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  • L’État et les violences policières : « Une machine de guerre qui n’a ni remords, ni états d’âme, et où tous les coups sont permis »
    https://reporterre.net/L-Etat-et-les-violences-policieres-Une-machine-de-guerre-qui-n-a-ni-remo

    Documenter les violences policières et juridiques : mercredi 20 mars, témoins, experts, journalistes, juristes ont fait ce travail essentiel dans une réunion publique à Paris. Soulignant la gravité de la rupture autoritaire qui est en train de se produire.
    Paris, reportage

    La grande salle de la Bourse du travail, à Paris, était pleine mercredi 20 mars au soir pour la présentation des premières conclusions de la « commission d’enquête » sur la répression, la violence policière, la loi anti-manifestations, organisée à l’appel d’organisations syndicales [1]. Trois heures durant, les « enquêteurs » — le président et cofondateur de Mediapart Edwy Plenel, l’avocate et membre du syndicat des avocats de France (Saf) Judith Krivine et le journaliste à Radio France Antoine Chao — ont orchestré les prises de parole de nombreux témoins sur trois thèmes : les blessés en manifestation, les politiques répressives et les perspectives.

    Ian B., membre du collectif Désarmons-les !, a ouvert la soirée avec le bilan provisoire établi par le collectif — 170 blessés graves depuis le début de la mobilisation des Gilets jaunes, en novembre 2018. Le collectif, qui émane de l’Assemblée des blessé.e.s constituée en novembre 2014 à Montreuil à la suite de la mort de Rémi Fraisse, s’est donné pour mission d’accompagner les personnes blessées et leurs familles dans leur parcours judiciaire et leur reconstruction psychologique, et d’informer sur le maintien de l’ordre en France — notamment les armes utilisées. « C’est une réalité à laquelle on ne s’attendait pas : on a recensé autant de blessés en trois mois que pendant les vingt années précédentes », a souligné Ian B.

    Le bilan du journaliste David Dufresne, diffusé sur son fil Twitter et Mediapart, précise le tableau : un décès — celui de Zineb Redouane, 80 ans, touchée au visage par une grenade lacrymogène alors qu’elle fermait ses volets, le 2 décembre à Marseille —, 222 blessés à la tête, 22 éborgnés et cinq mains arrachées. Depuis décembre, le journaliste indépendant interpelle le ministère de l’Intérieur sur les blessures causées par les armes de la police et les exactions commises par les forces de l’ordre, par la formule devenue rituelle « allo @Place_Beauvau — c’est pour un signalement ». « Pendant plus d’un mois, j’ai travaillé seul. Au début régnait un grand silence médiatique, qui a contribué au déni politique. Cette semaine, on a encore pu entendre le ministre de l’Intérieur, Christophe Castaner, déplorer que les lanceurs de balle de défense [LBD 40] n’avaient pas été suffisamment sortis. C’est faux, un jeune homme a perdu son œil près du Fouquet’s le 16 mars et personne n’en a parlé. »

    Laurent Thines, neurochirurgien et chef de service au CHRU de Besançon, a lancé en janvier une pétition demandant « un moratoire sur l’utilisation des armes dites moins létales ». Tout en faisant défiler des images insoutenables de mâchoires déchiquetées, de mains arrachées et d’orbites énucléées, il a alerté sur les dégâts causés par les armes de force intermédiaire — LBD 40, grenades lacrymogènes instantanées GLI-F4, grenades de désencerclement — sur les corps humains. « Un projectile de LBD 40 lancé à plus de 90 mètres par seconde, soit 324 kilomètres par heure, a une force d’impact de 200 joules. C’est comme si on vous lâchait un parpaing de 20 kilos d’une hauteur d’un mètre sur le visage ou la tête ! » Devant la radio d’un Gilet jaune s’étant pris un tir de LBD dans la tempe, il a dénoncé une blessure similaire à celles causées par des accidents de voiture ou des coups de batte de base-ball : « Le crâne est enfoncé et, pire de mon point de vue de neurochirurgien, le cerveau en dessous est abîmé. Or, le cerveau, on n’en a qu’un seul et une fois qu’il est abîmé, on ne s’en remet jamais vraiment. Celles et ceux qui ont un proche qui a fait un accident vasculaire cérébral le savent. »

    « C’est une volonté d’entraver le droit de manifester écrite noir sur blanc »

    Pour protester contre la fabrication et la commercialisation de ces armes, Ian B. a relayé un appel à bloquer les usines de fabrication de ces armes à partir du vendredi 29 mars : le siège social d’Alsetex à Muret (Haute-Garonne) et son usine à Mazères (Ariège), la fabrique de Flash-Balls et de grenades de désencerclement Verney Carron à Saint-Étienne (Loire), la fabrique de grenades lacrymogènes Nobel à Pont-de-Buis-lès-Quimerch (Finistère), etc.

