city:oxfam

  • Succés de la pétition « l’affaire du siècle »
    http://www.passerelleco.info/spip.php?article2239

    La pétition « L’affaire du siècle », qui soutien le procès contre l’état français pour non respect de ses engagements climatiques, a connu un succès phénoménal : en 1 jour, elle a reçu 1 million de signatures, et aprés 2 semaines, elle approche les 2 millions. Quatre associations, Notre Affaire à Tous, la Fondation pour la Nature et l’Homme, Greenpeace France et Oxfam France ont décidé, au nom de l’intérêt général, d’attaquer l’Etat français en justice pour qu’il respecte ses engagements climatiques et (...)

    #Appels

  • Succés de la pétition « l’affaire du siècle »
    http://www.passerelleco.info/article.php?id_article=2239

    La pétition « L’affaire du siècle », qui soutien le procès contre l’état français pour non respect de ses engagements climatiques, a connu un succès phénoménal : en 1 jour, elle a reçu 1 million de signatures, et aprés 2 semaines, elle approche les 2 millions. Quatre associations, Notre Affaire à Tous, la Fondation pour la Nature et l’Homme, Greenpeace France et Oxfam France ont décidé, au nom de l’intérêt général, d’attaquer l’Etat français en justice pour qu’il respecte ses engagements climatiques et (...)

    #Appels

  • L’État attaqué en justice pour inaction climatique
    18 décembre 2018 / Marie Astier (Reporterre)
    https://reporterre.net/L-Etat-attaque-en-justice-pour-inaction-climatique

    Quatre ONG lancent mardi 18 décembre une action en justice climatique contre l’État français. Elles entendent démontrer que sa politique est largement insuffisante pour protéger les citoyens du changement climatique. Une démarche qui s’inscrit dans un mouvement international lancé depuis plusieurs années.

  • Les « travailleuses pauvres » sont de plus en plus nombreuses - La Croix
    https://www.la-croix.com/Economie/Social/travailleuses-pauvres-sont-nombreuses-2018-12-17-1200990100
    https://img.aws.la-

    [...]« La France compte plus de deux millions de #travailleurs_pauvres et traverse une crise sans précédent de son modèle social. La situation est préoccupante pour les #femmes », souligne Pauline Leclère, responsable de campagne « justice fiscale et inégalités » chez Oxfam France, à l’initiative du rapport Travailler et être pauvre : les femmes en première ligne, publié lundi 17 décembre, et qui présente notamment le cas de Daphné.

    La limite de l’exercice est que le rapport s’appuie sur des données issues de sources multiples, voire contradictoires… « Sur un sujet aussi important, il faudrait pouvoir disposer d’indicateurs #statistiques permettant d’évaluer avec précision l’ampleur des #inégalités », reconnaît Pauline Leclère.

    78 % des #emplois_à_temps_partiel occupés par des femmes

    Selon Eurostat, l’office statistique de l’Union européenne, la part de femmes en activité professionnelle et pauvres dans l’hexagone est passée de 5,6 % à 7,3 % entre 2006 et 2017 (1). Les femmes se retrouvent principalement dans des secteurs qui proposent de nombreux emplois à temps partiel, correspondant aux métiers les moins valorisés et rémunérés. Par exemple les métiers du #nettoyage, du #commerce et du #service_à_la_personne. Parmi les employés non qualifiés, 49 % des femmes sont à temps partiel, contre 21 % des hommes.

    En 2017, les femmes occupaient 70 % des #CDD et des emplois intérimaires et 78 % des emplois à temps partiel. Ce type d’emplois « provoque une insertion discontinue sur le marché du travail et une dégradation des #conditions_de_vie des femmes (#horaires_atypiques, #emplois_pénibles …). Cela entrave la consolidation de l’expérience professionnelle ou conduit même à une dépréciation des compétences », souligne le rapport.

    Difficulté à combiner vie professionnelle et vie de famille

    Les emplois précaires affectent l’articulation entre vie professionnelle et vie familiale. Dans les métiers peu qualifiés comme l’aide à la personne ou la #garde_d’enfants, les #travailleuses ont souvent des horaires courts et combinent plusieurs employeurs. Ainsi, 85 % des salariés ayant plus d’un employeur sont des femmes.

    « Pourtant, parmi les actifs souhaitant travailler plus, 75 % sont des travailleuses, souligne Claire Hédon, présidente d’ATD Quart Monde France. Il y a beaucoup d’idées reçues sur ces mères de famille vivant des #aides_sociales. La réalité est toute autre, puisqu’elles préfèrent exercer un #emploi même s’il ne leur permet pas de subvenir à leurs besoins. »

    Un million de travailleuses à la tête d’une famille monoparentale vit sous le seuil de pauvreté

    « À la faiblesse du #revenu du travail peut s’ajouter un facteur démographique, car pour mesurer les niveaux de vie, on tient compte des revenus de l’ensemble du ménage. Ainsi, une femme qui doit faire vivre une famille avec un seul smic se situe largement en dessous du seuil de pauvreté », constate l’Observatoire des inégalités.

