city:florence

  • Les cartes de l’Empire
    http://www.laviedesidees.fr/Les-cartes-de-l-Empire.html

    Quelles étaient les représentations mentales occidentales du Moyen-Orient au tournant du XXème siècle ? En étudiant le champ restreint de la #cartographie, Daniel Foliard s’attache à dessiner une « carte mentale » de la pensée impériale britannique.

    Livres & études

    / #empire_ottoman, #Empire_britannique, cartographie, #Bible

    #Livres_&_études

    • Dislocating the Orient: British Maps and the Making of the Middle East, 1854-1921, Foliard
      http://www.press.uchicago.edu/ucp/books/book/chicago/D/bo25793846.html

      Dislocating the Orient, British Maps and the Making of the Middle East, 1854-1921, Daniel Foliard
      320 pages | 45 halftones, 2 line drawings | 7 x 10 | © 2017

      While the twentieth century’s conflicting visions and exploitation of the Middle East are well documented, the origins of the concept of the Middle East itself have been largely ignored. With Dislocating the Orient, Daniel Foliard tells the story of how the land was brought into being, exploring how maps, knowledge, and blind ignorance all participated in the construction of this imagined region. Foliard vividly illustrates how the British first defined the Middle East as a geopolitical and cartographic region in the nineteenth and early twentieth centuries through their imperial maps. Until then, the region had never been clearly distinguished from “the East” or “the Orient.” In the course of their colonial activities, however, the British began to conceive of the Middle East as a separate and distinct part of the world, with consequences that continue to be felt today. As they reimagined boundaries, the British produced, disputed, and finally dramatically transformed the geography of the area—both culturally and physically—over the course of their colonial era.
       
      Using a wide variety of primary texts and historical maps to show how the idea of the Middle East came into being, Dislocating the Orient will interest historians of the Middle East, the British empire, cultural geography, and cartography.

      Contents
      • Introduction
      • Part I. From Sebastopol to Suez (1854–1869)
       The Mid-Victorian Perspective: A Fragmented East
       Labeling the East
       Maps for the Masses?
      • Part II. A Shifting East in the Age of High Imperialism (1870–1895)
       Oriental Designs
       Virtual Travel in the Age of High Imperialism
      • Part III. The Fabrication of the Middle East (1895–1921)
       Seeing Red?
       Enter Middle East
       Falling Into Places
      • General Conclusion

      Très alléchant !

      EDIT : The University of Chicago Press a pour seuls points de vente en Europe : Gand (décidément !), Florence et Berlin.
      :-(

    • Daniel Foliard revient dans Dislocating the Orient sur les origines du Moyen-Orient, tant dans les termes que dans les représentations mentales occidentales de la région. En huit chapitres suivant la chronologie de l’évolution des investissements européens entre l’Égypte et l’Inde, l’auteur retrace, à travers l’histoire du développement de la cartographie moderne, les transformations intervenues au cours du lent déclin de l’Empire ottoman entre la fin de la guerre de Crimée et les négociations de paix de 1918-1921.

      Cet ouvrage s’inscrit dans une historiographie fournie dont le dernier acte d’importance date de 2011, avec le retentissant A Line in the Sand de James Barr (Londres : Simon and Schuster, 2011).

      Dans la suite, ou plutôt en #antépisode (#prequel en québécois,…) de Une Ligne dans le Sable, ouaouh !
      https://seenthis.net/messages/592523

  • http://cettesemaine.info/breves/spip.php?article2467&lang=fr - Brève Du Désordre

    Bagnolet, France : Incendie solidaire avec les prisonniers anarchistes

    Sans attendre demain, 2017/09/11 : https://sansattendre.noblogs.org/post/2017/09/11/bagnolet-france-incendie-solidaire-avec-les-prisonniers-anarch

    Cette nuit on a bouté le feu à un utilitaire d’Orange sur le parking de la Poste de la rue Sadi Carnot à Bagnolet (93). Caisses, câbles et fibre optique brûlent tellement bien… et c’est pas si difficile !

    Un clin d’oeil aux incendiairEs d’antennes relai, à tou.te.s celleux qui se mettent en jeu. Crève la résignation, crève la politique !

    Une pensée solidaire pour Kara et Krème – et pour les anarchistes italiens sous le coup des affaires répressives de Florence et de Scripta manent.

    Feu et flammes contre ce monde !

    [Reçu par mail, dimanche 10 septembre 2017]

  • Incendie solidaire
    https://grenoble.indymedia.org/2017-09-10-Incendie-solidaire

    Cette nuit on a bouté le feu à un utilitaire d’Orange sur le parking de la Poste de la rue Sadi Carnot à Bagnolet (93). Caisses, câbles et fibre optique brûlent tellement bien... et c’est pas si difficile ! Un clin d’oeil aux incendiairEs d’antennes relai, à tou.te.s celleux qui se mettent en jeu. Crève la résignation, crève la politique ! Une pensée solidaire pour Kara et Krème - et pour les anarchistes italiens sous le coup des affaires répressives de Florence et de Scripta manent. Feu et flammes (...)

    #Articles

    / #Autres_infos, #Luttes_anticarcérales

  • *A l’Observatoire de Paris, un bureau d’enquêtes (presque) incollab le*

    http://www.lemonde.fr/sciences/article/2017/09/04/a-l-observatoire-de-paris-un-bureau-d-enquetes-presque-incollable_5180957_16

    Enigmes criminelles ou archéologiques, fêtes cultuelles ou curiosités profanes… A l’Observatoire de Paris, on répond à toutes les questions sur la marche du ciel.

    Lorsque la lettre, signée ­Patrick Kearney, portant l’adresse de la prison d’Etat de Mule Creek (Californie) est arrivée, Pascal Descamps a d’abord cru à une plaisanterie. Mais, vérification faite, l’auteur de ce courrier aux larges caractères manuscrits était bel et bien le célèbre tueur en série californien des années 1970. Condamné à la réclusion à perpétuité pour 21 meurtres, mais probablement responsable au total de 43, l’assassin qui exécutait ses victimes (souvent des homosexuels) dans sa voiture, avant de les violer, de les découper en morceaux et de les abandonner dans le désert, posait à l’astronome une question simple mais curieusement décalée au regard de sa ­situation personnelle. En admettant que cela soit possible, interrogeait-il depuis sa cellule, combien de temps faudrait-il à un vaisseau spatial, soumis à une accélération constante de 9,81 ms-2, pour ­atteindre la vitesse de la lumière ? Serait-ce 353 jours, 19 heures, 45 minutes et 23 secondes ?

    « Un statut d’expert »

    Responsable, et unique employé, du trop confidentiel Service de calculs astronomiques et de renseignements de l’Institut de ­mécanique céleste et de calcul des éphémérides (IMCCE) de l’Observatoire de Paris et du CNRS, Pascal Descamps a vite appris à n’être surpris de rien. Conformément à une tradition ancienne, remontant à l’époque, antérieure à 1998, où le Bureau des longitudes, créé par la Convention, avait seul en France la capacité de prévisions en matière de mouvements des corps célestes, il est chargé de ­répondre aux questions adressées à l’Observatoire de Paris par le ­public. Qu’il s’agisse de particuliers, de professionnels ou de la justice. Successeur de Patrick ­Rocher, parti à la retraite en juillet 2015, il en avait, au 1er mai, déjà traité 616, consacrant à cette activité la moitié de son travail de chercheur, là où l’administration avait prévu un tiers de mi-temps.

    C’est que, explique-t-il, donner une suite à ces sollicitations, ­reçues par la poste ou par courriel, peut être « chronophage ». Passe encore, lorsqu’il s’agit uniquement, comme six fois sur dix, de fournir une éphéméride d’heure de lever et de coucher du soleil et de la lune ou de décrire des phénomènes célestes tels que l’éclipse solaire du 21 août. Admettons également que peu de temps soit ­nécessaire pour dissiper les craintes de ceux qui, comme cette dame, s’inquiètent systématiquement de savoir si les astéroïdes ­géocroiseurs évoqués à la radio ne vont pas s’écraser incessamment sur Terre. Tout cela était prévu !

    Mais lorsque le problème touche à un point particulier de l’histoire de l’astronomie ou concerne une technique spécifique impliquant des calculs poussés, la ­réponse peut être longue à formuler. Une récente controverse à propos de la démonstration de la bissection de l’excentricité de l’orbite terrestre par l’astronome du XVIIe siècle, Jean Dominique ­Cassini (1625-1712), n’a-t-elle pas entraîné deux mois de travail pour Pascal Descamps ?

