city:istanbul

  • Communiqué de presse du CNDF contre la proposition de loi 307 sur la « garde alternée – Plus autre communiqué | « Entre les lignes entre les mots
    https://entreleslignesentrelesmots.wordpress.com/2017/11/17/communique-de-presse-du-cndf-contre-la-proposi

    Co-signée à la grande majorité par des député-es du MoDem, dont les deux tiers sont des hommes, cette proposition de loi n° 307 nous rappelle jusqu’au mot près l’article 7 de la proposition de Loi nommée « Autorité Parentale et Intérêt de l’Enfant » ou A.P.I.E , contre laquelle nous nous étions battu-es en 2014, et qui, une fois amendée et votée, est restée en suspens au Sénat : http://www.assemblee-nationale.fr/14/ta/ta0371.asp

    Cette proposition, si l’on ne tient pas compte de la complexité des contextes, peut apparaître comme une proposition tout à fait juste : un enfant, dans l’absolu, a besoin de l’amour et des soins de ses deux parents et cela permettrait de partager les « tâches éducatives » à égalité

    Avec la loi actuellement en cours l’enfant dispose d’un lieu de résidence principale chez l’un des parents, et peut voir l’autre régulièrement grâce au principe du droit de visite, c’est la situation la plus courante.

    La proposition de loi n°307 préconise l’inscription de la « double domiciliation », une idée selon laquelle faire disparaître la notion de « résidence principale » permettrait à l’enfant de savoir qu’il est chez lui dans les deux lieux de ses parents, quel que soit le temps qu’il y passe.

    Cette « double domiciliation », du point de vue de l’enfant, peut paraître louable, il aurait ainsi les deux adresses sur sa carte d’identité, sur les bulletins scolaires ou cahiers de liaison etc… , oui, louable dans l’idéal !… Mais, nous ne sommes pas dupes : il s’agit bien là de la porte ouverte à une généralisation de la résidence alternée, sinon cette proposition de loi ne porterait pas ce titre.

    Nous ne sommes pas dupes aussi parce que :

    1/ Le principe actuel de la résidence principale chez l’un des parents et de droits de visite et d’hébergement chez l’autre parent est majoritairement demandé, par choix des deux parents et in fine tranché en cas de désaccord par le Juge aux Affaires Familiales. Alors pourquoi proposer une loi intitulée « garde alternée » ? Est-t-il encore besoin de rappeler que si la majorité des résidences principales sont accordées aux mères c’est parce que les pères ne la réclament pas ? Selon le Ministère de la justice, seuls 18,8% des pères réclament la résidence alternée et ils l’obtiennent à 17,3%. C’est donc au nom des 1,5% pour lesquels la justice tranche en défaveur de la garde alternée qu’il faudrait l’imposer à toutes et tous ? De la même manière, le Ministère estime que 93% des pères et 96% des mères obtiendraient satisfaction. (http://www.justice.gouv.fr/art_pix/1_rapportresidence_11_2013.pdf)

    Nous savons que les foyers monoparentaux sont principalement composés de mères isolées, en rupture de lien avec leur ex-compagnon, particulièrement précarisées et qui ne perçoivent pas les pensions alimentaires qu’ils devraient leur verser, quel sens aurait pour elles et leur-s enfant-s cette double domiciliation ?

    2/ Que penser de la double domiciliation pour la répartition des aides sociales ? du coefficient familial ? du calcul des retraites ? de la pension alimentaire ? il y a lieu d’être vigilant-es à ce que la convention d’Istanbul soit respectée puisqu’elle érige en infraction les violences domestiques économiques.

    3/ Le dernier point est le plus important. Alors que l’actualité de ces dernières semaines fait émerger un mouvement fort contre les violences et le harcèlement faits aux femmes, la double domiciliation, dans le cas précis des violences faites aux femmes et aux enfants est à proscrire totalement, comme toute résidence alternée d’ailleurs, c’est une évidence ! Quid du harcèlement post-séparation ? La résidence alternée devient alors une arme dans les mains du parent agresseur.

    Cette proposition de loi est inutile, le principe de la résidence alternée existe déjà dans la loi. Aller vers une systématisation de la résidence alternée représente un danger pour les femmes et les enfants victimes de violences intra-familiales.

    Pour ces raisons, nous demandons le retrait pur et simple de la proposition de loi N°307

    http://www.collectifdroitsdesfemmes.org/spip.php?article484

    ***

  • Le système scolaire turc à l’épreuve d’une révolution conservatrice
    https://www.mediapart.fr/journal/international/311017/le-systeme-scolaire-turc-lepreuve-dune-revolution-conservatrice

    Inauguration à Istanbul d’une l’école "imam-hatip" baptisée Ecole Erdogan, en présence turc lui-même, le 29 septembre 2017. © Reuters En 2012, le président Erdogan, alors premier ministre, affirmait son intention de « faire croître une jeunesse religieuse ». Cinq ans plus tard, l’inflexion islamique de l’Éducation nationale est bien avancée. Dernière innovation, cette rentrée : une réforme des programmes axée sur l’enseignement des « valeurs ». La théorie de l’évolution a disparu des manuels. Le concept de djihad y a fait son entrée.

    #International #éducation #islam #turquie

  • Six journalistes jugés pour avoir divulgué des secrets du clan Erdogan
    https://www.mediapart.fr/journal/international/251017/six-journalistes-juges-pour-avoir-divulgue-des-secrets-du-clan-erdogan

    Une trentaine de personnes ont manifesté devant le palais de justice leur soutien à leurs confrères. Sur la banderole, on peut lire : « Informer n’est pas un crime. Liberté pour les journalistes ». © N. C. Le procès de six journalistes turcs, accusés de liens avec des organisations terroristes après avoir publié des informations sur les correspondances électroniques de Berat Albayrak, ministre de l’énergie et gendre du président Recep Tayyip Erdogan, a débuté mardi à Istanbul. Les courriels, piratés par des hackers, ont mis en évidence une possible implication du clan Erdogan dans un trafic de pétrole avec l’Irak.

