city:kiev

  • Bruits de bottes en Europe et surtout Europe de l’Est, les Usa s’installent durablement autour de la Russie est-ce la stratégie de l’Intermarium ? https://www.wsws.org/en/articles/2016/05/31/pil1-m31.html on n’apprendrais donc rien de l’histoire ? https://www.wsws.org/en/articles/2014/04/30/semi-a30.html
    Les mêmes qui réhabilitent Bandera veulent réhabiliter Plétouria :https://www.wsws.org/en/articles/2014/05/01/semi-m01.html
    Les Usa ont toujours été pour le « fascisme » financier et donc « politique » le grand retour de ce « balancement » après la chute du mur de Berlin ? https://www.wsws.org/fr/articles/2017/fev2017/otan-f22.shtml Les Usa rejoue la partition de l’Intermarium en réssucitant Bandera le héros des collaborateurs supplétifs nazi en Ukraine. Gardé depuis la fin de la guerre par les émigrés du Canada, Usa, Uk, Australie, leur héros Bandera est revenu hanter les rues de Kiev malgré les dénégations des européens même de gauche dite radicale (NPA et autres EELV, PS, etc) « il n’y a pas de nazi en Ukraine » disent ils ..https://www.jacobinmag.com/2015/09/stepan-bandera-nationalist-euromaidan-right-sector Andreï Biletski et d’autres noms invités au Parlement Européen ne gênent pas les « chasseurs de quenelles » de Dieudonné pourtant. Les anciens « criminels » assassins de « juifs » sont bien là et se réjouissent d’avoir repris du « poil de la bête » contre les Russes, ou Polonais.

  • Un passionné de cartes raconte les conflits du monde en direct depuis l’Ukraine

    http://mashable.france24.com/monde/20170216-liveuamap-cartes-conflits-ukraine-syrie

    Une nouvelle initiative, à explorer.

    Passionné par l’actualité internationale et la cartographie, ce jeune ingénieur ukrainien a lancé Liveuamap depuis Dnipro, à l’est du pays. Le site permet de suivre en direct les conflits du monde sur une carte qui se met automatiquement à jour.

    Dans un café de Kiev, en Ukraine, Rodion Rozhkovsky boit patiemment un thé d’argousier. Une boisson qui lui rappelle le chaud breuvage hivernal que lui faisait sa grand-mère, professeure de géographie. C’est elle qui lui a transmis son amour des cartes. Aujourd’hui, Rodion co-dirige Liveuamap, un média d’un nouveau genre.

    #ukraine #cartographie #cartoexperiment (peut-être) #guerre #conflits

  • Shorts from Ji.hlava
    http://www.nova-cinema.org/prog/2017/158/echoes-of-ji-hlava/article/shorts-from-ji-hlava

    Une compilation de quelques courts-métrages marquants glânés lors du séjour d’une délégation du Nova à Jihlava 2016… •+ The Bridge [Міст] Oksana Nosach, Olena Moskalchuk, Dmitriy Burko, 2016, UA, uk st ang, 8’ Documentaire de création mêlant prises de vue réelles, images d’archives et animation, sur la vie autour d’un vieux pont désaffecté, le Rybalski à Kiev (hors compétition à Jihlava). •+ The Horses of a Cavalry Captain [Die Pferde des Rittmeisters] Clements von Wedemeyer, 2015, DE, de st ang, 11’ Des images tournées derrière le front de 40-45 par un capitaine passionné des chevaux de la Wehrmacht, montées et commentées avec lucidité par le petit fils du cinéaste amateur nazi. •+ I Wish [Ojalá] Antonio Anton, 2016, ES, es st ang, 7’ (...)

  • Une guerre qui ne dit pas son nom continue de sévir en Ukraine
    https://www.mediapart.fr/journal/international/040217/une-guerre-qui-ne-dit-pas-son-nom-continue-de-sevir-en-ukraine

    La violence embrase à nouveau l’est de l’Ukraine. Kiev et les séparatistes s’accusent mutuellement de la reprise des hostilités autour de la ville industrielle d’Avdiivka. Plus de dix civils ont été tués. Le Comité #International de la Croix Rouge (CICR) porte assistance à ces milliers d’Ukrainiens. Entretien avec l’un de ses responsables, Patrick Vial, qui appelle à la création de « zones sécurisées ».

    #CICR #Crise_en_Ukraine #europe #ONU #Russie

  • Un article de Nezavisimaia Gazeta de Moscou détaille le commerce plus ou moins légal entre l’Ukraine et le Donbass oriental (Kiev n’a jamais instauré de blocus ni interdit le commerce avec la région sécessionniste). Ce dont profitent des entreprises bien choisies. Commerce de charbon vers l’Ukraine mais aussi passage de marchandises vers la Russie en contournant tout contrôle... Et certaines forces entendent bloquer ce trafic en détruisant les voies ferrées.
    A qui profitent les guerres ?
    #Ukraine, #Donbass, #Russie
    В Украине началась рельсовая война / СНГ / Независимая газета
    http://www.ng.ru/cis/2017-01-31/1_6916_ukraina.html

  • L’Otan aurait renoncé à intégrer l’Ukraine dans ses rangs
    https://www.crashdebug.fr/international/13098-l-otan-aurait-renonce-a-integrer-l-ukraine-dans-ses-rangs

    La question d’adhésion de l’Ukraine à l’Otan semble repoussée aux calendes grecques. Les pays membres de l’Alliance essaient d’éviter les discussions à ce sujet tandis que de son côté, l’Ukraine n’a même pas déposé de demande d’adhésion.

    L’Ukraine pourrait ne jamais devenir membre de l’Alliance nord-atlantique, les pays membres de l’Otan ne voyant aucune raison de permettre à ce pays de rejoindre l’organisation, relate le quotidien Izvestia citant une source militaire à Bruxelles.

    Selon la source, les membres de l’Otan essaient d’éviter le sujet. L’idée de l’adhésion de l’Ukraine à l’Alliance a été abandonnée en raison de l’« absence de consensus au sein de l’Otan ». Les pays membres ne comprennent pas comment Kiev (...)

    #En_vedette #Actualités_internationales #Actualités_Internationales

  • L’héritage du « démocrate » - RipouxBlique des CumulardsVentrusGrosQ
    http://slisel.over-blog.com/2017/01/l-heritage-du-democrate.html

    Ainsi se terminent les deux mandats de Barack Obama : aucun des objectifs stratégiques de l’Empire états-unien n’a été atteint, mais le président termine en prenant diverses mesures contraignantes et répressives. 
    Qu’adviendra-t-il lorsque qu’un anti-impérialiste lui succédera à la Maison-Blanche ?

    A la veille de la passation de pouvoirs à la Maison-Blanche, 2017 s’ouvre avec le massacre terroriste en Turquie, deux semaines après l’assassinat de l’ambassadeur russe à Ankara, perpétré le jour précédant la rencontre à Moscou entre la Russie, l’Iran et la Turquie pour un accord politique sur la Syrie ; rencontre dont étaient exclus les États-Unis. Engagés, dans les derniers jours de l’administration Obama, à créer la plus grande tension possible avec la Russie, accusée même d’avoir subverti, avec ses « malins » hackers et agents secrets, l’issue des élections présidentielles qu’aurait dû gagner Hilary Clinton. Cela aurait assuré la poursuite de la stratégie néo-con, dont la Clinton a été l’artisan pendant l’administration Obama.

