is spread across Europe and the Middle East, also wants to “add value” to the raw material, such as by determining the location where a video was taken and, most importantly, verifying that it shows what is claimed.

    The Syrian Archive cooperates with the open source journalism site Bellingcat that has made a name for itself forensically examining footage from war zones.

    While most of the chemical attacks documented by the group are alleged to have been carried out by forces loyal to President Bashar Assad, including most recently in the town of Douma near Damascus, a handful have been attributed to rebel forces and the Islamic State extremist group, said Abdulrahman al-Jaloud, one of the Syrian Archive’s researchers.

    Al-Khatib said he and fellow activists try not to get disheartened by the fact that efforts to bring those responsible for war crimes in Syria to trial have so far been unsuccessful.

    “That doesn’t mean we should stop,” he said. “We are looking forward to the day when we can use this material, because the reconstruction of Syria must include acknowledging, investigating and prosecuting crimes.”

    #syrie #attaques_chimiques #syrian_archives

  • ‘Whole story was staged’ : Germany’s ZDF reporter says Douma incident was false flag attack — RT World News
    https://www.rt.com/news/424832-douma-attack-german-media

    The alleged chemical attack in the Syrian city of Douma was staged by local militants, who tried to frame it as a Syrian Army strike, a German TV correspondent, who travelled to Damascus, has said publicly, citing local witnesses.

    “People told us in a very convincing manner that this whole story was staged,” Uli Gack, a reporter with the German ZDF public broadcaster, said (referring to the alleged Douma chemical attack) while he spoke live on ZDF Heute (‘Today’) show on Satuday.

    Gack had travelled to Syria and visited one of the refugee camps near Damascus, where “some 20,000 people from Eastern Ghouta and particularly from Douma” were living.

    Maintenant que même des journalistes « sérieux » confirment qu’il s’agissait bien d’une mise en scène, on fait quoi ?

    #syrie

  • Couacs balistiques et fessées financières
    http://www.chroniquesdugrandjeu.com/2018/04/couacs-balistiques-et-fessees-financieres.html

    Alors que les inspecteurs de l’Organisation pour l’interdiction des armes chimiques (OIAC) effectuent leurs premiers prélèvements à Douma, les couacs du show médiatique américano-anglo-français commencent à émerger. Nous avions déjà vu que les deux-tiers...

  • Révélation : Macron pose un lapin à Poutine après accord téléphonique le jour de l’attaque en Syrie
    Ajoutée le 18 avr. 2018
    https://www.youtube.com/watch?v=g0MxvhHqqF4

    Message de Jean-Luc Mélenchon le 18 avril 2018 suite à son échange avec le nouvel ambassadeur de Russie en France. Ce dernier lui a expliqué qu’Emmanuel Macron et Vladimir Poutine avaient convenu que les ministres de la Défense des deux pays échangeraient ensemble de l’opportunité d’une enquête à Douma en Syrie pour étudier ce qui s’est passé. Or cet échange n’a jamais eu lieu. Et, le soir même, les missiles français, américains et britanniques s’abattaient sur le sol syrien. Jean-Luc Mélenchon revient sur cette attaque sans preuve, sans mandat de l’ONU, sans objectif militaire clair et sans objectif politique.

  • Syria ’chemical attack’ : OPCW Douma visit ’delayed by security issue’ - BBC News
    http://www.bbc.com/news/world-middle-east-43792120

    Experts from the Organisation for the Prohibition of Chemical Weapons appear to have delayed their visit to the site of an alleged chemical attack in Syria.

    The fact-finding team were expected to travel from Damascus to the nearby town of Douma on Wednesday.

    But a Western official in the capital said a UN security team had faced a “security issue” there on Tuesday.

    Les experts détachés à Douma se font tirer dessus. Certainement encore un coup de Bachar et des Russes qui veulent effacer les traces de leurs mauvais coups !...

    #syrie

  • A la recherche de la vérité dans les ruines de la Ghouta
    Robert Fisk – Exclusif : Robert Fisk visite la clinique de Syrie qui est au centre d’une crise mondiale.
    https://www.independent.co.uk/voices/syria-chemical-attack-gas-douma-robert-fisk-ghouta-damascus-a8307726.
    Tuesday 17 April 2018 18:30 BST | Traduction : Chronique de Palestine
    http://www.chroniquepalestine.com/recherche-verite-dans-ruines-ghouta

    C’est l’histoire d’une ville appelée Douma, un lieu ravagé et puant d’immeubles détruits – et d’une clinique souterraine dont les images de souffrance ont permis à trois des nations les plus puissantes du monde occidental de bombarder la Syrie la semaine dernière. Il y a même un avenant docteur en blouse verte qui, quand je le trouve dans la même clinique, me dit avec plaisir que la vidéo sur le « gaz » qui a horrifié le monde – malgré tous les sceptiques – est parfaitement authentique.

