city:golfech

  • Anomalies détectées dans huit centrales nucléaires, l’ASN exige des réparations rapides

    http://www.lemonde.fr/energies/article/2017/06/21/anomalies-detectees-dans-huit-centrales-nucleaires-l-asn-exige-des-reparatio

    Le temps presse. L’Autorité de sûreté nucléaire (ASN) a demandé à EDF d’effectuer des réparations « au plus tôt » sur des équipements électriques de secours de huit centrales qui présentaient des anomalies potentiellement préjudiciables en cas de fort séisme.

    Elles concernent « la tenue au séisme des systèmes auxiliaires des groupes électrogènes de secours (diesel de secours) », des centrales nucléaires de Belleville, Cattenom, Flamanville, Golfech, Nogent, Paluel, Penly et Saint-Alban, a détaillé l’ASN dans un communiqué mardi.

    Compte tenu de l’importance du sujet, l’ASN a demandé à EDF de « résorber au plus tôt » cette défaillance, à savoir « sous trois semaines » pour au moins l’un des deux diesels de secours et « sous un mois et demi » pour le second, a expliqué Julien Collet, directeur général adjoint de l’autorité.

    • Groupes électrogènes de secours à moteur diesel : incident de niveau 2
      https://www.asn.fr/Informer/Actualites/Groupes-electrogenes-de-secours-a-moteur-diesel-incident-de-niveau-2

      L’événement significatif porte sur l’absence de démonstration de la tenue au séisme des ancrages dans le génie civil des systèmes auxiliaires des diesel de secours. Il recouvre à la fois des problèmes de conception, génériques à l’ensemble des réacteurs de 1300 MWe, et des problèmes locaux liés à un mauvais état ou à un mauvais montage des ancrages.

      En cas de perte des alimentations électriques externes provoquée par un séisme, le fonctionnement des diesel de secours pourrait ne plus être assuré, en raison de la défaillance de leurs systèmes auxiliaires.

      Une insuffisance de tenue au séisme d’un système auxiliaire des diesel de secours (vase d’expansion du circuit de refroidissement) a été initialement détectée par EDF en mars 2017 à la centrale nucléaire de Golfech, puis sur l’ensemble des réacteurs de 1300 MWe. L’ASN avait classé cet événement au niveau 1 de l’échelle INES.

      Le 20 juin 2017, EDF a déclaré à l’ASN que l’absence de démonstration de tenue au séisme était également susceptible de concerner les autres systèmes auxiliaires des deux diesel de secours des 20 réacteurs de 1300 MWe.

      L’ASN demande à EDF que le renforcement des ancrages de tous les systèmes auxiliaires des diesel de secours soit réalisé sous trois semaines pour au moins l’un des deux diesel de secours, et sous un mois et demi pour le second, pour chacun des 20 réacteurs concernés. Cette demande fera l’objet d’une décision formelle de l’ASN dans les prochains jours.

      Compte tenu de ses conséquences potentielles pour la sûreté des centrales nucléaires en cas de séisme, l’événement est classé au niveau 2 de l’échelle INES, pour les réacteurs de Belleville, Cattenom, Flamanville, Golfech, Nogent, Paluel, Penly et Saint-Alban.

      En résumé :
      • des défauts de conception pour tout le monde,
      • des erreurs à la fabrication à certains endroits
      • une maintenance insuffisante à d’autres (ou les mêmes ?) : mauvais état

      ça lambine (pbs détectés il y a 3 mois dans l’une des centrales)

      l’ASN se fâche (ou ça y ressemble bien)

  • Attaquer le nucléaire
    https://iaata.info/Attaquer-le-nucleaire-1887.html

    Alors que le tribunal de grande instance de Bar-Le-Duc s’apprête à juger l’occupation du bois Lejuc entamée au cours de l’été précédent avec pour objectif de bloquer une nouvelle phase des travaux menés par l’ANDRA dans le cadre du projet CIGEO (pour plus d’informations cf http://vmc.camp), il paraît intéressant de revenir sur l’histoire du mouvement antinucléaire en France dans les années 1970 et 1980 et plus particulièrement sur l’histoire de la lutte contre l’implantation d’une centrale électronucléaire à Golfech. Source : IAATA

  • Back to the 70’s : la lutte contre la centrale nucléaire de Golfech
    https://lundi.am/Back-to-the-70-s-la-lutte-contre-la-centrale-nucleaire-de-Golfech

    Le tribunal de Bar-le-Duc a renvoyé son jugement au 5 avril concernant l’occupation du bois Lejuc (près de Bure) par des opposants au projet d’enfouissement de déchets nucléaires. Cela laisse le temps de se replonger dans l’histoire du mouvement antinucléaire français.