    Celle-ci se termine à l’enseigne de l’échec des principaux objectifs stratégiques : la Russie, envoyée dans les cordes par la nouvelle Guerre froide déclenchée par le putsch en Ukraine et par les sanctions consécutives, a pris Washington par surprise en intervenant militairement en soutien de Damas. Ce qui a empêché que l’État syrien fut démantelé comme celui libyen et a permis aux forces gouvernementales de libérer de vastes zones contrôlées pendant des années par al-Nosra (al-Qaïda), Daesh, et d’autres mouvements terroristes fonctionnels à la stratégie USA/Otan. Approvisionnés en armes, payés avec des milliards de dollars par l’Arabie saoudite et autres monarchies, à travers un réseau international de la CIA (documenté par le New York Times en mars 2013) qui les faisait arriver en Syrie à travers la Turquie, avant-poste Otan dans la région.

    Mais maintenant, devant l’évident échec de l’opération, qui a coûté des centaines de milliers de morts, Ankara s’en sort en ouvrant une négociation avec l’intention d’en tirer le plus grand avantage possible. À cet effet, il ravaude les rapports avec Moscou, qui étaient arrivés au point de rupture, et prend ses distances avec Washington.

    Un affront pour le président Obama. Celui-ci, cependant, avant de passer le bâton de commandement au nouvel élu, Donald Trump, tire ses dernières cartouches.

    Cachée dans les plis de l’autorisation de la dépense militaire 2017, signée par le président, se trouve la loi pour « contrecarrer la désinformation et propagande étrangères », attribuées en particulier à Russie et Chine, laquelle confère d’ultérieurs pouvoirs à la tentaculaire communauté de renseignement, formée de 17 agences fédérales. Grâce aussi à une allocation de 19 milliards de dollars pour la « cyber-sécurité », elles peuvent faire taire n’importe quelle source de « fausses nouvelles », sur jugement incontestable d’un « Centre » ad hoc, assisté par des analystes, journalistes et autres « experts » recrutés à l’étranger. Ainsi devient réalité l’orwellien « Ministère de la Vérité » qui, pré-annonce le président du parlement européen Martin Shultz, devrait être aussi institué par l’UE.

    Sortent aussi potentialisées par l’administration Obama les forces spéciales, qui ont étendu leurs opérations secrètes de 75 pays en 2010 à 135 en 2015.

    Dans ses actes conclusifs l’administration Obama a rappelé le 15 décembre son soutien à Kiev, dont elle arme et entraîne les forces, bataillons néo-nazis compris, pour combattre les Russes d’Ukraine.

    Et le 20 décembre, en fonction anti-russe, le Pentagone a décidé la fourniture à la Pologne de missiles de croisière à longue portée, avec capacités pénétrantes anti-bunker, armables aussi de têtes nucléaires.

    Du démocrate Barack Obama, Prix Nobel de la paix, reste à la postérité l’ultime message sur l’État de l’Union : « L’Amérique est la plus forte nation sur la Terre. Nous dépensons pour le militaire plus que ne dépensent ensemble les huit nations suivantes. Nos troupes constituent la meilleure force combattante dans l’histoire du monde ».

    Manlio Dinucci
    Traduction 
    Marie-Ange Patrizio

    Source 
    Il Manifesto (Italie)

  • L’#Onu adopte une #résolution contre la #colonisation des territoires palestiniens - Libération
    http://www.liberation.fr/planete/2016/12/23/l-onu-adopte-une-resolution-contre-la-colonisation-des-territoires-palest

    Très gros malaise à Jérusalem après le vote, vendredi soir, par le Conseil de sécurité, d’une résolution exigeant l’« arrêt immédiat et complet des activités israéliennes de colonisation dans les territoires palestiniens occupés », y compris Jérusalem-Est. Cette résolution, la première depuis 1979, est un camouflet pour l’État hébreu qui se voit condamné par la communauté internationale. Et qui risque des sanctions économiques et politiques s’il poursuit l’occupation des territoires palestiniens. L’important dans cette affaire est que le texte a été voté, les États-Unis n’y ayant pas opposé leur veto, comme ils le faisaient régulièrement. Leur représentante s’est contentée de s’abstenir. Une nuance qui change tout.

    #Israël #Palestine #conseil_de_sécurité

    • Security Council resolution calls for end to Israeli settlements | United Nations Radio
      http://www.unmultimedia.org/radio/english/2016/12/security-council-resolution-calls-for-end-to-israeli-settlements

      Israeli settlements in the occupied Palestinian territories are a “flagrant violation” of international law, according to a UN Security Council resolution adopted on Friday.

      It demands that Israel immediately and completely stop all settlement activity which is essential for salvaging the two-State solution, whereby Israel and Palestine exist peacefully alongside each other.

      Dianne Penn reports.

      Applause after the vote in the UN Security Council chamber on Friday afternoon.

      Fourteen countries voted in favour of the resolution while one abstained.

      The resolution describes the communities created by Israel as a “major obstacle” to achieving the two-State solution and a lasting peace.

      Ramlan Bin Ibrahim is Malaysia’s ambassador to the UN and one of the co-sponsors of the resolution.

      “The last time the Council adopted a resolution on settlements was over 36 years ago. Since then, the situation on the ground has worsened to the point where the very prospect of the two-State solution is in question. There is no doubt that this falls under the responsibility of the Security Council under the UN Charter to maintain international peace and security.”

      The resolution also calls for immediate steps to prevent all acts of violence against civilians, including acts of terror.

      It further urges an acceleration of international and regional diplomatic efforts in support of achieving a just and lasting peace.

      Dianne Penn, United Nations.

    • Adoption d’une résolution de l’ONU réclamant l’arrêt de la colonisation israélienne
      http://www.francetvinfo.fr/monde/proche-orient/israel-palestine/adoption-d-une-resolution-de-l-onu-reclamant-l-arret-de-la-colonisation

      Donald Trump, dont l’une des promesses de campagne est de reconnaître Jérusalem comme « capitale indivisible » d’Israël, a réagi sur Twitter. « Les choses seront différentes » à l’ONU après son investiture, a écrit le président américain élu.Au total, Washington a utilisé son droit de veto trente fois pour bloquer des résolutions concernant Israël et les Palestiniens, selon l’organisation Security Council Report. C’est en 2009, concernant un appel à un cessez-le-feu à Gaza, que les Etats-Unis se sont abstenus pour la dernière fois lors d’un vote au Conseil de sécurité quel qu’en soit le thème.

    • La résolution de l’ONU réclamant l’arrêt de la colonisation israélienne a été adoptée
      http://www.lemonde.fr/international/article/2016/12/23/la-resolution-de-l-onu-reclamant-l-arret-de-la-colonisation-israelienne-a-et

      En réaction, l’ambassadeur d’Israël a dénoncé cette résolution et critiqué l’abstention des Etats-Unis, affirmant « ne pas douter » que la nouvelle administration américaine et le nouveau secrétaire général allaient travailler à une nouvelle ère des relations entre Israël et les Nations unies.

    • Certes, les conséquences concrètes sur le terrain seront faibles, mais au moins, pour le principe, cela fait du bien. Et puis, juridiquement, cela pourra peut-être aider dans certains cas.

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      La résolution pour l’arrêt de la colonisation israélienne adoptée par l’ONU - Moyen-Orient - RFI
      http://www.rfi.fr/moyen-orient/20161223-resolution-arret-colonisation-israelienne-adoptee-onu

      L’abstention des Etats-Unis est historique. Dans le passé, Washington a toujours soutenu Israël en opposant son veto à toute résolution du Conseil de sécurité hostile à l’Etat hébreu. La dernière fois que les Etats-Unis n’ont pas refusé de voter une résolution de l’ONU remonte à 2009, lors d’un appel à un cessez-le feu à Gaza. En 2011, lors d’une résolution identique à celle qui vient d’être adoptée par le Conseil de sécurité, condamnant la colonisation des Territoires palestiniens, les Etats-Unis avaient bloqué son adoption en utilisant le droit de veto. Mais, depuis, les relations entre Barack Obama et Benyamin Netanyahu se sont sérieusement détériorées, même si les Etats-Unis n’ont jamais réduit leur assistance militaire à Israël.

