city:jarnac

  • MITTERRAND incarne une des pires droites. | Le Club de Mediapart
    https://blogs.mediapart.fr/jean-pierre-roche/blog/250716/mitterrand-incarne-une-des-pires-droites

    Sous le titre « Les insulteurs du parti des fusillés », l’Humanité Dimanche, organe central du PCF dresse un portrait de F. Mitterrand dans son éditorial du 14 novembre 1948 :
    « Secrétaire d ‘Ètat chargé de l’information. À ce titre il est principalement chargé de la diffusion des mensonges. Ce sous ministre aux airs de jeune premier fut l’un des premiers vichystes de France ce qui lui valut de figurer dans la liste des dignitaires de la Francisque avec la rubrique suivante : « Mitterrand François Maurice, né le 26 octobre 1916 à Jarnac Charentes, 20 rue Nationale à Vichy. »
    « L’attribution de la Francisque était subordonnée à l’engagement suivant : Je fais don de ma personne au Maréchal Pétain comme il a fait don de la sienne à la France. Je m’engage à servir ses disciplines et à rester fidèle à sa personne et à son oeuvre. » M. Mitterrand n’est pas un parjure : fidèle à son serment il est toujours dans la tradition vichyste. »

    #droites_extrêmes #collaboration #Vichy #crapules

  • La France serait officiellement en dictature depuis le 5 décembre 2016
    https://www.crashdebug.fr/actualites-france/15288-la-france-serait-officiellement-en-dictature-depuis-le-5-decembre-2

    Je suis assez réticent face a ce genre de groupe politique qui diffuse des informations coup de poing sur internet en vu de se placer au pouvoir, mais le décret existe, quant à ses implications je suppose que ce groupe sait de quoi il parle, et si les choses sont avérées cela est grave, du reste vous pouvez consulter le décret 2016-1675 sur Legifrance.

    Comme ils le disent c’est un 2e coup de Jarnac après celui de Sarkozy en 2007 et notre entrée dans l’union Européene.

    On sait que l’UE est une dictature, on sait que Washington pèse d’une main de plomb sur notre pays, (voire les confidence de John Perkins) qui sont confirmé par François Asselineau. on connaît l’état de nos infrastructures, hôpitaux, armées, nos écoles, et la pression fiscale de plus en plus exacerbé sur ceux qui (...)

    #En_vedette #Actualités_françaises

  • L’après-« Harvey » et « Irma » : les forces économiques et politiques poussent à l’inertie Le Devoir - 9 septembre 2017 - Isabelle Paré
    http://www.ledevoir.com/societe/actualites-en-societe/507625/l-apres-harvey-et-irma-les-forces-economiques-et-politiques-poussent-a-l-i

    Les catastrophes vécues à Houston et celles laissées dans le sillage du puissant ouragan Irma deviendront-elles coutume ? Ouragans et inondations comptent désormais pour près de 75 % des désastres liés au climat. Le nombre de pluies « extrêmes » sur la planète monte en flèche. L’avenir s’annonce détrempé. Or, la répétition des désastres ne semble pas réussir à infléchir les façons de faire, notamment de penser les villes. Pourquoi ?

    Au lendemain de l’ouragan Katrina, Julie Hernandez, alors jeune géographe, se souvient d’avoir entendu « plus jamais ». Dans les rues, on s’arrachait les t-shirts arborant le slogan « Le réchauffement climatique n’est pas un mythe. Y croyez-vous maintenant ? ». Or, 12 ans plus tard, c’est comme si les 1800 morts et les 108 milliards de dommages qui ont plombé l’économie de la région et du pays avaient été oubliés.

    « On pensait que La Nouvelle-Orléans allait être un laboratoire et un modèle de ville résiliente au climat. Les architectes et ingénieurs ont repensé la ville, ont proposé un plan pour concentrer la population sur les terres les plus élevées et pour transformer les terrains bas en zones vertes. Il y a presque eu une insurrection civile, les gens voulaient non seulement retourner dans leur ville, mais dans leur maison ! » affirme cette géographe de l’École de santé publique de l’Université Tulane à La Nouvelle-Orléans.

