city:lezennes

  • Gilets jaunes en Bretagne : le dépôt pétrolier de Vern-sur-Seiche libéré, celui de Lorient bloqué France 3 Régions
    https://france3-regions.francetvinfo.fr/bretagne/direct-gilets-jaunes-bretagne-depot-petrolier-vern-seic

    https://france3-regions.francetvinfo.fr/bretagne/sites/regions_france3/files/styles/top_big/public/assets/images/2018/11/20/blocage_lorient_2-3955085.jpg?itok=IFzPLmcm

    Le dépôt pétrolier de Vern-sur-Seiche n’est plus bloqué, mais celui de Lorient l’est depuis ce matin. Les policiers se sont rendus sur place pour empêcher tout débordement. Dans les Côtes-d’Armor, la RN12 est fermée aux alentours de Saint-Brieuc.

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    ans le Morbihan, du côté de Lorient le centre pétrolier est toujours bloqué par les gilets jaunes ce matin. La police nationale s’est rendue sur place dès 5h pour éviter tout débordement et empêcher d’autres manifestants d’arriver sur le site.
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    Ailleurs en Bretagne, les actions de blocages continuent et le trafic est contrarié sur le réseau routier. Notamment sur les route nationales à quatre voies de circulation.

    Dans le Morbihan, la préfecture a averti les usagers des complications qu’ils pourront rencontrer dans le département.
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    • Haute-Corse France 3 Régions
      https://france3-regions.francetvinfo.fr/corse/haute-corse/grand-bastia/nouveau-rassemblement-gilets-jaunes-haute-corse-1577254

      Lundi 18:30 C’est la queue dans les stations-services pour récupérer un peu de carburant. Le plein est limité à 20 euros par véhicule, a-t-on pu constater dans une station du centre de Bastia.

      Malgré tout, certaines stations-service étaient déjà à sec peu avant 19h et les voitures ne faisaient que passer...
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      Mardi 8h00 Le blocage du dépôt pétrolier de Lucciana a été en partie levé au petit matin. Les gendarmes ont enlevé les gravats à l’entrée. Une quarantaine de gilets jaunes sont toujours présents.

      Des camions citernes n’ont toutefois pas pu accéder au dépôt. Certains chauffeurs, par solidarité, se sont joints au mouvement. D’autres ont fait demi-tour.

    • Gironde
      https://france3-regions.francetvinfo.fr/nouvelle-aquitaine/gironde/bordeaux/gilets-jaunes-gironde-peage-virsac-saccage-vinci-autour
      Le péage de Virsac saccagé, Vinci Autouroutes veut porter plainte.

      Les « gilets jaunes » qui ont passé la nuit de lundi à mardi sur le péage de Virsac, dans le nord Gironde ont détruit de nombreuses installations. Depuis le 17 novembre, le lieu est devenu un point de rassemblement et de blocage pour les manifestants.

      Evacué lundi matin par les forces de l’ordre, le péage a été repris d’assaut par des gilets jaunes lundi après-midi. Entre-temps la circulation n’avait pas pu être rétablie, d’importantes opérations de nettoyage et de remise à niveau des lieux étant nécessaires au préalable.

      L’A10 impraticable
      Des manifestants sont revenus équipés de palettes, et de pneus et de quoi lancer des départs de feu. Plusieurs d’entre eux ont forcé l’entrée des locaux.

      Cabines, barrières , éclairages, chaussée ... De très nombreuses installations du péage ont été fortement endommagées et mises à feu. L’A10 est, à ce niveau, impraticable en l’état et reste coupée ce mardi matin, comme en témoignent nos confrères de Haute-Gironde ce mardi matin.

    • Franche-Comté
      https://france3-regions.francetvinfo.fr/bourgogne-franche-comte/direct-gilets-jaunes-besancon-dole-lons-belfort-a36-sui

      11h00 : Les gendarmes mobiles interviennent à Vesoul

      A Vesoul, peu après 11 heures, les gendarmes mobiles ont dispersé les gilets jaunes présents au niveau du rond-point du Leclerc Drive. Des gaz ont été utilisés, dans une ambiance assez tendue selon nos journaliste sur place.

      La police intervient pour libérer la voie de sortie des camions. Une cinquantaine de gilets jaunes sur place depuis 7h ce matin. Les camions des sociétés Easydis et Jacky Perrenot ne pouvaient ni rentrer, ni sortir. La circulation reprend au compte goutte.

      Selon la Préfecture, les gilets jaunes sont déployés au rond-point du Rocher à Montmorot, à Rochefort sur Nenon et Gevry Choisey.

    • Champagne-Ardenne Plus violent
      https://france3-regions.francetvinfo.fr/grand-est/gilets-jaunes-au-moins-17-blesses-7-mis-examen-point-de

      A Charleville-Mézières, une personne dans le coma, deux blessés légers et un homme mis en examen

      Un homme a été mis en examen ce lundi après avoir renversé 3 personnes dans les Ardennes. Les faits se sont déroulés ce samedi 17 novembre, à la sortie de la voie rapide, avenue du Général de Gaulle à Charleville-Mézières. Deux des victimes sont légèrement blessées, la troisième, hospitalisée au CHU de Reims, est toujours dans le coma et son état est jugé préoccupant.

      A la sortie de Saint-Dizier, un camionneur interpellé après avoir blessé un gilet jaune

      Tôt ce lundi matin, aux alentours de 3 heures du matin, à Marnaval, aux abords de Saint-Dizier en Haute-Marne, un poids lourd a gravement blessé aux jambes un gilet jaune en forçant un barrage. Le pronostic vital de l’homme blessé n’est pas engagé. Le conducteur du camion a été interpellé.

      Plus tard dans la matinée, toujours ce lundi 19 novembre, deux gendarmes ont blessés à la suite d’affrontements avec les gilets jaune à Perthes.

