city:islam

  • Le blogueur pakistanais #Bilal_Khan sauvagement assassiné

    Très populaire sur les réseaux sociaux du pays, où il s’exprimait notamment sur les questions religieuses, ce jeune citoyen-journaliste a été tué à l’arme blanche en banlieue d’Islamabad. Reporters sans frontières (RSF) appelle les autorités du Pakistan à faire toute la lumière sur ce meurtre.


    https://rsf.org/fr/actualites/le-blogueur-pakistanais-bilal-khan-sauvagement-assassine

    #assassinat #meurtre #Pakistan

  • Moment détente (?) : Elle croit aller aux toilettes et ouvre en fait l’issue de secours du Boeing 777 (La Dépêche)
    https://www.crashdebug.fr/diversifion/16111-moment-detente-elle-croit-aller-aux-toilettes-et-ouvre-en-fait-l-is

    On n’a pas souvent l’occasion de se marrer dans ce monde de dingue, aussi comme ça m’a fait exploser de rire, je vous passe l’info.

    C’est ce qu’on appelle une grosse boulette ! Vendredi soir, une passagère d’un vol de la compagnie Pakistan International Airlines qui devait relier l’aéroport britannique de Manchester à celui d’Islamabad a provoqué un retard de près de 10 heures en ouvrant une issue de secours l’avion à la place de la porte des toilettes.

    Le Boeing 777 allait décoller de l’aéroport de Manchester : les portes de l’appareil étaient déjà armées, c’est-à-dire verrouillées, et les passagers étaient tous assis et le signal lumineux leur intimant d’attacher leurs ceintures était allumé.

    Passant outre cette consigne, alors que le Boeing quittait son (...)

    #En_vedette #Divers

  • De l’art du titrage

    Vives tensions à cause d’une « frappe » indienne contre un camp terroriste au Pakistan

    s’affiche sur la une du e-monde.fr et il faut cliquer pour lire que

    Islamabad conteste cette version, affirmant avoir repoussé une brève incursion de l’armée de l’air indienne sur son territoire.

    et c’est en lisant l’article qu’on apprend sans surprise que

    La France, de son côté, a défendu « la légitimité de l’Inde à assurer sa sécurité contre le terrorisme transfrontalier » et demandé au Pakistan de « mettre fin aux agissements des groupes terroristes installés sur son territoire ».

    Que signifie ces guillemets autour de « frappe » ? Est-ce que c’était des douces caresses de missiles et non des frappes ?

    « Aux premières heures aujourd’hui, l’Inde a frappé le plus grand camp d’entraînement de Jaish-e-Mohammed à Balakot », a dit M. Gokhale, qualifiant ce raid d’« action préventive non militaire », un raid « spécifiquement ciblé sur le camp de JeM ».

    « Dans cette opération, un très grand nombre de terroristes, de formateurs, de commandants de haut rang et de jihadistes entraînés aux attentats-suicides de Jaish-e-Mohammed ont été éliminés », a-t-il poursuivi.

    Je sais pas trop ce qu’est une « frappe » avec des guillemets, mais manifestement ca élimine préventivement des vies et ca élimine le mot « préventif » des « frappes ».

    La Chine et l’Union européenne ont ainsi appelé mardi les deux pays à « la retenue ».

    La France de son coté en appelle à la guerre nucléaire puisqu’elle a vendu ses armes à l’Inde et non plus au Pakistan (l’affaire Karachi ayant compliqué le business).

    Sur le front diplomatique, l’Inde s’est efforcée ces derniers jours d’isoler le Pakistan. Avec l’aide de la France, elle cherche à inscrire Masood Azhar, le chef du JeM qui vit en liberté au Pakistan, sur la liste de sanctions du Conseil de sécurité de l’ONU. Une source diplomatique juge toutefois improbable qu’après les frappes indiennes de mardi, la Chine, proche alliée du Pakistan et membre du Conseil de sécurité, donne son accord. Pékin y a déjà mis son veto à trois reprises.

    Le Pakistan achète manifestement ses armes à la Chine.
    La Chine n’achète manifestement pas d’armes à la France non plus et ca c’est vraiment pas gentil.
    Et ne dites pas que la France est islamophobe, ou même terroriste-o-phobe ! La France aime beaucoup les Saoudiens (tant qu’ils achetent nos pan-dans-l’oeil et nos pan-dans-la-gueule). Par contre les pays qui ne nous achètent pas d’armes sont des terroristes en puissance qui méritent une bombe nucléaire préventive dans leurs faces.
    Vive la diplomatie en marche.

    edit : voici la source https://www.lemonde.fr/international/article/2019/02/26/le-pakistan-accuse-l-inde-d-incursion-aerienne-au-cachemire_5428279_3210.htm

  • Islamabad a le pas qui se tend
    http://www.chroniquesdugrandjeu.com/2019/02/islamabad-a-le-pas-qui-se-tend.html

    Le Pakistan est à nouveau dans l’œil du cyclone, au centre d’une tempête dont les implications peuvent cette fois aller très loin. Les frères ennemis du sous-continent sont en effet membres de l’Organisation de Coopération de Shanghai désormais, pleinement...

  • Imran Khan leaves for Saudi conference saying #Pakistan ’desperate’ for loans | Reuters
    https://uk.reuters.com/article/uk-saudi-khashoggi-pakistan/imran-khan-leaves-for-saudi-conference-saying-pakistan-desperate-for-loa

    Pakistan’s Prime Minister Imran Khan left for Saudi Arabia to attend an investment conference boycotted by other leaders over the death of journalist Jamal Khashoggi at the Saudi consulate in Istanbul.

