city:la force

  • Pas de bonne résolution cette année.

    Non. Je continue sur ma lancée des années précédentes. Par exemple, au réveil, tout à l’heure, j’ai allumé une clope en attendant que le café chauffe. C’est là que je me suis dit que, décidément non, fallait surtout pas que je me lance dans une énumération de trucs à changer ou à faire pour moi, pour mes proches, pour la planète.

    Cependant, cette année, enfin, ce matin, je me suis surpris à souhaiter que certaines personnes en prennent, et surtout, les mettent en œuvre sans trop tarder, afin de ne pas trop ruiner mon moral, celui des gens que j’aime et contribuent à faire reculer la date de la fin du monde.

    En vrac, comme ça, ce qui m’est venu :

    – Que Manuel Valls se retire définitivement de la vie publique,
    – Que Léa Salamé prenne un peu de recul sur sa pratique professionnelle,
    – Que Nicolas Hulot pète un câble, se rebiffe et déclare publiquement : « Oui, le coup de la chasse à courre, c’est pas mon idée, c’est pour se foutre de la gueule du monde, c’est pour faire diversion, comme ça, on cause pas d’hydrocarbure ni de nucléaire. Je suis un imposteur »,
    – Que @klaus mette un peu plus de contexte en français dans ses recensions germanophones :p (bisous mec),
    – Que @monolecte écrive au moins un billet de blog optimiste ;-) (bisous meuf) (et bon anniv ! :D),
    – Que Jean-Michel Apathie glisse sur une peau de banane (sans forcément se faire mal, hein), histoire qu’il renouvèle un peu ses sketches,
    – Qu’@intempestive écoute la série Calls de Timothée Hochet, si ce n’est déjà fait (Mes hommages, madame),
    – Que La Force ne soit plus avec nous, s’il vous plaît...

    Bref, le café est tiède maintenant, c’est malin.

  • Cela fait trois ans qu’Israël soutient ses mercenaires d’Al-Qaïda
    24 juin 2017 – Moon of Alabama – Traduction : Chronique de Palestine
    http://chroniquepalestine.com/israel-soutient-mercenaires-al-qaida

    https://twitter.com/miladvisor/status/878629778991009794

    Moon of Alabama – Les forces aériennes israéliennes attaquent l’armée syrienne après que des projectiles sont tombés sur le plateau du Golan.

    Al-Qaïda a attaqué un poste de l’armée arabe syrienne (AAS) à Madinat al-Baath (carte) près du plateau du Golan occupé par Israël. Al-Qaïda a demandé un soutien militaire israélien en lançant des mortiers vers des espaces vides du territoire occupé par Israël. La Force de défense israélienne a répondu à leur demande en détruisant deux tanks de l’armée arabe syrienne. Deux soldats syriens ont été tués. L’armée syrienne a résisté et l’attaque d’Al-Qaïda sur sa position a échoué.

    C’était très facile à prévoir. Israël soutient Al-Qaïda dans la région depuis au moins 2014. La combine de demande de soutien militaire par mortier d’al-Qaïda interposé est en place depuis au moins trois ans. En octobre 2014, la Force des Nations Unies pour l’observation du dégagement (FNUOD), qui couvrait encore la zone, a écrit ceci au Conseil de sécurité de l’ONU :

    Le 23 juin [2014], Israël a ciblé neuf postes de l’armée syrienne avec des tanks et des avions après qu’un tir de mortier provenant du côté syrien a tué un civil israélien, la veille. Selon Israël, la plupart de ces incidents sont dus à des tirs égarés résultant des combats en Syrie. Israël a déclaré que les groupes d’opposition armés en étaient probablement les auteurs, mais que ses forces avaient tiré sur les positions militaires syriennes pour souligner que la Syrie était responsable de la sécurité de son côté de la ligne de cessez-le-feu.