      A Chaumont, la situation était tendues ce lundi matin devant la préfecture de Haute-Marne. Des dizaines de gilets jaunes ont tenté de forcer le passage pour finir par ressortir tranquillement. Les rangs de la contestation n’ont ensuite cessé de grossir dans la matinée, atteignant jusqu’à 600 personnes dans la ville.

      A Reims, 2 policiers blessés, 3 jeunes mis en examen

      Ce lundi 19 novembre, 3 jeunes hommes de 18, 23 et 28 ans, des gilets jaunes sont passés en comparution immédiate au tribunal de Reims, pour des faits de violences qui se sont déroulés ce samedi 17, au rond-point de la Neuvilette à Reims dans la Marne. Ils sont accusés d’avoir insulté et frappé au visage un homme d’une cinquantaine d’année, conducteur d’une voiture qui avait été pris à parti par des gilets jaunes, et blessé les deux policiers qui les ont ensuite interpellés.

      Dans la banlieue de Reims, un autre homme, un gilet jaune, a également été blessé samedi, au niveau du barrage de Thillois.

      A Troyes, dans l’Aube, trois personnes, deux majeurs et un mineur de 14 ans, ont été placées en garde à vue dès ce dimanche, après les nombreux débordements qui se sont déroulés ce samedi 17 novembre, devant la préfecture et derrière la mairie.

    • Les stations-essence en pénurie de carburant dans le Nord et le Pas-de-Calais
      https://france3-regions.francetvinfo.fr/hauts-de-france/gilets-jaunes-plusieurs-stations-essence-penurie-carbur

      Plusieurs stations-service du Nord et du Pas-de-Calais sont à sec, après trois jours de mobilisation des Gilets jaunes. Des pénuries qui concernent surtout le gazole, mais également le sans-plomb 98 dans certaines stations.

      Dans le Nord

      Audruicq : station Carrefour en rupture de stock.
      Avelin : station Total en rupture de sans-plomb 95.​​​​​​
      Bailleul : station Leclerc en rupture de gazole.
      Caudry : station Leclerc fermée.
      Condé-sur-l’Escaut : station Carrefour en rupture de stock.
      Douchy-les-Mines : station Intermarché en rupture de stock.
      Faches-Thumesnil : station Total Access en rupture de gazole.
      Fenain : station Carrefour en rupture de stock.
      Fourmies : station Total en rupture de gazole.
      Hazebrouck : station Total en rupture de gazole.
      Lezennes : station Total Access, boulevard de Tournai en rupture de gazole.
      La Chapelle-d’Armentières : station Total en rupture de gazole.
      Loos : station Total en rupture de gazole.
      Malo-les-Bains : station Carrefour en rupture de stock.
      Nieppe : station Super U en rupture de stock.
      Saint-Amand-les-Eaux : station Carrefour en rupture de gazole.
      Valenciennes : station Leclerc, rue Ernest Macarez.
      Villeneuve-d’Ascq : station Total Access en rupture de stock.​​​​​​
      Wormhout : station Total Access en rupture de gazole.

      Dans le Pas-de-Calais

      Auchel : station essence Carrefour en rupture de gazole.
      Attin : station Leclerc en rupture de gazole.
      Avion : stations Auchan et Carrefour en rupture de stock.
      Calais : stations Intermarché et Auchan en rupture de gazole.
      Carvin : station Leclerc en rupture de gazole.
      Chocques : station Total en rupture de gazole.
      Courcelle-les-Lens : station Leclerc en rupture de gazole et de sans-plomb 98.
      Courrières : station Cora en rupture de gazole.
      Eperlecques : station Carrefour en rupture de sans-plomb 98.
      Essars : station Carrefour en rupture de stock.
      Hénin-Beaumont : station Total en rupture de gazole.
      Herlin-le-Sec : station Leclerc en rupture de gazole.
      Lens : station Total à Grande résidence et station Esso en rupture de gazole.
      Lillers : station Total en rupture de gazole.
      Loos-en-Gohelle : station Intermarché en rupture de gazole.
      Lumbres : stations Super U et Leclerc.
      Marck : station Carrefour en rupture de gazole.
      Marquise : station Total en rupture de gazole.
      Méricourt : station Intermarché en rupture de gazole.
      Montigny-en-Gohelle : station Intermarché en rupture de gazole.
      Rouvroy : station Carrefour en rupture de gazole.
      Sains-en-Gohelle : station Total en rupture de stock.
      Saint-Léonard : station Total Access en rupture de sans-plomb 98
      Saint-Omer : station Total Access en rupture de stock.
      Saint-Nicolas-lez-Arras : station Leclerc en rupture de gazole.
      Saint-Pol-sur-Ternoise : station Esso en rupture de gazole.
      Wingles : station Intermarché en rupture de gazole et de sans-plomb 95.

    • Haut de France Radar carbonisé ou taggué, accès à des usines et supermarchés bloqués... : les Gilets jaunes montent le ton ce lundi
      https://france3-regions.francetvinfo.fr/hauts-de-france/radar-carbonise-acces-usines-bloques-gilets-jaunes-mont

      Radars dégradés
      Exemple dans le Pas-de-Calais où le radar de Maisnil-les-Ruitz, près de Bruay-la-Buissière, a été complètement carbonisé sur la rocade (D301).

      A Fâches-Thumesnil, le radar de l’A1 a été masqué par des portraits d’Emmanuel Macron. Dans de nombreux autres endroits, les radars sont peints ou dégradés par des tags.

      Accès bloqués à des entreprises
      A Hénin-Beaumont, Lestrem, ou Sainghin-en-mélantois, les gilets jaunes bloquent l’accès à des zones industrielles et donc des entreprises. Selon La Voix du Nord, la zone industrielle d’Hénin-Beaumont étant bloquées, des salariés d’entreprises comme Faurecia ou Metro, juste à côté, sont coincés aussi : les salariés repartent chez eux...