    Or, ce dernier est également tenu d’aider les lycéens à préparer leur travail d’initiative personnelle encadré (TIPE), d’indiquer aux différents cultes français qui en font la demande les dates et heures des fêtes religieuses liées aux cycles lunaire et solaire – comme le début du ramadan ou la rupture du jeûne qui dépendent de la position géographique des ­fidèles. Et de fournir, contre rétribution, aux journaux de chasse, de pêche et depuis peu d’agronomie – avec le développement de la culture du vin par « biodynamique lunaire » – les éphémérides qu’ils commandent.

    « Enfin, rappelle Pascal Descamps, l’Observatoire de Paris a un statut d’expert. Et, à ce titre, il répond à des réquisitions judiciaires. » La reconstitution d’un assassinat nocturne oblige les juges d’instruction à s’informer des phases de la Lune et des conditions d’éclairement à l’heure supposée du crime. Et il n’est pas rare que la police judiciaire veuille vérifier si un éblouissement, causé par une position particulière du Soleil, pourrait expliquer certains accidents mortels de voiture, ­d’hélicoptère ou d’avion. Dans les ­années 1990, le témoignage d’un conducteur qui avait écrasé un piéton avait ainsi été validé.

    Dans ses nouvelles fonctions, se félicite l’astronome, il y a toujours l’excitation de l’insolite. Cette ­succession d’énigmes grandes ou moins grandes, posées par des particuliers, qu’il faut s’efforcer de résoudre en glanant renseignements et astuces dans le champ fertile du savoir humain. Certes, admet le scientifique, le lot cache quelques fruits gâtés, comme ce courriel anonyme relatif à la date prochaine d’une obscure conjonction astrale liée manifestement à des actes de sorcellerie, ou cette lettre signée « Langage de velours » dont l’auteur refusait obstinément de recourir au genre féminin et s’obligeait à employer un ­curieux vocabulaire où les mots « Terre » et « galaxie » étaient remplacés par ceux, improbables, de « planétoïde » et de « galactisme ».

    Questions diverses

    Mais ces courriers recèlent aussi de véritables perles, souvent poétiques. Ecrivain de science-fiction souhaitant connaître l’effet qu’aurait la présence de deux ou trois lunes supplémentaires autour de la Terre. Violoniste désireux de débuter un concert à ­l’instant exact du crépuscule. ­Publicitaire aspirant à organiser un événement une nuit où la pleine lune serait posée juste au sommet de la tour Eiffel observée depuis le Trocadéro…

    Beaucoup de questions, précise le chercheur, proviennent d’historiens et d’archéologues qui en ­appellent aux astronomes pour associer des dates aux phénomènes célestes dont ils retrouvent les traces dans des archives. Ces derniers leur servant aussi bien de jalons pour établir des chronologies d’événements que, comme dans le cas des gravures rupestres des Pléiades de la montagne sacrée du Bego (Alpes-Maritimes) ou celui de l’alignement des fours du premier âge du fer d’Eyrein (Corrèze), d’indices de la présence d’un rituel.

    Ainsi, Pascal Descamps raconte avoir expertisé des graffitis de la cathédrale de Nevers (Nièvre) faisant allusion à une possible, mais imaginaire après vérification, éclipse du Soleil en l’an 1606. Et son prédécesseur Patrick Rocher se souvient avoir fourni des renseignements sur des questions aussi diverses que l’état de la voûte céleste au moment des expéditions de La Pérouse, la façon particulière dont était fixée l’heure du début de la journée dans la ville de Florence à l’époque de Mona Lisa, ou encore le moment des lunaisons qui marquaient, pense-t-on, le commencement des cérémonies cannibales des Taïnos des Caraïbes. En relevant la longueur des ombres sur une vieille photographie, le même spécialiste, en poste de 2002 à 2015, a réussi à découvrir à quelle ­période de l’année 1916 était survenue, dans le quartier du Montparnasse à Paris, une rencontre, longtemps inconnue des historiens, entre le peintre Picasso et le poète et romancier Max Jacob.

    La méthode n’a pas, pour autant, réponse à tout, surtout lorsque les événements recherchés remontent loin dans le passé. En raison des incertitudes de positionnement causées par le ralentissement irrégulier de la rotation de la Terre, Patrick Rocher a dû se ­contenter d’une fourchette de cent huit ans (entre 1848 et 1740 av. J.-C), pour préciser l’année d’une éclipse solaire citée dans un calendrier ­babylonien qu’une assyriologue souhaitait dater. Et selon Pascal Descamps, faute de nouvelles sources, il ne sera jamais possible de savoir quand exactement est survenue la bataille de Gabaon au cours de laquelle, comme chacun le sait, Josué a obtenu de Dieu qu’il « arrête le Soleil ».

    Mais qu’importent ces échecs ! Le métier apporte assez de satisfactions pour ne pas perdre son temps en vaines lamentations. Pascal Descamps a, par exemple, rendu récemment un petit service aux responsables d’une mosquée en construction à Clamart (Hauts-de-Seine), qui s’interrogeaient sur le meilleur moyen de déterminer la direction de La Mecque. Le défi était ici de proposer une méthode élégante par sa simplicité. Celle adoptée ne faisait ainsi appel ni à un GPS ni à une boussole, mais à la seule arme que le sage s’autorise à porter : un simple bâton fiché dans le sol dont l’ombre portée, à un certain moment, indiquait aux croyants vers où se tourner pour retrouver la ville sainte.

    Les Indiens caraïbes et la constellation du Scorpion

    « Pourriez-vous me fournir les dates des levers et des couchers ­héliaques de la constellation du Scorpion et de l’amas des Pléiades pour l’année 1650 dans les Petites Antilles ? » Telle est la question qu’a adressée Benoît Roux, doctorant à l’université de Reims-Champagne-Ardenne spécialiste des « Indiens caraïbes » du XVIIe siècle, à l’astronome Pascal Descamps. Le lever héliaque (dit du « matin ») d’un astre indique le moment de l’année où ­celui-ci devient visible avant le lever du Soleil. Très utilisé dans l’Antiquité, il était signalé dans les calendriers pour les étoiles les plus remarquables. Des sources européennes rendent compte de cette pratique chez les Amérindiens. Mais, explique Benoît Roux, « ces documents ne donnent pas de détails sur les observations ni sur la conjoncture astrale tenue pour significative ». En comparant les dates calculées par Pascal Descamps aux temps – celui de la guerre, de la pêche… – marquant la vie des Amérindiens, et aux événements climatiques saisonniers de la région, l’étudiant espère affiner la connaissance du calendrier caraïbe.

  • Leurs contrats aidés supprimés, des employées de vie scolaire loupent la rentrée - Rue89 Bordeaux
    http://rue89bordeaux.com/2017/08/contrat-aide-radie-louper-rentree-scolaire


    Ce que cachent les contrats aidés : de vrais #emplois à long terme, mais dans des conditions dégueulasses ! Il devrait ne s’agir que de #CDI, dans les cas rapportés, sinon, c’est juste de l’#exploitation !

    A Landiras, Line s’occupe de gérer les absences d’élèves, les retards de parents, les maladies. Nassera, à l’école Montesquieu s’enquiert d’éditer les certificats de scolarité, les radiations, d’organiser les élections de parents d’élèves. A l’école Jacques-Cartier de Pessac, Danièle gère les commandes de fournitures depuis 4 ans. Florence, en poste depuis l’année dernière à l’école Henri IV de Bordeaux, raconte les tâches administratives, le traitement des courriels, des appels téléphoniques.

    Depuis 2006, Cécile a connu 5 directeurs différents à l’école de Cadaujac. Après deux ans d’absence, elle raconte que l’inspecteur académique était venu la chercher pour lui demander de reprendre ce poste.

    EVS pourrait alors vouloir dire secrétaire ou bouche-trou. Toutes ces femmes, autour de la cinquantaine, vivent depuis plusieurs années en grande partie de ce temps partiel subi : 20h payées 680 euros. En travaillant du lundi au vendredi, sauf le mercredi, de 8h30 à 11h30 puis de 13h30 à 15h30, difficile de trouver un autre employeur.

