city:ottawa

  • #Amiante : Ottawa n’exclut pas d’en bannir l’exploitation | Le Devoir
    http://www.ledevoir.com/politique/canada/487246/l-amiante-finalement-au-ban


    Photo : Sean Kilpatrick La Presse canadienne
    Les ministres Judy Foote (Services publics et Approvisionnement), Kirsty Duncan (Sciences), Jane Philpott (Santé) et Catherine McKenna (Environnement) ont participé à une conférence de presse conjointe afin d’annoncer le bannissement de l’amiante au Canada.

    Le gouvernement de Justin Trudeau passe à l’action comme promis et interdira d’ici 2018 la production, l’utilisation, l’importation et l’exportation des produits d’amiante. Et si Ottawa insiste pour dire qu’il a écouté les doléances du Québec en autorisant l’exploitation des résidus d’amiante, il ne s’engage pas à tenir cette promesse éternellement, soulignant que des « consultations » auront lieu dans le futur.

    Juste pour le plaisir de la photo…

  • Enlisting Beijing to help stop fentanyl exports won’t be easy - The Globe and Mail
    http://www.theglobeandmail.com/opinion/enlisting-beijing-to-help-stop-fentanyl-exports-wont-be-easy/article33207872

    For students of Chinese history, there’s irony in Canada’s demand on moral grounds that China suppress the export of a synthetic opioid.

    (…) This history could explain the reported lack of enthusiasm by Chinese police to respond vigorously to Canada’s request that Beijing close down fentanyl production and export. China doesn’t have a significant fentanyl problem domestically. It deals with the problem by executing drug smugglers and dealers and by imprisoning illegal-drug users for a program of forced rehabilitation that they or their families pay for. In a police state that keeps close tabs on all citizens, this policy is relatively effective (although amphetamine abuse is increasing in Chinese cities, and heroin injection in the mountainous Golden Triangle border regions has led to something of a rural crisis of largely untreated HIV/AIDS cases).

    Beijing is unlikely to aggressively suppress this lucrative export for the sake of international public interest alone. Undoubtedly China’s fentanyl manufacturers are already issuing the necessary bribes to keep their operations free from government harassment. Moreover, Chinese culture suggests police there are only likely to actively suppress fentanyl exports if Ottawa offers an incentive to do so. (...)

    But another condition of this pact could be more co-operation with Chinese authorities tracking down Chinese nationals in Canada who Beijing wants to see returned to China.

    #Chine #canada #drogue #santé_publique #fentanyl #carfentanil #guerres_de_l'opium

  • Women in Canadian Military Report Widespread Sexual Assault
    http://www.nytimes.com/2016/11/28/world/canada/canada-military-women-sexual-assault.html

    OTTAWA — More than a quarter of women in the Canadian military have been sexually assaulted during their careers, according to a survey by the government’s statistical agency.

    The survey, conducted by Statistics Canada and released on Monday, was commissioned by the armed forces and followed a scathing 2015 report that found that the culture of the military was “hostile to women and L.G.T.B.Q. members and conducive to more serious incidents” involving sexual harassment and assault.

    #harcèlement #agression #discrimination

  • Au moins 960 militaires agressés sexuellement depuis un an Le Devoir - 28 novembre 2016 12h36 - Mélanie Marquis

    Le patron des Forces armées canadiennes (FAC) s’est dit « extrêmement déçu » des résultats d’un sondage démontrant que l’inconduite sexuelle au sein des rangs de l’armée demeure aussi prévalente un an après la publication du rapport Deschamps.
 
    Selon cette enquête de Statistique Canada réalisée entre avril et juin derniers, environ 960 membres des FAC ont déclaré avoir été victimes d’une agression sexuelle au cours des 12 mois précédents.

Le sondage rendu public lundi lève aussi le voile sur l’ampleur du phénomène chez les femmes : plus du quart d’entre elles, soit 27,3 %, ont affirmé avoir été victimes d’agression sexuelle au moins une fois depuis leur enrôlement au sein des FAC.

 « Je suis extrêmement déçu » , a laissé tomber le chef d’état-major Jonathan Vance en conférence de presse au quartier général de la Défense nationale, à Ottawa, lundi.


    . . . . .
    L’enquête réalisée auprès de 43 000 membres des Forces armées canadiennes, soit environ 43 pour cent de l’effectif total, révèle par ailleurs que quatre membres sur cinq de la force régulière ont vu, entendu ou vécu des comportements sexuels discriminatoires.

    L’article : http://www.ledevoir.com/societe/actualites-en-societe/485790/au-moins-960-militaires-ont-ete-agresses-sexuellement-depuis-un-an

    #Canada #Agressions_sexuelles #viol#culture_du_viol#viols#sexisme#violences_sexuelles#violence #domination #patriarcat #armée

  • Portrait de São Paulo (1) : une capitale du Brésil — Géoconfluences
    http://geoconfluences.ens-lyon.fr/informations-scientifiques/dossiers-thematiques/de-villes-en-metropoles/corpus-documentaire/portrait-sao-paulo-1-capitale

    La capitale du Brésil est Brasilia, mais c’est une capitale politique comme Washington, Ottawa ou Canberra. São Paulo est – de loin – la principale métropole brésilienne, par sa population (plus de 20 millions d’habitants), par son poids économique (c’est le principal pôle industriel de l’hémisphère sud) et par son rôle de polarisation de l’espace national. Préciser « brésilienne » ne vise pas seulement à la situer dans le pays, mais aussi à dire qu’elle l’est pour le meilleur et pour le pire, avec tout ce que cela implique de qualités et de défauts, de potentiels et de risques.