      A Vendin-le-Vieil, l’activité de l’entrepôt Logidis, qui alimente les magasins Carrefour, est aussi perturbée par des gilets jaunes. A Libercourt : des gilets jaunes sont postés devant un entrepôt Auchan.

      A Boulogne-sur-mer, l’accès à Capécure est filtré depuis dimanche soir.

      A Noyelles-Godault ou à Louvroil, des hypermarchés Auchan sont difficilement accessibles ce lundi.

      Des gilets jaunes ont aussi tenté de bloquer le dépôt pétrolier d’Haulchin, dans le Valenciennois, mais les forces de l’ordre sont rapidement intervenues.

    • Incendie criminel dans une station essence de Saint-Pierre-en-Faucigny en Haute-Savoie
      https://france3-regions.francetvinfo.fr/auvergne-rhone-alpes/haute-savoie/incendie-criminel-station-essence-saint-pierre-faucigny

      Peu avant 1h du matin, un incendie a ravagé ce mardi 20 novembre 2018 une partie des installations de la station Esso de Saint-Pierre-en-Faucigny. Du liquide inflammable et des pneus ont été retrouvés sur place.

    • Auxerre, Sens, Chalon, Montceau, Decize, A77… les blocages du mardi 20 novembre en Bourgogne
      https://france3-regions.francetvinfo.fr/bourgogne-franche-comte/yonne/direct-gilets-jaunes-auxerre-sens-montceau-decize-a77-b
      Pour le 4e jour consécutif, les gilets jaunes ont installé des barrages en France et en Bourgogne. La protestation contre la hausse des prix des carburants s’est transformée en mouvement de ras le bol général, déclarent les manifestants.

      Nièvre
      Plusieurs secteurs sont encore à éviter ce matin, prévient la préfecture. Il s’agit des sites suivants :
      –A77 : l’aire des vignobles
      –Cercy-la-Tour : le rond-point Faurecia
      –Decize : le rond-point de la gare
      –Fourchambault : le pont de Loire
      –Garchizy : rond-point Textilot
      –Imphy : la Turlurette
      –Saint-Éloi : le rond-point Baratte

      Yonne
      –Auxerre
      Depuis 6 heures ce matin, une trentaine de gilets jaunes sont postés au rond-point de Jonches, à Auxerre. Certains ont passé la nuit sur place.

      Un barrage filtrant laisse passer les véhicules d’urgence. En revanche, les poids lourd doivent patienter avant de pouvoir avancer au compte goutte. Tout se passe dans le calme.

      –Sens
      Hier soir, vers 21h30, le préfet de l’Yonne fait intervenir les forces de l’ordre à Sens pour permettre aux poids lourds bloqués depuis ce matin de reprendre la route. Les premiers camions ont redémarré peu après.

      Le conseil départemental de la Nièvre soutient le mouvement des « Gilets jaunes »
      Le président du conseil départemental de la Nièvre, Alain Lassus, au nom des élus du Département, fait "connaître sa compréhension de la colère qui s’est exprimée, ce week-end, dans le cadre du mouvement « Gilets jaunes ».

      "Les conseillers départementaux comprennent d’autant plus cette colère que cela fait des années qu’ils constatent et alertent les services de l’État sur l’abandon des territoires, la fermeture des services pu­blics, le sentiment de relégation de cette France dite « périphérique » qui manifeste aujourd’hui ses inquiétudes.

      Les professionnels des travaux publics reportent leur action prévue mercredi
      Les professionnels des travaux publics avaient prévu d’organiser des barrages filtrants mercredi 21 novembre 2018 à propos du gazole non routier. Mais, ils ont décidé de reporter leur action. Ils ne veulent pas être confondus avec la mobilisation des gilets jaunes.

    • Toulouse : 7 “gilets jaunes”, repérés par un hussier sur Facebook, cités devant le tribunal pour blocage de la Socamil
      https://france3-regions.francetvinfo.fr/occitanie/haute-garonne/toulouse/toulouse-7-gilets-jaunes-reperes-hussier-facebook-cites

      La Socamil, centrale d’achats de Leclerc, demandait mardi matin en référé à la justice d’ordonner la levée du blocage par les "gilets jaunes" de son site de Tournefeuille. 7 d’entre-eux, identifiés par huissier sur place ou sur Facebook, étaient cités à comparaître. Décision mercredi.

      150 camions sont actuellement bloqués dans la centrale d’achat, remplis de 4500 tonnes de nourriture dont la moitié de produit frais, a indiqué à l’audience l’avocat de la Socamil. Dénonçant des "dommages imminents" et un "trouble illicite", il a plaidé la liberté de circuler et d’entreprendre.

    • « Gilets jaunes » : couvre-feu partiel à La Réunion Le figaro
      http://www.lefigaro.fr/flash-actu/2018/11/20/97001-20181120FILWWW00117-gilets-jaunes-couvre-feu-partiel-a-la-reunion.php

      Un couvre-feu partiel a été instauré dans la moitié des communes de La Réunion où les écoles sont restées fermées aujourd’hui à la suite d’une nouvelle nuit de violences en marge du mouvement des "gilets jaunes".
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      En accord avec le rectorat, le préfet de La Réunion avait décidé dès hier la fermeture des crèches, des établissements scolaires aujourd’hui. L’université a également gardé portes closes, tout comme les collectivités locales et les chambres consulaires.
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      Aujourd’hui à midi, il y avait toujours 35 barrages dressés sur les routes réunionnaises pour protester notamment contre la hausse des prix des carburants et la baisse du pouvoir d’achat. L’île a connu une nouvelle nuit de violences avec notamment des affrontements entre groupes de jeunes et les forces de l’ordre. Des voitures ont été brûlées, des commerces ont été vandalisés et incendiés, alors qu’un hypermarché à Saint-Denis a été pillé. Plusieurs caillassages et des actes de racket ont également été perpétrés sur des automobilistes roulant de nuit. Selon la préfecture, il y a eu une dizaine d’interpellations et cinq policiers ont été blessés. Des renforts de gendarmes mobiles sont arrivés hier de Mayotte. D’autres étaient attendus, sans que la préfecture en précise le nombre.