    • Despite PR duress, Saudi $6bn to Pakistan comes with strings | Asia Times
      http://www.atimes.com/article/despite-pr-duress-saudi-6bn-to-pakistan-comes-with-strings

      Fermer les yeux sur le financement saoudien de groupes armés du Balochistan pakistanais chargés de mener des opérations contre l’Iran en Iran, et amener le Pakistan à s’impliquer plus au Yémen.

      Balochistan is of strategic interest to both Iran and Saudi Arabia, bordering the Islamic Republic and located north of the Arabian Sea.

      Saudi Arabia has faced allegations of backing anti-Shiite jihadist groups in Balochistan, namely Jundullah and Jaish al-Adl, and a heightened influence could be dangerous for Pakistan’s security.

      “If you increase investment, it is not just money that pours in. With the money comes influence,” analyst Siddiqa said.

      “It’s hard to imagine a $6 billion gift with no strings attached,” said Michael Kugelman, a scholar on Southeast Asia at the Woodrow Wilson Center in Washington, D.C.

      “There’s a very good chance Saudi Arabia placed some type of conditions on this support. Riyadh may have made it quite clear that Pakistan will need to rein in its recent efforts to position itself as a neutral actor in the Saudi-Iranian regional rivalry,” Kugelman said.

      “Pakistan has an Iran problem and a Saudi problem. [The Pakistani military] is allowing the Saudis to build up their capacity in Balochistan, which is in effect a certain kind of encirclement around Iran,” said Siddiqa.

      Pakistan and Saudi Arabia have maintained a defense partnership since 1983, though it is very difficult to pinpoint the exact number of Pakistani personnel in the kingdom. According to Kamal Alam of the London-based think tank RUSI, there are at least 1,200 Pakistani trainers in various Saudi security and military sectors.

      A source close to the Pakistani military said the number is far higher, however. Speaking on condition of anonymity, he told Asia Times there are upwards of 7,000 Pakistani military personnel in the kingdom.

      “One of the big questions coming out of this new deal is whether Riyadh has now asked Islamabad to operationalize that military presence and be willing to join Saudi military efforts in Yemen,” Kugelman said.

      “Islamabad has long resisted this ask from Saudi Arabia, but with this financial assistance Islamabad is now getting, Riyadh has more leverage,” he added.

      According to a political source briefed on the matter but who declined to be named due to the sensitivity of the subject, the Pakistani armed forces have been under mounting pressure from the Saudis to join the conflict in Yemen.

  • GirlsOnBikes: Women Ride Bicycles To Reclaim Public Spaces in Pakistan · Global Voices

    https://globalvoices.org/2018/04/12/girlsonbikes-women-ride-bicycles-to-reclaim-public-spaces-in-pakistan

    On April 1, 2018, a bicycle rally was organized in major cities of Pakistan (Islamabad, Lahore, and Karachi) by prominent Pakistani feminist collective Girls at Dhabas. The ‘Girls On Bikes’ Rally was their third annual event to promote female participation in public events, fight restrictions faced by women in public places and increase awareness about issues faced by women.

    In May 2015, two Karachi-based girls, Sadia Khatri and Natasha Ansari, started using the hashtag #GirlsAtDhabas as a space to curate photos of women on Tumblr. The hashtag went viral when hundreds of women across South Asia began sharing photos of themselves at dhabas (roadside cafes) on Twitter and Tumblr, launching a conversation about safe spaces for women. After this, the collective was born.

    #bicyclette #vélo #pakistan #féminisme

  • Les caisses sont vides.

    Elisabeth Revol en colère contre la lenteur et la mauvaise organisation des secours pakistanais
    https://france3-regions.francetvinfo.fr/auvergne-rhone-alpes/haute-savoie/elisabeth-revol-colere-contre-lenteur-mauvaise-organisa

    Côté diplomatique, les ambassades de France et de Pologne se sont activées en coulisse pour mobiliser rapidement les sommes demandées. Mais c’est l’ambassade de Pologne qui a réuni l’essentiel de la somme, car l’ambassade de France n’avait pas de liquide dans son coffre . Les employés ont complété la somme qui manquait, explique Masha Gordon, alpiniste russo-britannique.

    #30000#sauvetage #haute_montagne #hallucinant

    • Ta méchanceté ne t’honore pas @bce_106_6

      Quoiqu’on en pense, je notais ici que l’Ambassade de France au #Pakistan n’a pas un sou dans ses caisses et je trouve ça symptomatiquement grave. Sur le site de l’ambassade à Islamabad il est dit que Nos échanges économiques (avec le Pakistan) s’élèvent à près d’un milliard d’euros. Mais l’ambassade n’a pas les moyens d’un hélicoptère pour sauver ses ressortissants ? Et encore une fois, il n’y a pas d’histoire de jugement moral sur qui il faut ou pas sauver, enfin normalement.

    • https://seenthis.net/messages/652890#message663887
      tout à fait d’accord avec cdb_77

      Quand il s’agit d’une alpiniste française en difficulté dans l’Himalaya, des « secours hors normes » sont mis en place pour lui venir en aide, nous dit Ledauphine.com. Fort heureusement d’ailleurs.

      Mais s’il agit des personnes à la peau noire à la recherche d’un refuge en danger sur le Col de l’Echelle, alors là, ce ne sont pas les « secours mis en place » qui sont « hors norme », mais les forces de police, qui, au lieu de les secourir, les refoulent en Italie.

