city:kennedy

  • @arno, il n’y a pas que toi qui tue les gens en les googlant (d’ailleurs ça mérite un #google_death)... vous avez peut-être entendu parler de la mort récente, le 21 mai, de Gudule, écrivaine...
    https://www.actualitte.com/article/monde-edition/auteure-jeunesse-et-adulte-prolifique-gudule-est-morte/55411

    Le dernier article de son blog, la veille de sa mort, raconte une aventure semblable à celle d’arno, sauf que c’est en 1963, avant google, et qu’elle s’attaque à Kennedy. Mais c’est peut-être le même don...

    Kennedy et moi
    Gudule, Grand moment de solitude, le 19 Mai 2015 à 23:59
    http://gudule.eklablog.com/grand-moment-de-solitude-43-tome-2-a117680930

    #Gudule #Kennedy

  • « Soudain Kennedy a demandé : avez-vous des armes nucléaires ? » | i24news -
    http://www.i24news.tv/fr/actu/israel/diplomatie-defense/55243-141222-soudain-kennedy-a-demande-avez-vous-des-armes-nucleaires

    Et puis les Américains l’ont appris ?

    "Lorsque Yediot Aharonot a rapporté l’existence de soupçons américains à propos du réacteur de Dimona, j’étais justement aux États-Unis pour procéder à l’acquisition d’armes. Un assistant de Kennedy, un Juif appelé Feldman, est venu vers moi et m’a dit, "le président veut vous voir." Il n’était pas habituel pour un président de rencontrer le ministre d’un autre pays, et Feldman a souligné que Kennedy voulait que l’on arrive à la réunion par la porte de derrière, sans publicité ».

    Peres se souvient de ce jour fatidique à la Maison Blanche. "J’ai pris l’ambassadeur Abe Herman avec moi et nous avons monté les escaliers vers la porte arrière. Nous sommes arrivés dans la salle. Kennedy était assis sur sa chaise à bascule et a commencé à poser des questions. Soudain, il a demandé : "avez-vous des armes nucléaires ?" Je lui ai dit, "Monsieur le Président, Israël ne sera pas le premier à avoir des armes nucléaires au Moyen-Orient. "Quand nous sommes partis, l’ambassadeur Herman m’a crié : "Qui vous a permis de dire une telle chose ?" J’ai dit : "Que vouliez-vous que je fasse ? Dire à Kennedy que j’allais appeler (le Premier ministre) Eshkol et lui demander ?" Plusieurs semaines plus tard, c’est devenu la politique officielle israélienne. Dans ma conversation avec Kennedy, j’avais établi la politique "d’ambiguïté nucléaire".

    Peut-être est-il temps de se libérer de cette politique « d’ambiguïté nucléaire » ?

    "Pour quoi faire ? C’était ce qu’il fallait faire à l’époque et c’est ce qu’il faut faire aujourd’hui. Une fois, Amr Moussa, un ministre égyptien des Affaires étrangères dont j’étais proche, est venu me voir et m’a dit : « Shimon, sommes-nous des amis ? Je lui ai répondu que oui. Puis il a dit : "Amenez-moi à Dimona, laissez-moi voir ce qui se passe là-bas. » J’ai dit : "Etes-vous devenu fou ? Si je vous amène à Dimona et vous découvrez qu’il n’y a rien, vous n’aurez plus peur de nous. Quoi, je suis fou ? Je veux que vous continuiez d’avoir peur. C’est la meilleure dissuasion ».

    Comment avez-vous réussi à recruter les Français ?

    "Ben Gourion n’était pas très emballé par les Français. A chaque Français que je lui présentais, il demandait :"Pourquoi avez-vous perdu la guerre ?" Puis, il m’a dit : "Va en France." Nous avions un agent polonais à Paris appelé Stephen qui nous a pris 10% pour la médiation. Un jour, nous sommes allés diner chez lui, il vivait dans un palais que Napoléon avait fait construire pour sa femme Joséphine. Il vivait avec une belle star de cinéma polonaise, et nous a servi le repas dans des assiettes en or. Je lui ai dit : "10% c’est beaucoup, nous sommes un pays pauvre". Et il a répondu : "Je ne prends pas cela pour moi, je paie un fonctionnaire du gouvernement" et m’a donné le nom de l’homme. J’ai appelé cet homme, me suis présenté et ai demandé à le voir. Nous nous sommes rencontrés et avons commencé à travailler ensemble".