    Le corpus qui suit est essentiellement fondé sur une série de documents utilisables en classe, cartes et photos, pour la plupart personnelles, produites ou recueillies en onze ans de séjour à São Paulo. Il est complété par des liens vers des billets de mon carnet de recherche Braises de ton plus libre mais dont les publications peuvent néanmoins donner des éléments complémentaires utiles. [1] .

    #brésil #sao_paulo #urban_matter

  • Inside Roméo Dallaire’s brutally revealing new memoir - Macleans.ca
    http://www.macleans.ca/culture/books/inside-romeo-dallaires-brutally-revealing-new-memoir

    Dallaire was back home in Canada in September 1994, hard at work in a new job in Ottawa as deputy commander of Land Force Command, when his boss, Gordon Reay, called him in for a brief chat. Something new and troubling seemed to be happening in the Canadian Forces, something to maybe keep in mind, the chief of Land Staff told Dallaire: “We are starting to see some issues with guys coming back from [peacekeeping tours in] Cambodia and Yugoslavia,” said Reay, as Dallaire recounts in his memoir. “Fatigue, a few cognition problems, some trouble readjusting. Nothing more. Nothing to worry about.”

    #rwanda #génocide #onu #romeo_dallaire

  • Paul Magnette : « Le traité #CETA est déjà en train de se découdre lui-même » RTBF Jean-Claude Verset - Mercredi 19 octobre 2016
    http://www.rtbf.be/info/belgique/detail_non-au-ceta-la-commission-n-a-pas-compris-l-importance-des-convictions-w

    La Wallonie ne donnera pas son accord à la signature du traité commercial avec le Canada avant la date fatidique de vendredi. Paul Magnette ne reviendra pas là-dessus. Mais le Ministre-président ne ferme pas la porte et, selon lui, quelques semaines de discussions permettraient de déboucher sur une solution définitive permettant de déboucher sur un traité où « les normes sociales très élevées profiteront à tout le monde ». 

    The Final Countdown
    L’Union Européenne donne encore à la Belgique deux jours, pas un de plus, pour signer l’accord CETA de libre échange avec le Canada. Mais rien n’y fait, Paul Magnette dira non : « Il est Impossible de donner notre accord d’ici vendredi, même si je suis conscient que cela aura des conséquences politiques ». Il n’y aura donc pas non plus de sommet, fin octobre, entre les Européens et le Canada, assume le ministre-président wallon qui estime « raisonnable » de reporter ce conseil sans en fixer la date.

    Je ne veux pas de confrontation, mais…
    Paul Magnette réfute l’accusation de vouloir la confrontation, « mais ce n’est pas parce que les Canadiens sont nos amis qu’il faut tout accepter ». La faute de ce retard ne viendrait d’ailleurs pas de la Wallonie, mais de la Commission elle-même qui n’a pas compris l’importance des convictions wallonnes. « Cela fait un an que j’ai indiqué à la commissaire Cecilia Malmström , les problèmes majeurs que j’avais avec ce traité. Mais, pendant un ans, l’attitude de la Commission a été de nous dire que nous n’avions pas compris les clauses du traité et qu’il suffisait de nous les réexpliquer. Et cela sans jamais accepter de modifications. Depuis quelques jours, il y a eu des vraies avancées, mais ce n’est pas suffisant ».

    Quelques semaines de plus suffiraient
    Pourtant, Le ministre-président l’assure, la Wallonie pourrait signer l’accord au traité CETA dans les prochaines semaines « Nous ne sommes, bien sûr, pas contre les accords de commerce. Il faut aider les entreprises wallonnes à exporter davantage ». Mais il dit refuser un traité qui contient de véritables menaces pour les normes sociales et environnementales.

    La mobilisation wallonne contre le traité actuel aurait même permis des avancées considérables dans l’élaboration du texte : « Le représentant canadien avait accepté que l’Europe puisse réguler en matière environnementale et sociale, mais à la condition que des entreprises puissent poursuivre les Etats et obtenir des réparations financières. C’était insensé. On ne peut pas dire à une société démocratique qu’elle peut réguler, mais en payant des indemnités aux multinationales. » C’est dans ce domaine précis que Paul Magnette revendique une avancée de taille.

    Tribunal d’arbitrage : le point qui fâche
    Un autre sujet sensible est le mécanisme d’arbitrage qualifié de
    « choquant » _ . Soutenu par des associations de juristes et de magistrats, le ministre-président soutient que les systèmes juridictionnels des Etats de l’Union Européenne et du Canada n’ont pas besoin de mécanismes d’arbitrage qui donneraient davantage de droits aux multinationales.

    Et si les tribunaux d’arbitrage sont un point essentiel du refus wallon, il reste celui de la clause de sauvegarde unilatérale de la politique agricole canadienne. Le Canada veut pouvoir se protéger en cas d’exportation trop importante depuis l’Europe. Paul Magnette dit comprendre cette demande, mais à la condition qu’elle soit réciproque et donc valable aussi en cas d’exportation massive depuis le Canada. Ce qui n’est pas le cas dans le texte actuel.

    Le Cheval de Troie américain
    Une autre clause litigieuse prévoit que des entreprises américaines installées de manière substantielle au Canada pourrait utiliser le CETA pour bénéficier des clauses canadiennes. C’est ce que les opposants au CETA nomment « le cheval de Troie ». « A ce jour, personne ne peut me dire ce qu’est une ’présence substantielle’  ».