    Ces blessures s’inscrivent dans un contexte de politiques répressives, ont observé et analysé les témoins du débat suivant. Globalement, « les gouvernements qui se succèdent privent les salariés de leurs droits et leur rendent l’accès au juge plus difficile, ce qui rend les recours de plus en plus décourageants. Bientôt, ils ne pourront plus recourir qu’à la violence pour se faire entendre, comme le montre très bien le film En guerre de Stéphane Brizé », a alerté Mme Krivine.

    En parallèle, la répression des mouvements sociaux s’intensifie. Christian Mouhanna, sociologue et directeur du Centre de recherche sociologique sur le droit et les institutions pénales (Cesdip), observe une « fuite en avant répressive », que les gouvernements successifs tentent de justifier en faisant un « amalgame entre populations de banlieues assimilées à des terroristes et manifestants ». Cette stratégie, amorcée par la loi sur la sécurité quotidienne de novembre 2001, s’est poursuivie pendant les manifestations pour le climat de fin 2015 et celles contre la loi Travail de 2016. En outre, « on assiste à une remise en cause du maintien de l’ordre à la française qui consistait à créer des troupes spécialisées pour tendre vers le zéro mort et le moins de blessés possible », signale le sociologue, en pointant la présence récente en manifestation de la brigade anticriminalité (BAC), « la plus bêtement répressive », et sa militarisation.

    Anne-Sophie Wallach, secrétaire nationale du Syndicat de la magistrature, dénonce de son côté une instrumentalisation du droit « non plus pour punir les personnes qui ont commis des délits, mais à des fins de maintien de l’ordre ». « Le 8 décembre, pour plus de 900 placements en garde à vue, on a eu plus de 500 classements sans suite, faute d’éléments contre les personnes », a-t-elle dit. Derrière ces interpellations massives, le délit de participation à un groupement ayant l’intention de commettre des violences, introduit dans le droit en 2010 pour lutter contre les « bandes » des quartiers populaires — « une qualification floue, en tout cas extensive, qui permet le placement en garde à vue car ce délit est passible d’emprisonnement ». Autre levier, la réquisition particulière, « qui permet aux forces de l’ordre de relever l’identité dans les gares, au niveau des péages, sans recourir aux critères classiques ». Enfin, la magistrate dénonce les pressions exercées sur la justice notamment par la garde des Sceaux : « Le 8 décembre, la ministre s’est rendue à la permanence du parquet de Paris, où les magistrats reçoivent les appels concernant les gardes à vue, pour annoncer que la fermeté était de mise. Ces pressions ne sont pas acceptables. Pourtant, elles sont confortées par le procureur de Paris, qui a livré comme instruction aux magistrats de permanence les week-ends de mobilisation, ne lever les gardes à vue que le samedi soir ou le dimanche matin, même en cas de classement sans suite. C’est une volonté d’entraver le droit de manifester écrite noir sur blanc ! »

    « Le pouvoir est violent, mutile et continue de tuer. Mais nous pouvons renverser ensemble cette machine de guerre »

    Les militants sont nombreux à avoir fait les frais de ces politiques. Parmi eux, le secrétaire départemental de SUD PTT, Gaël Quirante, qui a dénoncé 13 interventions policières dans son centre postal et quatre convocations au commissariat pour violation de domicile, contre des postiers grévistes en Île-de-France. Dans la salle, un Gilet jaune a raconté la répression policière contre la première « Nuit jaune », le 26 janvier place de la République à Paris : « Jusqu’à 19 h, l’ambiance était très festive. Puis, sans crier gare, la police a inondé la place de lacrymos et a chargé pour nous pousser contre les canons à eau. On n’avait nulle part où aller, on s’est pris des gaz, c’était très violent. »

    Les perspectives pour les mobilisations ont été abordées en troisième partie de soirée. « Le gouvernement s’apprête à interdire la lutte par ce qu’il appelle la “loi anti-casseurs”, mais qu’au syndicat nous appelons la “loi anti-manifestants” », a averti Laurence Roques, présidente du SAF. La proposition de loi, déposée à l’origine par le sénateur Les Républicains Bruno Retailleau, est d’abord tombée aux oubliettes avant d’être ressuscitée par le gouvernement, qui a manœuvré pour la faire adopter le 12 mars, malgré des réticences jusque dans la majorité. « Toute personne pourra faire l’objet d’une interdiction a priori de manifester, dès lors que son comportement laisse entendre qu’il peut causer un trouble à l’ordre public, a expliqué l’avocate. Seul un juge administratif des référés pourra invalider cette décision, mais la manifestation sera finie avant même qu’il ait le temps de statuer. » Autres mesures liberticides aux yeux de Me Roques, le délit de dissimulation du visage — « la loi ne précise pas si des lunettes de soleil ou un foulard constituent des dissimulations » — et le fichage de personnes qui ont troublé l’ordre public ou « exprimé leur opinion » — « une mesure qui va à l’encontre de la loi de 1978, qui interdit le fichage pour opinion politique ou action syndicale ».

