city:perpignan

  • Visa pour l’image récompense un reportage sur les #réfugiés_syriens

    Le 27e Festival de photojournalisme Visa pour l’Image qui se tient à Perpignan jusqu’au 13 septembre consacre plusieurs expositions à la situation des migrants. Un sujet au coeur de l’actualité, avec l’émotion internationale qu’a suscitée la photo du petit Aylan, syrien de trois ans échoué sur une plage en Turquie. C’est le sens du travail des photojournalistes qui espèrent changer le regard du public sur la réalité que vivent les migrants, et notamment celui de #Bülent_Kiliç, photo-journaliste turc, qui a été récompensé du Visa d’Or News pour son travail sur les réfugiés syriens à la frontière turque.


    http://www.rfi.fr/emission/20150907-visa-image-or-buelent-kilic-photo-journalisme-turquie-perpignan-syrie-r
    #photographie #réfugiés #asile
    cc @albertocampiphoto

  • La kebabisation malheureuse, ou la version gastronomique du « Grand remplacement » | Slate.fr
    https://www.slate.fr/story/109487/kebabisation-malheureuse

    A l’approche des municipales de 2014, un reportage de Rue89 montrait que le sujet de la « kébabisation », néologisme introduit par l’extrême droite, était devenu un axe de campagne, en particulier dans les villes du sud de la France qui ont connu une importante immigration. Le candidat frontiste à Perpignan, Louis Aliot, l’évoquait par exemple dans des tracts. Après les élections, la controverse du kebab a rebondi à Blois à la fin de l’année dernière, le centre-ville historique de la commune étant particulièrement bien doté en la matière .

    On pouvait alors lire sur le site du FN du Loir-et-Cher :

    « A vrai dire, on est en droit de se demander, dans une ville située au coeur de la Vallée de la Loire et classée au “patrimoine mondial de l’humanité”, si cette prolifération d’enseignes exotiques correspond à l’image qu’en attendent les touristes, venus découvrir notre terroir. »

    Le texte se « demandait » également si la prolifération de ces restaurants ne cachait pas un objectif de blanchiment d’argent sale. Le phénomène est si peu anecdotique, en vérité, que le prestigieux New York Times lui-même a consacré un reportage à la « kebabophobie » de l’extrême droite française l’année dernière. « La “kebabophobie” est d’abord apparue en France dans des blogs de militants d’extrême droite en 2013 avant de s’inviter dans les campagnes électorales locales et européennes du printemps dernier », expliquait le quotidien. L’hebdomadaire de la communauté franco-turque Zaman s’inquiétait du fait que « le FN embroche le kebab » dans ses argumentaires politiques, notant que « dans un pays où l’identité nationale est étroitement liée à sa cuisine, l’extrême-droite a pris les kebabs en grippe, comme preuve d’une “islamisation” culturelle ».

    Comme le commerce de kebabs est historiquement et culturellement lié aux Turcs et non aux immigrés maghrébins (qui en sont rapidement devenu consommateurs), alors que c’est plutôt sur les seconds que se concentrent en général les dénonciations de l’extrême droite, les militants ont contourné cette question de l’origine nationale pour englober dans leur discours le dénominateur culturel commun de ces différentes aires géographiques : l’islam. On parlera donc plus volontiers de la présence de ces fast-food moyen-orientaux comme d’un signe d’« islamisation » de la France que, par exemple, d’arabisation.

    #kebab #kébabisation

    • Le salut par les kébabs
      http://www.tak.fr/le-salut-par-les-kebabs

      Bien plus que la « bistronomie » gentrifiée puant l’authenticité désinfectée, le luxe pour cadres supérieurs en quête d’exotisme corrézien et le rétro-chic branchouille, la catastrophique diététique du kébab est l’unique successeur de la strate prolétarienne de notre gastronomie : la bouffe canaille, provinces perdues de la tripaille et du steak frites.

  • http://lhistgeobox.blogspot.fr/2015/10/300-queen-we-are-champions.html

    " L’avènement d’une société de loisirs qui plébiscite le sport et les pratiques hygiénistes, l’anglomanie très en vogue expliquent pour une large part le succès fulgurant que remporte le rugby en ce dernier quart du XIXème siècle. A partir de Bordeaux, où la présence britannique est très marquée, le nouveau sport se propage en province et en particulier dans le Sud-Ouest où les clubs se multiplient : stade olympique des étudiants toulousains en 1893 (futur Stade Toulousain), Biarritz, Agen, Perpignan, Lourdes, Brive, Béziers... La pratique du ballon ovale se diffuse petit à petit à toutes les classes sociales. Ainsi, « en un quart de siècle, ce jeu de Parisiens fortunés sera devenu une pratique de paysans d’Occitanie. » constate Jean Lacouture. La retransmission des matchs à la radio, puis la télévision, la gouaille de commentateurs sportifs de la trempe de Roger Couderc - et son classique « allez les petits ! » - contribuent à populariser davantage encore le rugby dans l’hexagone. Cette médiatisation contribue à l’émergence d’un panthéon de grands noms du rugby : Spanghero, Prat, Rives, Blanco et consorts. Les samedis après-midi d’hiver, de nombreuses familles françaises prennent ainsi l’habitude d’admirer leurs exploits lors des matchs du tournoi des cinq nations diffusés à la télévision. "

  • Cazeneuve à Calais : les rafles ont commencé

    22 Jeudi oct 2015

    Posted by passeursdhospitalites

    Les témoignages se multiplient : les exilé-e-s qui sont arrêté-e-s sont maintenant menacé-e-s que leurs empreintes digitales soient prises de force à la prochaine arrestation. Ce qui signifie que la France deviendrait responsable de leur demande d’asile, et qu’ils et elles y seraient renvoyé-e-s s’ils ou elles demandent l’asile au Royaume-uni. Les faits sont trop répétés pour qu’ils ne viennent pas d’une consigne donnée aux policiers : les exilé-e-s doivent soit demander l’asile de leur plein gré, soit disparaître, sous la menace de prendre leurs empreintes par la violence.

    Cela rappelle ce qui s’est passé en mars et avril derniers. La police faisait quotidiennement le tour des squats et campements qui existaient alors, menaçant les habitant-e-s d’une expulsion violente s’ils et elles ne déménageaient pas vers le lieu où s’est construit le bidonville actuel (voir ici et là). Une nouvelle campagne de déguerpissement, utilisant les mêmes méthodes d’intimidation, est donc déclenchée.

