city:matignon

  • Je suis journaliste parlementaire depuis 25 ans : Penelope Fillon est indéfendable - le Plus
    http://leplus.nouvelobs.com/contribution/1644344-je-suis-journaliste-parlementaire-depuis-25-ans-penelope-f

    Cela fait 25 ans qu’avec mes confrères et consœurs, nous sommes les témoins de pratiques népotiques de la part de députés et de sénateurs – heureusement très minoritaires – peu sourcilleux de la morale publique, qui emploient abusivement des membres proches de leur famille (épouses, filles, fils, gendres, sans oublier les maîtresses) comme assistant(e)s parlementaires . Et cela fait 25 ans que nous entendons le même plaidoyer arrogant, et parfois sans complexes : « C’est légal ».

    #népotisme

  • La DGSE mise en cause dans une affaire de racket

    http://www.lemonde.fr/police-justice/article/2017/01/23/la-dgse-mise-en-cause-dans-une-affaire-de-racket_5067587_1653578.html

    Un homme d’affaires franco-suisse, en litige financier avec l’agence de renseignement, accuse des espions français d’avoir tenté de lui extorquer 15 millions d’euros.

    L’histoire recèle tous les ingrédients d’une curieuse affaire d’Etat, au point de remonter jusqu’à Matignon. Mardi 17 janvier, le parquet de Bobigny a été saisi d’une plainte avec constitution de partie civile visant la Direction générale de la sécurité extérieure (DGSE). Déposée par Alain Duménil, un riche homme d’affaires franco-suisse de 67 ans, elle évoque des faits de « détention et séquestration » et de « tentative d’extorsion en bande organisée », sur fond de lourdes pertes subies par l’agence de renseignement dans des placements financiers.

    Le plaignant, en litige financier avec la DGSE depuis plusieurs années, affirme avoir été victime, en mars 2016, d’une tentative de racket, puis menacé par des représentants des services secrets, dûment missionnés, dans un poste de police de l’aéroport de Roissy-Charles-de-Gaulle. Donc sur le territoire français, où la DGSE est censée ne jamais intervenir.

    L’enquête préliminaire, déclenchée par le parquet à la suite d’une première plainte, a conforté les graves accusations de M. Duménil. Cependant, les enquêteurs se sont heurtés au mur du secret-défense, incitant le parquet à classer la procédure sans suite, en novembre 2016. M. Duménil s’est donc constitué partie civile, par l’intermédiaire de son avocat Me Nicolas Huc-Morel, afin d’obtenir la désignation d’un juge d’instruction.

    « Celui qui me parlait m’a répondu : “Je suis l’Etat” »

    Cette histoire rocambolesque débute le samedi 12 mars 2016 au terminal 2F de l’aéroport de Roissy. A la tête d’un groupe international employant 1 600 personnes et œuvrant aussi bien dans le prêt-à-porter de luxe que l’immobilier ou l’aéronautique, Alain Duménil, qui s’apprête à s’envoler pour Genève en compagnie d’une amie avocate, est intercepté sur la passerelle par deux hommes de la Police aux frontières (PAF). Les deux policiers lui affirment qu’il a été victime d’une usurpation d’identité et le prient de le suivre. M. Duménil s’exécute mais, une fois dans les locaux de la PAF, il se voit contraint d’attendre dans une pièce l’arrivée de deux personnes supposées lui expliquer la vraie raison de son interpellation.

    Stupéfait, l’homme d’affaires, qui va manquer son vol, voit surgir deux hommes en civil, armés, disant être mandatés par « l’Etat français ». Selon son récit aux enquêteurs, l’un des deux hommes se positionne devant la porte afin de l’empêcher de s’enfuir tandis que l’autre lui lance : « Attention, tout ce que je vais déclarer, il ne faut en parler à personne, pas même à la personne qui vous accompagne. » Et l’inconnu de poursuivre : « En 2003, vous avez volé l’Etat de 13 millions, ce qui fait aujourd’hui, avec les intérêts, 15 millions. Il faut nous les rendre et je vais vous donner la procédure à suivre. » Et l’homme de livrer le nom d’un avocat à qui l’argent devra être versé.

    La suite, M. Duménil l’a racontée le 25 mars 2016 aux policiers de l’Inspection générale de la police nationale, la police des polices, saisie par le parquet de Bobigny : « J’étais sous le choc, mais je leur ai demandé de décliner leurs identités et celui qui me parlait m’a répondu : “Je suis l’Etat”. » Selon M. Duménil, le duo lui fixe le 29 mars 2016 « comme date limite pour la remise des fonds ». Puis, l’un des deux hommes lui aurait fait comprendre ce qui risquait de lui arriver s’il ne payait pas. « Il s’est montré très menaçant, parlant de me retrouver en chaise roulante, voire plus… Il s’agit clairement de menaces concernant mon intégrité physique. Il a ensuite affirmé qu’ils avaient fait un maillage autour de moi en France et à l’étranger. »