    Sophie Chapelle, journaliste à Bastamag, s’est inquiétée de dix années de régression du droit de manifester, à raison d’une nouvelle loi sécuritaire tous les deux ans : « La loi de programmation militaire de 2013, qui étend la possibilité de surveillance au-delà du contrôle judiciaire, la loi de 2015 sur le renseignement, celle de 2016 contre le crime organisé, qui intègre des mesures de l’état d’urgence, et la loi sur la sécurité intérieure et le terrorisme de 2017, qui autorise la mise en place de périmètres de protection avec fouille systématique. » « La loi anti-manifestants a été adoptée le 12 mars ; de nouvelles mobilisations ont eu lieu le 16, et le 18, le Premier ministre, Édouard Philippe, n’a fait que des déclarations sécuritaires et annoncé un renforcement du maintien de l’ordre », déplore-t-elle.

    Assa Traoré, dont le frère est mort en juillet 2016 sur le sol de la gendarmerie de Persan (Val-d’Oise), a fustigé un « État antidémocratique, répressif, violent, une machine de guerre qui n’a ni ni remords, ni états d’âme, où tous les coups sont permis ». « Le pouvoir est violent, mutile et continue de tuer. Mais nous pouvons renverser ensemble cette machine de guerre », a-t-elle assuré.

    Que faire à présent, au-delà de l’information toujours essentielle sur la brutalité croissante de l’État, et alors que, comme l’a rappelé Edwy Plenel, « le droit de manifester est un droit fondamental » ? L’idée d’une Coordination nationale contre la répression a été avancée.

    Une réunion aura lieu cet après-midi jeudi 21 mars à l’Assemblée nationale, réunissant représentants de partis de gauche et d’organisations préoccupées par les droits de l’Homme, pour répondre collectivement aux « attaques contre les libertés publiques », indique à Reporterre la députée France insoumise Mathilde Panot.

    #violences_policières #répression

  • Adama Traoré : un rapport réalisé à la demande de la famille remet en cause l’expertise médicale
    https://www.lemonde.fr/societe/article/2019/03/12/adama-traore-un-rapport-realise-a-la-demande-de-la-famille-remet-en-cause-l-

    Les quatre médecins, dont l’anonymat est protégé par la loi mais qui figurent parmi les principaux spécialistes en France des maladies citées dans le dossier, écartent la théorie d’un décès dû à sa condition médicale. Ils appellent la justice à réexaminer les conditions d’arrestation du jeune homme, dont la mort en 2016 a provoqué un grand mouvement sociétal contre les violences policières.

    #paywall

    • Quatre médecins balayent les conclusions des précédents rapports sur les causes de la mort du jeune homme de 24 ans et mettent en cause ses conditions d’interpellation.

      C’est une course contre la montre autant qu’une bataille de communication. Alors que la justice a fait savoir qu’elle s’apprêtait à clore l’instruction sur « l’affaire Adama Traoré », la famille du défunt joue son va-tout avec une contre-expertise médicale, réalisée à ses frais, qui vient bousculer les certitudes établies sur les causes du décès.

      Les termes médicaux ont beau être complexes, la conclusion de ce travail est limpide. Ce rapport, rédigé par quatre professeurs de médecine interne issus de grands hôpitaux parisiens et que Le Monde a pu consulter, balaye les conclusions des précédents experts, remettant même en cause leur éthique médicale.

      Les quatre médecins, dont l’anonymat est protégé par la loi mais qui figurent parmi les principaux spécialistes en France des maladies citées dans le dossier, écartent la théorie d’un décès dû à sa condition médicale. Ils appellent la justice à réexaminer les conditions d’arrestation du jeune homme, dont la mort en 2016 a provoqué un grand mouvement sociétal [toi même ! ndc] contre les violences policières.

      A quoi est dû le décès d’Adama Traoré, à 24 ans, sur le sol de la gendarmerie de Persan (Val-d’Oise) en juillet 2016 ? La famille reste persuadée que ce sont les méthodes musclées d’interpellation qui ont causé sa mort, quand les #gendarmes assurent n’être pour rien dans la dégradation subite de son état.

      Le précédent rapport, rendu le 14 septembre 2018 par quatre experts désignés par le juge d’instruction, excluait d’ailleurs de facto l’action des forces de l’ordre, expliquant que le jeune homme qui avait couru pour échapper à un contrôle d’identité était décédé à la suite d’un « syndrome asphyxique » causé par une conjonction des deux maladies qu’il présentait : une sarcoïdose de type 2 et un trait drépanocytaire. « Le décès de M. Adama Traoré résulte de l’évolution naturelle d’un état antérieur au décours d’un effort », concluait l’#expertise_médico-légale.

      Cette conclusion, à propos d’un jeune homme sportif, ne tient pas, selon les quatre médecins sollicités par l’avocat de la famille Traoré, Me Yassine Bouzrou. Ces professeurs ont pour eux d’être des spécialistes des deux maladies mises en cause, la sarcoïdose et la drépanocytose, contrairement à leurs confrères qui ont signé le précédent rapport (deux experts de médecine légale, un cardiologue et un pneumologue).