    • Lâché à l’ONU par Barack Obama, Israël compte sur Donald Trump - La Croix
      http://www.la-croix.com/Monde/Moyen-Orient/Lache-a-lONU-par-Barack-Obama-Israel-compte-sur-Donald-Trump-2016-12-25-12

      Isolé sur la scène internationale après l’adoption par le Conseil de sécurité de l’ONU, avec l’appui tacite de Barack Obama, de la résolution 2334 qui condamne la colonisation juive en Cisjordanie, Israël compte sur Donald Trump pour bouleverser la donne.

      Barack Obama a cependant octroyé à Israël une #aide_militaire sans précédent de 38 milliards de dollars (36,8 milliards d’euros) étalée sur dix ans. Depuis juin 1967, il était le seul président américain à avoir systématiquement mis son veto aux résolutions contre la politique israélienne au Conseil de sécurité, afin de privilégier le dialogue direct entre Israël­ et les Palestiniens.

      [...] Reste qu’il est impossible d’annuler la #résolution_2334. Elle n’a d’ailleurs qu’une valeur déclaratoire réitérant le consensus international sur l’hostilité à la colonisation, puisqu’elle ne prévoit pas de sanctions.

      Certains pays pourraient s’appuyer sur ce texte pour boycotter les institutions ou entreprises israéliennes installées dans les colonies. Et les Palestiniens, qui célèbrent « une victoire historique », ne manqueront pas de s’en servir pour tenter de traîner les responsables israéliens devant la Cour pénale internationale (#CPI) de La Haye pour « crimes de guerre ».

    • Résolution sur les colonies en Cisjordanie : tensions entre l’Ukraine et Israël - Moyen-Orient - RFI
      http://www.rfi.fr/moyen-orient/20161227-resolution-colonies-cisjordanie-tensions-entre-ukraine-israel

      Pourtant, durant le week-end, la diplomatie ukrainienne a publié une déclaration critiquant explicitement l’attitude d’Israël suite au vote des Nations unies. Résultat, dimanche et lundi, les deux pays ont demandé des explications à leurs ambassadeurs respectifs.

      Afin d’expliquer sa position sur la résolution, l’Ukraine a avancé qu’elle est elle-même victime d’une occupation, en l’occurrence russe, en Crimée et à l’est de l’Ukraine. Kiev appelle donc à ce que la loi internationale soit respectée partout, que ce soit en Ukraine comme en Palestine.

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      L’accord d’association avec l’UE, un moyen de pression sur Israël | L’Humanité
      http://www.humanite.fr/laccord-dassociation-avec-lue-un-moyen-de-pression-sur-israel-629240

      Le Conseil de sécurité des Nations unies a adopté une résolution condamnant la colonisation d’Israël. Une première depuis 1979. Alors que Donald Trump arrive au pouvoir à Washington, l’Union européenne est l’un des seuls acteurs internationaux à pouvoir forcer Tel-Aviv à évoluer.

  • Kiev Versus Kiev | Foreign Policy
    http://foreignpolicy.com/2016/12/20/kiev-versus-kiev-poroshenko-ukraine-corruption-nabu

    This August, an unusual episode occurred in the center of Kiev: a public confrontation between two law enforcement agencies. In broad daylight, two black minivans parked on a sidewalk, after which 12 men — masked, wearing helmets, and carrying automatic weapons — walked into a building and brought several others outside. The brief struggle (the nature of which is, of course, disputed) pitted agents from the General Prosecutor’s Office (GPO) against special forces from a newly formed body, the National Anti-Corruption Bureau of Ukraine (NABU). The NABU forces had come to the aid of several colleagues who had been confronted by GPO staff on suspicion of clandestine activity.

    In the end, the tussle ended without serious bloodshed. But the clash between Ukraine’s two main anti-corruption bodies was emblematic of a wider political reality. We are now halfway through the first term of President Petro Poroshenko, a man who promised to do his best to dismantle the country’s corrupt networks. But, nearly three years since the Euromaidan revolution, Ukraine’s political order is still wholly corrupt from top to bottom. The conflict between the GPO and the NABU helps explain why.

    • Article du 1/11/16 listant les avoirs de trésorerie des députés au parlement.

      Народні депутати вже задекларували грошових активів у розмірі 12 мільярдів гривень — ОПОРА - Громадянська мережа - вибори в Україні - вибори в Украине - Election in Ukraine

      https://www.oporaua.org/novyny/43387-narodni-deputaty-vzhe-zadeklaruvaly-hroshovykh-aktyviv-v-rozmiri-12-m

      Народні депутати вже задекларували грошових активів у розмірі 12 мільярдів гривень

      30 жовтня сплив термін подачі електронних декларацій за 2015 рік. Станом на 31 жовтня 2016 року до Єдиного державного реєстру декларації подали не всі народні депутати 8 скликання. Загальна задекларована сума категорії «Грошові активи» склала майже 12 мільярдів у гривневому еквіваленті.

      Pour info, 500 M hryvnia représentent environ 18 M€ (on parle de liquidités…)

      Le surlignage rouge sur la copie d’écran de la consultation en ligne des déclarations indique non inclus dans le total de 12 Mds UAH (il en fait 1 à lui tout seul)

  • Moscou s’élève contre un projet d’essais de missiles ukrainiens
    https://www.crashdebug.fr/international/12746-moscou-s-eleve-contre-un-projet-d-essais-de-missiles-ukrainiens

    Il a l’air sympa Oleksander Tourchinov, il a pas dutout une tête de néo nazi en costume cravate.... Vous ne trouvez pas ?

    Oleksander Tourchinov

    MOSCOU/KIEV, 26 novembre (Reuters) - La Russie a protesté samedi contre le projet de Kiev de réaliser des essais de missiles près de la Crimée, annexée en 2014 par Moscou.

    L’agence russe de l’aviation civile Rosaviatsia a annoncé vendredi soir avoir été informée par l’Ukraine d’un essai de missile "dans l’espace aérien russe" le 1er et le 2 décembre dans la région de Simferopol, en Crimée.

    Le ministère russe des Affaires étrangères a adressé un courrier de protestation à l’attaché militaire ukrainien tandis qu’Oleksander Tourchinov, secrétaire ukrainien à la Sécurité nationale et à la Défense, réfutait les accusations (...)

    #En_vedette #Ça_s'est_dit_par_là... #International

  • Président élu moldave : « la Crimée est de facto un territoire russe » - France Révolution
    http://france-revolution-investigative-reporter.over-blog.com/2016/11/president-elu-moldave-la-crimee-est-de-facto-un-territoire-russe.html

    Est-ce que la Moldavie va reconnaître la Crimée russe ? Une question qui se pose de plus en plus souvent après qu’Igor Dodon ait obtenu la victoire à la présidentielle moldave. Bien que la péninsule ne soit pas encore reconnue comme russe par l’Occident, elle est de facto russe, a estimé M. Dodon dans un entretien à Sputnik France.

    Le président élu moldave n’est pas à court de mots pour expliquer sa position sur les sujets internationaux. Tout juste élu président, Igor Dodon s’exprime notamment sur le statut de la Crimée, les relations entre la Moldavie et l’Europe, la Moldavie et la Russie.