    En France, les femmes à la tête d’une famille monoparentale sont particulièrement touchées par ce phénomène : parmi celles qui travaillent, près d’un quart vit sous le seuil de pauvreté, soit un million de femmes.

    Romane Ganneval


    (1) Eurostat fixe le seuil de pauvreté à 60 % du niveau de vie médian, soit 1 026 € en 2016. En France, le seuil de pauvreté est fixé par l’Insee à la moitié du revenu médian, soit 855 € par mois pour une personne seule.

    #travail #intérim #précarité #droit_au_chômage #chômeurs_en_activité_à_temps_réduit #prime_d'activité

  • Paradis fiscal : quelle définition et quels pays ? | Oxfam France
    https://www.oxfamfrance.org/actualites/justice-fiscale/paradis-fiscal-quelle-definition-et-quels-pays

    Les paradis fiscaux sont des pays ou des territoires à fiscalité réduite ou nulle et sont au cœur de scandales d’évasion fiscale - on vous explique ce qui les définit.

    Mettre un terme à l’ère des paradis fiscaux est aujourd’hui indispensable pour lutter contre les inégalités et arrêter l’hémorragie fiscale qui prive les Etats d’une grande partie de leurs recettes publiques.

    Beaucoup reste à faire pour cela : savez-vous que la France ne reconnait aujourd’hui que sept paradis fiscaux dans le monde ? Quant à l’OCDE (l’Organisation de coopération et de développement économique), elle n’en liste qu’un seul : Trinidad et Tobago. Cela parait bien peu crédible alors que l’utilisation massive des paradis fiscaux fait l’actualité (Offshore Leaks, Football Leaks, LuxLeaks, Panama Papers, Paradise Papers…) mettant en lumière des territoires notoirement connus pour leur fiscalité « avantageuse », de par le monde.

    #paradis_fiscaux

  • La proposition de taxe sur les géants de l’Internet est-elle sérieuse ? | Mediapart
    https://www.mediapart.fr/journal/international/160917/la-proposition-de-taxe-sur-les-geants-de-linternet-est-elle-serieuse?ongle

    Beaucoup de géants de l’Internet évitent l’impôt en prétendant ne pas disposer dans un pays d’un tel établissement permanent, alors même qu’ils y réalisent une activité importante. D’où les réflexions pour définir ce qu’est une « présence numérique ». Parallèlement, l’OCDE réfléchit de son côté à cette notion et devrait faire dès novembre 2017 des propositions sur le sujet. Mais à Bercy, on affirme que tout cela va trop lentement et qu’il faut donc en passer par la taxation du chiffre d’affaires avant de trouver des solutions plus pérennes.

    L’initiative révèle certes une prise de conscience de la situation qui est « la bienvenue », selon Manon Aubry, responsable de ce dossier pour l’ONG Oxfam France. Officiellement, elle a été saluée comme telle un peu partout. Et notamment par le commissaire européen aux affaires économiques et monétaires, à la fiscalité et à l’union douanière Pierre Moscovici, dans un entretien publié le 14 septembre par Les Échos. Mais cet accueil reste prudent. « Nous allons mettre sur la table différentes options et peser le pour et le contre », a indiqué le commissaire européen. Quant à Manon Aubry, elle estime que ce projet, s’il permet « de placer à nouveau la question de la taxation des multinationales au centre des débats, ne saurait régler en lui-même le problème ». Même la députée En Marche ! Émilie Cariou, membre de la commission des finances, se montre prudente sur le sujet et exprime ses « doutes ». Car en réalité, le projet français pose davantage d’interrogations qu’il n’apporte de réponses.

    #Fiscalité #GAFA #Europe

  • Insécurité alimentaire en Afrique : trois ONG demandent aux bailleurs de ne plus financer les agropoles - JeuneAfrique.com
    http://www.jeuneafrique.com/445942/economie/trois-ong-denoncent-solution-miracle-agropoles-reduire-linsecurite-ali

    Intitulé « #Agriculture africaine : l’impasse des pôles de croissance agricoles », un rapport co-écrit par les ONG Action contre la Faim, CCFD-Terre Solidaire et Oxfam France remet en question les pôles de croissance agricole. Ceux-ci sont promus, entre autres, par la Banque mondiale, la Banque Africaine de Développement, la plateforme Grow Africa et la Nouvelle Alliance pour la Sécurité Alimentaire et la Nutrition (#Nasan), comme une solution pour lutter contre l’insécurité alimentaire et la malnutrition.

    Ces pôle de croissance agricoles, ou #agropoles, sont développés sur des #terres à fort potentiel agricole. Le concept repose sur la concentration, dans une zone circonscrite, d’infrastructures et de facilités réglementaires, législatives, douanières et fiscales pour encourager les investissements privés et favoriser des partenariats entre acteurs public et privés.