    #International #Journalisme #turquie

  • The Angry Arab News Service/وكالة أنباء العربي الغاضب: Long time Saudi regime propagandist gets an offer to write regularly for the Washington Post
    http://angryarab.blogspot.com/2017/10/long-time-saudi-regime-propagandist.html

    Jamal Khashoggi announced that he received an offer to write regularly for the Washington Post. He spent a career working as a propagandist for various Saudi princes. Do you think that a man who devoted a career for serving the propaganda of Bashshar Al-Asad or Iranian regime or Putin would get an offer writing regularly for a US newspaper?

    The Angry Arab News Service/وكالة أنباء العربي الغاضب: The lousy journalism of Ben Hubbard: he defames Syrian football players: would he say that about Saudi football players?
    http://angryarab.blogspot.com/2017/10/the-lousy-journalism-of-ben-hubbard-he.html

    This is the trend in US journalism: you can get away saying the most absurd and ridiculous thing about a country if the regime of that country is not an ally of the US.

    The Angry Arab News Service/وكالة أنباء العربي الغاضب: The case of Syrian opposition director who said he survived an assassination attempt in Istanbul: new developments
    http://angryarab.blogspot.com/2017/10/the-case-of-syrian-opposition-director.html

    you really can’t believe Western media on Syria because they are Pavlovian in regurgitating whatever is posted by Syrian rebels on their social media accounts—fabrications and lies and all.

    #msm #lamentable

  • Un article à lire

    Débats et divisions au sein de l’AKP en Turquie

    http://orientxxi.info/magazine/debats-et-divisions-au-sein-de-l-akp-en-turquie,2038

    Si les forts soupçons de fraude au moment du référendum du 16 avril 2017 n’ont pas retenu l’attention des partisans du Parti de la justice et du développement (AKP), on ne peut en dire autant des résultats. Le projet présidentialiste de Recep Tayyip Erdogan l’a emporté par une très fragile majorité. La victoire du non dans des grandes villes comme Ankara et Istanbul (à mairie AKP) n’a fait qu’attiser le malaise. Le besoin d’y remédier en vue des prochaines élections régionales, législatives et présidentielles de 2019 s’est traduit par un enchevêtrement de divers débats. Deux positions internes implicites s’en sont dégagées.

    D’un côté se trouvent les défenseurs d’une ligne plus modérée, jugeant que les résultats du référendum appelaient à une révision de la politique de polarisation culturelle religieuse, de criminalisation de l’opposition, de chasse au « traître ». Ces modérés prônent aussi un redressement des rapports avec l’Occident, accompagné de mesures démocratiques à l’intérieur du pays. Ce front critique rassemble aussi bien des islamistes en désaccord avec le tournant autoritaire, comme l’ancien président de la République Abdullah Gül et l’ex-premier ministre Ahmet Davutoglu, que des membres de la droite traditionnelle (conservatrice, mais laïque) qui ne se reconnaissent plus dans le projet d’Erdogan. Ces deux secteurs sont nostalgiques de la première période de l’AKP, où dominaient des objectifs autres que le sultanat d’Erdogan. D’autre part, l’effacement de la cause islamique devant le seul objectif de l’ascension d’Erdogan a aussi poussé divers cercles islamistes plus radicaux dans le camp des contestataires.

    Le camp adverse est celui des reisçi (lire « réyistchi »), les fervents défenseurs du Reis (raïs). Concernant le référendum, ils mettent l’accent sur la victoire d’Erdogan et de la « volonté nationale » face aux conspirations ourdies, selon eux, par les puissances occidentales (comme la tentative putschiste de 2016). La chute du nombre de voix est interprétée dans un cadre d’analyse basé sur le concept de trahison. Une jeune reisçi bien connue sur les réseaux sociaux et proche de l’appareil du parti nous a confié :

    Le parti n’a pas travaillé. Les partisans dissimulés du non, comme les équipes de Davutoglu et de Gül, y sont encore influents. On parle de 120 députés ayant téléchargé Bylock, l’application de communication utilisée par la confrérie Gülen. On attend toujours une opération anti-putschistes visant l’intérieur du parti.

    #Turquie #erdogan

  • La #Turquie lance une opération militaire à Idlib en #Syrie
    https://fr.news.yahoo.com/la-turquie-lance-une-op%C3%A9ration-militaire-%C3%A0-idlib-122109918.

    La Turquie a conclu le 15 septembre avec l’Iran et la Russie un accord sur le déploiement d’observateurs aux franges de la province d’Idlib, qui est contrôlée par une alliance rebelle conduite par l’ex-front Al #Nosra, anciennement affilié à #Al_Qaïda.

    La province d’Idlib a été définie par les trois pays comme une zone de « désescalade » où doit être mis en place un cessez-le-feu. Mais l’alliance islamiste, baptisée Tahrir al Cham, refuse cette trêve même si Ankara est parvenue à persuader deux des groupes de l’alliance à faire défection.

    « Nous ne permettrons jamais l’existence d’un sanctuaire terroriste le long de nos frontières avec la Syrie », a déclaré samedi Recep Tayyip Erdogan. « Nous continuerons à prendre d’autres initiatives après l’opération d’Idlib. »

  • The Bad Hair, Incorrect Feathering, and Missing Skin Flaps of Dinosaur Art - Atlas Obscura
    http://www.atlasobscura.com/articles/dinosaurs-art-paleoartists-mistakes

    Illustrating long-extinct creatures is difficult, but important work. With no living specimens to observe, it’s up to “paleoartists” who draw, paint, or otherwise illustrate the creatures of prehistory as we think they might’ve been. Their work is the reason that when we talk about velociraptors, stegosaurs, or even woolly mammoths, we have some idea of what they looked like.