    Les histoires de guerre, cependant, ont l’habitude de devenir de pire en pire. Le même médecin syrien âgé de 58 ans, raconte quelque chose de profondément dérangeant : les patients, dit-il, ont été vaincus non pas par le gaz, mais par le manque d’oxygène dans les tunnels et les sous-sols où ils vivaient, de gros bombardements ayant provoqué une tempête de poussière.

    Alors que le Dr Assim Rahaibani me fait part de cette conclusion extraordinaire, il vaut la peine d’observer qu’il est de son propre aveu pas un témoin oculaire lui-même et, comme il parle bien anglais, il se réfère deux fois aux combattants djihadistes de Jaish el-Islam à Douma en tant que « terroristes » – le mot employé par le régime pour ses ennemis, et un terme utilisé par de nombreuses personnes à travers la Syrie. Est-ce que j’entends bien ? Quelle version des événements devons-nous croire ?

    traduction de l’article signalé ici : https://seenthis.net/messages/687455

  • [RussEurope-en-Exil] Syrie : les inconsistances du discours gouvernemental, par Jacques Sapir
    https://www.les-crises.fr/russeurope-en-exil-syrie-les-inconsistances-du-discours-gouvernemental-pa

    (Billet invité) Le document officiel du gouvernement français censé établir la preuve de l’usage d’armes chimiques par le gouvernement syrien contre les groupes rebelles dans la ville de Douma (Ghouta orientale) pose plusieurs problèmes[1]. On a d’ailleurs reproduit en annexe à la fin de cette note ce dit document. Très clairement, ce document ne contient […]

    #Géopolitique #Russeurope_en_Exil

  •  » En quête de vérité dans les décombres de Douma – et les doutes d’un médecin sur l’attaque chimique, par Robert Fisk
    https://www.les-crises.fr/en-quete-de-verite-dans-les-decombres-de-douma-et-les-doutes-dun-medecin-

    Exclusif : Robert Fisk rend visite à la Clinique syrienne au cœur d’une crise globale.

    C’est l’histoire d’une ville appelée Douma, un endroit putride, ravagé, plein d’immeubles résidentiels défoncés, et où se trouve une clinique souterraine dont les images de souffrance ont permis à 3 des plus grandes puissances du monde occidental de bombarder la Syrie la semaine dernière. Il y a même un docteur sympa en blouse verte qui, alors que je le localise justement dans cette même clinique, me dit avec entrain que la vidéo du « gaz » qui a horrifié la planète – malgré tous les sceptiques – est absolument authentique.

    Les récits de guerre, cependant, ont pour habitude de tourner au cauchemar. Et ce même médecin-chef syrien de 58 ans ajoute ensuite une chose profondément dérangeante : les patients, dit-il, ont été exposés non pas à du gaz, mais à un manque d’oxygène (hypoxie) dans les tunnels jonchés de déchets, et dans les sous-sols où ils vivaient, au cours d’une nuit de grand vent et de bombardements intensifs qui ont déclenché une tempête de poussière.

    Tandis que le docteur Assim Rahaibani énonce cette conclusion extraordinaire, il est important d’observer qu’il n’est pas, de son propre aveu, un témoin lui-même, et que bon angliciste, il se réfère 2 fois aux djihadistes armés de Jaish el-islam [l’armée de l’Islam] à Douma comme à des terroristes, l’expression du régime qui désigne ses ennemis, et un terme utilisé par beaucoup de gens partout en Syrie. Ai-je bien entendu ? Quelle version des événements sommes-nous supposés croire ?

    Par malchance aussi, les médecins de garde lors de cette nuit du 7 avril sont tous les 2 à Damas, afin d’apporter leurs indices de preuve à une enquête sur les armes chimiques, qui devra tenter de fournir une réponse définitive à cette question dans les semaines à venir.

    Entretemps, la France a dit qu’elle avait « la preuve » que des armes chimiques avaient été utilisées, et les médias US ont cité des sources qui attestaient aussi ce fait. L’Organisation des Casques Blancs a aussi déclaré que ses partenaires sur le terrain traitaient 500 patients « présentant des signes et des symptômes correspondants à une exposition à des substances chimiques toxiques. »

    Au même moment, les inspecteurs de l’OPCW, [Organisation pour l’Interdiction des Armes chimiques OIAC], sont dans l’impossibilité de parvenir ici sur le site de l’attaque au gaz alléguée, apparemment parce qu’ils n’avaient pas les bonnes autorisations de l’ONU.

