city:francfort

  • #seenthis_police : merci d’arrêter d’utiliser Bruxelles pour dire les institutions de l’Union européenne. -_-
    Ça fausse les résultats du moteur de recherche. :P

    L’UE c’est un ensemble, et cet ensemble n’est pas dans son ensemble, basé à Bruxelles donc le raccourcis est fatiguant. Oui, trois organes et demi y sont basés, mais bon. Le Parlement européen (Bruxelles et Strasbourg), le Conseil européen (Bruxelles), le Conseil de l’Union européenne (Bruxelles), la Commission européenne (Bruxelles), la Cour de justice de l’Union européenne (Luxembourg), la Banque centrale européenne (Francfort) et la Cour des comptes européenne (Luxembourg).


    #union_européenne

    • La question est plutôt de savoir si ce qui compte dans vos vies est l’existence de ce monstrueux système protéiforme qui va jusqu’à s’auto-organiser pour diluer sa responsabilité systémique ou l’image infiniment plus valorisante fabriquée par l’industrie de la communication autour de divers artéfacts homonymes parfois imaginaires.

      Le vrai pouvoir consiste à définir le sens des mots : gageons que, grâce au travail et aux efforts continus des institutions bruxelloises pour détruire les sociétés européennes, Bruxelles n’évoquera bientôt jamais plus rien de bon.

      Enfin, arrêtons le petit jeu de la compliquite que je pensais révolu depuis 2004 : l’existence d’une foultitude d’institutions ne dilue pas pour autant le pouvoir, essentiellement concentré à Bruxelles, à la commission européenne et dans une moindre mesure au conseil. A avoir ouvert la boîte de Pandore avec le projet de constitution européenne, la culture acquise des institutions européenne par la population ne rentrera plus jamais dans la boîte.

    • Vote commentaire relève d’une profonde méconnaissance des affaires européennes. L’Union européenne est malheureusement essentiellement dirigée par les représentants des États-membres qui ont repris en main le processus à leur profit depuis l’époque de la présidence de Jacques Delors. La gouvernance est donc essentiellement intergouvernementale. Cette situation est naturellement très insatisfaisante car adémocratique et il conviendrait plutôt de s’orienter vers une démocratie fédérale européenne. Naturellement des progrès considérables ont été faits dans les derniers traités en renforçant le rôle de nos élus au Parlement européen mais ils sont à mon sens encore insuffisants.

      Quand au discours cliché sur la destructions des sociétés européennes il me semble relever essentiellement du fantasme. Les politiques publiques européennes reflètent autan l’évolution des orientations dans les pays membres que l’inverse.

    • @bp314 Super. Un peu comme si on disait "Paris" décide, "c’est pas moi, c’est Paris", concernant toutes les décisions politiques débiles qui ont lieu en France. A part contribuer au flou général sur tout ce qui se passe au niveau européen, je ne vois pas à quoi ça sert. Vu que vous êtes au fait de ce qui s’est passé sur internet entre 2004 et 2005, vous connaissez bien l’histoire de ces institutions et comment les politiciens élus (car ils le sont) qui se cachent derrière les « c’est pas moi, c’est l’UE » ont contribué et continuent à contribuer à sa bonne marche. Utiliser Bruxelles pour résumer le tout, au delà de ne vouloir rien dire et d’être un raccourci pour journaliste fatigué ou mal formé, fait que la plupart des gens ne savent pas qui fait ou décide quoi. Et que localement c’est gavant. Bruxelles c’est l’UE, c’est sale, c’est trop de maghrébins,trop d’étrangers en général, trop de pluie, on y parle pas assez au choix anglais, flamand, français, c’est l’insécurité, c’est mal construit, c’est la Flandre, c’est la Wallonie. Ik ben het beu.

    • Effectivement tous les arguments jusqu’ici énoncés (miens inclus) ont été entendu et rabâchés.

      Maintenant, qu’attendent les bruxellois pour exiger le départ des institutions qui salissent leur ville ? On les voit plus prompts à se plaindre des loyers, des bouchons et des mal-blanchis que de la présence de la commission europénne.