  • Schlosspark-Herten 2017-08-22 Stieglitze sind gesellige Vögel, die,...
    https://diasp.eu/p/5942837

    Schlosspark-Herten 2017-08-22

    Stieglitze sind gesellige Vögel, die, nach dem sie ihre Jungen aufgezogen haben, in Gruppen unterwegs sind. So auch hier. Aber nur ein Vogel war mutig genug um nicht gleich wegzufliegen und so habe ich mich in winzigen Schrittchen näher herangeschoben um ihn beim Futtern zu knipsen. Leider immer noch etwas zu weit um wirklich gute Bilder machen zu können. Aber ich freute mich trotzdem riesig, dass ich endlich wieder Stiglitze gesehen habe.

    #CC-BY-NC-SA #Foto #photo #Fotografie #Vogel #Stieglitz #Distelfink #Tier #Natur #mywork #Juli2017

    • https://fr.wikipedia.org/wiki/Chardonneret_%C3%A9l%C3%A9gant

      [...]

      La Vierge au chardonneret est un thème récurrent de l’iconographie chrétienne, apparu dans la statuaire gothique française au XIIIe siècle, et qui a connu une immense fortune dans la peinture italienne du Trecento et de la Renaissance10.

      Sa représentation la plus fréquente constitue en une variation du motif traditionnel de la Vierge à l’Enfant : Jésus, assis sur les genoux de Marie, tient dans une de ses mains un chardonneret élégant. Il annonce de façon symbolique le sacrifice à venir du Christ lors de sa Passion : le chardon épineux dont il se nourrit, et qui se lit de façon transparente dans son nom — du moins en latin, en italien (cardellino) et en français — évoque en effet la Couronne d’épines, alors que les taches rouges de sa tête renvoient au sang versé11.

      Pas moins de 486 œuvres de dévotion, de 254 artistes différents, dont 214 italiens, sont connues pour avoir repris ce motif. Parmi elles, la plus célèbre est vraisemblablement la Madonna del Cardellino de Raphaël (Florence, Musée des Offices), dont la restauration a été achevée en 200812.

      [...]

      #iconographie #Italie #christianisme

  • #Italie : répression d’été
    https://fr.squat.net/2017/08/09/italie-repression-d-ete

    Suite aux perquisitions et arrestations du 3 août à #Florence, #Lecce et Rome, un article de la Croce Nera Anarchica annonce que six des huit personnes arrêtées ont été libérées le 5 août après être passées devant le juge pour l’audience de confirmation des arrestations. Deux restent dans les mains de l’ennemi : Salvatore et […]

    #Corso_Giulio_Cesare_45 #perquisition #prison #Turin

  • Florence (Italie) : Perquisitions, expulsions et arrestations dans le cadre d’une nouvelle procédure antiterroriste-Non Fides
    http://www.non-fides.fr/?Italie-perquises-expulsions-et-arrestations-dans-le-cadre-d-une-procedure

    @Ad Nauseam - Au petit matin, ce jeudi 3 août 2017, les flics ont défoncé les portes de plusieurs maisons (occupées ou louées) à Florence, Rome et Lecce, pour arrêter huit compagnons et compagnonnes anarchistes de Florence. - Repression et oppression

    #Non_Fides / #Mediarezo

  • #Italie : perquises, expulsions et arrestations dans le cadre d’une procédure antiterroriste
    https://fr.squat.net/2017/08/03/italie-perquises-expulsions-et-arrestations-dans-le-cadre-d-une-procedure-

    Au petit matin, ce jeudi 3 août 2017, les flics ont défoncé les portes de plusieurs maisons (occupées ou louées), à #Florence, #Rome et #Lecce, pour arrêter huit compagnons et compagnonnes anarchistes de Florence. Selon la presse, il s’agit du résultat de l’enquête menée par la DIGOS et l’antiterro, pour deux épisodes. Le premier, un […]

    #anti-terrorisme #expulsion #fachos #perquisition

  • Préparation à l’agrégation interne d’histoire et de géographie #AgregInterneHG : GÉOGRAPHIE DE LA FRANCE

    LA FRANCE DES RÉGIONS :
    Quelques outils pour préparer des exemples aux échelles régionales et locales.

    AVANT DE COMMENCER : Se mettre au point sur la réforme territoriale
    Arnaud BRENNETOT et Sophie DE RUFFRAY, 2015, « Une nouvelle carte des régions françaises », Géoconfluences, rubrique Éclairage, 30 septembre 2015, en ligne : http://geoconfluences.ens-lyon.fr/actualites/eclairage/regions-francaises

    La carte des régions
    http://geoconfluences.ens-lyon.fr/actualites/eclairage/cartes/regionsfrcarte1

    UN OUVRAGE RÉCENT :
    CARROUÉ, Laurent, 2017, La France des 13 régions, Armand Colin, Paris, 336 p.
    http://www.armand-colin.com/sites/default/files/styles/couv_livre/public/images/livres/couv/9782200615369-001-T.jpeg?itok=oqX1G5Y6
    => à consulter pour se préparer une banque d’exemples à diverses échelles.

    DES ÉTUDES DE CAS AVEC LES ATLAS AUTREMENT :

    LASLAZ, Lionel, Christophe GAUCHON et Olivier Pasquet, 2015, Atlas Savoie Mont-Blanc. au carrefour des Alpes, des territoires attractifs, Autrement, collection Atlas/Monde, Paris.


    https://www.autrement.com/ouvrage/atlas-savoie-mont-blanc-lionel-laslaz-christophe-gauchon-olivier-pasquet
    => pour des sujets sur la montagne en France (évidemment), mais aussi l’industrie, le tourisme, le patrimoine, la population, etc.

    Source des cartes : http://le-cartographe.net/publications/316-atlas-savoie-mont-blanc

    GOURLAY, Florence et Roman LE DÉLÉZIR, 2011, Atlas de la Bretagne. Les dynamiques du développement durable, Autrement, collection Atlas/Monde, Paris.


    https://www.autrement.com/ouvrage/atlas-de-la-bretagne-florence-gourlay-ronan-le-delezir-anne-le-fur-alain-
    => pour des sujets sur les littoraux, le développement durable, les ressources, les espaces productifs, les villes, etc.

    Christian PIHET (dir.), 2013, Atlas des Pays de la Loire. Entre attractive et solidarité, Autrement, collection Atlas/Monde, Paris.


    https://www.autrement.com/ouvrage/atlas-des-pays-de-la-loire-christian-pihet-jean-renard-andree-dubois
    => comme les précédents, à consulter pour de nombreux thèmes. Beaucoup de cartes très utiles pour préparer des croquis intermédiaires.

    #La_France_des_Régions #Réforme_Territoriale #Arnaud_Brennetot #Sophie_de_Ruffray #Laurent_Carroué #Lionel_Laslaz #Christophe_Gauchon #Florence_Gourlay #Roman_Le_Délézir #Christian_Pihet #Bretagne #Savoie #Savoies #Haute-Savoie #Haute_Savoie #Pays_de_la_Loire #Atlas #Agrégation #Agrégation_Interne #Agreg #AgregInterne #Agreg_Interne #Histoire #Géographie #Histoire_Géographie #Histoire_et_Géographie #Géographie_de_la_France #Agrégation_Interne_d_Histoire_et_de_Géographie #AgregInterneHG #Agreg_Intern_HG #Agreg_Interne_Histoire_Géographie

  • La mort de la République, par Chris Hedges Truthdig, Chris Hedges, 21-05-2017 - Traduit par les lecteurs du site www.les-crises.fr
    https://www.les-crises.fr/la-mort-de-la-republique-par-chris-hedges

    Dans la Rome antique, l’État profond, dominé par une armée surdimensionnée et une oligarchie corrompue qui rappelle les États-Unis de 2017, décida de faire étrangler le vaniteux et stupide empereur Commode dans son bain en 192. Mais cette décision ne mit pas un terme au chaos grandissant ni au déclin rapide de l’empire romain.

    Commode, comme un certain nombre d’autres empereurs romains tardifs, et comme le président Trump, était incompétent et consumé par sa propre vanité. Il fit faire d’innombrables statues de lui-même en Hercule et trouvait peu d’intérêt à gouverner. Il utilisa son poste de chef de l’État pour devenir la star d’une mise en scène permanente de lui-même. Il lutta victorieusement comme gladiateur dans l’arène dans des combats arrangés. Le pouvoir, pour Commode comme pour Trump, était principalement destiné à répondre à son narcissisme sans fond, à son hédonisme et à son appétit de richesse. Il a vendu des offices publics afin que des équivalents d’époque de Betsy DeVos et Steve Mnuchin pussent orchestrer une vaste kleptocratie.

