city:flagey

  • Education et animation
    http://www.radiopanik.org/emissions/screenshot/education-et-animation

    « Depuis 2016, les CEMÉA de Belgique s’installent, le temps d’une petite semaine, au coeur du petit Théâtre Mercelis d’Ixelles pour mêler cinéma et éducation permanente en organisant le Festival du Film d’Education de Bruxelles.Voir, vivre et raconter des histoires d’éducation, créer des liens, nourrir une réflexion mais aussi partager des émotions, des parcours de vie, au travers de diverses thématiques d’actualité qui résonnent aujourd’hui comme des préoccupations urgentes et nécessaires. » Frédéric de Gucht, responsable du festival , nous en parle. Du 12 mars au samedi 16 mars 2019 http://www.cemea.be/IMG/pdf/FFE_Programme2019.pdf

    ANIMA 2019 - "Pendant 10 jours, Flagey vibrera au rythme du cinéma d’animation et du dessin animé : projections de courts métrages, dont notamment les programmes de films (...)

    http://www.radiopanik.org/media/sounds/screenshot/education-et-animation_06298__1.mp3

  • Jouer et se former à Bruxelles
    http://www.radiopanik.org/emissions/screenshot/jouer-et-se-former-a-bruxelles

    A découvrir ce dimanche dans Screenshot :

    Pietro Pizzuti, comédien, dramaturge, metteur en scène. Il nous parle de « Viva ! » , le texte écrit par Vincent Engel sur Vivladi et qui participe au festival Musiq’3 au studio4 de Flagey le 1er juillet. La pièce « Pop corn » de Pietro Pizzuti a été jouée pour la dernière fois ce samedi 3 juin avec un mois de prolongation. http://www.pietropizzuti.be

    Benoit Pauwels et Julien Bacus, organisateurs du premier festival K-Meo qui se tiendra du 8 au 17 juin à Scarabaeus. K-Meo est une école des Arts et de la scène bruxelloise. http://www.kmeo.be/2017/05/20/festival-k-meo-2017

    Manuela Leone et Vicent Vanderbeecken, comédiens, présentent « Fragments - Chroniques des jours entiers, des nui...ts entières » de Durringer, mis en scène par Francis Lalanne. Ils jouent (...)

    http://www.radiopanik.org/media/sounds/screenshot/jouer-et-se-former-a-bruxelles_03737__1.mp3

  • http://www.comingout-info.be/2012/11/26/bruit-de-manifs-1-matonge-bantous-en-lutte-contre-les-hommes-bleus

    Bruit de manifs (1) : Matongé, Bantous en lutte contre les hommes bleus - Par Linda Mondry

    J’assistais à une rassemblement contre la guerre, le crime, Israélo-palestinienne. A la place Flagey, pour me détendre entre deux paragraphes, j’avais arrêté de compter les révoltés, tout comme les victimes. Même si, je le vois bien depuis plus d’un an, à chaque manif les gens sourient moins. Les visages se font plus fatigués et les langues toujours plus tendues. Quand j’ai appris que Matongé était à nouveau en ébulition, je me suis dit qu’il ne servait à rien de courir. Les confrères et consoeurs, les collaborateurs, prendraient bien le risque d’aller tout filmer, bien avant moi, derrière un cordon policier. C’est comme ça, à chaque convocation policière. Contact direct avec une taupe, l’attaché de presse du commissariat. Allez voir au journal d’avant-hier. C’est bien, comme à leur habitude, ce qu’ils ont fait. En tous cas, à chaque fois que ça déborde. Sinon, y vienne pas. Ou presque. Cette fois-ci, heureusement, la manif n’avait pas trop mal tourné. En tous cas, c’est ce que j’ai constaté après avoir descendu une pinte et remonté la chaussée d’Ixelles.

  • Journalisme de terrain bruxellois

    http://www.comingout-info.be/2011/06/15/passage-derriere-lecran-5-no-we-dont-camp

    Passage derrière l’écran (5) : No, we don’t camp !
    15 juin 2011, 8 h 50 min

    Suite à mon dernier papier sur les « indignés », j’ai reçu un message de l’un d’entre eux m’invitant à me rendre au camp de la Place Flagey afin d’y constater une ambiance « bien différente » de celle régnant au Carré de Moscou. Je me suis, dès lors, demandée ce que ces mots pouvaient signifier. Si des dissensions internes n’étaient pas plutôt en train de miner le mouvement. Je m’y suis donc rendue dès le lendemain alors que la police était entretemps passée avec matraques et autopompe. Bref, au pifomètre habituel, je n’y retrouvais plus qu’un regroupement de 250 personnes. Toutes traces d’occupation permanente étant bien évidemment absente.

  • http://www.comingout-info.be

    Passage derrière l’écran (5) : No, we don’t camp !
    15 juin 2011, 8 h 50 min

    Suite à mon dernier papier sur les « indignés », j’ai reçu un message de l’un d’entre eux m’invitant à me rendre au camp de la Place Flagey afin d’y constater une ambiance « bien différente » de celle régnant au Carré de Moscou. Je me suis, dès lors, demandée ce que ces mots pouvaient signifier. Si des dissensions internes n’étaient pas plutôt en train de miner le mouvement. Je m’y suis donc rendue dès le lendemain alors que la police était entretemps passée avec matraques et autopompe. Bref, au pifomètre habituel, je n’y retrouvais plus qu’un regroupement de 250 personnes. Toutes traces d’occupation permanente étant bien évidemment absente.

  • Mon dernier papier. Merci de me lire...
    http://www.comingout-info.be/2011/06/15/passage-derriere-lecran-5-no-we-dont-camp

    Passage derrière l’écran (5) : No, we don’t camp !
    15 juin 2011, 8 h 50 min

    Suite à mon dernier papier sur les « indignés », j’ai reçu un message de l’un d’entre eux m’invitant à me rendre au camp de la Place Flagey afin d’y constater une ambiance « bien différente » de celle régnant au Carré de Moscou. Je me suis, dès lors, demandée ce que ces mots pouvaient signifier. Si des dissensions internes n’étaient pas plutôt en train de miner le mouvement. Je m’y suis donc rendue dès le lendemain alors que la police était entretemps passée avec matraques et autopompe. Bref, au pifomètre habituel, je n’y retrouvais plus qu’un regroupement de 250 personnes. Toutes traces d’occupation permanente étant bien évidemment absente.

  • http://www.comingout-info.be/2011/06/15/passage-derriere-lecran-5-no-we-dont-camp

    Passage derrière l’écran (5) : No, we don’t camp !
    15 juin 2011, 8 h 50 min

    Suite à mon dernier papier sur les « indignés », j’ai reçu un message de l’un d’entre eux m’invitant à me rendre au camp de la Place Flagey afin d’y constater une ambiance « bien différente » de celle régnant au Carré de Moscou. Je me suis, dès lors, demandée ce que ces mots pouvaient signifier. Si des dissensions internes n’étaient pas plutôt en train de miner le mouvement. Je m’y suis donc rendue dès le lendemain alors que la police était entretemps passée avec matraques et autopompe. Bref, au pifomètre habituel, je n’y retrouvais plus qu’un regroupement de 250 personnes. Toutes traces d’occupation permanente étant bien évidemment absente.