city:kobani

  • Syrian town struggles to cope alone after key victory over Islamic State
    https://www.reuters.com/article/us-mideast-crisis-syria-kurds/syrian-town-struggles-to-cope-alone-after-key-victory-over-islamic-state-id

    #KOBANI, Syria (Reuters) - Almost three years after Kurdish fighters defeated Islamic State in the Syrian town of Kobani, residents still mourn the dead and feel abandoned by their foreign allies as they struggle to rebuild.

    #passé_de_mode

  • Selon Sputnik News, prétendant citer une source anonyme kurde, la France serait en train de construire une base pour ses forces spéciales près de Kobane, en Syrie.
    http://sputniknews.com/middleeast/20160610/1041141404/france-syria-military-base.html

    According to a Kurdish source, French forces stationed in northern Syria have begun constructing a military base near the city of Kobani in Aleppo province.
    French forces stationed in northern Syria have begun constructing a military base near the city of Kobani in Aleppo province, a Kurdish source told Sputnik on Friday.
    “The French have begun constructing a military base similar to the US military bases… French experts and military advisers working in the region will be stationed there,” the source said.

  • Russia, Assad deliver blow to Turkey in Syria
    http://uk.businessinsider.com/russia-assad-turkey-syria-rebels-aleppo-2016-2

    “Turkey lost its capacity to change the strategic situation both on the ground and in Syrian airspace as an independent actor” following the incident, Metin Gurcan, a Turkish military expert, told Business Insider at the time.

    Paul Stronski, a senior associate in the Russia and Eurasia Program at the Carnegie Endowment, agreed that the close proximity of Russia’s airstrikes to the Turkish border — a “matter of minutes” for fighter jets — has made it much more difficult for Turkey to defend its airspace and retain northwestern Syria as a Turkish sphere of influence.

    On Twitter, Stein noted that another aspect of Turkey’s Syria policy is on the brink of total collapse — namely, restricting the movements of the Kurdish YPG, with whom Turkey has clashed, to east of the Syrian city of Marea.

    “Weapons and aid now must be sent through Bab al Hawa via Idlib,” Stein wrote. “Turkish efforts to secure Marea line in trouble. Huge implications.”

    To Turkey’s chagrin, Russian President Vladimir Putin offered to help the Kurds consolidate their territorial gains in northern Syria by linking the Kurdish-held town of Kobani with Afrin in September. He apparently began to make good on his after Turkey shot down a Russian warplane, offering to arm and support the Kurdish YPG in the name of cutting Turkey’s rebel supply line to Aleppo.

  • Turkey could cut off Islamic State’s supply lines. So why doesn’t it? | David Graeber
    http://www.theguardian.com/commentisfree/2015/nov/18/turkey-cut-islamic-state-supply-lines-erdogan-isis

    Not only has Erdoğan done almost everything he can to cripple the forces actually fighting Isis; there is considerable evidence that his government has been at least tacitly aiding Isis itself.

    It might seem outrageous to suggest that a Nato member like Turkey would in any way support an organisation that murders western civilians in cold blood. That would be like a Nato member supporting al-Qaida. But in fact there is reason to believe that Erdoğan’s government does support the Syrian branch of al-Qaida (Jabhat al-Nusra) too, along with any number of other rebel groups that share its conservative Islamist ideology. The Institute for the Study of Human Rights at Columbia University has compiled a long list of evidence of Turkish support for Isis in Syria.

    • Le gros problème de l’article, en dehors de l’excellente question du titre, c’est d’envisager qu’au sol les forces kurdes (YPG) pourraient reconquérir de larges parties du territoire syrien hors des zones de peuplement kurde.
      Et ce quand bien même on additionnerait ces forces à celles pour l’instant maigres de la « syrian arab coalition » au sein des « syrian democratic forces » : http://seenthis.net/messages/417265

    • traduction pour les non anglophones

      La Turquie pourrait couper l’approvisionnement de l’Etat Islamique. Donc pourquoi ne le fait-elle pas ?
      Dans le sillage des attentats meurtriers à Paris, nous pouvons nous attendre à ce que les chefs d’État occidentaux fassent ce qu’ils font toujours fait dans de telles circonstances : déclarer une guerre totale et implacable à ceux qui l’ont amenée. Ils ne le croient pas vraiment. Ils ont eu main les moyens de déraciner et détruire l’Etat islamique depuis plus d’un an maintenant. Ils ont tout simplement refusé d’en faire usage. En fait, comme le monde a observé les dirigeants faire des déclarations d’intentions implacables lors du sommet du G20 à Antalaya, ces mêmes dirigeants fraient avec avec le président de la Turquie, Recep Tayyip Erdoğan, un homme dont le soutien tacite politique, économique, et même militaire a contribué à la capacité d’Isis de perpétrer les atrocités à Paris, sans parler d’un flot ininterrompu d’atrocités à l’intérieur du Moyen-Orient.