    Commode fut remplacé par le réformateur Pertinax, le Bernie Sanders de l’époque, qui tenta en vain de freiner le pouvoir des gardes prétoriennes, l’ancienne version du complexe militaro-industriel. Cette tentative vit Pertinax être assassiné par les gardes prétoriennes après seulement trois mois au pouvoir. Les gardes mirent ensuite aux enchères au plus offrant la charge d’empereur. L’empereur suivant, Didius Julianus, dura 66 jours. Il y aurait cinq empereurs durant l’année 193, celle qui suivit l’assassinat de Commode. Trump et notre empire en décomposition ont des précédents historiques sinistres. Si l’État profond remplace Trump, dont l’ineptie et l’imbécillité sont embarrassantes pour l’empire, cette action ne rétablira pas plus notre démocratie que remplacer Commode n’a restauré la démocratie à Rome. Notre république est morte.

    Les sociétés autrefois ouvertes et ayant des traditions démocratiques sont une proie facile pour les ennemis de la démocratie. Ces démagogues respectent les idéaux, les rituels, les pratiques et les formes patriotiques de l’ancien système politique démocratique tout en le démantelant. Lorsque l’empereur romain Auguste, qui se nommait lui-même le « premier des citoyens », neutralisa l’ancienne république, il prit soin d’en maintenir les formes. Lénine et les bolcheviks ont fait de même quand ils ont mis la main sur les soviets autonomes pour les écraser. Même les nazis et les staliniens ont prétendu gouverner des États démocratiques. Thomas Paine a écrit que le gouvernement despotique est un champignon issu d’une société civile corrompue. C’est ce qui est arrivé à ces anciennes démocraties. C’est ce qui nous est arrivé.

    Nos droits constitutionnels – procédure régulière, habeas corpus, respect de la vie privée, procès équitable, liberté de ne pas être exploité, élections justes et dissidence permise – nous ont été retirés par décision judiciaire. Ces droits n’existent plus que par leur nom. La grande déconnexion entre les valeurs présumées de l’État et la réalité rend absurde le discours politique.

    Des sociétés, en cannibalisant le budget fédéral, s’engagent légalement à exploiter et à piller. Il est impossible de voter contre les intérêts de Goldman Sachs ou d’ExxonMobil. Les industries pharmaceutiques et d’assurance peuvent retenir en otage des enfants malades alors que les parents de ceux-ci font faillite en essayant de sauver leurs fils ou leurs filles. Ceux qui sont accablés par le remboursement de prêts étudiants ne peuvent jamais effacer la dette en se déclarant en faillite. Dans de nombreux États, ceux qui tentent de faire connaître les conditions de vie dans les vastes fermes industrielles où des animaux malades sont entreposés pour l’abattage peuvent être accusés d’infraction pénale. Des sociétés pratiquent légalement le boycott fiscal. Des entreprises ont orchestré des accords de libre-échange qui détruisent les petits agriculteurs et les petites entreprises, et désindustrialisent le pays. Les syndicats et les organismes gouvernementaux conçus pour protéger le public de la contamination de l’air, de l’eau et des aliments, ainsi que des créanciers et prêteurs usuriers, ont été désarmés. La Cour suprême, dans une inversion de droits digne de George Orwell, définit la contribution illimitée des entreprises aux campagnes électorales, comme le droit d’interpeller le gouvernement ou comme une forme de liberté de parole. Une grande partie de la presse, qui appartient à de grandes entreprises, sert de chambre d’écho aux élites. Des sociétés privées ou publiques ont été vendues à de grandes entreprises qui font grimper les taux et refusent leurs services aux pauvres. Le système éducatif est lentement privatisé et transformé en une espèce de formation professionnelle.

    Les salaires stagnent ou baissent. Le chômage et le sous-emploi – masqués par des statistiques falsifiées – ont poussé la moitié du pays dans la pauvreté chronique. Les services sociaux sont supprimés au nom de l’austérité. La culture et les arts ont été remplacés par la marchandisation du sexe, des divertissements banals et des images de violence. Les infrastructures, négligées et sous-financées, s’effondrent. Les faillites, les saisies, les arrestations, les pénuries alimentaires et les maladies non traitées qui mènent à une mort prématurée, accablent une sous-classe harcelée. Les désespérés fuient dans une économie souterraine dominée par la drogue, la criminalité et la traite des êtres humains. L’État, plutôt que de s’attaquer à la misère économique, militarise les services de police et les habilite à utiliser la force létale contre des civils non armés. Il remplit les prisons avec 2,3 millions de citoyens, dont seul un petit pourcentage est passé en procès. Un million de prisonniers travaillent pour des entreprises à l’intérieur des prisons, tels des esclaves modernes.

    Les amendements à la Constitution visant à protéger le citoyen de la tyrannie n’ont plus aucun sens. Le Quatrième amendement, par exemple, se lit comme suit : « Le droit des citoyens d’être garantis dans leurs personne, domicile, papiers et effets, contre les perquisitions et saisies non motivées ne sera pas violé, et aucun mandat ne sera délivré, si ce n’est sur présomption sérieuse, corroborée par serment ou affirmation, ni sans qu’il décrive particulièrement le lieu à fouiller et les personnes ou les choses à saisir ». La réalité est que nos appels téléphoniques, courriels, textos et dossiers financiers, judiciaires et médicaux, ainsi que tous les sites Web que nous visitons tout autant que nos voyages physiques, sont suivis, enregistrés et stockés à perpétuité dans les banques informatiques du gouvernement.

    L’État torture, non seulement dans les sites noirs tels que la base aérienne de Bagram en Afghanistan ou à Guantanamo Bay, mais aussi dans les installations supermax ADX [administratif maximum], comme celle de Florence, Colorado, où les détenus souffrent de crises psychologiques suite à des isolements en cellule prolongés. Les prisonniers, bien qu’ils soient citoyens, endurent une surveillance électronique 24 heures sur 24 et l’enfermement 23 heures par jour. Ils subissent une privation sensorielle extrême. Ils endurent des coups. Ils doivent se doucher et aller à la salle de bains sous caméra. Ils ne peuvent écrire qu’une lettre par semaine à un seul parent et ne peuvent pas utiliser plus de trois feuilles de papier. Souvent, ils n’ont aucun accès à l’air frais et prennent leur unique heure quotidienne de loisir dans une énorme cage qui ressemble à un moulin pour hamsters.
    L’État utilise des « mesures administratives spéciales », connues sous le nom de SAM, pour dépouiller les prisonniers de leurs droits judiciaires. Les SAM limitent la communication des prisonniers avec le monde extérieur. Elles mettent fin aux appels, aux lettres et aux visites avec n’importe qui, sauf les avocats, et limitent considérablement le contact avec les membres de la famille. Les prisonniers sous SAM ne sont pas autorisés à voir la plupart des éléments de preuve contre eux en raison d’une disposition légale appelée la Loi sur les Procédures d’Information Classifiée, ou CIPA. La CIPA, qui a commencé sous l’administration Reagan, permet de classifier les éléments de preuve dans un procès et de les cacher à ceux qui sont poursuivis. Vous pouvez être jugé et condamné, comme Joseph K. dans « Le procès » de Franz Kafka, sans jamais voir la preuve utilisée pour vous déclarer coupable. Sous SAM, il est contraire à la loi d’avoir un contact avec un détenu – y compris pour son avocat – en vue de parler de sa condition physique et psychologique.

    Et lorsque les prisonniers sont libérés, ils ont perdu le droit de vote, reçoivent une aide publique et sont accablés d’amendes qui, si elles ne sont pas payées, les renvoient derrière les barreaux. Ils font l’objet d’enquêtes arbitraires et d’arrestations. Ils passent le reste de leur vie marginalisés, membres d’une vaste caste criminelle.