      Et que cela vous fasse ou non plaisir, cette ville toute entière et sa population sert le monstre : il est logique qu’elle paye un si modeste prix pour cela.

    • #lol #ah_on_est_vendredi

      Peut-on connaître la composition de l’auguste organe tribunalistique qui a coulé en forme de chose jugée que :

      Et que cela vous fasse ou non plaisir, cette ville toute entière et sa population sert le monstre : il est logique qu’elle paye un si modeste prix pour cela.

    • L’origine du propos était de faire remarquer que Bruxelles est désormais davantage « connue » pour l’institution qu’elle est plutôt que la commune qui s’est portée candidate pour l’héberger.

      Dois-je donc réellement préciser l’origine de l’appréciation qui a décidé d’assimiler la ville à l’institution qu’elle héberge ?

      Je conviendrais cependant que l’institution européenne n’aura pas eu à chercher bien loin autour de Berlaymont pour trouver l’exemple d’une stratégie réussie de dilution des responsabilités par émiettement des institutions. Mais que voulez-vous, le bon peuple est trop con pour ne pas voir la continuité d’action et d’esprit entre institutions autoproclamées disjointes. Mais il n’est pas assez con pour ne pas savoir distinguer une poignée d’une lame.

    • « Etes-vous simplement conscient que la plupart des lecteurs de Seenthis ont lu ce que s’écrivait sur internet entre 2004 et 2005 ? » dans ce cas ils auront facilement constaté qu’il c’est écrit à l’époque tout et n’importe quoi. Surtout n’importe quoi d’ailleurs.

  • Retour sur la dernière conférence internationale de géographie critique (Francfort et Berlin, 16 20 août 2011)

    http://www.carnetsdegeographes.org/PDF/lect_04_02_Gintrac.pdf

    Par Martine Drozdz, Cécile Gintrac et Sarah Mekdjian

    La 6e conférence internationale de géographie critique s’est déroulée à Francfort du 16 au 20 août 2011. Pendant quatre jours, environ trois cents participants venus de nombreux pays se sont réunis pour débattre autour des « crises » (Causes, Dimensions, Réaction), thématique incontournable au moment même où la crise des dettes souveraines européennes s’intensifiait. Cette conférence fut la 6ème organisée depuis la création de cet évènement en 1997 à Vancouver, et la seconde à être organisée en Europe, et offrait un éventail varié des approches et des thématiques qui se retrouvent sous la bannière des géographies critiques.

    #géographie-critique

  • La France et ses partenaires ont sciemment accepté de perdre tout contrôle sur l’accès de leurs banques à la BCE

    Selon le quotidien allemand Die Welt, une faille juridique dans l’Eurosystème, et un peu de mauvaise volonté de la part des banques centrales nationales et du président de la BCE Mario Draghi, auraient pourtant permis la création d’une bulle financière et la perte de contrôle sur le mécanisme de création monétaire par l’institution de Francfort.

    On sait que la BCE avait fait état, sans jamais révéler son nom, du fait qu’une grande banque française était au bord de la faillite en raison de sa trop forte exposition au risque. Outre-Rhin, on pense qu’en acceptant de faire entrer ces titres dans la catégorie des titres éligibles au refinancement de l’Eurosystème, la BCE a donné à la France, et aux autres pays dont le système bancaire montre certaines faiblesses, la possibilité de stabiliser leurs propres banques sans que l’Allemagne ne puisse s’y opposer en attendant la mise en place de l’union bancaire.

    http://www.latribune.fr/actualites/economie/union-europeenne/20130422trib000760997/la-bce-aurait-elle-perdu-le-controle-de-la-creation-monetaire-en-zone-euro

    Bizarrement, personne à la Commission Européenne ne crie à la distorsion de concurrence pour financement public de l’industrie des banques françaises. Va comprendre, hein...