      Comment Isis pourrait être éliminé ? Dans la région, tout le monde sait. Tout ce que ça prendrait vraiment serait de libérer les forces largement kurdes des guérillas du YPG (Unités de Protection Populaire) en Syrie, et du PKK (le Parti des travailleurs du Kurdistan) en Irak et en Turquie. Celles-ci sont, actuellement, les principales forces combattant efficacement Isis sur le terrain. Ils se sont révélés extraordinairement efficaces militairement et s’opposent à tous les aspects de l’idéologie réactionnaire de Isis.

      Mais au lieu de ça, le territoire contrôlé par l’YPG en Syrie se trouve placé sous un embargo total par la Turquie, et les forces du PKK sont sous bombardement continuel par l’armée de l’air turque. Non seulement Erdoğan a fait presque tout ce qu’il peut pour paralyser les forces qui combattent Isis ; il ya des preuves considérables que son gouvernement a au moins tacitement aidé Isis elle-même.

      Il peut sembler scandaleux de suggérer qu’un membre de l’OTAN comme la Turquie soutient de quelque façon que ce soit une organisation qui assassine des civils occidentaux de sang-froid. Ce serait comme si un membre de l’OTAN soutenait al-Qaida. Mais en fait, il ya des raisons de croire que le gouvernement d’Erdogan supporte la branche syrienne d’Al-Qaida (Jabhat al-Nusra) aussi, avec un certain nombre d’autres groupes rebelles qui partagent son idéologie islamiste conservatrice. L’Institut pour l’étude des droits de l’homme à l’Université de Columbia a compilé une longue liste d’éléments de preuve de l’appui de la Turquie pour Isis en Syrie.

      Et puis il ya des positions réelles, affirmées d’Erdogan. En Août, le YPG, leurs victoires fraîchement acquises à Kobani et Guiré Spi, étaient sur le point de saisir Jarablus, la dernière ville détenue par Isis à la frontière turque, que l’organisation terroriste avait utilisé pour ravitailler sa capitale Raqqa avec des armes, des matériaux , et des recrues - les lignes de ravitaillement d’Isis passent directement à travers la Turquie.

      Les commentateurs ont prédit que avec la perte de Jarablus, Raqqa suivrait bientôt. Erdogan a réagi en déclarant que Jarablus était une "ligne rouge" : si les Kurdes l’attaquent, ses forces interviendront militairement - contre l’YPG. Jarablus reste donc aux mains des terroristes à ce jour, de facto, sous protection militaire turque.

      Comment a Erdoğan s’en tire-t-il ? Principalement en prétendant ceux qui luttent Isis sont des "terroristes » eux-mêmes. Il est vrai que le PKK a mené une guérilla parfois laide avec la Turquie dans les années 1990, qui ont abouti à ce qu’il soit placé sur la liste du terrorisme international. Sur les 10 dernières années, cependant, il a complètement changé la stratégie, renonçant au séparatisme et adoptant une politique stricte de ne jamais porter tort aux civils. Le PKK a permis de sauver des milliers de civils Yazidi menacées de génocide par Isis en 2014, et son organisation sœur, la YPG, a également permis protection des communautés chrétiennes en Syrie. Leur stratégie est axée sur la poursuite des pourparlers de paix avec le gouvernement, tout en encourageant l’autonomie locale démocratique dans les zones kurdes sous l’égide de l’HDP, à l’origine un parti politique nationaliste, qui a su se réinventer comme la voix d’une gauche démocratique pan-turque.

      Ils se sont révélés extraordinairement efficaces militairement et avec l’importance qu’ils donnent à la démocratie participative et aux droits des femmes, s’opposent à tous les aspects de l’idéologie réactionnaire d’Isis. En Juin, le succès HDP dans les urnes a empêché Erdoğan d’obtenir sa majorité parlementaire. La réponse d’Erdoğan fut ingénieux. Il a appelé à de nouvelles élections, a déclaré qu’il "allait à la guerre" contre Isis, mené pour la forme une attaque symbolique contre eux avant de balancer à pleine force son armée contre les forces du PKK en Turquie et en Irak, tout en dénonçant le HDP comme "soutiens aux terroriste" pour leur lien avec le PKK.