    #ppp #alimentation #agro-industrie #insécurité_alimentaire

  • Les profits juteux des banques françaises dans les paradis fiscaux
    http://www.lemonde.fr/economie/article/2016/03/16/les-profits-juteux-des-banques-francaises-dans-les-paradis-fiscaux_4883928_3

    Les banques françaises abusent-elles des paradis fiscaux ? Dans un rapport inédit, fondé sur des données officielles, et publié mercredi 16 mars, trois organisations non gouvernementales (le Comité catholique contre la faim et pour le développement-Terre solidaire – CCFD, Oxfam France et le Secours catholique-Caritas France) associées à la Plateforme paradis fiscaux et judiciaires, un réseau anticorruption, livrent ce chiffre choc : à elles cinq, BNP Paribas, la Société générale, BPCE (Banque populaire-Caisse d’épargne), le Crédit agricole et le Crédit mutuel-CIC ont réalisé 5 milliards d’euros de bénéfices dans des pays à basse fiscalité en 2014.

    « Jusqu’ici on avait l’intuition que les paradis fiscaux jouaient un rôle essentiel dans la stratégie de développement à l’international des banques. Grâce à l’exercice de transparence auquel doivent désormais se plier les banques, en voici la preuve documentée », estiment Manon Aubry (Oxfam France) et Lucie Watrinet (CCFD-Terre solidaire), coautrices de l’enquête.

    #paradis_fiscaux #spoliation #banksters

  • « 50 nuances d’évasion fiscale au sein de l’Union européenne », la France pointée du doigt | L’Humanité
    http://www.humanite.fr/50-nuances-devasion-fiscale-au-sein-de-lunion-europeenne-la-france-pointee-

    Téléchargez le nouveau rapport « 50 nuances d’évasion fiscale » qui analyse les mesures européennes et compare les politiques de lutte contre l’#évasion_fiscale de 15 pays européens. Un an après le scandale Luxleaks, qui a révélé l’ampleur de l’évasion fiscale au niveau européen, la France est notamment pointée du doigt par les ONG pour son rétropédalage sur la #transparence fiscale des entreprises : longtemps leader européen en la matière, elle fait désormais machine arrière.
    Réalisé par Eurodad avec une quinzaine d’associations européennes, dont le CCFD-Terre Solidaire et Oxfam France, ce rapport démontre que les Etats européens, malgré des démarches proactives, n’ont pas pris la mesure du problème, comme le montrent les derniers scandales impliquant McDonald’s, Fiat ou Starbucks. Plus grave encore, les mécanismes facilitant l’évasion fiscale au sein de l’Union européenne prolifèrent toujours, offrant autant de choix et de « nuances » aux entreprises multinationales qui souhaitent échapper à l’impôt. Douze « patent boxes » (régime préférentiel d’imposition pour les revenus tirés de dépôt de brevets) sont ainsi désormais en vigueur ou en passe d’être mises en place dans l’Union européenne, dont six ont été introduites ces cinq dernières années. Les citoyens de l’Union européenne et des pays en développement sont les premiers à payer le prix de cette crise fiscale.

  • Oxfam France - Communiqué de presse

    26 août 2015

    36 organisations humanitaires et plus de 400 000 personnes lancent un appel mondial pour mettre fin au blocus de Gaza

    https://secure.avaaz.org/fr/gaza_blockade_fr/?bLbCSbb&v=63840

    Plus de 400 000 personnes à travers le monde ont apporté leur soutien à un appel sans précédent lancé par 36 organisations humanitaires, confessionnelles, de développement et de défense des droits de l’homme, exhortant les dirigeants mondiaux à accentuer la pression sur le gouvernement israélien pour lever le blocus de Gaza et mettre fin aux restrictions sur l’importation de matériaux de base requis pour reconstruire la bande de Gaza.

    Alors que le nombre de personnes soutenant l’appel croît d’heure en heure, cela est rapidement devenu le plus grand appel mondial jamais émis par des organisations internationales et le grand public pour mettre fin au blocus sur la bande de Gaza, exigeant ainsi que les dirigeants mondiaux tiennent les promesses faites il y a un an pour la reconstruction de Gaza.

    A l’occasion de l’anniversaire de la fin du conflit entre le gouvernement israélien et les groupes armés palestiniens, les organisations demandent que les matériaux de construction comme le bois, le ciment et les barres d’acier soient autorisés à entrer à Gaza afin de reconstruire urgemment les hôpitaux, les écoles et les maisons.

    L’année dernière, plus de 19 000 maisons ont été détruites et 100 000 personnes laissées sans abri à cause du conflit. Les bailleurs de fonds ont promis 3,5 milliards de dollars pour reconstruire Gaza, mais un an plus tard, les restrictions israéliennes continuent de causer des retards. Les travaux de reconstruction ont commencé sur un peu plus de 2 000 des 19 000 maisons détruites l’an dernier mais aucune maison n’a été entièrement reconstruite.

    Soutenant la campagne, Fadi Quran, Chargé de campagnes à Avaaz a déclaré :

    "Il est scandaleux qu’un an après la dernière guerre à Gaza, pas une seule maison n’ait été entièrement reconstruite et que le monde ait laissé les familles dans les décombres. Les gouvernements permettent à Israël de violer les lois humanitaires les plus élémentaires, et depuis le début du blocus, trois guerres ont éclatées et des centaines d’enfants ont été tués. Cet appel massif montre que partout dans le monde des gens veulent que leurs gouvernements agissent maintenant pour mettre fin à ce blocus illégal, inhumain et dangereux. "

    La campagne lancée par le mouvement citoyen mondial Avaaz et les organisations signataires précise : "En imposant des restrictions sur le mouvement des biens et des personnes, le blocus punit des civils innocents pour des actes dont ils ne sont pas responsables. Aucun motif ne peut justifier de laisser des familles sans domicile et des malades sans hôpital ".

