city:mouton

  • Smart-City : Métro boulot, data ? | Radio Mouton
    https://cause-commune.fm/podcast/radio-mouton-5

    Jean Haëntjens, économiste et urbaniste, auteur de « Comment les géants du numérique veulent gouverner nos villes » (Edition Rue de l’échiquier) nous a apporté ses éclairages sur les Smart Cities : Définition et modèles de Smart Cities - La gouvernance par les algorithmes, de la cité politique à la cité algorithmique - Les limites des Smart cities. Un autre modèle de ville est-il possible ? Durée : 1h15. Source : Cause Commune

    https://cause-commune.fm/podcast-download/4813/radio-mouton-5.mp3

  • Sabra-Chatila – Opération Salami 1/2- Liban : « Opération Salami », non de code des massacres des camps palestiniens de Sabra-Chatila, en 1982, planifiés bien avant l’assassinat de Bachir Gemayel.
    http://www.renenaba.com/sabra-chatila-operation-salami-1-2

    Deux poncifs ont volé en éclat à la lecture des mémoires de l’universitaire libanais Georges Freyha, proche parent de Bachir Gemayel et l’un de ses plus proches collaborateurs durant la guerre civile libanaise (1975-1990).

    1 – L’invasion israélienne du Liban n’a pas été décidée en représailles à l’assassinat de l’ambassadeur israélien à Londres, Shlomo Argov, le 3 juin 1982, comme le proclame la fable israélienne. Bachir Gemayel, le chef militaire des milices chrétiennes, en avait fait l’annonce au président libanais Elias Sarkis, six mois auparavant, en janvier 1982, soit six mois avant le déclenchement de l’opération « Paix en Galilée ».

    2 -Les massacres des camps palestiniens de Sabra-Chatila ne sont pas intervenus en représailles à l’assassinat du président élu Bachir Gemayel, comme le soutient la légende phalangiste. Ils avaient été planifiés auparavant et discutés lors d’un entretien Bachir Gemayel-Ariel Sharon, à Bickfaya, la résidence estivale du clan Gemayel, le 12 septembre 1982, soit trois jours avant l’assassinat du président élu.

    3 – « L’Opération Salami », non du code choisi par Bachir Gemayel pour désigner l’éradication des camps palestiniens du Liban, fait référence au saucisson italien que l’on découpe habituellement en rondelles pour agrémenter les pizzas et autres mets exotiques. Outre leurs desseins, le choix de ce code révèle la grandeur d’âme des conjurés, de même que la rigueur morale des nombreux soutiens de ces deux criminels de guerre à titre posthume.

    Telle est du moins la substance de l’ouvrage de Georges Freyha « Souvenirs et mémoires avec Bachir » relatant le compagnonnage de cet universitaire libanais avec Bachir Gemayel, le chef militaire des milices chrétiennes, dont il a épousé la cousine.

    Une recension exhaustive de cet ouvrage a été réalisée par le politologue Assaad Abou Khalil dans le journal libanais sur ce lien pour le locuteur arabophone :
    http://www.al-akhbar.com/node/280955

    • le long billet de R. Nabaa a un statut peu clair : cite-t-il (en traduction ?) le texte de Freyha ? Est ce de la paraphrase ? En tout cas certains détails me paraissent tirés par les cheveux ou d’une expression très maladroite :

      Révélateur de l’état de servilité du clan Gemayel à l’égard du gargantuesque général israélien, le comportement de Solange Gemayel : En parfaite maîtresse de maison, la propre épouse de Bachir Gemayel s’est mise aux fourneaux pour mijoter les plats destinés à satisfaire la voracité du Général Sharon : le fameux mezzé libanais, en sus de plusieurs plats du terroir : Mouton farçi, Kibbé grillé, Kibbé au plat, et kneffé, la célèbre pâtisserie libanaise.

      Un spectacle ahurissant : L’épouse du président libanais faisant la cuisine à l’envahisseur de son pays, une séquence comparable dans son abjection aux collaborateurs français du nazisme, indice indiscutable d’une déliquescence morale, d’une défragmentation mentale et d’une dégénérescence civique.

