city:longyearbyen

  • Dominika Gesicka : « #Longyearbyen change la vie des gens » - Europe - RFI (traduction… rapide…)
    http://www.rfi.fr/culture/20180416-dominika-gesicka-longyearbyen-change-vie-gens-circulation-s-photographi

    Pourquoi s’aventurer dans la ville la plus au nord de notre planète ? À Longyearbyen, petite ville arctique sur l’île du #Spitzberg, on y peut « ni naître ni être enterré », mais chacun a sa propre raison – souvent inavouée - pour y arriver. Ici, il n’y a pas d’arbres, mais des ours polaires. En hiver, la nuit règne toute la journée et en été, le jour perdure aussi pendant la nuit. Une ambiance électrique au milieu de l’Antarctique. Comme beaucoup, la photographe polonaise Dominika Gesicka, 37 ans, a eu un coup de foudre pour cet endroit unique au monde et une bonne raison pour y aller. Sa série « This is not Real Life » est actuellement exposée au Centquatre, Paris, dans le cadre de Circulation(s), le festival de la jeune photographie européenne.

    RFI : Avant This is not Real Life, vous avez fait une série intitulée _It wasn’t m_e, Ce n’était pas moi. Qui êtes-vous ?
    Dominika Gesicka : Je suis Dominika, photographe, de Pologne, de Varsovie.

    Pourquoi êtes-vous devenue photographe ?
    C’est histoire d’une vieille caméra trouvée dans l’armoire des parents quand j’avais 9 ans. J’étais complètement fascinée de l’appareil et j’ai obligé ma sœur de poser pour moi comme modèle. Donc, je prends des photos depuis toujours. C’est ma passion et mon obsession.

    Que montrez-vous avec This is not Real Life ?
    C’est une série sur un endroit extraordinaire et littéralement la fin du monde [sourire].

    #Svalbard

  • Bienvenue à #Longyearbyen, la ville norvégienne dans laquelle il est illégal de mourir
    https://www.francetvinfo.fr/meteo/climat/bienvenue-a-longyearbyen-la-ville-norvegienne-dans-laquelle-il-est-ille

    Les températures y sont la plupart du temps négatives. Résultat : les cadavres ne se décomposent pas dans le sol, gelé en permanence. Pour cette raison, la mairie a interdit à ses administrés de mourir dans la ville dès les années 50. Signe du bien fondé de cette curieuse requête : des scientifiques qui ont étudié, en 1998, les corps de personnes emportées par une puissante grippe en 1918 et enterrées dans le cimetière communal, ont retrouvé des particules du virus, lequel avait survécu dans les corps congelés, raconte Slate. Cette mission, menée par une géographe médicale canadienne du nom de Kirsty Duncan, avait pour objectif de prélever des extraits de #grippe_espagnole, afin de les étudier et de prévenir d’éventuelles nouvelles épidémies, racontait en 2015 le post de blog (en anglais) d’une journaliste de Wired et de Slate, hébergé par le site de National Geographic.

    […] Reste à savoir si le réchauffement n’aura pas raison de la particularité de la commune. En 2016, le climatologue Ketil Isaksen, du Norwegian Meterological Institute tire la sonnette d’alarme sur le réchauffement rapide de la région. En janvier 2017, il tweetait un graphique témoignant du réchauffement du permafrost ; De 1999 à 2016, la température du sol à la surface est passée de - 5 °C, à - 2 °C.

    #Norvège #Svalbard #décès #réchauffement_climatique