    Joignant le geste à la parole, les deux hommes montrent à M. Duménil des photos de lui sortant de ses bureaux, mais aussi de sa femme, de l’une de ses filles, de certains de ses collègues… Tout indique qu’il a été suivi. « En montrant ces photos, ils voulaient me faire comprendre qu’ils pouvaient également s’en prendre à n’importe laquelle de ces personnes », estime M. Duménil. Bien décidé à ne pas se laisser faire, ce dernier proteste et indique qu’il va dénoncer les faits à la justice : « Dès que j’ai prononcé le mot “procureur de la République”, ils ont quitté sans un mot et d’un pas rapide la pièce. »

    Recours à la manière forte

    Finalement libéré, M. Duménil s’empresse de déposer plainte au parquet de Bobigny, qui confie une enquête à l’IGPN. La police des polices découvre qu’un litige financier oppose, depuis des années, M. Duménil aux services secrets. La DGSE, pour financer ses missions clandestines, place discrètement des fonds dans diverses structures. C’est dans ce cadre qu’elle a perdu, au début des années 2000, plusieurs dizaines de millions d’euros dans des placements effectués par une société dont M. Duménil est ensuite devenu le propriétaire, fin 2002.

    Une procédure a d’ailleurs été ouverte devant le tribunal de commerce de Paris qui, en octobre 2016, a débouté les actionnaires représentants la DGSE. Une enquête pénale visant les mêmes faits, conduite par une juge parisienne, a entraîné la mise en examen pour « banqueroute », fin 2016, de M. Duménil. Ce dernier a également quelques démêlés avec l’Autorité des marchés financiers et le fisc helvétique.

    La DGSE aurait-elle eu recours à la manière forte afin de récupérer son « trésor de guerre » ? L’hypothèse est aujourd’hui privilégiée par la justice, dont les investigations ont corroboré une grande partie des déclarations de l’homme d’affaires. Adjoint du chef de la division de l’immigration à la PAF, Simon Bourragué a ainsi confié à l’IGPN : « On m’a dit qu’il fallait conduire M. Duménil d’un point A, à la porte de l’avion, à un point B, un bureau dans lequel il allait rencontrer des personnes de la DGSE. »

    Les enregistrements de vidéosurveillance ont été détruits

    Le directeur de la PAF de Roissy, Patrice Bonhaume, a été encore plus explicite : « J’ai été approché par des sous-officiers de la DGSE (…). La DGSE m’a présenté le cas de ce passager, M. Alain Duménil, comme étant d’une importance capitale pour eux. On m’a précisé que cette affaire était suivie au plus haut niveau de l’Etat et notamment des services du premier ministre [à l’époque Manuel Valls]. »

    Les policiers ont tenté d’identifier les deux hommes venus interroger M. Duménil le 12 mars 2016, mais curieusement, les enregistrements de vidéosurveillance ont été détruits dès le 22 mars, soit le jour même où l’IGPN en réclamait la communication !

    Restait donc aux enquêteurs à recueillir les explications des services secrets. Las, sollicité par la directrice de l’IGPN, Marie-France Monéger-Guyomarc’h, le directeur général de la DGSE a opposé une fin de non-recevoir… qui vaut pour partie confirmation. Le 6 juillet 2016, dans une très courte lettre estampillée « secret-défense » à laquelle Le Monde a eu accès, le directeur général de la DGSE, Bernard Bajolet, a indiqué ceci à la patronne de la police des polices : « Le 12 mars 2016, à l’aéroport Roissy-Charles-de-Gaulle, le service a mené un entretien avec M. Alain Duménil. Cet entretien s’inscrit dans le cadre des missions du service relevant du secret de la défense nationale. »

    La DGSE reconnaît donc son implication dans le dossier mais se réfugie derrière le secret-défense, dont M. Duménil espère pouvoir obtenir la levée lorsqu’un juge d’instruction aura été désigné.

  • Jean-Luc Mélenchon : « L’écologie est une géopolitique en faveur de la paix »
    https://reporterre.net/Jean-Luc-Melenchon-L-ecologie-est-une-geopolitique-en-faveur-de-la-paix

    Jean-Luc Mélenchon a surpris en plaçant ses voeux pour 2017 sous le signe de la paix et de la Politique étrangère. Il définit une géopolitique découlant de l’autonomie énergétique, qui permettrait de ne plus mener de guerres lointaines pour le pétrole, le gaz et l’uranium . Lors de la présentation de ses voeux à la presse et à une centaine de militants, à Paris, le 5 janvier, Jean-Luc Mélenchon a surpris en axant son discours sur la politique étrangère. « Je veux dédier ce que j’ai à dire ce soir à la cause la plus large, la plus urgente, la plus aiguë : la paix ». Car dans l’ambiance internationale tendue qui s’instaure, « on parle de la guerre, mais pas la paix » (...)

    #Politique

    http://filiu.blog.lemonde.fr/2017/01/06/comment-m-melenchon-nie-le-peuple-de-syrie-et-ses-droits
    https://documents-dds-ny.un.org/doc/UNDOC/GEN/N17/000/41/PDF/N1700041.pdf
    https://twitter.com/JLMelenchon/status/817777153295216642

    http://zinc.mondediplo.net/messages/47214 via Reporterre

  • Manuel Valls affirme que le 49.3 lui a été « imposé » (L’Emission politique)
    https://www.crashdebug.fr/actualites-france/12969-manuel-valls-affirme-que-le-49-3-lui-a-ete-impose-l-emission-politi

    Oui mais imposé par qui ? les frondeurs vraiment ?ou l’Union Européenne ? (Informations complémentaires)

    Comme le résume Voltigeur : Menteur, cynique et enfumeur...