    Les conditions d’un « oui » wallon
    L’accord wallon n’est pas impossible, rassure Paul Magnette, mais à certaines conditions, dont la première est de rouvrir les négociation : « Le traité est déjà en train de se découdre lui-même. Hier (mardi) au Luxembourg, une clause a été acceptée pour faire plaisir à l’Allemagne. Désormais, une cour constitutionnelle qui rendra un jugement dans un pays pourra suspendre le traité. Et par extension d’autres pays pourront suivre ce jugement par un vote en parlement. Avec des clauses comme celles-là, on est conscient que cela ne marchera pas. Prenons quelques mois. On parle d’un traité qui va concerner des millions de gens. Si on fait un traité qui fixe des normes (sociales et environnementales ndlr) très élevées, tant mieux pour tout le monde. »

    Tant pis pour les menaces *
    Le ministre-président wallon assure n’avoir reçu des menaces que du monde des affaires : « L’argument est toujours le même : la menace de désinvestir. C’est un risque, mais il y a des principes sur lesquels on ne doit jamais transiger. Il faut pouvoir dire que l’on n’accepte pas les menaces. On voit bien avec Caterpillar qu’il n’est pas nécessaire de prendre des normes pour subir des conséquences épouvantables. Une société sérieuse, installée chez nous pour travailler, ne va pas quitter le pays par mesure de rétorsion. Il y a des moments d’échauffement, mais ensuite on en revient à la raison. »

    Et si la Belgique signe malgré tout le traité, sans l’accord wallon, comme le propose le libéral flamand Karel De Gucht ? « Je le regretterai et j’utiliserai toutes les voies légales pour faire valoir les droits de la Wallonie. Mais je me réjouis d’entendre que le fédéral écarte cette piste. » 

    #union_européenne #canada #etats_unis #Wallonie #arbitrage #normes_sociales_et_environnementales #Cecilia_Malmström

    • Traités transatlantiques de libre-échange : la Bulgarie « ne signera pas » non plus s’il n’y a pas de levée des visas RTBF Belga - mercredi 19 octobre 2016
      http://www.rtbf.be/info/monde/detail_traites-transatlantiques-de-libre-echange-la-bulgarie-ne-signera-pas-non

      Le gouvernement bulgare a prévenu mercredi qu’il ne signerait pas le traité de libre échange entre l’UE et le Canada (CETA) s’il n’obtenait pas d’exemption de visa pour ses ressortissants désireux de se rendre dans ce pays.
      Sofia « ne signera pas le CETA sans un engagement irréversible du gouvernement canadien à accorder une exemption de visa à tous les citoyens bulgares » , a indiqué le gouvernement.

      La Bulgarie et la Roumanie réclament depuis plusieurs années une levée de l’obligation de visas canadiens pour leurs ressortissants.

      Le Premier ministre bulgare Boïko Borissov avait indiqué la semaine dernière avoir obtenu, lors d’une conversation téléphonique, un accord de principe de son homologue canadien Justin Trudeau pour une exemption totale de visas pour les Bulgares fin 2017.

      Mais Sofia a souligné mercredi attendre une confirmation formelle et définitive en échange de sa signature.
      La voix discordante de la Bulgarie s’ajoute à celle de la Wallonie, qui a annoncé mercredi exclure de donner son feu vert au gouvernement fédéral pour qu’il approuve le CETA cette semaine et qui a demandé une « réouverture » des négociations.

      La Commission européenne s’est fixé pour objectif de réunir l’unanimité des Vingt-Huit pays de l’UE en faveur du texte d’ici la fin du sommet européen vendredi, en vue d’une signature le 27 octobre à Bruxelles en présence de M. Trudeau.

      Le gouvernement roumain a lui aussi indiqué mercredi qu’il ne « pouvait pas soutenir à ce stade les démarches visant à la signature et l’application provisoire de l’accord CETA ».
      Le président Klaus Iohannis a ajouté que la question de l’exemption totale des visas en 2017 était « toujours en négociation ». Il a toutefois dit espérer une « solution raisonnable » permettant la signature de l’accord.

      #Roumanie #Bulgarie

    • Démondialiser Le Devoir(ca) - 20 octobre 2016 |Gérard Bérubé
      http://www.ledevoir.com/economie/actualites-economiques/482630/perspectives-demondialiser

      Le vote de blocage de la Wallonie rappelle, d’abord, la complexité de la mécanique européenne. Ensuite, l’intérêt réel des Européens pour un accord avec les États-Unis. Enfin, l’opposition montante dans la société civile à ces grands accords creusant les inégalités. Il a incité les tenants de la démondialisation à se remettre à rêver éveillés.

      Le veto wallon est venu doucher l’enthousiasme politique autour de l’AECG. Le petit territoire a exprimé la préséance de sa compétence exclusive en matière de développement économique, d’agriculture d’environnement sur les automatismes diplomatiques. L’ajout in extremis d’une annexe au document de 1600 pages, présentée comme une déclaration commune visant à clarifier les dispositions contestées dans un document juridiquement contraignant n’a, en définitive, fait qu’attiser les doutes ou les craintes. Le premier ministre du Canada pourrait éviter les frais d’un voyage à Bruxelles la semaine prochaine.
       
      Les tractations politiques se poursuivent. Un texte de La Presse canadienne nous indique que la ministre canadienne du Commerce international a rencontré mercredi le président de Wallonie pour tenter de dénouer l’impasse. Anne-Louise Chauvette, porte-parole de la ministre Chrystia Freeland, a rappelé que l’AECG constituait une priorité pour le gouvernement, « qui oeuvre d’arrache-pied avec ses partenaires européens afin qu’il soit ratifié cette année et mis en place l’an prochain » . Ottawa a aussi dépêché de toute urgence en Belgique Pierre Pettigrew, poursuit le texte de l’agence.
       