      Selon la nationalité, l’humanité n’a pas droit au même traitement.

  • Massacres à #Kaboul: les services pakistanais accusés
    https://www.mediapart.fr/journal/international/300118/massacres-kaboul-les-services-pakistanais-accuses

    Cérémonie funéraire, dimanche 28 janvier 2018 à Kaboul. © Reuters Trois terribles attaques-suicides ont assommé la capitale afghane depuis dix jours. Des experts locaux mettent en cause les services secrets pakistanais. Ces derniers enverraient un message à l’intention des États-Unis, après la suspension d’une partie de l’aide américaine à Islamabad.

    #International #Afghanistan

  • Face aux massacres causés par les attentats, #Kaboul se calfeutre
    https://www.mediapart.fr/journal/international/300118/face-aux-massacres-causes-par-les-attentats-kaboul-se-calfeutre

    Cérémonie funéraire, dimanche 28 janvier 2018 à Kaboul. © Reuters Trois terribles attaques-suicides ont assommé la capitale afghane depuis dix jours. Des experts locaux mettent en cause les services secrets pakistanais. Ces derniers enverraient un message à l’intention des États-Unis, après la suspension d’une partie de l’aide américaine à Islamabad.

    #International #Afghanistan

  • Après les attentats, #Kaboul se calfeutre
    https://www.mediapart.fr/journal/international/300118/apres-les-attentats-kaboul-se-calfeutre

    Cérémonie funéraire, dimanche 28 janvier 2018 à Kaboul. © Reuters Trois terribles attaques-suicides ont sonné la capitale afghane en dix jours. Des experts locaux mettent en cause les services secrets pakistanais, qui enverraient un message à l’intention des Etats-Unis, après la suspension d’une partie de l’aide américaine à Islamabad.

    #International #Afghanistan

  • How deep ties with Pakistan’s military helped Saudi purge | Asia Times
    http://www.atimes.com/article/deep-ties-pakistans-military-helped-saudi-purge

    Le général pakistanais n’est là que pour arrondir ses fins de mois.

    General Sharif had been rumored to be on the verge of quitting the IMAT [Islamic Military Alliance against Terrorism] on the grounds that Riyadh’s demand for ‘Sunni only’ military personnel was “sectarian.” However, these rumors were quashed when he told the Middle East Military Alliance and Coordination Conference last month that it was an “honor for him to be part of Saudi-led Islamic Military Alliance as a commander .

    Pakistani officials are at pains to describe General Sharif’s involvement as not being a reflection of Pakistan’s foreign policy. “General Raheel Sharif is leading the IMAT in his private capacity. His decisions do not reflect the official Pakistani policy – although one can understand why any of his actions can be construed as such, and we’re sure he’s perfectly aware of that,” a senior government official told Asia Times.”

    [...]

    While both civil and military officials maintain that #Pakistan has conveyed its unflinching neutrality to Riyadh, vis-à-vis #Iran, in reality Islamabad is treading a fine line. “Even if the Pakistani troops aren’t physically involved in an attack on Iran – or in Yemen, Qatar or Lebanon – the fact that we are bolstering Saudi defense domestically naturally makes us an integral part of their camp,” a retired Army officer told Asia Times. “When Pakistani troops are positioned to protect areas being shelled by Houthi rebels, they are technically guarding Saudi boundaries, but we’re also clearly picking our side in the conflict.”

    #Arabie_saoudite

  • Haqqani, la famille qui a fâché les Etats-Unis avec le #Pakistan
    https://www.mediapart.fr/journal/international/030917/haqqani-la-famille-qui-fache-les-etats-unis-avec-le-pakistan

    Dans une déclaration récente, Donald Trump s’en est pris vertement à Islamabad, son principal allié dans la lutte antiterroriste, qui « accueille les mêmes terroristes que nous combattons », en l’occurrence les talibans afghans. Parmi eux, le clan des Haqqani, ou l’histoire de la radicalisation sans fin d’une famille passée de la lutte contre les Soviétiques à la guerre contre les États-Unis.

    #International

  • EXCLUSIVE: Documents expose how Hollywood promotes war on behalf of the Pentagon, CIA and NSA
    US military intelligence agencies have influenced over 1,800 movies and TV shows
    https://medium.com/insurge-intelligence/exclusive-documents-expose-direct-us-military-intelligence-influence-on-1-80

    We have recently acquired 4,000 new pages of documents from the #Pentagon and CIA through the Freedom of Information Act. For us, these documents were the final nail in the coffin.

    These documents for the first time demonstrate that the US government has worked behind the scenes on over 800 major #movies and more than 1,000 TV titles.

    The previous best estimate, in a dull-as-dishwater academic book way back in 2005, was that the Pentagon had worked on less than 600 #films and an unspecified handful of television shows.

    The CIA’s role was assumed to be just a dozen or so productions, until very good books by Tricia Jenkins and Simon Willmetts were published in 2016. But even then, they missed or underplayed important cases, including Charlie Wilson’s War and Meet the Parents.

    [...]

    #Vietnam is evidently another sore topic for the US military, which also removed a reference to the war from the screenplay for Hulk (2003). While the military are not credited at the end of the film, on IMDB or in the DOD’s own database of supported movies, we acquired a dossier from the US Marine Corps detailing their ‘radical’ changes to the script.