    Aussi n’hésitez pas à visionner la vidéo ci dessous ainsi que l’interview de Philippe Pascot qui à travaillé des années avec lui...

    Amicalement,

    f.

    Invité ce jeudi soir sur France 2, l’ancien Premier ministre a justifié l’usage du 49.3 à six reprises au cours de son passage à Matignon. Il estime que la responsabilité est à chercher du côté des frondeurs.

    Depuis le début de sa campagne, Manuel Valls a appris à jongler. Il entend se placer dans "la continuité" du quinquennat tout en essayant de s’en départir. Il doit défendre des mesures encore très impopulaires et se maintenir en tant que "favori" (...)

    #En_vedette #Actualités_françaises

  • Sylvia Pinel sera la femme de service de la gauche dyslexique
    http://www.lemonde.fr/politique/article/2016/12/14/sylvia-pinel-presidente-du-parti-radical-de-gauche-participera-finalement-a-

    Diplômée en droit, cette élue de 39 ans était ministre de François Hollande jusqu’en février 2016 ; après le portefeuille de l’artisanat, du commerce et du tourisme qu’elle avait occupé de 2012 à 2014, avait ensuite été nommée femme alibi de parité au ministère du logement, en remplacement de Cécile Duflot, démissionnaire après l’arrivée de Manuel Valls à Matignon.

    Proche de Jean-Michel Baylet, élu lui aussi dans le Tarn-et-Garonne, elle lui avait succédé à la présidence du PRG quand celui-ci entrait au gouvernement comme ministre de l’aménagement du territoire, en février 2016, au moment où elle en sortait.

    Sur Jean-Michel Baylet il est accusé par Isabelle Attard de graves violences contre une ex-collaboratrice. Il a bénéficié d’un non lieu à l’époque.
    http://www.marianne.net/sexisme-assemblee-collaboratrices-temoignent-denoncent-100247163.html

  • #Revue_de_Presse du jour comprenant l’actualité nationale et internationale de ce mercredi 7 décembre 2016
    https://www.crashdebug.fr/revue-de-presse/12775-revue-de-presse-du-jour-comprenant-l-actualite-nationale-et-interna

    https://www.crashdebug.fr/images/stories/addons/images/Images+globales/2015/decembre/revue_de_presse_02_12_2015.png

    Bonjour, Mercredi 7 décembre, le compte à rebours est entamé. Ce matin, quelques news importantes mais rien de sensationnel. La seule nouvelle qui sorte de l’ordinaire, c’est qu’aujourd’hui, Crashdebug.fr a sept ans ! Et affiche fièrement 11.789 articles au compteur, ce qui fait une moyenne de 4,61 articles par jour.

    Bref, faut-il que l’on aime notre pays et nos compatriotes pour avoir tant de suite dans les idées, et espérer que vous en viendrez aux mêmes conclusions que nous.

    Amitiés

    f.

    Actualités françaises :

    07.12.2016

    Jacques Sapir : « La crise européenne profitera massivement à Jean-Luc Mélenchon et à Marine Le Pen » (Olivier Demeulenaere)

    Bernard Cazeneuve remplace Manuel Valls à Matignon (L’Humanité.fr)

    Les tarifs bancaires vont encore augmenter en 2017... (...)

    #En_vedette

  • La Cour de cassation placée « sous le contrôle direct du gouvernement » ? - Le Point
    http://www.lepoint.fr/justice/la-cour-de-cassation-placee-sous-le-controle-direct-du-gouvernement-07-12-20

    Ils mettent en cause un décret du 5 décembre 2016, réformant « l’inspection générale des services judiciaires », en d’autres termes le contrôle par l’exécutif des juridictions judiciaires. Alors qu’auparavant ce contrôle se limitait aux juridictions « du premier et du second degré », en clair les tribunaux de grande instance et les cours d’appel, le décret du 5 décembre supprime cette précision, faisant de facto entrer la Cour de cassation dans le champ de l’exécutif. Or, jusqu’ici, la plus haute juridiction française se contrôle elle-même, faisant une fois par an un rapport sur son fonctionnement à l’occasion de sa rentrée solennelle.

  • Hollande nomme Cazeneuve, raide et fidèle, à #Matignon
    https://www.mediapart.fr/journal/france/061216/hollande-nomme-cazeneuve-raide-et-fidele-matignon

    Bernard Cazeneuve en 2013 © Reuters Comme Manuel Valls, il passe de Beauvau à Matignon, la loyauté à François Hollande en plus. Le président sortant a fait le choix d’un fidèle qui porte le bilan du quinquennat sur la lutte antiterroriste et la limitation des libertés publiques, mais aussi la tache de la mort de Rémi Fraisse.

    #France #Bernard_Cazeneuve #ministre_de_l'Intérieur #Premier_ministre #remaniement

  • Un nouveau plan #Vigipirate entre en vigueur - Localtis.info - Caisse des Dépôts
    http://www.localtis.info/cs/ContentServer?pagename=Localtis/LOCActu/ArticleActualite&jid=1250271865728&cid=1250271860763

    Ce dispositif, qui donne les consignes aux divers organes de l’Etat, s’articule désormais en trois niveaux et propose un total de 300 mesures, selon un document public établi par le Secrétariat général à la Défense nationale (SGDSN), un organe dépendant de Matignon ayant chapeauté cette révision décidée il y a plusieurs mois.