    La présence policière est importante autour du bidonville. Des bénévoles qui se rendent sur les lieux font l’objet de contrôles d’identité, moyen d’intimidation courant à l’encontre des témoins indésirables.

    Quant aux rafles, elles ont commencé dès mardi, la veille de la venue du ministre de l’intérieur à Calais (voir ici, ici et là). Cinquante personnes ont été arrêtées en fin de journée et envoyées au centre de rétention de Nîmes. Cet après-midi, cinquante personnes raflées à Calais étaient attendues au centre de rétention du Mesnil-Amelot, près de l’aéroport de Roissy. Pour demain vendredi, cinquante places sont réservées au centre de rétention de Cornebarrieu, près de Toulouse.

    Ci-dessous le communiqué de la CIMADE qui fait le point de la situation :

    « 22 octobre 2015 | Calais, le gouvernement joue la grande illusion

    Pour donner l’illusion de désengorger Calais, le Gouvernement a lancé une opération nationale d’une ampleur sans précédent. Plusieurs centaines de migrants seront ainsi déplacés et enfermés aux quatre coins de la France dans 9 centres de rétention durant les semaines à venir. Sont clairement menacés des Syriens, Irakiens, Érythréens, Soudanais…, un dispositif totalement absurde puisque 99.5% des personnes concernées seront certainement libérées et reviendront à Calais.

    L’opération a commencé hier à Nîmes à grands renforts de policiers. Elle se poursuivra dans l’après-midi au Mesnil-Amelot, à Toulouse demain.

    Dans les faits, des exilés sont interpelés à Calais où la préfecture prononce des obligations de quitter le territoire français avant de les disperser dans des centres de rétention à Nîmes, Perpignan, Rennes, Toulouse, la région parisienne, Metz. Des avions de la sécurité civile sont mobilisés ainsi que de très nombreux policiers pour les escortes terrestres et aériennes.

    Avec les avocats, La Cimade et d’autres associations accompagnent ensuite ces personnes traumatisées par ce déplacement forcé et la peur d’une expulsion, pour qu’elles puissent faire valoir leurs droits.

    Puis, quand un juge a annulé les procédures presque toujours illégales ces personnes sont relâchées à toute heure du jour et de la nuit, à des centaines de kilomètres de Calais, sans moyens de transport ni hébergement, dans une précarité totale.

    ...

    La Cimade demande solennellement au Gouvernement un large plan d’urgence pour sortir la « jungle » de Calais de l’indignité dans laquelle elle se trouve.

    L’intégralité du communiqué de la Cimade est ici :
    http://www.lacimade.org/communiques/5601-Calais–le-gouvernement-joue-la-grande-illusion

    https://passeursdhospitalites.wordpress.com/2015/10/22/cazeneuve-a-calais-les-rafles-ont-commence

    #France #Migrants #Migration #Calais #Cazeneuve #Valls #Hollande #Droit-d'asile #refus-du-droit

  • Au nom de la mère : ces parents qui choisissent le « matronyme »
    http://www.lemonde.fr/societe/article/2015/09/28/au-nom-de-la-mere-ces-parents-qui-choisissent-le-matronyme_4775134_3224.html

    S’il semble que les décisions aient été prises de manière consensuelle au sein des couples, la même sérénité n’est pas à l’œuvre du côté des familles « lésées ». Jean-François Ficard se souvient que, pour sa mère, la nouvelle a été « très dure à avaler » : « Elle m’a demandé ce qui m’avait pris, elle me disait : “Mais tu es fou, ça n’a pas de sens.” Pour elle, j’avais abdiqué devant ma compagne, ça signifiait que j’étais plus dominé que dominant dans ma relation. On n’a jamais pu dépasser le niveau zéro de la conversation. »

    Les amis proches de Jean-François Ficard ont aussi eu « du mal à comprendre [qu’il] puisse abandonner une part de ce qui était relié à [sa] paternité, une partie de [ses] prérogatives en quelque sorte » . « Lorsque je me suis séparé, se remémore t-il, ces mêmes personnes sont revenues à la charge en me demandant comment j’allais faire. Ça leur paraissait évident que désormais ma fille ne m’appartiendrait plus. Alors que ça n’a rien à voir. Clara, je l’ai en garde partagée. »
    « Mes beaux-parents ont été très offusqués. Ils craignaient que je parte avec les enfants sous le bras »

    Delphine Marchand, qui a été confrontée aux mêmes réticences, y voit la persistance d’une « société patriarcale » : « On m’a souvent reproché de mettre en doute la paternité de mon conjoint », se rappelle t-elle. « Mes beaux-parents ont été très offusqués. Ils avaient l’impression d’une disparition du droit parental et craignaient que je parte avec les enfants sous le bras. Il y a eu beaucoup de confusion, ils se sont braqués. On a eu beau leur expliquer, ça n’a pas été entendu et on s’est fâché. »

    Pour éviter d’« attrister » ses grands-parents paternels, Nicola G. a carrément préféré « ne rien leur dire ». « Je n’étais pas sûr qu’ils comprendraient », avoue t-il. En revanche, ses parents n’ont pas tiqué : « Ils voulaient des petits-enfants et ils en étaient contents. » Certains couples se sont arrangés pour que la famille paternelle trouve une place dans l’ordre symbolique des choses : « On a donné le prénom de mon grand-père paternel en deuxième prénom à mon fils, explique Michaël Taupin. De façon à faire une sorte d’écho à ma famille dans l’état civil. »

    Fanny Baroukh et François David ont également tricoté la situation qu’ils estimaient la plus juste. Ces deux trentenaires ont opté pour le nom maternel par choix esthétique et volonté de transmettre des « racines » hébraïques. Mais ont aussi donné à leurs deux fils, nés en 2013 et 2014, le nom paternel en deuxième prénom. « Ça a été une manière d’arrondir les angles avec la belle-famille, développe Fanny Baroukh, enseignante à Perpignan. On a senti qu’il y avait une gêne mais on n’a jamais eu à se justifier. »

    Les justifications sont plus fréquentes face aux administrations, qui n’assimilent pas toujours la démarche : « A la crèche, ils appellent mon mari M. Baroukh, même si je leur ai expliqué, ils ne comprennent pas. Quand j’ai inscrit mon fils à l’école, le directeur m’a dit : “On a l’habitude des enfants qui n’ont pas de papa.” » De manière générale, Fanny Baroukh remarque : « Les gens nous regardent avec les yeux ronds. » Et pour cause : elle ne connaît personne dans son entourage ayant fait un choix semblable.