    Avant d’aller plus loin, les lecteurs doivent savoir que ce n’est pas le seul récit qui a cours à Douma. Il y a beaucoup de gens avec qui j’ai discuté au milieu des ruines qui déclarent qu’ils n’ont jamais cru à ces histoires de gaz – qui ont été fabriquées, disent-ils, par les groupes islamistes armés. Ces djihadistes d’un genre particulier ont survécu sous un déluge d’obus, en vivant dans les logements d’autres gens, et dans de vastes et larges tunnels équipés de routes souterraines creusées dans la roche par des prisonniers à l’aide de pioches sur 3 niveaux sous la ville. Je me suis promené dans 3 d’entre eux hier, des couloirs immenses faits de roche naturelle qui contenaient encore des roquettes russes – oui, russes – et des voitures carbonisées.

    Ainsi, l’histoire de Douma n’est donc pas qu’une histoire de gaz ou pas, comme l’affaire en a l’air. Il s’agit de celle de milliers de gens qui ont choisi de ne pas évacuer la zone dans des bus la semaine dernière, aux côtés des combattants avec lesquels ils étaient forcés de vivre comme des troglodytes pendant des mois afin de survivre. Je me suis promené dans cette ville assez librement hier, sans soldats, sans policiers ou garde du corps qui scrute mes pas, juste 2 amis syriens, un appareil photo et un carnet. Parfois je devais escalader des remparts de plus de 6 mètres, ou gravir comme des murs de terre. Heureux de trouver un étranger parmi eux, plus heureux encore que le siège de la ville soit enfin terminé, la plupart ont le sourire ; enfin ceux dont vous pouvez voir les visages bien sûr, parce qu’à Douma, un nombre surprenant de femmes portent le hijab noir qui couvre tout leur corps.

    Je me suis d’abord rendu à Douma en tant que membre d’un convoi de journalistes sous escorte. Mais une fois qu’un général ennuyeux nous eût annoncé sur le parvis d’une mairie démolie « Je n’ai pas d’informations. » – ce foutu langage officiel arabe d’une utilité remarquable – je me suis éclipsé. Plusieurs autres reporters, la plupart syriens, en firent autant. Même un groupe de journalistes russes – tous en treillis militaire – s’écarta du groupe.

    Je pus rejoindre au bout d’une courte marche le docteur Rahaibani. Depuis la porte de sa clinique souterraine – appelée « Point 200 », dans la géologie bizarre de cette ville partiellement enterrée – il y a un couloir qui descend. C’est là où il m’a montré son hôpital inférieur, et les quelques lits où une petite fille pleurait tandis que des infirmières s’occupaient d’une coupure au-dessus de son œil.

    « J’étais avec ma famille dans le sous-sol de ma maison, à 300 mètres d’ici au cours de la nuit. Mais tous les docteurs ici savent ce qui s’est passé. Il y avait un bombardement intense [par les forces gouvernementales] et les avions survolaient toujours Douma la nuit – mais cette nuit-là, il y avait du vent et des nuages de poussière gigantesques se sont engouffrés dans les sous-sols et les caves où les gens vivent. Des personnes qui souffraient d’hypoxie, en manque d’oxygène, commencèrent à arriver ici. C’est alors que quelqu’un à la porte, un « Casque Blanc », cria « Gaz ! », et ce fut la panique. Les gens se mirent à s’asperger d’eau les uns les autres. Oui, la vidéo a été filmée ici, elle est authentique, mais ce que vous voyez, ce sont des gens qui souffrent d’hypoxie – et non d’empoisonnement au gaz. »

    Le correspondant pour le Moyen Orient de l’INDEPENDENT Robert Fisk dans l’un des tronçons de tunnels déblayé sous Douma par des prisonniers des rebelles syriens (yara Ismail)
    Bizarrement, après avoir bavardé avec plus de 20 personnes, je me suis retrouvé incapable d’en trouver une seule qui montre le moindre intérêt pour le rôle que Douma avait pu jouer dans le déclenchement des attaques occidentales. En fait, 2 m’ont même dit qu’elles ignoraient qu’il y avait un lien.

    Mais c’est un monde étrange dans lequel je me suis aventuré. 2 hommes, Hussam et Nazir Abu Aishe, me confièrent qu’ils étaient incapables de me dire combien de personnes avaient été tuées à Douma, bien que le second eût admis qu’il avait un cousin qui avait été exécuté par Jaish el-Islam [l’armée de l’Islam], pour avoir été suspecté d’être « proche du régime ». Ils haussèrent les épaules lorsque je les interrogeai sur les 43 personnes censées avoir péri lors de l’infâme attaque de Douma.

    Les Casques Blancs – les secouristes médicaux déjà célèbres en occident mais dont la propre histoire présente des recoins intéressants – ont joué un rôle désormais bien connu durant les combats. Ils sont en partie financés par le Foreign Office [Ministère des Affaires Etrangères britannique], et la plupart des bureaux locaux étaient administrés par des hommes de Douma. J’ai retrouvé leurs bureaux démolis pas très loin de la clinique du docteur Rahaibani. Un masque à gaz trainait sur un container de nourriture avec un œil percé, et une pièce était occupée par une pile d’uniformes camouflés très sales. Mise en scène ? Je me le suis demandé mais j’en doute. L’endroit était jonché de capsules, d’équipements médicaux hors d’usage, et de dossiers, de lits et de matelas.