    • Belgique : Gilets jaunes : environ 400 pompes sont vides RTBF
      https://www.rtbf.be/info/economie/detail_gilets-jaunes-environ-400-pompes-sont-vides?id=10077734


      Environ un tiers des stations-service wallonnes, soit quelque 400 pompes, sont confrontées à une pénurie de carburant ce mardi en raison du blocage de dépôts pétroliers par le mouvement des gilets jaunes. « La situation peut toutefois évoluer d’heure en heure, en fonction du réapprovisionnement et de la libération d’infrastructures », souligne Olivier Neirynck, directeur technique de la Fédération belge des négociants en combustibles et carburants (Brafco).
      L’évolution de la situation est difficile à anticiper car le déblocage de certains dépôts n’est parfois que temporaire, ajoute Olivier Neirynck. 
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    • Gilets jaunes : le 17 novembre « journée noire » pour les ventes selon Nielsen - 35% - Morgan Leclerc - 19 Novembre 2018 - LSA _
      https://www.lsa-conso.fr/gilets-jaunes-le-samedi-17-novembre-a-ete-une-journee-noire-pour-les-vente
      L’impact du mouvement de protestation des gilets jaunes, a été important sur les hypermarchés et supermarchés avec une baisse d’un tiers des ventes samedi 17 novembre selon les relevés de Nielsen.

      Les perturbations entraînées par les manifestations ont eu un impact sérieux sur les ventes du samedi.

      Les blocages des routes décidés par les gilets jaunes samedi 17 novembre (pour protester contre la hausse du prix des carburants) se sont soldés par d’importantes perturbations pour les hypermarchés et les supermarchés. Avec des clients incapable de rejoindre les magasins ou tout simplement ayant préférer reporter leurs achats en prévision des manifestations, les hypermarchés et supermarchés « ont subi en moyenne une baisse de 35% de leur chiffre d’affaires sur les produits de grande consommation si l’on compare avec les samedis depuis la rentrée de septembre » constate Nielsen dans un communiqué, ajoutant que « l’anticipation d’achats sur la journée du vendredi n’a pas suffi à compenser le recul observé le samedi ».

      Des livraisons anticipées pour les magasins
      En prévision de ces troubles de circulation, nombre d’enseignes avaient avancé leurs livraisons. « En moyenne, les quantités de marchandises reçues ont diminué de 22% par magasin. Les enseignes ont évité autant que possible les problèmes d’approvisionnement de ce samedi grâce à un système de livraison anticipé dans les 48 heures précédant l’événement » explique Nielsen. Aucun mot d’ordre n’avait été donné par les distributeurs concernant la fermeture de points de vente, chaque magasin pouvant juger, au cas par cas, de la nécessité de baisser le rideau.

      Dès vendredi 16 novembre, quelques hypermarchés et supermarchés avaient d’ores et déjà décidé de rester fermés le samedi. Pour d’autres, comme dans de nombreux Auchan, la décision a été prise au cours de la journée, devant la faible affluence des magasins et centre commerciaux (la Voix du Nord cite l’exemple du Auchan de Longuenesse, qui a fermé à 17h00 samedi au lieu de 21h30, faute de clients). La radio Europe 1 rapportait les propos d’un porte-parole de Système U, que « des magasins ont été empêchés de fonctionner normalement » et notamment « pas mal en Bretagne ».

    • Les gilets jaunes ont-ils réussi à plomber l’économie française samedi ? BFM
      https://www.bfmtv.com/economie/les-gilets-jaunes-ont-ils-reussi-a-plomber-l-economie-francaise-samedi-156992

      Le volume des achats par carte bancaire a chuté de 26% le samedi 17 novembre par rapport au samedi précédent. Et la fréquentation des centres commerciaux a baissé de 39%, samedi. Les blocages de route et d’accès aux grandes surfaces par les « gilets jaunes » pourraient avoir dissuadé les Français de faire leurs emplettes.

      Alors que les patrons redoutent que les blocages ralentissent l’économie, la forte mobilisation des « gilets jaunes » sur les routes, samedi 17 novembre, a eu un effet négatif et visible sur la consommation des Français ce jour. Une conséquence particulièrement sensible alors que la période des achats de Noël bat son plein. Les paiements par carte bancaire ont chuté de 26% d’un samedi sur l’autre, selon les statistiques du groupement cartes bancaires. Ces transactions sont passées de 50,933 millions à 37,634 millions en une semaine, sur une seule journée, alors que le samedi est un jour d’affluence dans les commerces. La baisse constatée atteint encore 21% par rapport au samedi 3 novembre, il y a deux semaines.

      La fréquentation des centres commerciaux a chuté sur 3 jours
      Ces statistiques sur les achats par carte bancaire en berne, le samedi 17 novembre, sont corroborées par celles du conseil national des centres commerciaux (CNCC). Celui-ci évoque un recul de 39 % sur la journée du samedi, alors qu’ont été constatées une hausse de 13 % par rapport au niveau habituel le vendredi 16 novembre après 18h pour des « achats de précautions », puis une nouvelle hausse de 54 % pour les commerces ouvrant le dimanche 18 novembre pour des « achats de rattrapage ».