  • L’affluence aux urnes, les faibles scores des « candidats du renouveau » et l’émergence de François Fillon sont autant de difficultés pour le fondateur d’En marche. — Libération
    http://www.liberation.fr/france/2016/11/22/la-primaire-de-droite-bouscule-emmanuel-macron_1530069

    A l’inverse, avec Fillon, Macron risque de perdre l’oreille d’un patronat que son profil libéral avait séduit. Car l’ancien locataire de Matignon est son candidat naturel. Qu’il soit soutenu par Sens commun, émanation de la Manif pour tous, n’y change rien. Les réformes radicales que préconise l’ancien Premier ministre sont celles que les patrons appellent de leurs vœux depuis dix ans, de l’allégement massif des charges des entreprises à la fin des 35 heures, en passant par la suppression de l’ISF…

    Dès 2013, celui qui était alors PDG d’Axa (actuellement président de l’Institut Montaigne), Henri de Castries, et le patron de Fimalac, Marc Ladreit de Lacharrière, tous deux proches de Fillon, avaient commencé à populariser ses thèses auprès de leurs pairs en quête d’une « alternative à Sarkozy ». Avec succès. Jusqu’aux adhérents de Croissance Plus, le lobby des start-up, qui se disaient séduits. Fillon en perdition dans les sondages, l’establishment avait fait mine de se reporter sur Juppé. L’entrée en scène de Macron avait été néanmoins regardée avec beaucoup d’intérêt. Fervent partisan de la politique de l’offre, l’ex-ministre de l’Economie est lui aussi sensible au sort des entreprises et croit à la nécessité de restaurer la compétitivité. Comme Fillon, il prône des réformes musclées pour flexibiliser le travail, alléger les charges des entreprises, « libérer les énergies » des entrepreneurs… Vite séduits, nombre de dirigeants ne lui mégotaient plus un soutien discret mais efficace.

    Le retour de Fillon sur le devant de la scène pourrait refroidir leurs ardeurs. Et limiter à leurs yeux l’intérêt d’aider (y compris financièrement) l’aventure élyséenne de son cadet en politique, « ni de gauche ni de droite ». Or pour mener à bien sa campagne, le fondateur d’En marche doit encore réunir plusieurs millions d’euros…

  • Après la candidature Macron, Hollande perd un peu plus pied
    https://www.mediapart.fr/journal/france/161116/apres-la-candidature-macron-hollande-perd-un-peu-plus-pied

    François Hollande, #Manuel_Valls et #Emmanuel_Macron lorsque ce dernier était encore ministre. © Reuters L’Élysée minimise l’événement, Matignon joue sur le manque d’expérience de l’ancien ministre, tout comme les autres candidats, le #PS est « embêté », les députés sont dépités.

    #France #Assemblée_nationale #En_Marche_ ! #François_Hollande #primaire

  • Notre-Dame-des-Landes : Valls repousse l’échéance des travaux - Libération
    http://www.liberation.fr/france/2016/10/17/notre-dame-des-landes-valls-repousse-l-echeance-des-travaux_1522532

    Mais le Premier ministre a aussi dit « partager » avec Ségolène Royal une « préoccupation, qui est celle d’éviter toutes les violences ». « Donc maintenant, les choses doivent se faire, mais encore une fois, avec méthode, avec la volonté d’éviter la violence », a-t-il poursuivi, sans évoquer de calendrier précis pour cette opération d’évacuation qui devra mobiliser au moins 2 000 CRS et gendarmes mobiles.

    Des déclarations assez éloignées de celles qu’il avait pu tenir la semaine passée lors d’un déjeuner à Matignon avec quelques journalistes, quand il avait répété que l’évacuation était « pour cet automne ». Pour lui, « si ça ne se fait pas avant mars, ça ne se fera jamais ».

    Désormais, tout comme l’Elysée, Manuel Valls évoque une échéance plus lointaine : « Personne ne doit en douter, les travaux devront commencer, c’est prévu pas avant la fin 2017-2018. » De quoi éviter de se lancer dans un dossier truffé d’embûches à quelques mois d’une élection présidentielle.

    #NDDL

  • Evasion fiscale : comment le gouvernement a (encore) bloqué un amendement décisif…
    https://www.crashdebug.fr/actualites-france/12430-evasion-fiscale-comment-le-gouvernement-a-encore-bloque-un-amendeme

    L’Elysée et Matignon ont réussi à empêcher une mesure phare de la lutte contre l’évasion fiscale des entreprises. C’était pourtant l’objectif annoncé de la loi Sapin 2.

    Une loi contre « la corruption » et pour « la transparence de la vie économique ». Quelles étaient belles les promesses de la « loi Sapin 2 » ! A l’arrivée, la déception est d’autant plus cruelle. Certes, certaines dispositions – améliorant la protection des lanceurs d’alerte notamment – constituent des avancées. Mais après son passage en deuxième lecture à l’Assemblée nationale, jeudi dernier, le texte adopté referme la porte, et pour longtemps, d’une vraie réforme pour lutter contre l’évasion fiscale des grandes entreprises – estimée, rappelons-le, à 60 milliards d’euros par an. « On savait tous que c’était la dernière chance de faire (...)