    Contacté par Sputnik France, le président nouvellement élu a expliqué pourquoi la Moldavie devait aborder prudemment le dossier criméen et a réaffirmé sa position quant au statut de la péninsule : « Je me suis déjà exprimé sur ce point, mais je pense qu’en prenant la décision il faut partir également du fait que nous avons des problèmes avec la Transnistrie.

    C’est pourquoi il faut être très attentif en abordant cette question et ne pas faire de pas importants afin de ne pas perdre la Transnistrie », a affirmé M. Dodon. « J’ai déjà dit que la Crimée était de facto un territoire russe qui de jure n’était pas encore reconnu par l’Occident. » Dans le même temps, la Moldavie a l’intention d’obtenir la modification de l’accord d’association avec l’UE.

    Mais dans quelle direction cette modification devra-t-elle s’opérer ? Et plus globalement quel avenir pour l’euro-intégration ? « Nous devons préserver de bons rapports avec l’Europe mais nous devons aussi rétablir le partenariat stratégique avec la Fédération de Russie », a souligné le président.

    La Crimée et Sébastopol ont été rattachés à la Russie à la suite d’un référendum tenu en mars 2014. 96,77 % des Criméens et 95,6 % des habitants de la ville de Sébastopol (ville criméenne avec un statut particulier) ont voté pour le rattachement à la Russie. La péninsule avait été « offerte » à l’Ukraine par Nikita Khrouchtchev en 1954. Aujourd’hui, l’Ukraine continue de considérer ce territoire comme le sien. La majorité des pays occidentaux soutiennent la position de Kiev et ont introduit des sanctions antirusses en 2014.

    Selon le président russe Vladimir Poutine, la question de la Crimée est « close une fois pour toutes ».

  • Horreur, enfer et damnation ...L’Hilarante, les sondeurs et les médias battus. Trump triomphe - France Révolution
    http://france-revolution-investigative-reporter.over-blog.com/2016/11/horreur-enfer-et-damnation.l-hilarante-les-sondeurs-et-les-medias-battus.trump-triomphe.html

    Je commençais un billet sur la débandade des djihadistes à Alep – La massive offensive terroriste à Alep se termine en « eau de boudin » – quand est tombée la nouvelle de la défaite de l’hilarante barbue en chef.
     
    Oh quel délicieux spectacle mes amis. Le système impérial est en pleine crise de nerf : banksters, volaille médiatique, euronouilles et néo-conservateurs sont en émoi. Ce ne sont que sanglots dans la voix, yeux mouillés et regrets éternels.
     
    Après le Brexit, voilà un nouveau coup dur pour l’establishment qui nous assurait pourtant que l’abominable Donald des neiges n’avait aucune chance. Comme pour le Brexit, comme pour le référendum de 2005… A l’Elysée, Flamby n’avait préparé qu’une seule lettre de félicitations (pour Clinton !) tandis que la clique américanisante est sous le choc en Allemagne.
     
    Quant à la boboïtude médiatique, n’en parlons pas… Les soutiens internationaux de Clinton, eux, font grise mine et l’on imagine aisément les visages tirés et soucieux à Riyad, Kiev ou Doha.
     
    Géopolitiquement, qu’est-ce que ça nous donne ? Il est évidemment trop tôt pour faire une analyse générale et exhaustive de la future politique étrangère du nouveau président états-unien, qui n’entrera d’ailleurs en fonction qu’en janvier, mais l’on peut déjà esquisser schématiquement quelques évolutions possibles ou probables :
     
    Rapprochement avec la Russie.
     
    Poutine a été l’un des premiers à féliciter Trump et espère que son élection conduira au rétablissement des relations américano-russes qui ont atteint un plus bas historique sous Barack à frites. La relative proximité entre le Donald et Vladimirovitch est un secret de polichinelle,au grand dam des officines impériales.
     
    Dans son premier discours post-élection, Trump a dit quelque chose qui devrait avoir l’heur de plaire à Moscou : « Nous nous entendrons avec tous les autres pays qui ont la volonté de s’entendre avec nous ». Loin des lénifiants « exceptionnalisme américain » et autre « nation indispensable » du parti de la guerre à Washington.

  • John Pilger : Au coeur du gouvernement invisible : Guerre, Propagande, Clinton & Trump - RipouxBlique des CumulardsVentrusGrosQ
    http://slisel.over-blog.com/preview

    Le grand journaliste australien John Pilger, qui vient d’interviewer Julian Assange nous livre ici une critique du rôle des médias occidentaux au vitriol (Bertrand)

    Au cœur du gouvernement invisible : Guerre, Propagande, Clinton & Trump
     

    John Pilger
    Le journaliste américain Edward Bernays, est souvent décrit comme l’homme qui a inventé la propagande moderne.

    Neveu de Sigmund Freud, pionnier de la psychanalyse, c’est Bernays qui a inventé le terme « relations publiques » comme un euphémisme pour dire "manipulations et tromperies".

    En 1929, il a persuadé les féministes de promouvoir les cigarettes pour les femmes en s’affichant en train de fumer pendant la New York Easter Parade - comportement alors considéré comme outrancier. Une féministe, Ruth Booth, a déclaré, « Femmes ! Allumez un autre flambeau de la liberté ! Luttez contre un autre tabou sexuel !"

    L’influence de Bernays s’est étendue bien au-delà de la publicité. Son plus grand succès a été le rôle qu’il a joué pour convaincre le public américain de se joindre au massacre de la Première Guerre mondiale. Le secret, disait-il, était « l’ingénierie du consentement » de la population de façon à la "contrôler et [l’]enrégimenter selon notre volonté sans qu’elle le sache".

    Il a décrit cela comme « le vrai pouvoir de décision dans notre société" et l’a appelé le « gouvernement invisible ».

    Aujourd’hui, le gouvernement invisible n’a jamais été plus puissant et aussi peu compris. Dans ma carrière en tant que journaliste et cinéaste, je n’ai jamais vu la propagande s’insinuer dans nos vies comme elle le fait maintenant sans être contestée .

    Imaginez deux villes. Toutes les deux sont en état de siège par les forces du gouvernement de leur pays. Les deux villes sont occupées par des fanatiques, qui commettent des atrocités, comme décapiter les gens.

    Mais il y a une différence essentielle. Dans un des deux sièges, les soldats du gouvernement sont décrits comme des libérateurs par les journalistes occidentaux embarqués avec eux, qui relatent avec enthousiasme leurs batailles et leurs frappes aériennes. Il y a en première page des photos de ces héroïques soldats faisant le V de la victoire. Il est peu fait mention de victimes civiles.
     

    Alep (Avant/Après)
    Dans la deuxième ville - dans un pays voisin - se passe presque exactement la même chose. Les forces gouvernementales assiègent une ville contrôlée par la même espèce de fanatiques.

    La différence est que ces fanatiques sont pris en charge, fournis et armés par « nous » - par les Etats-Unis et la Grande-Bretagne. Ils ont même un centre de médias qui est financé par la Grande-Bretagne et les USA.

    Une autre différence est que les soldats gouvernementaux qui assiègent cette ville sont les méchants, condamnés pour avoir agressé et bombardé la ville - ce qui est exactement ce que les bons soldats font dans la première ville.

    Déroutant ? Pas vraiment. Tel est le double standard de base qui est l’essence même de la propagande. Je parle, bien sûr, du siège actuel de la ville de Mossoul par les forces gouvernementales de l’Irak, qui sont soutenues par les Etats-Unis et la Grande-Bretagne et du siège d’Alep par les forces gouvernementales syriennes, soutenues par la Russie. L’un est bon ; l’autre est mauvais.