      Ballon d’essai
       
      L’intérêt économique du Canada est connu. Celui de l’Europe aussi, qui ne voit dans l’AECG qu’un « ballon d’essai » avec, dans la mire, la conclusion du Partenariat transatlantique de commerce et d’investissement (en anglais TTIP). Un accord se voulant plus ambitieux avec les États-Unis, qui n’ont pour obsession que de contrer la montée en puissance et en influence économiques de la Chine en Asie. Le tout s’insérant dans un environnement politique bigarré avec, à la clé, le Brexit et de nombreux rendez-vous électoraux. Déjà que les relents du protectionnisme faisaient leur oeuvre, voilà une carte politique constituant un terreau fertile à la reprise du thème de la démondialisation.
       
      Un thème qui se présente en opposition à la « globalisation », selon son expression anglo-saxonne, et qui se nourrit de la chute des exportations et du commerce international dans cette conjoncture d’après-crise où la Chine et l’Inde priorisent le développement de leur marché intérieur. La chronique s’active, surtout en Europe, pour voir dans cette méfiance, voir cette contestation du libre-échange, une mise en oeuvre de la démondialisation.
       
      L’idée générale est reprise ici et là. L’ouverture des marchés n’est pas économiquement et socialement neutre. Elle fait des gagnants et des perdants, une dialectique qui se heurte à la faiblesse ou l’inexistence de mécanismes de compensation. Elle soumet également la souveraineté des États au diktat des multinationales et de la libéralisation du commerce.
       
      L’ancien directeur général de l’Organisation mondiale du commerce Pascal Lamy parlait, dans une entrevue au Devoir en juin , du tour qu’a pris le capitalisme ces dernières années et qui semble systématiquement faire « un petit nombre de gros gagnants et beaucoup de petits perdants » . Et même entre les gagnants, la répartition des retombées positives de la mondialisation se veut inégale, profitant davantage aux multinationales et aux actionnaires, moins aux PME et aux salariés, ont déploré des économistes. « La hausse du salaire moyen camoufle la stagnation du salaire médian » , a déjà illustré l’économiste français Jacques Sapir, pour qui la progression du commerce et du PIB ne fait pas nécessairement progresser le bien-être.
       
      Cela dit, les architectes de son antonyme se font rappeler que la mondialisation, c’est aussi fluidité des capitaux dont les États endettés ont bien besoin. Que c’est tertiarisation et financiarisation de l’économie. Et que le jeu des importations-exportations implique la multiplication de sous-traitants répartis ici et là sur la planète.
       
      Que tout est devenu imbriqué dans un monde multipolaire toujours plus numérisé où les grandes chaînes de production s’automatisent et se régionalisent. Et que les grands défis, notamment celui que pose l’environnement, sont mondiaux et donc contraires à une démondialisation synonyme de protectionnisme et de repli sur soi.
       
      Faudra démondialiser autrement.

      #démondialisation #mondialisation #TTIP #CETA #veto #AECG #union_européenne #Canada #Wallonie

    • Les Wallons refusent de céder _ Le Devoir(Ca) 20 octobre 2016 La Presse canadienne
      La Belgique paraît incapable de dénouer l’impasse *

      http://www.ledevoir.com/economie/actualites-economiques/482564/accord-canada-ue-la-wallonie-refuse-de-se-soumettre-a-la-date-butoir

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      Respecter le délai fixé par la Commission « me paraît très difficile » , a jugé M. Magnette, tout en assurant qu’il examinerait « avec le plus grand sérieux » d’éventuelles nouvelles propositions de la Commission mais qu’il ne « s’enfermait dans aucun ultimatum, aucun calendrier ».
       
      « Je ne cherche pas à créer une crise en Europe, il se fait juste que c’est en train d’arriver », a-t-il expliqué.
      . . . . . . . .

  • Poète officiel : les libéraux divisés à Québec Le Devoir, 7 octobre 2016 | Alexandre Robillard
    http://www.ledevoir.com/politique/quebec/481801/poete-officiel-les-liberaux-divises-a-quebec

    Les libéraux sont apparus divisés jeudi face à l’éventuelle création d’un poste de poète officiel à l’Assemblée nationale.
     
    Au lendemain d’une prestation du premier ministre Philippe Couillard en Chambre, des représentants de l’opposition se sont montrés ouverts à cette proposition.
     
    À Ottawa, le Parlement a créé en 2001 un poste de poète officiel, dont le mandat est d’une durée maximale de deux ans.
     
    Son traitement annuel est de 20 000 $, auquel s’ajoutent des frais de déplacement d’un maximum de 13 000 $ et un budget pour ses frais de programmation, d’administration et de traduction, indique le site Internet du Parlement.
     
    En l’absence de M. Couillard en raison d’un déplacement, jeudi, la vice-première ministre Lise Thériault a manifesté peu d’intérêt pour que l’Assemblée nationale imite Ottawa.
     
    Mme Thériault a rappelé que M. Couillard a offert un au revoir en alexandrins, mercredi, au chef intérimaire péquiste Sylvain Gaudreault, dont c’était la dernière période des questions dans cette fonction.
     
    « Je pense que notre premier ministre a démontré clairement qu’il avait beaucoup de talent. Est-ce qu’on a besoin d’un poste ? Je ne crois pas nécessairement », a dit Mme Thériault.
     