  • À Francfort, la solution de la crise européenne pour Soros : « L’Allemagne a le choix entre les euro-bonds et quitter la zone euro »

    La magistrale leçon d’économie de George Soros à Angela Merkel
    http://www.latribune.fr/opinions/tribunes/20130410trib000758603/la-magistrale-lecon-d-economie-de-george-soros-a-angela-merkel.html

    Pour George Soros, les origines de la crise sont à rechercher dans l’Histoire et dans l’incomplétude du Traité de Maastricht. « Les architectes de l’euro reconnaissaient qu’il y avait là une construction incomplète : une union monétaire sans union politique », explique-t-il. S’ajoute à cela la création d’une banque centrale indépendante qui a fait s’endetter les États dans une monnaie qu’ils ne contrôlaient pas, les exposant ainsi au risque de défaut. Car, rappelle George Soros, la maîtrise de la création monétaire par un État est ce qui rend son défaut impossible.

    La solution est donc le renforcement du caractère fédérale de l’Union, en complétant l’union monétaire par une union bancaire et une union politique.

    Il complète son analyse de la méthode allemande par une intéressante considération psycholinguistique 

    L’échec de la méthode allemande reposant sur la « Schuld »
    Selon lui, la principale erreur de l’Allemagne réside dans sa manière d’appréhender cette crise. Comme le Fonds monétaire international (FMI) lors de la crise bancaire internationale de 1982, l’Allemagne identifie des États non vertueux « responsables ». « Les États périphériques se voient reprocher leur manque de discipline budgétaire et d’éthique du travail, mais cela ne suffit pas. Il est certes nécessaire que les États de la périphérie procèdent à des réformes structurelles, comme le fit l’Allemagne après sa réunification. Pour autant, ignorer que l’euro lui-même présente des problèmes structurels qui doivent être corrigés revient à ignorer la cause profonde de la crise de l’euro », explique le milliardaire.

    Ainsi ne faut-il pas y voir un discours contre les réformes structurelles demandées à un pays comme la Grèce. Ce qu’il dénonce est le fait de ne voir la résolution de la crise de la zone euro que par le seul prisme de l’austérité budgétaire. Pour George Soros, le fait que le terme allemand Schuld signifie à la fois dette, responsabilité et culpabilité, n’est pas anodin. "Son utilisation a rendu naturel pour l’opinion publique allemande le fait d’accuser les États lourdement endettés de leur propre infortune. Le fait que la Grèce ait manifestement violé les règles a contribué à cet état d’esprit.

    L’alternative au renforcement de l’Union

    L’alternative au choix d’une Europe fédérale a quant à elle de quoi surprendre les Allemands. Selon George Soros, si elle ne veut pas des euro-bonds, l’Allemagne doit tout bonnement sortir de la zone euro. Ce point de vue, défendu par un certain nombre d’économistes, repose sur l’idée selon laquelle sans l’Allemagne, l’euro se déprécierait de lui même, faisant regagner les économies en difficulté en compétitivité, sans pour autant que leur dette libellée en euros ne devienne insoutenable, comme ce serait le cas si l’Italie ou l’Espagne quittaient l’Union monétaire. « En cas de départ de l’Italie, la charge de la dette du pays libellée en euro deviendrait écrasante, et il serait nécessaire de procéder à une restructuration. Ceci plongerait le reste de l’Europe, ainsi que le reste du monde, dans un effondrement financier, qui pourrait bien dépasser la capacité des autorités monétaires à le contenir », argumente George Soros.

    Le retard dans la décision, probable vues les performances de la gouvernance de l’Eurogroupe et la campagne électorale allemande, aboutirait à une aggravation et extension de la crise avec, entre autres, un impact sur la croissance allemande et une perte d’influence de l’Allemagne sur les décisions.

  • Vulnérabilité de l’humain, précarité du politique - La Vie des idées
    http://www.laviedesidees.fr/Vulnerabilite-de-l-humain.html

    On aurait tort, selon M. Abensour, de ne voir en Lévinas qu’un penseur de l’éthique qui ne se serait jamais réellement interrogé sur la communauté politique. Car il est aussi un penseur de l’émancipation, qui a poursuivi, avec une certaine radicalité, le travail de l’École de Francfort.