      Il faut ne pas connaître le type de bourgeoisie que constitue la famille Gemayel pour penser que Solange Gemayel fait elle même la cuisine chez elle. Qu’elle dirige ses domestiques oui, mais qu’elle se mette aux fourneaux, prépare le mezzé, ou le mouton farçi... mish maoul, je n’y crois pas un instant. Ce n’est pas Mme Maigret...

    • @rumor : :-))

      En même temps, si Madame se contente de dire au maître d’hôtel : « vous nous préparerez le mouton comme d’habitude », tu as raison personne ne dirait qu’elle a « fait la cuisine ». Si elle est allée voir dans la cuisine comment ça se passe, alors « elle a fait la cuisine ». Si elle a micro-managé ses domestiques, dans ce milieu, je ne doute pas qu’elle puisse en suite considérer s’être « mise aux fourneaux » (de la même façon que, dans un restaurant, on n’ira pas vérifier si le grand chef a réellement touché l’assiette).

      Sur le statut du texte, je suis d’accord ce n’est pas clair. Ce n’est pas non plus une traduction du texte d’Abukhalil dans le Akhbar. À vue de nez, j’ai l’impression qu’il s’agit d’une recension, avec les commentaires typiques de Naba (par exemple les considérations sur la déchéance morale des phalangistes, ça me semble être très caractéristique de son cru).

  • La face cachée des cartes - Sciencesconf.org

    https://cartocachee2017.sciencesconf.org

    La thématique de « La face cachée des cartes » n’a guère été abordée si ce n’est par le biais des « mensonges » (Monmonier, 1991), de la propagande (Bord, 2003) ou du pouvoir des cartes (Harley, 1995).

    Mais il s’agit ici d’aller plus loin dans la réflexion. La carte est d’abord un objet à voir (Bertin, 1967), un instrument de communication (Jacob, 1992), une interprétation du monde qui témoigne de (des) vision(s) de son (ses) auteur(s), mais nombre d’opérations et de gestes participent à sa réalisation.

    Cette succession d’ajustements et de bricolages est bien souvent de l’ordre du « caché », volontairement ou non, c’est-à-dire de boîtes noires qui sont indispensables, certes, inévitables dans les étapes de la construction avec des choix multiples à opérer, mais qui restent encore peu explorées. C’est cette « partie cachée » de la représentation cartographique que l’on se propose de mettre à jour, d’expliciter et d’interroger. Il s’agira de mettre en lumière et contextualiser les choix cartographiques, conscients ou non, revendiqués, assumés ou occultés.

    A l’heure où le rôle des cartes ne cesse de croître dans un monde de communication et d’échanges instantanés, une approche critique de la cartographie et de ses usages, à travers ses acteurs, leurs relations passées et actuelles, le poids des héritages, peut s’avérer utile. Les inévitables distorsions entre réalités, faits géographiques et les cartes réalisées pour rendre compte de ces faits peuvent-elles être analysées comme des opérations de « traduction » et les cartes comme des « artefacts », voire comme des « acteurs » dans le sens donné à ces termes par Akrich, Callon, Latour (2006) ?

    Ces distorsions, matérialisées et territorialisées dans les cartes, peuvent répondre à des objectifs précis qui orientent alors les choix cartographiques en amont de la réalisation des cartes. Elles peuvent être liées à des contraintes techniques et matérielles ou se construire peu à peu en fonction des jeux d’acteurs et des contextes scientifiques, politiques, sociétaux. Mais ces distorsions, liées aux choix cartographiques, peuvent également en retour influencer les représentations que les différents acteurs (scientifiques, gestionnaires, élus, décideurs, grands organismes internationaux, ONG, opinions publiques…) se font du monde ou de tel ou tel phénomène cartographié. En cela, elles peuvent être amenées à peser sur des décisions scientifiques, politiques, sociétales ; accélérer ou ralentir des prises de conscience, faciliter ou non des processus d’instrumentalisation…