    Ibrahim ElShatali, habitant de la ville de Gaza, témoigne depuis l’intérieur de la bande de Gaza :

    "Beaucoup de mes amis et des membres de ma famille sont sans-abri depuis des mois maintenant - comment pouvons-nous vivre comme cela, entourés par des gravats, sans espoir et sans aucune perspective pour un avenir meilleur ? Tout ce dont nous avons besoin, ce sont des matériaux de construction et un nouveau départ dans la vie ".

    Selon un récent rapport publié par des ONG internationales, le blocus illégal imposé par Israël a entravé les efforts de reconstruction, et aggravant ainsi la crise humanitaire dans la bande de Gaza :

    • Seulement 5% des 6,7 millions de tonnes de matériaux de reconstruction urgemment requis pour réparer ce qui a été détruit l’été dernier ont été autorisés à entrer dans Gaza un an après le cessez-le feu. A ce rythme, la reconstruction pourrait prendre 17 ans.

    • 11 écoles et universités ont été totalement détruites et 253 autres institutions scolaires ont été gravement endommagées pendant la guerre, privant ainsi 559 000 étudiants d’un enseignement de qualité ;

    • 120 000 personnes n’ont toujours pas accès aux réseaux d’eau et de traitement des eaux usées. Les réparations des 35 000 mètres de canalisations endommagées ou détruites sont très lentes. L’assainissement dans certaines parties de la bande de Gaza est épouvantable, avec des bassins qui débordent et des déchets non traités qui s’écoulent à travers les rues.

    • 81 hôpitaux et cliniques ont été endommagés ou détruits par le conflit. Malgré les fonds alloués pour la reconstruction de certaines de ces installations, les matériaux de construction requis n’ont pas été autorisés à entrer à Gaza.

    D’après Tony Laurance, Directeur Exécutif de Medical Aid for Palestinians :

    "Ce dont Gaza a besoin plus que tout est la reconstruction, mais le gouvernement israélien limite l’entrée des matériaux de construction, même les plus élémentaires. Ces restrictions strictes empêchent la reconstruction des infrastructures les plus vitales dans la bande de Gaza, y compris les hôpitaux et les cliniques. Les gens à travers le monde sont en train de dire « ça suffit », et exhortent les leaders mondiaux à accentuer la pression sur Israël pour mettre fin au blocus maintenant. "

    Si la responsabilité de lever le blocus de Gaza incombe avant tout à Israël, les organisations adhérant à la campagne reconnaissent que la reconstruction est également entravée par l’échec des partis politiques palestiniens à se réconcilier et à prioriser la reconstruction, ainsi que par la fermeture par l’Egypte de sa frontière avec Gaza.

    Le gouvernement israélien justifie les restrictions pour des raisons de sécurité. Cependant, les Nations Unies et le Comité international de la Croix-Rouge ont rappelé à plusieurs reprises que le blocus est une violation du droit international. En effet, rien ne peut justifier de punir collectivement une population entière et de laisser des dizaines de milliers de familles sans abri et des centaines de milliers d’enfants sans écoles ou centres de santé.

    William Bell, Chargé de Plaidoyer pour Israël et les Palestiniens à Christian Aid, a déclaré :

    "Avec les égouts débordant sur les trottoirs, l’approvisionnement très limité en eau et en électricité et les écoles qui ressemblent plus à des sites de bombardements qu’à des lieux où les enfants peuvent recevoir une éducation, l’espoir s’amenuise et l’avenir de la bande de Gaza reste sombre. Le blocus a contribué à créer des taux de chômage et de dépendance à l’aide parmi les élevés au monde, plongeant dans la misère plus de 1,8 million de civils. Il doit prendre fin maintenant. "

    Le texte intégral de la pétition soutenue par les organisations signataires peut être lu ici. Il appelle notamment les dirigeants des États-Unis et de l’UE à faire pression pour mettre fin au blocus et autoriser l’importation des matériaux de construction requis désespérément, y compris le bois, les agrégats, les barres d’acier et le ciment.

