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  • Montpellier : prévenir les inondations et le changement climatique, par Eau Secours 34
    http://www.eauxglacees.com/Montpellier-prevenir-les

    L’association Eau Secours 34 qui mène une réflexion depuis plusieurs années pour améliorer la gestion de l’eau à Montpellier réagit sur un mode parodique à l’annonce d’un festival qu’y organise FNE, sponsorisé par Montpellier Méditerranée Métropole, et est labellisé "COP 21"... FNE Languedoc-Roussillon organise les 25 et 26 septembre à Montpellier le festival « Refaisons le climat ». Cet événement est sponsorisé entre autres par Montpellier Méditerranée Métropole et est labellisé COP21. Le président de (...)

  • Sivens : comment l’opposition au barrage s’est faite embarquer, via @marclaime
    http://blogs.mediapart.fr/blog/bernard-viguie/060315/sivens-comment-lopposition-au-barrage-sest-faite-embarquer

    Fin novembre, les opposants légalistes disposaient donc d’au moins trois motifs imparables pour obtenir une décision de justice en leur faveur. Alors qu’UN SEUL motif suffit légalement, ils ont décidé délibérément de ne pas le faire. Pourquoi ?

    Pour une raison bien simple, qui ressort de nombreux communiqués et déclarations de Ben Lefetey et de FNE depuis novembre 2014 : ils ont choisi une approche politicienne et partisane, celle du compromis, et cela malgré tout ce qui venait de se passer et malgré la mort de Rémi Fraisse. Exemples parmi tant d’autres : Ben Lefetey à l’AFP, 5 novembre 2014 :" "Un processus de négociations est lancé pour identifier un compromis de sortie de crise" ou, communiqué de Collectif Testet, 20 décembre 2014 :"lors de l’entretien avec la Ministre hier midi, le Collectif Testet, France Nature Environnement et la Confédération Paysanne ont rappelé leur volonté d’aboutir à un compromis au plus tôt".

    Pour FNE, si prompte à dénoncer chez les autres les conflits d’intérêts, l’affaire est entendue. Comment croire que cette fédération, financée essentiellement par l’Etat et certains de ses organismes sous tutelle, puisse pousser le bouchon et aller au bout d’un conflit dans lequel la responsabilité de l’Etat était si gravement engagée ?

    (sur cette question voir : https://tantquilyauradesbouilles.files.wordpress.com/2014/12/limportance-et-la-nc3a9cessitc3a9.pdf )

    Pour Ben Lefetey, il se trouve qu’il est ouvertement engagé chez Europe Ecologie avec le petit noyau dont il s’est entouré pour diriger Collectif Testet. Depuis début novembre, il utilise visiblement sa position de dirigeant de Collectif Testet pour entrer dans un jeu médiatico-politique. Il a abandonné la bataille juridique qu’il avait lui-même lancée. En novembre et décembre 2014, en lieu et place d’agir pour obtenir enfin une décision de justice favorable, il n’a eu de cesse que de mettre en avant l’action de Catherine Grèze, députée EELV, devant la commission européenne (action que nul ne conteste au demeurant). Le 19 novembre, il déclare (AFP Gazette des communes) : « Je m’attends à ce qu’ils lancent [la commission] une procédure d’infraction » (...) « Cela arrangerait le gouvernement car tout le monde se renvoie la patate chaude et il pourrait alors dire que c’est Bruxelles qui a arrêté le projet ». Comme si Bruxelles pouvait arrêter un tel projet !

    Dans un mail adressé collectivement aux Bouilles le 30 décembre 2014, pour justifier son refus d’agir en justice, il écrit : "Actuellement, Sivens s’est pris un rapport officiel critique et une infraction européenne, inutile qu’un échec au TA de Toulouse vienne redorer le blason du barrage !"(sic)

    Ben voyons ! Ayons peur d’utiliser de tels moyens de droit devant un juge !

    Pourquoi maintenir l’action en justice alors ? Pourquoi même l’avoir engagée puisque les difficultés qui ont conduit à l’arrêt du chantier sont essentiellement les difficultés générées par les opposants activistes ?

    Mais le sommet a été atteint quand nous avons appris qu’une demande d’abrogation des arrêtés avait été déposée le 21 novembre 2014, sans que l’association Collectif Testet et à plus forte raison sans que les autres opposants n’en aient discuté (par exemple à la "coordination" des opposants).

    Stupéfaction quand nous avons fini par apprendre, après plusieurs demandes, le 4 décembre, que cette lettre était signée par FNE national (qui n’est pas partie aux procès de Sivens !), FNE Midi-Pyrénées et surtout par Ben Lefetey "au nom de Collectif Testet" ! (sic) Alors que personne n’en avait discuté en assemblée de l’association, alors que les instances en annulation étaient en cours, ce chantre de la démocratie a bien signé une lettre au préfet lui demandant d"Abroger sans délai toutes les autorisations administratives que vous avez délivrées sur ce projet, entachée d’évidentes erreurs d’appréciation : une telle décision apparaît comme la seule envisageable pour restaurer la confiance des citoyens envers l’appareil étatique" .

    De nombreux opposants se sont émus de cette démarche ahurissante qui a généré une grosse polémique.

    voir : https://tantquilyauradesbouilles.files.wordpress.com/2014/12/le-point-sur-la-situation-juridico.pdf

    Des explications ont été demandées à Ben Lefetey.

    Aucune explication ou justification valable n’a pu être donnée depuis début décembre 2014.

    Et pour cause :

    Dès lors qu’une instance en annulation d’une décision est en cours ET que cette instance a toutes les chances d’être gagnée, il ne peut y avoir qu’une raison pour le demandeur de demander l’abrogation de la décision : un arrangement entre les parties ou un projet d’arrangement entre les parties !

  • Notre-Dame-des-Landes : FNE recourt au crowfunding pour sa bataille juridique…
    http://www.eauxglacees.com/Notre-Dame-des-Landes-FNE-recourt

    Par un communiqué en date du 25 novembre 2014, les associations France Nature Environnement (FNE national), Bretagne Vivante - SEPNB, la Coordination Régionale de la LPO Pays de la Loire, FNE Pays de la Loire, Eau & Rivières de Bretagne et SOS Loire-Vivante ERN France, ont annoncé avoir décidé de solliciter l’aide du citoyen afin de contribuer au financement des recours juridiques qu’elles ont engagé contre les autorisations délivrées par le préfet de Loire-Atlantique pour mettre fin au massacre (...)