    This included making the laboratory where the #Hulk is accidentally created into a non-military facility, making the director of the lab an ex-military character, and changing the code name of the military operation to capture the Hulk from ‘ #Ranch_Hand ’ to ‘Angry Man’.

    https://fr.wikipedia.org/wiki/Opération_Ranch_Hand

    ‘Ranch Hand’ is the name of a real military operation that saw the #US_Air_Force dump millions of gallons of pesticides and other poisons onto the Vietnamese countryside, rendering millions of acres of farmland poisoned and infertile.

    They also removed dialogue referring to ‘all those boys, guinea pigs, dying from radiation, and germ warfare’, an apparent reference to covert military experiments on human subjects.

    [...]

    The #CIA has also managed to #censor scripts, removing or changing sequences that they didn’t want the public to see. On #Zero_Dark_Thirty screenwriter Mark Boal ‘verbally shared’ his script with CIA officers, and they removed a scene where a drunk CIA officer fires an AK-47 into the air from a rooftop in #Islamabad, and removed the use of dogs from the #torture scenes.

    [...]

    While very little is known about the NSA’s activities in the entertainment industry we did find indications that they are adopting similar tactics to the CIA and DOD.

    Internal #NSA emails show that the producers of #Enemy_of_the_State were invited on multiple tours of NSA headquarters. When they used a helicopter to film aerial footage of Fort Meade, the NSA did not prevent them from using it in the movie.

    According to a 1998 interview with producer Jerry Bruckheimer, they changed the script at the NSA’s request so that the wrongdoings were the actions of one bad apple NSA official, and not the agency in general.

    Bruckheimer said:

    ‘I think the NSA people will be pleased. They certainly won’t come out as bad as they could have. NSA’s not the villain.’

    This idea of using cinema to pin the blame for problems on isolated rogue agents or bad apples, thus avoiding any notion of systemic, institutional or criminal responsibility, is right out of the CIA/DOD’s playbook.

    #Censure #Propagande #censorship

  • « Let it shine » : des solutions solaires pour les soins de santé à Gaza
    Middle East Eye | Jillian D’Amours | 7 avril 2017
    http://www.middleeasteye.net/fr/reportages/let-it-shine-des-solutions-solaires-pour-les-soins-de-sant-gaza-15776

    « Une chose qui ne peut jamais être arrachée à un peuple, c’est le soleil. » Voici l’idée qui sous-tend un effort international visant à apporter l’électricité de manière ininterrompue aux hôpitaux de la bande de Gaza à l’aide de panneaux solaires.

    Suite à une campagne de collecte de fonds réussie qui s’est conclue en 2015, les organisateurs soutiennent que le premier centre de santé de Gaza – l’hôpital al-Aqsa à Deir al-Balah – devrait fonctionner 24 heures sur 24 avec de l’énergie renouvelable d’ici la fin du mois d’avril.

    « C’est un projet d’environnement durable, a déclaré Ben Thomson, un médecin canadien qui a aidé à lancer le projet. « Cette énergie sera toujours là. C’est une source d’énergie durable qui est exploitée de manière à sauver la vie des gens... c’est une victoire pour tout le monde. »

    « Une chose qui ne peut jamais être arrachée à un peuple, c’est le soleil »

    Au prix de 200 000 dollars par système, des panneaux solaires seront d’abord installés à l’hôpital al-Aqsa, puis à l’hôpital Kamal Adwan de Beit Lahia et à l’hôpital pédiatrique Rantisi de la ville de Gaza. Un système plus vaste sera également mis en place dans l’hôpital européen de Khan Younès.

    Une campagne Indiegogo pour financer le projet de ces hôpitaux a recueilli plus de 215 000 dollars de dons de la part de plus de 1 150 mécènes en 2015.

    Les organisateurs se sont associés à Islamic Relief Canada et au Programme des Nations unies pour le développement (PNUD), qui coordonne le transport de l’équipement –panneaux solaires, batteries et alternateurs – à Gaza.

    #Somoud

  • Pakistan Starts Building Fence Along Border With Afghanistan - WSJ
    https://www.wsj.com/articles/pakistan-starts-building-fence-along-border-with-afghanistan-1490555484

    By Saeed Shah
    March 26, 2017 3:11 p.m. ET

    ISLAMABAD, Pakistan—Pakistan said it has begun building a fence along its border with Afghanistan, a move that could further rile relations between the two countries, each of which blames the other for harboring terrorists.

    Kabul doesn’t recognize hundreds of miles of Pakistan’s mountainous northwest border, which was drawn up under British colonial rule. Pakistan in February closed the border for “security reasons” for more than a month, to protests from landlocked Afghanistan, reopening it on March 20.

    Militants from Pakistan have relocated in Afghanistan and use its territory to stage attacks into Pakistan, Islamabad says.

    #pakistan #afghanistan #afpak #mur #frontières

  • Voyage dans l’Amérique en guerre (4/4) : une guerre sans limites

    http://www.lemonde.fr/ameriques/article/2017/01/06/voyage-dans-l-amerique-en-guerre-4-4-une-guerre-sans-limites_5058934_3222.ht

    Au nom de la lutte contre le djihadisme, le 11-Septembre a précipité les Etats-Unis dans quinze années de combats . Dernier volet de notre reportage dans un pays tourmenté.

    Tentant d’esquisser un bilan de ces quinze années, l’ex-colonel Andrew Bacevich, devenu historien et professeur à l’université de Boston, dénonce « la normalisation de la guerre. Pendant la guerre froide, le Vietnam et d’autres conflits, l’objectif politique final d’un président était la paix. Même les plus cyniques évoquaient la paix. Cette année, je n’ai entendu aucun des deux candidats à la présidentielle en parler. Ils promettent la guerre, pas la fin de la guerre ».