    Son collègue ministre de la Culture, Luc Fortin, a pour sa part déclaré qu’il est favorable à la création d’une charge de poète à l’Assemblée nationale.
     
    « La poésie, c’est une bonne façon de [faire] passer des messages, le pouvoir des mots est infini, a-t-il dit. C’est une décision qui appartient au Bureau de l’Assemblée nationale, mais comme ministre de la Culture je ne peux pas être contre. »
     
    Le chef de la Coalition avenir Québec (CAQ), François Legault, a envoyé un signal d’ouverture à cette proposition. « Moi, je suis ouvert à contribuer à la culture québécoise, donc on pourrait en discuter, a-t-il dit. […] Ce serait peut-être une meilleure job pour notre premier ministre que ce qu’il fait actuellement comme premier ministre. »
     
    M. Legault a affirmé qu’il lui arrivait de lire de la poésie, mais qu’il n’en écrit pas. « Je ne suis pas poète comme M. Couillard », a-t-il dit.

    #Québec #Poète

  • Les députés renoncent à enterrer le CETA – EurActiv.fr
    http://www.euractiv.fr/section/innovation-entreprises/news/les-deputes-renoncent-a-enterrer-le-ceta

    Le premier ministre Manuel Valls a évité de justesse une situation délicate lors de sa visite au Canada programmée pour les 13 et 14 octobre.

    Alors que la ratification du traité de libre-échange entre Ottawa et l’Union européenne approche à grands pas, des élus de l’Assemblée nationale ont tenté de faire adopter une résolution appelant le gouvernement français à refuser l’application provisoire de l’accord CETA.

  • Recension de Joelle Palmieri par Benoît Awazi Mbambi Kungua, CERCLECAD
    https://joellepalmieri.wordpress.com/2016/10/01/recension-de-joelle-palmieri-par-benoit-awazi-mbambi-kungu

    Ottawa le samedi 17 septembre 2016,   Joelle PALMIERI, TIC, COLONIALITÉ, PATRIARCAT, SOCIÉTÉ MONDIALISÉE, OCCIDENTALISÉE, EXCESSIVE, ACCÉLÉRÉE… QUELS IMPACTS SUR LA PENSÉE FÉMINISTE ? PISTES AFRICAINES YAOUNDÉ : EDITIONS LANGAA, 296 P., JUIN 2016 – ISBN 9789956763061 – HTTP://WWW.LANGAA-RPCIG.NET/TIC-COLONIALITE-PATRIARCAT-SOCIETE.HTML# https://joellepalmieri.wordpress.com/2016/07/02/tic-colonialite-patriarcat Les principales nervures argumentatives d’un ouvrage ouvertement ambitieux et audacieux. C’est en me servant … Lire la suite →

    http://0.gravatar.com/avatar/9756ba41fe8333157071419a20733f4a?s=96&d=https%3A%2F%2F0.gravatar.com%2Fa

  • Aide à mourir : des évêques prônent le refus à des funérailles religieuses _ Le Devoir 29 septembre 2016 |Isabelle Paré
    http://www.ledevoir.com/societe/ethique-et-religion/481105/aide-a-mourir-des-eveques-pronent-le-refus-a-des-funerailles-religieuses

    Une directive des évêques de l’Ouest canadien pressant les prêtres de refuser l’accès aux rites et funérailles religieux aux personnes ayant demandé l’aide à mourir soulève la colère des organismes qui protègent les droits des personnes malades. Cette position, qualifiée de « rétrograde » par certains, sème aussi la division chez les évêques canadiens réunis cette semaine en assemblée annuelle.
     
    Le vade-mecum controversé des évêques de six diocèses de l’Alberta et des Territoires du Nord-Ouest de l’Ouest, émis le 14 septembre dernier, survient alors que la Conférence des évêques catholiques du Canada (CECC) a fait de l’aide à mourir l’un des thèmes centraux de sa rencontre annuelle qui se déroule cette semaine à Cornwall.
     
    La position radicale des évêques de l’Ouest constitue une réponse à la nouvelle loi fédérale autorisant le recours à l’aide à mourir et au suicide assisté. Même si l’Église s’est toujours clairement prononcée contre toute forme d’aide à mourir, aucune directive n’avait encore été édictée par les autorités religieuses sur l’impact de cette nouvelle réalité sur la pastorale et les pratiques religieuses.
     
    « Si l’Église refuse d’accorder des funérailles à quelqu’un, ce n’est pas en guise de punition mais en guise de reconnaissance de sa décision — une décision qui amène cette personne à poser un geste contraire à la foi chrétienne » , tranche le document, transmis cette semaine à tous les évêques canadiens.
     
    Le document souligne qu’il serait « scandaleux » que la cérémonie religieuse donne l’impression de cautionner ce « péché mortel » et « soit interprété comme un encouragement pour d’autres à commettre ce mal ».
     
    Cette orientation divise grandement les évêques du pays, car aucun consensus n’a encore été arrêté sur cette question délicate, assure l’évêque de Valleyfield, Mgr Noël Simard. « Dans mon atelier, dit-il, les avis étaient partagés. »
     
    Dissimuler l’aide à mourir
    Selon ce dernier, il n’y a « pas encore de lignes directrices sur l’approche à avoir ». Mais il est urgent de réfléchir à cette question puisque l’accès à l’aide à mourir au Québec a déjà poussé certains citoyens à dissimuler à des prêtres le fait que leur proche ait requis ce soin de fin de vie, par crainte de se voir refuser des obsèques à l’église.
     
