city:lormont

    • C’est un colloque et c’est sur 3 jours, 16-17-18 janvier
      Colloque « Faire face aux discriminations. Expériences et (dé)mobilisations dans les quartiers populaires »
      http://ceraps.univ-lille2.fr/fileadmin/user_upload/enseignants/Talpin/20190116-18_-_COLLOQUE_FAIRE_FACE_AUX_DISCRIMINATIONS.pdf

      (j’ai demandé à @aude_v si elle connaissait des personnes pouvant m’héberger. Je ne sais pas non plus si ce colloque intéresse d’autres personnes vers Lille : @sandburg, @tintin, ... ?)

      Faire face aux discriminations
      Expériences et (dé)mobilisations dans les quartiers populaires
      Lille, 16-18 janvier2019
      Le colloque se déroulera à l’Université de Lille, 1 place Déliot à Lille, M° Porte de Douai.

      Colloque organisé par Julien Talpin et le collectif D.R.E.A.M. (Discriminations, racismes, engagements et mobilisations)

      Ce colloque constitue l’évènement scientifique de clôture du projet de recherche ANR EODIPAR (“Expérience des discrimination, participation et représentation”) coordonné par le collectif DREAM (Discriminations, racismes, engagements et mobilisations).
      Les premières et troisième journées seront consacrées à la présentation des résultats de l’enquête collective comparative menée dans neuf quartiers populaires en France (Le Blanc Mesnil, Lormont, Mistral à Grenoble, Roubaix, Vaulx-en-Velin, Villepinte) en Angleterre (Londres), au Canada (Montréal) et aux Etats-Unis (Los Angeles) entre 2015 et 2018. Reposant sur 250 entretiens biographiques et l’observation d’une quinzaine de collectifs militants et de dispositifs d’action publique, ces recherches seront discutées par des cherheur.e.s spécialistes de ces questions.
      La deuxième journée d’étude, ouverte suite à un appel à communication, sera consacrée à la question des formes de disqualification et de répression qui affectent les mobilisations de minorités et issues de quartiers populaires.

      Le collectif DREAM (Discrimination, Racisme, Engagements et Mobilisations) est composé de : Hélène Balazard, Marion Carrel, Angéline Escafré-Dublet, Virginie Guiraudon, Samir Hadj Belgacem, Camille Hamidi, Sumbul Kaya, Alexandre Piettre, Anaïk Purenne Guillaume Roux, Julien Talpin

      16 janvier 2019
      Faire l’expérience des discriminations :
      Incidences sur les trajectoires et rapport au politique

      17 janvier 2019
      Démobiliser les quartiers populaires
      Répression, disqualification et cooptation comme stratégies de gouvernement

      18 janvier 2019
      Lutter contre les discriminations : stratégies,
      répertoires et changement social

      (je mettrai tout le programme si j’ai le temps, et sinon, n’hésitez pas.)

    • ok, c’est bon pour le logement et voilà !
      Si y’a des personnes intéressées (ça commence ce mercredi matin) :

      ENTREE GRATUITE

      LIEU : Université de droit-Campus Moulins, 1 place Déliot, Lille
      Salles :
      le 16/01 : Salle GUY DEBEYRE (Bâtiment A, 3ème étage, salle A.3.01)
      les 17 et 18/01 : AMPHI CASSIN (Bâtiment T, rez-de-chaussée)

      INSCRIPTION OBLIGATOIRE dans le plan Vigipirate
      Ecrire à l’adresse mail suivante : eodipar@gmail.com en communiquant votre identité afin d’avoir accès aux salles du colloque.
      Par précaution, avoir une pièce d’identité à présenter si besoin.

      http://ceraps.univ-lille2.fr/en/colloque-faire-face-aux-discriminations.html

      (je taggue aussi @raspa & @georgia , c’est à Lille cette semaine)