    But since all we have to go on are fossils, deciding how a dinosaur would have looked is as much art as it is science. And there’s at least one paleoartist who thinks we might be getting things wrong.

    C.M. Kosemen is an Istanbul-based artist and author (along with John Conway and Darren Naish) of the 2012 book, All Yesterdays: Unique and Speculative Views of Dinosaurs and Other Prehistoric Animals. A long-time creature designer, Kosemen had always had an interest in dinosaurs, but he embarked on his book with Conway after they began to realize that something was a bit off. “We were both dinosaur geeks, but the more we looked at these skeletons, and the more we looked at the pictures, we noticed that most mainstream dinosaur art didn’t look at dinosaurs as real creatures,” says Kosemen.

    Most serious paleoart bases itself on the detailed findings of paleontologists, who can work for weeks or even years compiling the most accurate descriptions of ancient life they can, based on fossil remains. But Kosemen says that many dinosaur illustrations should take more cues from animals living today. Our world is full of unique animals that have squat fatty bodies, with all kinds of soft tissue features that are unlikely to have survived in fossils, such as pouches, wattles, or skin flaps. “There could even be forms that no one has imagined,” says Kosemen. “For example there could plant-eating dinosaurs that had pangolin or armadillo-like armor that wasn’t preserved in the fossil. There could also be dinosaurs with porcupine-type quills.”


    ici un elephant, un zebre et un rhino interprété par des illustrateurices scientifique du future.


    un babouin


    des cygnes


    un hippopotame

    @raul
    #zoologie #paléontologie

  • Turkey • Çağdaş Erdoğan, 172nd Jailed Journalist…-Kedistan
    http://www.kedistan.net/2017/09/20/turkey-cagdas-erdogan-172nd-jailed-journalist

    @Ad Nauseam - He lived with close friends in Gazi, one of Istanbul’s popular and revolutionary neighborhoods. Like all young journalists, he did not have a fixed roof or home. He wandered like a pilgrim with his backpack and took photos. His work quickly caught the attention of those in power… He had (...)

    #Kedistan / #Mediarezo

  • A l’encontre » Turquie. « J’ai peur que la lumière ne s’éteigne totalement dans nos #universités »
    http://alencontre.org/asie/turquie/turquie-jai-peur-que-la-lumiere-ne-seteigne-totalement-dans-nos-universi

    Depuis que son nom apparaît en annexe d’un décret-loi d’octobre 2016, ce Turc de 36 ans n’enseigne plus l’histoire du droit à l’Université d’Istanbul. « J’ai fait partie des premières charrettes », commente-t-il derrière ses lunettes, rondes comme son visage.

    • Plus de 5700 universitaires, parmi quelque 145’000 fonctionnaires, ont été limogés après la tentative de putsch de juillet 2016. « Liens ou appartenance à un groupe terroriste » : les décrets de révocation n’expliquent rien de plus aux concernés.

    « Ça faisait des années que le rectorat essayait de me virer. L’état d’urgence était l’occasion rêvée , avance ce syndicaliste. En 2008, nous avions lancé un mouvement pour améliorer le statut des assistants de recherche. Tous les meneurs ont été limogés. Cherchez le rapport avec le coup d’Etat ! »

  • Turquie • Çağdaş Erdoğan 172e journaliste en prison…-Kedistan
    http://www.kedistan.net/2017/09/18/turquie-cagdas-erdogan-172e-journaliste-en-prison

    @Ad Nauseam - Il vivait dans Gazi, un des quartiers populaires et révolutionnaires d’Istanbul, chez des amiEs proches. Comme tous les jeunes journalistes, lui non plus n’avait pas un toit fixe, ni un foyer. Il se baladait avec son sac à dos, comme un pèlerin et photographiait. Son travail a commencé en peu de (...)

    #Kedistan / #Mediarezo

  • La rassurante étrangeté d’un pèlerin stambouliote
    https://www.mediapart.fr/journal/culture-idees/160917/la-rassurante-etrangete-d-un-pelerin-stambouliote

    Ohran Pamuk dresse, dans un style digne du XVIIIe siècle, « Le tableau de la vie à Istanbul entre 1969 et 2012, vue par de nombreux personnages ». L’ombre de Balzac et de sa Comédie humaine plane sur l’ouvrage qui évoque les impressionnants bouleversements urbains et sociaux de la ville durant plus de quarante années.

    #Culture-Idées

  • Orhan Pamuk: «Je me promène dans Istanbul depuis 65 ans!»
    https://www.mediapart.fr/journal/culture-idees/160917/orhan-pamuk-je-me-promene-dans-istanbul-depuis-65-ans

    Marchand de yaourt à Istanbul. Prix Nobel 2006, l’écrivain turc Orhan Pamuk publie Cette chose étrange en moi, ou les aventures d’un marchand ambulant à Istanbul. Quand Erdogan exacerbe le nationalisme et l’islamisme, ce roman apparaît comme une tentative pacifique de réconciliation. Entretien.

    #Culture-Idées #Orhan_Pamuk;_Cette_chose_étrange_en_moi

  • Les enjeux de l’élection européenne cartes sur table

    CIST – Collège international des sciences du territoire

    Ça date de 2014 mais le dossier est remarquablement bien fait et les approches très originales.
    http://www.gis-cist.fr/en/portfolio/les-enjeux-de-lelection-europeenne-cartes-sur-table

    Les enjeux de l’élection européenne cartes sur table
    Introduction – Quelle géographie de l’Europe ?

