city:perret

  • Bas salaires, logement trop cher, stop à la misère !
    https://grenoble.indymedia.org/articles-4/locaux/article/bas-salaires-logement-trop-cher-stop-a-la-misere

    Locaux | Logement / Squats, Révoltes / Luttes sociales Communiqué de presse du Dal 38 Aujourd’hui, pendant l’acte XX des gilets jaunes et à deux jours de la fin de la trêve hivernale, plus de 500 personnes ont défilé à Grenoble contre les expulsions, les coupures et le logement cher, pour le droit au logement. De la tour Perret au quartier de l’Arlequin, en passant par l’Abbaye, Léon Jouhaux, Malherbe et Teisseire, des slogans ont dénoncé les loyers trop chers pour des revenus trop bas, les logements vacants, les démolitions de logements sociaux et (...)

    #Locaux #Logement_/_Squats #Révoltes_/_Luttes_sociales

  • Grand #débat : des intellectuels pris en otage - Libération
    https://www.liberation.fr/debats/2019/03/19/grand-debat-des-intellectuels-pris-en-otage_1716086

    En le regardant parler pendant huit heures, écoutant certes chacun et répondant en effet aux questions, j’ai compris à quoi nous servions. Comme les maires, nous constituions le mur sur lequel le Président faisait ses balles, jouissant de la puissance de ses muscles et de la précision de ses gestes et donc de la propre expression, cent fois ressentie, de son moi. Nous étions son faire-valoir.

    Sur les questions économiques et sociales, là où il y aurait en effet pu avoir débat, c’est-à-dire discussion animée sur des solutions diverses, la porte a été systématiquement refermée. La réponse aux toutes premières questions a clairement indiqué la voie : il n’y aura ni augmentation des dépenses publiques (ici litanie sur la dette léguée aux générations futures) ni augmentation des impôts des plus aisés (là refrain sur le poids de la pression fiscale) ni grand plan d’investissement dans la transition écologique et sociale (Nicolas Sarkozy l’a fait, et cela n’a rien changé…) ni expérimentation du revenu de base. Fermez le ban.

    • Avec toutes ces boules à facettes, je propose que ce soit un jour sur deux la salle de bains collective parce que danser c’est bien mais se laver c’est pas mal aussi, faudra repeindre les machins romains dorés en jaune, c’est moins cher. Et virer ces chaises qui sont d’un triste.

    • Frédéric Lordon ainsi que Gérard Noiriel ont refusé cette prise d’otage. La réponse de Lordon :

      Cher Monsieur Macron,

      Vous comprendrez que si c’est pour venir faire tapisserie le petit doigt en l’air au milieu des pitres façon BHL, Enthoven, ou des intellectuels de cour comme Patrick Boucheron, je préférerais avoir piscine ou même dîner avec François Hollande. Au moins votre invitation ajoute-t-elle un élément supplémentaire pour documenter votre conception du débat. Savez-vous qu’à part les éditorialistes qui vous servent de laquais et répètent en boucle que la-démocratie-c’est-le-débat, votre grand débat à vous, personne n’y croit ? Vous-même n’y croyez pas davantage. Dans une confidence récente à des journalistes, qui aurait gagné à recevoir plus de publicité, vous avez dit ceci : « Je ressoude, et dès que c’est consolidé je réattaque ». C’est très frais. Vous ressoudez et vous réattaquez. C’est parfait, nous savons à quoi nous en tenir, nous aussi viendrons avec le chalumeau.

      En réalité, sur la manière dont vous utilisez le langage pour « débattre » comme vous dites, nous sommes assez au clair depuis longtemps. C’est une manière particulière, dont on se souviendra, parce qu’elle aura fait entrer dans la réalité ce qu’un roman d’Orwell bien connu avait anticipé il y a 70 ans très exactement – au moins, après la grande réussite de votre itinérance mémorielle, on ne pourra pas dire que vous n’avez pas le sens des dates anniversaires. C’est une manière particulière d’user du langage en effet parce qu’elle n’est plus de l’ordre du simple mensonge.