    #famille #patronyme #matronyme #nom

    • Pourquoi ne pas mettre les deux noms ? (pour la généalogie plus de problème, au passage jusqu’à présent on a toujours fait avec un seul nom, celui du père). Ou pourquoi ne pas être plus créatif et faire un panachage des 2 noms ? (bon là ok on a sans doute pas le droit)

    • Pour la génération suivante, si les parents ont chacun le double nom (ou même un seul des 2), ils donnent à leur enfant un nom composé d’un nom de l’un et de l’autre (on peut choisir indifféremment de transmettre le nom du grand père ou de la grand mère).

    • Rappel : dans d’autres pays, les enfants n’ont pas le même nom de famille si ils sont filles ou garçons, dans d’autres ils ont le nom du père et de la mère, celui de la mère, celui de sa famille plus celui du père, et il existe encore d’autres variations voir pas de nom du tout ou un nom unique qui est juste le sien et qui n’a rien à voir avec celui d’aucun parent... Tout ça n’empêchant ni généalogie, ni lien familial, ni rien du tout.

    • Lol quelle virile interpellation ! Oui bien sur que c’est à toi que je m’adresse @alexcorp.
      Et non justement les gens ne font pas ce qu’ils veulent c’est le sujet de l’extrait que j’ai posé ici. Il se trouve que les gens ne font tellement pas ce qu’ils veulent que dans cette histoire de nom matronymique la loi française laisse toujours le dernier mot au père. Et puis les familles sont très fachés et ils faut leur caché la vérité et puis l’administration veille alors n’ai pas peur pour tes divines roupettes et leur postérité, elles sont et seront toujours les bijoux vénérés de ta famille qui te garantiront le privilège de la chefferie.

      Maintenant lâche moi et ne cherche pas a avoir le dernier mot, parce que je t’assure que je suis encore loin d’être agressive et ce n’est pas moi qui suis déplacé ici.

    • @mad_meg je n’aime pas cette manière intimidante d’intervenir, je la trouve d’autant plus déplacée, justement, que dire comme ce fut le cas "C’est à moi que tu t’adresses ? Si c’est le cas c’est juste parfaitement déplacé et agressif. Je ne proteste pas, les gens font bien ce qu’ils veulent." , n’a rien d’une « intervention virile », contrairement à la tienne, en l’occurrence. Il ne s’agit pas làa pour moi de défendre des positions de @alexcorp dont je ne sais rien (à part cet intenable « les gens font bien ce qu’ils veulent ») mais de bien autre chose.

      Cette intervention brutale (et pas toi, dont je me garderais bien de prétendre pouvoir dire quelque chose, je ne sais rien) est un exemple de ce que les hommes n’ont le monopole ni du virilisme ni des pauses macho. Si c’était le cas, ce type de rapports seraient d’ailleurs plus aisé à défaire. Les oripeaux du machisme (comme ceux de la féminité) flottent partout, libres à l’usage. Par là (c’est à dire souvent du mauvais côté) nous sommes au delà de la « différence des sexes ».

      Tu vas certainement me tomber dessus, montrer que tes menaces sont sérieuses. Et même en faire au passage une « affaire personnelle » (comme c’est souvent le cas ici où à l’image de ce qui se passe dans la société il est plus fait appel à un ressenti impartageable qu’au partage d’une réflexion, une manière de voir qui est le complément ad hoc d’une société de concurrence ?) qui sera exhibée comme l’indice d’un état du monde. Tant pis.

      Je tenais simplement à souligner que pour ce qui est de l’intimidation à gros bras et à grande gueule, l’important c’est pas « en avoir ou pas », mais bien l’endroit où ce quelle tombe.

    • Oui je me suis énérvé, et oui je peu être agressive mais ca ne fait pas de moi un macho virile. La rage et la violence peuvent être féminine alors ne m’affuble pas des tares de ton sexe et de ton genre.
      Bon je vais prendre le large ca fera du bien à tout le monde.

    • Ce qui est tout de même incroyable, c’est qu’à aucun moment je n’ai dit que donner le nom de la mère était quelque chose de mal. Je préfère simplement la solution des deux noms, ce qui n’écarte pas d’autres possibilités (quant à ma phrase « les gens font ce qu’ils veulent », oui j’admets que c’est bien maladroit, je voulais simplement exprimer le fait que je n’avais pas l’intention de juger qui que ce soit sur cette affaire).

  • Crime passionnel ...

    France info nous apprend donc que son petit ami s’est présenté au poste, parce qu’il a étranglé et poignardé cette fille, parce qu’elle ne voulait plus qu’il soit son petit ami, et qu’il ne voulait pas. Il a donc eu ce qu’il voulait, il sera son petit ami pour toujours.

    • Jeune fille égorgée à Perpignan : le petit ami avoue un crime passionnel - Le Point
      http://www.lepoint.fr/societe/jeune-fille-egorgee-a-perpignan-le-petit-ami-en-garde-a-vue-26-08-2015-19592

      Le petit ami de la jeune fille retrouvée morte égorgée mardi dans un parc de Perpignan a avoué l’avoir tuée à coups de couteau emporté par la passion, a expliqué mercredi son avocat.
      « Il a tout reconnu, quatre coups de couteau, et l’avoir égorgée », a dit à l’AFP Me Fabien Large, ajoutant que l’adolescente, encore mineure, voulait quitter le jeune homme.

      Plus qu’à attendre le livre que le « petit ami » va écrire en préventive, afin de découvrir combien cette « jeune fille » était en fait une « provocatrice adepte de relations saphiques » et qu’elle ne voulait pas le quitter tant que ça... même qu’elle portait des lunettes de soleil et des sucettes à sa bouche... (un peu comme l’histoire d’un adulte et une enfant quand ils enclenchent un roadmovie de plusieurs mois... forcément, l’enfant fait cela de gaieté de cœur (cf. le fil Lolita de ces derniers jours...)).

    • Ce que veut une femme/fille peut la tuer, mais personne prendra la peine de respecter ce qui est devenu sa dernière volonté ...

      Franchement à entendre toute la journée « petit ami » et « migrant » j’enrage de voir à quel point les journalistes sont les chiens de garde du pouvoir et des traditions.