      Il s’est ensuivi une série d’attentats terroristes de plus en plus sanglants à l’intérieur de la Turquie - dans les villes de Diyarbakir, Suruc, et, enfin, Ankara - attaques attribuées à Isis, mais qui, pour une raison mystérieuse, ne semblaient cibler que les activistes civils sympathisants de l’HDP. Les victimes ont signalé à plusieurs reprises que la police empêchait les ambulances d’évacuer les blessés, ou a même ouvert le feu sur les survivants avec des gaz lacrymogènes.

      En conséquence, le HDP a même renoncé à tenir des rassemblements politiques dans les semaines menant à de nouvelles élections en Novembre par peur d’assassinats en masse, et suffisamment d’électeurs HDP ne sont pas allés voter, de sorte que le parti d’Erdogan a obtenu une majorité au parlement.

      La relation exacte entre le gouvernement d’Erdogan et Isis peut être sujette à débat ; mais sur certaines choses nous pouvons être relativement sûrs. Si la Turquie avait placé les territoires contrôlés par Isis sous le même genre de blocus absolu que celui dont font l’objet les régions de la Syrie aux mains des Kurdes, sans parler de montré le même genre de "négligence bénigne" envers le PKK et l’YPG que celle envers à Isis, ce sanglant "califat" serait depuis longtemps effondré - et les attentats de Paris ne seraient sans doute jamais arrivés. Et si la Turquie devait faire cela-même aujourd’hui, l’effondrement d’Isis serait probablement une affaire de mois. Pourtant, y a-t-il un seul dirigeant occidental qui ait appelé Erdoğan à faire cela ?

      La prochaine fois que vous entendez un de ces politiciens qui déclarent la nécessité de réprimer les libertés civiles ou des droits des immigrants en raison de la nécessité d’une "guerre" totale contre le terrorisme, ayez tout cela à l’esprit. Leur détermination est exactement aussi "absolue" qu’elle est politiquement commode. La Turquie, après tout, est un "allié stratégique". Ainsi, après leur déclaration, ils vont sûrement aller partager un thé amical avec le même homme qui permet à Isis de continuer d’exister.

  • Pourquoi l’état d’urgence et les mesures de haute sécurité ne réussiront pas à arrêter ISIS
    Patrick Cockburn | 16 novembre 2015 - CounterPunch | Traduction : Info-Palestine.eu - Dominique Muselet
    http://www.info-palestine.eu/spip.php?article15728

    (...) Une autre erreur que font les dirigeants du G20 est de persister à sous-estimer ISIS.

    David Cameron a déclaré que le groupe n’était pas digne d’être appelé « État islamique », mais malheureusement, c’est bien un État et, de surcroît, plus puissant que la moitié des membres de l’ONU, avec son armée expérimentée, sa conscription, ses impôts et son contrôle sur tous les aspects de la vie dans la vaste région qu’il gouverne.

    Tant qu’il existera, il projettera sa puissance à travers des opérations-suicides comme celles que nous venons de voir à Paris. Parce que les cibles potentielles sont les populations civiles dans leur ensemble, on aura beau augmenter les contrôles de sécurité, cela ne changera pas grand-chose. Les kamikazes réussiront toujours à passer au travers.

    La seule vraie solution est la destruction d’ISISn : seule une campagne aérienne américaine et russe, coordonnée avec ceux qui combattent vraiment sur le terrain, peut y parvenir.

    L’US Air Force l’a fait très efficacement avec les UPP, ce qui a permis à ces derniers de vaincre ISIS à Kobani, et avec les Peshmergas kurdes irakiens, qui ont réussi à prendre la ville de Sinjar, la semaine dernière. Mais les États-Unis répugnent à attaquer ISIS quand le groupe se bat contre l’armée syrienne ou les milices chiites en Irak. Étant donné que ce sont les deux plus fortes formations militaires combattant ISIS, la force militaire étasunienne est bridée là où elle serait la plus utile.

    Compte tenu de la sympathie internationale pour les Français après le massacre à Paris, il est inévitable qu’il n’y ait presque pas de critiques de la politique brouillonne de la France dans le conflit syrien.

    Plus tôt dans l’année, lors d’une interview avec Aron Lund de la Fondation Carnegie pour la paix internationale, un des principaux experts français sur la Syrie, Fabrice Balanche, qui est actuellement à l’Institut de Washington pour la politique au Proche-Orient, a déclaré : « Nous avons en 2011-12 été victimes d’une sorte de maccarthysme intellectuel sur la question syrienne : si vous disiez qu’Assad n’était pas sur le point de tomber dans les trois mois, vous pouviez être soupçonné d’être à la solde du régime syrien ».