      Bien sûr, dans vos institutions, on continue de mentir, grossièrement, éhontément. Vos procureurs mentent, votre police ment, vos experts médicaux de service mentent – ce que vous avez tenté de faire à la mémoire d’Adama Traoré par experts interposés, par exemple, c’est immonde. Mais, serais-je presque tenté de dire, c’est du mensonge tristement ordinaire.

      Vous et vos sbires ministériels venus de la start-up nation, c’est autre chose : vous détruisez le langage. Quand Mme Buzyn dit qu’elle supprime des lits pour améliorer la qualité des soins ; quand Mme Pénicaud dit que le démantèlement du code du travail étend les garanties des salariés ; quand Mme Vidal explique l’augmentation des droits d’inscription pour les étudiants étrangers par un souci d’équité financière ; quand vous-même présentez la loi sur la fake news comme un progrès de la liberté de la presse, la loi anti-casseur comme une protection du droit de manifester, ou quand vous nous expliquez que la suppression de l’ISF s’inscrit dans une politique de justice sociale, vous voyez bien qu’on est dans autre chose – autre chose que le simple mensonge. On est dans la destruction du langage et du sens même des mots.

      Si des gens vous disent « Je ne peux faire qu’un repas tous les deux jours » et que vous leur répondez « Je suis content que vous ayez bien mangé », d’abord la discussion va vite devenir difficile, ensuite, forcément, parmi les affamés, il y en a qui vont se mettre en colère. De tous les arguments qui justifient amplement la rage qui s’est emparée du pays, il y a donc celui-ci qui, je crois, pèse également, à côté des 30 ans de violences sociales et des 3 mois de violences policières à vous faire payer : il y a que, face à des gens comme vous, qui détruisent à ce point le sens des mots – donc, pensez-y, la possibilité même de discuter –, la seule solution restante, j’en suis bien désolé, c’est de vous chasser.

      Il y a peu encore, vous avez déclaré : « Répression, violences policières, ces mots sont inacceptables dans un Etat de droit ». Mais M. Macron, vous êtes irréparable. Comment dire : dans un Etat de droit, ce ne sont pas ces mots, ce sont ces choses qui sont inacceptables. À une morte, 22 éborgnés et 5 mains arrachées, vous vous repoudrez la perruque et vous nous dites : « Je n’aime pas le terme répression, parce qu’il ne correspond pas à la réalité ». La question – mais quasi-psychiatrique – qui s’en suit, c’est de savoir dans quelle réalité au juste vous demeurez.

      Des éléments de réponse nous sont donnés par un article publié il y a de ça quelques jours par le Gorafi sous le titre : « Le comité de médecine du ministère de l’intérieur confirme que le LBD est bon pour la santé ». On peut y lire ceci : « Christophe Castaner s’est réjoui des résultats des tests du comité de médecins et a aussitôt signé une ordonnance qualifiant de rébellion et outrage à agent toute personne qui mettrait en cause la fiabilité de cette étude ». M. Macron, voyez-vous la minceur de l’écart qui vous tient encore séparé du Gorafi ? Vous êtes la gorafisation du monde en personne. Sauf que, normalement, le Gorafi, c’est pour rire. En réalité, personne ne veut vivre dans un monde gorafisé. Si donc le macronisme est un gorafisme mais pour de vrai, vous comprendrez qu’il va nous falloir ajuster nos moyens en conséquence. Et s’il est impossible de vous ramener à la raison, il faudra bien vous ramener à la maison.

      Tous les glapissements éditorialistes du pays sur votre légitimité électorale ne pourront rien contre cette exigence élémentaire, et somme toute logique. En vérité, légitime, vous ne l’avez jamais été. Votre score électoral réel, c’est 10%. 10% c’est votre score de premier tour corrigé du taux d’abstention et surtout du vote utile puisque nous savons que près de la moitié de vos électeurs de premier tour ont voté non par adhésion à vos idées mais parce qu’on les avait suffisamment apeurés pour qu’ils choisissent l’option « ceinture et bretelles ».