    Les organisations signataires sont :

    1. Avaaz

    2. Action Against Hunger (ACF)

    3. ActionAid

    4. Asamblea de Cooperacion por la Paz (ACPP)

    5. Alianza por la Solidaridad

    6. Broederlijk Delen

    7. Christian Aid

    8. COSPE, Cooperazione per lo Sviluppo dei Paesi Emergenti

    9. CISP-Comitato Internazionale Sviluppo dei Popoli

    10. CCFD-Terre Solidaire

    11. Diakonia

    12. Embrace the Middle East

    13. Fobzu (Friends of Birzeit University)

    14. Plateforme des ONG françaises pour la Palestine

    15. GVC

    16. HelpAge international

    17. Heinrich Böll Foundation Palestine/Bureau Jordanie

    18. HEKS/EPER

    19. Japan International Volunteer Center

    20. Medical Aid for Palestinians (MAP – UK)

    21. medico international

    22. Mennonite Central Committee

    23. Norwegian Church Aid (NCA)

    24. Norwegian People’s Aid (NPA)

    25. Overseas

    26. Oxfam

    27. Pax Christi Flanders

    28. Pax Christi International

    29. Physicians for Human Rights – Israel

    30. Rebuilding Alliance

    31. Secours Islamique France

    32. Trócaire

    33. Terre des Hommes Italie

    34. The Lutheran World Federation

    35. The Swedish Organisation for Individual Relief/ IM- Swedish Development Partner

    36. World Vision International

    #gaza#blocus#israel#pétition

  • Sécurité alimentaire en #Afrique : des ONG demandent à la France de quitter la NASAN
    http://farmlandgrab.org/post/view/24998-securite-alimentaire-en-afrique-des-ong-demandent-a-la-france-de

    Les ONG Action contre la faim, Oxfam France et CCFD-terre solidaire demandent à la France de se retirer de l’initiative de la Nouvelle alliance pour la #sécurité_alimentaire (#NASAN), lancée par le #G8, qui selon elles « aggrave les risques d’insécurité alimentaire et nutritionnelle en Afrique subsaharienne ».

    Lancée par le G8 en mai 2012 pour « sortir 50 millions de personnes de la pauvreté » dans 10 pays d’Afrique et en 10 ans, la NASAN a un budget de 9 milliards d’euros répartis à moitié entre les états membres du G8 et les entreprises.

    Mais, trois ans après son lancement, et malgré des demandes de réforme, « la NASAN reste bel et bien un cadre qui met en péril la sécurité alimentaire en Afrique subsaharienne et les droits fondamentaux des populations vulnérables dans les pays ciblés », assurent les trois ONG qui demandent que la France « prenne acte de cet échec » et « quitte cette initiative ».

  • Trois banques françaises accusées de spéculer sur la faim dans le monde
    http://www.lefigaro.fr/conjoncture/2015/02/24/20002-20150224ARTFIG00004-trois-banques-francaises-accusees-de-speculer-sur

    L’ONG Oxfam France vient de publier la seconde édition de son rapport lancé en 2013 sur les établissements bancaires français qui spéculent sur la faim dans le monde à travers des fonds de placement spécialisés dans le secteur des matières premières agricoles. Parmi les quatre établissements financiers pointés du doigt en 2013, le Crédit Agricole « semble bien avoir respecté ses engagements et cessé toute activité spéculative sur les marchés agricoles, mais refuse toujours de prendre des engagements fermes dans la durée », note Oxfam dans son dernier rapport sur ce sujet.

    En revanche, « trois groupes bancaires français proposent toujours à leurs clients des outils permettant de spéculer sur les prix des matières premières agricoles : BNP Paribas, Société Générale et BPCE via Natixis, toujours selon Oxfam. Le montant total des fonds gérés par celles-ci s’élève aujourd’hui à au moins 3,561 milliards d’euros », contre 2,58 milliards en 2013. Un montant en augmentation de 38% en 2 ans malgré le retrait du Crédit Agricole.

  • Au rythme actuel, il faudra un siècle pour reconstruire Gaza
    Oxfam France, communiqué de presse

    26 février 2015

    De nouvelles statistiques publiées aujourd’hui montrent que les entrées de matériaux de construction essentiels ont diminué le mois dernier. Oxfam s’en alarme : au rythme actuel, la reconstruction d’habitations, d’établissements scolaires et de structures de santé indispensables risque de prendre plus de cent ans.

    Au cours des trois derniers mois, moins de 0,25 % des matériaux de construction nécessaires ont pu entrer dans la bande de Gaza. Six mois après la fin du conflit, la situation ne cesse de s’aggraver. Oxfam appelle de toute urgence à la fin du blocus israélien, en place depuis près de huit ans.

    Selon les organisations humanitaires actives sur le terrain, plus de 800 000 camions chargés de matériaux de construction seraient nécessaires pour construire les habitations, les établissements scolaires, les structures de santé et autres infrastructures dont les Gazaouis ont absolument besoin après les conflits à répétition et les années de blocus. Pourtant, en janvier, seulement 579 camions de matériaux sont entrés dans la bande de Gaza – encore moins que les 795 du mois précédent. Environ 100 000 personnes, dont plus de la moitié sont des enfants, continuent de vivre dans des abris et des logements temporaires ou se sont réfugiés chez leur famille élargie, suite à la destruction de leur logement. Des dizaines de milliers d’autres familles vivent quant à elles dans des habitations fortement endommagées.