    La définition de l’Europe ne vas pas de soi. On ne peut parler de « continent » parce qu’on ne sait où il s’arrête à l’Est (l’Oural est une frontière très conventionnelle) ou au Sud-Est (en Turquie Istanbul est formellement en Europe). On peut, plus clairement, parler d’« Union européenne » avec sa liste de 28 États-membres, mais en gardant à l’esprit que cette liste s’allonge (la Croatie est entrée à l’été 2014). Et elle va continuer à s’allonger car plusieurs pays sont candidats ou bien, pour parler comme à Bruxelles, ont « vocation à être candidats » (les pays de l’ex-Yougoslavie et l’Albanie). Il faut également avoir à l’esprit qu’un nombre croissant d’enjeux européens – migrations et apports de main-d’œuvre, fourniture d’énergie, pollutions de l’air et des mers, relais de croissance économique, stabilité politique et influence diplomatique – reposent sur les relations entre l’UE, le Maghreb, le Proche-Orient et l’Europe orientale, autrement dit les pays de la « Politique européenne de voisinage ».

  • Architecture of Commons – Archifutures
    http://archifutures.futurearchitectureplatform.org/volum-2-the-studio/architecture-of-commons

    The demonstrations against Turkish government action to demolish Gezi Park in Istanbul in 2013 prompted the self-organisation of its citizens and a new grassroots understanding of the notion of the “public”. Urbanist, writer and curator Merve Bedir, took part in the protests. Here she analyses what happened back then and how the seeds of a new type of urbanism were sown.

    The ambiguity surrounding the future of the park kept people guessing for a long time, until the day an excavator entered the park and ripped up a tree from its roots.

    The ensuing protests on the streets continued uninterrupted for 20 days; with crowds gathering in Gezi Park, Taksim Square and the surrounding areas. Despite all their differences, the citizens of Istanbul were united in claiming what they commonly understood to be theirs: the tree, the park and more. This event marked a threshold moment in which the people remembered the notion of “common(s)” – one that they have been re-discovering and exploring ever since, through all the possible spatial and political meanings of the word.

    The forums were held for people to discuss further collective action. As spaces for exercising direct democracy, the parks in the city became forums, agoras and common(s). The results of the various discussions were shared around the city and a daily report on each forum disseminated via a newsletter and blogs. These forums made people remember their public parks again, and their relationships to one another. Local inhabitants started maintaining the parks in their neighbourhood, using and programming them in ways that had never been experienced before.

    Without doubt, the understanding of common(s) is as a new kind of (urban) space that is outside the dichotomy of public and private; a space that is created by collective action, by people; not trying to be permanent but looking for the transforming capacity of the temporary. Learning from the dynamism of the temporary is certainly inspiring for designers and other creative disciplines.

    The most important thing is creating new common(s), by the people, particularly in the cities. We know we all have a thousand virtual friends, but we only have a small number of real friends. Ivan Illich talked about his polyphilia, the need to be with friends. He elevated friendship as the main category for the reorganisation of our society, for reconstructing it in a different way, as the starting point of hope.

    Friendship as common(s) is a working methodology bringing people together towards collective imaginaries that also acknowledge the individual within them. This working methodology could be an inspiration for designers to position themselves, as well.

    #Communs_urbains #Mouvement_des_places #Parc_Gezi #Istanbul

  • Cargo Ship Splits in Two Off Turkey - VIDEO – gCaptain
    http://gcaptain.com/cargo-ship-splits-in-two-off-turkey

    https://www.youtube.com/watch?v=JMb-3ktzpEA

    A 40-year-old general cargo ship broke in two in the Black Sea off Turkey on Sunday. 

    All 11 crew members were rescued by Turkish authorities and are reported safe.

    The 114-meter Mongolian-flagged MV Leonardo started buckling and broke in two while at anchor off Istanbul’s Kilyos coast.

    Encore un bateau sous pavillon mongol, le pavillon de complaisance qui monte…

  • Turquie • Revue de dessins de presse | Mizah Haber-Kedistan
    http://www.kedistan.net/2017/08/11/turquie-dessins-presse-mizah-haber

    @Ad Nauseam - Profitons-en, malgré la censure, pendant que des caricaturistes osent encore… Et le mois écoulé en a inspiré quelques uns. Mizah Haber, fidèle du haut de sa vigie en livre une dizaine. Une violoncelliste qui jouait dans la rue à Istanbul, à Kadıköy, un quartier touristique, pour le plaisir des passants a (...)

    #Kedistan / #Mediarezo

  • Le collectif “Solidarité femmes Kobanê” à besoin de nous…-Kedistan
    http://www.kedistan.net/2017/08/06/soutien-collectif-feministe-kobane

    @Ad Nauseam - Communiqué du Collectif Solidarité Femmes Kobanê Parce que nous avons vu Cizre, ville martyre du Kurdistan, la Turquie nous interdit son territoire ! Ce mois-ci, l’une de nos camarades qui voulait se rendre en Turquie a été retenue à l’aéroport d’Istanbul. Après des heures d’attente, il lui a finalement (...)

    #Kedistan / #Mediarezo

  • La révolution du bikini : de la grandeur à la misère du féminisme en Algérie (Al-Akhbar.com) - Le-Blog-Sam-La-Touch.over-blog.com
    http://le-blog-sam-la-touch.over-blog.com/2017/07/la-revolution-du-bikini-de-la-grandeur-a-la-misere-d

    La confrontation sur les réseaux sociaux entre un courant « conservateur » et un groupe de militantes prônant la défense des libertés individuelles au sujet du port du bikini à la plage, ne s’est pas éteinte. Les instigatrices anonymes de la campagne de mobilisation des femmes en bikini ont redoublé de zèle depuis le 5 juillet dernier, date de la commémoration de l’indépendance, en organisant plusieurs sorties dans des stations balnéaires à Annaba et Oran. Le groupe Facebook où sont discutés et organisés les rendez-vous de ces « baignades politiques » compterait à présent plus de 3000 participantes. Mais en dehors d’une couverture médiatique dans la presse étrangère et les débats houleux sur internet, le discours contre-productif de ces « féministes » est loin de recevoir un écho positif en Algérie.