      Mais quand bien même on vous accorderait cette fable de la légitimité électorale, il n’en reste plus rien au moment où vous avez fait du peuple un ennemi de l’État, peut-être même un ennemi personnel, en tout cas au moment où vous lui faites la guerre – avec des armes de guerre, et des blessures de guerre. Mesurez-vous à quel point vous êtes en train de vous couvrir de honte internationale ? Le Guardian, le New-York Times, et jusqu’au Financial Times, le Conseil de l’Europe, Amnesty International, l’ONU, tous sont effarés de votre violence. Même Erdogan et Salvini ont pu s’offrir ce plaisir de gourmets de vous faire la leçon en matière de démocratie et de modération, c’est dire jusqu’où vous êtes tombé.

      Mais de l’international, il n’arrive pas que des motifs de honte pour vous : également des motifs d’espoir pour nous. Les Algériens sont en train de nous montrer comment on se débarrasse d’un pouvoir illégitime. C’est un très beau spectacle, aussi admirable que celui des Gilets Jaunes. Une pancarte, dont je ne sais si elle est algérienne ou française et ça n’a aucune importance, écrit ceci : « Macron soutient Boutef ; les Algériens soutiennent les Gilets Jaunes ; solidarité internationale ». Et c’est exactement ça : solidarité internationale ; Boutef bientôt dégagé, Macron à dégager bientôt.

      Dans le film de Perret et Ruffin, un monsieur qui a normalement plus l’âge des mots croisés que celui de l’émeute – mais on a l’âge de sa vitalité bien davantage que celui de son état civil –, un monsieur à casquette, donc, suggère qu’on monte des plaques de fer de 2 mètres par 3 sur des tracteurs ou des bulls, et que ce soit nous qui poussions les flics plutôt que l’inverse. C’est une idée. Un autre dit qu’il s’est mis à lire la Constitution à 46 ans alors qu’il n’avait jamais tenu un livre de sa vie. M. Macron je vous vois d’ici vous précipiter pour nous dire que voilà c’est ça qu’il faut faire, lisez la Constitution et oubliez bien vite ces sottes histoires de plaques de fer. Savez-vous qu’en réalité ce sont deux activités très complémentaires. Pour être tout à fait juste, il faudrait même dire que l’une ne va pas sans l’autre : pas de Constitution avant d’avoir passé le bull.

      C’est ce que les Gilets Jaunes ont très bien compris, et c’est pourquoi ils sont en position de faire l’histoire. D’une certaine manière M. Macron, vous ne cessez de les y inviter. En embastillant un jeune homme qui joue du tambour, en laissant votre police écraser à coups de botte les lunettes d’un interpellé, ou violenter des Gilets Jaunes en fauteuil roulant – en fauteuil roulant ! –, vous fabriquez des images pour l’histoire, et vous appelez vous-même le grand vent de l’histoire.

      Vous et vos semblables, qui vous en croyez la pointe avancée, il se pourrait que vous finissiez balayés par elle. C’est ainsi en effet que finissent les démolisseurs en général. Or c’est ce que vous êtes : des démolisseurs. Vous détruisez le travail, vous détruisez les territoires, vous détruisez les vies, et vous détruisez la planète. Si vous, vous n’avez plus aucune légitimité, le peuple, lui, a entièrement celle de résister à sa propre démolition – craignez même que dans l’élan de sa fureur il ne lui vienne le désir de démolir ses démolisseurs.

      Comme en arriver là n’est souhaitable pour personne, il reste une solution simple, logique, et qui préserve l’intégrité de tous : M. Macron, il faut partir. M. Macron, rendez les clés.

  • La répression continue de s’abattre sur les lycéens : appel à la solidarité des professeurs - Paris-luttes.info
    https://paris-luttes.info/la-repression-continue-de-s-10420
    https://paris-luttes.info/home/chroot_ml/ml-paris/ml-paris/public_html/local/cache-gd2/b4/3389bd38e69f273f15aef191e56f18.jpg?1527959837

    Les lycéens du lycée Mozart (Blanc-Mesnil) manifestent fréquemment en ville. Les blocages réguliers y sont moins réprimés qu’ailleurs. Et ils ont commencé à venir manifester à Paris suite aux arrestations opérées au Lycée Arago. Autant le faire savoir aux profs, parents et autres personnels de l’éduc. nat. : lorsque des profs sont au quotidien aux côtés des élèves, ça marche !