    Bien sûr que nous devons écouter leur version des faits, mais ce ne sera pas le cas ici : Une femme nous a dit que tous les membres des Casques Blancs à Douma avaient abandonné leur Quartier Général et choisi de prendre les bus affrétés par le Gouvernement et protégés par les Russes, pour rejoindre la province rebelle d’Idlib avec les groupes armés, lorsque la trêve fut négociée.

    Les étalages étaient ouverts, il y avait une patrouille de la Police militaire russe – un ajout optionnel lors de tout cessez-le-feu en Syrie à présent – et personne ne s’était même donné la peine d’investir les sous-sols de la prison islamiste interdite près du Square des Martyrs où les victimes étaient supposées être décapitées. Le complément de Police civile est fourni par le Ministère de l’Intérieur – ils portent de façon étrange des vêtements militaires – et ils sont surveillés par les Russes qui eux-mêmes peuvent – ou pas- être sous surveillance des seconds. Là encore, mes questions sérieuses sur le gaz furent accueillies avec ce qui sembla être une authentique perplexité.

    Comment se pourrait-il que des réfugiés en provenance de Douma arrivés jusque dans les camps de Turquie aient pu décrire une attaque au gaz dont personne aujourd’hui à Douma ne semble se souvenir ? Je me suis dit, alors que je marchais dans les tunnels entrecroisés de ces misérables prisonniers, que les citoyens de Douma vivaient si isolés les uns des autres depuis si longtemps que « l’information » au sens que nous lui prêtons, n’avait tout simplement aucune signification pour eux. « La Syrie n’en produit pas comme la démocratie à la Jefferson » – comme j’aime cyniquement à le dire à mes collègues arabes – et c’est effectivement une dictature impitoyable, mais pas au point d’intimider ces gens heureux de voir des étrangers parmi eux, et de les empêcher de réagir avec quelques paroles de vérité. Alors que m’ont-ils dit ?

    Ils m’ont parlé des islamistes sous le pouvoir desquels ils ont été obligés de vivre. Ils m’ont parlé de la façon dont les groupes armés avaient volé des logements aux civils pour se prémunir du gouvernement syrien et des bombardements russes. Les [islamistes de] Jaish el-Islam avaient brûlé leurs bureaux avant de fuir, mais les constructions massives qu’ils avaient édifiées à l’intérieur des zones de sécurité avaient été presque toutes réduites en bouillie par les raids aériens. Un colonel syrien que j’ai rencontré derrière l’une de ces constructions m’a demandé si je voulais me rendre compte de la profondeur de ces tunnels. Je me suis arrêté au bout de 2 kilomètres, lorsqu’il me fit observer en langage codé que « ce tunnel pourrait aussi bien mener jusqu’à la Grande Bretagne. » Ah oui… Mme May, me dis-je, dont les frappes aériennes ont été si intimement liées à ce lieu de tunnels et de poussière… Et de gaz ?

    Source : Robert Fisk, The Independent, 16/04/2018

    Traduit par BR pour le site www.les-crises.fr.

  • Attaque chimique à Douma : le « faisceau de preuves » qui accusent le régime syrien (article de 16h55)
    http://www.lemonde.fr/les-decodeurs/article/2018/04/17/syrie-que-sait-on-de-l-attaque-chimique-du-7-avril-a-douma_5286620_4355770.h

    Trois jours après les frappes de représailles menées le 14 avril contre Damas, les inspecteurs dépêchés par l’Organisation internationale pour l’interdiction des armes chimiques (OIAC) en Syrie ont finalement pu accéder, mardi 17 avril, à la ville de Douma, victime, le 7 avril, d’attaques chimiques présumées qui auraient tué une quarantaine de personnes.

    La Syrie et la Russie avaient jusqu’ici invoqué des « problèmes de sécurité » pour leur interdire l’accès, selon l’OIAC.

    mais le même jour à 02h57…

    Syrie : les médias d’Etat se rétractent après l’annonce de tirs de missiles
    http://www.lemonde.fr/syrie/article/2018/04/17/la-defense-syrienne-abat-des-missiles_5286293_1618247.html

    Les bombardements occidentaux ont été menés malgré la présence en Syrie des enquêteurs de l’OIAC qui ont débuté dimanche leur mission dans le plus grand secret. Si ces experts ont pour mandat d’enquêter sur l’utilisation éventuelle d’armes chimiques, ils n’ont, en revanche, pas pour mission d’en identifier les auteurs.