    Dans un article publié par le magazine féminin français Grazia, l’une des instigatrices de la campagne, « Sarah, 27 ans », explique que pour avoir un impact sur la société algérienne, il faut habituer « des milliers de voyeurs à ce qu’ils considèrent encore comme étant interdit » tout en précisant : « Nous ne voulons pas changer leur vision des choses, mais simplement leur inculquer la tolérance et l’acceptation de l’autre ». Cette dernière phrase illustre à elle seule le non-sens politique d’une démarche présentée comme telle.

    • Le harcèlement sexuel des femmes dans l’espace publique est un grave probleme en Algérie. il y a regulierment des appels de femmes algeriennes pour qu’on leur fiche la paix. Et c’est pas que des femens.

      Il y a des femmes de droite aussi en Algérie, des femmes qui ont du temps et de l’énergie pour faire obstacle à celles qui ont envie de bronzé sur la plage. Ca n’enlève rien aux femmes pudiques que d’autres ne le soient pas. La cause de ces femmes c’est de pourrir la vie à celles qui ne se soumettent pas. Qu’est ce qui empêche ces religieuses de mettre leur voile de bain ? Qu’est ce que Ca peu leur faire que des Femens, des algeriennes occidentalisées, des touristes ou que sais-je se baigné en bikini ? Ca les privent de rien mais elles ce qu’elles demandent Ca prive toutes les femmes de libertés.

      En fait ce que reproche cette femme aux feministes c’est d’être contreproductive, car elle qui n’est pas feministe préférait qu’on s’occupe du droit d’accès des femmes à l’espace publique apres le grand soir, une fois que son calandrier politique à elle sera achevé. C’est pas une femme de droite, c’est une gauchiste antifeministe qui prefere qu’on soit tolérante avec la cohercission des femmes du moment que les oppresseurs appartienne à sa classe.

      Les femmes avant de porter un bikini appartiennent d’abord à des classes sociales qui déterminent leurs intérêts. Réduire le féminisme à des questions de forme, « tenue vestimentaire », ou de sémantique, fait naître un sentiment d’appartenance sexuée qui dépasserait l’appartenance de classe, seul véritable danger pour l’oligarchie ultra-libérale.

    • Je ne pense pas que l’on puisse parler d’algériennes occidentalisée en ce qui concerne le bikini. Aussi bien en Algérie qu’au Maroc ou en Tunisie le maillot deux ou une pièce se porte depuis des années et des années. Aucune occidentalisation. Pour etre allé au Maroc début années 80 les femmes en voile étaient plus qu’ultra minoritaires.

      Un groupe de sœurs, venues de Constantine, sont en bikini. Une révolution ? Un acte de résistance ? Elles ne sont pas de cet avis. Elles se disent étonnées de l’ampleur qu’a eu cette polémique du bikini dans la presse internationale. Pour l’aînée, « le cadre est agréable ici. On est d’ailleurs très satisfaites et certainement pas gênées de porter le bikini. On n’a jamais été embêtée, ça fait parti de nos habitudes depuis longtemps ». La plus jeune renchérit : « Ce n’est pas une révolution. Cette polémique ne devrait même pas exister. Pour nous, ça fait des années et ça n’a jamais posé de problèmes et ça ne changera pas ».

      Un peu plus loin, un jeune homme est attablé sous un parasol avec deux jeunes filles. « Je ne suis pas de Skikda, je viens d’Annaba. J’avais envie avec mes amies de changer de paysage. Pour votre question, je pense que ça a toujours existé. Des femmes en deux pièces, c’est une fausse polémique. Le nombre de femme en bikini à Annaba est plus important. C’est vrai que l’on sent comme une sorte de révolte, mais pour moi c’est un retour à la normale. Par contre ce qui n’est pas normal, c’est de nager avec un tas de vêtement, une agression contre la nature », explique-t-il.

    • Le tremblement de terre qui a secoué vendredi Alger et ses environs a provoqué une véritable angoisse collective. Le macabre bilan de 6 personnes décédées a suffi pour que les fanatiques religieux algériens lancent une véritable offensive contre « les mœurs libérées » de certains de leurs compatriotes.

      Sur les réseaux sociaux, des esprits tordus se présentant comme des experts de l’interprétation du Saint Coran n’ont pas hésité à établir le lien entre « le bikini, les femmes qui se dénudent sur nos plages » et le « tremblement de terre ». Juste après la forte secousse qui a effrayé la population d’Alger, des pages Facebook ont été consacrées à ce tremblement de terre qui intervient juste après l’Aïd El-Fitr. Certains commentateurs s’en prennent directement aux « mœurs légères » de ces Algériens et Algériennes qui veulent vivre à l’Occidentale. Au lendemain du tremblement qui ne s’est pas soldé par des dégâts matériels considérables, le quotidien arabophone et très conservateur, Echorouk publie un véritable pamphlet contre le bikini sur les plages algériennes.

      http://www.algerie-focus.com/2014/08/du-bikini-au-tremblement-de-terre-le-nimporte-quoi-des-religieux-fana
      Mon impression est qu’on transforme une réaction aux discours d’une secte religieuse à un combat contre la société algérienne.

    • Je ne pense pas que l’on puisse parler d’algériennes occidentalisée en ce qui concerne le bikini. Aussi bien en Algérie qu’au Maroc ou en Tunisie le maillot deux ou une pièce se porte depuis des années et des années. Aucune occidentalisation. Pour être allé au Maroc début années 80 les femmes en voile étaient plus qu’ultra minoritaires.

      C’est Lina Kennouche dans le texte que tu à indiqué en haut qui dit que les 3000 femmes qui revendiquent le droit de se baigner en paix en bikini sont occidentalisées elle les traite aussi de femmes superficielles et féministes contreproductives. Et elle se sert de cette prétendu occidentalisation comme argument pour décrédibilisé ces femmes en bikini.