    Communiqué issu de l’Assemblée générale du lycée Mozart (Blanc-Mesnil) du 1er juin 2018

    Le mouvement lycéen contre la loi travail de ces deux dernières années avait déjà subi de plein fouet, sous le quinquennat « socialiste », l’extrême brutalité de la répression policière (notamment au lycée Léonard de Vinci de Levallois Perret, au lycée Suger de Saint Denis, au lycée Bergson de Paris) et c’est à nouveau le cas avec le pouvoir macronien.

    Dernière affaire en date : la centaine de lycéens qui ont voulu organiser une AG au sein du lycée Arago (Paris 12e) et se sont retrouvés nassés, confinés dans des fourgons, entassés dans des cellules de garde à vue, fouillés, humiliés, jugés ou en voie de l’être au tribunal et pour beaucoup d’entre eux condamnés ou mis en examen.

    Nous condamnons unilatéralement cette répression dont s’est rendue coupable l’État par le moyen de ses représentants, ministre de l’intérieur, préfets et chefs d’établissements. Nous exprimons notre solidarité pleine et entière à tous les lycéens mobilisés, exigeons la levée de toutes les sanctions déjà prises à leur encontre et appelons tous les professeurs et notamment nos collègues du lycée Arago à en faire de même en produisant des communiqués en ce sens et à s’opposer à toutes nouvelles sanctions qui pourraient s’abattre sur les élèves en interne.

  • Écrire la carte, Les apports intellectuels de la cartographie numérique.

    [de l’auteur ] «  Résumé : Ce mémoire de recherche s’inscrit dans une démarche d’anthropologie des pratiques d’écriture à l’ère numérique. Il rend compte d’observations, d’expérimentations et de réflexions autour de la cartographie comme dispositif d’écriture afin de contribuer à une épistémologie de l’édition ancrée dans les sciences de l’information . »

    Descripteurs [Mots-clés de l’auteur] : #cartographie, #édition, #épistémologie, #technologie #intellectuelle, #territoire

    http://barthes.enssib.fr/travaux/Epistemo-carto-num-Perret.pdf

    #cartographie #écriture #numérique

    Réf. : PERRET, Arthur (2017). Écrire la carte. Les apports intellectuels de la cartographie numérique. Mémoire de master recherche sous la direction d’Éric Guichard, Enssib - Université de Lyon.

  • « L’Insoumis », portrait serein d’un Mélenchon serein
    https://www.mediapart.fr/journal/culture-idees/210218/l-insoumis-portrait-serein-d-un-melenchon-serein

    Jean-Luc Mélenchon dans « L’Insoumis ». © DR Le cinéaste #Gilles_Perret a suivi le leader de #La_France_insoumise #Jean-Luc_Mélenchon lors des derniers mois de la campagne présidentielle de 2017. Résultat : un portrait dont l’empathie assumée n’empêche pas que se glissent quelques interrogations.

    #Culture-Idées

  • Rassemblement en soutien aux résistants de Bure, largement perquisitionnés aujourd’hui
    https://grenoble.indymedia.org/2017-09-20-Rassemblement-en-soutien

    Le comité local de soutien contre les GPII (Grands Projets Inutiles et Imposés) appelle à un rassemblement de soutien à Bure, où les opposants à l’enfouissement des déchets nucléaires viennent de subir une vague massive de perquisitions. Au pied de la tour Perret, parc Paul Mistral Assorti de ce message « Bon courage à vous, plein d’amour. Nik la BAC ». Bonjour à tous-tes ! Ici en direct de Bure où une opération de perquisition d’ampleur cible différents lieux. Ils ont notamment saisi la quasi (...)