    • Leur travail s’annonce compliqué, plus d’une semaine après les faits, dans une zone passée depuis sous le contrôle du régime syrien et de la police militaire russe. Les derniers combattants rebelles de Douma ont quitté, samedi, la ville en ruine dans le cadre d’un accord de reddition signé le 9 avril, deux jours après l’attaque présumée.
      Les Etats-Unis soupçonnent par ailleurs la Russie d’avoir manipulé le site de Douma pour empêcher la découverte de preuves. « Les Russes pourraient avoir visité le site de l’attaque. Nous craignons qu’ils ne l’aient altéré dans l’intention de contrecarrer les efforts de la mission de l’OIAC pour mener une enquête efficace », a déclaré l’ambassadeur américain auprès de l’organisation, Ken Ward. « Cela soulève de sérieuses questions sur la capacité de la mission d’enquête de faire son travail », a-t-il ajouté.
      Moscou, grand allié de Damas, s’est engagé à « ne pas s’ingérer » dans le travail de la mission de l’OIAC, officiellement invitée par les autorités de Damas. Le régime syrien, quant à lui, nie que des armes chimiques aient été employées dans le drame de Douma, qui a fait au moins 40 morts et des centaines de blessés, selon les secouristes.

  • Macron dit qu’il n’a pas déclaré la guerre à Al-Assad mais depuis quand les bombardements sont des caresses ? Par Roula Zein dans @raialyoum - Actuarabe
    http://actuarabe.com/macron-dit-quil-na-pas-declare-la-guerre-a-al-assad-mais-depuis-quand-les

    Voilà ce que veut la France, qui continue à parler de couloirs d’évacuation dans la Ghouta orientale alors que cette dernière a été entièrement libérée, que le drapeau syrien à deux étoiles a été hissé sur les bâtiments publics et que les écoliers et les mères des martyrs ont fêté la victoire.

    Un métro de retard
    Ne suivent-ils pas les événements sur le terrain ? N’ont-ils pas un métro de retard ? Les conseillers à l’Elysée et au Ministère des affaires étrangères n’ont-ils pas vu les photos des réconciliations à Douma, ni les stocks d’armes destinés à tuer les civils syriens pour lesquels la France viole la charte des Nations-Unies pour la première fois depuis la fin de la Société des Nations ? Voilà des années que la coalition bombarde Raqqa et ses habitants ainsi que l’armée syrienne à Deir Az-Zor pour « exterminer DAECH », mais il a fallu attendre l’intervention des Russes et de l’armée arabe syrienne pour que DAECH et le terrorisme disparaissent en deux mois !

    Alors que les Français, eux, ont détruit toutes les infrastructures de Raqqa, plus de douze ponts sur la barrage de l’Euphrate au nom de la liberté, de la démocratie et de la sécurité du peuple syrien.

  • Attaque chimique du 7 avril 2018 (Douma, Ghouta orientale, Syrie) Programme chimique syrien clandestin – 14 avril 2018
    Ce document est constitué d’analyses techniques d’informations de source ouverte et de renseignements déclassifiés obtenus par les services français.
    https://www.defense.gouv.fr/content/download/528742/9123389/file/180414+-%20Syrie%20-%20Synthe%CC%80se%20-%20Les%20faits.pdf
    (je sélectionne les bonnes pages et le plan…)

    I. PLUSIEURS ATTAQUES CHIMIQUES LETALES ONT ETE CONDUITES SUR LE QUARTIER DE DOUMA LE SAMEDI 7 AVRIL 2018 EN FIN D’APRES-MIDI ET NOUS ESTIMONS AVEC UN HAUT NIVEAU DE CONFIANCE QU’ELLES SONT LE FAIT DU REGIME SYRIEN.
    […]
    1. – Plusieurs attaques chimiques ont eu lieu le 7 avril 2018 à Douma.
    […]
    Les experts français ont analysé les symptômes identifiables sur les images et vidéos rendues publiques, prises soit en espace clos dans un immeuble présentant une quinzaine de victimes décédées, soit dans les hôpitaux locaux ayant accueilli des patients contaminés.
    […]
    2. – En raison notamment de la situation opérationnelle dans la Ghouta orientale autour du 7 avril, nous estimons avec un haut degré de confiance que la responsabilité du régime syrien est engagée.
    […]
    L’utilisation d’armes chimiques par le régime syrien fait sens dans ce contexte, d’un double point de vue militaire et stratégique :
    • tactiquement, l’utilisation de telles munitions permet de déloger des combattants ennemis abrités dans des habitations afin d’engager le combat urbain dans les conditions les plus avantageuses pour le régime ; cette utilisation constitue un accélérateur de conquête et un démultiplicateur d’effet visant à faire tomber au plus vite le dernier bastion des groupes armés ;
    • stratégiquement, l’utilisation d’armes chimiques, notamment au chlore, documentée depuis le début 2018 dans la Ghouta orientale, a notamment pour objectif de punir les populations civiles présentes dans les zones tenues par des combattants opposés au régime, et de provoquer sur elles un effet de terreur et de panique incitant à la reddition ; alors que la guerre n’est pas terminée pour le régime, il s’agit, par des frappes indiscriminées, de démontrer que toute résistance est inutile et de préparer la réduction des dernières poches.
    • Depuis 2012, les schémas tactiques des forces armées syriennes sont récurrents : les toxiques chimiques sont principalement utilisés dans le cadre d’offensives urbaines massives, comme cela a été le cas à la fin de l’année 2016 pour la reprise d’Alep, où des munitions au chlore étaient régulièrement associées à l’armement conventionnel ; les zones visées, telle la Ghouta orientale, sont en outre toutes des objectifs militaires importants de Damas.