      « Porteur sain »

      Après examen des différentes expertises réalisées, ils affirment sans détour que la condition médicale préalable d’Adama Traoré ne peut pas être la cause de la mort. Concernant la sarcoïdose, ils commencent par rappeler qu’il n’y a jamais eu de décès lié au stade 2 de la maladie, [avant, ndc] celui dont était affecté le jeune homme. « Aucun argument théorique, aucune donnée de littérature et aucune preuve médico-légale ne permettent de soutenir le contraire », écrivent-ils. Même constat pour le trait drépanocytaire, dont Adama Traoré était un « porteur sain ». « Nous affirmons que le décès de M. Adama Traoré ne peut être imputé ni à la sarcoïdose de stade 2, ni au trait drépanocytaire, ni à la conjonction des deux », assènent-ils.

      Les quatre professeurs ne s’arrêtent pas là. Ils remettent en cause le sérieux du travail des autres #experts : « La drépanocytose et la sarcoïdose sont deux pathologies rares, habituellement prises en charge par des médecins spécialisés, en général spécialistes de la médecine interne. Notons que les deux cliniciens ayant participé à l’expertise médico-légale de synthèse n’ont aucune compétence dans ces domaines. »

      Selon eux, le rapport fourmille de contresens : « Les notions théoriques invoquées au sujet de la sarcoïdose et de la drépanocytose sont improprement et faussement utilisées et leurs conclusions sont contraires aux connaissances et recommandations scientifiquement et internationalement validées. »

      Ils reprochent par exemple aux précédents experts d’appuyer leur raisonnement sur la drépanocytose sur des cas très rares de sept patients âgés de 42 à 67 ans, présentant des conditions physiques très dégradées (obésité, diabète, insuffisance rénale ou cardiaque…). « Ces patients ne peuvent en aucun cas être comparés à un jeune homme de 24 ans sans antécédents médicaux notables », expliquent-ils, rappelant qu’il existe actuellement environ 300 millions de porteurs sains vivants dans le monde, et plusieurs milliards depuis le début des études en 1956. « Il est peu probable que cette complication si elle avait été réelle n’ait pas été plus souvent rapportée dans la littérature. »

      Enchaînement médical improbable

      Dans leurs conclusions, les quatre professeurs s’interrogent sur le plan déontologique : « La tentative de validation ou légitimation de cette conclusion en faisant appel à des notions scientifiques théoriques sur la sarcoïdose et la drépanocytose amène à des conclusions biaisées sur le plan intellectuel, voire de l’éthique médicale. » Une charge virulente, dans un milieu hospitalier habituellement feutré.

      Selon eux, les experts cherchent à expliquer par un enchaînement médical improbable – et à vrai dire impossible – les causes de ce décès, alors qu’il existe des explications plus logiques et plus simples, à commencer par celle d’une « #asphyxie mécanique », due aux méthodes d’interpellation. Reprenant le récit de l’arrestation, ils soulèvent que les différentes auditions permettent de constater que le jeune homme a notamment reçu le poids des trois gendarmes sur son corps.

      « Il est étonnant de constater que cette expertise médico-légale ne s’est pas intéressée avec insistance à ces concepts d’asphyxie positionnelle, qui ont été décrits dans plusieurs études s’intéressant aux décès survenus lors d’#arrestations_policières », notent-ils, rappelant que trois des quatre expertises médicales réalisées jusqu’à présent « concluent en l’existence d’un syndrome asphyxique aigu ».

      Quel regard portera le procureur de Paris sur cette contre-expertise que la famille a versé au dossier ? Depuis le 14 décembre 2018, les juges d’instruction ont clos leur enquête et ont transmis le dossier au parquet, où il est « en cours de règlement », selon une source judiciaire. Toutes les demandes de nouveaux actes formulées par la famille ont été rejetées, notamment celle d’une #contre-expertise mandatée par la justice.
      L’hypothèse du non-lieu tenait jusque-là la corde. Les magistrats ont manifestement été convaincus par les conclusions du précédent rapport rendu en septembre 2018, qui exonérait les gendarmes. En témoigne leur décision de ne pas mettre en examen les trois militaires, à la suite de leur audition, fin novembre 2018. Ces derniers ont simplement été placés sous le statut de témoin assisté, pour « non-assistance à personne en péril ».

      La famille d’Adama Traoré demande qu’ils soient à nouveau entendus, notamment pour répondre plus précisément sur les conditions de l’interpellation. Elle demande également qu’une #reconstitution soit organisée sur les lieux de son arrestation, pour prouver que le jeune homme, qui aurait parcouru 400 mètres en dix-huit minutes, n’a pas produit un effort intense susceptible d’être à l’origine de son décès.
      Nicolas Chapuis