    Le pouvoir exécutif s’est habilité lui-même à assassiner des citoyens américains. Il peut appeler l’armée dans les rues pour apaiser les troubles civils en vertu de l’article 1021 de la Loi sur l’autorisation de la défense nationale, qui a mis fin à l’interdiction pour les militaires d’agir en tant que force de police intérieure. Le pouvoir exécutif peut ordonner aux militaires d’arrêter les citoyens américains considérés comme des terroristes ou associés à des terroristes. C’est ce qu’on appelle l’« interprétation extraordinaire ». Les personnes détenues par l’armée peuvent se voir refuser les droits de procédure et d’habeas corpus et être détenues indéfiniment dans les installations militaires. Les militants et les dissidents, dont les droits étaient jadis protégés par le Premier amendement, peuvent faire l’objet d’une incarcération indéfinie.

    Les déclarations, les croyances et les associations protégées par la Constitution sont criminalisées. L’État s’est donné le pouvoir de détenir et de poursuivre les gens non pour ce qu’ils ont fait, ni même pour ce qu’ils avaient l’intention de faire, mais pour avoir des croyances religieuses ou politiques que l’État juge séditieuses. La première cible a été les musulmans fondamentalistes, mais ils ne seront pas les derniers.

    Les formes extérieures de la participation à la démocratie – le vote, les partis politiques concurrents, le contrôle judiciaire et la législation – ne sont plus que du théâtre sans signification. Celui qui vit sous surveillance constante, qui est susceptible d’être détenu n’importe où à n’importe quel moment, dont les conversations, les messages, les réunions, les tendances et les habitudes sont enregistrés, entreposés et analysés, qui est impuissant face à l’exploitation par les entreprises, peut bien être décrit comme libre : la relation entre l’État et le citoyen surveillé constamment est celle du maître avec l’esclave. Et ces chaînes ne seront pas éliminées si Trump l’est.

    #Etat #USA #Démocratie #Constitution #République #Chris_Hedges #société

  • #Villes et quartiers durables : la place des habitants. La participation habitante dans la mise en #durabilité urbaine : discours, effets, expérimentations et mises à l’épreuve

    1ère partie : Mises en perspectives et contextualisations de la problématique
    Paul Claval
    Étudier la ville à travers son fonctionnement ou à travers l’art d’habiter
    Jean-Pierre Augustin
    La #ville_durable : #écologie et #urbanisme en question
    Augustin Berque
    La ville insoutenable
    2ème partie : Prégnance et effets d’un gouvernement de la participation
    Annick Monseigne
    Le discours participatif de remédiation. Les maux des mots
    Florence Rudolf
    Les #éco-quartiers, une innovation sociotechnique au service d’une culture de la #soutenabilité_urbaine ou de nouveaux marchés ?
    Georges-Henry Laffont et Matthieu Adam
    La durabilité en pratique(s) : gestion et appropriation des principes durabilistes véhiculés par les écoquartiers
    Richard Morin, Anne Latendresse et Nicolas Lozier
    « #Quartiers_verts » et programmation de la participation publique : de l’ordonnancement à la légitimation
    Didier Laugaa et Grégoire Le Campion
    Comportements écologiques responsables et #participation_citoyenne dans les écoquartiers : entre discours et réalité
    Nicolas D’Andrea et Luc Greffier
    Le Centre social et socioculturel activateur de participation dans le projet urbain durable : les conditions d’une intégration opérante
    Sarah Montero
    Durabilité culturelle et enjeux participatifs : penser la coopération entre élus et citoyens dans le cadre des #agendas_21 de la #culture
    3ème partie : Opportunités d’appropriations et de « résistances » citoyennes/habitantes
    Édith Hallauer
    Résidence principale : de l’architecte habitant
    Guy Mercier, Francis Roy et Etienne Berthold
    Les écoquartiers de #Québec ou la fortune d’une idée aussi engageante que malléable
    Hassina Imerzoukene-Driad, Philippe Hamman et Tim Freytag
    Participation et engagement citoyen : l’exemple des éco-quartiers de #Rieselfeld et #Vauban à #Fribourg
    Abdourahmane Ndiaye
    Écoquartiers, circuits courts alimentaires de proximité et modes d’habiter : vers une typologie du consommateur responsable
    Guillaume Faburel et Mathilde Girault
    Les éco-quartiers : vers une infrapolitique par les modes de vie et leurs communs ?
    Élisa Goudin-Steinmann
    Particularités et ambiguïtés de la notion de #participation à l’exemple d’espaces collectifs dédiés à la culture en #Allemagne
    Guy Di Méo et Karen Foussette
    Les représentations sociales des écoquartiers. Leurs interactions avec les enjeux de la concertation, de la participation et de la #consommation_responsable
    Pierre Cabrol et Joseane Silva
    Participation et durabilité urbaine : la propriété en débat
    Ridha Abdmouleh
    La gestion communale des #déchets en #Tunisie. De la transition à la durabilité : le cas de la commune de #Sfax
    4ème partie : Focus sur des technologies « impliquantes », leviers et freins dans la participation
    Patrick Faucher, Margot Pousseur, Grégoire Le Campion et al.
    Eco-quartiers : vers une nouvelle forme de relation entre l’usager et l’équipement
    Guillaume Christen et Philippe Hamman
    Quelle participation habitante dans les projets locaux d’#énergie_renouvelable ? Retour sur un dispositif d’énergie « citoyenne » dans une commune alsacienne
    Marie Mangold
    L’habitant, acteur du logement « durable » ? Le cas de constructions individuelles écologiques et à haute performance énergétique en #Alsace
    Elisabeth Lehec
    La participation habitante, un objet de recherche pour la mise en durabilité de la gestion urbaine. Le cas du compostage des déchets
    Benoit Granier
    La participation des habitants comme préalable au changement de leurs comportements ? Réflexions à partir des #Smart_Communities japonaises

    http://books.openedition.org/cse/102
    #urban_matter #livre #habitants #participation #écoquartiers #aménagement_du_territoire #géographie_urbaine #Japon

  • #Revue_de_Presse du jour comprenant l’actualité nationale et internationale de ce vendredi 23 juin 2017
    https://www.crashdebug.fr/revue-de-presse/13704-revue-de-presse-du-jour-comprenant-l-actualite-nationale-et-interna

    https://www.crashdebug.fr/images/stories/addons/images/Images+globales/2015/decembre/revue_de_presse_02_12_2015.png

    Bonjour, vendredi 23 juin 2017, fin de l’épisode de canicule, franchement hier on a souffert, enfin, de notre coté encore pas mal d’actualité, mais le flux diminue un peut,

    Amicalement,

    f.

    Actualités françaises :

    23.06.2017

    Polony, Godin, Decodex, Taddéi : non à l’information Pravda ! (Agoravox.fr)

    Les armées s’interrogent sur Florence Parly (Les Echos.fr)

    Le gouvernement français va interdire tout nouveau permis d’exploration d’hydrocarbures (L’Express.fr)

    Une majorité de salariés hostiles à une hausse de la CSG (Les Echos.fr)

    Affaire MoDem : un ex-assistant parlementaire accuse François Bayrou de mentir (Marianne.net)

    Douce France : Gouvernement Philippe II – du rêve Macron à la réalité minable : Bayrou, ou le moralisme pour les Nuls ! (Le Blog à Lupus)

    22.06.2017 (...)

    #En_vedette

  • #Enfance et objectifs du #développement_durable : la #France tout juste dans la moyenne
    http://www.caissedesdepotsdesterritoires.fr/cs/ContentServer/?pagename=Territoires/Articles/Articles&cid=1250279334104&nl=1

    #Innocenti, le centre de recherche de l’#Unicef basé à Florence, publie son quatorzième bilan intitulé « Construire l’avenir : les enfants et les objectifs de développement durable dans les #pays_riches ». En effet, pour le rapport - qui porte sur 41 pays développés de l’#Union_européenne et de l’#OCDE -, le signe le plus révélateur des progrès accomplis par une nation pour atteindre les objectifs de développement durable « est sans doute la façon dont elle répond aux besoins de ses enfants ». L’étude s’appuie donc sur l’analyse de 9 objectifs et de 25 indicateurs de développement durable en lien avec la thématique des #enfants.

    Le classement établi par Innocenti n’est pas spécialement flatteur pour la France, puisque celle-ci se situe, sur l’ensemble des objectifs et des indicateurs, juste dans la moyenne, au 19e rang sur 41. Si on retrouve sans surprise les pays scandinaves dans les tout premiers rangs - Norvège (1er), Danemark (3e), Suède (4e) et Finlande (5e) -, le 2e rang de l’Allemagne surprend davantage, même si une étude très récente de France Stratégie montre, par exemple, qu’elle a rattrapé et dépassé la France en matière d’accueil de la petite enfance (voir notre article ci-dessous du 16 juin 2017).