    « J’ai connaissance d’un cas ou le prêtre a eu connaissance après les funérailles de personnes qui ont caché la cause réelle du décès. Les gens connaissent la position de l’Église à ce sujet », soutient Mgr Noël.
     
    Selon ce dernier, l’Assemblée des évêques catholiques du Québec (AECQ) devra tôt ou tard se positionner elle aussi sur le sujet, car la réalité de l’aide à mourir soulève de nombreuses questions. - « Qu’est ce qu’on fait avec les préarrangements funéraires ? Avec l’extrême-onction, et que faire quand un geste devient public ? » , soulève Mgr Noël.
     
    À l’image de l’AECQ, qui a jusqu’ici prôné une pastorale
    « d’accompagnement » sans dicter de ligne à suivre en ce qui à trait aux rites de fin de vie, Mgr Noël estime que la décision doit être jugée « au cas par cas ». « Avant d’arriver à une norme et de dire non, il faut recevoir, accompagner et accueillir. Ces situations sont complexes et la pastorale essaie de comprendre cette nouvelle réalité » , a-t-il dit.
     
    Chose certaine, la position adoptée dans l’Ouest canadien trouve des émules, notamment à Ottawa, où l’archevêque Terrence Prendergast a déjà affirmé que ceux qui ont demandé l’aide à mourir ne devraient pas recevoir les derniers sacrements ou des funérailles religieuses. Les évêques de l’Ouest font valoir que l’aide à mourir diffère du cas des personnes ayant commis le suicide — auxquelles l’Église accorde aujourd’hui le droit à des funérailles — puisqu’on reconnaît aujourd’hui que ce geste irréparable découle d’une détresse psychologique ou d’une maladie mentale.
    « Le problème avec l’aide à mourir , nuance Mgr Noël, c’est que c’est prémédité. » _
     
    Colère chez les patients
    Cette attitude jugée « rétrograde » a soulevé mercredi la colère d’organismes oeuvrant pour la protection des droits des personnes malades. « C’est inacceptable, on retourne 50 ans, 100 ans en arrière. Refuser l’accès aux derniers sacrements, je trouve ça d’une barbarie sans nom » , s’est offusqué Pierre Blain, président du Regroupement provincial des comités des usagers (RCPU), un organisme favorable à l’aide à mourir. À son avis, si la position des évêques albertains venait à être adoptée au Québec, ce serait clairement discriminatoire.
     
    La réaction est tout aussi vive au Comité pour la protection des malades, dont le président, Paul Brunet, se dit croyant, tout comme son frère aujourd’hui décédé, Claude Brunet, qui a fondé l’organisme en 1974. « On a permis aux divorcés de fréquenter l’église, alors je ne vois pas en quoi cette position est inclusive, soulève-t-il. J’aurais beaucoup de difficulté à ce qu’un prêtre ne prenne pas en considération la demande venant d’une personne qui a requis l’aide à mourir. Qui sont-ils pour juger ? »
     
    Chose certaine, le sujet risque de faire surface au Québec et ailleurs, d’autant plus que les lignes édictées par les assemblées épiscopales constituent davantage des orientations que des obligations, selon les informations obtenues de l’Assemblée des évêques québécois. Ni l’AECQ ni la CECC ne peuvent dicter la conduite des évêques, puisque ces assemblées constituent davantage des lieux de réflexion sur la liturgie et la justice sociale. Chaque évêque est en effet libre d’adopter sa propre « approche pastorale. »

    #eglise_catholique #évêque #Canada #Mgr_Noël #Noël

    • L’Église québécoise offrira les rites funéraires Le Devoir 30 septembre 2016 |Isabelle Paré *
      Les archevêques de Montréal et de Québec prennent leurs distances de leurs confrères de l’Ouest _
      http://www.ledevoir.com/societe/sante/481251/aide-medicale-a-mourir-les-hopitaux-catholiques-de-l-ontario-boycottent

      Les prêtres de Montréal et de Québec ne refuseront pas d’offrir des funérailles religieuses ou d’autres rites funéraires aux personnes ayant requis l’aide à mourir, au contraire d’une directive édictée par des évêques de l’Alberta et des Territoires du Nord-Ouest.
       
      En réaction au tollé suscité par la prise de position stricte de six diocèses de l’Ouest, les archevêques de Québec et de Montréal ont fait savoir jeudi en marge de l’Assemblée annuelle des évêques qui se déroule à Cornwall qu’ils prônaient plutôt une approche « d’accompagnement » , malgré leur opposition morale à l’aide à mourir.
      . . . . . .
      Hôpitaux catholiques
      Par ailleurs, cette semaine, l’Association des hôpitaux catholiques de l’Ontario, a elle aussi soulevé la colère en édictant des directives prévoyant qu’aucune conversation sur l’aide à mourir ni aucune forme de soutien à l’aide à mourir ne devaient avoir lieu dans les murs des 29 hôpitaux qu’elle représente.
       
      En clair, cela signifie que plusieurs Canadiens vivant dans des régions desservies par des hôpitaux catholiques, mais financés par des fonds publics, pourraient se voir nier l’accès à l’aide à mourir. Ces patients seront plutôt transférés mourants dans d’autres établissements en raison des objections religieuses brandies par ces institutions.
      . . . . . .

      #hôpitaux #hôpitaux_catholiques

  • The inuit artist Annie Pootoogook: 1969–2016

    http://canadianart.ca/features/annie-pootoogook-1969-2016

    Annie Pootoogook has passed away. Inuit everywhere in Inuit Nunangat (the four Inuit regions of Canada) mourn her passing, even as we celebrate her life and accomplishments. Pootoogook was a hugely influential artist who forever changed the face of Inuit art. For that, we owe a huge debt to her artistic legacy.