      #violences_policières #violence_d'état #Justice

  • Ces #gilets_jaunes et pacifiques m’ont raconté leur colère noire | Le Huffington Post

    https://www.huffingtonpost.fr/esther-benbassa/ces-gilets-jaunes-et-pacifiques-mon-raconte-leur-colere-noire_a_23606

    https://o.aolcdn.com/images/dims3/GLOB/crop/4722x2485+0+355/resize/1200x630!/format/jpg/quality/85/https%3A%2F%2Fmedia-mbst-pub-ue1.s3.amazonaws.com%2Fcreatr-uploaded-images

    amedi, vers 13h, j’ai rejoint le « Comité Adama » (du nom du jeune Adama Traoré mort à la gendarmerie de Persan en juillet 2016), devant la Gare Saint-Lazare pour défiler avec les gilets jaunes. J’avais tellement entendu parler des extrémistes de droite qui s’étaient introduits dans les rangs de ces derniers que j’avais un moment hésité, comme politique, à manifester avec eux. Le gouvernement avait assez martelé la chose, complaisamment reprise par les médias. Faisant fi de ce qui était en partie une intox, j’ai finalement préféré rejoindre les gilets jaunes en m’agrégeant à un groupe venu de nos quartiers populaires, qui partagent en fait avec eux plus d’une revendication.

  • La Haye Hollande assassinat de l’activiste et opposant Ahwazi Ahmad Mola Neisi
    https://nantes.indymedia.org/articles/39112

    8 et 9 Novembre 2017 nouvelles qui nous sont parvenue par le biais de contacts que nous avons eu avec plusieurs amis opposants Arabes Ahwazis d’Iran : Dans la soirée du Mercredi 8 Novembre 2017. M. Ahmad Mola Neisi un opposant Arabe Ahwazi Iranien était brutalement assassiné devant son domicile de la Haye en Hollande par un commando lourdement armé qui a fait feu sur lui . Des coups de feu qui ont atteint mortellement Ahmad Mola Neisi – trois fois à la tête et deux autres fois dans la poitrine. Selon des témoignages et des photos publiées peu de temps après l’incident sur des comptes Twitters en Hollandais et en Persan au moins un suspect aurait été (...)

    #Répression #Resistances #antifascisme #Répression,Resistances,antifascisme

  • Assa Traoré : une femme puissante
    https://www.franceculture.fr/emissions/les-pieds-sur-terre/assa-traore-une-femme-puissante

    Adama Traoré, le frère d’Assa, est mort le 19 juillet 2016, le jour de ses 24 ans, à la gendarmerie de Persan après avoir été interpellé à Beaumont sur Oise (Val d’Oise). Malgré sa peine infinie, Assa prend la parole avec force pour demander « vérité et justice ».

    #violences_policières #racisme #témoignage #justice #courage

  • Cinq mois après la mort d’Adama Traoré, le « deuil n’est pas fait » à #Beaumont-sur-Oise
    https://www.mediapart.fr/journal/france/271216/cinq-mois-apres-la-mort-dadama-traore-le-deuil-nest-pas-fait-beaumont-sur-

    Adama Traoré © DR Des habitants de la petite commune de Beaumont-sur-Oise (Val-d’Oise) continuent de se battre pour obtenir la vérité sur le décès, en juillet 2016, d’Adama Traoré à la gendarmerie de Persan dans des circonstances qui restent encore à éclaircir. Une mort qui aura marqué l’année 2017, comme celle de Rémi Fraisse avait marqué 2014.

    #France #Adama_Traoré #Assa_Traoré #Boyenval #gendarmes

  • Les frères Traoré condamnés : « On veut détruire notre cellule familiale » | Elsa Vigoureux
    http://tempsreel.nouvelobs.com/justice/20161215.OBS2703/les-freres-traore-condamnes-je-ne-comprends-pas-pourquoi-je-sui

    Bagui et Yssoufe, les frères d’Adama Traoré, mort le 19 juillet sur le sol de la gendarmerie de Persan, comparaissaient mercredi pour outrages, menaces de mort et violences sur personnes dépositaires de l’autorité publique. Source : L’Obs

    • Et #féodalité aussi : la Seigneur du lieu a été malmenée, il faut donc châtier les manants et leur rappeler leur place dans ce monde. Une telle instrumentalisation de la fonction de Maire puis des forces de l’ordre et enfin de la Justice, c’est tout bonnement affolant et affreusement révélateur de la façon dont les contre-pouvoirs ont tous été détruits. L’exécutif (Le Maire) a tous pouvoirs et aucun compte à rendre à quiconque dans ce « fief ».

    • Un procès « hors norme », une enquête bidonnée par les flics et une maire (mairesse ?) omnipotente qui veut « mutualiser » les frais de justice d’une action en diffamation contre Assa Traoré.

      Les faits remontent au 17 novembre 2016, aux alentours de 20h45. La maire UDI de Beaumont sur Oise, Nathalie Groux, souhaite mettre au vote du conseil municipal une prise en charge par la municipalité des frais de justice pour sa plainte en diffamation contre Assa Traoré. Cette dernière, accompagnée de sa famille et de ses soutiens, décide de venir assister à la séance. Une « provocation » pour le procureur adjoint. « Vous pensiez sérieusement que vous seriez autorisés à assister au conseil municipal avec la cinquantaine de personnes qui vous accompagnait ? » lance-t-il à Assa Traoré, venue déposer à la barre comme témoin. « Vous pensez que ce n’est pas normal que j’assiste au conseil municipal ?, lui répond, sans se départir de son calme olympien, la sœur d’Adama. On a le droit d’y assister, comme tout citoyen. Surtout sur une question qui nous concerne directement, puisqu’il s’agit de nos impôts. Je n’ai jamais demandé à ce que tout le monde puisse entrer. »

      ... / ...