    Le nouveau normal
    Après Katrina, les raisonnements scientifiques et les engagements politiques ont vite été dissolus dans les eaux brouillées de la sensibilité collective. Il faudra s’attendre à la même chose au lendemain de Harvey et d’Irma, à moins que cette fois le chaos et les coûts n’aient l’effet d’un coup de Jarnac sur les consciences, estime Paul J. Ferraro, professeur d’économie spécialisé dans les enjeux environnementaux à l’Université Johns Hopkins.

    « Il faut arrêter d’utiliser l’expression “tempête historique” pour justifier notre manque de préparation à ces événements qui causent des pertes de vie et des dommages substantiels. Ce que nous observons, ce sera “la nouvelle normalité”. Or, nous n’étions déjà pas prêts à affronter “l’ancienne réalité” », appuie le professeur.

    La professeure Hernandez estime elle aussi qu’il faut cesser de s’étonner de ces déferlements du climat, dont la surenchère s’observe depuis déjà quelques décennies. En Asie du Sud-est, les crues provoquées par des typhons sont en hausse depuis des années. Et il y a belle lurette que ce que les « tempêtes tropicales » sèment le chaos bien au-delà des tropiques. « Les ouragans s’observent à des latitudes de plus en plus élevées, dans des zones où l’on ne les attendait pas. Ce n’est pas arrivé brutalement. Houston avait vécu trois inondations majeures ces dernières années, sans pourtant revoir ses systèmes de gestion des catastrophes », critique-t-elle.

    Revoir les modèles
    Les modèles prédictifs de l’intensité des catastrophes, qui qualifient d’« une sur 500 ans ou 1000 ans » la probabilité et l’intensité d’un ouragan ou d’une crue, sont désuets. Ils confortent décideurs, investisseurs et même la population dans l’idée qu’ils ont été victimes d’un rarissime mauvais sort, contre qui rien ni personne ne peut agir.

    Pour Paul J. Ferraro, la capacité à gérer les sursauts du climat dans les États et les villes vulnérables est minimale. On a décrié ad nauseam les ratés urbanistiques qui ont démultiplié l’impact de Harvey sur Houston. Le développement immobilier effréné des dernières années s’est fait en toute connaissance de cause dans des zones inondables, marais et bayous ont été remblayés pour accueillir la population croissante, rendant la ville de moins en moins apte à absorber des trombes d’eau.

    Pis, le lacis des canaux de drainage creusés et de digues érigées pour assécher des zones humides aux fins de construction a littéralement servi de « cheval de Troie » aux flots déchaînés pour engloutir le centre-ville, affirme Julie Hernandez.

    D’aucune façon ces villes et ces États n’ont tenté de devenir plus « résilients » aux fléaux climatiques susceptibles de s’abattre sur eux, déplore le professeur Ferraro. « Les gens restent insensibles à la notion de risque, car il n’y a aucun incitatif financier pour les faire changer d’idée. Les gens qui profitent du développement immobilier ne sont pas ceux qui paient ensuite pour les dommages. C’est le gouvernement fédéral. Il doit y avoir un prix à payer pour les villes ou les promoteurs qui font fi de cette réalité », dit-il.

    Amnésie collective
    Même à La Nouvelle-Orléans, une fois les plans « de ville résiliente » mis à la corbeille, la ville s’est reconstruite sur les mêmes bases fragiles, à quelques exceptions près. Pourquoi ? « Refuser à des gens de retourner chez eux a un coût politique immense. Or, les élus pensent d’abord à leur réélection. Ils mettent dans la balance les bénéfices à court terme d’une telle décision et le risque lointain qu’un tel scénario apocalyptique se reproduise », affirme Julie Hernandez, qui a participé au processus de récupération et de mobilisation post-catastrophe après Katrina.