      #discriminations #quartiers_populaires #luttes

  • Le mouvement social actuel, le point sur la CGT et le Syndicalisme français, les nuits debout, , , , Stéphane Sirot, analyse

    Stéphane Sirot, historien spécialiste du syndicalisme et du mouvement ouvrier fait le point sur la situation actuelle, Syndicats, CGT, Conflits syndicaux, Nuit debout . . . .
    Sur wikipédia :
    Stéphane Sirot est un historien français. Il est spécialiste de l’histoire et de la sociologie des grèves, du syndicalisme et des relations sociales. Il enseigne l’histoire politique et sociale du XXe siècle à l’Université de Cergy-Pontoise et l’histoire et la sociologie du syndicalisme et des relations sociales à l’Institut d’administration des entreprises de l’Université de Nantes.
    • 1884. Des syndicats pour la République, Lormont, Le Bord de l’eau, coll. « 3e culture », 2014, 114 p., ISBN 9782356873040
    • Le syndicalisme, la politique et la grève. France et Europe : XIXe-XXIe siècles, Nancy, Arbre bleu éditions, coll. « Le corps social », 2011, 360 p., ISBN 979-10-90129-00-9
    • Les syndicats sont-ils conservateurs ?, Paris, Éditions Larousse, coll. « À dire vrai », 2008, 126 p., ISBN 978-2035839718
    • La grève en France. Une histoire sociale, XIXe-XXe siècle, Paris, Éditions Odile Jacob, coll. « Histoire », 2002, 306 p., ISBN 978-2738111722
    • Maurice Thorez, Paris, Presses de Sciences Po, coll. « Facettes », 2000, 301 p., ISBN 978-2724607963
    • Histoire sociale de l’Europe : industrialisation et société en Europe occidentale, 1880-1970 (codirection avec François Guedj), Paris, Éditions Seli Arslan, coll. « Histoire, cultures et sociétés », 1998, 411 p., ISBN 978-2842760144

    C’est un extrait de l’émission : C’est l’heure de l’mettre *, sur Radio Campus Lille.

    Le lien vers l’intégrale de l’émission : http://www.campuslille.com/index.php/entry/utopie-capitaliste
    Stéphane prend la parole à la 11 iéme minute.

    #audio #radio #Radios_libres #Radio_Campus_Lille #CGT #CFDT #Nuit_debout #Syndicalisme #Histoire #Code_du_travail #Stéphane_Sirot

  • Actualité philosophique : Michel Terestchenko - Idées - France Culture - 22.05.2015 - Par Adèle Van Reeth
    http://www.franceculture.fr/emission-les-nouveaux-chemins-de-la-connaissance-actualite-philosophiq

    Actualité philosophique : Michel Terestchenko
    Invité(s) :
    Michel Terestchenko, philosophe, maître de conférences à l’université de Reims

    http://rf.proxycast.org/1030515942200713216/10467-22.05.2015-ITEMA_20757889-0.mp3
    L’ère des ténèbres de Michel Terestchenko, Lormont, Le Bord de l’eau, coll. « La bibliothèque du MAUSS », 2015

    http://lectures.revues.org/17945

    La « guerre sainte » et sans frontières que mènent les djihadistes contre « le monde des ténèbres » se déploie selon la logique manichéenne d’une lutte à mort où chaque camp prétend incarner le Bien et voit dans l’autre la figure du Mal. Comment en sortir ?

    Du premier côté, on ne saurait comprendre l’extrême violence dont les mouvances de l’islamisme radical font preuve sans la rapporter aux doctrines dont elles s’inspirent et aux multiples causes sociales, politiques et économiques qui expliquent leur émergence dans le monde arabo-musulman contemporain. Mais, symétriquement, tout se passe comme si les démocraties avaient été prises au piège d’idéologies meurtrières qu’elles ont davantage contribué à nourrir qu’à combattre efficacement dans le respect de leurs propres principes. De l’usage de la torture à l’utilisation croissante de drones armés, la « guerre contre la terreur » a trop souvent été menée dans le mépris du droit, alimentant ainsi une spirale sans fin de haine et de ressentiment, tout en servant de prétexte à une remise en cause de nos libertés fondamentales.