    Ce qui est rarement signalé est que ces deux villes ne seraient pas occupées par des fanatiques et ravagées par la guerre si la Grande-Bretagne et les États-Unis n’avaient pas envahi l’Irak en 2003. Cette entreprise criminelle a été lancé sur la base de mensonges étonnamment semblables à la propagande qui déforme maintenant notre compréhension de la guerre civile en Syrie.

    Sans ce roulement de tambour de la propagande déguisé en information, ni le monstre ISIS [Daech - NDT] ni Al-Qaida, ni al-Nusra, ni les autres bandes djihadistes ne pourraient exister, et le peuple de Syrie n’aurait pas besoin de se battre pour sa survie aujourd’hui.

    Certains se souviennent en 2003 de la succession de journalistes de la BBC se tournant vers la caméra et nous disant que le choix de Blair pour ce qui s’est révélé être le crime du siècle était "justifié". Les réseaux de télévision américains ont produit la même validation pour George W. Bush. Fox News a rameuté Henry Kissinger pour s’enthousiasmer sur les preuves fabriquées par Colin Powell.

    La même année, peu de temps après l’invasion, j’ai filmé une interview à Washington avec Charles Lewis, le journaliste d’investigation américain renommé. Je lui ai demandé, "Qu’est-ce qui se serait passé si les médias les plus libres du monde avaient sérieusement remis en question ce qui s’est avéré être de la propagande grossière ?"

    Il a répondu que si les journalistes avaient fait leur travail, "il y a une très, très forte chance que nous ne serions pas allés à la guerre en Irak".

    Ce fut une déclaration choquante, et qui fut confirmée par d’autres journalistes célèbres à qui je posais la même question - Dan Rather de CBS, David Rose de The Observer ainsi que des journalistes et producteurs de la BBC, qui ont souhaité rester anonymes.
     

     
    En d’autres mots, si les journalistes avaient fait leur travail, s’ils avaient contesté et étudié la propagande au lieu de l’amplifier, des centaines de milliers d’hommes, de femmes et d’enfants seraient encore en vie aujourd’hui, et il n’y aurait pas d’ISIS et aucun siège d’Alep ou de Mossoul.

    Il n’y aurait eu aucune atrocité dans le métro de Londres le 7 Juillet 2005. Il n’y aurait eu aucune fuite de millions de réfugiés ; il n’y aurait pas de camps de misère.

    Lorsque l’atroce acte terroriste a eu lieu à Paris en Novembre dernier, le président François Hollande a immédiatement envoyé des avions pour bombarder la Syrie - et plus de terrorisme s’en est suivi, de façon prévisible, comme le produit de la grandiloquence de Hollande sur la France « en guerre » et « ne montrant aucune pitié". Que la violence d’État et la violence djihadiste s’alimentent mutuellement est une vérité dont aucun dirigeant national n’a le courage de parler.

    "Lorsque la vérité est remplacée par le silence", disait le dissident soviétique Yevtushenko, "le silence est un mensonge."

    L’attaque contre l’Irak, l’attaque contre la Libye, l’attaque contre la Syrie se sont produites parce que le leader de chacun de ces pays n’a pas été une marionnette de l’Occident. Le dossier d’un Saddam ou d’un Kadhafi en matière de droits de l’homme était sans importance. Ils n’ont pas obéit aux ordres et n’ont pas abandonné le contrôle de leur pays.

    Le même sort attendait Slobodan Milosevic après qu’il ait refusé de signer un « accord » qui exigeait l’occupation de la Serbie et sa conversion à une économie de marché. Son peuple a été bombardé, et il a été poursuivi à La Haye. Ce genre d’indépendance est intolérable.

    Comme WikiLeaks l’a révélé, ce ne fut que lorsque le dirigeant syrien Bachar al-Assad en 2009 a rejeté un oléoduc, qui devait traverser son pays en provenance du Qatar vers l’Europe, qu’il a été attaqué.

    A partir de ce moment, la CIA a planifié de détruire le gouvernement de Syrie à l’aide des fanatiques djihadistes - les mêmes fanatiques qui tiennent actuellement les habitants de Mossoul et de l’Est d’Alep en otage.

    Pourquoi n’est-ce pas dans les journaux ? L’ancien fonctionnaire du Foreign Office britannique Carne Ross, qui était responsable des sanctions opérationnelles contre l’Irak, m’a dit : « soit nous nourrissions les journalistes factoïdes avec des renseignements aseptisés, soit nous les mettions au congélateur. Voilà comment cela fonctionnait. ».

    Le client médiéval de l’Occident, l’Arabie Saoudite - à laquelle les Etats-Unis et la Grande-Bretagne vendent pour des milliards de dollars d’armement - est en train, en ce moment-même, de détruire le Yémen, un pays si pauvre que, dans le meilleur des cas, la moitié des enfants y souffrent de malnutrition.

    Regardez sur YouTube et vous verrez le genre de bombes massives - "nos" bombes - que les Saoudiens utilisent contre des villages pauvres et poussiéreux, contre des mariages et des funérailles.

    Les explosions ressemblent à de petites bombes atomiques. Les lanceurs de ces bombes en Arabie Saoudite travaillent côte à côte avec des officiers britanniques. Ce fait n’est pas évoqué au journal du soir.

    La propagande est plus efficace quand notre consentement est fabriqué par des gens avec une excellente éducation - Oxford, Cambridge, Harvard, Columbia - et qui font des carrières à la BBC, au Guardian, au New York Times, au Washington Post.

    Ces organismes sont considérés comme des médias libéraux. Ils se présentent comme éclairés, tribuns progressistes du zeitgeist moral. Ils sont anti-racistes, pro-féministes et pro-LGBT.

    Et ils aiment la guerre.

    Alors qu’ils plaident pour le féminisme, ils soutiennent les guerres rapaces qui nient les droits d’innombrables femmes, y compris leur droit à la vie.

    En 2011, la Libye, un Etat moderne, a été détruite sous prétexte que Mouammar Kadhafi était sur le point de commettre un génocide contre son propre peuple. Ce fut répété sans interruption dans tous les médias ; et pourtant il n’y avait aucune preuve. C’était un mensonge.

    En fait, la Grande-Bretagne, l’Europe et les États-Unis voulaient ce qu’ils aiment à appeler un « changement de régime » en Libye, le plus grand producteur de pétrole en Afrique. L’influence de Kadhafi sur le continent et, surtout, son indépendance était intolérable.

    Donc, il a été assassiné d’un coup de poignard dans le dos par des fanatiques, soutenus par l’Amérique, la Grande-Bretagne et la France. Hillary Clinton a applaudi sa mort horrible devant la caméra, en déclarant, « Nous sommes venus, nous avons vu, il est mort !"

    La destruction de la Libye a été un triomphe médiatique. Alors que les tambours de guerre résonnaient, Jonathan Freedland écrivit dans le Guardian : "Bien que les risques soient bien réels, l’argument en faveur d’une intervention reste fort."

    Intervention - quel mot poli et bénin du Guardian , dont la signification réelle, pour la Libye, fut la mort et la destruction.

    Selon son propre décompte, l’OTAN a lancé 9.700 "sorties de frappes" contre la Libye, dont plus d’un tiers étaient destinées à des cibles civiles. Elles comprenaient des missiles avec des ogives à l’uranium. Regardez les photos des décombres de Misrata et de Syrte, et les fosses communes identifiées par la Croix-Rouge. Le rapport de l’Unicef ​​sur les enfants tués dit, « la plupart [d’entre eux] ont en dessous de l’âge de dix ans".

    En conséquence directe, Syrte est devenue la capitale d’ISIS.