    • http://lci.tf1.fr/france/faits-divers/adolescente-egorgee-a-perpignan-le-temoignage-poignant-de-la-8648992.html

      Selon les premiers éléments de l’enquête, il s’agirait d’un crime passionnel. « Mon fils était follement amoureux d’elle », a confié la mère du meurtrier présumé au micro de RTL. Selon ses propos, ils se disputaient violemment et la jeune fille lui aurait même volé sa voiture. « Même moi je lui ai demandé de laisser tomber. Que quand ça commençait comme ça, ça finirait mal », continue la mère très émue.

      C’est pas la honte qui les étouffe

    • analyse vue sur twitter
      https://twitter.com/feeskellepeut/status/636825176714387456

      imagine t’es un gamin de 15 ans et partout tu vois qu’on associe « amoureux » avec des violences /le meurtre sur les femmes. VRILLE, le gosse.
      c’est quand même super. on vit dans un monde qui répète partout depuis les faits divers à la culture que l’amour rend FOU VIOLENT.
      et après tu lis des fois des féministes (!) toutes fières de brailler MAIS HEY LES MECS VIOLENTS QUE VOUS ONT APPRIS VOS MERES ??
      vraisemblablement une mère ne pèse pas super lourd face à un ensemble culturello-médiatique, JDCJDR.
      (et je ne reparlerai même pas des exemples de relations « amoureuses » des histoires qu’on vend comme « belles » de type 50shades, hein)
      franchement va falloir finir par élever les garçons dans un caisson d’isolation sensorielle pour que ça devienne pas des connards.

      https://twitter.com/feeskellepeut/status/636829828575068160

      (imagine la mère du mec qu’a fini dans le journal, tueur de femme. mh ? tu crois qu’elle se demande pas ce qu’elle a pu merder ?)
      (alors mersea infiniment à toi qui te dit féministe et qui appuie encore sur ce couteau culpabilisant planté dans le coeur d’autres femmes)
      (jte garantis que c’est la première chose qu’on se demande quand un de nos ptits mâles fait dla merde. c’est bien ancré, la faute aux mères)

    • https://twitter.com/feeskellepeut/status/636832835756814336

      belle relation abusive et violente et ils parlent de « couple fusionnel »
      http://www.midilibre.fr/2015/08/26/une-marche-pour-erika-a-perpignan-elle-ne-meritait-pas-cela,1206023.php
      et anéfé c’est des mioches et anéfé ils ont intégré complètement le truc admire.
      « parfois, Kader pouvait avoir des gestes violents. Mais il était très amoureux d’elle » leurs potes, 16 ou 17 ans aussi. CQFD
      comment veux tu. entends, regarde, ça pète à la gueule, merde ! comment veux tu. c’est un travail de titan de contrer ça.
      et tu voudrais que la mère, toute seule, avec ses ptits bras, y arrive à coup sûr ? tu fous la pression, féminisme.
      c’est quand même gratiné comme cas de violence ’conjugale’. on parle d’un quasi mioche, un ado. c’est parlant je trouve.
      mais du coup on a tout le spectre. les copains qui parlent, les familles...et tous parlent d’amour dans cette histoire de...meurtre.
      et tous parlent d’amour dans l’histoire de la relation qui n’est qu’une longue série d’abus et de violences, aussi. gra-ti-né, le cas.
      ils sont dedans tous adultes enfants journaleux (j’ose espérer pas les flics au moins), à fond : violence non, HISTOIRE D AMOUR oui.
      « elle portait plainte pour violences on portait plainte parce qu’elle avait vendu son scooter » ô la belle histoire de luv
      jvois juste du conflit direct ou financier mais jdois avoir un problème de vue je suppose, puisque tout lmonde s’accorde à appeler ça aimer.
      et ô surprise ça finit en meurtre. oui. étonnant. alors vraiment étonnant. houla. je suis étonnée. (autoconviction en cours)
      c’est aussi étonnant que si tu me récitais l’histoire d’une guerre, tsé. ha bon ya eu des morts à la fin jcomprends pas ils s’aimaient.
      écoute au moins maintenant c’est établi on a un 1er cas visible : les gamins sont vrillés dès 15 piges et prennent la violence pour du luv.
      accuse leurs mères stu veux m’enfin amha tu tapes à côté de la cible, tu tapes même la victime. Bisettes.
      (jvoulais voir si on avait matière sur ce cas, bah j’ai été servie la vache)
      (dans les cas adultes tu n’auras jamais les témoignages des « amis » du couple. ou ils se policeront ils diront qu’yavait rien eu avant)
      (pour pas avoir l’air de coupables par procuration qui savaient et n’ont pas bougé, tsé) (c’est raisonnable un adulte. Hinhin)
      (et dans les cas adultes tu n’auras jamais tout cet entourage informé des coups, engueulades, plaintes, vols, abus...bah non. à 15 ans tu racontes à tes copains et même tu t’engueules devant eux, pas de souci, à 30 non)
      (bref jpensais bien que ce serait un cas intéressant et qu’on pourrait démontrer easy que même quand ils savent les gens appellent ça amour)
      (ça n’a pas loupé. et c’est que le début après va y avoir encore beaucoup de matière au procès. bien entendu ne vous y intéressez pas)
      (ce cas est tellement parlant tellement un flag social que je mets mes 10 euros que pas une féministe ne va aller y mettre les mains)
      toutes ces convictions acquises à grands renforts de branlette intellectuelle qui se cassent la gueule tavu.
      1 cas un seul et pan t’as tout qui te pète à la gueule, l’influence du social, l’inertie de l’entourage même informé, les merdes matérielles qui ont conditionné la relation « elle était en foyer il l’a beaucoup aidée »...la totale. bonne chance pour psychiatriser cette fois.
      (je vais maintenant admirer avec quelle application tout le monde va faire un pas de côté de l’affaire perpignan pour surtout ne pas voir)
      (et rire très fort quand je lirai que ce n’est pas signifiant car ce sont des mineurs donc...ou argumentaire raciste qui se dira culturel... ou argumentaire mépris de classe qui nous expliquera que c’est des pauvres c’est comme ça les pauvres c’est des sauvages...)
      (je crois d’ailleurs que cette dernière non-explication gagnera la partie, c’est bien trop pratique)

      #psychiatrisation

  • Les radios régionales… 19/24
    http://radiofanch.blogspot.com/2015/07/les-radios-regionales-1920.html

    Un feuilleton d’été en 24 épisodes, du mardi au vendredipar Gérard Coudert19. FR3, c’est aussi la radio ! 1980Il temps de faire le point ! Dans l’agitation qui préside à l’évolution de l’audiovisuel au tournant des années 80, on en oublierait presque ce qui existe et ce qui fonctionne encore, contre vents et marées… En 1980, FR3 compte 20 stations radio, la plupart héritières des postes des années 30, quelques autres ouvertes par la suite, au cours des mutations de la radiodiffusion jusqu’à l’Ortf : Lyon, Marseille, Toulouse créées en 1925, Besançon, Bordeaux (1926), Lille, Amiens, Grenoble, Limoges, Rennes (1927). Montpellier (avec plus tard ses deux satellites en décrochage à Nîmes et Perpignan), Strasbourg (1930) qui compte en fait 2 antennes, l’une francophone et (...)