    • Thème nettement moins populaire (et considéré comme limite conspi) que les innombrables sujets qui avaient fleuri il y a quelques temps sur les thèmes « La régime et Al-Qaida sont alliés », et même les très poétiques « La Russie devient l’armée de l’air d’ISIS ».

  • A Rennes, Mélenchon conclut sa « bonne semaine »
    https://www.mediapart.fr/journal/france/260317/rennes-melenchon-conclut-sa-bonne-semaine

    Nouveau slogan – « La Force du peuple » –, nouvelle affiche et un meeting qui fait le plein à Rennes : le candidat de la #France insoumise a réuni dimanche 10 000 personnes, selon son équipe, dans la capitale bretonne. Depuis la marche pour la VIe République, samedi 18 mars, à Paris, et dans la foulée de sa prestation sur TF1, #Jean-Luc_Mélenchon se sent pousser des ailes.

    #élection_présidentielle #France_insoumise #GAUCHE_S_ #présidentielle_2017

  • « Punir. Une passion contemporaine », audacieuse enquête sur l’emballement carcéral

    http://www.lemonde.fr/livres/article/2017/01/04/surveiller-et-faire-souffrir_5057711_3260.html

    Le sociologue Didier Fassin enquête sur « la passion du châtiment » qui touche le monde entier et sur ce qu’il révèle.

    Voici un ouvrage qui arrive après dix ans de recherches menées sur la police, la justice et la prison, dix années d’études empiriques qui font de Didier Fassin l’un des sociologues les plus au fait du fonctionnement de ces institutions, capable de mener des comparaisons internationales (notamment entre la France et les Etats-Unis), d’analyser des évolutions globales et d’exhumer des logiques souterraines. Dans La Force de l’ordre. Une anthropologie de la police des quartiers, puis L’Ombre du monde. Une anthropologie de la condition carcérale (Seuil, 2011 et 2015), il avait mis au jour la réalité des pratiques masquée par les discours, débusqué les croyances cachées derrière les certitudes.

    Avec Punir. Une passion contemporaine, son nouvel essai, il quitte le genre de l’enquête ethnographique pour un livre d’une autre nature, dont l’ambition est d’« interroger les fondements de l’acte de punir ». Court, resserré, celui-ci manifeste une ambition théorique. Disons d’emblée qu’il faut saluer l’entreprise, tant pour son audace intellectuelle que pour sa portée politique.
    La prison ne sert à rien

    Tout commence par un constat. Celui de la « passion contemporaine » pour le châtiment. Il suffit de regarder les chiffres de l’emballement carcéral. Tous les continents sont touchés par une inflation sans précédent : à titre d’exemple, pendant la décennie 1990, le nombre de personnes sous écrous double en Italie et aux Pays-Bas. L’entrée dans le XXIe siècle change peu la donne : le nombre de prisonniers augmente de 145 % en Turquie, de 115 % au Brésil. A l’échelle planétaire, c’est un fait majeur. Or il y a là un mystère, du moins une inconséquence : la prison ne sert à rien. Pire, elle aggrave la situation. De solution qu’était le châtiment, il est devenu problème, remarque judicieusement Didier Fassin, « à cause du prix qu’il fait payer [aux] familles et [aux] communautés, à cause du coût économique et humain qu’il entraîne pour la collectivité, à cause de la production et la reproduction d’inégalités qu’il favorise, à cause de l’accroissement de la criminalité et de l’insécurité qu’il génère, à cause enfin de la perte de légitimité qui résulte de son application discriminatoire ou arbitraire ».

    Bref, nous traversons un « moment punitif », qui voit une rétorsion inappropriée tenue pour seule issue possible. De cette séquence paradoxale, ni le droit ni la philosophie, disciplines que l’on convoque quand il est question de penser la peine, ne nous disent rien. C’est donc avec elles que le sociologue va batailler. Lui dit « dialoguer » : c’est en effet par un « dialogue critique » avec les définitions juridiques et philosophiques de la juste peine que le livre progresse, en convoquant deux types d’approche. La première est anthropologique (elle consiste à montrer que bien souvent ce qui devrait être n’est pas et que la réalité dément les principes avancés) et la seconde généalogique (elle tente de comprendre « comment on en est venu à punir comme on le fait aujourd’hui »).