    Ce jour-là, à Boston, Andrew Bacevich a réuni chercheurs, militaires et espions pour une conférence intitulée « Quinze ans après le 11-Septembre ». Deux anciens pontes du renseignement s’interrogent. Ardent défenseur des programmes mis en œuvre depuis 2001, John Deutch, un ex-directeur de la CIA, constate que « le 11-Septembre a détruit tout le système sur lequel était bâtie la sécurité nationale américaine, où l’on faisait la différence entre l’extérieur et l’intérieur, et entre la guerre et la paix », et qu’il a bien fallu s’adapter à un monde nouveau.

    Andrew Bacevich, professeur à l’université de Boston (Massachusetts), le 14 septembre 2016.
    Nettement plus critique, Paul Pillar, un ancien du contre-terrorisme de la CIA et de l’état-major du renseignement, professeur à l’université Georgetown de Washington, dénonce « l’usage politique qui a été fait de la peur et des angoisses des Américains pour justifier à la fois la restriction des libertés et l’invasion de l’Irak. Alors que, franchement, il est impossible d’affirmer que nous sommes plus en sécurité aujourd’hui qu’il y a quinze ans ». S’adressant aux étudiants, et contrairement à beaucoup d’agents de la sécurité nationale qui se sont résignés à accompagner décisions politiques et avancées technologiques sans débat éthique, Pillar les conjure de « ne pas se résigner : ne prenez jamais la normalité pour inévitable ! »

    Au cours de ce voyage dans l’Amérique en guerre, une visite s’imposait. Un détour par Rockville, dans cet Etat du Maryland qui, avec la Virginie, accueille autour de Washington toute l’élite sécuritaire du pays. C’est là que vit un ancien espion, Marc Sageman, devenu au fil des années et de ses recherches peut-être le meilleur analyste du conflit entre l’Amérique et le djihad.

    Au cimetière d’Arlington (Virginie), le 21 septembre 2016.
    Sageman a vécu cette guerre à tous les postes : après avoir formé pour la CIA, dans les années 1980, les moudjahidin afghans et arabes qui combattaient les Russes en Afghanistan, après s’être ensuite frotté dans le monde civil à la criminalité en tant que médecin légiste et psychiatre, il est revenu aux affaires sensibles après le 11-Septembre, mû par « un sentiment de culpabilité d’avoir peut-être entraîné certains de ces types » et par « une envie de comprendre qui ils sont et ce qu’ils cherchent ».

    Il a repris du service pour le Pentagone à Washington et en Afghanistan, pour le FBI, pour la police de New York, pour le Secret Service chargé de la protection des présidents, et pour des instituts de recherche et des universités. C’est souvent lui, quelle que soit sa casquette, qu’on appelle pour interroger un djihadiste arrêté ici ou là, pour tenter d’évaluer la menace et de comprendre des motivations que la majorité des Américains considèrent comme incompréhensibles.

    POUR JOHN DEUTCH, UN EX-DIRECTEUR DE LA CIA, « LE 11-SEPTEMBRE A DÉTRUIT TOUT LE SYSTÈME SUR LEQUEL ÉTAIT BÂTIE LA SÉCURITÉ NATIONALE AMÉRICAINE, OÙ L’ON FAISAIT LA DIFFÉRENCE ENTRE L’EXTÉRIEUR ET L’INTÉRIEUR »

    Marc Sageman, qui a toujours jugé sévèrement les politiques étrangères de Bush puis d’Obama, est aujourd’hui encore plus désabusé que lors de conversations passées. « Même avec Obama, que j’ai pourtant soutenu, la situation a empiré. Il s’est entouré de faucons et est devenu faucon. Cette war on terror est incontrôlable. Elle a généré un complexe militaro-industriel de l’antiterrorisme dont les budgets se comptent en milliers de milliards de dollars. »

    L’ancien agent de la CIA à Islamabad n’est pas tendre non plus avec la préoccupation du moment, le front intérieur. Lui qui a pu interroger nombre de suspects arrêtés aux Etats-Unis estime que, malgré la menace réelle et quelques attaques réussies, « l’immense majorité de ces jeunes paumés ont été manipulés sur Internet par le FBI, qui parfois leur a même vendu les armes servant de preuves lors de leur arrestation ». « Au moins 400 arrestations ont été montées par le FBI pour des raisons de budget et de publicité. C’est la même technique que celle employée par John Edgar Hoover contre les communistes, puis contre les Noirs, puis contre les opposants à la guerre du Vietnam. Ces techniques avaient été suspendues après le Vietnam, sauf pour les dealers de drogue. Le FBI les a réactivées en 2001, soi-disant pour nous protéger de gens dangereux, mais en fait pour surveiller tout le monde et piéger qui il veut. »

    La torture, ligne de fracture

    Pour Marc Sageman, comme pour beaucoup d’Américains qui réfléchissent à l’onde de choc de ces conflits pour le pays et ses valeurs, la ligne de fracture de l’Amérique post-11-Septembre est la torture, ordonnée par Bush, puis supprimée par Obama sans être pénalement condamnée. « Raconter, comme dans le film Zero Dark Thirty, que la torture a permis de tuer Ben Laden, c’est vraiment de la connerie. Je connais le dossier. Cette histoire a été inventée par des types de la CIA qui ont enfumé les scénaristes du film. »

    L’ancien espion Marc Sageman, à Montgomery County (Maryland), le 19 septembre 2016.
    Son plus grand regret, à l’heure où Barack Obama va quitter la présidence, est « qu’il n’ait pas ordonné de poursuivre en justice nos criminels de guerre. Tant qu’il n’y aura pas de condamnation, ça recommencera ». Entraînant, comme avec Guantanamo ou Abou Ghraib, comme à chaque fois que l’Amérique n’est pas exemplaire sur l’état de droit, une augmentation significative du nombre de combattants ennemis.