    I only met Pootoogook a handful of times during the seven years that I lived in Ottawa. As an Inuk then-grad student studying Inuit art history, I was a little in awe of her fame and talent. Even during our few encounters, I was struck by her kindness and openness.

    #art #peuples_autochtones #nations_premières

  • Isabella Preston “Queen of Ornamental Horticulture” - Innovation Canada 150
    http://innovationcanada150.ca/2016/05/isabella-preston-queen-of-ornamental-horticulture

    An ornamental plant pioneer, Isabella Preston created nearly 200 new hardy hybrids of lily, lilac, crab apple, iris and roses for Canada’s cold climate. During her 26-year career, she quietly challenged gender bias. When she began working in 1912, female plant breeders were rather rare. She became the first professional female hybridist in Canada in 1916. She was the first person to focus solely on breeding ornamental plants and her work set the stage for new generations of breeding programs at the Central Experimental Farm in Ottawa, and elsewhere.

    #femme #amélioration_variétale #plant_breeding #plantes

  • Le #Canada contribue aux Nations unies avec 600 #casques_bleus supplémentaires
    http://www.lemonde.fr/ameriques/article/2016/08/27/le-canada-contribue-aux-nations-unis-avec-600-casques-bleus-supplementaires_

    En campagne pour un siège au Conseil de sécurité de l’ONU, le Canada a confirmé vendredi 26 août son retour sur la scène internationale en mettant 600 soldats à disposition des opérations de maintien de la paix des Nations unies. Ottawa va consacrer en outre 450 millions de dollars (310 millions d’euros) sur trois ans pour la prévention et la résolution des conflits.

    #domp #ONU #maintien_de_la_paix

  • 6632, le Nombre de la Bêtise
    http://www.zeroseconde.com/2016/08/6632-le-nombre-de-la-betise

    Il me semble que le numérique a des impacts jusqu’à des endroits insoupçonnés. Cette semaine, une « controverse » à propos de frais de photographes a nui à l’image, je choisis le mot, du gouvernement à Ottawa. Un contrat de 6632$ a été octroyé un photographe français pour immortaliser la présence de la délégation canadienne à la […]

    #Non_classé

  • L’action collective de milliers d’autochtones mis en adoption entendue en Ontario Le Devoir, 24 août 2016, Colin Perkel

    http://www.ledevoir.com/societe/justice/478386/l-action-collective-de-milliers-d-autochtones-mis-en-adoption-entendue-en-

    La Cour supérieure de l’Ontario a commencé mardi à entendre une action collective intentée contre le gouvernement canadien par des autochtones dans ce qu’on appelle aujourd’hui « la rafle des années 1960 ».
     
    De décembre 1965 à décembre 1984, jusqu’à 16 000 enfants autochtones en Ontario ont été enlevés à leur famille pour être confiés à des familles allochtones, en vertu d’une entente conclue entre Ottawa et les services sociaux ontariens.


    . . . . . .

    Me Wilson a notamment plaidé, mardi, que les motifs réels de la « rafle », menée sans aucune consultation avec les autochtones, demeurent obscurs. Mais il a suggéré que cette « abomination » pouvait faire partie du plan plus vaste du gouvernement fédéral pour « extirper le sauvage de ces enfants ».
     
    En dérobant ainsi leur identité, on a privé ces enfants des Premières Nations de toute l’expérience culturelle et linguistique que les autres petits Canadiens tiennent pour acquise, a fait valoir, en substance, Me Wilson. Les préjudices sont « profonds et permanents », a-t-il affirmé, même si cette « calamité morale » a eu lieu il y a plusieurs années.

    #Canada #déportation #autochtones #Premières_Nations #enlèvement #traite_des_êtres_humains

  • Top Canada Destinations for New Immigrants
    http://www.permitsandvisas.com/top-canada-destinations-for-new-immigrants

    Top Canada Destinations for New Immigrants Here are MoneySense’s rating for the best destinations in Canada for new immigrants this 2016. There are several Canada destination which are crowded ones. The ranking focused on the employment rates and immigrant population in Canada. Ottawa made it to the first place in the list of best destinations […]

  • North American summit dominated by Brexit fallout and geopolitical rivalries - World Socialist Web Site

    http://www.wsws.org/en/articles/2016/06/30/nasu-j30.html

    President Barack Obama, Mexican President Enrique Peña Nieto and Canadian Prime Minister Justin Trudeau met in Ottawa yesterday for the long-delayed North American Leaders’ Summit.

    The meeting of the heads of government of the three North American countries, which through the North American Free Trade Agreement (NAFTA) form an economic bloc, was originally slated for February 2015. But former Canadian Prime Minister Stephen Harper put it off due to ongoing tensions with the US, principally related to the Keystone XL oil pipeline and frictions with Mexico over Canadian visa restrictions on Mexican citizens. Initiated in 2005, the North American Leaders’ Summit is supposed to be an annual event, but yesterday’s was the first to be hosted by Canada in almost a decade.