    « Seule la fin du blocus permettrait aux Gazaouis de reconstruire leur vie , insiste Jean-Patrick Perrin, chargé de plaidoyer humanitaire à Oxfam France. Des familles vivent dans des maisons sans toit, sans murs ni fenêtres depuis six mois. Beaucoup n’ont d’électricité que six heures par jour et sont sans eau courante. Chaque jour qui passe sans que ces gens aient la possibilité de reconstruire met en péril davantage de vies. Il est tout à fait déplorable que la communauté internationale manque une fois de plus à ses devoirs vis-à-vis de la population gazaouie qui a tant besoin d’aide. »

    Il n’y a eu aucune avancée concernant les pourparlers de fond sur une solution à long terme à la crise de Gaza, qui étaient censés être organisés après le cessez-le-feu. Oxfam appelle les deux parties à rechercher activement une solution pacifique, comprenant la fin du blocus israélien toujours en place, qui continue d’avoir un impact catastrophique sur la population gazaouie. Des tensions croissantes au sein du gouvernement d’unité palestinien exacerbent en outre la situation à Gaza.

    L’an dernier, à cause de ce blocus, les exportations gazaouies de produits agricoles n’ont atteint que 2,7 % de leur volume d’avant l’imposition du blocus. Les pêcheurs se voient toujours imposer une zone de pêche de six milles nautiques (11 km), loin des eaux les plus poissonneuses, et les agriculteurs n’ont pas accès à la majeure partie des terres les plus fertiles. La bande de Gaza reste coupée de la Cisjordanie, et la plupart de ses habitant-e-s ne sont toujours pas autorisés à en sortir. Par ailleurs, la frontière avec l’Égypte a été fermée quasiment en permanence ces deux derniers mois, empêchant des milliers de personnes de se déplacer.

    Face à l’augmentation des besoins, Oxfam et ses partenaires fournissent de l’eau potable, des bons alimentaires et des soins de santé aux communautés de la bande de Gaza.

    Notes aux rédactions :

    – Le groupe sectoriel Abris et l’ONU ont estimé que la bande de Gaza a besoin d’environ 800 000 chargements de matériaux de construction civile dits « ABC », à savoir les matériaux de construction les plus essentiels : agrégats, barres en acier et ciment. Ce chiffre couvre les travaux de réparation des habitations sinistrées lors du conflit de 2014, pendant lequel plus de 16 000 habitations ont été détruites ou sont devenues inhabitables et plus de 133 000 autres ont été endommagées, mais aussi des milliers d’habitations détruites lors des conflits précédents et jamais reconstruites, ainsi que les besoins découlant de la croissance démographique naturelle de la bande de Gaza au cours des huit années de blocus. Pendant cette période, la population a augmenté de plus de 300 000 personnes. Plus de 200 nouvelles infrastructures scolaires et de santé, notamment, sont également nécessaires dans la bande de Gaza.

    – Selon les chiffres réunis par PalTrade, partenaire d’Oxfam, et confirmés par d’autres organisations internationales, en janvier, seuls 595 camions de matériaux ABC sont entrés dans la bande de Gaza, contre 795 en décembre 2014 et 287 en novembre 2014. Cela correspond à un total de seulement 1 661 camions de matériaux ABC sur les trois mois complets suivant la conférence internationale des donateurs pour la reconstruction de la bande de Gaza, qui s’est tenue au Caire, en octobre 2014. Au rythme de ce dernier trimestre, cela prendrait plus de cent ans pour atteindre le nombre susmentionné de chargements nécessaires.

    Pour plus d’informations sur la situation dans la bande de Gaza, voir le bulletin d’information d’Oxfam (en anglais) : http://eepurl.com/be18xf
    #Gaza#reconstruction#matériel#blocus

  • Les banques françaises continuent-elles de « spéculer sur la faim » ?
    http://multinationales.org/Les-banques-francaises-continuent-elles-de-speculer-sur-la-faim

    Les trois principales banques françaises avaient promis en 2013 de mettre fin à leurs activités spéculatives sur les produits agricoles. Une étude de l’ONG #Oxfam révèle qu’il n’en est rien. Seul le #Crédit_agricole a tenu ses engagements. Cette #spéculation, qui a contribué il y a quatre ans à faire exploser le prix du blé et à provoquer des émeutes de la faim dans les pays pauvres, s’est accrue. La spéculation sur les #matières_premières est censée être encadrée à partir de juillet 2015 par l’Autorité des (...)

    Actualités

    / Oxfam, #France, #Finances_et_banques, #Agroalimentaire, #BNP_Paribas, #Société_générale, #BPCE, #Natixis, Crédit agricole, spéculation, matières premières, #Agriculture_et_alimentation, #financiarisation, #transparence, #alimentation, #Paradis_fiscaux, A la (...)

    "http://www.oxfam.org/fr"

  • La France met en échec la taxe sur les transactions financières
    http://www.brujitafr.fr/2014/12/la-france-met-en-echec-la-taxe-sur-les-transactions-financieres.html

    Le « compromis » proposé par la France sur la taxe sur les transactions financières a mené à l’échec l’accord prévu ce mardi 9 décembre entre les onze États membres concernés. Les ONG Aides, Coalition PLUS, Oxfam France et Attac France en appellent à François Hollande.

    Les onze pays de la zone euro concernés par le projet de taxe sur les transactions financières (TTF) ne sont pas parvenus à se mettre d’accord lors de la réunion des ministres des Finances européens à Bruxelles (conseil Ecofin), le 9 décembre, qui devait avaliser le projet porté par la France et l’Allemagne, mais rejeté par le Royaume-Uni.