      Au total, sur les trois jours (vendredi 16, samedi 17 et dimanche 18 novembre) du week-end dernier, le CNCC constate « une fréquentation en baisse de 18,5 % par rapport aux niveaux habituels » sachant que ces chiffres cumulent les données de 170 centres commerciaux, galeries marchandes et parcs d’activité commercial, abritant plus de 10.000 commerces.

      Auchan a constaté une baisse de fréquentation de 55%
      « Sur l’ensemble des hypermarchés, on est sur une fréquentation de -55% et sur une baisse de chiffre d’affaires équivalente, à -55% », explique Olivier Louis, le directeur de la communication d’Auchan Retail France sur l’antenne d’Europe1. « Sur une journée du mois de novembre aussi importante que le samedi, c’est effectivement considérable. On a une vingtaine de sites qui sont actuellement bloqués au niveau des accès, qui ne peuvent pas être livrés parce que les entrepôts sont également bloqués », a poursuivi ce responsable.
      De son côté, l’Union de la bijouterie horlogerie révèle que ses adhérents ont constaté en moyenne une baisse de 68% de leur chiffre d’affaires durant le week-end dernier. « Alors que les résultats annuels des commerçants dépendent en grande partie de ce moment de l’année, les boutiques désertées les mettent en péril. Ces blocages risquent de ne pas inciter les français à reporter leurs achats, mais à se tourner vers les géants du web » s’alarme ce syndicat de commerçants professionnels.

      Les stations service étaient la cible des manifestants
      Nul doute que les nombreux blocages de route et des accès à certaines grandes surfaces en régions ainsi que ceux des centres commerciaux abritant des stations service, très ciblées par les gilets jaunes, ont dissuadé de nombreux Français d’effectuer leurs courses ou de faire leur plein de carburant ce samedi, jour traditionnel d’affluence dans les commerces.
      En outre, à côté des manifestations, et des blocages, le boycott des cartes bancaires faisait partie des mots d’ordre de cette journée. Ainsi, sur l’un des groupes Facebook de la manifestation des gilets jaunes dans l’Indre, une participante écrivait : « Privilégier les petits commerçants mais en payant en LIQUIDE ». Certains manifestants appelaient aussi les commerçants à faire de leur côté la grève des TPE (Terminaux de Paiement bancaires).

      #giletsjaunes #bfm

  • À lire ! Un article de #Matthieu_Cornélis
    http://www.acsr.be/a-lire-un-article-de-matthieu-cornelis-dans-en-marche

              Un article écrit par Matthieu Cornélis dans le magazine #En_marche à propos du #Documentaire de Aurélie B. et #Ecaterina_Vidick, Quand la mer se retire, qui a reçu récemment le Prix Ondas de la Radio International. https://www.enmarche.be/culture/musique/quand-la-mer-se-retire.htm Le documentaire est en écoute sur https://soundcloud.com/acsr_bxl/quand-la-mer-se-retire[...]

    #presse #Aurélie_B. #Maladie #Résilience

  • Changer le nom du Sanitas : la violence symbolique de la politique de la ville
    https://larotative.info/changer-le-nom-du-sanitas-la-2372.html

    https://larotative.info/home/chroot_ml/ml-tours/ml-tours/public_html/local/cache-vignettes/L700xH525/arton2372-84874-6a534.jpg?1504182856

    Dans le cadre de son projet de rénovation urbaine, la mairie de Tours souhaite changer le nom du quartier du Sanitas pour le rendre plus attractif aux yeux des promoteurs. Ce processus révèle l’addiction des élus au marketing urbain et leur mépris à l’égard des classes populaires.

    C’est l’une des nouveautés de la rentrée 2017 sur le réseau Fil Bleu, le réseau de transports en commun de l’agglomération tourangelle : la station de tram Sanitas, située au coeur du quartier du même nom, devient « Saint Paul ». Ce changement, annoncée sur le site du réseau, marque la concrétisation d’un processus annoncé dans un précédent article publié en mars dernier : les élus de Tours souhaitent changer le nom du quartier, faire disparaître le Sanitas. Dans le protocole qui préfigure l’opération de rénovation du quartier, on peut lire :

    « L’ensemble des acteurs s’accorde aujourd’hui sur la nécessité de faire émerger à l’intérieur du quartier prioritaire de nouveaux noms de quartier appelés à se substituer à celui du Sanitas et devant contribuer à rendre plus attractive cette partie de la Ville. »

    Le marketing urbain, c’est ce qui transforme les villes en marques. Elles sont ainsi amenées à gérer leurs quartiers, leur patrimoine et leurs grands événements comme autant de produits dont il faudrait maximiser la valeur et qui contribueraient alors à renforcer la visibilité et le prestige de la ville. (...) En mars, un contributeur de La Rotative écrivait à ce propos que « changer le nom d’une marque pour attirer une nouvelle clientèle est une technique commerciale éprouvée. Effacer, à travers son nom, l’histoire et le visage d’un quartier populaire est plus exceptionnel » . On peut cependant donner quelques exemples d’opérations de ce type. Toutes concernent des quartiers populaires.

    #politique_de_la_ville #urbanisme #aménagement #ZUP #Sanitas

  • Un stade de foot. Coûte que coûte La Brique - AF - 6 Avril 2017

    Le grand stade de Lille résonne plus des plaintes pour faux, usages de faux et favoritisme que des cris des supporters du LOSC. Quand les élu.es et les grands patrons du BTP chuchotent, parfois des échos reviennent. Corruption, dites-vous ?