  • Tombé par hasard sur ce passage de « l’Espion Turc à Francfort, pendant la diète et le couronnement de l’empereur en 1741 ».
    (22ème lettre, p. 358)
    http://books.google.fr/books?id=D05BAAAAcAAJ&pg=PT140&lpg=PT140&dq=munif+effendi&source=bl&ots

    Cela me rappelle le tour plaisant du Chevalier de Roquelaure, à qui feu le roi de France avait fait épouser sa maitresse dans un temps où la fécondité de leurs amours allait se manifester visiblement. Ce qui étant inconnu dudit Chevalier, bouffon et spirituel s’il en fût, au retour d’une ambassade où son Maître l’envoya quelque temps après son mariage, il fut fort surpris de voir que son épouse était accouchée au bout du cinquième mois de deux filles.

    Loin de murmurer ni de se plaindre, il fit faire une ample provision de berceaux en répondant à ceux qui s’en étonnaient que, puisque sa chère moitié brisait le cours ordinaire de la nature, il était bien aise de se munir d’avance contre tout événement.

    Louis XIV, ayant appris toutes ces pasquinades, le fit venir ; et pour le consoler, il lui déclara qu’il le créait Duc, à la charge toutefois, qu’il serait plus circonspect dans ses paroles. Le Chevalier, s’embarrassant peu d’un tel titre, lui répliqua en badinant « et Pair, Sire », mot à double sens dans la langue française qui reprochait tacitement au Roi le tour qu’il lui avait joué. De sorte que ce monarque, surpris de sa vivacité, lui répondit : « Oui, Duc et Pair. » C’est ainsi que ce Chevalier obtint une dignité qu’il a transmise à sa famille.

    Avec quelques explications de contexte, là : http://dictionnaire-journaux.gazettes18e.fr/journal/0390-lespion-turc-francfort
    (où l’auteur se moque du « simple » titre de Duc récemment obtenu (en 1742) par son ennemi, Charles-Louis-Auguste Fouquet. Il n’est devenu Pair qu’un peu après (en 1748).

  • Retour de confiance par Gilles Lucas
    http://cqfd-journal.org/Retour-de-confiance

    Mario Draghi, président de la Banque centrale européenne (BCE), aura fait le buzz le 30 août en déclarant que, sauf le respect dû aux dirigeants allemands : « Nous ne renoncerons pas à la mutualisation des dettes publiques . » Le 6 septembre, il réitérait en affirmant que « l’euro est irréversible » et que la BCE rachètera sans limites les dettes publiques des pays en mauvais état, histoire d’égaliser les taux d’intérêts. Aussitôt les marchés montaient à New York, grimpaient à Madrid et bondissaient à Francfort ! Un enthousiasme étonnant quand on sait comment toute volonté de « mutualisation » des dettes était jusqu’alors regardée comme un caprice d’extrémistes partageux ! L’explication tient peut-être à la carrure de Draghi et à sa cote dans les milieux dirigeants. Ex-vice-président, entre 2002 et 2005, de la banque Goldman Sachs dont les comptes truqués ont largement contribué à ruiner la Grèce, il est aujourd’hui le patron de cette BCE qui fabrique physiquement l’euro et le revend aux pays européens. Les perspectives de sortie de crise commençant à se faire rares, se tourner vers des solutions jusqu’alors regardées avec mépris semble faire partie des ultimes hypothèses pour espérer pérenniser le système. Pour quelques temps encore ?

  • L’École de Francfort : la Théorie Critique entre #philosophie et #sociologie - Revue Tumultes 2001/2-2002-1, N°17-18 - Cairn.info
    http://www.cairn.info/revue-tumultes-2001-2.htm#sommaire

    Plutôt que d’adopter une perspective évolutionniste de la première à la se-conde théorie critique (de Horkheimer à Habermas) il nous a paru préférable de revisiter la première théorie critique. - le rapport à la philosophie politique et la possibilité d’une philosophie politique critique. - la critique de la raison. - la perspective sociologique. Ce devrait être une occasion d’apprécier le rapport de l’Ecole de Francfort au « triangle critique », #Marx, #Nietzsche, #Freud et de poser la question : la #théorie_critique et nous.