    #Agenda

  • Le suspect de l’attaque contre six #militaires a été arrêté
    https://www.mediapart.fr/journal/france/100817/le-suspect-de-lattaque-contre-six-militaires-ete-arrete

    La voiture du suspect de l’attaque contre des militaires, après son arrestation. © Reuters Le premier ministre Édouard Philippe a annoncé mercredi l’interpellation du suspect de l’attaque à la voiture contre six militaires mercredi matin à #Levallois-Perret (Hauts-de-Seine), au terme d’une chasse à l’homme menée tambour battant.

    #France #Sentinelle

  • Au détour d’une phrase… : Macron et la refonte du système de protection sociale
    https://blogs.mediapart.fr/lutzel/blog/090617/au-detour-d-une-phrase-macron-et-la-refonte-du-systeme-de-protection

    J’écoute la radio et, au détour d’une conversation, crois entendre qu’Emmanuel Macron entend supprimer les cotisations chômage et assurance maladie des salariés. J’ai dû mal comprendre, enfin, on ne supprime pas une source de financement majeure de notre système de sécurité sociale actuel sans que personne ne lève le petit doigt. Je regarde donc sur internet, et, à ma grande surprise, c’est bien ce qu’entend faire notre nouveau Président, en remplaçant les ressources perdues par une hausse de la Contribution Sociale Généralisée (CSG, impôt). Source : Le blog de Lutzel

  • Passation de pouvoir à Levallois Perret - Vidéo Ina.fr

    http://www.ina.fr/video/PAC00011115

    Ce reportage est génial. Balkany gagne la mairie communiste de Levallois en 1983 (il y a 30 ans donc...) et le journaliste d’expliquer que

    « les ordinateurs du syndicat intercommunal qui gère la compta de la ville ainsi que de trois autres communes coco donne beaucoup de soucis au nouveau maire, qui trouve très dangereux que la comptabilité de la ville soit entre les mains d’informaticiens communistes ! »

    Le commentateur dit encore :

    « [le pauvre] Patrick Balkany [tout blanc] arrive dans une mairie ou visiblement, les déménageurs venaient tout juste de passer »

    Le reportage fait 5 minutes, avec des vrais temps de paroles,le truc qui n’existe plus à la télé aujourd’hui aux infos.

    ça c’était du vrai #journalisme :) Aujourd’hui dans les rédactions ça joue vraiment petit bras à côté de cette anthologie.

    Retour, un mois après les dernières élections municipales, à Levallois Perret. La passation de pouvoir entre l’ancienne équipe, communiste, et la nouvelle, RPR, ne se fait pas sans difficultés. Interview de Patrick BALKANY, nouveau maire de Levallois, sur son installation dans la mairie.Interview de Daniel GIRAULT, directeur technique de Nord 92, chargé de la gestion informatique de 4 villes.Interview de Jean LEBESLOUR, personnel communal CGT, sur la crainte de voir des suppressions de poste ou des mutations.

    13 ans plus tard, boum, Balkany perd la mairie... battu par un Chiraquien, mais entre temps Didier Schuler était passé par là :

    Levallois-Perret - Vidéo Ina.fr
    http://www.ina.fr/video/CAC95038571

    A Levallois-Perret (Hauts-de-Seine), le Maire sortant, Patrick BALKANY, paie le prix de l’affaire SCHULLER-MARECHAL et est battu de 700 voix après 2 mandats. Commentaire sur images factuelles, interviews Patrick BALKANY, Olivier de CHAZEAUX (nouveau maire, Divers Droite) et microtrottoir.

  • « La Sociale » ou le rêve effacé d’une démocratie sociale
    https://www.mediapart.fr/journal/culture-idees/071116/la-sociale-ou-le-reve-efface-dune-democratie-sociale

    Un film sur la #sécurité_sociale, quelle idée ! Comment mettre en images un tel machin administratif ? Et pourtant. La Sociale, le dernier documentaire de #Gilles_Perret, qui sort le 9 novembre, est le récit d’une autre histoire, celle de l’idée d’une démocratie sociale. Une idée jugée tellement subversive qu’il faut à tout prix l’effacer, pour transformer la Sécu en un trou sans fond dont personne ne comprend plus rien. Afin de mieux avoir sa peau.