    Kenneth Roth, le directeur de Human Rights Watch, la plus importante organisation de défense des droits de l’homme américaine, regrette lui aussi ce choix d’Obama, qui a supprimé l’utilisation de la torture le premier jour de sa présidence tout en excluant immédiatement de punir l’administration Bush pour ses excès. « Ne pas poursuivre en justice, c’est ramener la torture à une décision politique, au lieu de la rendre illégale. Obama l’a supprimée, ainsi que les détentions secrètes, mais ne pas condamner les responsables de la torture est un feu vert pour qu’un autre la rétablisse. »

    Lors d’une tournée d’entretiens avec des stratèges américains il y a huit ans, pendant l’hiver de transition entre Bush et Obama, beaucoup critiquaient déjà, pour des raisons diverses, la war on terror. Même si Ben Laden n’avait à l’époque pas encore été tué, chacun soulignait que le mot « guerre » semblait inadapté, puisque les responsables opérationnels des attaques du 11-Septembre, dont leur coordinateur Khalid Cheikh Mohammed, avaient été arrêtés au Pakistan par des moyens tout à fait classiques de renseignement et de police.

    POUR BEAUCOUP D’AMÉRICAINS QUI RÉFLÉCHISSENT À L’ONDE DE CHOC DE CES CONFLITS POUR LE PAYS ET SES VALEURS, LA LIGNE DE FRACTURE DE L’AMÉRIQUE POST-11-SEPTEMBRE EST LA TORTURE

    Si les années Obama ont permis un retour des troupes au bercail, elles n’ont en revanche pas inversé cette tendance à ne penser qu’en termes militaires. La militarisation de la lutte antidjihadiste est même telle, depuis que l’Etat islamique a bâti une armée de dizaines de milliers de combattants, que tout le monde a oublié que la réaction au 11-Septembre aurait peut-être pu être principalement policière, et plus personne ne critique la militarisation de la pensée. La réalité est là : aujourd’hui, en Irak et en Syrie mais également au Sahel, en Libye, au Yémen et ailleurs, seuls des moyens militaires peuvent venir à bout de certains groupes djihadistes, eux-mêmes désormais fortement militarisés.

    Quant à Khalid Cheikh Mohammed, il croupit toujours à Guantanamo, et même les Américains oublient de demander à leurs élus s’il sera un jour jugé pour ses crimes. « Avec le fait de ne pas juger nos criminels de guerre, c’est l’autre erreur d’Obama. Contrairement à Bush, lui aurait dû amener les responsables du 11-Septembre devant la justice, juge Kenneth Roth. C’est là aussi une décision liée à la torture : tout le système veut éviter des révélations sur ce sujet », certains aveux de Khalid Cheikh Mohammed ayant été extorqués lors de séances de waterboarding, la torture par suffocation dans l’eau.

    Le hasard – l’ironie pourrait-on dire, si le sujet de ces quinze ans de guerre n’était pas si tragique – est que ce voyage consacré à l’Amérique en guerre, commencé à New York un dimanche 11 septembre ensoleillé, s’achève, trois mois plus tard, en un pluvieux mois de décembre, sur le front de Mossoul.

    Dans cette ville marquée à la fois par ­Petraeus, par Al-Qaida et par l’Etat islamique, cette « capitale » des régions sunnites, des unités des forces spéciales irakiennes mènent la bataille contre l’EI. Ces soldats ont été formés par les Etats-Unis, qui ont depuis longtemps, en Irak comme ailleurs, adopté le concept de proxy war (« guerre par procuration ») afin d’éviter des engagements militaires directs. Les combats sont rudes. Les djihadistes finiront par perdre la « capitale » du « califat » proclamé par Abou Bakr Al-Baghdadi, l’héritier turbulent de Ben Laden et rival d’Al-Qaida, mais le fait même que cette bataille doive avoir lieu est l’aveu d’un échec colossal.

    Lors du premier débat présidentiel entre la démocrate Hillary Clinton et le républicain Donald Trump, à Oakland (Californie), le 26 septembre 2016.
    Quinze ans après le 11-Septembre, Ben Laden et ses 300 hommes ont muté en dizaines de milliers de combattants djihadistes, dont certains administrent depuis deux ans et demi villes et territoires en Irak et en Syrie, ont bâti une armée, peuvent envoyer une unité perpétrer des attentats jusqu’à Paris et Bruxelles et ont des partisans en armes dans beaucoup d’autres pays.

    Entre paix et peur

    « Le plus surprenant est tout de même d’avoir cette conversation quinze ans après, dit en souriant Peter Bergen. En 2001, jamais je n’aurais imaginé vivre cet état de guerre aujourd’hui. Puis il y a eu 2011, et moi aussi, comme beaucoup de monde, j’ai cru à la fin du problème djihadiste au moment de la mort de Ben Laden et des “printemps arabes”. »

    VINGT VÉTÉRANS SE SUICIDENT CHAQUE JOUR À TRAVERS LE PAYS, MAIS LES AMÉRICAINS NE PARLENT QUE DE « HÉROS » ET DE TEMPS GLORIEUX. NUL NE DOUTE DE LA PUISSANCE DU PAYS NI DE SES VALEURS FONDAMENTALES, MÊME LORSQU’ELLES SONT UN TEMPS TRAHIES.