    En 2004, le stade Grimonprez-Jooris dans le Vieux-Lille ne correspond plus aux nouvelles exigences de l’UEFA pour que le LOSC devienne une équipe de foot rentable. Pour les édiles, il suffit de le reconstruire pour accueillir 50 000 supporters et l’immense parking qui va avec. Mais dans le seul parc de la ville et à proximité du monument classé de la citadelle, une association d’habitant.es fait en sorte que cette idée absurde soit abandonnée. Pierre Mauroy, président de la communauté urbaine, choisit donc un autre lieu : le site de la Haute Borne situé entre Villeneuve d’Ascq et Lezennes. La communauté urbaine, ne pouvant financer les quelque 350 millions d’euros nécessaires, met trois entreprises de BTP en concurrence : Vinci, Eiffage et Norpac-Bouygues pour un partenariat public-privé.
     


    Petits arrangements entre ami.es
    Le 23 janvier 2008, après des mois de concertation, vient l’ultime réunion préparatoire au vote en comité restreint à la communauté urbaine, alors LMCU1. Michelle Demessine2 (PCF) intervient en tant que présidente de la commission chargée du suivi et de l’évaluation du grand stade. Elle livre le dossier d’études des experts qui conclut que la proposition de Norpac-Bouygues a le meilleur rapport qualité-prix. Un système de notation complexe et 75 pages d’analyse le prouvent. Stéphane Coudert, directeur du projet grand stade, l’appuie sur ce point. Pierre Mauroy acquiesce, tout est enfin bouclé et, les élections approchant, il va pouvoir prendre sa retraite sur ce grand projet.
    Intervient alors le vice-président Henri Ségard, le perdant à la présidence de la communauté en 2001. Il se livre à un véritable travail de lobbyiste pour Eiffage, pourtant plus cher de 108 M€ et classé second choix. Mauroy est déstabilisé et s’inquiète : pourquoi remettre en question l’expertise, à une semaine du vote ? Marc-Philippe Daubresse (UDF) approuve l’argumentaire et Martine Aubry (PS) est soudainement du même avis. Henri Ségard, chef du groupe des 50 petites communes, aurait-il fait quelques promesses en vue des prochaines élections de la communauté urbaine ? Et qu’a Ségard à y gagner ? Comment faire voter pour le projet Eiffage alors que le rapport d’expertise dit le contraire ? Dans ce retournement de situation, le directeur général des services, Bernard Guillemot, propose de modifier le rapport de 75 pages : « Il faut vite travailler ensemble pour produire le rapport correspondant à votre analyse et qui viendra en appui de la délibération. » En gros, il faut bidouiller les notations et aller à l’encontre du code général des collectivités territoriales. Sinon, « dès la semaine prochaine, il est probable que nous aurons quelques recours ».
    Une semaine plus tard, le 1er février, Pierre Mauroy administre son dernier conseil à la communauté urbaine. Les élu.es suivent les consignes de leur groupe respectif et votent à 82 % pour Eiffage à 440 millions d’euros contre le projet à 310 M€ de Norpac-Bouygues. Personne ne s’étonne. Avril 2008, Pierre Mauroy part à la retraite et Martine Aubry ravit à Marc-Philippe Daubresse le poste de présidente de LMCU. Et ce, notamment grâce au vote du groupe de Ségard.

    Lettres anonymes et dénonciations

    . . . . . . La suite : http://labrique.net/index.php/thematiques/politicaille/888-un-stade-de-foot-coute-que-coute

    #Lille #La_Brique #stade #Losc #Michelle_Demessine #Pierre_Mauroy #Norpac #Bouygue #Henri_Ségard #Lille #MEL #Villeneuve_d_Ascq #barons #baronnes

  • Primaires Sociales / C’est l’heure de l’mettre
    http://www.campuslille.com/index.php/entry/primaires-sociales
    CE MERCREDI 18 JANVIER 2017 à 18h30

    Pendant que s’activent sous les projecteurs les candidats à la prochaine défaite, dans l’ombre, de vraies primaires se déroulent. Ce sont les primaires sociales.

    Les militants de toujours sont mis sous pression et sont condamnés. Ils hurlent qu’il faut une révolte généralisée contre l’austérité, le chômage, la mouise, tout ce dont Macron, Valls, Fillon, Le Pen, sont les noms. Et a priori ça roupille dans les environs...

    Sauf que dans les bas-fonds du charbon, où ça trime en intérim, où ça sous-traite, dans les rayons, sur les quais et aux caisses, où c’est les femmes, les immigrés et les jeunes, où ça macronne avant l’heure et où ça travaille sans la loi, là, ça commence à gueuler.

    Trop de mépris et de castagne, trop de marche ou crève, et les fins du mois au milieu de partout. La souffrance au travail qu’ils disent. Mais quand ça gueule, quand ça bastonne en retour et que ça fait grève, c’est plus de la souffrance, c’est de la rage.

    Ça monte sans prévenir, du profond du travail discount, la gueule cassée et plus rien à perdre. Leur belle mécanique est fragile comme un genou de DRH et démontable aussi bien que leurs organigrammes.

    2017, faut que ça pète. Comme qui dirait : c’est l’heure de l’mettre !

    (Dans la foulée des deux premières émissions de l’année et en prévision des prochaines, nous entendrons les échos de ces quelques luttes morcelées qui dessinent un présent dégueulasse et un avenir moins pire.)

    « L’heure de l’mettre »

    Le fil de l’émission
    
- Le fabuleux générique

    – 3mn04 L’Ephéméride : Sainte Tête à claques.
    