  • Show 635
    http://www.radiopanik.org/emissions/radia/show-635

    Cet épisode de Radia est le résultat d’un atelier organisé par Radio Panik en février 2017. Pendant 5 jours, l’artiste Laure Gatelier et les participants ont explorés différentes manières de faire de la radio, d’utiliser des voix, des dessiners des partitions, de produire des sons, d’écouter. Chaque participant a produit une pièce de deux minutes.

    This episode of Radia is the result of a workshop organised by Radio Panik in february 2017. During five days, the artist Laure Gatelier and the participants explored different ways of making radio, using voices, drawing scores, producing sounds, listening. Each participant produced a two minutes piece.

    Participants : Florence, Sophie, Céline, Suzi, Violaine, Suzanne, Magdalena, Muriel, Jérôme, Gaël, Emmanuel & Pierre + guest (...)

    http://www.radiopanik.org/media/sounds/radia/show-635_03729__1.mp3

  • A world of maps at your fingertips | The Independent

    http://www.independent.co.uk/arts-entertainment/books/features/a-world-of-maps-at-your-fingertips-2287191.html

    #cartographie_historique approche intéressante et rappel de quelques précurseurs géniaux.

    https://static.independent.co.uk/s3fs-public/thumbnails/image/2011/05/20/18/608534.bin

    Massimo De Martini’s face assumes a look of concentrated pleasure as he slips the delicate sheet of paper, 16in by 27in, from its protective plastic sleeve.

    He spreads the page carefully across a leather bureau top. It’s a map of the world, printed in Florence in 1482. It smells musty, with a citrus top note, and it will be one of the star attractions at the London Map Fair. It would set you back about £120,000. Mr De Martini says he’s open to negotiation.

    We now know vastly more about the world than Abraham Ortelius, who etched and printed the world’s first modern atlas – but the mystique, and value, of historic maps remains potent.

  • Racial cities: the segregation of Romani people in urban Europe

    Going beyond race-blind approaches to spatial segregation in Europe, Racial Cities argues that race is the logic through which stigmatized and segregated “Gypsy urban areas” have emerged and persisted after World War II. Building on nearly a decade of ethnographic and historical research in Romania, Italy, France and the UK, Giovanni Picker casts a series of case studies into the historical framework of circulations and borrowings between colony and metropole since the late nineteenth century.

    By focusing on socio-economic transformations and social dynamics in contemporary Cluj-Napoca, Pescara, Montreuil, Florence and Salford, Picker detects four local segregating mechanisms, and comparatively investigates resemblances between each of them and segregation in French Rabat, Italian Addis Ababa, and British New Delhi. These multiple global associations across space and time serve as an empirical basis for establishing a solid bridge between race critical theories and urban studies.

    Racial Cities is the first comprehensive analysis of the segregation of Romani people in Europe, providing a fine-tuned and in-depth explanation of this phenomenon. While inequalities increase globally and poverty is ever more concentrated, this book is a key contribution to debates and actions addressing social marginality, inequalities, racist exclusions, and governance. Thanks to its dense yet thoroughly accessible narration, the book will appeal to scholars, undergraduate and postgraduate students, postdoctoral researchers, and equally to activists and policy makers, who are interested in areas including: Race and Racism, Urban Studies, Governance, Inequalities, Colonialism and Postcolonialism, and European Studies.


    https://www.routledge.com/Racial-Cities-Governance-and-the-Segregation-of-Romani-People-in-Urban/Picker/p/book/9781138808782
    #livre #Roms #urban_matter #villes #ségrégation #marginalisation

    • The Border / La Frontera

      For the native nations living along the US-Mexico border, the border is a barbed wire fence through their living room. Over the course of generations, they’ve formed connections on both sides of the border, and yet they’re considered foreigners and illegal immigrants in their ancestral homelands. In the O’odham language, there is no word for “state citizenship.” No human being is illegal.

      In this map, the territories of the #Kumeyaay, #Cocopah, #Quechan, #Tohono_O’odham, #Yaqui, #Tigua, and #Kickapoo are shown straddling the 2,000 mile border, with the red dots along the border representing official border crossings.


      https://decolonialatlas.wordpress.com/2017/03/21/the-border-la-frontera
      #cartographie #visualisation #frontières

    • No wall

      The Tohono O’odham have resided in what is now southern and
      central Arizona and northern Mexico since time immemorial.
      The Gadsden Purchase of 1853 divided the Tohono O’odham’s
      traditional lands and separated their communities. Today, the
      Nation’s reservation includes 62 miles of international border.
      The Nation is a federally recognized tribe of 34,000 members,
      including more than 2,000 residing in Mexico.

      Long before there was a border, tribal members traveled back
      and forth to visit family, participate in cultural and religious
      events, and many other practices. For these reasons and many
      others, the Nation has opposed fortified walls on the border for
      many years.

      https://www.youtube.com/watch?v=QChXZVXVLKo


      http://www.tonation-nsn.gov/nowall

    • A Standing Rock on the Border?

      Tohono O’odham activist #Ofelia_Rivas has a reputation for clashing with U.S. Border Patrol. On her tribe’s 4,500-square-mile reservation, which straddles the U.S.-Mexico border, that can be a stressful vocation. But she doesn’t show it, sharing conversational snippets and a slight, quick grin. Her skin is the color of stained clay, and she cuts a stylish figure: narrow glasses and a red-flecked scarf trailing in the slight breeze. Her black sneakers are gray with dust.


      http://progressive.org/dispatches/a-standing-rock-on-the-border-wall-180406

    • How Border Patrol Occupied the Tohono O’odham Nation

      In March 2018, Joaquin Estevan was on his way back home to Sells, Ariz., after a routine journey to fetch three pots for ceremonial use from the Tohono O’odham community of Kom Wahia in Sonora, Mexico (where he grew up)—a trek his ancestors have made for thousands of years. His cousin dropped him off on the Mexico side of the San Miguel border gate, and he could see the community van of the Tohono O’odham Nation waiting for him just beyond.

      But when Estevan handed over his tribal card for identification, as he had done for years, to the stationed Border Patrol agent, he was accused of carrying a fraudulent ID, denied entry to Arizona and sent back to Mexico.

      Tohono O’odham aboriginal land, in what is now southern Arizona, historically extended 175 miles into Mexico, before being sliced off—without the tribe’s consent—by the 1853 Gadsden Purchase. As many as 2,500 of the tribe’s more than 30,000 members still live on the Mexico side. Tohono O’odham people used to travel between the United States and Mexico fairly easily on roads without checkpoints to visit family, go to school, visit a doctor or, like Estevan, a traditional dancer, perform ceremonial duties.

      But incidents of U.S. Customs and Border Protection (CBP) aggression toward members of the Tohono O’odham Nation have become increasingly frequent since 9/11, as Border Patrol has doubled in size and further militarized its border enforcement. In 2007 and 2008, the United States built vehicle barriers on the Tohono O’odham Nation’s stretch of the U.S.-Mexico border, and restricted crossings.

      The Tohono O’odham’s struggles with Border Patrol received little attention, however, until President Donald Trump took office and pushed forward his vision for a wall along the border. Verlon Jose, Tohono O’odham vice chairman, announced in 2016 that the wall would be built “over my dead body,” a quote that went viral.

      What the border wall debate has obscured, however, is the existing 650 miles of walls and barriers on the U.S. international divide with Mexico, including the 62 miles of border that run through the Tohono O’odham Nation. An increasingly significant part of that wall is “virtual,” a network of surveillance cameras, sensors and radar systems that let Border Patrol agents from California to Texas monitor the remote desert stretches where border crossers have been deliberately pushed—a strategy that has led to thousands of migrant deaths in the dangerous desert terrain. The virtual wall expands away from the international boundary, deep into the interior of the country.

      As Trump fights Congress and the courts to get $5 billion in “emergency funding” for a border wall, Border Patrol is already tapping into existing funds to expand both physical and virtual walls. While new border barrier construction on the Tohono O’odham Nation remains in limbo, new surveillance infrastructure is moving onto the reservation.

      On March 22, the Tohono O’odham Legislative Council passed a resolution allowing CBP to contract the Israeli company Elbit Systems to build 10 integrated fixed towers, or IFTs, on the Nation’s land, surveillance infrastructure that many on the reservation see as a high-tech occupation.