    Le numéro est entièrement dispo en ligne et en pdf, intéressant notamment pour les traductions d’ #Adorno et de #Marcuse, dont son article de 1941 « Quelques implications sociales de la #technologie moderne » http://www.cairn.info/revue-tumultes-2001-2-page-11.htm

  • Le denier du culte
    http://www.monde-diplomatique.fr/2012/01/A/47205

    « A Francfort, le 4 janvier au matin, c’est avec cérémonie, sous les lumières stroboscopiques et au son de l’Ode à la joie de Beethoven, que les dirigeants de la Bourse ont lancé les premières opérations libellées en euros. (…). L’#Europe a vaincu le scepticisme et les critiques pour se doter de sa monnaie (...) / Europe, #France, #Royaume-Uni, #Audiovisuel, Économie, #Finance, #Information, #Médias, #Monnaie, #Presse - 2012/01

    #Économie #2012/01

  • La langue de l’étranger, par Jacques Derrida (Le Monde diplomatique)
    http://www.monde-diplomatique.fr/2002/01/DERRIDA/16038

    Discours prononcé lors de la remise du prix Adorno à Francfort en septembre 2001 - Texte splendide et programmatique, dommage qu’il ne soit pas dispo en ligne :( @mdiplo #théorie_critique

    La langue sera d’ailleurs mon sujet : la langue de l’autre, la langue de l’hôte, la langue de l’étranger, voire de l’immigrant, de l’émigré ou de l’exilé. Qu’est-ce qu’une politique responsable fera du pluriel et du singulier, à commencer par les différences entre les langues dans l’Europe de demain et, à l’exemple de l’Europe, dans la mondialisation en cours ? Dans ce qu’on appelle de façon de plus en plus douteuse la mondialisation, nous nous trouvons en effet au bord de guerres qui sont moins que jamais, depuis le 11 septembre, sûres de leur langue, de leur sens et de leur nom.

    je vous en livre quand même la fin, en tant qu’heureux possesseur du cd-rom des archives jusqu’à 2008 :

    Nous ne saurons jamais, nous, sur quel fichu Web un Weber à venir entendra signer ou enseigner notre histoire.

    Nul métalangage historique pour en témoigner dans l’élément transparent de quelque savoir absolu.

    Celan : « Niemand zeugt für den Zeugen » [Nul ne témoigne pour les témoins]

  • Lettre ouverte aux policiers, de la part d’un ancien confrère à la retraite | Le Globe - regard citoyen
    http://leglobe.ca/blog/2012/05/lettre-ouverte-aux-policiers-de-la-part-dun-ancien-confrere-a-la-retraite

    ...Vous êtes la police. Vous êtes là pour régler les conflits que le citoyen ne peut gérer seul. Depuis le temps que je vous entends parler de police communautaire, de police de proximité, il est temps de vous montrer à la hauteur de vos aspirations sociales.

    Tendez la main aux étudiants, négociez une trêve, réussissez là où le gouvernement a échoué.

    Vous êtes la police, vous devez être calme quand on s’énerve, fort quand on tombe, souple quand on se raidit, vous devez nous écouter, nous rassurer, nous guider. Vous devez nous protéger, parfois même contre nous-mêmes.

    Vous avez juré de nous protéger et nous servir, le climat de tension sociale ne nous sert pas, la perte de nos droits et libertés ne nous sert pas et nous en sommes rendus au point où nous avons besoin que vous nous protégiez de notre gouvernement qui se comporte de façon cupide, perfide, mesquine, confrontationnelle et abusive envers nous.

    Soyez les héros dont nous avons besoin, prenez exemple sur vos confrères de Francfort.

    Vous êtes notre dernier espoir pour une sortie de crise pacifique.

    #québec #police

  • Un cortège de 20 000 manifestants #anti-capitalistes défile à #Francfort
    http://www.lemonde.fr/europe/article/2012/05/19/un-cortege-de-20-000-manifestants-anti-capitalistes-defile-a-francfort_17042

    Près de 20 000 personnes, selon la police, et 25 000, selon les organisateurs, ont manifesté à l’appel du collectif #Blockupy, samedi 19 mai à Francfort, pour dénoncer le règne de l’austérité en Europe et exiger l’abandon d’une politique économique qui privilégie à leurs yeux le secteur financier et non le peuple.