    3. – Les services français ne disposent d’aucune information permettant d’étayer la thèse selon laquelle les groupes armés dans la Ghouta auraient cherché à se procurer ou auraient disposé d’armes chimiques.
    Ils estiment par ailleurs qu’une manipulation des images diffusées massivement à partir du samedi 7 avril n’est pas crédible, dans la mesure notamment où les groupes présents dans la Ghouta n’ont pas les moyens de mener une manœuvre de communication d’une telle ampleur.

    II. – DEPUIS AVRIL 2017, LE REGIME SYRIEN A MULTIPLIE LES CAS D’UTILISATION D’ARMES CHIMIQUES ET DE SUBSTANCES TOXIQUES DANS LE CADRE DE SES ACTIONS MILITAIRES.
    1. – Le régime syrien a préservé depuis 2013 un programme chimique clandestin.
    […]
    Depuis 2014, la mission d’établissement des faits de l’OIAC (Fact Finding Mission, FFM) a rendu publics plusieurs rapports confirmant l’emploi d’armes chimiques en Syrie contre des civils. Le mécanisme d’enquête et d’attribution ONU-OIAC sur les attaques chimiques (Joint Investigation Mechanism, JIM) a enquêté sur neuf allégations d’emploi. Dans ses rapports d’août et d’octobre 2016, le JIM attribue à Damas trois cas d’utilisation de chlore et un cas d’utilisation d’ypérite à Daech, aucune à un groupe armé syrien.

    2. – Une série d’attaques chimiques est intervenue en Syrie depuis le 4 avril 2017
    Une évaluation nationale française publiée le 26 avril 2017 à la suite de l’attaque de Khan Cheïkhoun recense l’ensemble des attaques chimiques en Syrie depuis 2012, et l’estimation par les services français de leur probabilité. Cette attaque menée en deux temps à Latamneh le 30 mars, puis à Khan Cheïkhoun avec du gaz sarin le 4 avril, avait occasionné la mort de plus de 80 civils. Les autorités françaises avaient estimé très probable la responsabilité des forces armées et de sécurité syriennes dans cette attaque.

    Les services français ont recensé 44 allégations de recours à des armes chimiques et substances toxiques en Syrie depuis le 4 avril 2017, date de l’attaque au sarin de Khan Cheïkhoun. Parmi ces 44 allégations, les services français estiment que les éléments rassemblés au sujet de 11 attaques permettent de présumer de leur nature chimique. Du chlore aurait été utilisé dans la majorité des cas ; les services soupçonnent également le recours à un neurotoxique le 18 novembre 2017 à Harasta.

    On notera dans ce contexte une recrudescence notable des cas d’emploi après le non renouvellement du mandat du mécanisme d’enquête conjoint OIAC-ONU (JIM) en novembre 2017, en raison du véto de la Russie au CSNU. Une multiplication des attaques au chlore depuis le début de l’offensive de la Ghouta orientale a été clairement constatée et établie.

  • Evaluation Nationale - Syrie : les faits
    https://www.defense.gouv.fr/actualites/articles/evaluation-nationale-syrie-les-faits

    Programme chimique syrien clandestin.
    Le document joint est constitué d’analyses techniques d’informations de source ouverte et de renseignements déclassifiés obtenus par les services français.

    180414 - Syrie - Synthèse - Les faits.pdf

    PLUSIEURS ATTAQUES CHIMIQUES LETALES ONT ETE CONDUITES SUR LE QUARTIER DE DOUMA LE SAMEDI 7 AVRIL 2018 EN FIN D’APRES - MIDI ET NOUS ESTIMONS AVEC UN HAUT NIVEAU DE CONFIANCE QU ’ ELLES SONT LE FAIT DU REGIME SYRIEN .

    Dans le contexte d’une reprise de l’offensive militaire du régime syrien et d’une forte activité aérienne dans la ville de Douma, dans la Ghouta orientale, deux nouveaux cas de recours à des substances toxiques ont fait l’objet d’une communication spontanée de la société civile et des médias locaux et internationaux à partir du 7 avril en fin d’après-midi. Les organisations
    médicales non gouvernementales actives dans la Ghouta et habituellement fiables (Syrian American Medical Society et Union of Medical Care and Relief Organizations) ont révélé publiquement des frappes, le 6 comme le 7 avril, ciblant particulièrement les infrastructures médicales sur place.