    Selon ces deux observateurs, la décentralisation des pouvoirs aux États-Unis favorise l’inertie actuelle. « Cela cause un grand chaos. Il faudrait centraliser et standardiser les décisions [liées aux nouvelles réalités environnementales] qui ont un impact sur le zonage. En ce moment, ces décisions sont entre les mains de ceux-là mêmes qui n’ont rien à gagner à changer les normes », insiste Paul J. Ferraro, qui juge inouï que des programmes permettent d’obtenir des subventions pour reconstruire en zone inondable. Pis, le gouvernement perpétue cette spirale insensée en payant la surprime d’assurance imposée aux propriétaires de résidences à risque.

    Julie Hernandez croit toute intervention fédérale inespérée, en ces temps « où la logique a déserté la Maison-Blanche ».« Ces événements vont faire couler beaucoup d’encre, mais l’idée même que le gouvernement fédéral impose des normes de construction nationales est de la pure science-fiction ! Mis à part dans les parcs nationaux, il n’y a pas de lois sur les littoraux. Le modèle d’un État-providence qui n’agit qu’en temps de crise est bien ancré. Ce modèle est une incitation à ne pas changer les choses, à ne pas planifier pour l’avenir. »

    Ultimement, la création de villes résilientes coûtera très cher, estime la géographe, qui intervient auprès des populations vulnérables. Des impacts sociaux sont aussi à prévoir. Car le surcoût de nouvelles normes urbaines aura malheureusement un effet direct sur les populations plus pauvres, souvent retranchées dans les « banlieues ethniques » (surnommées ethnoburbs), ces secteurs où les habitations sont moins chères, justement parce qu’elles sont situées dans les zones à haut risque de crues soudaines.

    « Dans tous les cas de figure, ce sont eux qui en paieront le prix et qui devront aller vivre ailleurs, toujours plus loin. »

    #catastrophes #médias #Nouvelle-Orléans #Houston #désastres

  • Marion Maréchal-Le Pen aurait-elle tout compris ?
    https://www.crashdebug.fr/actualites-france/13591-marion-marechal-le-pen-aurait-elle-tout-compris

    Elle n’était qu’une petite gamine quand, en 2002, son grand-père se sabordait dans sa campagne électorale du second tour pour faire réélire Jacques Chirac. Quinze ans après, elle assiste en direct à un autre sabordage opéré par sa tante lors du dernier débat de la campagne présidentielle pour faire élire Emanuel Macron. C’était peut-être le sabordage de trop pour une jeune fille qui, malgré le milieu politique dans lequel elle baigne, n’a pas tout à fait perdu cet idéalisme qui caractérise les jeunes de toutes les époques.

    Déjà, il était plus que probable que le FN allait payer le prix du dernier coup de Jarnac fait à ses fans qui avaient bien cru que cette fois-ci ce serait la bonne. Mais après l’annonce du départ de Marion Maréchal-Le Pen, il est plus que certain que le Front National paiera le prix fort. Le (...)

    #En_vedette #Actualités_françaises

  • Présidentielle : la route de Baabda n’est qu’à moitié ouverte devant Aoun - Tilda ABOU RIZK - L’Orient-Le Jour
    http://www.lorientlejour.com/article/1013457/presidentielle-la-route-de-baabda-nest-qua-moitie-ouverte-devant-aoun
    Que l’annonce de l’appui haririen à Michel Aoun soit pour aujourd’hui ou demain, l’effet sur la scène politique locale restera cependant le même : il y a bien sûr cette liesse incommensurable qui s’amplifie dans les rangs aounistes où l’on voit déjà le rêve du général se réaliser, mais il y a surtout cette immense colère et incrédulité de tous ceux qui ont vu dans cet appui un coup de Jarnac inexplicable, une trahison ou tout simplement une tactique qui risque de coûter cher au chef du courant du Futur.