    « C’est une question de temps. Al-Qaida et l’EI seront vaincus, prédit David Petraeus. Pour moi, la leçon de ces quinze années est que, malgré les erreurs commises le long du chemin, et alors qu’on prétend que les démocraties ne peuvent prétendument pas mener de “guerre longue”, cela se révèle être faux. Je ne pense pas que ce combat soit sans fin. C’est la guerre d’une génération. »

    Une guerre qui évolue : à la fin des années Bush, 180 000 soldats américains étaient déployés sur le champ de bataille ; à la fin des années Obama, presque tous sont rentrés chez eux, et le combat est principalement mené par les forces spéciales et les drones, en appui d’armées étrangères. Et, puisque la certitude est de faire face à une « guerre longue », celle-ci évoluera encore dans les années à venir, selon la façon dont le président élu Donald Trump abordera les questions stratégiques et militaires.

    La force des Etats-Unis réside peut-être là, dans ce paradoxe : le pays vit en même temps l’apogée du scepticisme et l’apogée du patriotisme. Alors que l’Amérique n’a enchaîné quasiment que des erreurs et des défaites depuis quinze ans – mis à part la mise hors d’état de nuire de Ben Laden et des organisateurs du ­11-Septembre –, nul ne doute de la victoire. Vingt vétérans se suicident chaque jour à travers le pays, mais les Américains ne parlent que de « héros » et de temps glorieux. Nul ne doute de la puissance du pays ni de ses valeurs fondamentales, même lorsqu’elles sont un temps trahies.

    Personne, mis à part l’écrivain Kevin Powers ou le chercheur Marc Sageman, ne mentionne les victimes autres qu’américaines, les morts, les blessés, les torturés, les vies ravagées. « Je ne veux pas savoir combien de gens nous avons tués depuis quinze ans… » : ces mots de Dick Couch pourraient être ceux d’une majorité d’Américains. Eux veillent (un peu) à panser les plaies de leurs blessés, ils célèbrent leurs morts, ils vouent un culte à leurs guerriers, et la minute d’après ils pensent à autre chose.

    Ils vivent en paix. Malgré leur peur irrationnelle d’un ennemi invisible, les Américains vivent en paix. D’où l’étonnement de les entendre parfois évoquer une « guerre sans fin ». D’où l’étonnement, alors que la menace ne fut jamais existentielle, lorsqu’ils laissent percevoir une peur qui confine parfois à la panique.

    Les Etats-Unis ne se perçoivent pas vraiment comme étant en guerre : ils vivent entre paix et peur. Et pourtant la crainte d’une « guerre sans fin » est très présente. Les Américains sont en fait dans l’illusion que guerre et paix appartiennent à des sphères différentes, cloisonnées, et que la guerre est l’affaire exclusive des militaires. Cette « guerre sans fin » de l’Amérique est une guerre non déclarée, indéfinie, sans véritable visage, ni territoire ni front. Plus qu’une guerre sans fin, c’est une guerre sans limites. C’est peut-être, après tout, la pire des guerres. Celle qui envahit les esprits. Celle qui empoisonne une société. Une guerre qui change un pays pour toujours, sans même qu’au fond, il sache très bien pourquoi…

    Au Lincoln Memorial, à Washington, le 19 septembre 2016.

  • Magnifique : les Séoudiens financent les Talibans, alors qu’officiellement le roi soutient le gouvernement afghan.
    Saudis Bankroll Taliban, Even as King Officially Supports Afghan Government
    http://www.nytimes.com/2016/12/06/world/asia/saudi-arabia-afghanistan.html

    Saudi Arabia is critical because of its unique position in the Afghan conflict: It is on both sides.

    A longtime ally of Pakistan, Saudi Arabia has backed Islamabad’s promotion of the Taliban. Over the years, wealthy Saudi sheikhs and rich philanthropists have also stoked the war by privately financing the insurgents.

    All the while, Saudi Arabia has officially, if coolly, supported the American mission and the Afghan government and even secretly sued for peace in clandestine negotiations on their behalf.

    The contradictions are hardly accidental. Rather, they balance conflicting needs within the kingdom, pursued through both official policy and private initiative.

    The dual tracks allow Saudi officials plausibly to deny official support for the Taliban, even as they have turned a blind eye to private funding of the Taliban and other hard-line Sunni groups.

    The result is that the Saudis — through private or covert channels — have tacitly supported the Taliban in ways that make the kingdom an indispensable power broker.

    Ça me semble suffisamment énorme pour que tu n’en entendes plus jamais parler (sauf dans des reprises sur des médias hum-hum).