  • Une islamophobie « à la française » : les faits et les mots

    À l’instar des autres pays de l’Union européenne, la France a vécu ces dernières années le développement de « courants islamophobes », qui se sont manifestés dans divers secteurs de la société. Toutefois, force est d’admettre que, si ces courants ont pu être amplifiés – voire légitimés – par les événements du 11 septembre, non seulement ils préexistaient aux attentats de New York mais se sont de plus poursuivis bien au-delà de cette zone de turbulences. De janvier 2001 à juin 2004, on a pu ainsi recenser une vingtaine d’attaques de salles de prière musulmane et de mosquées, allant du simple jet de peinture bleu-blanc-rouge sur la façade (Grande mosquée de Lyon) à l’incendie ou tentative d’incendie volontaire (Dunkerque, Pré-Saint-Gervais, Alès-la-Grande-Combe, Belley, Annecy, Alençon, Rillieux-la-Pape, Montpellier, Strasbourg...), en passant par des jets de cocktail Molotov (Saint-Étienne, Escaudain, Châlons-en-Champagne, etc.) et l’envoi de colis piégés aux responsables associatifs musulmans, comme par exemple à Perpignan. Simultanément, on a vu se multiplier des actes de profanation des tombes musulmanes dans les cimetières civils et militaires (Haguenau, Strasbourg, Thiais et Marseille), alors que jusqu’à récemment ce type d’actes racistes ne concernait presque qu’exclusivement les sépultures israélites. Enfin, dans certaines régions, comme l’Alsace, les attaques contre des commerces privés, identifiés à tort ou à raison comme « islamiques » (boucheries halal, épiceries orientales...), ne sont désormais plus rares.

    À ces attaques contre les bâtiments, les sépultures et les commerces dits « musulmans », se sont ajoutées, depuis l’automne 2004, de nombreuses agressions contre les personnes physiques et plus particulièrement contre des jeunes filles portant le foulard islamique (hijeb) dans des lieux publics (rues, postes, supermarchés, services sociaux...). L’islamophobie « à la française » a parfois emprunté le langage d’une hijebophobie radicale, se réfugiant derrière les valeurs de la laïcité et de l’égalité hommes-femmes. Le hijeb tend à être identifié par une majorité d’acteurs de la société française (médias, hommes politiques, intellectuels, enseignants, citoyens ordinaires...), comme l’expression d’une islamité menaçante et le symbole d’un nouveau fondamentalisme musulman qui mettrait en danger les valeurs laïques et républicaines :

    « Aujourd’hui la République, sous la pression d’un islamisme fondamentaliste, est à nouveau convoquée à affronter le fait religieux. Là encore la voie républicaine est claire : il faut exiger de l’islam qu’il renonce à s’emparer du corps politique (qui doit rester laïque) et qu’il reflue vers la société civile. »

    De ce fait, le foulard islamique est moins traité comme un signe de pudeur féminine ou comme la volonté de femmes musulmanes de vivre « librement » leur spiritualité au sein d’une société sécularisée que comme un danger social et un problème sécuritaire. Les jeunes filles ou les femmes portant le hijeb sont de plus en plus perçues comme des délinquantes, nécessitant un traitement sécuritaire particulier.

    Il existe une tendance dans la société française à criminaliser les porteuses de hijeb : avant 2003-2004, c’étaient surtout les garçons d’origine arabe, turque ou africaine qui étaient victimes du « racisme anti-musulman » ; depuis les débats récents autour de l’interdiction du voile, les filles et les femmes au hijeb rejoignent les cohortes de « mâles » dans les nouvelles catégories délinquantes et criminalisantes.

    À ce titre, les retombées indirectes des débats médiatiques sur l’interdiction du foulard islamique à l’école (mise en place de la Commission Stasi en juillet 2003) nous paraissent avoir joué un rôle beaucoup plus significatif dans la facilitation de l’islamophobie « à la française » que les effets collatéraux du terrorisme international (New York, Karachi, Madrid...), même si les deux phénomènes sont intrinsèquement liés dans les imaginaires. De ce point de vue, le « cas français » se distinguerait des autres États européens par une islamophobie davantage « idéologique », voire « intellectuelle » : les leaders d’opinion (journalistes, éditorialistes, écrivains, essayistes et experts) sont les principaux vecteurs d’une islamophobie latente qui se réfugient derrière le droit à la critique des religions et la liberté de pensée pour véhiculer des représentations stigmatisantes à l’égard de l’islam et des musulmans.

    En somme, l’islamophobie « à la française » trouve des relais chez certaines élites, la légitimant auprès des différents groupes sociaux et favorisant ainsi une libération et une banalisation de la parole islamophobe. Force est d’admettre, qu’à côté des organisations d’extrême droite qui ont en quelque sorte « islamisé » leurs mots d’ordre racistes (de la figure de l’immigré à celle du musulman), ce sont principalement les associations appartenant à la nébuleuse laïciste (Union des familles laïques, Laïcité-République, Res Republica, Mouvement des Maghrébins laïques de France...) qui ont contribué à diffuser l’image de peur d’une « France en danger d’islam ». Au-delà de leurs principes généreux et universels, elles sont porteuses d’un discours « national-laïciste » prenant appui sur l’image d’une « pureté française », qui serait aujourd’hui menacée par les communautarismes en général et le communautarisme musulman en particulier. En définitive, ces organisations laïcistes aboutissent à fétichiser et à essentialiser le « modèle républicain français. » Sur ce plan, nous rejoignons l’analyse du philosophe Pierre Tévanian, selon laquelle l’islamophobie en France serait d’abord l’expression d’un racisme de type « culturaliste » (et non biologique), la religion musulmane étant majoritairement perçue moins comme une spiritualité à part entière mais d’abord comme une « culture totalisante » porteuse de danger (vision essentialiste) :