    L’Ukraine est un autre triomphe médiatique. Des journaux libéraux respectables tels que le New York Times, le Washington Post et le Guardian, et les radiodiffuseurs traditionnels tels que la BBC, NBC, CBS, CNN ont joué un rôle crucial dans le conditionnement de leurs téléspectateurs à accepter une nouvelle et dangereuse guerre froide.

    Tous ont déformé les événements en Ukraine pour faire croire à un acte maléfique accompli par la Russie, alors qu’en fait, le coup d’Etat en Ukraine en 2014 a été le travail des États-Unis, aidés par l’Allemagne et l’OTAN.

    Cette inversion de la réalité est tellement omniprésente que l’intimidation militaire de Washington envers la Russie n’est pas dans les journaux ; elle est effacée derrière une campagne de diffamation et de diabolisation du même genre que celle dans laquelle j’ai grandi pendant la première guerre froide. Une fois encore, les Ruskoffs viennent nous chercher des noises, dirigés par un nouveau Staline, que The Economist dépeint comme le diable.
     

    Un logo parlant : le glaive désigne clairement le pays ennemi
    La suppression de la vérité sur l’Ukraine est l’un des blackouts sur l’information les plus complets dont je me souvienne. Les fascistes qui ont conçu le coup d’Etat à Kiev sont de la même espèce que ceux qui ont soutenu l’invasion nazie de l’Union soviétique en 1941. De toutes les peurs au sujet de la montée de l’antisémitisme fasciste en Europe, aucun dirigeant ne mentionne jamais les fascistes en Ukraine - sauf Vladimir Poutine, mais il ne compte pas.

    Beaucoup dans les médias occidentaux ont travaillé dur pour présenter la population russophone ethnique de l’Ukraine comme des étrangers dans leur propre pays, comme des agents de Moscou, presque jamais comme des Ukrainiens souhaitant une Ukraine fédérale ni comme des citoyens ukrainiens résistant à un coup d’Etat orchestré depuis l’étranger contre leur gouvernement élu.

    Il y a là presque la joie d’esprit [en français dans le texte -NDT] d’une réunion de classe de bellicistes. Les batteurs de tambours du Washington Post qui incitent à la guerre contre la Russie sont les mêmes éditorialistes qui ont publié le mensonge selon lequel Saddam Hussein avait des armes de destruction massive.

    Pour la plupart d’entre nous, la campagne présidentielle américaine est un monstrueux spectacle médiatique, dans lequel Donald Trump est le méchant. Mais Trump est détesté par ceux qui ont le pouvoir aux États-Unis pour des raisons qui ont peu à voir avec son comportement odieux et ses opinions. Pour le gouvernement invisible de Washington, l’imprévisible Trump est un obstacle à sa conception de l’Amérique du 21eme siècle.

    Celle-ci consiste à maintenir la domination des États-Unis et à subjuguer la Russie, et, si possible, la Chine.

    Pour les militaristes à Washington, le vrai problème avec Trump est que, dans ses moments de lucidité, il ne semble pas vouloir une guerre avec la Russie ; il veut parler avec le président russe au lieu de le combattre ; et il dit qu’il veut parler avec le président chinois.

    Au cours du premier débat avec Hillary Clinton, Trump a promis de ne pas être le premier à introduire des armes nucléaires dans un conflit. Il a dit : « Je ne voudrais certainement pas être celui qui fait la première frappe. Une fois que l’alternative nucléaire se produit, tout est fini." Cela n’a pas fait la une des journaux.

    At-il vraiment voulu dire cela ? Qui sait ? Il se contredit souvent. Mais ce qui est clair est que Trump est considéré comme une grave menace pour le statu quo maintenu par la vaste machine de sécurité nationale qui fonctionne aux États-Unis, peu importe qui est à la Maison Blanche.

    La CIA veut qu’il soit battu. Le Pentagone veut qu’il soit battu. Les médias veulent qu’il soit battu. Même son propre parti veut qu’il soit battu. Il est une menace pour les dirigeants du monde - contrairement à Clinton, qui n’a laissé planer aucun doute sur le fait qu’elle est prête entrer en guerre avec la Russie et ses armes nucléaires et avec la Chine.

    Clinton a la formation, comme elle s’en vante souvent. En effet, son dossier est éprouvé. En tant que sénateur, elle a soutenu le bain de sang en Irak. Quand elle a été candidate contre Obama en 2008, elle a menacé de « totalement oblitérer » l’Iran. En tant que secrétaire d’Etat, elle a été complice de la destruction des gouvernements de Libye et du Honduras et mis en route la provocation de la Chine.

    Elle a promis de soutenir une zone d’exclusion aérienne en Syrie - une provocation directe à la guerre avec la Russie. Clinton pourrait bien devenir le président le plus dangereux des États-Unis de toute ma vie - une distinction pour laquelle la concurrence est féroce.

    Sans la moindre preuve, elle a accusé la Russie de soutenir Trump et de pirater de ses e-mails. Ces e-mails, publiés par WikiLeaks, qui nous disent que ce qu’affirme Clinton en privé, dans ses discours aux riches et aux puissants, est le contraire de ce qu’elle dit en public.

    Voilà pourquoi faire taire et menacer Julian Assange est tellement important. En tant qu’éditeur de WikiLeaks, Julian Assange connaît la vérité. Et permettez-moi de rassurer ceux qui sont inquiets, il va bien, et WikiLeaks fonctionne sur tous les cylindres.

    Aujourd’hui, la plus grande accumulation de forces dirigées par les Américains depuis la Seconde Guerre mondiale est en cours - dans le Caucase et l’Europe orientale, à la frontière avec la Russie, en Asie et dans le Pacifique, où la Chine est la cible.

    Gardez cela à l’esprit quand le cirque de l’élection présidentielle atteindra son point final le 8 Novembre, Si la gagnante est Clinton, un chœur grec de commentateurs écervelés va célébrer son couronnement comme un grand pas en avant pour les femmes. Aucun d’eux ne mentionnera les victimes de Clinton : les femmes de Syrie, les femmes d’Irak, les femmes de Libye. Aucun d’eux ne mentionnera les exercices de défense civile menées en Russie. Aucun d’eux ne rappellera Edward Bernays et ses "flambeaux de la liberté".

    L’attaché de presse de George Bush, avait un jour appelé les médias, des "facilitateurs complices".

    Venant d’un haut fonctionnaire travaillant dans une administration dont les mensonges, permis par les médias, ont causé tant de souffrances, cette description est un avertissement de l’histoire.

    En 1946, le procureur du Tribunal de Nuremberg a déclaré à propos des médias allemands : « Avant chaque agression majeure, ils ont lancé une campagne de presse calculée pour affaiblir leurs victimes et pour préparer psychologiquement le peuple allemand à une attaque. Dans le système de propagande, ce sont la presse quotidienne et la radio qui furent les armes les plus importantes."
    [Traduction : Bertrand Riviere - BNB] 

    Source : John Pilger

    https://gaideclin.blogspot.fr

  • L’orage est imminent, par Victor Davis Hanson - RipouxBlique des CumulardsVentrusGrosQ
    http://slisel.over-blog.com/2016/10/l-orage-est-imminent-par-victor-davis-hanson.html

    Cet été, le président Obama jouait souvent au golf. Hillary Clinton et Donald Trump promettaient de laisser aller le monde. L’été semblait s’achever dans la torpeur et le monde paraissait plutôt calme.

    L’été 1914 en Europe paraissait calme, lui aussi. Mais le 28 juillet, l’archiduc François-Ferdinand d’Autriche fut assassiné à Sarajevo par Gavrilo Princip avec l’aide de ses complices séparatistes serbes. Cet acte isolé a déclenché la Première Guerre mondiale.