  • #Cachemire : l’#Inde mène des « frappes chirurgicales » contre des camps rebelles

    L’Inde a annoncé jeudi avoir mené des « frappes chirurgicales » contre des camps rebelles le long de la ligne de démarcation de la région contestée du Cachemire, frontière de facto entre l’Inde et le #Pakistan, Islamabad faisant de son côté état de deux soldats pakistanais tués.

    http://www.courrierinternational.com/sites/ci_master/files/styles/image_original_765/public/afp/50bdd90d2fd822bed4ac6db7ff3f02c30aa5e924.jpg?itok=3QtDoRTl
    http://www.courrierinternational.com/depeche/cachemire-colere-du-pakistan-apres-des-frappes-de-linde.afp.c
    #conflit #disputes_territoriales #frontières #disputes_frontalières

  • Dans les archives récentes de visionscarto (2012), il y a cette évocation de la difficile sinon impossible représentation cartographiques des frontières dans le secteur du Cachemire. C’est toujours d’actualité : rien n’est jamais vraiment simple en carto.

    Le Cachemire, un casse-tête cartographique
    http://visionscarto.net/cachemire-un-casse-tete-cartographique

    L’Inde est une grande démocratie, où la liberté de la presse est garantie par l’article 19 1 (a) de la Constitution. Mais quand le magazine anglais The Economist a publié, en mai 2011, un long article d’analyse sur les relations et les rivalités indo-pakistanaises et le conflit du Cachemire, la grande démocratie a quand même sorti les griffes pour expliquer que — même en démocratie — la presse ne peut pas faire « n’importe quoi ». Non pas à cause de l’article lui-même, mais en raison de son accompagnement cartographique — d’une facture très classique —, retraçant la géographie de ce conflit gelé depuis des décennies.

    #frontières #inde #pakistan #conflits #cachemire #murs

  • Pakistan’s New Border Plan Unlikely To Help #Afghanistan

    For more than four decades, Pakistan has trained and armed hundreds of thousands of Afghan insurgents and hosted millions of refugees in the hope of shaping Afghanistan’s future to its liking.

    Islamabad, however, has embarked on a new approach that centers on controlling movement across the long and porous border between the two countries.

    Observers say the new policy is unlikely to help stabilize Afghanistan because it won’t prevent insurgents from entering the country but will haunt refugees and border communities whose livelihoods depend on cross-border trade.

    “The Pakistanis are not making this into a ‘hard’ border,” said David Sedney, a former deputy assistant secretary at the U.S. Defense Department. “The Pakistan approach of making it harder for legitimate travelers and businesspeople to cross the border will have negative economic, security, and social consequences for both countries.”


    http://gandhara.rferl.org/a/pakistan-border-management-afghanistan/27968682.html
    #frontières #Pakistan #fermeture_des_frontières

  • Cimetière ou aire de jeu, que faire de la résidence de #Ben_Laden ?

    Une controverse a surgi au Pakistan sur l’avenir du site où Oussama Ben Laden a été tué dans la ville d’#Abbottabad (à 50 km au nord d’Islamabad) par un commando des forces d’élite américaines le 2 mai 2011, l’armée et les autorités locales promouvant des projets rivaux de #cimetière et d’#aire_de_jeu.

    http://www.courrierinternational.com/sites/ci_master/files/styles/image_original_765/public/afp/766ef2ed0579955ff622b0177d3f0e8f9431129b.jpg?itok=R_TJonGV
    http://www.courrierinternational.com/depeche/cimetiere-ou-aire-de-jeu-que-faire-de-la-residence-de-ben-lad
    #mémoire

  • Afghan refugees face an uncertain future after June 30

    Islamabad may not renew the Pakistan Proof of Registration cards for 2.5 million Afghan refugees due to expire on June 30. After having hosted their three generations, Islamabad has changed its mood. Already, intelligence agencies are on the hunt for Afghan nationals who either possess Pakistani nationality or are not registered with the government as refugees. The United Nations High Commissioner for Refugees (UNHCR), however, is trying to persuade Pakistan to adopt a more accommodative approach.

    http://tribune.com.pk/story/1129396/afghan-refugees-face-uncertain-future-june-30

    #réfugiés_afghans #asile #migrations #réfugiés #Pakistan

  • Pakistan’s ‘University of Jihad’ is getting millions of dollars from the government
    https://www.washingtonpost.com/news/worldviews/wp/2016/06/22/pakistans-university-of-jihad-is-getting-millions-of-dollars-from-th

    In nationwide elections, conservative Islamist parties often struggle to get 10 percent of the vote. But in local elections in Khyber Pakhtunkhwa in 2014, former cricket star Imran Khan’s Movement for Justice party failed to win an outright majority of provincial assembly seats. It now relies on support from Islamist parties to maintain a coalition government.

    “This money has much more do with provincial politics, and power, than anything else,” said Zahid Hussain, an Islamabad-based political analyst.

    #Pakistan

  • ‘Gentle beating’ of wife is no violence, says CII chief - The Express Tribune

    http://tribune.com.pk/story/1111222/nothing-serious-gentle-beating-wife-no-violence-says-cii-chief

    Ce truc fait le tour de la presse norvégienne ce soir. Il semble que ce soit authentique, je verse cette pièce au déjà lourd dossier du droit des femmes à disposer d’elles-même. Tant qu’il y aura à ces postes de pouvoir des crapules intersidérales de cette espèce, ça va être dur de faire des progrès. Et si toutes ces femmes, un jour, se soulevaient contre cette aliénation [juste je rêve].

    ISLAMABAD / LAHORE:
    After the top constitutional body on Islamic laws recommended ‘a light beating’ for women’ sparking outrage, the body’s chairman softened his tone stating ‘violence’ is not permissible in the religion.

    “Do not try to relate our proposal (on beating women) with violence. Light beating does not mean violence,” explained Council of Islamic Ideology (CII) Chairman Mualana Muhammad Khan Sherani after a press briefing in Islamabad on Thursday.