    Un afflux massif (au minimum une centaine de personnes) de patients présentant des symptômes d’exposition à un agent chimique dans les centres de soin de la Ghouta orientale a été constaté et documenté en début de soirée. Au total, plusieurs dizaines de personnes, au moins quarante selon plusieurs sources, seraient mortes d’une exposition à une substance chimique.

    Les éléments réunis par la France et ses alliés constituent un faisceau de preuves suffisant pour mettre en cause la responsabilité du régime syrien dans les attaques chimiques du 7 avril.

    #syrie #attaques_chimiques

  • Opération militaire en Syrie : « Cette première vague de frappes est terminée », annonce le Pentagone
    https://www.crashdebug.fr/international/14758-washington-paris-et-londres-menent-une-serie-de-frappes-ciblees-en-

    Je rappelle utilement que toutes les capacités chimiques de Bachar El-Assad ont déjà été détruites à sa demande, et ces frappes ont eu lieu alors que 74% des Français(es) y étaient opposé(e)s. C’est bien la preuve que ce n’est pas Macron qui dirige la France, mais Washington...

    La défense anti-aérienne syrienne entre en action, dans le ciel de Damas, à l’aube du samedi 14 avril.

    H.AMMAR / AP

    "La ligne rouge fixée par la France en mai 2017 a été franchie." Une semaine après les accusations d’attaque à l’arme chimique à Douma, en Ghouta orientale, Emmanuel Macron a annoncé que la France, les Etats-Unis et le Royaume-Uni avaient formé une coalition internationale pour frapper la Syrie, dans la nuit du vendredi 13 au samedi 14 avril.

    >> Syrie : ce que l’on sait de (...)

  • France, Etats-Unis et Royaume-Uni frappent la #Syrie
    https://www.mediapart.fr/journal/international/140418/france-etats-unis-et-royaume-uni-frappent-la-syrie

    Des tirs antiaériens sont observés au-dessus de Damas, en Syrie, samedi 14 avril 2018. © REUTERS/Feras Makdesi En réponse à l’attaque chimique menée il y a une semaine à Douma, une série de frappes ciblées a été menée dans la nuit de vendredi à samedi en Syrie. Étaient visés des sites militaires dans les environs de Homs et le principal centre de recherche du programme chimique du régime de #Bachar_al-Assad, à Damas.

    #International #Donald_Trump #Emmanuel_Macron

  • Pourquoi Assad veut en finir avec #La_Ghouta
    https://www.mediapart.fr/journal/international/110418/pourquoi-assad-veut-en-finir-avec-la-ghouta

    A l’est de la Ghouta, le 28 février 2018. © Reuters Le contrôle de la dernière enclave rebelle à proximité de la capitale syrienne est décisif pour le régime de #Bachar_al-Assad. Après l’utilisation d’armes chimiques contre la ville de Douma, Damas dénonce une manipulation de l’opposition, et cherche désormais avec ses alliés à anticiper une potentielle riposte.

    #International #Syrie

  • Ambassadeur russe à l’ONU : Washington, Londres et Paris vont vers la 3e guerre mondiale
    https://www.crashdebug.fr/international/14740-ambassadeur-russe-a-l-onu-washington-londres-et-paris-vont-vers-la-

    On aimerais voir plus de gens responsable comme Vladimir poutine…. Hélas j’ai l’impression que l’on est assez mal barré, surtout avec des fous furieux comme Théresa May, Emmanuel Macron, ou Donald Trump, qui déclare sur ...Twitter ... : « Tiens-toi prête, Russie, les missiles arrivent » (Le figaro.fr)

    Que vous le vouliez ou non c’est une déclaration de guerre, et comme on ne cesse de vous le répéter : un pays en guerre n’as pas à rembourser sa ... Dette... (Ceci explique cela...)

    L’Amourfou

    Activer les sous-titres français en appuyant sur cc

    L’ambassadeur russe auprès des Nations Unies, Vassily Nebenzia, s’est adressé au Conseil de sécurité le 9 avril 2018, à propos d’une attaque chimique présumée à Douma, dans la banlieue de Damas.

    Transcription :

    Je vous remercie. Si vous croyez que c’est (...)

    • OPCW Will Deploy Fact-Finding Mission to #Douma, Syria
      Tuesday, 10 April 2018

      https://www.opcw.org/news/article/opcw-will-deploy-fact-finding-mission-to-douma-syria

      THE HAGUE, Netherlands — 10 April 2018 — Since the first reports of alleged use of chemical weapons in Douma, Syrian Arab Republic, were issued, the Organisation for the Prohibition of Chemical Weapons (OPCW) has been gathering information from all available sources and analysing it. At the same time, OPCW’s Director-General, Ambassador Ahmet Üzümcü, has considered the deployment of a Fact-Finding Mission (FFM) team to Douma to establish facts surrounding these allegations.