      The IFTs, says Amy Juan, Tohono O’odham member and Tucson office manager at the International Indian Treaty Council, will make the Nation “the most militarized community in the United States of America.”

      Amy Juan and Nellie Jo David, members of the Tohono O’odham Hemajkam Rights Network (TOHRN), joined a delegation to the West Bank in October 2017 convened by the Palestinian organization Stop the Wall. It was a relief, Juan says, to talk “with people who understand our fears … who are dealing with militarization and technology.”

      Juan and David told a group of women in the Palestinian community about the planned IFTs, and they responded unequivocally: “Tell them no. Don’t let them build them.”

      The group was very familiar with these particular towers. Elbit Systems pioneered the towers in the West Bank. “They said that the IFTs were first tested on them and used against them,” says David. Community members described the constant buzzing sounds and the sense of being constantly watched.

      These IFTs are part of a broader surveillance apparatus that zigzags for hundreds of miles through the West Bank and includes motion sensor systems, cameras, radar, aerial surveillance and observation posts. In distant control rooms, soldiers monitor the feeds. The principal architect, former Israeli Col. Danny Tirza, explained in 2016, “It’s not enough to construct a wall. You have to construct all the system around it.”

      That is happening now in the U.S.-Mexico borderlands.

      The massive post-9/11 bolstering of border enforcement dramatically changed life on the Tohono O’odham Nation. At a UN hearing in January on the rights of indigenous peoples in the context of borders, immigration and displacement, Tohono O’odham Nation Chairman Edward Manuel testified that when he came back to the Nation in 2009 after six years living off-reservation, it had become “a military state.”

      Border Patrol has jurisdiction 100 miles inland from U.S. borders, giving it access to the entirety of the reservation. Drones fly overhead, and motion sensors track foot traffic. Vehicle barriers and surveillance cameras and trucks appeared near burial grounds and on hilltops amid ancient saguaro forests, which are sacred to the Tohono O’odham.

      “Imagine a bulldozer parking on your family graveyard, turning up bones,” then-Tohono O’odham Nation Chairman Ned Norris Jr. testified to Congress in 2008. “This is our reality.”

      Around 2007, CBP began installing interior checkpoints that monitored every exit from the reservation—not just on the U.S.-Mexico border, but toward Tucson and Phoenix.

      “As a person who once could move freely on our land, this was very new,” Amy Juan says. “We have no choice but to go through the armed agents, dogs and cameras. We are put through the traumatic experience every day just to go to work, movies, grocery shopping, to take your children to school.”

      Juan calls this “checkpoint trauma.” The most severe impact is on children, she says, recalling one case in which two kids “wet themselves” approaching a checkpoint. Previously the children had been forcefully pulled out of a car by Border Patrol agents during a secondary inspection.

      Pulling people out of their vehicles is one in a long list of abuses alleged against the Border Patrol agents on the Tohono O’odham Nation, including tailing cars, pepper spraying people and hitting them with batons. Closer to the border, people have complained about agents entering their homes without a warrant.

      In March 2014, a Border Patrol agent shot and injured two Tohono O’odham men after their truck sideswiped his vehicle. (The driver said he was swerving to avoid a bush and misjudged; Border Patrol charged him with assault with a deadly weapon.) In 2002, a Border Patrol agent ran over and killed a Tohono O’odham teenager.

      Between checkpoints and surveillance, there is a feeling of being “watched all the time,” Tohono O’odham member Joseph Flores told Tucson television station KVOA.

      “I’ve gotten flat tires, then when I come to the checkpoint the agents made comments about me having a flat earlier in the day,” says Joshua Garcia, a member of TOHRN. “I felt like they were trying to intimidate me.”

      An anonymous respondent to TOHRN’s O’odham Border Patrol Story Project said, “One time a BP told me, ‘We own the night,’ meaning that they have so much surveillance cameras and equipment on the rez, they can see everything we do all the time.”

      Undocumented migrants are the ostensible targets, but agents have long indicated that Tohono O’odham are also in the crosshairs. One Tohono O’odham youth (who wishes to remain anonymous because of fears of reprisal) says that when they complained to a Border Patrol agent in February about a camera near their house, the agent responded, “It’s your own people that are smuggling, so you really need to ask yourself what is going on in that area for a camera to be set up in the first place.” That perception is common. Geographer Kenneth Madsen quotes an agent who believed as many as 80% to 90% of residents were involved in drug or human smuggling. Madsen believes the numbers could only be that high if agents were counting humanitarian acts, such as giving water to thirsty border-crossers.

      Elder and former tribal councilman David Garcia acknowledges some “smuggling that involves tribal members.” As Tohono O’odham member Jay Juan told ABC News, there is “the enticement of easy money” in a place with a poverty rate over 40%.

      Nation Vice Chairman Verlon Jose also told ABC, “Maybe there are some of our members who may get tangled up in this web. … But the issues of border security are created by the drugs … intended for your citizen[s’] towns across America.”

      Estevan knew the agent who turned him back at the border—it was the same agent who had accused him of smuggling drugs years prior and who had ransacked his car in the search, finding nothing and leaving Estevan to do the repairs. A few days after being turned away, Estevan tried again to get home, crossing into the United States at a place known as the Vamori Wash—one of the planned locations for an IFT. He got a ride north from a friend (the kind of favor that Border Patrol might consider human smuggling). Eleven miles from the border on the crumbling Route 19, the same agent flashed his lights and pulled them over. According to Estevan, the agent yanked him out of the car, saying, “I told you that you were not supposed to come here,” and handcuffed him.

      Estevan was transported to a short-term detention cell at Border Patrol headquarters in Tucson, where he was stripped of everything “except my T-shirt and pants,” he says. The holding cell was frigid, and Border Patrol issued him what he describes as a “paper blanket.” Estevan contracted bronchitis as he was shuffled around for days, having his biometrics and picture taken for facial recognition—Border Patrol’s standard practice for updating its database.

      At one point, Estevan faced a judge and attempted to talk to a lawyer. But because he was not supplied a Tohono O’odham interpreter, he had only a vague idea of what was going on. Later, Estevan was taken 74 miles north to a detention center in Florence, Ariz., where the private company CoreCivic holds many of the people arrested by Border Patrol. Estevan was formally deported and banished from the United States. He was dropped off in the late afternoon in Nogales, Mexico.

      Estevan is far from the only Tohono O’odham from Mexico to say they have been deported, although there has not been an official count. The Supreme Council of the O’odham of Mexico—which represents the Tohono O’odham who live on the Mexican side of the border—made an official complaint to the Tohono O’odham Nation’s government in May 2018, saying the Nation was “allowing the deportation of our people from our own lands.”

      Some members of the Nation, such as Ofelia Rivas, of the Gu-Vo district, have long contended that the Legislative Council is too cozy with Border Patrol. Rivas said in a 2006 interview that the Nation “has allowed the federal government to control the northern territory [in the U.S.] and allows human rights violations to occur.” The Nation has received grants from the federal government for its police department through a program known as Operation Stonegarden. Over the years, the Legislative Council has voted to allow a checkpoint, surveillance tech and two Border Patrol substations (one a Forward Operating Base) on the reservation.

      These tensions resurfaced again around the IFTs.

      ***

      In 2006, Border Patrol began to use southern Arizona as a testing ground for its “virtual wall.” The agency awarded the Boeing Company a contract for a technology plan known as SBInet, which would build 80-foot surveillance towers in the Arizona desert.

      When Secretary of Homeland Security Janet Napolitano cancelled the plan in 2011, complaining about cost, delays and ineffectiveness, CBP launched a new project, the 2011 Arizona Border Surveillance Technology Plan. As part of it, Elbit Systems won a $145 million contract to construct 53 IFTs in 2014. As CBP’s Chief Acquisition Officer Mark Borkowski explained in 2017 at the San Antonio Border Security Expo, CBP sought technology that “already existed” elsewhere. Elbit, with its towers in the West Bank, fit the bill.

      The IFTs take the all-seeing eye of Border Patrol to a whole new level. Jacob Stukenberg, a Border Patrol public information officer, tells In These Times they are “far superior than anything else we’ve had before,” adding that “one agent can surveil an area that it might take 100 agents on foot to surveil.”