    #états-unis #géopolitique #géostratégie

  • Après l’UE, que vive l’UAN
    http://www.dedefensa.org/article/apres-lue-que-vive-luan

    Après l’UE, que vive l’UAN

    Certes, ce n’est pas la première fois qu’un président mexicain propose la chose à ses deux partenaires nord-américains, mais cette fois la proposition dispose d’une actualité considérable pour l’éclairer, et c’est d’ailleurs à cette actualité qu’elle se réfère. Le président mexicain Enrique Pena Nieto annonce effectivement qu’il va proposer dans la réunion continentale d’aujourd’hui à Ottawa, à ses partenaires nord-américains USA et Canada, une union de type UE (UAN pour Union de l’Amérique du Nord) pour les trois pays du continent nord-américain. L’affaire est annoncée par Infowars.com le 28 juin, avec des commentaires particulièrement critiques bien entendu.

    Il n’est pas assuré que cette proposition soit jugée opportune par l’administration Obama dans l’actualité US aujourd’hui, dans la (...)

  • Be Happier By Knowing Your Future Self - Facts So Romantic
    http://nautil.us/blog/be-happier-by-knowing-your-future-self

    Aren’t you positively brimming with joy, now that winter has gone? No? Me neither. Yet several months ago, I couldn’t wait for the Ottawa snow to melt and spring to start. Now that it’s here, though, I can’t really tell what I thought was so exciting. This is because when we imagine the future—like how we’ll feel when spring starts—we tend to only focus on the most salient features of whatever we picture. In a 2005 study, Kent Lam and his colleagues asked Canadians about how happy they would feel when it got warmer, and then measured later how happy they actually were. The Euro-Canadians in the study thought they’d be much happier than they ended up being. (The Asians in the study, though, did not. Evidence suggests East Asian cultures think more holistically, and don’t focus much on just (...)

  • Bienvenue sur ASRDLF2016 à Gatineau, Québec – 53ème colloque de l’Association de Science Régionale De Langue Française |

    ASRDLF2016 à Gatineau, Québec – 53ème colloque de l’Association

    de Science Régionale De Langue Française
    http://www.asrdlf2016.com

    Avec la montée de la perspective territoriale, les sciences régionales prennent maintenant en considération de nouveaux territoires de développement dont les contours sont plus incertains que jamais. Parmi ces territoires aux contours flous, les régions transfrontalières retiennent de plus en plus l’attention des chercheurs tant en Europe qu’en Amérique du Nord, voire ailleurs dans le monde. L’émergence des régions transfrontalières comme objet de recherche dans les études régionales, et plus largement en sciences sociales, permet non seulement de s’interroger sur les nouveaux découpages territoriaux dans la dynamique de développement, mais également de relever des questions originales pour la recherche. C’est sur ces nouvelles questions que s’intéresse principalement le colloque de 2016 :

    Quels sont les rapports entre les découpages institutionnels et les découpages fonctionnels ?
    Comment émergent de nouvelles identités régionales ?
    Quelles sont les formes contemporaines de territorialisation des politiques publiques ?
    Quelles sont les dynamiques de construction de nouvelles échelles d’action publique ?

    La région d’Ottawa-Gatineau est un laboratoire de premier plan pour poser ces questions et observer les dynamiques de régions transfrontalières dans le contexte du fédéralisme canadien. C’est dans cette région qui est également la capitale fédérale canadienne que seront conviés les congressistes de l’ARSDLF en 2016.

    #frontières #-découpàage_régional #régions #territoire #unité_territoriale

  • Romania will veto the EU-Canada trade deal – EurActiv.com
    https://www.euractiv.com/section/trade-society/news/romania-will-veto-the-eu-canada-trade-deal

    Romania will not ratify the Comprehensive Economic and Trade Agreement (#CETA) between the EU and Canada which was concluded in 2014, as an angry reaction to the refusal by Ottawa to lift the visa requirement of its nationals, but also for the lack of EU solidarity for solving the issue.

    #AECG

    Accord économique et commercial global — Wikipédia
    https://fr.wikipedia.org/wiki/Accord_économique_et_commercial_global

    L’accord économique et commercial global (AECG), ou Comprehensive Economic and Trade Agreement (CETA) est le traité établi entre le Canada et l’Union européenne, dont les négociations avaient été conclues le 18 octobre 20133 et qui a été signé le 26 septembre 2014. Ce traité couvre la plupart des aspects de la relation économique bilatérale, notamment les produits et les services, l’investissement et les achats gouvernementaux. Avant sa mise en œuvre, « le texte de l’entente devra toutefois être approuvé par les dix provinces canadiennes ainsi que les 28 États de l’UE », ce qui peut exiger de 18 à 24 mois.

  • Ottawa croit qu’il y a plus que 1200 femmes autochtones assassinées ou disparues | ICI.Radio-Canada.ca

    http://ici.radio-canada.ca/nouvelles/Politique/2016/02/16/006-patricia-hajdu-carolyn-bennett-femmes-autochtones-assassinees-d

    Via Elisabeth Vallet

    Le nombre de femmes autochtones disparues ou assassinées au pays est sans contredit plus élevé que 1200, comme l’estime la Gendarmerie royale du Canada (GRC), affirment deux ministres du gouvernement Trudeau.

    Après que la ministre des Affaires autochtones, Carolyn Bennett, eut déclaré lundi que le nombre réel était « beaucoup plus élevé que 1200 », la ministre de la Condition féminine, Patricia Hajdu, se montre elle aussi disposée à admettre que l’étendue de cette tragédie est sous-estimée.

    Dans un rapport publié en 2014, la GRC estimait que 1017 femmes autochtones avaient été assassinées entre 1980 et 2012, et que 164 autres étaient disparues. Elle a ajouté 32 morts et 11 disparitions à ce sombre bilan en 2015.

    #canada #féminicide #peuples_autochtones #idle_no_more #nations_premières #nations_indiennes