    #Culture-Idées #François_Rebsamen #retraite #sante #social

  • RETOUR SUR LA RÉPRESSION AU LYCÉE LÉONARD DE VINCI DE LEVALLOIS PERRET
    http://sonsenluttes.net/?RETOUR-SUR-LA-REPRESSION-AU-LYCEE-LEONARD-DE-VINCI-DE-LEVALLOIS-PERRE

    Dans l’actualité des luttes nous accueillons Brahim SUD postier du 92, Medhi élève au lycée Léonard de Vinci à Levallois Perret dans les hauts de Seine et une professeur du lycée Molière du 93 pour parler de la répression judiciaire et administrative qui s’abat sur le lycées Léonard de Vinci suite aux (...) — sonsenlutte_lyceens_de_levellois_58mn.mp3, Police, contrôle social, répression, prison

    http://sonsenluttes.net/IMG/mp3/sonsenlutte_lyceens_de_levellois_58mn.mp3

  • Rencontre/Débat : Les ouvriers ne seront plus des orangs-outans. Paroles ouvrières des canuts. Jeudi 10 Mars
    https://rebellyon.info/Les-ouvriers-ne-seront-plus-des-orangs-15907

    Rencontre débat avec Raphaële Perret, auteur du livre « Les ouvriers ne seront plus des orangs-outans... » Paroles ouvrières des canuts le Jeudi 10 mars à 19H au local de l’UD CNT 69 au 44, rue Burdeau, 69001 Lyon - Infos locales / Vie des quartiers - urbanisme - (...) — Infos locales, Vie des quartiers - urbanisme - initiatives

  • #Ephéméride_Anarchiste #13_février
    http://www.ephemanar.net/fevrier13.html

    Le 13 février 1874, naissance d’Emile MAINCE à Levallois Perret (Seine, aujourd’hui Hauts-de-Seine).
    Réparateur d’objets d’art, anarchiste.
    Photographié, mesuré et enregistré comme « anarchiste » le 6 janvier 1894 à Paris, probablement arrêté au cours des rafles anti-anarchistes liées au vote des « lois scélérates ».

    On ne sait pas précisément pour quelles raisons, ni dans quelles circonstances, Emile Maince figure comme anarchiste sur cette fiche anthropométrique. Ce fichier constitué par le criminologue Alphonse Bertillon, qui fonda en 1870 le premier laboratoire de la police judiciaire permettra d’identifier et de mémoriser, outre les délinquants de droits communs, les visages des minorités jugés dangereuses ou réfractaires aux lois de la société bourgeoise.

    Bertillon inventa donc l’anthropométrie judiciaire, appelée aussi « Bertillonnage ». Ce système d’identification sera ensuite adopté dans toute l’Europe, puis aux États-Unis, et permettra notamment de faire la « chasse » aux anarchistes. Il sera complété par un « État signalétique confidentiel » du Ministère de l’Intérieur, Direction de la Sûreté générale (4e Bureau) répertoriant les anarchistes par listes alphabétiques, qu’ils soient français ou étrangers, expulsés ou non, résidant en France ou hors de France et mis à jour chaque année et communiqué aux services de police et des frontières.
    Les individus signalés comme anarchistes faisaient ensuite l’objet d’une surveillance des services de police spécialisés qui constituaient des dossiers parfois très importants à l’insu de ces personnes, où lors de perquisitions. Ils favorisèrent l’infiltration policière et une répression étendue du mouvement anarchiste. Si ces dossiers sont aujourd’hui une source historique importante pour les historiens et les chercheurs, il ne faut pas oublier que l’histoire suit son cours et que les militants d’aujourd’hui sont toujours l’objet de l’attention des « Renseignements Généraux » et autres services de police qui ont en leur pourvoir des moyens beaucoup plus performants pour exercer leurs surveillances que par le passé.