  • Important rejet radioactif à la centrale nucléaire de Golfech : FNE et 8 autres associations portent plainte contre EDF
    France Nature Environnement | vendredi 02 décembre 2016
    http://www.fne.asso.fr/actualites/important-rejet-radioactif-%C3%A0-la-centrale-nucl%C3%A9aire-de-golfech-fne

    Un important rejet dans l’environnement

    Le 19 octobre 2016, à 18h55, EDF a mis en service une installation censée traiter les rejets radioactifs issus du circuit primaire du réacteur n°1. Un dysfonctionnement s’est apparemment produit, puisqu’à 19h58, l’alarme indiquant le dépassement du seuil règlementaire de radioactivité à la cheminée de rejet s’est déclenchée. L’installation de traitement a alors été arrêtée et le rejet stoppé, mais 136 milliards de Becquerels avaient déjà été rejetés dans l’environnement !

    Au vu de l’importance de ce rejet, rien ne permet à EDF d’affirmer que celui-ci n’a eu « aucun impact sur l’environnement ». Un dépassement n’est pas à prendre à la légère : les seuils de rejets, taillés « sur mesure » selon les propositions de l’exploitant, sont fixés en fonction d’un optimum économique et technique, et non de normes sanitaires.

    Enfin, alors qu’un tel rejet est anormal, EDF a attendu deux jours pour prévenir l’Autorité de sûreté nucléaire et la Commission Locale d’Information… et presque une semaine pour alerter les médias ! Voilà un bel exemple de la « transparence » vantée par la centrale !
    (...)
    Pour que ce rejet radioactif ne reste pas impuni, et afin que le Parquet puisse commencer une enquête, 9 associations ont déposé plainte le 28 novembre contre EDF.

    • Non-respect des conditions de rejet des effluents radioactifs gazeux
      https://www.asn.fr/Controler/Actualites-du-controle/Avis-d-incident-des-installations-nucleaires/Non-respect-des-conditions-de-rejet-des-effluents-radioactifs-gazeux

      L’activité totale rejetée à la cheminée a été évaluée à 136 GBq soit 0,3 % de l’activité annuelle autorisée par l’arrêté du 18 septembre 2006.

      La surveillance de la radioactivité réalisée en limite du site et autour de la centrale nucléaire n’a mis en évidence aucune élévation de l’activité ambiante.

      L’exploitant analyse actuellement les causes profondes de l’événement ayant conduit au non-respect des conditions réglementaires de rejet des effluents radioactifs gazeux pendant deux minutes. L’installation de dégazage à l’origine de l’événement est actuellement maintenue à l’arrêt.

      L’événement a été déclaré à l’ASN dans les délais réglementaires.

      Du fait de la durée limitée du rejet, cet événement n’a pas eu de conséquence réelle sur le personnel, sur l’environnement et sur la sûreté de l’installation. L’ASN classe cet événement au niveau 0 de l’échelle internationale des événements nucléaires INES.

  • Livre-enquête sur le nucléaire : la réalité dépasse la fission
    http://www.parismatch.com/Culture/Livres/Livre-enquete-sur-le-nucleaire-la-realite-depasse-la-fission-1107854#

    C’est justement le genre de réponse que Jean Songe, un brave Français comme vous et moi, installé à l’ombre ou presque de Golfech, n’a plus supporté. D’où l’enquête qu’il a menée pendant des mois, puis des années pour tout comprendre du dragon qui ronflait à 17 kilomètres de chez lui. Les yeux grands ouverts sur la réalité, il a vu un cauchemar et son livre révèle sur Fukushima, Tchernobyl ou nos centrales mille faits passionnants et affolants à faire dresser les cheveux sur la tête. Même si des savants Cosinus vaniteux comme des paons vous expliquent obstinément que, chez nous, jamais il n’arrivera rien. Comme s’il existait dans l’histoire une seule industrie qui n’ait jamais connu une catastrophe. Sauf que, ce jour-là, les gens qui vivent à proximité n’auront plus qu’à prendre un balluchon et à demander aux mendiants ukrainiens comment survivre quand on a tout perdu.