    Dans cet essai, stimulant et très documenté, Michel Terestchenko nous introduit au cœur de ces dynamiques de violence exponentielle, qui se développent jusque dans notre pays, et nous donne les moyens d’exercer notre responsabilité de citoyen afin qu’elles fassent enfin l’objet d’un débat public.

    #droit #droit_international #valeurs_démocratiques

  • Affaire Merah : les journalistes ont-ils cédé à une « théâtralisation morbide » ? | Jacques le Bohec (Délinquance, justice et autres questions de société)
    http://www.laurent-mucchielli.org/index.php?post/2012/03/25/Affaire-Merah-les-journalistes-ont-ils-cede-a-une-theatralisatio

    D. Schneiderman parle de « suspension du cerveau », mais il vaudrait mieux parler de catharsis. Ce mot grec peut être traduit par purgation (des tensions, des frustrations, des pulsions et des passions), rôle dévolu au spectacle théâtral par Aristote. Un habitant d’un quartier de Lormont (Bordeaux) disait ainsi dans le cadre de la recherche de Vincent Goulet (Médias et classes populaires, 2010) : « Je regarde les actualités quand je n’ai pas le moral ». Cela veut dire que le spectacle du malheur d’autrui permet de relativiser ses propres ennuis et de mieux les accepter. Le pathos des journalistes est alors nécessaire pour bien montrer que les victimes sont effectivement très affectées (pleurs, cris, insultes, deuil, marche blanche, musique triste, etc.). En cela, la couverture médiatique intense des faits divers sanglants revêt une fonction politique éminente, en incitant au repli sur sa seule famille et en freinant les velléités de révolte populaire. La dramaturgie relève alors moins d’une édification morale du spectateur quant à ses pulsions inavouables (eros, thanatos) que d’une diversion et d’une distraction à la fois inquiétantes (menace imprévisible du tueur qui improvise sa cible) et rassurantes (satisfaction de ne pas être touché) (...) Source : Délinquance, justice et autres questions de (...)

  • Affaire Merah : les journalistes ont-ils cédé à une « théâtralisation morbide » ?
    http://www.laurent-mucchielli.org/index.php?post/2012/03/25/Affaire-Merah-les-journalistes-ont-ils-cede-a-une-theatralisatio

    Un habitant d’un quartier de Lormont (Bordeaux) disait ainsi dans le cadre de la recherche de Vincent Goulet (Médias et classes populaires, 2010) : « Je regarde les actualités quand je n’ai pas le moral ». Cela veut dire que le spectacle du malheur d’autrui permet de relativiser ses propres ennuis et de mieux les accepter. Le pathos des journalistes est alors nécessaire pour bien montrer que les victimes sont effectivement très affectées (pleurs, cris, insultes, deuil, marche blanche, musique triste, etc.). En cela, la couverture médiatique intense des faits divers sanglants revêt une fonction politique éminente, en incitant au repli sur sa seule famille et en freinant les velléités de révolte populaire. La dramaturgie relève alors moins d’une édification morale du spectateur quant à ses pulsions inavouables (#eros, #thanatos) que d’une diversion et d’une distraction à la fois inquiétantes (menace imprévisible du tueur qui improvise sa cible) et rassurantes (satisfaction de ne pas être touché).

    • C’est une sorte de crime parfait du pompier pyromane : vous passez votre temps, avec vos affidés, à monter les gens les uns contre les autres, à susciter la peur pour justifier les mesures répressives de toutes sortes et même des guerres extérieures, à mener des politiques gouvernementales qui aggravent la situation des classes populaires et vous venez, non pas la mine contrite battre votre coulpe d’avoir joué avec les allumettes, mais fier de l’efficacité policière tout en rassurant la population du haut de votre statut éminent.