    Le cortège, qui partait du quartier de la gare de Francfort, devait arriver devant le siège de la Banque centrale européenne (BCE), partie intégrante de la Troika, et symbole des dérives économiques de l’UE. Il n’en fut rien. Les autorités locales avaient autorisé la manifestation - la seule depuis quatre jours que dure les protestations - mais n’ont pas accepté à la dernière minute l’itinéraire proposé par les organisateurs, estimant que le risque de débordements était trop important.

  • A Francfort, les marchés financiers se barricadent face aux mouvements sociaux européens - #Occupy ! - Basta !
    http://www.bastamag.net/article2397.html

    Ce week-end, des milliers de manifestants venus de toute l’Europe envahiront les rues de Francfort, épicentre des marchés financiers européens, pour contester les politiques d’austérité et le futur « Pacte budgétaire ». Après la victoire de la gauche radicale en Grèce, les mouvements sociaux tournent leur regard vers les Irlandais qui devront se prononcer sur le Pacte budgétaire par référendum le 31 mai. Face au néolibéralisme des institutions européennes, la riposte transcende les frontières.

  • Paul Watson, fondateur de l’organisation écologiste Sea Sheperd, arrêté et maintenu en détention
    http://www.lemonde.fr/planete/article/2012/05/14/paul-watson-fondateur-de-l-organisation-ecologiste-sea-sheperd-arrete-et-mai

    Le fondateur de l’organisation écologiste Sea Sheperd, Paul Watson, arrêté dimanche à l’aéroport de Francfort, a été maintenu en détention lundi 14 mai, le temps d’examiner les accusations portées contre lui, a-t-on appris auprès de son avocat à la sortie du tribunal.

    M. Watson, de nationalité canadienne, a été arrêté en raison d’un mandat d’arrêt du Costa Rica qui porte sur des faits datant de 2002, lors d’une campagne de Sea Sheperd contre la pêche aux requins, avait indiqué plus tôt le parquet de Francfort.

  • L’individu comme concept critique (E. Renault) | Contretemps
    http://www.contretemps.eu/fr/interventions/lindividu-comme-concept-critique

    La réflexion politique sur l’#individu, la justice ou la souffrance, est parfois jugée inutile ou contre-productive parce que ces notions seraient solidaires d’une idéologie à laquelle il faudrait plutôt opposer une fin de non recevoir plutôt qu’une analyse critique. Un tel soupçon présuppose une univocité des concepts politiques et méconnaît le fait qu’ils sont toujours « essentiellement controversés ». De plus, il conduit trop souvent la pensée critique à adopter une position défensive (en renonçant à critiquer le langage politique de l’adversaire) et défaitiste (en s’interdisant la construction de contre-hégémonies)[1]. Cette méfiance envers les pensées de l’individu est d’autant plus surprenante que le concept d’individu joue un rôle absolument décisif chez un auteur comme #Marx (1). On verra que c’est surtout la tradition de la Théorie critique de l’Ecole de Francfort, et tout particulièrement #Adorno, qui a conservé la double valeur critique et utopique que Marx lui conférait (2). On verra également que tout en s’inscrivant dans cette tradition de manière distanciée, #Honneth tente à son tour de reformuler des thèmes marxiens et adorniens à la lumière de certaines tendances lourdes du capitalisme néolibéral (3).

    #utopie #reconnaissance cc @pguilli via @prac_6

  • Grand Entretien avec Moishe Postone dans la revue « Les Mondes du travail » - Critique radicale de la valeur
    http://palim-psao.over-blog.fr/article-grand-entretien-avec-moishe-postone-dans-la-revue-les-m