      « C’est une enquête pourrie, minable, bidon ! », tonne Me Yassine Bouzrou qui met en cause l’absence de perquisition, d’auditions des élus de l’opposition et les « déclarations évolutives » des forces de l’ordre. « Le doute profite aux prévenus » rappelle –t-il au tribunal. « Il n’y a rien de tangible, aucun élément probant », renchérit sa consœur Me Noémie Saidi-Cottier, qui rappelle que Bagui Traoré, condamné douze fois, dont sept quand il était mineur, s’est amendé depuis sa sortie de prison en 2013 : « Il est devenu père, gagne sa vie, aide sa mère, il est parfaitement inséré. » Depuis la mort de son frère Adama, « il fait des cauchemars terribles, prend des médicaments ». « Il l’a vu recousu et ne s’en remet pas. »

      Lu ici même :
      http://www.humanite.fr/le-proces-hors-norme-des-freres-traore-628786

      #justice_de_classe (partout)

    • Gli afroeuropei e l’invenzione del colore della pelle

      Si chiama Assa Traoré, madre di tre figli, sorella di innumerevoli fratelli, educatrice, francese di origine maliana, 31 anni di vita terrena, ma sulle spalle l’esperienza dei suoi antenati. Suo fratello, Adama Traoré, è morto in una gendarmeria il 19 luglio 2016, il giorno del suo compleanno. Da quel giorno Assa non ha smesso di cercare giustizia per suo fratello, per capire cosa sia successo dalle 17.30, orario in cui è stato portato via dalla polizia, alle 19.00, orario in cui è stato trovato senza vita.

      http://www.internazionale.it/opinione/igiaba-scego/2017/02/26/afroeuropei-razzismo

  • Un autre front judiciaire s’ouvre pour les frères d’Adama Traoré
    https://www.mediapart.fr/journal/france/131216/un-autre-front-judiciaire-s-ouvre-pour-les-freres-d-adama-traore

    Deux frères d’Adama Traoré, le jeune homme mort le 19 juillet 2016, entre les mains des gendarmes à Persan dans le Val-d’Oise, sont jugés à Pontoise pour outrages et violences à l’encontre de huit gendarmes et de policiers. Retour sur les affaires judiciaires parallèles à l’instruction menée à Paris pour déterminer les circonstances du décès d’Adama Traoré.

    #France #Adama_Traoré #Assa_Traoré #Beaumont-sur-Oise

  • « Les pressions politiques et policières doivent cesser » : communiqué de la famille Traoré
    http://contre-attaques.org/l-oeil-de/article/les-pressions

    Nous publions ici le dernier communiqué de presse de la famille d’Adama Traoré, mort dans la cour de la gendarmerie de Persan le 19 juillet 2016. Depuis, la famille fait face à des pressions émanant de la municipalité et de la gendarmerie... Que cherchent les forces de l’ordre et la municipalité de Beaumont-sur-Oise ? C’est la question que nous nous posons après les événements survenus ce jeudi 18 novembre en marge du conseil municipal. En tant qu’habitants de Beaumont, nous nous y sommes rendus afin (...)

    #L'œil_de_Contre-Attaques

    / #Ailleurs_sur_le_Web, #carousel, #Violences_policières

  • Mort d’Adama Traoré. Trois jeunes interpellés par la gendarmerie suite aux révoltes à Persan et Beaumont-sur-Oise http://www.revolutionpermanente.fr/Mort-d-Adama-Traore-Trois-jeunes-interpelles-par-la-gendarmerie …pic.twitter.com/5LoFBACrMu
    https://twitter.com/RevPermanente/status/783932321086971904

    Mort d’Adama Traoré. Trois jeunes interpellés par la gendarmerie suite aux révoltes à Persan et Beaumont-sur-Oise http://www.revolutionpermanente.fr/Mort-d-Adama-Traore-Trois-jeunes-interpelles-par-la-gendarmerie … pic.twitter.com/5LoFBACrMu

  • #AdamaTraoré : le Président malien apporte un « soutien sans faille » à la famille
    http://contre-attaques.org/l-oeil-de/article/adamatraore-le

    Le 19 juillet 2016, Adama Traoré décédait dans la cour de la gendarmerie de Persan (95). Alors que les circonstances de la mort se dessinent chaque jour un peu plus et que la responsabilité des gendarmes fait de moins en moins de doute, la famille Traoré n’a toujours pas eu le droit à un mot du Président de la République française. Côté Mali, au contraire, le gouvernement semble déterminé à accompagner cette famille dans ces diverses procédures. Nous reproduisons ici leur communiqué. Le 12 août dernier, (...)