    Dans un communiqué, les ONG Aides, Coalition PLUS, Oxfam France et Attac France ont déclaré être « sidérées de constater que la France est prête à se priver de milliards d’euros de recettes supplémentaires par (...)

  • à égalité ! Il est temps de mettre fin aux inégalités extrêmes | Oxfam France
    http://oxfamfrance.org/rapports/a-egalite-il-est-temps-mettre-fin-aux-inegalites-extremes

    À l’aide de nouvelles recherches et de nouveaux exemples observés dans le monde entier, le présent rapport illustre la portée du problème des inégalités économiques extrêmes et révèle les multiples dangers qu’il pose pour les citoyens, où qu’ils se trouvent. Il identifie les deux puissantes forces motrices qui ont conduit à l’augmentation rapide des inégalités dans de nombreux pays : le capitalisme sauvage et la mainmise des élites sur le monde politique. Ce rapport met en avant quelques-unes des étapes concrètes qu’il est possible de suivre pour répondre à cette menace et présente des éléments qui prouvent que le changement est possible.

  • Arrestation d’Ali Idrissa, coordinateur du Rotab, au Niger, le jour de la visite de François Hollande

    Publiez Ce Que Vous Payez et Oxfam France condamnent l’arrestation de M. Ali Idrissa, coordinateur de PCQVP Niger et du Rotab.

    M. Idrissa a été arrêté à son domicile par la police nigérienne à 04h00 ce matin. L’interpellation fait suite à une conférence de presse hier, lors de laquelle M. Idrissa avait abordé le partenariat, récemment renouvelé, entre AREVA et le Niger, ainsi que la visite du Président François Hollande en Afrique de l’Ouest. M. Idrissa avait appelé AREVA à respecter les lois du Niger et il a dénoncé certains aspects de la relation France - Niger comme étant néo-coloniale. M. Idrissa avait été brièvement arrêté hier, immédiatement après la conférence, avant d’avoir été relâché le même jour.

    Le Président François Hollande devrait être à Niamey aujourd’hui dans le cadre de sa visite en Afrique de l’Ouest.

    Ali Idrissa est le coordinateur du ROTAB et de PCQVP Niger et a longtemps fait campagne sur les questions de transparence dans le secteur extractif. Il a récemment mené une campagne, en partenariat avec Oxfam, pour que le Niger obtienne un accord équitable et un montant juste pour son uranium, dans le cadre des renégociations entre AREVA et le Niger. Il a été nommé homme de l’année du Niger en 2013 ainsi qu’une des 100 personnes les plus influentes en Afrique. Le Niger met en œuvre l’ITIE (Initiative pour la Transparence dans les Industries extractives) et avait consacré le principe de la transparence de ses ressources naturelles dans sa constitution de 2010.

    Publiez Ce Que Vous Payez appelle le gouvernement du Niger à libérer immédiatement, sans conditions, Ali Idrissa et à respecter la liberté d’expression et d’association de la société civile. Oxfam France appelle François Hollande à faire de la libération immédiate d’Ali Idrissa une priorité de sa visite au Niger, et à remettre les questions de libertés d’expression et d’association au cœur de son dialogue avec les autorités nigériennes.

    http://www.oxfamfrance.org/communique-presse/areva-niger/arrestation-dali-idrissa-coordinateur-rotab-au-niger-jour-visite

    #AREVA #Niger #Oxfam #ROTAB #PCQVP

  • Niger : un militant arrêté avant la visite de François Hollande
    http://www.bastamag.net/Niger-un-militant-arrete-avant-la

    En visite aujourd’hui à Niamey, capitale du Niger, pour évoquer la situation militaire dans la région du Sahel, François Hollande est interpellé dans un communiqué par Oxfam France et la campagne « Publiez ce que vous payez ». Les ONG demandent la libération du militant nigérien Ali Idrissa, coordinateur de la campagne au Niger, et arrêté ce matin à son domicile par la police locale. Lors d’une conférence de presse tenue hier, Ali Idrissa a critiqué les termes du partenariat entre l’entreprise française (...)

    En bref

    / #Néo-colonialisme, #Multinationales, Démocratie !, #Afrique

    #Démocratie_ !

  • Oxfam accuse des grandes banques australiennes
    http://farmlandgrab.org/post/view/23444-oxfam-accuse-des-grandes-banques-australiennes

    On les appelle les « Big Four ». À elles quatre, la Commonwealth Bank, la National Australia Bank (NAB) et les banques Westpack et ANZ dominent le marché des banques en Australie. Et mettent toutes en avant leurs engagements éthiques.

    Pourtant un rapport de #Oxfam #Australie, dévoilé le 28 avril, les accuse de financer des entreprises qui accaparent les terres, exproprient leurs habitants, et font travailler des enfants.