    L’entretien est organisé en deux temps : Postone y résume les points centraux d’une critique renouvelée de la société capitaliste-marchande (la nécessité de reconceptualiser le travail, le capital, le temps) et aborde son rapport théorique critique à Marx, au marxisme, à l’Ecole de Francfort, à Michel Foucault, à G. Lukacs - qui semble avoir été un théoricien important dans la reformulation théorique de Postone. Puis l’entretien amène Postone a parler de ce qu’il pense pouvoir être une opposition et des formes de résistances. Refusant d’ailleurs la notion de résistance (lui préférant les notions d’opposition, « discontent » et aussi désir d’un changement fondamental), il discute les limites des formes de freinage et de sabotage (cf. le bouquin coordonné par S. Bouquin, « Résistances au travail ») et prend à rebrousse poil l’ensemble des critiques et résistances contemporaines qui se font entendre dans les luttes de ces dernières décennies autour de l’antilibéralisme, de l’altermondialisation, des marxistes traditionnels, des partis de la gauche socialiste-keynésienne ou de l’extrême-gauche.

    #postone #critique_du_capitalisme #thibnton

  • Quand l’euro enfiévrait les rédactions | Antoine Schwartz (Le Monde diplomatique)
    http://www.monde-diplomatique.fr/2012/01/SCHWARTZ/47206

    Le 1er janvier 2002, la monnaie unique (créée en 1999) entrait en circulation. L’atmosphère de jubilation qui caractérisa la célébration de l’événement dans la presse tranche avec les doutes que suscite désormais une devise rêvée à Paris, conçue à Bruxelles et frappée à Francfort. Au point qu’investisseurs et entreprises s’interrogent : l’euro soufflera-t-il sa onzième bougie ? (...) Source : Le Monde diplomatique

  • 300 euros contre une promesse de ne pas avorter
    http://fr.myeurop.info/2012/02/16/300-euros-contre-une-promesse-de-ne-pas-avorter-4607

    300 euros de prime pour la naissance d’un enfant. C’est ce qu’offre la petite caisse-maladie d’entreprise pour le commerce, l’industrie et les assurances (BKK IHV) de Wiesbaden, près de Francfort. A priori rien d’étonnant dans un pays à la natalité moribonde qui tente de relancer sa natalité.

    Sauf que cette prime n’est pas allouée sans contrepartie. Seuls les assurés qui auront adhéré à l’association « ProLife », partenaire de la BKK IHV, pourront y avoir droit. Et pour devenir membre il faut faire une promesse solennelle : celle de ne jamais avorter.

    #beurk

  • L’esprit marine (début d’analyse de la campagne présidentielle) | Yovan Menkevick
    http://reflets.info/lesprit-marine-debut-danalyse-de-la-campagne-presidentielle

    (Ou comment appréhender la lepenisation des esprits de façon concrète) La campagne présidentielle a démarré plus ou moins, mais on sent que ça frétille dans les chaumières. Les sondeurs nous titillent avec quelques résultats d’opinion qui ne manquent pas de plonger une partie de la société dans des abysses de réflexion : 31% des Français sont « en accord » avec les idées de Marine Le Pen. Ben oui, quoi, un tiers. Avec 20% d’intentions de vote déclarées, la fifille du borgne reconvertie dans l’altermondialisme version saucisse de Francfort arrosée de pinard et solutions d’Etat providence commence à inquiéter pas mal de monde. Le problème de l’accord des Français, c’est avec quelles « idées ? » Alors, comme Reflets aime fouiller un peu partout, voici une petite « perle » qui circule sur les messageries électroniques des défenseurs de la sécurité sociale, perle très représentative de la lepenisation des esprits qui s’est opérée et s’accentue avec l’angoisse de la crise. C’est "

  • Joyeux Noël et bons baisers de la BCE | Stanislas Jourdan
    http://reflets.info/joyeux-noel-et-bons-baisers-de-la-bce

    Malgré l’annulation des fêtes de Noël dans certains établissements, les banquiers ont bien fait de laisser leur chaussons au pied du sapin de Francfort. Car hier matin, ils y ont trouvé un beau cadeau : 489 milliards d’euros ! Il s’agit du montant des prêts à trois ans accordés par la BCE dans le cadre d’une opération dite d’open market. Ces opérations sont courantes depuis le début de la crise, mais celle-là en particulier est à plusieurs titres remarquablement exceptionnelle. En effet, c’est non seulement la première fois que la BCE propose aux banques des refinancements à aussi long terme et à un taux aussi bas (1%), mais il s’agit aussi d’un record en terme de montant. Le dernier record dans la discipline remontait à juin 2009, avec 442 milliards de liquidités injectées dans le système bancaire pour une durée de un an. Avec 489 milliards octroyés à pas moins de 523 banques, on atteint des sommets. La pratique n’est donc pas nouvelle : depuis le début de la