    Pendant l’été 1939, la plupart des observateurs pensaient qu’Adolf Hitler en avait enfin fini avec ses intimidations en série. On supposait que les politiques d’apaisement avaient permis de rassasier ses immenses appétits territoriaux. Mais, le 1er septembre, l’Allemagne nazie envahissait soudain la Pologne et déclenchait la Seconde Guerre mondiale, qui allait engloutir quelque 60 millions de vies.

    Les guerres paraissent souvent venir de nulle part, alors que des événements imprévus transforment en embrasements planétaires des tensions qui couvent de longue date.

    Les boutefeux sont souvent des agresseurs plus faibles qui croient naïvement que les nations plus puissantes qu’eux souhaitent la paix à tout prix et qu’elles ne réagiront pas à une agression opportuniste.

    Malheureusement, notre tranquille fin d’été 2016 a dissimulé beaucoup de tensions latentes qui maintenant émergent, en grande partie en raison du désengagement des États-Unis qui seraient, paraît-il, fatigués.

    La guerre, elle, à la différence des États, ne dort pas.

    La Russie a massé des troupes à sa frontière avec l’Ukraine. Le président russe Vladimir Poutine semble croire que l’Europe est plongée dans le désarroi et il croit que la principale préoccupation du président Obama est de présenter des excuses aux étrangers pour les fautes passées des États-Unis. Poutine parie qu’au sein des puissances occidentales fatiguées, il ne s’en trouvera aucune pour pouvoir ou vouloir endiguer sa réintégration de l’Ukraine — ou ensuite des États baltes. Quel branché d’Amsterdam se soucie de ce qui pourrait arriver à la lointaine Kiev ?

    L’Iran a échangé des otages américains contre une rançon. Il n’y a pas longtemps, un missile iranien a manqué de peu un porte-avions américain. Des Iraniens ont piraté un bateau américain et ont harcelé nos navires de guerre dans le golfe Persique. Téhéran promet régulièrement de détruire soit Israël, soit les États-Unis, soit les deux. C’est un drôle de dividende de paix de « l’accord avec l’Iran » !

    La Corée du Nord n’est pas simplement délirante. Les récents essais nucléaires et tirs de missiles en direction du Japon donnent l’impression que l’homme fort de Corée du Nord, Kim Jong-Un, croit vraiment qu’il pourrait gagner une guerre − et obtenir ainsi d’encore plus grandes concessions de la part de l’Occident et de la part de ses voisins asiatiques.

    De manière analogue, les islamistes radicaux semblent décidés à mener de nouvelles attaques en postulant que l’Occident ne répondra probablement pas par un déploiement de puissance écrasant. Le week-end dernier nous a confrontés à des explosions de bombes artisanales à Manhattan et dans le New Jersey, ainsi qu’à une attaque à l’arme blanche dans un centre commercial du Minnesota − et à la frustration des Américains.

    L’Europe et les États-Unis ont été déstabilisés par un déferlement de migrants − principalement de jeunes hommes − venus du Moyen-Orient déchiré par la guerre. Le politiquement correct a figé les dirigeants occidentaux, les empêchant de ne serait-ce que formaliser la menace et, bien sûr, d’y répondre.

    Pendant ce temps le gouvernement américain semble plus préoccupé par la fermeture du centre de détention de Guantanamo, par le souci qu’aucun représentant de l’État ne prononce les mots « terreur islamique » et par la diffusion de mises en garde des Américains contre tout excès dû à leurs préjugés supposés innés.

    Les agresseurs sont également encouragés par d’importantes coupes dans le budget de la défense des États-Unis. Le canard boiteux de la présidence Obama, les politiques menées dans l’ombre et la division culturelle et raciale des États-Unis reflètent la lassitude des électeurs vis-à-vis des engagements internationaux.

    Ce serait une erreur de croire que la guerre est impossible parce qu’elle ne bénéficie à personne, ou qu’elle est surannée en notre XXIe siècle si sophistiqué, ou qu’elle serait insensée dans un monde nucléarisé.

    La nature humaine est immuable et reste irrationnelle. Le mal est éternel. Malheureusement, l’apaisement est souvent vu par les malfrats non comme de la magnanimité à charge de revanche mais comme de la timidité à exploiter.

    Quelqu’un devra bientôt dire aux Nord-Coréens qu’un ordre mondial stable ne peut tolérer leurs tirs de missiles et essais nucléaires répétés.

    Quelqu’un pourrait rappeler à Poutine que les anciennes Républiques soviétiques ont droit à l’auto-détermination.

    Quelqu’un pourrait informer les Chinois que personne ne peut installer des îles artificielles et des bases militaires pour contrôler les voies maritimes commerciales.

    Quelqu’un pourrait faire entendre aux terroristes islamistes qu’il y a une limite à la patience occidentale face à leurs bombardements permanents, leurs meurtres et leurs destructions.

    Le problème est qu’il n’y a pas de « quelqu’un » (et sûrement pas les Nations Unies ou l’Union européenne) qui possède l’autorité et la puissance requises, en dehors des États-Unis. Mais pendant longtemps, les États-Unis ont accompli plus que leur part du maintien de l’ordre international, et leur peuple est las des coûteuses chasses aux dragons à l’étranger.

    Le résultat, en cette date tardive, est que la thérapie lourde qui consisterait à restaurer la dissuasion à long terme est presque aussi dangereuse que la maladie du sempiternel apaisement à court terme.

    Obama semble convaincu de pouvoir quitter ses fonctions avec l’aura d’un porteur de paix avant que ses brebis apaisées ne finissent par s’unir dans une réaction violente. Il nous a assuré que le monde n’avait jamais été aussi calme et paisible.

    D’autres ont affirmé la même chose au cours des dernières semaines des paisibles étés 1914 et 1939.

    Les nuages de la guerre s’accumulent. L’orage est imminent.

    Source : Townhall, le 22/09/2016

    Traduit par les lecteurs du site www.les-crises.fr. Traduction librement reproductible en intégralité, en citant la source.

  • Le premier ministre ukrainien réforme mais « ça ne va pas assez vite »
    https://www.mediapart.fr/journal/international/271016/le-premier-ministre-ukrainien-reforme-mais-ca-ne-va-pas-assez-vite

    Le premier ministre ukrainien #Volodymyr_Groïsman est en France jusqu’à demain. Il y rencontre plusieurs dirigeants français, dont Manuel Valls, et prend part au premier forum franco-ukrainien des affaires. En amont de sa visite, nous l’avons rencontré à Kiev. L’occasion de faire le point des réformes engagées, et de la lutte contre une corruption toujours endémique.