- 9mn15 C’est l’heure de la mettre, actualité de la claque. Le point.
    – 35mn20s Nos micros devant le siège « social »de Leroy Merlin, rue Chanzy à 59712 Lezennes, avec les salariés du magasin de Dreux.
    – 48 mn Nos micros à Auchan Englos - Les caisses automatiques, plan de licenciement de 1500 caissières, les détails.
    – 69mn10 Les Bons Calculs Economiques, les BCE d’Auchan City Tourcoing. Accumulation de pertes.
    – 81mn30 Rubrique cassette : 1999

    #Radio #Audio #Radios_Libres #Radio_Campus_Lille #Claques #Gifle #Têtes_à_claques #Leroy_Merlin #Auchan #Caisses_automatiques #Caissières #Ephéméride #Dreux #HDM #L’heure_de_l’mettre #Lutte_des_claques

  • Carburants : interdiction de remplir des bidons dans le Nord – Pas-de-Calais, le point sur les stations à sec
    Publié le 20/05/2016 - Mis à jour le 20/05/2016 à 21:17

    Depuis ce jeudi matin, plusieurs dépôts pétroliers du Nord – Pas-de-Calais sont bloqués par des manifestants qui contestent la loi Travail. Les stations-service du nord de la France commencent à manquer de carburant ou se trouvent confrontées à des files d’attente très longues. Dans tout le Nord-Pas-de-Calais, interdiction de remplir des bidons.

    Le point sur les stations impactées ce vendredi soir.


    La préfecture du Pas-de-Calais, puis celle du Nord, ont interdit de vendre, d’acheter, de distribuer ou encore de transporter du carburant dans tout récipient transportable (jerricans, bidons, etc.). Dans le Pas-de-Calais, la préfète a par ailleurs décidé de réquisitionner temporairement un nombre limité de stations-services afin de ravitailler les services prioritaires. Les stations concernées par cette réquisition temporaire sont les suivantes :

    – Station TOTAL Access de Dourges (plateforme DELTA 3).
    – Station TOTAL de Coquelles (Terminal Eurotunnel).
    – Station TOTAL de Souchez (aire de Souchez).
    – Station TOTAL de Calais (relais rocade Est).
    – Station TOTAL d’Arras (rue des Rosati).
    – Station TOTAL SARL Turbeaute à Béthune.
    – Station TOTAL de Boulogne-sur-Mer (relais Daunou).
    – Station TOTAL Access de Fresnes-les-Montauban (relais de Fresnes).
    – Station TOTAL Access de Montreuil-sur-Mer (rue Leclerc).
    – Station TOTAL Access de Saint-Omer (rue des Madeleines).
    – Station TOTAL deSaint-Pol-sur-Ternoise (route de Béthune).

    SUR LE LITTORAL
    – Montreuil et ses environs :
    Vendredi matin, la station Total de Montreuil-sur-Mer était fermée. Idem pour celle de l’hypermarché Leclerc à Attin et du supermarché Carrefour à Étaples. Toujours dans la cité des pêcheurs, la station Esso a restreint la distribution de carburant. Même chose à Campigneulles, où les responsables de la station-service ont décidé de fermer les pompes en fin de matinée.

    À l’hypermarché Carrefour de Berck, il y avait encore de l’essence vendredi après-midi mais une longue queue de voitures.

    – Calais et ses environs :
    La station Carrefour Market de Bois-en-Ardres sert encore un peu d’essence mais plus de gazole. Même chose pour la station Élan Oye-Plage et au Carrefour Market d’Audruicq. A l’inverse, au Simply Market d’Autingues, on trouve encore du gazole mais plus d’essence.
    Quant à celle du Carrefour Market de Guînes, elle ne devrait pas tarder à fermer.

    – Dunkerque et ses environs :
    Les stations Leclerc à Rosendael et Total à Coudekerque-Branche sont à sec de gazole.

    – Boulogne et ses environs :
    Leclerc Boulogne est fermée depuis 17h. Depuis la fin d’après-midi, il n’y a plus une goutte d’essence dans les stations d’Hardelot, de Condette ou encore de La Capelle. À Ambleteuse, les patrons ont décidé, au vu de l’affluence, de ne délivrer que 20 € de carburant par véhicule.

    DANS L’ARTOIS
    – Arras et environs :
    Ne tentez plus votre chance aux bornes de Leclerc Dainville : elles sont à sec depuis le milieu de la matinée. Chez Total à Tilloy-lès-Mofflaines, même ruée sur le carburant, et même résultat final. Les cuves de gazole de Carrefour Pas-en-Artois sont à sec. A Fresnes-lès-Montauban, la station Total est à sec. Plus de gazole à Lerclerc Arras et Total Rosati. A Saint-Nicolas, la station Leclerc est fermée depuis 13h.

    – Béthune et environs :
    Selon nos internautes, le carrefour d’Essars, l’Intermarché de Bussy-les-Mines, le Leclerc de Noeux-les-Mines, la station Total de Sains-en-Gohelle, le carrefour de Vendin-lès-Béthune… sont à sec.
    La station Leclerc de Noeux-les-Mines était quant à elle en pénurie de gazoil dans l’après-midi.

    – Bruay et environs :
    A Cora Bruay, plus de gasoil, seul le sans-plomb est disponible. A Marles-les-Mines, après avoir été momentanément fermée en début d’après-midi, la station Intermarché a rouvert pour ne vendre que du sans-plomb. Au Carrefour Auchel, il y avait aussi pénurie de gasoil, mais il restait de l’essence. Les gérants n’attendent pas de livraison avant lundi.
    Au Carrefour de Divion, à 18 heures, les cuves de gasoil et de sans-plomb 95 étaient à sec et il ne restait plus qu’un fond de sans-plomb 98.

    DANS l’AUDOMAROIS
    À Lumbres, les stations Total, Leclerc et Super U sont fermées. À Thérouanne, il n’y a plus d’essence. Idem chez Carrefour Market d’Éperlecques et Arques. À Moulle, à l’Escapade, les pompes étaient vides en fin d’après-midi et la prochaine livraison ne devait pas être effectuée avant mardi 24 mai.

    Au Total Access de Saint-Omer et à l’Intermarché, à Arques, les cuves de gazole étaient vides en fin d’après-midi. De même à Carrefour, à Saint-Martin-lez-Tatinghem, où il n’y avait plus de gazole depuis 13 heures. À Wizernes, à Intermarché, il ne restait plus que du sans-plomb 95 en fin d’après-midi.