  • Fernand Lopez Owonyebe, le coach qui façonne l’élite tricolore du MMA en attendant sa légalisation
    http://www.liberation.fr/sports/2016/09/26/fernand-lopez-owonyebe-zero-tracas_1511247

    (…) son plus beau coup hors de la cage, il y a un an. Avec deux associés et l’aide d’une avocate, il dépose en préfecture un épais dossier pour organiser un gala - cage incluse - dans l’enceinte du Cirque d’hiver. Coup de poker : soit l’administration bloque et la fine équipe va au tribunal plaider sa cause, soit la demande passe inaperçue et l’événement a lieu, sachant que, depuis 2014, tout silence de l’administration vaut accord. C’est la deuxième option qui se produit. Salle comble, aucun débordement. « Roulé dans la farine », Thierry Braillard fulmine. Lopez assume : « On a suivi la loi. Cet événement, ce n’était pas du business. On a perdu presque 50 000 euros. C’était un acte politique. » Jurisprudence est faite. Matignon commande une mission parlementaire pour clarifier l’embrouille. Finalement, la stratégie de Lopez s’avère gagnante : les deux députés missionnés prônent désormais la légalisation du #MMA dans un rapport qui sera rendu public mi-octobre.

    Lopez est loin d’être le nervi bas du front dont rêveraient ses détracteurs. Formé à l’Institut national du sport, de l’expertise et de la performance (Insep) et titulaire de quatre diplômes d’Etat dans autant de sports de combat, cet ingénieur en électrotechnique intellectualise la castagne quitte à se lancer dans un exposé sur le « continuum stable-instable », jusqu’à amener la conversation à un stade d’abstraction où une droite dans les gencives sonne comme la solution à une équation mathématique. Peut-être l’héritage de deux parents profs.

    #violence #sport_de_combat #idées #art_martial

    • On est allé “rêver plus grand” à la MMA Factory, la Mecque française du free fight
      http://www.telerama.fr/sortir/on-est-alle-rever-plus-grand-a-la-mma-factory,-la-mecque-francaise-du-free-

      La France est en effet le seul pays avec la Norvège à continuer d’interdire les compétitions de MMA. Et ce malgré près de 50000 pratiquants dans l’hexagone. Le blocage provient principalement de la possibilité qu’un combattant a de frapper son adversaire lorsque celui-ci se retrouve par terre. Les aficionados de la discipline répliquent que dans certaines situations, l’un des deux combattants a un réel intérêt tactique à amener le combat au sol.

      De rapports parlementaires en débats médiatisés, les deux parties ferraillent depuis plusieurs années sans réussir à trouver une issue. Du coup, les professionnels français s’entrainent ici mais combattent à l’étranger. « C’est une question de décision politique » tranche Lopez sur ce sujet brûlant. D’aucuns espèrent que le feu vert de la légalisation soit donné par l’actuelle ministre des sports. Contrairement à ses prédécesseurs, Laura Flessel connaît en effet la discipline pour l’avoir pratiquée alors qu’elle était encore escrimeuse. Reste que la candidature de Paris pour les Jeux Olympiques 2024 a visiblement ralenti l’avancée du dossier.

  • Réjane Sénac : « On dépolitise la lutte contre les discriminations » - Libération
    http://www.liberation.fr/france/2016/09/21/rejane-senac-on-depolitise-la-lutte-contre-les-discriminations_1504183

    Les montants sont vertigineux : la réduction des #discriminations sur le marché du travail permettrait à l’économie de gagner entre 80 et 310 milliards d’euros, selon un rapport de France Stratégie, organisme rattaché à Matignon, publié mardi. « Les discriminations freinent, voire bloquent, l’insertion sur le marché du travail d’une partie de la population en âge de travailler. Elles coûtent donc à l’économie en général et aux entreprises en particulier », qui ont intérêt « à recruter des individus de catégories discriminées à des postes de responsabilité », soulignent les auteurs.

    Ces conclusions, qui semblent en apparence donner raison au combat contre les discriminations, risquent pourtant de faire oublier que c’est avant tout pour des raisons #politiques et #juridiques qu’il faut lutter contre elles. Chercheuse CNRS au Centre de recherches politiques de Sciences Po-CEVIPOF, Réjane Sénac, auteure de L’égalité sous condition (Presses de Sciences Po) et d’un texte remarqué publié en janvier sur le site de l’Observatoire des #inégalités, pointe le « double risque » que présentent les rapports de ce genre.

  • Manuel Valls évoque l’instauration d’un revenu universel
    http://www.lefigaro.fr/conjoncture/2016/09/16/20002-20160916ARTFIG00005-manuel-valls-reparle-du-revenu-universel.php

    Le premier ministre voudrait fusionner les minima sociaux.