    Il a fait remarquer que le ministère français des Affaires étrangères avait pris fait et cause pour l’opposition syrienne, tandis que les médias refusaient de voir la révolte syrienne autrement que comme la poursuite des révolutions tunisienne et égyptienne. Ils refusaient de voir les divisions sectaires, politiques et sociales qui montraient que la guerre civile syrienne n’était pas aussi simple que cela.

    Du fait que l’administration, l’état-major de l’armée, et les services de sécurité de l’État regorgent d’Alaouites, il est presque impossible de se débarrasser de M. Assad et de son régime dont les dirigeants sont issus de la communauté alaouite, sans que l’État ne s’effondre, laissant un vide qui sera comblé par ISIS et ses homologues d’Al-Qaïda.

    Malgré les récentes attaques terroristes, il n’existe toujours pas de politique à long terme pour empêcher que cela ne se reproduise.

  • Whatever happened to Kobani ?
    http://www.irinnews.org/report/101465/whatever-happened-to-kobani

    Seven months ago, all eyes were on the Syrian town of Kobani as Islamic State militants and local Kurdish forces battled it out to the last fighter. An estimated 400,000 Kurds fled across the border into Turkey. During the 16 weeks since the Islamic State (IS) was driven out, many residents have come back to find a town in desperate need of international aid. They wonder why it has been so slow to arrive.

    Returning to try to rebuild their shattered lives, they tread carefully for fear of IS booby traps and unexploded ordnance. Sometimes, too often, they get it wrong.

    Since late January, there have been 45 explosions and 66 people killed, the vast majority of them civilians, one demining NGO told IRIN.

    The black flag of IS was raised above Kobani in October as the jihadists took control. An American-led coalition bombed the militants. Kurdish Peshmerga fighters and elements of the Free Syrian Army rebels joined the fight against IS. [...]

    #Kobani #Humanitarian8Crisis #Humanitarian #Mines #Syria #War
    #Syrie #Guerre #Guerre_en_Syrie #Humanitaire #Crise_Humanitaire

  • A Photographer’s Return to Kobani

    “Kurdish people love to sing, but lately the songs sound happier,” photographer #Frederic_Lafargue said.

    After Kurdish forces freed the Syrian border town of Kobani from Islamic State in late January, displaced residents have begun their return to the city, which was destroyed during a four-month-long battle to regain control.

    Mr. Lafargue, on assignment for The Wall Street Journal, also returned to Kobani after covering the fighting in November.


    http://www.wsj.com/articles/a-photographers-return-to-kobani-1423501954
    #Kobané #photographie
    cc @albertocampiphoto

  • Kobani refugees return to find their old life in ruins

    Two days after Islamic State fighters backed out of the last neighbourhood they held in the Syrian frontier town of Kobani, Aisha Shemsa Ali wrapped up against the bitter night air and took her chance to slip across the border.


    http://www.thetimes.co.uk/tto/news/world/middleeast/article4339941.ece?CMP=Spklr-137924914-Editorial-TWITTER-thetimes-201501
    #Kobané #Syrie #ISIS #Etat_islamique #ruines

  • TRANSLATED: Half of 52-strong “FSA” force leave Kobani fight after disputes with Kurds
    http://mideastwire.wordpress.com/2014/11/03/translated-half-of-52-strong-fsa-force-leave-kobani-fight-aft

    On November 3, the Saudi-owned, London-based Asharq al-Awsat daily newspaper carried the following report: “Sources at the Free Syrian Army and others from the Kurdish People Protection Units revealed that differences took place between the fighters of the Free Army and the Kurds in the Syrian city of Kobani (Ain Arab) near the Turkish borders, which is now witnessing massive battles aimed at repelling the attacks of the ISIL group.

    “A source at the military council, which is affiliated to the Free Army told Asharq al-Awsat that “differences occurred between the Kurds and the Free Army’s fighters who entered Kobani from Turkey a few days ago.” They added that around 20 out of 52 fighters left the region and returned to Turkey. The differences likely occurred as a result of failing to supply the opposition members with ammunition or fighting equipment that the International Alliance had previously tossed to the Kurdish fighters by air.

    “On the other hand, a source at the People Protection Units told Asharq al-Awsat that “the fighters of the Free Army that recently entered Kobani had a political rather than a military objective.” He also accused them of following Turkey’s orders…”

  • Le Pentagone confirme que l’Etat islamique a récupéré des armes, munitions et médicaments destinés aux Kurdes à Kobané. Ils auraient été largués au mauvais endroit - Reuters

    7:05 P.M. Pentagon confirms ISIS captured bundle of supplies meant for Kurds

    The Pentagon said on Wednesday two bundles of military supplies for Kurdish fighters in the Syrian town of Kobani went astray during an air drop earlier this week, with one destroyed later by an air strike and the other taken by Islamic State militants.