    Au-delà de la carte « traditionnelle » (sur supports papier ou numérique), on souhaite intégrer à la réflexion les représentations visuelles utilisées aujourd’hui couramment : Géoportails, images satellites avec Google par exemple, Système d’Information Géographique, etc. On peut ainsi interroger le développement de nouveaux outils ou interfaces cartographiques liés à de nouveaux usages (cartographies en temps réel pour gestionnaires de crise, cartographies inédites de certains territoires vécus, perçus…). Les nouvelles formes de cartes sont à relier aux nouvelles formes d’échanges (mondialisés, en temps réel, etc.) entre ceux qui les font, ceux qui les lisent et les voient, ceux qui les utilisent. Quelle articulation entre ces nouveaux outils, ces nouvelles pratiques et des difficultés anciennes toujours d’actualité, comme le passage d’une échelle à une autre, l’intégration et la structuration des données-source et des métadonnées, la qualité des données, la gestion de l’incertitude ?

    Akrich Madeleine, Callon Michel, Latour Bruno, « Sociologie de la traduction », Ed. Mines-ParisTech, 2006, 304 p.

    Bailly Antoine et Gould Peter, textes édités par, « Le pouvoir des cartes – Brian Harley et la cartographie », Paris : Economica, 1995, 120p.

    Bertin Jacques, « Sémiologie graphique : les diagrammes, les réseaux, les cartes », Paris/La Haye, Éd. Gauthier-Villars/Mouton, 1967, 431p. (La Sémiologie graphique a été écrite en 1965, publiée en 1967, rééditée en 1973, 3e édition en 1999, Paris, Les réimpressions des Éditions de l’École des hautes études en sciences sociales, 444 p. Ouvrage traduit en allemand, 1974, en anglais, 1983).

    Bord Jean-Paul, « Cartographie, géographie et propagande. De quelques cas dans l’Europe de l’après-guerre », Vingtième Siècle. Revue d’histoire, 4/2003 (no 80), p. 15-24.

    Jacob Christian, « L’empire des cartes – Approche théorique de la cartographie à travers l’histoire », Paris : Albin Michel, 1992, 537p.

    Monmonier Mark, « Comment faire mentir les cartes – Du mauvais usage de la géographie », University of Chicago Press, 1991 [Traduction française Paris : Flammarion, 1993, 233p.]

    #cartographie #propragande #manipulation

    • Montpellier, 18-19/12/2017 …

      il y a des choses alléchantes !
      extraits perso :

      l’intitulé de la 2ème session

      La carte dans l’illusion de scientificité et l’emprise de la technique

      et au hasard :-) dans les sujets de communication

      • Le triple jeu de l’officier-cartographe. Pricot de Sainte-Marie et la carte de la Régence de Tunis au XIXe siècle
      • La toponymie cartographique : une autre face cachée des cartes ? Le monde arabe en exemple
      • Découpages et recomposition(s) de l’espace au Moyen-Orient : quelles convergences entre les représentations cartographiques, les discours et les textes ?
      • La carte des aléas littoraux : Risque (naturel) de perte de sens d’une politique publique

      https://cartocachee2017.sciencesconf.org/data/pages/Programme_colloque_La_face_cachee_des_cartes.pdf

  • 26 mai à #Nantes : pénurie d’essence, autonomie et effervescence
    https://nantes.indymedia.org/articles/34767

    Partout en France, le #mouvement contre la « loi travail » et son monde trouve un second souffle. Des actions de blocages et de grèves menées par des milliers personnes, syndiquées ou non, se multiplient. Dès l’aube du 26 mai, un important barrage bloque l’aéroport de Nantes. Autour des barricades enflammées se retrouve une foule hétéroclite d’étudiants, de travailleurs, de ZADistes ... D’autres barrages sont mis en place, notamment à Moutonnerie, alors que la grève et le blocage de la raffinerie et du dépôt pétrolier de Donges continuent.