    Le premier ministre a ressorti, ce jeudi, l’idée de fusionner les #minima_sociaux pour instaurer un « #revenu_universel » à la française. Et ainsi imiter la Finlande, qui pourrait devenir en 2017 le premier pays au monde à tester ce dispositif. Il faut dire que l’idée fait son chemin dans la réflexion de de plus en plus de politiques. Au premier rang desquels figure donc le chef du gouvernement, qui n’en est pas à sa première sortie du genre. Lors d’un discours d’hommage à Michel Rocard, qui avait créé le RMI et la CMU lors de son passage à Matignon, entre 1988 et 1991, Manuel Valls a expliqué qu’il pourrait s’agir d’« une seule aide qui fusionnerait la plupart des minima sociaux existants, ouverte à tous, y compris aux moins de 25 ans ». Sans entrer plus dans les détails, si ce n’est de dire qu’un tel chantier serait « un grand projet pour la gauche » car « il y a des champs, dans la réduction des inégalités, que nous devons être capables d’explorer ».

  • Un Français et l’Empire
    http://survie.org/billets-d-afrique/2016/259-juillet-aout-2016/article/un-francais-et-l-empire-5131

    La disparition de l’homme politique et ancien Premier ministre #Michel_Rocard nous amène à revisiter ce que fut son rapport à l’empire colonial français. Tout le monde a porté au crédit de Michel Rocard la conclusion des accords de Matignon en 1988 qui mirent un terme à quatre années de graves troubles en Nouvelle Calédonie. C’est oublier que ces accords, obtenus grâce à l’acceptation par le leader indépendantiste Jean-Marie Djibaou de renvoyer la décision à dix ans plus tard, ce qu’il paya de son (...)

    #259_-_juillet-août_2016

    / Bolloré, #Migrations, #Salves, Nouvelle-Calédonie , Michel Rocard

    #Bolloré #Nouvelle-Calédonie_

  • FRANCE DE LA FAILLITE : pendant les vacances, nouvelle taxe foncière
    http://www.brujitafr.fr/2016/07/france-de-la-faillite-pendant-les-vacances-nouvelle-taxe-fonciere.html

    Matignon valide une nouvelle taxe foncière Bientôt une nouvelle taxe sur le foncier bâti Matignon a validé le 27 juin en catimini une nouvelle taxe qui devrait augmenter les impôts fonciers des particuliers dès 2017. L’UNPI dénonce une « mesure confiscatoire...

  • MDR : Canular bien réussi : la démission de Valls, annoncée par un faux Figaro GloupGloup ! RTBF 6 Juillet 12h46

    Il y avait le Gorafi, voici le www-lefigaro.com : ce mercredi matin, ce site copiant assez bien celui du Figaro annonçait que François Hollande renonçait à la loi travail et que Manuel Valls démissionnait dans la foulée.
    L’article est une page unique, encore visible http://www-lefigaro.com/politique/2016-07-06/hollande-retire-la-loi-travail.html à l’heure d’écrire ces lignes, munies de liens vers le vrai site du Figaro, rédigée dans un style qui pourrait être celui du quotidien français avec une mise en page semblable, la possibilité de laisser des commentaires et surtout de partager ce "fake".
    Nombreux sont ceux à s’être fait attraper malgré les commentaires mettant justement en garde, et qui reconnaissent que le faux est bien ficelé et surtout se demandent comme nous à qui profite le crime.
    On est loin de la grosse rigolade du Gorafi. 

    Source : http://www.rtbf.be/info/medias/detail_canular-bien-reuissi-la-demission-de-valls-annoncee-par-un-faux-figaro?i

    FLASH ACTU, LE FAUX ARTICLE : François Hollande renonce à la loi travail. Manuel Valls démissionne dans la foulée. Par Le Scan politique Publié le 06/07/2016 à 08:52

    Coup de tonnerre à L’Élysée : François Hollande annonce par communiqué, ce mercredi matin, le retrait du projet de loi travail. Manuel Valls, dans la foulée, dépose sa démission. Analyse.

    C’est un retournement tout à fait inattendu dans l’épopée de la loi travail : François Hollande annonce le retrait total du projet de loi par un communiqué de presse. Il s’exprimera ce soir sur France 2, devant les français, pour expliquer cette décision.
    Dans la foulée, Matignon a publié la démission de Manuel Valls, conformément aux menaces qu’il avait proféré en mars dernier.

    Analyse
    Impossible de ne pas lire, dans ce coup d’éclat, une manœuvre politicienne du chef de l’état, lui permettant d’endiguer sa chute de popularité, avant l’élection de 2017.

    Loi travail : Ultime trahison pour les électeurs de gauche
    Ce projet de loi, dès son annonce, avait soulevé une vague de protestations sans précédent :
    • 74% d’opinion contre la loi travail
    • Une pétition historique, ayant récoltée 1.3 millions de signatures en moins de deux semaines, soit 13 fois le seuil requis pour le déclenchement d’un référendum d’initiative citoyenne en Suisse
    • Un mouvement social de fond avec la tenue des Nuit Debout dans toutes les grandes villes de France, pendant plus de deux mois.
    • L’absence de majorité parlementaire sur ce texte, ayant nécessité un passage en force, par 49-3, avant même le début des débats.
    • Une fronde au sein même de la majorité, allant jusqu’à déposer une motion de censure contre le gouvernement
    • Des manifestations massives pendant plus de deux mois, sans affaiblissement
    • Des grèves et des blocages soutenus, partout en France.

