city:forcé

  • Sur la situation actuelle à Force Ouvrière
    https://nantes.indymedia.org/articles/43630

    Certain.e.s l’auront entendu dire : la situation est très compliquée à FO : le secrétaire général a démissionné, on parle de fichiers, de listes, de détournements de fonds et autres. Les médias dominants s’en donnent à coeur joie. Pour comprendre un peu les enjeux, voici la motion votée hier par l’Union Départementale cgt-FO du Finistère, qui replace un peu les responsabilités et les forces en présence.

    #luttes #salariales #luttes,salariales

  • La vie des bêtes ...

    Dordogne. Un chevreuil attaque deux personnes en trois jours
    http://www.ouest-france.fr/nouvelle-aquitaine/dordogne/dordogne-un-chevreuil-attaque-deux-personnes-en-trois-jours-5154484

    Deux personnes ont été attaquées par un chevreuil, vendredi et dimanche, en Dordogne. L’une d’elles a dû être transportée aux urgences. L’animal n’a pas été retrouvé.

    http://www.ouest-france.fr/pays-de-la-loire/laval-53000/mayenne-le-lion-de-nouveau-apercu-pres-de-force-5150013

    La lionne, que plusieurs habitants de la région de Forcé, en Mayenne, ont signalé à la gendarmerie, n’a toujours pas été retrouvée. Elle pourrait d’ailleurs, se diriger vers l’Ille-et-Vilaine.

    Merci qui ? merci Fouette-France

  • Toshiba se retire du marché PC européen
    http://www.comptoir-hardware.com/actus/business/30976-toshiba-se-retire-du-marche-pc-europeen.html

    Les choses vont mal, très mal chez Toshiba qui traverse une période très difficile depuis la révélation du scandale financier orchestré par la direction. Forcé de réduire la voilure de toutes parts, après la coupe dans les effectifs, le projet prochain de fusion avec Vaio et Fujitsu, c’est aujourd’hui une autre branche qui est coupée : celle du marché PC européen comme le rapporte The Register... [Tout lire]

    #Business_&_internet

  • #ZAD #NDDL - Lettre ouverte à Bruno RETAILLEAU
    par le comité de soutien aux opposants de l’aéroport de NDDL de la Roche-sur-Yon pour ce poème.

    Vous réclamez avec emphase
    Qu’on évacue, qu’on tablerase
    La ZAD et tous ses habitants,
    Les chiens, les femmes, les enfants.
    Vous prenez des airs de marquise
    Offensée pour qu’on stigmatise
    Les gueux vivant à cet endroit
    Dans une zone de non-droit.
    Vous exigez qu’on rétablisse
    Avec l’armée ou la police,
    Et sans se priver du gourdin,
    L’état de droit républicain.
    Vous attendez des décisions,
    Des ordres de dissolution,
    Vous vous régalez de formules
    Sans entrevoir le ridicule.

    Non content d’être devenu,
    Grâce aux non-voix des abstenus,
    Calife à la plac’ du calife
    Voilà que vous sortez les griffes.
    Votre dernier référendum
    N’avait déjà rien du valium,
    Puisque conçu pour attiser
    La haine et l’animosité.
    Vous avez tu ses résultats.
    Sans doute ils ne convenaient pas
    Aux arguties machiavéliques
    De vos prétentions politiques.
    Mais vous dénoncez sans savoir
    À partir des journaux du soir,
    Tous à l’affût des mauvais coups,
    Des gens dont vous ignorez tout.

    Que n’allez-vous les voir un jour
    Pour confronter vos beaux discours,
    Sans craindre la métamorphose,
    À la réalité des choses ?
    Abandonnez sans avoir peur,
    Vos beaux habits de sénateur,
    N’essayez pas d’être trop clean.
    Prenez un tee-shirt et un jean,
    Oubliez dans votre bureau
    Les parti-pris, les noms d’oiseaux,
    Ces astucieux faux dérapages,
    Qui font vibrer votre entourage.
    MDR dans le « caniveau »
    Sous le « balcon des écolos »

    Non, vous n’êtes plus en campagne,
    Cessez ce jeu du qui perd gagne.
    Évitez surtout ce sourire
    Forcé qui risque trop d’induire
    L’idée qu’en fait, vous travaillez
    Plutôt dans la publicité.
    Vous êtes encor trop peu connu.
    Vous ne serez pas reconnu.

    Allez vers ces « ultra-violents »
    Et leur grand projet paysan,
    Ces salauds qui ont le courage
    De se battre pour un bocage
    Où ils ne sont même pas nés,
    Ces paresseux, ces assistés
    Qui font pourtant du maraîchage,
    Du pain, du beurre et du fromage,
    Qui élèvent veaux et cochons
    Et qui ont construit leurs maisons.
    Allez expliquer à ces gens,
    Ces moins-que-rien, ces ignorants,
    Que notre justice est la même
    Et qu’il n’y a qu’un seul barème
    Pour punir les contrevenants
    Fussent-ils anciens présidents.

    Expliquez-leur aussi pourquoi
    Dans ce splendide état de droit,
    On peut devant les préfectures,
    Déverser lisiers ou ordures,
    Voire incendier la MSA
    Et martyriser quelques rats
    Sans être taxé d’hors-la-loi,
    Ni qu’on entende votre voix.

    Allez donc rendre une visite
    À ces paumés, ces parasites,
    Tous ces accrocs du RSA,
    Qui défient le monde et l’État.
    Faites-leur le coup de la panne.
    Invitez-vous dans leurs cabanes.
    Goûtez à leurs soirées débats
    Partagez leur vie, leurs combats,
    Essayez de dormir tranquille,
    Rien qu’une nuit, loin de la ville,
    Dans un hôtel privé d’étoiles,
    Où le toit, souvent, est en toile.