    « De la confusion entre les situations française, algérienne, afghane ou iranienne aux amalgames entre voile et viol, en passant par des généralisations racistes sur “l’arrogance” ou “la sexualité des garçons musulmans”, sans parler des propos orduriers (“le foulard c’est de la merde”, “les filles voilées sont des putes”) ou des injures adressées aux collègues opposés à l’interdiction [du voile], les poncifs les plus grossiers et les plus violents ont été repris. Il faut se rendre à l’évidence : il existe en France un racisme culturaliste, visant les descendants des colonisés, et prenant pour principal prétexte leur référence musulmane, et ce racisme atteint les milieux “éduqués”..., autant que les autres . »

    Cette « peur française » de l’islam plonge, en grande partie, ses racines dans l’ambivalence d’une certaine pensée universaliste. Aujourd’hui, nous n’avons toujours pas surmonté ce complexe de pureté républicaine à l’égard du fait musulman. C’est bien au nom de la prétendue supériorité et universalité du « modèle républicain français » que nous estimons avoir à l’égard des musulmans une mission émancipatrice et un devoir de régénérescence du corps national : il faut guider les musulmans, en les incitant à se détacher progressivement de leur « esprit communautaire » (la Umma), les aider à devenir de « bons citoyens », en respectant certes, leur foi, leurs croyances et leurs pratiques mais, dans les limites d’un seuil d’islamité tolérable par notre société laïque et républicaine. Nous retrouvons là la théorie de l’assimilation progressive, évoquée par Charles-Robert Ageron à propos du traitement de l’islam au temps de l’Algérie coloniale. En somme, un « bon musulman » est un musulman qui n’est plus musulman, un « musulman sur-mesure », « un musulman sans bruit et sans odeur ». Une belle mosquée est « une mosquée sans minaret, discrète et quasiment invisible ». Une « femme musulmane émancipée » est une fille qui se plaint de la violence de son père, de ses frères et de ses cousins, et qui fait le tour de France en scandant « halte aux soldates du fascisme vert !80 ». C’est cette pression normative et permanente « sur » les musulmans ou les groupes d’individus perçus comme tels qui constitue, selon nous, le ressort principal d’une « islamophobie à la française ».

    Vincent Geisser

    http://books.openedition.org/editionscnrs/2871#bodyftn24

  • Le solaire a rendez-vous avec la ville
    https://lejournal.cnrs.fr/articles/le-solaire-a-rendez-vous-avec-la-ville

    Produire de l’énergie solaire au cœur même de la ville : c’est le défi des agglomérations du futur. Des projets sont déjà dans les cartons, à Lyon notamment. Ils seront au centre de la conférence internationale Développement des énergies renouvelables dans le bâtiment, qui se tient à Perpignan du 1er au 3 juillet.

  • Les aventures européennes de l’extrême droite (1)
    http://lahorde.samizdat.net/2015/06/29/les-aventures-europeennes-de-lextreme-droite-1

    Alors que les membres du nouveau groupe formé par Marine Le Pen au Parlement européen se sont retrouvés hier à Perpignan pour des journées parlementaires, avec pour objectif de faire le bilan d’un an de présence au Parlement européen, c’est l’occasion de revenir sur les différentes tentatives de l’extrême droite en #Europe, mais sans se [&hellip

    #Extrême_droite_institutionnelle #Front_National #KNP #UKIP

  • "Syntone aux « frontières de la radio »"
    http://syntone.fr/syntone-aux-frontieres-de-la-radio

    « Les frontières de la radio » est un colloque universitaire international programmé les 4 et 5 juin 2015 à Perpignan. Syntone s’associe à l’événement en proposant une séance d’écoute commentée, ouverte à tous publics.

    Programme complet du colloque à lire sur le blog dédié :
    https://frontieresdelaradio.wordpress.com/le-colloque/programme

    #GRER

  • #Armentières : aux Impôts, on lui demande d’ôter son #voile, elle porte #plainte

    Cette future maman, convertie à l’islam, s’est sentie agressée mardi matin au centre des impôts d’Armentières. Alors qu’elle demandait une copie de son avis d’imposition, son interlocuteur a exigé qu’elle retire son foulard. De la « #discrimination » selon elle. Elle a porté plainte.


    #islamophobie #xénophobie

  • http://www.lavie.fr/hebdo/2015/3625/emmabuntus-des-ordinateurs-pour-tous-emmabuntus-des-ordinateurs-pour-tous-17-0

    Un collectif de bénévoles, partenaire d’Emmaüs, utilise un logiciel libre, Ubuntu, pour donner une nouvelle jeunesse au matériel informatique .

    En France, environ 20 kg de déchets électroniques par personne, dont la majorité n’est pas recyclée, sont produits chaque année. Pour éviter ce gaspillage, une vingtaine de bénévoles se réunissent chaque semaine dans les communautés Emmaüs de Perpignan, Dijon et Paris pour reconditionner le matériel informatique collecté par les compagnons. L’équation est simple. « Un ordinateur en panne peut être vendu 50 centimes en tant que déchet d’équipement électronique ou 50 € tout équipé et prêt à l’emploi », explique Patrick, le fondateur du collectif, ingénieur électronique dans une grosse société parisienne.

    Mais remettre l’appareil en état de marche ne suffit pas. Il faut aussi installer dessus un système d’exploitation, et cela coûte cher. Pour contourner les géants du secteur, Patrick s’est tourné vers l’univers du logiciel libre. Grâce au système Ubuntu, une suite en libre accès créée par le milliardaire Mark Shuttleworth, il a mis au point Emmabuntüs (contraction d’Emmaüs et Ubuntu) qui s’installe facilement, à l’aide d’un DVD.Le système fonctionne sur des ordinateurs, même anciens, avec peu de mémoire, et contient la plupart des logiciels nécessaires au monde de l’entreprise, de la vie de famille, de l’école…

    « Une soixantaine d’applications sont installées automatiquement, par exemple Skype pour téléphoner gratuitement via Internet, la suite bureautique Libre Office ou des jeux éducatifs », explique Jack, pilier du collectif. Depuis que ses parents ont acheté un ordinateur reconditionné au magasin Emmaüs de la rue Serpollet, à Paris XXe, Stone, 12 ans, utilise Emmabuntüs pour accéder à ses devoirs en ligne. À Saint-Ouen-l’Aumône, dans le Val-d’Oise, c’est le Secours catholique qui a équipé dix machines pour ses séances d’initiation à l’informatique. En luttant à la fois contre le gaspillage et la fracture numérique, Emmabuntüs revisite à l’ère numérique le projet de l’abbé Pierre.