    La loi travail venait surtout conclure un mandat présidentiel de reniements politiques : Entre le cadeau fiscal de 40 milliards au MEDEF, l’enterrement définitif de la taxe sur les très hauts revenus, ou encore le blocage de la loi sur la transparence fiscale, les électeurs de François Hollande ne cessaient de fustiger un “social-traître” et un faux “ennemi de la finance“.
    Cette trahison politique, conjuguée à des résultats économiques catastrophiques (chômage, précarité, …) aura achevé de plonger François Hollande dans des abîmes d’impopularité, le faisant battre le triste record de président le plus impopulaire de la 5e république.
    La position du gouvernement n’était donc plus tenable.

    Hollande anticipe la censure du gouvernement
    Après son passage au sénat, ayant tiré le texte encore plus à droite, et le nouveau 49-3 annoncé hier par Manuel Valls ; une nouvelle motion de censure avait cette fois toutes les chances de passer et de provoquer la dissolution du gouvernement, et le blocage de la loi.
    En retirant lui même la loi travail, François Hollande coupe ainsi l’herbe sous le pied des frondeurs, fait tomber Manuel Valls, et permet de désamorcer la spirale d’impopularité dans laquelle il s’est engluée. Stratégiquement, c’est un sans faute.
    Il est pourtant difficile d’imaginer que ce revirement de dernière minute suffira à effacer, dans l’imaginaire des électeurs de gauche, la parjure de ses promesses électorales.

    Fer de lance de la doctrine libérale européenne
    Il est difficile de comprendre l’opportunité de ce projet de loi, qui constituait un vrai suicide politique pour François Hollande (et ne figurait pas dans son programme) sans s’intéresser au rôle de l’Union Européenne.
    La loi travail découle en effet des « Grandes orientations de politique économique » (GOPÉ).
    L’union Européenne le reconnait :
    “Pour Jean-Claude Juncker, il se trouve que « la réforme du droit du travail voulue et imposée par le gouvernement Valls est le minimum de ce qu’il faut faire ». Le minimum seulement.”
    La loi travail, en dérégulant le marché de l’emploi, s’inscrit en effet dans la doctrine de la troïka : libre échange, libéralisation, et concurrence acharnée entre les états, avec suppression progressive des protections sociales.
    Il est intéressant de faire le parallèle avec l’accord de libre échange entre l’EU et l’Ukraine, rentré discrètement en vigueur au 1er janvier 2016 ; et de rappeler que le salaire médian Ukrainien est de 1/3 inférieur au salaire chinois.
    Ainsi donc, la technocratie européenne s’affaire, d’une main, à mettre en concurrence frontale les peuples européens avec des états sans réelle protection sociale, et de l’autre, à exiger la destruction de ces acquis sociaux au nom de la “compétitivité”.

    Les TPE / PME oubliées
    Alors que le MEDEF, pourtant omniprésent dans les médias, peine à démontrer sa représentativité auprès des TPE/PME
    des voix dissidentes n’ont pas tardé à s’élever au sein d’autres organisations patronales (l’UNAPL, l’UPA et l’UDES) pour réclamer le retrait de la loi travail
    Trois organisations patronales - l’UNAPL, l’UPA et l’UDES - lancent une campagne pour demander le retrait de la loi El Khomri. Ils lui reprochent de modifier les règles de la représentativité patronale, en privilégiant les grands groupes au détriment des TPE-PME. »

    La loi travail correspond essentiellement aux aspirations du MEDEF, mais pas à celles des petits patrons : Ceux ci réclament depuis longtemps, davantage qu’une flexibilité de l’emploi, une réforme de la fiscalité professionnelle qui bénéficie aujourd’hui largement aux grands groupes, au détriment des petites entreprises.

    De nombreux patrons, à l’instar de Antony Gratacos, dénoncent surtout une loi sapant les principes même de la concurrence, en permettant à chaque entreprise de jouer selon ses propres règles, et en encourageant la course au moins-disant social.

    Un bon patron parle de la loi travail : https://www.youtube.com/watch?v=JGvhMzg7ODA

    Rappelons que MEDEF avait obtenu en 2012 un cadeau fiscal de 40 milliards d’Euros. Le CICE, loin de créer le million d’emploi promis a surtout permis des augmentations de capital, dont un enrichissement personnel de Pierre Gattaz, président du MEDEF.

    Manuel Valls, un fusible politique
    Depuis sa nomination en mars 2014, Manuel Valls aura été le “bras droite” de François Hollande. En installant comme premier ministre un homme impopulaire et illégitime (5% aux primaires socialistes), François Hollande aura réussi un double tour de force :
    • Faire appliquer une politique de droite (libérale et sécuritaire), diamétralement opposée à toutes ses promesses de campagne, mais conforme aux attentes de Bruxelles et du MEDEF.
    • Se cacher derrière un bouc émissaire autoritaire, véritable paratonnerre politique, cristallisant toutes les foudres populaires.
    Déchéance de nationalité, Etat d’urgence permanent, 49-3, … : Pendant son mandat, Manuel Valls n’aura pas eu d’autres choix que de céder à une dérive autoritaire : l’autorité de l’illégitimité.
    Sa démission n’est pas une surprise : elle est la réponse à un véritable désaveux du chef de l’état, et correspond à une menace qu’il avait évoqué en mars dernier