    Participez aux grands chantiers
    Aux côtés de ces émeutiers
    Qui ont tenu tête à César
    Quand ses soldats venaient en car
    Pour tenter de les déloger.
    Binez, creusez, semez, plantez...
    Il y a toujours du travail
    Dans ce vrai caravansérail,
    Qui accueille à longueur d’année
    Des gens prêts à tout partager.

    Peut-être après les avoir vus,
    Reviendrez-vous moins résolu,
    Prêt à écoutez ce qu’ils disent,
    À repenser vos analyses,
    À comprendre que notre monde
    Avant qu’il ne soit trop immonde,
    A plus besoin d’idées nouvelles
    Forgées avec plusieurs cervelles,
    Que de vieux cerveaux formatés
    À défendre avec cécité,
    Arrogance et esprit obtus,
    Un modèle qui ne tient plus.

    source : https://zad.nadir.org/spip.php?article3321

  • Œuvre d’art à la poubelle, pourquoi pas ?
    Dans la Critique du Jugement (Esthétique), Kant propose qu’un des critère du beau soit une certaine universalité (sans concept). Forcé de constater (et c’est loin d’être la première fois) qu’il avait tort.
    En Italie des femmes de ménage jettent une œuvre d’art sans le savoir (Le point, 27/10/2015)
    http://www.lepoint.fr/arts/italie-des-femmes-de-menage-jettent-une-oeuvre-d-art-sans-le-savoir-27-10-20

    Bourdieu, l’avait d’ailleurs rappelé dans « La distinction » faisant du jugement esthétique un jugement culturel, souvent formaté par la classe bourgeoise :

    38 – Aux aveux par lesquels les ouvriers lacés devant des tableaux modernes trahissent leur exclusion (« Je ne comprends pas ce que ça veut dire » ou « ça me plaît mais je ne comprends pas ») s’oppose le silence entendu des bourgeois qui, tout aussi déconcertés, savent au moins qu’il faut refuser – et, en tout cas, taire – l’attente naïve d’expression que trahit le souci de « comprendre » (la « musique à programme » et les titres dont ont été affublés tant de sonates, concertos ou symphonies suffisent à manifester que cette attente n’est pas exclusivement populaire)

    Pourtant il n’est pas exclu que l’art renoue avec la culture populaire, c’est aux artiste qui connaissent les signes de cette culture de s’en servir, a condition bien sur qu’il ne les confondent pas avec ceux de l’industrie culturelle qui confond populaire et audimat.

    • Pour ma part, j’aimerais que les musées d’art contemporain et modernes soient tenus, disons une fois tous les vingt ans, de faire des expositions du désaveu, des expositions dans lesquelles seraient exposées toutes les oeuvres dont à un moment donné les musées se sont embarrassés à mauvais esceint, en se trompant, expositions qui reviendraient à dire que les oeuvres en question, en fait, ne valent plus rien, ne valent rien, et on pourrait même imaginer qu’à la fin de ces expostions du désaveu, les oeuvres soient mises aux encombrants. Cela redonnerait de la valeur aux collections, en plus cela pemettrait de reprendre la main sur les collectionneurs privés et leur régime de confiscation par asphyxie du marché et on serait débarrassé à jamais de tous les Schnabel, Garouste, Soulages, Penk etc...

    • pour le droit de pollution culturelle : chaque citoyen peut le négocier ; un compte crédit création , crédit édition , crédit film , crédit jeux video ....! tu as épuisé ton crédit ? tu peux racheter du droit de pollution culturelle !

  • Gilles Bernheim — Wikipédia
    http://fr.wikipedia.org/wiki/Gilles_Bernheim

    Rabbin des étudiants, aumônier des hôpitaux et, depuis le 1er mai 1997, rabbin de la Grande synagogue de Paris, il est élu grand-rabbin de France le 22 juin 2008, entamant son mandat le 1er janvier 2009. Tenant d’un judaïsme orthodoxe ouvert sur le monde moderne, auteur prolifique, il obtient un important écho au sein de sa communauté et en dehors d’elle, participant à des débats de société comme la question de l’abattage rituel en France ou le mariage pour tous. Forcé de reconnaître que son œuvre comprend des plagiats et qu’il n’a pas, comme il l’avait laissé entendre, obtenu l’agrégation de philosophie, Gilles Bernheim annonce sa « mise en congé » le 11 avril 2013.

    Pas gêné, ce monsieur tweete :
    https://twitter.com/GBernheim/status/493322875299172353

    Que nos soldats assassinés ces dernières heures reposent en Paix. Je prie pour eux.GB #Tsahal #Israel #prayforisrael

    Olivier Da Lage lui répond :

    @GBernheim Ce sont VOS soldats ?

    Ne pas importer etc... etc...

  • Blog de Paul Jorion » COMBIEN DE TEMPS AVANT L’ATTERRISSAGE FORCÉ ?, par Eric Verhaeghe (*)
    http://www.pauljorion.com/blog/?p=20719

    En un mot, il venait de résumer le mal de notre époque. D’un côté, des citoyens mal informés qu’on berce d’illusions et de mensonges sur la sortie de crise, en répétant à l’envi qu’avec un peu d’austérité, tout ira bien. De l’autre côté, des initiés qui savent que tout cela ne sont que fariboles, mais qui les propagent fidèlement pour gagner du temps. Jamais dans l’histoire, sauf dans les périodes décadentes des grands empires, la cécité et la somnolence n’auront autant occupé le pouvoir et la pensée.

    #économie #menteur #cynisme #civilisation #crise