    https://www.youtube.com/watch?feature=player_embedded&v=wq2kpD6QnBk

    #emmaüs
    #abbé-pierre
    #Paris
    #ordinateur

  • Revue Sud-Ouest Europeén

    #Sud-Ouest_Européen est une #revue interuniversitaire de géographie publiée par les Instituts de Géographie des universités de Toulouse, Bordeaux, Pau et Perpignan. Son siège et la direction principale sont à l’université de Toulouse II – Le Mirail. A partir de 1998, elle a pris la suite de la Revue géographique des Pyrénées et du Sud-Ouest (RGPSO) fondée en 1930 par Daniel Faucher, à Toulouse. La RGPSO, qui a été publiée pendant plus de 60 ans, était une des grandes revues de géographie régionale qui a eu un quasi-monopole sur les recherches et publications traitant du Sud-Ouest de la France, des Pyrénées et de la Péninsule ibérique. Ces travaux ont souvent donné lieu à une cartographie originale.

    Sud-Ouest Européen s’inscrit clairement dans la continuité éditoriale de la RGPSO dont elle est d’ailleurs dépositaire. La revue a toujours pour vocation de publier une production scientifique relative au Sud-Ouest de la #France, à l’#Espagne et au #Portugal. Le changement de dénomination de la revue illustre la claire volonté d’une ouverture renforcée sur la péninsule Ibérique, qui se reflète également dans le caractère international des comités scientifique et de rédaction.

    Sur ces champs géographiques, Sud-Ouest Européen constitue ainsi une opportunité de publication pour les jeunes chercheurs des quatre universités du Sud-Ouest mais aussi pour des jeunes chercheurs
    portugais et espagnols d’autant que la revue n’est a priori pas fermée à des possibilités de publication en espagnol. De même, si Sud-Ouest Européen publie des articles concernant essentiellement le Sud-Ouest de la France et la péninsule Ibérique, elle peut aussi accueillir des articles théoriques ou se référant à un autre espace s’ils présentent un intérêt général sur un thème retenu pour un fascicule.

    La revue, de par son accessibilité et la diversité de ses thématiques, est susceptible de toucher un public particulièrement varié : universitaires et professionnels, aménageurs-urbanistes, géographes, sociologues mais aussi enseignants du secondaire en quête d’exemples dans cette région de l’Europe.

    http://soe.revues.org

    Dernier numéro en ligne:
    #Agriculture et #développement_territorial


    http://soe.revues.org/74
    @odilon
    cc @reka

  • Casquette au lycée : à Perpignan, la laïcité ne craint pas le ridicule (Journal d’un prof d’histoire)
    http://blogs.rue89.nouvelobs.com/journal.histoire/2014/09/19/casquette-au-lycee-perpignan-la-laicite-ne-craint-pas-le-ridi

    En arrière-plan de cette pantalonnade, une laïcité à la dérive n’en finit pas de gangréner les débats et l’opinion publique.

    Ces dernières années, et singulièrement depuis la loi sur les signes religieux à l’école, une bonne partie de la communauté éducative se crispe sur des postures qui, à force de formalisme, font perdre à la laïcité toute signification : historiquement symbole de tolérance et d’ouverture, la laïcité se laisse instrumentaliser au point d’en oublier sa fonction première qui n’est pas de stigmatiser, comme c’est devenu l’habitude, mais d’apprendre à vivre ensemble par l’acceptation des différences.

    #éducation #lycée #laïcité

  • #Visa_pour_l’image décroche une #expo

    Des images retirées des cimaises d’une exposition au festival Visa pour l’image à Perpignan, voilà qui n’est pas banal ! Mais l’exposition « Le long cheminement de l’Afrique » aura tourné court pour #Yunghi_Kim. La photographe américaine d’origine sud-coréenne a en effet choqué par l’interprétation surprenante, voire scandaleuse, qu’elle fait des événements dont elle a été témoin à la frontière entre le #Rwanda et ce qui était alors le #Zaïre (devenu depuis la république démocratique du Congo, #RDC), en août 1994. Se déroule alors « la crise de #réfugiés la plus meurtrière de l’histoire », explique le texte de présentation.


    http://www.liberation.fr/photographie/2014/09/10/visa-pour-l-image-decroche-une-expo_1097724

    #exposition #photographie
    cc @albertocampiphoto

  • La guerre du Vietnam vue par « Ceux du Nord »
    http://blogs.mediapart.fr/blog/michel-puech/010914/la-guerre-du-vietnam-vue-par-ceux-du-nord
    Doan Công Tinh, Chu Chi Thành, Maï Nam et Hua Kiem

    Cette année à Perpignan, les vedettes du festival de photojournalisme Visa pour l’image sont quatre photographes vietnamiens. La vision des vainqueurs.

    « La guerre du #Vietnam est une des seules guerres qui est racontée par les vaincus. » explique le reporter Patrick Chauvel en commentant l’exposition phare de cette 26e édition du festival Visa pour l’image.

    Et puis, il y a aussi à travers ces images la confirmation – que l’on croyait souvent n’être que propagande – de la présence de tout le peuple au côté des combattants. Omniprésentes sont les femmes !

    Dans le reportage ci-dessous, Chauvel raconte que cette milicienne a été enterrée quatre fois vivante
    http://www.dailymotion.com/video/x24wsai_l-exposition-ceux-du-nord-presentee-par-patrick-chauvel_news?st


    http://france3-regions.francetvinfo.fr/languedoc-roussillon/2014/08/30/ceux-du-nord-presentes-par-patrick-chauvel-540818.html
    #photographie #photographie_de_guerre #exposition #livre et #film

  • Violée dans la rue à Perpignan : « Des gens ont vu mais n’ont rien fait »
    http://www.midilibre.fr/2014/06/28/violee-dans-la-rue-a-perpignan-des-gens-ont-vu-mais-n-ont-rien-fait,101657

    A ce stade de l’enquête, selon les autorités, aucun élément ne remet en cause les déclarations de la jeune femme.