    Le FN absent ; un sursaut de la gauche citoyenne
    Fort heureusement, le FN ne semble pas avoir profité du jeu de pyromane auquel l’exécutif s’est livré ces derniers mois.
    Plus à l’aise dans les diatribes anti-système que dans la défense effective des intérêts de la classe ouvrière, le FN s’est en effet perdu dans une cacophonie politique, ne sachant plus s’il fallait draguer son aile droite, sous des injonctions sécuritaires et libérales, ou son aile ouvrière, dans une critique de la casse du droit du travail. Cette confusion se sera peu à peu transformée en silence médiatique, révélateur d’un profond malaise interne, et d’une incapacité à accompagner les luttes sociales.
    A contraire, entre le phénomène Merci Patron, les Nuit Debout dans toute la France et le succès des youtubeurs de gauche (Oson Causer, Bonjour Tristesse, Usul, …) on assiste à une véritable renaissance de la gauche française. C’est bien l’électrochoc provoqué par la loi travail, fer de lance de la “social-démocratie”, qui aura permis aux français de se réapproprier l’espace politique, via des mouvements citoyens et a-partisans, pour réaffirmer la défense de leur modèle social et l’exigence d’une vraie démocratie.
    Avec le retrait de la loi travail, nous assistons donc aujourd’hui à une victoire majeure de la volonté populaire face aux injonctions libérales, et à l’affirmation de nouvelles forces politiques, qui ne manqueront pas d’influencer radicalement la campagne présidentielle à venir.

    La suite
    François Hollande s’exprimera ce soir sur France 2 pour expliquer ce renoncement, et clarifier la suite des événements.
    Après la démission de Manuel Valls, le président doit maintenant nommer un nouveau premier ministre, qui constituera à son tour un nouveau gouvernement.
    François Hollande dispose d’une semaine pour faire son choix : Gageons qu’il optera pour un homme de gauche, afin de flatter son électorat et préparer le terrain pour la campagne de 2017.

    Source de ce faux : http://www-lefigaro.com/politique/2016-07-06/hollande-retire-la-loi-travail.html

  • Israël soupçonné d’avoir espionné le téléphone de Manuel Valls
    Par Emmanuel Paquette, publié le 05/07/2016
    http://www.lexpress.fr/actualite/politique/israel-soupconne-d-avoir-espionne-le-telephone-de-manuel-valls_1809369.html

    Un voyage risqué. Lorsque Manuel Valls se rend, du 21 au 24 mai 2016, en Israël, il se veut porteur d’un message de réconciliation pour relancer le processus de paix avec la Palestine. Mais « l’ami d’Israël », comme aime à se présenter le Premier ministre, ne devait pas s’attendre à un tel accueil : son entourage et lui ont dû laisser leurs téléphones sécurisés avant d’être reçus en haut lieu. En les reprenant, la délégation a eu la mauvaise surprise de constater que plusieurs d’entre eux présentaient des signes « d’anomalie ».
    (...)
    Matignon reconnaît qu’un portable est bien tombé en panne durant cette visite. L’entourage du chef du gouvernement ajoute que « l’enquête en cours fait partie de la procédure habituelle » et qu’un allié n’espionne jamais ses amis.

    PS (7/07/20016 - 16h30), cette réaction du bureau de Benyamin Netanyahu, le Premier ministre israélien : « Israël nie cette information. Israël considère la France comme un pays ami, lui transmet des renseignements en cas de nécessité, et ne l’espionne pas. »

  • Le #Sénat adopte sa version remaniée de la #loi_travail
    https://www.mediapart.fr/journal/france/280616/le-senat-adopte-sa-version-remaniee-de-la-loi-travail

    Le Sénat a adopté, mardi 28 juin, une version amplement modifiée de la loi travail. Malgré les dénégations du gouvernement, le texte de la #droite, majoritaire au palais du Luxembourg, ressemble furieusement à la première ébauche du projet concocté par Matignon fin février.

    #France #emploi #Les_Républicains #loi_El_Khomri #loi_sur_le_travail #LR #manifestation #social

  • Loi travail : Valls et El Khomri recevront syndicats et patronat mercredi et jeudi
    https://www.crashdebug.fr:443/actualites-france/11987-loi-travail-valls-et-el-khomri-recevront-syndicats-et-patronat-

    "Il ne s’agit pas de la réouverture d’un cycle de négociations", mais de "faire un point" avec chacun sur les accords et les désaccords, selon Matignon.

    Manuel Valls va recevoir mercredi et jeudi les organisations syndicales et patronales sur la loi Travail pour « faire le point », une ouverture qui intervient dans un climat tendu autour de ce texte décrié, et à la veille d’une nouvelle journée de mobilisation. Pour le Premier ministre, « il ne s’agit pas de la réouverture d’un cycle de négociations », mais de « faire un point » avec chacun sur les sujets d’accord et de désaccord, a expliqué un conseiller.

    Il s’agit aussi de « rassurer » sur le fait qu’il n’y a « pas de disparition programmée des branches professionnelles », de « redire la place (...)