  • STANDARD AND POOR’S DÉGRADE LE MONDE

    communiqué de l’agence, diffusé par erreur dans la nuit entre 3 h 17 et 3 h 19, heure européenne.

    http://www.arretsurimages.net/vite-dit.php#10764

    Francfort, 8 décembre. Le services de notation de Standard and Poor’s ont décidé de placer aujourd’hui sous surveillance négative les dettes souveraines de l’ensemble des pays du monde, avec risque de dégradation dans les trois mois. Cette décision vaut également pour l’ensemble des institutions bancaires, publiques ou privées, des pays concernés, l’ensemble de leurs compagnies d’assurance, de leurs collectivités locales comptant plus de cinq mille habitants, l’ensemble des entreprises, l’ensemble des institutions sociales. Les commerces de détail sont également concernés, à l’exception des commerces de bouche de première nécessité, des débits de tabac et de boissons, et du secteur phrarmaceutique des neuroleptiques, considérés comme ayant des perspectives de croissance exceptionnellement favorables.

    ( ... )

    Nous devons noter avec regret que les responsables politiques de la zone concernée se montrent collectivement d’une incompétence rare, et manifestent une absence totale de conscience de la gravité de la situation. A leur décharge, nous devons bien constater que notre agence, dans la situation actuelle, n’est en mesure de proposer aucune solution efficace, les pistes que nous avons proposées dans le passé ayant eu pour effet d’aggraver la crise.

  • Solidarité avec Sonja et Christian
    https://www.lereveil.ch/contrib/solidarite-avec-sonja-et-christian
    « Mercredi 14 septembre 2011, Sonja Suder et Chritian Gauger étaient livrés depuis la France à l’Etat allemand. Il leur est reproché l’affiliation aux Cellules Révolutionnaires (RZ : Revolutionären Zellen) et la participation à plusieurs actions. En ce moment, les deux se trouvent encore dans la taule de Francfort [Ndt. Christian a été libéré pour raisons médicales depuis]. Cette affiche de solidarité a été vue sur les murs de Berlin. »
    http://www.non-fides.fr/?Solidarite-avec-Sonja-et-Christian
    http://www.abc-berlin.net/poster-solidaritaet-mit-sonja-und-christian
    #Allemagne #solidarité #Revolutionäre_Zellen

  • Contre la BCE, vive l’inflation ! partie I | Antoine Dumini, François Ruffin et Frédéric lebaron (Fakir)
    http://www.fakirpresse.info/Contre-la-BCE-vive-l-inflation,268.html

    Antoine, pendant ses vacances, a visité la Banque Centrale européenne, à Francfort. C’est que, au fond, discrètement, cette ville est devenue notre nouvelle capitale. Mais comme, sur place, le guide n’était pas terrible, à son retour de congé, il a interrogé Frédéric Lebaron, à la fois sociologue et économiste, auteur de La BCE et la révolution néolibérale – et qui collectionne des fiches sur tous les banquiers centraux de la planète... (...) Source : Fakir

  • Pour l’arrêt en gare de Liège des trains reliant Londres et l’Allemagne
    http://petitions.agora.eu.org/liege-londres/index.html

    Attendu que les chemins de fer allemands préparent la mise en service, à l’horizon de 2013, d’un train rapide entre Francfort et Londres, qui passera par Liège sans que ses promoteurs souhaitent qu’il s’y arrête ;

    Ben, j’ai signé quoi. A force de chercher à concurrencer l’avion, ils vont finir par nous tuer toutes les « cities-in-the-middle »... Ces choix ne peuvent être uniquement économiques, ils doivent être politiques. Plus tous les autres arguments ;-)

    #tgv #europe #desserte