    #Nucléaire #Environnement #énergie #Essai

  • Commission Locale d’Information auprès du CNPE de Golfech
    http://www.cligolfech.org

    La vie de la CLI

    – 29 septembre 2009 : réunion du conseil d’administration
    – 13 octobre 2009 : assemblée générale d’automne de la CLI
    – 11 février 2010 : réunion du bureau
    – 23 février 2010 : commission « Suivi du fonctionnement et de l’impact de la centrale nucléaire » : bilan du fonctionnement 2009 de la centrale nucléaire de Golfech (sûreté, rejets)
    – 8 avril 2010 : réunion du conseil d’administration
    – 15 juin 2010 : assemblée générale de printemps de la CLI

    Prochaines réunions :
    – Septembre 2010 : commission « Protection des populations »
    – Novembre 2010 : commission « Suivi du fonctionnement et de l’impact de la centrale nucléaire »
    – Fin 2010 : conseil d’administration et assemblée générale de la CLI

    Après ? Rien.

  • 55% des réacteurs nucléaires français seraient défectueux

    http://tempsreel.nouvelobs.com/planete/20160928.OBS8960/info-obs-55-des-reacteurs-nucleaires-francais-defectueux.html


    « Je n’ai jamais vu de problèmes aussi graves à une échelle nationale. » La confidence émane d’un homme qui en a pourtant vu d’autres, le Britannique John Large. Cet expert internationalement reconnu pour les questions de sécurité nucléaire a déjà été réquisitionné par le passé pour enquêter sur les sous-marins russes ou sur les survols des centrales françaises par des drones. Cette fois, c’est sur les cuves des réacteurs et générateurs de vapeur des centrales qu’il s’est penché pour le compte de l’ONG Greenpeace, et le résultat est, comme il le dit, « pas seulement inquiétant, mais franchement préoccupant ».

    Qu’indique son rapport, rendu public ce jeudi 29 septembre, et que « l’Obs » a pu se procurer en exclusivité ? Qu’une bonne moitié (55%) au moins des réacteurs nucléaires français – peut-être davantage - comportent des pièces défectueuses.

    On savait certes, grâce à un document rendu public par l’ASN le 23 septembre dernier, que les centrales tricolores comptaient 87 pièces irrégulières. Mais le rapport Large enfonce le clou : il en a déniché 107, et n’a probablement pas terminé son travail. Ces pièces ont été commandées par Areva et fondues par l’entreprise Creusot Forge ces dernières décennies.

    Des Fukushima possibles

    Leur grande faiblesse porte un nom : « anomalie de la teneur en carbone ». C’est-à-dire qu’elles ont été fondues en laissant une trop grande teneur en carbone dans certaines zones. En cas de choc thermique (c’est-à-dire à l’envoi d’eau glacée pour refroidir l’emballement d’un réacteur, action déployée en cas de surchauffe), ce trop-plein de carbone rend l’acier cassant, donc vulnérable à la fissuration, voire à la déchirure.

    Autrement dit, elles ne résisteraient pas et les conséquences en seraient évidemment catastrophiques. John Large alerte :

    « Ce sont autant de Fukushima possibles ! »

    Pour autant, les malfaçons ne sont pas réservées aux réacteurs les plus anciens, puisqu’une dizaine, soit un petit tiers d’entre eux, sont de fabrication récente. Pour Cyrille Cormier, chargé de campagne chez Greenpeace :

    « C’est toute la chaîne du nucléaire français, de la fabrication à la vérification, qui est discréditée par le travail du cabinet Large. Et nous ne sommes pas au bout de nos découvertes, il en reste probablement beaucoup à connaître ! C’est le signe qu’il est urgent de mettre hors d’état de nuire un grand nombre de ces centrales. »

    • Et ces anomalies ne datent pas d’aujourd’hui. John Large explique :
      «Même si l’on dispose d’informations précises, on constate que les pièces fabriquées depuis 1965 au Creusot souffrent de ces irrégularités. Et que les vérifications techniques effectuées par Areva ne sont pas fiables, pas plus que les certifications de l’ASN.»

      ...mais qui fait (encore) confiance à Areva pour les vérifications techniques ???
      #areva #fukushima #nucléaire #greenpeace

    • Tiens, l’autre jour, il ne devait pas y avoir possibilité d’atterrir de suite à l’aéroport de Toulouse, du coup, l’avion AirFrance AF 6128 dans lequel j’étais est allé survoler la centrale de Golfech. Oui, oui, on a fait un petit détour touristique en attendant …

  • Ephéméride des luttes : 2 juin-Marseille Infos Autonomes
    https://mars-infos.org/ephemeride-des-luttes-2-juin-1222

    @Ad Nauseam - Dès 1982, on disait ceci : « En ce qui concerne notre Parti Socialiste préféré [...] on ne nous fera plus jamais prendre une rose pour autre chose qu’une grenade offensive. A Golfech comme ailleurs, leurs arguments sont simples : pif, paf, boum. ». L’éphéméride des luttes aujourd’hui est (...)