    “Yesterday we announced that one resupply bundle went astray and was destroyed. We have since relooked at that and we have determined that a second bundle also went astray and probably fell into enemy hands,” said Army Colonel Steve Warren, a Pentagon spokesman.

    Twenty-six other bundles of supplies were dropped to Kurds in the besieged city and reached their targets, he said. (Reuters)

  • Photo of DAESH teen goes ‘viral’
    http://www.arabtimesonline.com/NewsDetails/tabid/96/smid/414/ArticleID/210229/reftab/96/Default.aspx

    Photo Of DAESH Teen Goes ‘Viral’

    KUWAIT CITY, Oct 21: The photo of a 16-year-old Kuwaiti boy known as ‘Zabbah Al- Jahrawi’, but whose real name is Nassar, went viral on various social networking sites, along with reports that he died in the attack launched by the international alliance in Kobani, Syria, reports Al-Seyassah daily.

    Nassar is believed to have joined DAESH two months ago and he is seen holding a gun in the photo.

  • US, Turkey at odds over Syria intervention - World Socialist Web Site

    http://www.wsws.org/en/articles/2014/10/10/syri-o10.html

    A top-level US delegation arrived in Ankara Thursday for talks with Turkish leaders amid a mounting crisis on the Syria-Turkey border, where Syrian Kurds are besieged in the town of Kobani by thousands of fighters mobilized by Islamic State in Iraq and Syria (ISIS).

    The two US representatives are retired General John Allen, the Obama-appointed coordinator of the US-led military coalition attacking ISIS forces, and Brett McGurk, the State Department official handling the diplomatic side of the imperialist intervention.

    #syrie #turquie #états-unis #is #isil #kurdes #kurdistan

  • Former deputy PM defends ISIL in tweet, says ISIL does not torture
    http://mobile.todayszaman.com/_former-deputy-pm-defends-isil-in-tweet-says-isil-does-not-tortu

    Former Deputy Prime Minister Emrullah İşler defended the terrorist group the Islamic State of Iraq and the Levant (ISIL), which is known for its brutal treatment of people in every place it has taken over, in a tweet he posted to his Twitter account late on Wednesday, stating, “ISIL also kills, but at least doesn’t torture.”

    İşler’s tweet, seen as supportive of the terrorist ISIL, which has been attacking the Syrian Kurdish border town of Kobani with heavy artillery for over three weeks, drew ire on Wednesday.

    İşler wrote: “What was the crime of the youth who died after he was struck by stones in the head? Even ISIL cannot hold a candle to those who did this. ISIL also kills, but at least does not torture.”

  • NATO says will protect Turkey against any spillover from Syria | Reuters
    http://uk.reuters.com/article/2014/10/06/uk-mideast-crisis-turkey-nato-idUKKCN0HV11920141006

    NATO will stand by member state Turkey if it comes under attack as a result of the fighting in neighbouring Syria, alliance Secretary-General Jens Stoltenberg said on Monday.

    Islamic State militants on Monday raised their flag on the eastern outskirts of the Syrian town of Kobani, a short distance from the Turkish border. Stray fire from fighting around the town has hit Turkish territory.

    The main responsibility for NATO is to protect all allied countries. Turkey is a NATO ally and our main responsibility is to protect the integrity, the borders of Turkey and that is the reason why we have deployed Patriot missiles in Turkey to enhance, to strengthen the airfence of Turkey,” Stoltenberg told a news conference during a visit to Poland.

    Turkey should know that NATO will be there if there is any spillover, any attacks on Turkey as a consequence of the violence we see in Syria,” he said.

  • In the hands of IS, by Carl Drott
    http://mondediplo.com/blogs/in-the-hands-of-is

    Sitting by a walnut tree in his family’s courtyard, Comard, 29, plays a short piece on his clarinet. This is the Kurdish town of Kobanî (Ayn al-Arab) in northern Syria, which is besieged on three sides by the Islamic State (#IS, formerly the Islamic State of Iraq and Sham, known as #ISIS or ISIL); neighbouring Turkey keeps the border closed on the fourth. Here Comard can play freely: for over two years, the town has been under the control of the People’s Protection Units (YPG, a secular Kurdish group). In contrast, the IS fighters who stopped him in a checkpoint outside town last summer ranted that his instrument was “demonic” and held him captive for 13 days.