      The IFT system has high-definition cameras with night vision and a 7.5-mile radius, along with thermal sensors and a 360-degree ground-sweeping radar. The data feeds into command centers where agents are alerted if any of thousands of motion sensors are tripped. In an interview in May with the Los Angeles Times, Border Patrol tribal liaison Rafael Castillo compared IFTs to “turning on a light in a dark room.”

      As with other monitoring, the towers—some as tall as 140 feet and placed very visibly on the tops of hills—have already driven migrants into more desolate and deadly places, according to a January paper in the Journal of Borderlands Studies. The first IFT went up in January 2015, just outside of Nogales, Ariz. By 2017, according to Borkowski, nearly all the towers had been built or were about to be built around Nogales, Tucson, Douglas, Sonoita and Ajo. The holdout was the Tohono O’odham Nation.

      Between 2015 and 2018, Joshua Garcia of TOHRN gave more than 30 presentations around the Nation raising the negatives of the IFTs, including federal government encroachment on their lands, the loss of control over local roads, the potential health consequences and racism in border policing. “I didn’t expect people necessarily to agree with me,” Garcia says, “but I was surprised at how much the presentations resonated.”

      Garcia joined other tribal and community members and Sierra Club Borderlands in contesting CBP’s 2016 draft environmental assessment—required for construction to begin—which claimed the IFTs would have “no significant impact” on Tohono O’odham land. Garcia listed the sites that new roads would threaten, like a saguaro fruit-harvesting camp and his own family’s cemetery.

      The Sierra Club argued the assessment had failed to properly look at the impacts on endangered species, such as the cactus ferruginous pygmy owl and the lesser longnosed bat, and hadn’t adequately studied how electro-magnetic radiation from the towers might affect people, birds and other wildlife. CBP agreed that more study was needed of the “avian brain,” but issued its final report in March 2017: no significant impact.

      In July 2017, the Gu-Vo district passed a resolution in opposition to the IFTs. “Having the land remain open, undeveloped and home to food production and wildlife, and carbon sequestration with natural water storage is crucial to the community,” the statement read.

      At the March 22 Legislative Council meeting, Garcia, the tribal elder (and a close relative of Estevan), implored the Council not to approve the IFTs. He looked to Councilman Edward Manuel, who had two months earlier described the Border Patrol presence on the Nation as a “military state,” and said, “Veto it, if it passes.”

      The resolution passed, without veto, although with a number of stipulations, including compensation for leased land.

      Nation Vice Chairman Jose told the Los Angeles Times that the vote was intended to be a compromise to dissuade the federal government from building the wall. The Nation is “only as sovereign as the federal government allows us to be,” Jose said.

      A Border Patrol spokesperson told the Los Angeles Times, however, that there are no plans to reduce agents, and that the IFTs do not eliminate the need for a wall.

      ***

      Garcia and other resisters are up against an enormous system. Trump’s plan has never been just about a border wall: The administration wants to fortify a massive surveillance apparatus built over multiple presidencies. Asked in February what he thought about the focus on the wall, Border Patrol’s Stukenberg said it was just one component of border infrastructure. Three things are required—fence, technology and personnel, he said, to build a “very solid system.”

      The endeavor is certainly very profitable. Boeing received more than $1 billion for the cancelled SBInet technology plan. For the 49 mobile surveillance trucks now patrolling the border, CBP awarded contracts to the U.S.-based private companies FLIR Systems and Telephonics. Another contract went to General Dynamics to upgrade CBP’s Remote Video Surveillance Systems, composed of towers and monitoring systems. As of 2017, 71 such towers had been deployed in desolate areas of southern Arizona, including one on the Tohono O’odham Nation. Other major companies that have received CBP contracts include Northrop Grumman, Lockheed Martin, Raytheon and KBR (a former Halliburton subsidiary).

      These companies wield tremendous lobbying power in Washington. In 2018, General Dynamics spent more than $12 million on lobbying and gave $143,000 in campaign contributions to members of the House Homeland Security Committee. To compare, the Tohono O’odham Nation spent $230,000 on lobbying and $6,900 on campaign contributions to the committee members in 2018.

      Meanwhile, at the UN hearing in January, Serena Padilla, of the nearby Akimel O’odham Nation, described an incident in which Border Patrol agents held a group of youth at gunpoint. She ended her testimony: “As a woman who is 65 years old with four children, 15 grandchildren, 33 great-grandchildren—I’ll be damned if I won’t go down fighting for my future great-great-grandchildren.”

      http://inthesetimes.com/article/21903/us-mexico-border-surveillance-tohono-oodham-nation-border-patrol

  • Italy curtails appeal rights and expands rebranded detention centres

    On 10 February, the Italian Council of Ministers adopted a law that foresees the acceleration of asylum procedures and returns, following heavily criticised plans set out in the second half of 2016. The Decree Law is only provisionally binding until it is voted on in the Parliament.

    The new law creates specialised immigration chambers to hear asylum appeals. These chambers are established in 14 courts (Bari, Bologna, Brescia, Cagliari, Catania, Catanzaro, Florence, Lecce, Milan, Palermo, Rome, Naples, Torino and Venice), and are competent to decide on asylum appeal cases under a single judge. The reform also limits the possibility to be heard in such appeals: asylum appeal procedures are to be accelerated, as a decision by the specialised chamber must be taken within four months instead of six, and the decision can no longer be appealed to the Court of Appeal.

    http://www.ecre.org/italy-curtails-appeal-rights-and-expands-rebranded-detention-centres
    #asile #migrations #réfugiés #Italie #renvois #expulsions #procédures_accélérées #procédure_d'asile #loi #législation #réforme #recours

  • La harangue des Ciompi, par Nicolas Machiavel
    http://www.monde-diplomatique.fr/mav/151/MACHIAVEL/57068 #st

    En juin 1378, à Florence (Italie), les ouvriers du textile (Ciompi), la couche la plus pauvre des travailleurs, se soulèvent contre l’oligarchie de la ville et prennent les armes pour instaurer un gouvernement populaire. Dans ses « Histoires florentines », Nicolas Machiavel rapporte la harangue enflammée d’un de leurs meneurs.

    http://zinc.mondediplo.net/messages/51119 via Le Monde diplomatique

  • Florence (Italie) : Contribution à propos de la récente opération répressive (“Opération Panico”)-Non Fides
    http://www.non-fides.fr/?Florence-Italie-Contribution-a-propos-de-la-recente-operation-repressive

    @Ad Nauseam - Le 31 janvier, à Florence, une opération répressive contre des anarchistes, menée par la DIGOS, a amené à l’application de « mesures préventives » (misure cautelari) pour dix personnes. Trois d’entre elles – Filomena, Carlotta e Michele – sont maintenant assignés à résidence (obligés à rester chez elles) (...)

    #Non_Fides / #Mediarezo

  • [italie] #Répression anti-anarchiste à #florence
    https://nantes.indymedia.org/articles/36834

    Le 31 janvier, à Florence, une opération répressive contre des anarchistes, menée par la DIGOS, a amené à l’application de « mesures préventives » (misure cautelari) pour dix personnes. Trois d’entre elles – Filomena, Carlotta e Michele – sont maintenant assignés à résidence (obligés à rester chez elles) avec toutes les mesures restrictives, alors que pour les sept autres a été ordonné un mélange de mesures restrictives (interdiction de sortir de la ville, obligation de rentrer chez eux le soir, obligation de pointer) combinées entre elles de diverses manières selon le cas. Les délits reprochés à divers titres à 35 compagnons et compagnonnes sont résistance et blessure sur un agent de la force publique, transport de matériel explosif, dégradations et tags, vol et résistance, et d’autres encore. 12 personnes (...)

    #Contre-sommets #/ #squat #logement #italie #Contre-sommets,Répression,/,squat,logement

  • Florence (Italie) : Perquisitions suite aux blessures du flic par une bombe visant les fascistes-Non Fides
    http://www.non-fides.fr/?Florence-Italie-perquisitions-suite-aux-blessures-du-flic-par-une-bombe-v

    @Ad Nauseam - Ces perquisitions font suite à la découverte d’un engin explosif devant la porte d’une librairie fasciste à Florence. Si l’engin ne s’est pas activé au moment voulu contre le local fasciste, celui-ci a cependant explosé à la face d’un flic qui tentait de le désamorcer. - Repression et (...)

    #Non_Fides / #Mediarezo