    #L'œil_de_Contre-Attaques

    / #carousel, #Sur_les_réseaux, #Police, #Politiques

  • Mort d’Adama Traoré entre les mains de gendarmes
    https://expansive.info/Mort-d-Adama-Traore-entre-les-mains-de-gendarmes-072

    Adama Traoré, 24 ans, est décédé mardi 19 juillet à Persan, ville du nord du Val d’Oise (95) alors qu’il venait d’être interpellé par les gendarmes. - A lire ailleurs / Répression - Justice, Racisme — A lire ailleurs, Répression - Justice, Racisme, Persan (95) : mort d’Adama Traoré entre les mains de gendarmes, Adama - 11 ans et rien a changé, Communiqué de la famille d’Adama suite à la manif du 30 juillet, Deux jeunes rappeuses du 93 chantent leur colère et exigent #JusticePourAdama. Interview

  • Le parquet a lancé une enquête contre Adama Traoré alors qu’il était déjà mort
    https://www.mediapart.fr/journal/france/050816/le-parquet-lance-une-enquete-contre-adama-traore-alors-qu-il-etait-deja-mo

    Adama Traoré © DR Selon nos informations, le #parquet_de_Pontoise avait réclamé l’ouverture d’une enquête pour rébellion le 20 juillet contre Adama Traoré, alors que ce jeune homme de 24 ans était mort la veille à la gendarmerie de Persan, dans le Val-d’Oise. Retour sur une affaire avec de plus en plus de zones d’ombre.

    #France #Adama_Traoré #Yves_Jannier

  • Mort d’Adama Traoré : des éléments cruciaux ont disparu du dossier
    https://www.mediapart.fr/journal/france/030816/mort-d-adama-traore-des-elements-cruciaux-ont-disparu-du-dossier

    Selon nos informations, plusieurs pièces essentielles manquent au dossier concernant le décès d’Adama Traoré, mort à 24 ans fin juillet, après son interpellation par les gendarmes de #Persan (Val-d’Oise). Le rapport d’intervention détaillé du Samu et des pompiers n’a pas été communiqué à la juge d’instruction. La famille réfléchit à porter plainte pour « dissimulation de preuves ».

    #France #Adama_Traoré #asphyxie #Beaumont-sur-Oise #gendarmerie

  • Mort d’Adama Traoré : la première autopsie évoquait une possible asphyxie
    https://www.mediapart.fr/journal/france/010816/mort-d-adama-traore-la-premiere-autopsie-evoquait-une-possible-asphyxie

    Alors que les conditions d’interpellation d’Adama Traoré, décédé le 19 juillet, à la gendarmerie de Persan, sont encore troubles, les raisons qui auraient pu conduire à son #décès s’éclaircissent peu à peu même si des zones d’ombre subsistent. Sa famille reste persuadée qu’il a été victime d’une bavure.

    #France #Adama_Traoré #gendarmes #syndrome_asphyxique

  • [Genève] Banderole justice pour Adama
    https://renverse.co/Persan-Mort-d-Adama-Traore-entre-les-mains-de-gendarmes-738

    Adama Traoré, 24 ans, est décédé ce mardi 19 juillet à Persan, ville du nord du Val d’Oise (95) alors qu’il venait d’être interpellé par les gendarmes. Le mardi 26 juillet une banderole a été deployée aux parc des Bastions à Genève pour lui rendre (...) — Emmaclit, 1, la gazette du val d’oise, 2, de quoi est capable la Police, appelé à Toulouse, 3, Monde, http://resistons.lautre.net, https://www.facebook.com/Urgence.notre.police.assassine, revue de presse essentiellement du Parisien sur ces soirées de révolte à lire sur attaque.noblogs

  • Des armes de guerre contre les émeutiers après la mort d’Adama Traoré
    https://paris-luttes.info/des-armes-de-guerre-contre-les-6486
    https://paris-luttes.info/home/chroot_ml/ml-paris/ml-paris/public_html/local/cache-vignettes/L614xH410/cn45hpuxgaa5kbe-8e338-ce288.jpg?1469453945

    Après la mort d’Adama Traoré entre les mains de gendarmes, les communes limitrophes de Beaumont-sur-Oise et Persan ont connu cinq nuits d’émeutes au cours desquelles les forces du désordre étaient équipées d’armes de guerre.

    #adama_Traoré
    @rezo

  • Ils ont tué Adama Traoré #violencespolicieres
    https://gauchedecombat.net/2016/07/21/ils-ont-tue-adama-traore-violencespolicieres

    C’est ce tweet d’Omar Sy qui m’a mis la puce à l’oreille : j’ai voulu en savoir plus. Les médias main stream s’attardant davantage sur les émeutes urbaines qui ont suivi sa mort que sur les circonstances de celle-ci, il convenait de recouper les informations. Comme en pareil cas, deux versions s’affrontent, celle des forces […]

    http://0.gravatar.com/avatar/9faa4d044bbecc32a5bef02aba121599?s=96&d=&r=G

    • Mort d’Adama Traoré : dans les 20h, c’est “circulez y a rien à voir”. | Bondy Blog
      http://www.bondyblog.fr/201607210900/57438