      Je ne sais pas si les femmes en bikini Algerienne ou Marocaines sont occidentalisées ou pas ce que je veux dire c’est que même si elles l’étaient, ca ne change pas qu’on doit leur ficher la paix contrairement à ce que fait cette Lina Kennouche qui dépense son energie à faire obstacle à la liberté d’autres femmes.

      Par rapport à ca

      Mon impression est qu’on transforme une réaction aux discours d’une secte religieuse à un combat contre la société algérienne.

      J’avoue ne pas comprendre ce que tu veux dire. De quelle secte parle tu ? L’islam ?
      Par rapport à la société algerienne elle est tout de même particulièrement misogyne, dans ses lois et dans ses moeurs et se sert de l’islam pour justifier les nombreuses discriminations qui sont faites aux femmes.

      Et pout ta demande de parallèle avec les femmes à Istanbul je ne sais pas exactement à quoi tu fait référence.

    • @mad_meg au delà d’un certain seuil j’appelle une religion une secte ca vaut aussi pour les cathos traditionalistes.
      c’est une posture je le reconnais.
      Istanbul http://www.dhnet.be/dernieres-depeches/belga/turquie-manifestation-de-femmes-a-istanbul-defendant-leur-choix-vestimentaire-
      La société francaise aussi, voire les dizaines de posts sur le harcèlement de rue, la disparition des subventions, etc, etc.

      @aude_v non j’ai fait très attention quand au choix du sexe de l’auteur_e.

    • @mad_meg au delà d’un certain seuil j’appelle une religion une secte ca vaut aussi pour les cathos traditionalistes.
      c’est une posture je le reconnais.

      Ok je pratique aussi parfois et j’avais fini par comprendre ce que tu voulais dire.
      Je me joint à @aude_v pour trouvé bien que tu privilégie les points de vues de femmes. Le point de vue masculin était justement indésirable sur ces questions vu que c’est l’expression de ce point de vue qui entrave les libertés des femmes.

  • Israël a récolté 18 000 organes des Syriens morts depuis le commencement de la guerre - RipouxBlique des CumulardsVentrusGrosQ
    http://slisel.over-blog.com/2017/07/israel-a-recolte-18-000-organes-des-syriens-morts-depuis-le-commen

    Le médecin médical de la Faculté de médecine de Damas en chef du Département de médecine légale médicale, Dr Hussein Nofal estime qu’au moins 18 000 Syriens ont eu des organes enlevés pendant la guerre jusqu’à présent. Depuis le déclenchement de la guerre en 2012, 6,5 millions de personnes ont été déplacées en Syrie et 4,8 millions sont devenus des réfugiés forcés de fuir vers des pays voisins comme la Turquie et le Liban ou 10% ont migré vers l’Europe. Avec 386 000 estimés de mort, il y a 11,7 millions d’humains en Syrie qui ont violemment perdu leur vie ou leurs maisons - incroyablement plus de la moitié de la population totale d’avant-guerre de 22 millions de Syriens.
     

    Toute cette horreur humaine tragique ne se produit que par une politique étrangère israélienne et exubérante, extrêmement agressive, créant un chemin de chaos et de destruction à travers le Moyen-Orient et l’Afrique du Nord qui soutient secrètement les terroristes islamiques pour combattre les guerres indirectes américano-israéliennes pour renverser illégalement les gouvernements nationaux souverains Comme Assad’s. L’élite dirigeante derrière le projet du Grand Israël déploie l’Empire des États-Unis pour fabriquer des guerres illégales et la plus grande crise migratoire depuis la Seconde Guerre mondiale pour déstabiliser volontairement et méthodiquement le monde générant des conditions de vie humaines si désordonnées qui accélèrent la formation d’un gouvernement mondial.
    Ironiquement, mais aussi par un design criminel, les deux pays les plus proches voisins les plus puissants de la région qui sont les plus directement responsables des terroristes islamiques et des guerres MENA - Israël et l’Arabie saoudite - refusent de se réfugier dans les mêmes guerres qu’ils Les deux créent et font la promotion. Notez qu’Israël et l’Arabie Saoudite, ainsi que la troisième roue de la Turquie dans le cadre de l’axe des pires de l’Empire américain, de l’allié régional de longue date et de l’autre membre de l’OTAN, ont reçu un montant de 6,6 milliards de dollars de la part de l’UE en faillite pour « gérer et contrôler » la migration Crise, seulement pour ensuite se retourner et déclencher encore plus de vagues de réfugiés versé en Europe à ce jour. Et c’est la Turquie et Israël qui jouent également le rôle le plus important dans l’épidémie de trafic d’organes. Mais plus là-dessus plus tard.
    Un rapport de la BBC de 2001 révèle que Israël par habitant est le pays bénéficiaire le plus important au monde pour les transplantations d’organes, mais est le pays avec le moins de donneurs d’organes. Le problème est en outre aggravé par le fait que le gouvernement de Tel-Aviv, y compris le ministre de la Défense, a historiquement encouragé la pratique, ce qui n’a fait que illégaliser la traite et la traite d’organes en 2008. Pendant des années, le système de santé israélien a subventionné des vacances de transplantation jusqu’à 80 000 $ en remboursement pour organe Les destinataires de voyager à l’étranger pour les transplantations. Les compagnies d’assurance payaient habituellement l’onglet sur tous les coûts restants. Hughes a décrit le rôle de premier plan d’Israël dans le syndicat international du crime qui est « organisé par une société commerciale locale en collaboration avec un chirurgien de transplantation majeur, opérant à partir d’un important centre médical non loin de Tel Aviv ». Des connexions supplémentaires incluent les chirurgiens de transplantation en Turquie, en Russie, en Moldavie, en Estonie, en Géorgie, en Roumanie, au Brésil et à New York.
    Une loi de 1984 a rendu illégal le trafic d’organes humains en Amérique. Mais le premier cas aux États-Unis s’est produit en juillet 2009, lorsqu’un citoyen israélien vivant à New York qui a payé des donateurs en Israël 10 000 $ a été arrêté en essayant de les vendre pour 120 000 $ chacun à trois Américains qui ont besoin de transplantation rénale. Après avoir fait des millions de victimes de la traite des reins, il n’a pas été expulsé parce que son crime n’a pas été considéré comme une « turpitude morale » et, après que le pèlerin de l’organe ait purgé une peine de prison de deux ans et demi, il a été libéré en décembre 2014. Le trafiquant israélien reconnu Un pistolet sur lui et s’il rencontrait des doutes par un donneur potentiel, le passeur de rein aurait indiqué son doigt sur la tête du donneur en simulant qu’il tirait le déclencheur. Sa raquette illégale est devenue le plus grand cas de corruption dans l’histoire de l’état du New Jersey, car il a révélé un programme de blanchiment d’argent en millions. Un ancien député d’état qui était l’actuel commissaire aux affaires de consommation de NJ a démissionné au cours de sa participation et l’agent superviseur du FBI a conclu :
    Le problème de la corruption du New Jersey est l’un des pires, sinon le pire, dans le pays. La corruption est un cancer qui détruit les valeurs fondamentales de cet état et de cette grande nation.
    En décembre dernier, un autre trafiquant d’organe israélien a été arrêté par la police d’Interpol à l’aéroport d’Istanbul. Après quarante jours en garde à vue, il a été extradé en Israël pour faire face à des accusations. Le contrebandier d’organes avait pris des dispositions pour exploiter la grande population démunie de migrants syriens en Turquie afin de coordonner les chirurgies illégales d’organes avec des médecins locaux dans de petits hôpitaux privés. Il a déjà eu des accusations contre lui pour ses opérations illicites entre les donateurs d’organes appauvris au Kosovo, en Azerbaïdjan et à Sri Lanka de 2008-2014. Il a également placé des annonces dans les journaux russes à la recherche de donateurs potentiels. Comme il est typique, aucune information ou un suivi médical n’est jamais donné aux victimes des donneurs qui souffrent souvent de complications. Par exemple, un garçon au Kosovo a été paralysé après son élimination des reins.