    #Exclusion/précarité/chômage #Resistances #luttes #salariales #/ #lutte #étudiant-e-s #lycéen-ne-s #Exclusion/précarité/chômage,Resistances,luttes,salariales,/,lutte,étudiant-e-s,lycéen-ne-s,mouvement

  • 新年快乐
    https://fr.wikipedia.org/wiki/Mouton_%28astrologie_chinoise%29


    Bonne année du mouton ou de la chèvre, peu importe, c’est le moment pour un peu de superstition :

    Horoscope chinois Mouton (Chèvre) 2015
    http://www.horoscopechinois2015.com/horoscope-chinois-mouton-chevre-2015

    2015 est l’Année de la Chèvre de Bois Vert, ce qui signifie que les natifs de ce signe mèneront une vie prospère. Les prédictions de l’horoscope 2015 annoncent que la Chèvre pourra facilement obtenir tout ce qu’il souhaite durant cette année, tant qu’il agit avec enthousiasme. D’ailleurs, cela ne devrait pas poser de problème, car en 2015 le natif de la Chèvre se sentira très bien.

    Alors si vous êtes né dans une des années suivantes, tout ira pour le mieux dans les douze mois à venir : 1907, 1919, 1931, 1943, 1955, 1967, 1979, 1991 et 2003. Vous trouverez plein d’informations dans notre encyclopédie préférée.

    Astrologie chinoise
    https://fr.wikipedia.org/wiki/Astrologie_chinoise#Zodiaque_chinois

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  • Mouton 2.0, la puce à l’oreille | cinéma l’Univers
    http://lunivers.org/evenement/mouton-2-0-la-puce-a-l%E2%80%99oreille

    Séances cinéma docu anti RFID Mouton 2.0 , la puce à l’oreille Antoine Costa, Florian Pourchi | docu | France | 2012 | 77 min La modernisation de l’agriculture d’après guerre portée au nom de la science et du progrès ne s’est pas imposée sans résistances. L’élevage ovin, jusque là épargné commence à ressentir les premiers soubresauts d’une volonté d’industrialisation. Depuis peu une nouvelle obligation oblige les éleveurs ovins à puçer électroniquement leurs bêtes. Ils doivent désormais mettre une puce RFID, (...)

  • En attendant les nanomerguez de carbone par Christophe Goby
    http://cqfd-journal.org/En-attendant-les-nanomerguez-de

    C’est le dernier avatar de l’industrialisation des animaux : identifier chaque animal, savoir de quel élevage il provient, ce qu’il a mangé le 29 février dernier. Le puçage par ce gadget qu’on appelle RFID (pour Radio Fréquence Identification) est en train de se généraliser pour chaque être vivant. C’est aussi la fin des pâturages tranquilles, de l’estive, des bergers qui couraient la montagne que racontent Antoine Costa et Florian Pourchi dans leur documentaire Mouton 2.0 – La Puce à l’oreille. Les « industriels de la production animale » comme préfère les nommer Jocelyne Porcher, ancienne éleveuse et aujourd’hui penseuse de la cause animale, veulent plus de rentabilité, de contrôle. Les éleveurs de la Drôme ou des Alpes-de-Haute-Provence, eux, souhaitent perpétuer une relation entre l’homme et son troupeau. Ils ne sont pas sur le déclin, certains sont même très jeunes et fiers de produire de la viande de qualité, provenant de bêtes qui mangent encore de l’herbe. Le contraste est saisissant quand on voit ces fameuses vaches à hublot qu’un chercheur malicieux de l’Institut national de recherche agronomique (Inra) présente à l’écran. On le voit enfourner sa main dans la panse de la vache et en retirer une mixture chaude comme s’il accomplissait un geste de chirurgien.