    #Marseille_Infos_Autonomes / #Mediarezo

  • ---- #Exploitation ----------------------
    A votre #santé !

    Petite éruption de luttes sociales dans les cliniques privées  : celle des Cèdres à #Toulouse, la clinique de Gascogne à #Auch tout comme la clinique du Pont-de-Chaume à #Montauban.

    Ces luttes ont un point commun  : le refus de la dégradation des conditions de travail. Aux Cèdres comme à la clinique de Gascogne (30 jours de grève), la détermination des salariés à permis d’obtenir de notables améliorations.

    A la clinique du Pont-de-Chaume, deuxième établissement de santé du département (plus de 500 salariés) la lutte continue après 37 jours de grève.

    En 2010, une grève de 18 jours (la première dans l’histoire de la clinique) s’était terminée par un compromis bâtard et finalement par une stabilisation, un arrêt de la dégradation des conditions de travail (1). Cinq ans après, nous voici revenus au point de départ  : la clinique appartient désormais à un important groupe financier, propriétaire de plus de 80 cliniques, qui fait preuve d’une grande imagination (par exemple  : vente des bâtiments de la clinique à une SCI qui, en retour, facture à cette même clinique un loyer de 350 000 €, et «  Passez muscade  », comme on dit). Elle n’hésite pas, c’est un classique du genre, à augmenter la charge de travail des salariés (non-remplacement systématique des employés absents, augmentation du taux d’occupation des lits à effectif constant…) pour accroître ses profits.

    Le résultat a été une forte dégradation des conditions de travail des personnels soignants (d’où une augmentation du nombre des arrêts-maladie et des accidents du travail) ce qui nécessairement nuit à la qualité des soins prodigués aux patients. A l’appel de la CGT (seul syndicat présent) et en réponse à une ultime provocation de la direction (proposition de réformer l’organisation de la clinique pour améliorer la productivité des salariés en accroissant leur polyvalence  !) une assemblée générale des personnels a rédigé un cahier de revendications (amélioration des conditions de travail et augmentations salariales). Des débrayages furent organisés. Comme ils restaient sans effet, une assemblée du personnel décida alors la grève. Près de deux cents personnes essentiellement des membres féminins du personnel soignant (soit 80 % du personnel soignant de la clinique) dont une majorité non-syndiqués se lancèrent dans la lutte (à noter la très faible implication des personnels non-soignants – administratifs ou autres - voire même la non-participation de certains syndiqués CGT).

    Piquets de grève (très suivis et dynamiques), manifestations, opérations de sensibilisation sur l’espace public, information de la population,… malgré tous les efforts des grévistes et après trente-sept jours de grève la direction, arc-boutée sur ses prérogatives et soutenue de fait par la municipalité, refuse de plier. La lutte continue. Un point important à souligner  : certains grévistes ont fait part de leur étonnement d’être peu soutenus par la population, alors qu’ils se battent pour défendre aussi le droit pour tous à des soins de qualité.

    Une explication est que la grève est, depuis le début, conduite, dirigée exclusivement par la CGT, et la seule image que la population a des grévistes est celle des drapeaux cégétistes, le seul discours venant des grévistes est celui des responsables cégétistes de la clinique ou de l’Union départementale. Or, les prises de position très politiques de la CGT par rapport à Sivens (pro-barrage), par rapport au nucléaire et à la centrale de Golfech toute proche (pro-nucléaire), par rapport à la LGV Bordeaux Toulouse (pro-LGV), par rapport aux gaz de schistes (pro-gaz de chistes), etc., etc. sont connues de tous. On peut donc penser que beaucoup de personnes, pourtant de cœur avec les grévistes, refusent leur soutien pour ces raisons.

    La formation d’un comité de grève, réunissant CGT et non-syndiqués, permettrait de dépasser ce problème. Le cri de ralliement «  Tous ensemble, Tous ensemble  » entonné par les grévistes à chaque moment important de la lutte prendrait alors toute sa signification.

    Quoi qu’il en soit les salariés de la clinique du Pont-de-Chaume, confrontés à un patronat de combat, doivent plus que jamais être soutenus par tous ceux qui aspirent à plus de justice,d’égalité et de dignité.