  • #Asli_Erdogan: «L’injustice causée par ce #procès est irréversible»
    https://www.mediapart.fr/journal/international/290717/asli-erdogan-l-injustice-causee-par-ce-proces-est-irreversible

    Istanbul, le 28 juillet 2017. Asli Erdogan, dans la foule qui attend la décision des juges dans le procès « Cumhuriyet ». © Stéphanie Fontenoy Devant le palais de justice d’Istanbul, dans la foule attendant la décision des juges, la romancière turque Asli Erdogan a lu une lettre adressée à l’un des 17 accusés, Turhan Günay, par sa fille.

    #International #Culture-Idées #Cumhuriyet #presse #turquie

  • #procès de «Cumhuriyet»: les accusés ridiculisent leurs accusateurs
    https://www.mediapart.fr/journal/international/290717/proces-de-cumhuriyet-les-accuses-ridiculisent-leurs-accusateurs

    Vendredi 28 juillet, Istanbul. Dans la foule qui attend la décision des juges, certains brandissent et lisent l’édition du jour du quotidien « Cumhuriyet » © Stéphanie Fontenoy En cinq jours d’audience, les 17 journalistes et cadres du quotidien d’opposition turc #Cumhuriyet poursuivis pour « soutien à des organisations terroristes » ont démontré avec maestria l’ineptie d’un acte d’accusation élevant la critique contre le gouvernement turc au rang de crime. La cour a libéré sept des onze accusés détenus et fixé la prochaine audience au 11 septembre.

    #International #presse #turquie

  • Ouverture du procès de « Cumhuriyet » à Istanbul : leçon de journalisme au tribunal
    https://www.mediapart.fr/journal/international/250717/ouverture-du-proces-de-cumhuriyet-istanbul-lecon-de-journalisme-au-tribuna

    « Cumhuriyet ne se taira pas » proclame la bancarte brandie par les salariés du journal marchant vers le tribunal pour soutenir leurs confrères, lundi 24 juillet à Istanbul. © Nicolas Cheviron Le procès de 17 journalistes et dirigeants du quotidien d’opposition Cumhuriyet, accusés d’avoir soutenu à travers leurs articles plusieurs organisations armées interdites, a débuté lundi 24 juillet à Istanbul. Dès la première audience, les prévenus ont sérieusement entamé la crédibilité des arguments du parquet dans cette affaire emblématique des attaques contre la liberté de la #presse en #turquie.

    #International #Recep_Erdogan

  • Temple Mount crisis: Jerusalem unifies the Muslims through struggle - Palestinians
    http://www.haaretz.com/middle-east-news/palestinians/.premium-1.802844
    Although most Palestinians are not allowed to visit Al-Aqsa, this holy site is doing what the siege of Gaza and the expansion of the settlements could not: bringing them together

    By Amira Hass | Jul. 23, 2017 | 12:55 PM |

    A secular young man from the Ramallah area expressed his astonishment at how Jerusalem was unifying the entire Palestinian people,, and compared the perpetrator of Friday night’s attack in Halamish, Omar al-Abed, to Saladin. A silly comparison, all would agree. Still, the need to bring up Saladin encapsulates all the fatigue among Palestinians about those they perceive as the new Crusaders.

    That young man can’t go to East Jerusalem and the Old City, which is less than 30 kilometers (about 18 miles) from his home, because even in ordinary times Israel doesn’t give entry permits “just like that” for people his age. And perhaps he is among those who consider it humiliating to have to request an entry permit to a Palestinian city. The last time he visited was when he was 13 – some 13 years ago.