    Il y a bien un monde entre ces messieurs des instituts de l’élevage, des chambres d’agriculture et celui d’hommes et de femmes ayant choisi de cultiver la campagne, d’élever des animaux en leur prodiguant des soins homéopathiques comme le feraient des parents aimants. Ces paysans connaissent leur métier, leur terre mais savent aussi leur légitimité. Face à eux, la loi des consortiums et des grosses sociétés alimentaires épaulés par des entreprises high tech comme le Pôle de traçabilité de Valence (Drôme) qui commercialise des puces RFID, et dont le patron nous explique les aspects commerciaux novateurs. Dans la montagne, les bergers poussent leur troupeau, renouent avec des peurs ancestrales, guident des bêtes sur des pentes abruptes. À Reillanne (Alpes-de-Haute-Provence) ou Vachères en Quint (Drôme), des éleveurs disent leur opposition à la technocratie. Ces combats contre la vaccination ovine, la fièvre catarrhale et maintenant le puçage ne font la une d’aucun grand magazine. Les régimes minceur et l’épilation du maillot remplacent la tonte. Mieux vaut ne rien savoir sur les merguez qu’on va griller cet été, sauf à connaître leur origine… en cas de pandémie ! Comme le dit cet éleveur de Limans (Alpes-de-Haute-Provence), « traçabilité ne veut pas dire qualité ». Il s’agit juste pour la filière viande de faire croire qu’on peut élever des animaux sans les traiter comme des êtres vivants, repérer un lot quand il est défectueux, et l’éliminer comme ce fut le cas pour la vache folle.

    Ils font peur, ces chercheurs, avec leur mine réjouie quand ils expliquent que pucés, les ovins peuvent être détectés dès leurs premières chaleurs pour être inséminés. On ne perd pas une minute. Sitôt que l’œstrus naît chez la brebis, elle est repérée pour servir de reproductrice. Et l’Inra de travailler main dans la main avec l’industriel prêt à commercialiser le prototype conçu.

    Les éleveurs qui témoignent dans ce documentaire sont tellement à part dans ce monde vendu à la marchandise qu’ils sont juste un collectif sans nom, sans syndicat. Ils ne viennent d’aucun parti. Ils veulent rester maîtres de leur vie et de leur activité comme Antoine de Ruffray ou Alain Guibert. Contre eux, il y a cette société qui veut concentrer les bêtes dans du béton, rendre l’animal viande avant d’avoir vécu.

  • Pensez à vos vieux jours. Offrez un paquet de clopes à votre gosse.

    Pour financer le cancer, c’est comme pour financer les retraites. Ce sont les actifs qui paient pour les vieux qui n’en peuvent plus de tousser et de cracher (Bref, pour la sécu).

    Vu les taxes sur les paquets de cigarettes, un gosse qui commence à fumer à 20 ans à raison de 6€ le paquet, et qui fume un paquet par jour pendant 40 ans rapportera 87.600€ à la sécurité sociale. Je n’ai même pas prévu l’augmentation régulière du tabac.

    D’après les statistiques, il y a 14 millions de fumeurs en France. Ce qui nous fait plus de 1200 milliards d’euro. À ce prix-là, ils pourraient mettre du Mouton Rothschild 1945 dans les baxters au lieu de leur épilateurs chimiques. C’est tout de même plus gai de clamser d’une cirrhose du foie que d’un cancer du poumon.

    Si vous avez des scrupules, offrez plutôt un paquet de Gauloise (et tant qu’on y est une bouteille de gros rouge) à un jeune adhérent du Front National. Ça fait 40ans qu’ils nous emmerdent avec leurs conneries. Autant qu’ils servent à quelque chose.

    Twitter #RéseauFDG

    • Petite variante :

      Comment trouver de l’argent pour rembourser la dette ?

      – Le prix d’un paquet clopes vaut 6,1€
      – Le prix d’une bouteille de gros rouge vaut grosso modo 4€

      Il suffit d’intoxiquer les 6,4 millions électeurs du Front National (on peut les obliger à boire et à fumer par décret). À raison d’une bouteille de pinard et d’un paquet de Gauloise par jour pendant 40 ans, ça rapportera 943,7 milliards d’euro. Pas mal, hein ? Et je n’ai même pas tenu compte de la hausse des prix.

      Pourquoi les cigarettes et le pinard ? La « Gauloise blonde » c’est pour leur enrouer la gorge (ils gueuleront moins fort et ça les rendra borgne), le pinard, c’est pour rendre leur discours plus cohérent.

      Ça fait 40ans qu’ils nous emmerdent avec leurs conneries. Autant qu’ils servent à quelque chose.