    1.- Voir notre numéro 118 : http://www.cntaittoulouse.lautre.net/spip.php?article373

    Article d’@anarchosyndicalisme ! n°147 /// Décembre 2015 - Janvier 2016

  • Devant, et sur les flancs
    http://www.piecesetmaindoeuvre.com/spip.php?page=resume&id_article=557

    Certains mouvements de contestation relèvent à la fois du général et du local. Il y eut la vague anti-nucléaire entre 1975 et le début des années 1980, où l’on ne parlait que de Plogoff, Golfech, Malville, Chooz, etc. Il y eut la vague anti-OGM à la fin des années 1990, après le saccage du laboratoire du CIRAD à Montpellier, avec tous les faucheurs diurnes ou nocturnes dans les champs de chimères génétiques. Depuis deux ans, ce sont les « grands projets inutiles » qui sécrètent autant de ZAD (zones à défendre) d’un bout à l’autre de la France (Notre-Dame des Landes, Sivens, Avignon, Roybon) à la suite du Val de Suse en Italie (TGV Lyon-Turin). Ce n’est pas mépriser ces vagues de luttes que de constater leur reflux et leur échec à peu près général. Ce qui est plus difficile, c’est d’être capable, dans le feu (...)

    #Faits_divers
    http://www.piecesetmaindoeuvre.com/IMG/pdf/Devant_et_sur_les_flancs-2.pdf

  • Attaque terroriste à la centrale nucléaire de Golfech - 18/04/2014 - LaDépêche.fr
    http://www.ladepeche.fr/article/2014/04/18/1865800-attaque-terroriste-a-la-centrale-nucleaire-de-golfech.html

    Un hélicoptère de la gendarmerie, une équipe cynophile, des gendarmes de la compagnie de Castelsarrasin et du PSPG de Golfech, des démineurs de la Sécurité civile et des agents EDF ayant pris part aux PC de crise : ce sont environ 80 personnes qui ont été mobilisées, hier matin, par un vaste exercice de sécurité à la centrale nucléaire de Golfech.

    #foutage_de_gueule
    #militaires
    #nucléaire

    L’analphabétisme militaire est patent, et donc, ils feront quoi des missiles ? On voit bien qu’ils sont de fiers soldats qui ne veulent pas se retrouver à nouveau humiliés par des petits militants anti-nucléaire, rentrés à plusieurs reprises dans ces enceintes !
    Mais en cas d’attaque aérienne, de tremblement de terre, d’accident technique, donc de possible fuites du réacteur, on fera appel à eux pour stopper les radiations avec leurs petits bras et la #propagande de #La_dépêche ?

    Une seule solution : arrêtons les centrales nucléaires.

  • L’envers du décor, 1993 « Et vous n’avez encore rien vu…
    http://sniadecki.wordpress.com/2012/04/14/lenvers-du-decor-1993

    Divertissement en un acte

    À l’occasion du colloque sur la “responsabilité scientifique”, en la cité de Carcassonne, nous proposons humblement aux lecteurs le divertissement qui va suivre. Il est entièrement inédit et vous permettra de lire un dialogue des plus inattendus entre trois mystérieux personnages. Avec, par ordre d’entrée en scène : Le spongieux, Monsieur C.N. et La call-girl.

    Tout le monde aura reconnu les grands acteurs qui se cachent derrière ces sobriquets et qui nous font l’honneur d’être parmi nous aujourd’hui. Voici donc, le spongieux André Comte-Sponville, professeur de philosophie de son État, le ténébreux Monsieur Centrale Nucléaire (C.N.), alias Monsieur Bourjade, ingénieur pour les dames et anonyme mais efficace Directeur de l’aménagement au CNPE de Golfech, et enfin voici venir la grande, la très grande call-girl du pouvoir et de la pensée, en laquelle nous vous demandons de reconnaître Monsieur Jacques Testard.

  • Fissions au cœur du nucléaire français | Tristan Coloma (Le Monde diplomatique)
    http://www.monde-diplomatique.fr/2011/10/COLOMA/21069

    L’explosion d’un four sur le site nucléaire de Marcoule (Gard), le 12 septembre, a fait un mort et quatre blessés. Après la catastrophe humaine et écologique de Fukushima en mars, l’accident propulse l’atome au cœur de la campagne présidentielle française : cette industrie, à la rentabilité incertaine, divise les candidats. Une page se tournerait-elle en France, pays le plus nucléarisé du monde par rapport au nombre d’habitants – et qui, de Golfech à Tricastin, avait jusqu’ici fait de l’énergie atomique le pilier stratégique de son indépendance ? (...) Source : Le Monde diplomatique