    And so this young Palestinian did not hear a few of the preachers in Jerusalem on Friday talk about their longing for Saladin. Because the Palestinians stuck to their prohibition on entering Al-Aqsa through the Israeli metal detectors, self-styled preachers spoke to groups of worshippers who had gathered in the streets of East Jerusalem and the Old City, surrounded by Border Police personnel aiming their long rifles at them.

    One of those preachers said that if not for the positions and actions of various regimes in the world in the past and present, the Jews would not have overcome the Palestinians. Then he paused and added, “If not for the Palestinian Authority, the collaborator, the Jews would not have the upper hand.” He also wondered: “Is it possible that in all the Muslim armies in the world today, not one can produce a Saladin?” And then he promised that the day would come when armies from Jakarta, Istanbul and Cairo will arrive to liberate Palestine, Jerusalem and Al-Aqsa.

    Another preacher made similar statements to a tourist from Turkey before the sermon. The content and style recalled the Islamist-Salafist party Hizb El Tahrir: There is no preaching for an armed struggle against the Israeli occupier, but strong faith in a day when the Muslim world mobilizes and brings down the “Jewish Crusaders.”

    When the prayer was over, only a few joined the call warning Jews that “the army of Mohammed would return” – but no one protested the characterization of the PA as a “collaborator.” Anyway, its activities are forbidden in Jerusalem. Israel pushed out the PLO (to which the PA is theoretically subservient) from every unifying, cultural, social or economic role it had until the year 2000. A vacuum like that can only be filled with religious entities and spokesmen who will give meaning to a life full of suffering. The consistent position of the PLO and the PA that this is not a religious conflict and that Israel should not be allowed to turn it into one doesn’t sound particularly convincing in Jerusalem.

    Since most Palestinians in the Gaza Strip and the West Bank can’t go to Jerusalem, the city – and particularly the Al-Aqsa Mosque – are for them abstract sites, a “concept” or a picture on the wall; not a reality to be experienced. But this abstract place, Al-Aqsa, is doing what the siege of Gaza and its 2 million prisoners, the expansion of the settlements and the confiscation of water tanks and solar panels from communities in Area C, are not doing: It is unifying them. The anti-colonial discourse, which is essentially national, political and secular, is channeled to Facebook posts, to scholarly articles that do not reach the general public and to hollow slogans mouthed by leaders, the shelf-life of whose leadership and mandate has long since expired.

    In other words, the national discourse and the veteran national leadership are no longer considered relevant today. While Al-Aqsa, in contrast, manages to create mass popular opposition to the foreign Israeli ruler – and that sparks the imagination and inspiration of masses of others who cannot go to Jerusalem. Not only nonreligious people came to places of worship in Jerusalem on Friday to be with their people. A number of Palestinian Christians also joined the groups of Muslim worshippers and prayed in their way, facing Al-Aqsa and Mecca.

    Of course, this is first and foremost the strength of religious belief. The deeper the faith, the greater the insult to its sacred elements. The fact that Al-Aqsa is a pan-Islamic site is an empowering element. But not only that: Jerusalem has the highest concentration of Palestinians who rub elbows with the foreign Israeli ruler, with everything this entails in terms of the trampling on their rights and humiliating them. They don’t need “symbolic sites” of the occupation, like military checkpoints, to recall the occupation or express their rage. And the Al-Aqsa plaza, for its part, is where the largest number of Jerusalemites can gather together in one place to feel like a collective. And when this right to congregate is taken away from them, they protest as one – which also reminds the rest of the Palestinians that the entire public is one, suffering the same foreign rule.

    But that same unified public can no longer express its oneness in mass actions. It is closed and cut off in ostensibly sovereign enclaves, and split into social classes with ever-widening social, economic and emotional gaps. Its road to the symbolic sites of the occupation, which surround every enclave, is blocked by the Palestinian security forces as well as by adaptation to life in the enclave.

    This is the political and factual foundation for the continued presence of lone-wolf attackers, without reference to the outcome of their actions: First of all, the intolerable continuation of the occupation; then the inspiration of Al-Aqsa as a place that unifies, religiously and socially; the disappointing, weakened and weak leadership; and a willingness to die that is a mixture of faith in Paradise and despair at life.

    en français : https://seenthis.net/messages/617928

    • Esplanade des Mosquées : M. Abbas suspend la coordination sécuritaire avec Israël
      Par RFI Publié le 23-07-2017
      http://www.rfi.fr/moyen-orient/20170723-esplanade-mosquees-abbas-suspend-coordination-securitaire-israel-oslo

      Israël joue avec le feu en imposant de nouvelles mesures de sécurité à l’entrée de l’Esplanade des Mosquées. L’accusation est lancée ce dimanche au Caire par le secrétaire général de la Ligue arabe pour qui Jérusalem est une ligne rouge à ne pas franchir. De nouvelles manifestations ont eu lieu samedi et deux nouvelles victimes sont à déplorer : deux Palestiniens ont été tués. Mahmoud Abbas avait annoncé dès vendredi le gel de tous les contacts avec Israël : première traduction concrète ce dimanche avec l’annulation d’une réunion de coopération sécuritaire israélo-palestinienne.

      avec notre correspondante à Ramallah, Marina Vlahovic

  • “Appelons à la lutte commune”, une déclaration du HDP-Kedistan
    http://www.kedistan.net/2017/07/21/hdp-appel-lutte-commune

    @Ad Nauseam - Aujourd’hui, le 20 juillet, le Parti démocratique des peuples (HDP) a organisé un meeting à Istanbul, dans le parc de Abbasağa situé dans le quartier Beşiktaş. Lors du meeting, une “déclaration de résolution démocratique” en 9 points, titrée “Appelons à la lutte commune”, a été lue. Le porte-parole du HDP (...)

    #Kedistan / #Mediarezo