    J’avoue ne pas très bien comprendre la phrase de conclusion de l’article...
    #culture_du_viol

  • A quoi sert le boycott des produits israéliens ? - Idées - France Culture
    http://www.franceculture.fr/emission-du-grain-a-moudre-a-quoi-sert-le-boycott-des-produits-israeli

    Relaxés ! 3 militants pro-palestiniens, poursuivis pour avoir appelé au boycott de produits israéliens devant un supermarché de Perpignan, en mai 2010, ont été ‘’blanchis’’ par la justice hier. La cour d’appel de Montpellier a confirmé le jugement prononcé en première instance, l’été dernier. Ils étaient poursuivis pour provocation à la discrimination, à la haine ou à la violence.

    Il y a donc eu relaxe cette fois-ci, mais ce n’est pas toujours le cas. Ainsi, en novembre dernier, dans une affaire similaire, la cour d’appel de Colmar décidait au contraire de condamner d’autres militants, à des peines de 1000 euros avec sursis. Illustration parfaite du flou juridique qui entoure aujourd’hui en France la question du boycott des produits made in Israël.(...)

    Invité(s) :
    Rodolphe Cahn , avocat, président de la Licra-Mulhouse et membre du bureau exécutif de la Licra
    Pascal Markowicz , avocat, signataire de plusieurs tribunes contre le boycott
    Michèle Sibony , porte-parole de l’Union Juive Française pour la Paix, association qui soutient la campagne BDS (Boycott-Désinvestissement-Sanctions)
    François Dubuisson , professeur de droit international à l’Université Libre de Bruxelles

    http://www.franceculture.fr/player/reecouter?play=4850674

    Et oui, un débat sur le BDS sur France-Culture !

  • « A Perpignan, le clientélisme a de beaux jours devant lui » - Libération
    http://www.liberation.fr/politiques/2014/03/31/a-perpignan-le-clientelisme-a-de-beaux-jours-devant-lui_991965

    Le clientélisme perpignanais a-t-il encore de beaux jours devant lui ?
    Le clientélisme est la marque de fabrique de ce territoire – et il n’est aucunement réservé à un parti politique, chacun accuse l’autre mais c’est du théâtre. Le problème, c’est que pour tenir les populations, il a tout fait pour empêcher le développement économique du territoire. Ce clientélisme de rente peine aujourd’hui car il ne peut satisfaire tout le monde, et que l’offre politique de Louis Aliot permet de coaliser ceux qui s’en sentent exclus (il passe de 12 949 voix à 17 746). C’est l’écroulement économique et social qui radicalise la situation. Le clientélisme a donc de très beaux jours devant lui, les politiques locaux continueront exactement comme avant car ils ne savent pas faire autrement, mais le clientélisme va continuer à scier sa branche. Les élites locales (quelle que soit leur couleur politique) ne comprennent pas comment une rente s’épuise. Perpignan est la quatrième ville la plus inégalitaire de France, près du tiers de la population est sous le seuil de pauvreté, la vie civique est réduite à la cristallisation de communautés ethniques spatialisées. Ici le discours frontiste de coagulation des insécurités économique, sociale, culturelle fonctionne parfaitement. Le #FN a quadruplé ses scores, hier l’#UMP faisait la fête... c’est « jusqu’ici tout va bien »...

    #perpignan #clientélisme

  • Une fois de plus #Le_Monde diffuse son #racisme normal en publiant un article dégueulasse :

    http://www.lemonde.fr/enseignement-superieur/article/2013/05/27/l-universite-face-aux-faux-etudiants-boursiers_3417985_1473692.html

    en intégralité ici :

    https://juralib.noblogs.org/2013/05/28/ils-prennent-dans-le-systeme-des-etudes-ce-quil-a-de-meilleur-les-b

    qu’il illustre en toute logique avec cette photo accompagnée de cette légende :

    Trois étudiants boursiers inscrits en sociologie à l’université de Perpignan. | Nanda Gonzague/Transit pour « Le Monde »

    • Tant que le patronat continuera d’empocher des sous pour faire travailler une misère (ou plutôt pour mettre au chômage) des jeunes et qu’on interdira toute aide sociale aux moins de 25 ans (le R.S.A c’est après 25 ans), je ne verrais pas où est le problème.
      Ca s’appelle se débrouiller comme on peut pour survivre !

      Ici je colle la courbe de chômage chez les jeunes corrélée à l’exclusion du travail et du logement chez les enfants d’immigrés.

      Et ici je colle le niveau social des étudiants en fac.

      http://rsa-revenu-de-solidarite-active.com/questions-rsa/94-conditions-rsa-jeune.html

      Avec ceci :

      CONDITION D’ACTIVITÉ
      Pour les mois de 25 ans exerçant une activité à leur compte :
      (…)

      Le chiffre d’affaire des deux ans d’activité ne doit pas être inférieur à 43 fois le montant du rSa Socle, soit pour 2010 :
      43 x 460 € = 19780 €

      Ben oui, en gros pour être aidé il faut ne pas en avoir besoin !

    • Je rejoins @touti. Je ne trouve pas l’article particulièrement raciste, il décrit une réalité que j’ai connu quand j’étais à la fac. Pas de revenu minimum, pas de travail décent, des personnes, milieu ultra populaire ou moyen, déjà dans les années 90, s’inscrivent à la fac avec une bourse sur critères sociaux, simplement pour vivre, tant que ça tient.

      J’ai même eu le cas d’une nana, qui achetait quelques bouquins pour ceux qui étudiaient, parce qu’elle culpabilisait d’être là - alors qu’elle ne voulait pas faire d’études de type universitaire, mais n’avait trouvé que ça pour pouvoir fuir de chez ses parents. Sympa, elle m’a donné « le savant et le populaire » de Grignon et Passeron.

  • « Prenez le temps d’aller moins vite », payez moins cher, et appréciez...

    Mes 2 lignes ferroviaires préférées sont menacées depuis 30 ans : Clermont Ferrand-Beziers (vers Perpignan) et Clermont Ferrand-Nimes (vers Marseille). Toutes deux sont des bijoux en terme de paysages et d’ouvrages d’art.
    Succomberont-elles à la concurrence du bitume, à la désertification du Massif Central, et à ce foutuTGV qui nous a inculqué l’idée quand on perd son temps quand on n’avance pas à 300km/h, même si on prend le plus court chemin ?

    L’itinéraire le plus court pour relier Paris à la Méditerranée : le Cévenol, un train qui court de Clermont-Ferrand à Nîmes et part à l’assaut des pentes du Massif central. Construite à partir de 1862, la ligne a nécessité des ouvrages d’art impressionnants.

    http://videos.arte.tv/fr/videos/un-billet-de-train-pour--7365710.html

    #ferroviaire #sncf #transport