    Jamais un événement au Liban n’aura peut-être suscité autant de réactions contradictoires et semé un si grand désordre dans le paysage politique. Pour résumer, le courant du Futur est divisé, les Forces libanaises sont satisfaites, Walid Joumblatt est furieux, Nabih Berry est déchaîné, le Hezbollah reste circonspect, les Marada observent un silence radio, les Kataëb restent prudents.

  • Pourquoi l’autonomie d’un mouvement passe par l’abandon de tous rapports avec les flics
    https://larotative.info/pourquoi-l-autonomie-d-un-1534.html

    https://larotative.info/home/chroot_ml/ml-tours/ml-tours/public_html/local/cache-vignettes/L700xH504/arton1534-d492c-03932.jpg?1461747953

    Il y a quelques années Victor Serge écrivait « Ce que tout révolutionnaire doit savoir de la répression ». Aujourd’hui, v’là qu’on badine avec la renifle... et on va même jusqu’à flatter quelques pognes ! Avec bonne humeur, je vous prie ! C’est sûr, vous me direz, il y a beaucoup moins de révolutionnaires à Tours aujourd’hui qu’en Russie à l’époque, c’est certain, mais le bon bougre doit tout de même bien se retourner dans la tombe, hein !

    Faudrait pas oublier une chose, les camaros, la machine à étrangler toutes nos saines révoltes, ça s’appelle un flic. C’est pas l’seul, vous m’direz, sûr ! mais c’est le premier à nous tomber sur l’rable quand on sort. Attention donc !

    « Tout militant devrait se considérer en permanence comme filé ; et ne jamais cesser de prendre par principe les précautions voulues pour empêcher la filature. » V. Serge

    Tenez, l’autre jour, en plein cortège, il y avait nos copains de la Brigade d’Intervention sur la Voie Publique, la BIVP de son p’tit nom, de chouette types ces rossards, vraiment, et vas-y que ça sourit par devant et que ça te repasse par derrière. Sans aller très loin, y’a qu’à se souvenir, 2006, CPE et Cie, qui faisaient rapports sur rapports et dénonciations sur dénonciations ? Grâce à qui les copains ont été logé, agrippé et sapé ? Eh bien ? Nos contre-coups, tiens ! Et, pardi ! Les mêmes qui descendaient la rue avec nous ces dernières manifs. Quand on pense qu’il y a encore des bourriques pour leur serrer la paluche et les saluer comme Monsieur-tout-l’monde... En attendant, c’est au garde-à-vous qu’ils nous font le coup de Jarnac – Et fiers comme Artaban nos en-bourgeois !

    C’est déjà assez qu’ils s’infiltrent dans nos cortèges pour qu’en plus on vienne leur tenir la chandelle !

    « Devant les policiers et les juges, ne jamais oublier qu’ils sont les domestiques, préposés aux plus viles besognes, des riches (…) En principe : ne rien dire. » V. Serge

    La question, c’est à partir de quand les aminches ont-ils commencé à croire qu’être bonne poire avec nos amis les roussins était sinon nécessaire au moins normal ?… Fichtre ! ce sont les mêmes vaches qui viennent nous gazer et nous matraquer à tous les coins de rue ! Et encore, ça c’est dans leurs bons jours !

    #police #répression #rezo

  • 15 ans après le lancement rezo.net, la vérité sort enfin : je suis stupéfait par ces révélations. (Mais qui sont ces gens ?)
    http://grosse.fatigue.free.fr/causetoujours/spip.php?article483

    Rezo.net a été créé par les services du Ministère de l’Intérieur sous Jospin en 1999 pour TE surveiller mets-toi bien ça au fond du crâne. Car malgré la disparition du Minitel™, et bientôt du Concorde, nos élites d’Etat ne savaient plus où donner de la tête avec l’apparition des NTIC (Ah, l’acronyme de l’époque), et la paranoïa de l’homme de Belfort allait donner naissance au portail, une idée à la mode en 99, comme le cosmos par exemple.