    « Le fruit de plus d’un an de travail »

    « Ce rapport est le fruit de plus d’un an de travail », explique Helen Szoke, directrice d’Oxfam Australie. Pour le mener à bien, ses investigateurs ont utilisé des bases de données où sont détaillés les prêts et les investissements de ces quatre établissements financiers. « Ces bases de données sont normalement réservées aux banques et aux investisseurs », précise Helen Szoke, qui aimerait « que les banques soient davantage transparentes. »

    En une soixantaine de pages, le document détaille, pour chacune de ces banques, ses liens avec une entreprise dont les pratiques sont douteuses :

    #banque #finance #terres #travail_des_enfants

  • La France doit cesser de saper le projet de taxe sur les transactions financières

    Alors que la rencontre entre Pierre Moscovici et Wolfgang Schaüble, lundi 27 janvier, a abouti à l’annonce de la relance d’une taxe sur les transactions financières (TTF) européenne « réaliste », Coalition PLUS, AIDES, Oxfam France et Attac rappellent au Président français sa promesse d’une taxe ambitieuse et solidaire.

    https://france.attac.org/actus-et-medias/salle-de-presse/article/taxe-sur-les-transactions-2772?id_rub=?id_mo=

  • Les 85 plus riches du monde possèdent autant que les 3,5 milliards les plus pauvres
    http://www.latribune.fr/actualites/economie/international/20140120trib000810501/les-85-plus-riches-du-monde-possedent-autant-que-les-35-milliards-les-plus

    A la veille du Forum mondial de Davos (Suisse), l’ONG Oxfam publie un rapport estimant que près de la moitié des richesses mondiales sont détenues par 1% de la population, et que les inégalités continuent à se creuser.

    Les 85 personnes les plus riches du monde possèdent autant que la moitié la plus pauvre de la population, soit 3,5 milliards de personnes. La statistique, volontairement choc, est publiée par l’ONG Oxfam la veille de l’ouverture du Forum économique mondial de Davos.

    Selon le rapport de l’ONG de lutte « contre les injustices et la pauvreté », les inégalités économiques se sont creusées rapidement dans la plupart des pays depuis le début de la crise. Ainsi, près de la moitié des richesses mondiales sont aujourd’hui détenues par 1% de la population.
    Augmentation de la part de revenus dans 24 pays sur 26

    Cette même proportion prise à l’échelle d’un pays fait dire à Oxfam que les 1% les plus riches ont augmenté leur part de revenu dans 24 des 26 pays pour lesquels des données sont disponibles entre 1980 et 2012.

    En Chine, au Portugal et aux États-Unis, les 1% les plus riches ont plus que doublé leur part de revenus depuis 1980. Même dans les pays réputés plus égalitaires comme la Suède et la Norvège, la part de revenus allant aux 1% les plus riches a augmenté de plus de 50%.
    Déréglementation et austérité

    Pour expliquer ce creusement des inégalités, l’ONG pointe la dérèglementation financière, les systèmes fiscaux biaisés, l’évasion fiscale, mais également les mesures d’austérité, les politiques défavorables aux femmes et la confiscation des recettes issues du pétrole et de l’extraction minière. Le rapport indique :

    Sans une véritable action pour réduire ces inégalités, les privilèges et les désavantages se transmettront de génération en génération, comme sous l’Ancien régime. Nous vivrons alors dans un monde où l’égalité des chances ne sera plus qu’un mirage.

    Le Forum économique mondial, qui se tiendra cette semaine en Suisse, a identifié les disparités de revenus grandissantes comme un risque majeur pour les progrès humains....

    #monde
    #finance
    Forum mondial de #Davos (Suisse)
    #ONG Oxfam publie un rapport estimant que près de la moitié des richesses mondiales sont détenues par 1% de la population, et que les inégalités continuent à se creuser.
    #déréglementation
    #austérité

  • Oxfam dépose une résolution d’actionnaires exhortant #PepsiCo à lutter contre les accaparements de terres
    http://www.multinationales.org/article194.html

    Oxfam, l’AFL-CIO, la Socially Responsible Investment Coalition et plusieurs autres groupes ont officiellement déposé une résolution d’actionnaires exhortant PepsiCo à répondre des violations des droits fonciers dans sa #chaîne_d'approvisionnement. Un exemple de collaboration entre #syndicats, ONG et investisseurs éthiques. Lire le communiqué de presse d’Oxfam. Cette démarche s’inscrit dans le cadre de la campagne « La face cachée des marques » (Behind the brands), qui cible les géants mondiaux de (...)

    #Actualités

    / #Agroalimentaire, #Accaparement_des_terres, #États-Unis, #Oxfam_France, PepsiCo, #Coca-Cola, #campagne_citoyenne, #accaparement, chaîne d’approvisionnement, investissement socialement responsable (ISR), syndicats, #impact_social, #impact_sur_l'environnement, responsabilité sociale des (...)

    #investissement_socialement_responsable_ISR_ #responsabilité_sociale_des_entreprises
    http://www.oxfam.org/fr/cultivons/pressroom/pressrelease/2013-11-22/resolution-actionnaires-pepsico-contre-accaparements-terres
    http://www.behindthebrands.org/fr
    http://www.oxfam.org/fr/cultivons/pressroom/pressrelease/2013-10-02/geants-agroalimentaire-fievre-sucre
    http://www.theguardian.com/global-development/2013/nov/08/coca-cola-suppliers-land-grabs