    À Aire-sur-la-Lys, Carrefour est hors-service. Le Carrefour de Fauquembergues n’a plus de carburant non plus.
    DANS LE DOUAISIS

    Un temps fermée, Leclerc Douai a cependant rouvert en fin d’après-midi. À Waziers , la station Total est fermée. Tout comme Super U à Orchies , Total à Pecquencourt , Total Access à Bugnicourt . Il n’y aurait plus de gasoil non plus au Carrefour de Lallaing

    DANS LE TERNOIS
    Les Carrefour Market d’Avesnes-le-Comte et de Frévent n’ont plus de carburant.

    A Pernes, Frévent, Avesnes-le-Comte, Tinques… Toutes les stations sont en rupture de gasoil. À la station Total de Saint-Pol, le service est limité à 20 € par véhicule, pour pouvoir contenter tout le monde.

    DANS LE CAMBRÉSIS
    La station Total Access, située sur la route de Fontaine-Notre-Dame à Cambrai, n’a plus de diesel.

    À Caudry, la station de l’hypermarché Leclerc n’est plus en mesure de fournir du diesel non plus. À Avesnes-les-Aubert, le point d’approvisionnement de Carrefour Market est à sec quand celui du magasin Match est sur la réserve.
    La station d’Iwuy devrait, quant à elle, être livrée ce samedi matin. « Mais on ne sait pas si ce sera le cas », a-t-on expliqué à nos journalistes de Cambrai. Même chose pour l’Intermarché de Caudry qui doit être livré lundi soir.

    DANS LE VALENCIENNOIS

    Intermarché, à Douchy-les-Mines, n’a plus de carburant dans ses cuves depuis ce vendredi 10 h. Pénurie de gazole également pour la station Total Access de Douchy-les-Mines.
    Pénurie totale, par contre, à la station-service du Carrefour Market de Trith-Saint-Léger. Un Douchynois témoigne avoir fait sept stations avant de pouvoir se servir à Haspres, mais limité à 20 €.

    La station BP, à Valenciennes, n’a presque plus de carburant et ne sera pas ravitaillée ce week-end. Si plusieurs stations sont prises d’assaut, pas d’affolement, à proximité de la frontière, non loin de Mortagne-du-Nord, où les conducteurs savent qu’ils pourront toujours faire leur plein en Belgique.

    EN SAMBRES-AVESNOIS
    Le Carrefour Market à Avesnelles est en rupture de stock.

    DANS LA MÉTROPOLE LILLOISE
    – Lille et environs :
    A Lille-Fives, la station du Carrefour Market est en pénurie de gasoil, tandis que la Total Access du boulevard de Tournai à Lezennes est en pénurie de SP95. A Wasquehal, la station de Carrefour n’avait plus de gasoil en fin d’après-midi et a fermé à 19h. Elle le restera jusqu’à ce samedi 8h.

    A Lille, la station Total Access de la rue de Turenne et celle du Relais de l’Epinette au Faubourg de Béthune étaient proches de la pénurie.

    – Autour de Seclin :
    L’hypermarché Leclerc de Seclin est en pénurie de diesel. Idem pour les deux stations Total Access du secteur d’Unexpo.
    À Wattignies , le diesel est, lui aussi, en rupture.
    – Dans les Weppes :
    A La Bassée, la station-service Total , à l’entrée de la ville, est en rupture de gasoil.

    DANS LES FLANDRES
    Ce n’est pas encore la pénurie de carburant à Hazebrouck, mais on s’en rapproche.

    La station Total, dans le centre-ville, n’a plus de gasoil. Il lui reste un peu d’essence sans plomb pour pouvoir peut-être tenir jusqu’à ce vendredi soir.
    La station de l’hypermarché Leclerc est aussi en rupture de gasoil depuis la fin de matinée mais les responsables espèrent tenir jusqu’à samedi soir pour les autres carburants.

    DANS LE LENSOIS
    – Lens et ses environs :
    Les deux stations Total de Lens, rue Lannoy et route d’Arras, sont en rupture de gasoil. Les stations Esso de Lens et Grenay, prises d’assaut par les automobilistes, ne devraient plus tenir longtemps. Même chose pour la station Cora Lens2. Sur les réseaux sociaux, certains internautes signalent que les stations de Loison-sous-Lens sont également à sec.

    – Secteur d’Hénin-Carvin :
    Il n’y at plus de gasoil à la station Total Access de Libercourt. Au Carrefour Market de Rouvroy, même topo, depuis midi environ. La station de centre-ville a été l’une des premières à sortir le panneau « fermé ».

    À Carvin, chez Leclercq, en milieu d’après-midi, le gasoil était à sec, et il ne restait plus beaucoup de SP 95 et de SP98.
    Chez Total dans le centre d’Hénin, le réapprovisionnement était prévu pour ce vendredi matin, mais le camion-citerne n’est jamais arrivé. Conséquence : des cuves de gasoil vides et des stocks de « sans-plomb » sur la corde raide.

    Source : http://www.lavoixdunord.fr/region/carburants-interdiction-de-remplir-des-bidons-dans-le-ia0b0n3517709

  • Les carrières souterraines de Lezennes
    http://tchorski.morkitu.org/3/4615.htm

    Les carrières souterraines de Lezennes (1/2)

    Lezennes est une petite ville du pourtour de Lille. Il y a un réseau souterrain à la forme totalement anarchique. Il s’agit d’une des plus vastes carrières souterraines de France. Connus de tous par ouïe-dire, les espaces situés à quelques mètres sous les maisons sont de l’ordre de l’inconnu. Le creusement est très original, et son anarchie en fait un lieu qui ne se visite qu’avec de grandes difficultés.

    via koniLM

    #lezenne #lille #souterrains #carrières