    Une cruauté presque archaïque

    Alors, qu’est-ce que punir ? Essentiellement une chose, démontre Didier Fassin : l’infliction d’une souffrance. Cela ne va pas de soi, puisque certaines sociétés ont préféré d’autres formes de réparation. Aujourd’hui, néanmoins, la souffrance est le seul élément de la conception classique de la peine qui résiste à « l’épreuve empirique ». Au lecteur de rentrer dans l’argumentation méticuleuse ici déployée. Nous dirons pour notre part ce qui frappe : cette façon inédite de dévoiler la cruauté. Car personne ne tient vraiment à dénuder le châtiment des justifications juridiques et philosophiques dont il est paré. Quand Didier Fassin le fait, c’est après avoir constaté que « la rationalité n’épuise pas les raisons qui poussent les agents à punir ». Il exhume donc, armé des réflexions de Durkheim et de Nietzsche sur la sanction comme vengeance, une cruauté presque archaïque, « une pulsion, plus ou moins refoulée, dont la société délègue les effets à certaines institutions et professions ». Ça déborde. Et en conséquence, pourrions-nous ajouter, les prisons aussi.

    Sans compter que l’on punit toujours davantage alors même que le nombre de crimes et délits est en baisse. C’est bien à tout cela que se heurte l’idéal de la peine : à son absence de lien avec le taux de criminalité, à sa corrélation (troublante) avec la montée des inégalités, à l’inégale distribution sociale des peines – qui n’est pas un mince chapitre. La prison touche de façon disproportionnée les catégories les plus dévalorisées de la population : « Selon que vous serez puissant ou misérable », selon que l’on cible la consommation de cannabis ou l’abus de biens sociaux… En somme, à l’épreuve de cette puissante lecture ethnographique et généalogique, la peine n’est rien de ce que l’on voudrait qu’elle soit. Elle apparaît comme une manifestation crue de la violence politique à l’œuvre dans nos sociétés inégalitaires.

    Extrait de « Punir »

    « “Celui d’entre nous qui dit qu’il juge uniquement en fonction des faits et du détenu ne dit pas la vérité.” Commentant une série de peines de quartier disciplinaire récemment décidées pour des fautes mineures qui se sont produites dans un contexte de tensions au sein de l’établissement [pénitentiaire], [le directeur adjoint] ajoute que punir les prisonniers, même lorsqu’il est évident qu’ils n’ont fait que répondre aux provocations d’un agent, permet de satisfaire et d’apaiser le personnel : “Ça évite aux surveillants de vouloir se venger sur les détenus”, conclut-il sans ambages. (…)

    En m’en tenant à ces brefs récits, je veux montrer la difficulté de répondre à la question “pourquoi ­punit-on ?” dès lors qu’on est confronté non pas à des dilemmes imaginaires mais à des faits réels. »

    Punir, pages 100-101

  • Après des mois de scandales, la provocation de fin d’année du diocèse de Lyon
    https://rebellyon.info/Apres-des-mois-de-scandales-la-17325

    L’église catholique organise début janvier une grande conférence sur « La Force du silence ». Un thème qui sonne étrangement dans une ville où des affaires de pédophilie viennent d’être révélées après avoir été étouffées pendant des décennies. Le conférencier est quant à lui connu pour ses positions homophobes.