      Today, the OPCW Technical Secretariat has requested the Syrian Arab Republic to make the necessary arrangements for such a deployment. This has coincided with a request from the Syrian Arab Republic and the Russian Federation to investigate the allegations of chemical weapons use in Douma. The team is preparing to deploy to Syria shortly.

      Background

      Set up in 2014, the on-going mandate of the OPCW Fact Finding Mission (FFM) is “to establish facts surrounding allegations of the use of toxic chemicals, reportedly chlorine, for hostile purposes in the Syrian Arab Republic”. The OPCW cannot and will not release information about an on-going investigation. This policy exists to preserve the integrity of the investigatory process and its results as well as to ensure the safety and security of OPCW experts and personnel involved. All parties are asked to respect the confidentiality parameters required for a rigorous and unimpeded investigation.

      As the implementing body for the Chemical Weapons Convention, the OPCW oversees the global endeavour to permanently and verifiably eliminate chemical weapons. Since the Convention’s entry into force in 1997 – and with its 192 States Parties – it is the most successful disarmament treaty eliminating an entire class of weapons of mass destruction.

      Over ninety-six per cent of all chemical weapon stockpiles declared by possessor States have been destroyed under OPCW verification. For its extensive efforts in eliminating chemical weapons, the OPCW received the 2013 Nobel Prize for Peace.

      #Syrie #OPCW

  • #Syrie : Trump, le doigt sur son « gros bouton »
    https://www.mediapart.fr/journal/international/110418/syrie-trump-le-doigt-sur-son-gros-bouton

    Donald Trump entouré du vice-président Mike Pence, de John Bolton et de l’état-major militaire, lundi 9 avril à la Maison Blanche. © Reuters Le président américain envisage des #frappes de représailles après l’attaque chimique meurtrière à Douma, dans la banlieue de Damas. Des discussions sont en cours avec Paris et Londres.

    #International #Donald_Trump #France #Nations_unies #ONU #Royaume-Uni

  • Syrie : l’inéluctable riposte occidentale
    http://www.lemonde.fr/idees/article/2018/04/10/syrie-l-ineluctable-riposte-occidentale_5283307_3232.html

    Près de cinq ans après le tragique renoncement des Etats-Unis face à l’utilisation d’armes chimiques par le régime syrien contre ses propres citoyens, la communauté internationale se retrouve confrontée au même défi : comment punir les auteurs de ce qui s’appelle, en droit international, un crime de guerre ?

    Hormis Moscou, qui crie sans vergogne à un montage orchestré par les rebelles, nul ne doute en effet que la substance à l’origine de la mort de plus de 40 civils syriens, parmi lesquels de nombreux enfants, samedi 7 avril, à Douma, dernière poche rebelle aux abords de Damas, fait partie des gaz neurotoxiques interdits par les conventions internationales sur les armes chimiques. L’ambassadeur de France aux Nations unies, François Delattre, a évoqué devant le Conseil de sécurité de l’ONU « un carnage chimique » et des symptômes « typiques d’une exposition à un agent neurotoxique puissant, combiné au chlore pour en augmenter l’effet létal ».

    Ni Washington ni Paris ne contestent que la fameuse « ligne rouge », celle du recours mortel aux armes chimiques contre des civils, a ainsi été franchie. Les présidents Donald Trump et Emmanuel Macron se sont entretenus deux fois au téléphone en deux jours après l’attaque de Douma et sont convenus de la nécessité d’une « réaction ferme de la communauté internationale ». Devant la presse à Washington, le président américain a assuré que ce nouveau défi du régime syrien serait relevé « avec force » et qu’« il serait établi » si cet acte avait été commis par la Syrie, la Russie, l’Iran, « ou tous ceux-là ensemble ».

    Une riposte est donc inéluctable.

  • Syrie. La Russie affirme n’avoir trouvé aucune substance chimique après l’attaque sur Douma
    https://www.crashdebug.fr/international/14728-syrie-la-russie-affirme-n-avoir-trouve-aucune-substance-chimique-ap

    Grâce au renseignement Russe on savait l’imminence de cette attaque sous faux drapeau, comme par le passé ce sont les rebelles à savoir les Djihadistes, qui mettent en scène ces attaques en vue de provoquer des représailles sur l’armée régulière Syrienne… et LA FRANCE est complice de tout cela... Du reste je ne désespère pas que les responsables en rendent compte devant la justice internationale.

    Le régime syrien est accusé d’avoir mené une attaque chimique contre les rebelles le 7 avril à Douma. Ce lundi, la Russie a affirmé qu’« aucune trace de chlore ou d’une quelconque substance chimique » n’a été retrouvée du côté du régime syrien. L’Organisation pour l’interdiction des armes chimiques a de son côté annoncée qu’elle allait lancer une enquête à ce sujet.

    Les spécialistes russes (...)