    #International #Ukraine

    • « […] Toutefois, il est important de noter qu’Hollande a offert à Poutine une main tendue : dans son intervention du 11 octobre face à l’Assemblée parlementaire du Conseil de l’Europe, le président français, à propos de l’Ukraine, a déclaré que la frontière entre le Donbass et la Russie [actuellement contrôlée par la Russie, ndlr] ne devrait passer sous le contrôle de Kiev qu’après que des élections auront été organisées dans le Donbass. Un point sur lequel Moscou insistait, alors que Kiev s’y opposait. »
      Valeri Khomyakov, directeur du Conseil de stratégie nationale

      La position ne varietur de l’Ukraine est «  on normalise d’abord, on cause autonomie ensuite  » et, bizarrement, celle des autonomistes «  on règle la question du statut avant de réintégrer l’Ukraine  ». M. Hollande se serait donc aperçu que la position de Kiev n’est pas très différente de l’exigence de capitulation pure et simple. Il n’y a plus qu’à convaincre Mme Merkel, M. Porochenko (et les composantes « dures » de sa majorité…) pour que l’on puisse reprendre des négociations dans l’esprit des accords de Minsk…

    • Le document prévoit la construction, au fond de la mer Noire, de deux conduites du gazoduc d’une capacité de 15,75 milliards de mètres cubes chacune. L’une transportera du gaz directement vers le marché turc, tandis que l’autre en livrera aux pays européens en transitant par la Turquie. Conformément à l’accord, les tronçons maritimes des deux conduites appartiendront entièrement à Gazprom. La section terrestre de la première conduite sera contrôlée par la société gazière turque Botas, et celle de la seconde, à une coentreprise formée par Botas et Gazprom.
      […]
      La construction des deux conduites, dont le lancement est prévu pour 2018, devra être achevée au 30 décembre 2019. Gazprom se réserve toutefois le droit d’annuler la construction de la seconde.

      Précisions (propriété des tuyaux et délai) que j’avais cherchées sans les trouver.

  • Jean-Marc Ayrault dévoile le plan franco-allemand pour la paix en Ukraine
    http://www.lecourrierderussie.com/international/2016/09/jean-marc-ayrault-plan-franco-allemand-ukraine

    Kiev, de son côté, déclare ne pas être prête à accorder de l’autonomie au Donbass tant qu’elle n’aura pas le contrôle total de la frontière. Cet article Jean-Marc Ayrault dévoile le plan franco-allemand pour la paix en Ukraine a été publié en premier sur Le Courrier de Russie.

  • Au camp d’entraînement des petits soldats d’Ukraine
    http://www.lemonde.fr/m-actu/article/2016/08/19/au-camp-d-entrainement-des-petits-soldats-d-ukraine_4984763_4497186.html

    Même neutralisée (des modifications la rendent inapte au tir), l’arme paraît démesurée. Ada porte un tee-shirt rouge avec un petit chien noir et blanc à lunettes jaunes et des tongs roses : elle a 9 ans. La petite fille s’est déjà choisi un nom de guerre : Talisman. Comme tous ses camarades, une cinquantaine de jeunes âgés de 6 ans à 18 ans, elle passe une partie de ses vacances au camp d’été patriotique militaire des Azovets (#Ukraine).
    Préparer la résistance contre l’armée pro-russe

    Nous sommes à 35 kilomètres à l’ouest de Kiev, la capitale ukrainienne, dans une forêt à la lisière de la route E40, en direction de Jytomyr. Aucun panneau n’indique le lieu. Une simple banderole est accrochée à la grille d’entrée et deux drapeaux flottent dans la cour : celui de l’Ukraine et celui du camp d’été du régiment Azov – deux silhouettes bleues d’enfants soldats portant des fusils-mitrailleurs et des casques de combat sur fond jaune.

    Cette unité #paramilitaire #ultranationaliste...

    des petits soldats d’Ukraine

    on appelle ça des #enfants_soldats !!! #embrigadement
    #paywall

  • De Yalta à Jérusalem en passant par Istanbul, Riga, Kiev et Novi Sad : réécrire l’Europe sur ses frontières - l’araignée givrée

    http://www.emmanuelruben.com/archives/2016/08/15/34192714.html

    Retranscription de la conférence, très riche en idées et approches qui donnent beaucoup d’inspiration.

    Mon postulat de départ est que le sens de l’Europe, le futur de l’Europe, la vérité de l’Europe, se situe sur ses frontières, et non pas dans son triangle technocratique & bureaucratique. Ni à Paris, ni à Bruxelles, ni à Strasbourg, Luxembourg ou Francfort mais à Istanbul, à Jérusalem, à Kiev, à Riga, à Saint-Pétersbourg, à Yalta, à Sarajevo, à Belgrade. Et, à ce propos, Nicolas Bouvier avait raison de considérer que les Balkans sont « le cœur de l’Europe » ; Paris, Bruxelles ou Munich (trois villes touchées par les attentats récents) n’en sont que le cerveau – un cerveau bien malade aujourd’hui.

    Etienne Balibar écrivait d’ailleurs en 2001 ces lignes qui n’ont pas perdu leur actualité, quinze ans après :

    « le sort de l’identité européenne tout entière se joue en Yougoslavie, et plus généralement dans les Balkans. Ou bien l’Europe reconnaît dans la situation balkanique, non pas une monstruosité greffée en son sein, une survivance pathologique du sous-développement ou du communisme, mais une image et un effet de sa propre histoire, et elle entreprend précisément de l’y affronter et de l’y résoudre, donc de s’y remettre en cause et de s’y transformer… Ou bien elle refuse ce face à face avec elle-même »

    #europe #frontières #murs

  • #Ukraine : la #Russie relance la crise, en utilisant la #Crimée
    https://www.mediapart.fr/journal/international/150816/ukraine-la-russie-relance-la-crise-en-utilisant-la-crimee

    A Ukrainian serviceman is seen at his position on the front line in Krasnogorivka near Donetsk, Ukraine, August 12, 2016. © Reuters / Gleb Garanich Tout se met en place pour une nouvelle offensive en Ukraine. Alors que le Kremlin achemine des matériels militaires en Crimée, Moscou a accusé Kiev le 10 août d’avoir tenté d’y commettre des actes terroristes. Les #accords_de_Minsk, portés par les Européens, semblent enterrés.

    #International #europe #Vladimir_Poutine

  • Secret Ledger in Ukraine Lists Cash for Donald Trump’s Campaign Chief - The New York Times
    http://www.nytimes.com/2016/08/15/us/politics/paul-manafort-ukraine-donald-trump.html

    On a leafy side street off Independence Square in Kiev is an office used for years by Donald J. Trump’s campaign chairman, Paul Manafort, when he consulted for Ukraine’s ruling political party. His furniture and personal items were still there as recently as May.

    And Mr. Manafort’s presence remains elsewhere here in the capital, where government investigators examining secret records have found his name, as well as companies he sought business with, as they try to untangle a corrupt network they say was used to loot Ukrainian assets and influence elections during the administration of Mr. Manafort’s main client, former President Viktor F. Yanukovych.

    Handwritten ledgers show $12.7 million in undisclosed cash payments designated for Mr. Manafort from Mr. Yanukovych’s pro-Russian political party from 2007 to 2012, according to Ukraine’s newly formed National Anti-Corruption Bureau. Investigators assert that the disbursements were part of an illegal off-the-books system whose recipients also included election officials.

    In addition, criminal prosecutors are investigating a group of offshore shell companies that helped members of Mr. Yanukovych’s inner circle finance their lavish lifestyles, including a palatial presidential residence with a private zoo, golf course and tennis court. Among the hundreds of murky transactions these companies engaged in was an $18 million deal to sell Ukrainian cable television assets to a partnership put together by Mr. Manafort and a Russian oligarch, Oleg Deripaska, a close ally of President Vladimir V. Putin.

  • #Crimée : Moscou maintient la tension en envoyant sur place des missiles #S-400

    La tension entre la #Russie et l’#Ukraine à propos de de la Crimée s’est accrue vendredi avec l’annonce par Moscou du déploiement sur place de systèmes de défense antiaérienne et antimissile dernier cri S-400.

    http://www.courrierinternational.com/sites/ci_master/files/styles/image_original_765/public/afp/354421018dc161cfa460af8ca40d59bc607ea32f.jpg?itok=6gZzkZ7n
    http://www.courrierinternational.com/depeche/crimee-moscou-fait-monter-la-tension-avec-des-batteries-de-mi
    #armes #armement