    #Religions

    / #Religions, #Discriminations, #Manchette

  • Violences policières : un rapport dénonce un risque d’impunité des forces de l’ordre
    http://www.lemonde.fr/police-justice/article/2016/03/14/violences-policieres-un-rapport-denonce-un-risque-d-impunite-des-forces-de-l

    Au moment où l’Etat dote les brigades anticriminalité de la #police d’armes de #guerre, et alors que le Parlement discute d’un assouplissement des règles d’ouverture du feu par les forces de l’ordre, l’ONG française de défense des droits de l’homme Action des chrétiens pour l’abolition de la torture (#ACAT) publie lundi 14 mars un rapport cinglant sur les #violences_policières. « On s’est demandé si notre message serait audible dans le contexte post-attentats, reconnaît Aline Daillère, auteure du rapport « L’ordre et la force ». En réalité, le moment est propice, car nous craignons des dérives dans un cadre législatif où les forces de l’ordre ont des possibilités d’usage des armes élargies. »

    Au terme d’une enquête de dix-huit mois, l’ACAT dresse un état des lieux peu reluisant. Elle s’est en particulier penchée sur 89 cas de blessures graves survenues entre 2005 et 2015, et ayant entraîné la mort pour 26 d’entre eux. Ces affaires ont été recensées par le biais d’associations, d’avocats ou à travers des articles de presse, puisqu’il n’existe pas en France de recensement exhaustif et officiel.

    Leur analyse fait apparaître un changement dans la #doctrine_du_maintien_de_l’ordre. Pour Aline Daillère, « on glisse d’une conception où l’on maintenait à distance des manifestants à une conception où l’on vise ces manifestants. C’est flagrant avec le #Flash-Ball », capable de tirer des balles en caoutchouc « à la vitesse d’un TGV ».

    « Le recours de plus en plus important à des armes intermédiaires, à compter des années 1990, a entraîné un nombre important de blessés graves », relève l’ONG, en particulier à l’occasion de manifestations ou « d’opérations de sécurité dans des quartiers jugés sensibles ou des zones à défendre (Notre-Dame-des-Landes, Sivens) ». L’ONG dénombre depuis 2005 au moins 1 mort et 39 blessés graves par Flash-Ball, dont 21 ont perdu l’usage d’un œil.

    Trente pour cent de ces victimes sont mineures. Les risques, compte tenu notamment de l’impossibilité d’obtenir une visée précise sur une foule en mouvement, sont « totalement disproportionnés au regard des objectifs policiers », estime l’ACAT, qui recommande leur retrait total. (...)

    ... en 2014, sur 5 178 signalements reçus de la part de particuliers, seuls 32 ont donné lieu à des enquêtes de l’Inspection générale de la police nationale.

    L’ORDRE ET LA FORCE
    https://www.acatfrance.fr/rapport/l-ordre-et-la-force

    L’ACAT publie un rapport d’enquête sur les violences policières en France ces dix dernières années qui montre qu’il existe de graves défaillances dans les enquêtes administratives et judiciaires effectuées à la suite de plaintes pour violences policières, et souligne le lourd bilan humain de l’utilisation de certaines armes (Flashball, #Taser) et techniques d’interpellation.
    Rapport « L’ordre et la force »
    Dossier de présentation du rapport
    Visuels et infographies

  • La Force est grande dans Star Wars VII, elle fait même baisser le trafic Web
    http://www.comptoir-hardware.com/actus/business/30452-la-force-est-grande-dans-star-wars-vii-elle-fait-meme-baiss

    Vous l’aurez peut-être remarqué, mais depuis que Mickey est aux commandes de l’étoile noire, le budget communication autour de Star Wars a grimpé en flèche. La saga mythique faisait déjà des émules du temps de Georges, mais là on atteint des sommets et même votre grand-mère est au courant que R2D2 a été remplacé par une boule de bowling électronique... [Tout lire]

    #Business_&_internet

  • Survols israéliens du Liban : l’ONU proteste | International | RIA Novosti
    http://fr.ria.ru/world/20130507/198248419.html

    La Force intérimaire des Nations unies au Liban (FINUL) a protesté mardi contre la violation par Israël de l’espace aérien libanais, a annoncé à New York le porte-parole de l’ONU Martin Nesirky.