  • Mouton 2.0 - La Puce à l’oreille - Le film
    http://www.mouton-lefilm.fr

    La lutte des éleveurs contre le puçage #RFID des #moutons peut apparaître comme un combat de plus. Pour certains c’est un combat comme un autre, un combat contre les obligations (la dernière en date étant celle de l’obligation de vacciner contre la FCO.) Cependant comme nous l’avons constaté dans nos entretiens avec les éleveurs il ne s’agit pas d’une obligation supplémentaire. C’est une volonté à moitié camouflée d’industrialiser l’élevage ovin et caprin, une volonté de contrôle total afin d’amener l’#élevage vers d’autres aménagements futurs, sur le terrain de la génétique notamment. (Voir à ce propos la loi sur les reproducteurs certifiés.) Camouflée, car selon ceux qui imposent la puce ( État, autorités sanitaires et vétérinaires ), la puce serait un outil de traçabilité, donc de sécurité pour le consommateur et diminuerait la pénibilité du travail pour l’éleveur.

    Pour aborder cette problématique nous avons choisi le secteur ovin, les moutons, l’élevage des agneaux, des brebis… Là où l’imaginaire commun n’arrive pas à se représenter le métier de berger derrière un ordinateur équipé d’un lecteur de données pour contrôler ses bêtes, c’est pourtant cette réalité qui domine l’élevage moderne. C’est probablement ces hommes, éleveurs, bergers, qui historiquement ont le plus résisté contre l’#industrialisation du secteur agricole et ce n’est pas anodin si ce sont eux qui se retrouvent moteurs de la lutte contre ces nouvelles obligations qui apparaissent.

    Les RFID sont le point de départ du projet de ce film documentaire. Le #puçage se généralise autour de nous, les informations se recoupent, la carte d’identité biométrique s’impose. À chaque fois avec de bon prétextes, de bonnes raisons, de bons arguments. Avec la directive européenne concernant le puçage obligatoire des cheptels ovins et caprins, nous assistons à la première obligation d’envergure de puçage du vivant. Une expérimentation grandeur nature dont les industriels se flattent.

    #police-totale

  • Contre le mouton numérique | Pièces et main d’œuvre
    http://www.piecesetmaindoeuvre.com/spip.php?page=resume&id_article=368

    Depuis début 2012, les éleveurs d’ovins et de caprins sont contraints de pucer électroniquement leurs bêtes. En 2007, nous avions publié le texte de Nicolas Bonnani, Des moutons et des hommes, (à relire ici), contre les moutons numériques. On retrouve les bergers opposés au puçage, et leurs moutons sans puces RFID, dans le documentaire d’Antoine Costa et Florian Pourchi, Mouton 2.0 : la puce à l’oreille (www.mouton-lefilm.fr) qui sort le 18 mai 2012. En projection dans toute la France : 18 mai 2012 : à Reillanne (04) à 14 h 21 mai 2012 : à Guillestre (05) au cinéma Le Riou Bel (18 h et 20h30) 23 mai 2012 : à Embrun (05), à La taverne de Pan (21 h) 24 mai 2012 : à Laragne (05), au cinéma le Hublot (20 h 30) 25 mai 2012 : à Vachères en Quint (26), à La Menuiserie (19 h) 26 mai 2012 : à Serres (05) – Salle Jean Imbert (21 h) 29 mai 2012 : à Mirabel et Blacons (26), Salle municipale (20 h) 30 mai 2012 : à Grenoble (38), aux Bas Cotés (20 h) 31 mai 2012 : à Mens (38), à l’espace culturel (20 h) 1 juin 2012 : à Meyzieu (69), au cinéma Tant Libre (18 h) 5 juin 2012 : à Annecy - Cran-Gevrier (74) – à l’Alterlocal (20 h 30) 9 juin 2012 : à Royère de Vassivières (23), au 5ème Festival Bobines Rebelles (14 h) 6 juillet 2012 : à Foix (09), au Festival RésistanceS (journée entière) 24 août 2012 : à Trescléoux (05) , au 3eme Festival des Sciences en Bobines (21 h 30) (...)

    #Nécrotechnologies