    « La FINUL a déclaré avoir enregistré de nombreux cas de violation de l’espace aérien libanais par Israël qui a ainsi violé la souveraineté du Liban et la résolution 1701 du Conseil de sécurité de l’ONU. La Force intérimaire a formellement protesté auprès de la Force de défense d’Israël, l’appelant à arrêter les survols en question », a indiqué M.Nesirky.

    Les survols israéliens du Liban ont augmenté ces derniers jours à la suite des raids israéliens en Syrie.

    Oh la la la la la ! La FINUL proteste !

  • L’ontologie politique de Bourdieu - La Vie des idées
    http://www.laviedesidees.fr/L-ontologie-politique-de-Bourdieu.html

    A propos de C. Gautier, La Force du social. Enquête philosophique sur la sociologie des pratiques de Pierre Bourdieu , Les éditions du Cerf, « Passages », Paris, 2012

    L’auteur étudie de manière systématique les « décisions théoriques » qui structurent la vision du monde social que développe #Bourdieu à travers son œuvre, et particulièrement dans l’Esquisse d’une théorie de la pratique (1972), Le Sens pratique (1980), et les Méditations pascaliennes (1997).

    [...] faisant référence à l’effectivité de la contrainte sociale sur les individus, à l’épreuve – au sens d’expérience – de la discontinuité des deux plans, le registre de la #force doit permettre d’éviter l’épineux problème de la « nature transcendante ou immanente » (p. 37) de la domination : la sociologie de Bourdieu ne vise pas à en dégager le sens final mais à rendre compte, « dans et par l’histoire », de l’institution des groupes sociaux et des règles qu’ils imposent « qui sont comme autant de modalités d’attribution, de captation et de distribution de cette même force » (p. 37). Ici réside la visée critique de la sociologie de Bourdieu : la force se présente comme une propriété disséminée mais toujours présente dans les rapports sociaux, dont il convient de comparer et de révéler localement les modalités de manifestation dans la pratique (définie comme « forme générale des conduites des agents sociaux », p. 161).

    #sociologie #philosophie

    • Selon la plupart des physiciens, il y a un champ de Higgs partout. Le boson de Higgs est le véhicule de ce champ, interagissant avec toutes les autres particules. « Un peu comme un chevalier Jedi dans Star Wars est le porteur de la Force », c’est ainsi que l’expliquait le National Geographic au moment de l’inauguration du LHC. Ou comme le dit Obi Wan « la Force nous entoure, nous pénètre et qui maintient la galaxie en un tout unique. »

      Pourquoi c’est important ?
      Le boson de Higgs est un pivot du modèle standard de la physique des particules mais personne n’a réussi à fournir des preuves de son existence. C’est une des principales raison pour laquelle le LHC a été construit. (Les autres raisons étant dans l’ordre : voyager dans le temps, ouvrir des portes vers d’autres dimensions, et détruire la Terre dans un trou noir).

  • La Force du cliché obscur | Ophelia Noor
    http://owni.fr/2011/11/05/star-wars-photo-guerre-etoiles-lucas

    De la trilogie Star Wars à l’aristocratie de 1784 égarée dans des paysages mystérieux, OWNI vous embarque dans les voyages photographiques de Cédric Delsaux, auteur du livre Dark Lens.

    #Art #Cultures_numériques #Interview #Cédric_Delsaux #Dark_Lens #Dubaï #Georges_Lucas #La_guerre_des_Étoiles #photographie_numérique #Science-fiction #star_wars

  • Les missions impossibles des Brigades anticriminalité
    http://www.telerama.fr/idees/les-missions-impossibles-des-brigades-anticriminalite,74241.php#xtor=RSS-18

    Avec La Force de l’ordre, c’est un livre unique, passionnant et salutaire que publie l’anthropologue et sociologue Didier Fassin. Unique, car aucun chercheur n’avait pu suivre d’aussi près et aussi longtemps les fameuses patrouilles de la brigade anticriminalité (BAC), « la police des cités ».

    #police #BAC #banlieues