      En école de journalisme, on m’a toujours appris qu’on commençait par l’élément le plus récent. Pourtant, depuis les échauffourées de mardi soir, ils s’en sont passées des choses à Beaumont-sur-Oise et à Persan :
      1/la famille d’Adama Traoré (frères, soeur et la maman) et les amis se sont exprimés dès mercredi matin réfutant la thèse du malaise cardiaque évoquée par le procureur.
      2/ une prise de parole publique des amis de la victime a eu lieu devant plusieurs journalistes où ils ont exigé la remise du corps d’Adama Traoré à la famille
      3/ un rassemblement a été organisé par ces mêmes amis devant la gendarmerie repoussé par des gaz lacrymogène. Mais à 20h mercredi soir, TF1 parlait toujours d’échauffourées.

  • Colère après la mort d’un jeune arrêté par les gendarmes - Page 1 | Mediapart
    Le parquet de Pontoise a ouvert une enquête sur les causes de la mort d’un homme de 24 ans, décédé mardi soir peu après son interpellation par des gendarmes à Beaumont-sur-Oise. Des échauffourées ont éclaté après l’annonce de son décès et se sont poursuivies dans la nuit de mercredi à jeudi. Des membres de sa famille ont affirmé qu’il avait été frappé par les gendarmes.
    https://www.mediapart.fr/journal/france/200716/colere-apres-la-mort-d-un-jeune-arrete-par-les-gendarmes

    Domicilié à Champagne-sur-Oise, mais venant régulièrement à Boyenval, Adama avait été arrêté aux environs de 18 h 15 mardi pour « rébellion » après s’être opposé à l’interpellation de son frère, visé par une enquête en cours pour extorsion de fonds.
    Le jeune homme âgé de 24 ans aurait alors fait un malaise cardiaque et serait décédé alors qu’il se trouvait dans le fourgon qui le ramenait à la gendarmerie de Persan, vers 19 heures, selon la version donnée à Reuters par le procureur adjoint de Pontoise, François Capin-Dulhoste.

    Une version contestée par la famille du défunt qui affirme que les gendarmes l’ont « tabassé ». « Ils ont assassiné mon frère le jour de son anniversaire », a raconté sa sœur Hassa au micro de BFM-TV. « Ça fait longtemps qu’ils sont derrière Adama et là, ils l’ont eu », assure-t-elle. Selon elle, les militaires « ont camouflé son meurtre. Les horaires ne correspondent pas du tout avec la réalité. À 21 heures, on me dit que mon frère a fait une crise à la gendarmerie. Après, ma famille se rend à l’hôpital où on lui dit qu’il n’est pas présent. Elle se rend à la gendarmerie. Ils lui disent que mon frère est là et qu’il va très bien. À 23 heures, ils la rappellent pour lui dire que mon frère est mort… »

    Hatouma, une autre sœur du défunt, rapporte elle aussi des témoignages, semble-t-il, accablants : « Les gendarmes l’ont interpellé au centre-ville, l’ont tapé pour le faire entrer de force dans la voiture et il a eu une crise. Mais ils l’ont emmené quand même en garde à vue, sans appeler les pompiers ni rien du tout […] On nous a raconté qu’au poste il était par terre, menotté, et qu’ils lui ont donné des coups sur la tête. Il a fait une crise, mais ils ont continué à lui donner des coups. Il a succombé aux coups. »

  • #Perturbations trafic #ratp et #sncf #transilien le 24 mars 2014
    http://www.transports-en-commun.info/perturbations-trafic-ratp-sncf-transilien-24-mars-2014

    Défaut d’alimentation électrique à Persan Beaumont sur la ligne H. Le trafic est interrompu dans les deux sens entre Montsoult Maffliers et Persan Beaumont, et entre Valmondois...Cet article Perturbations trafic RATP et SNCF Transilien le 24 mars 2014 est apparu en premier sur Point Info Transports.

    #Infos_Trafic #Infos_Trafic_IDF #banlieue #bus #lignes #metro #RER #trains #Tramway

  • #Perturbations trafic #ratp et #sncf #transilien les 1er-2 mars 2014
    http://www.transports-en-commun.info/perturbations-trafic-ratp-sncf-transilien-les-1er-2-mars-2014

    Transilien H : Des travaux de remplacement des rails et du ballast interrompent la circulation des #trains sur la ligne H, entre Creil et Persan Beaumont, sur l’axe Creil - Persan Beaumont ...Cet article Perturbations trafic RATP et SNCF Transilien les 1er-2 mars 2014 est apparu en premier sur Point Info Transports.

    #Infos_Trafic #Infos_Trafic_IDF #banlieue #bus #lignes #metro #RER #Tramway

  • #Perturbations trafic #ratp et #sncf #transilien les 22-23 février 2014
    http://www.transports-en-commun.info/perturbations-trafic-ratp-sncf-transilien-les-22-23-fevrier-2

    Transilien H : Des travaux de remplacement des rails et du ballast interrompent la circulation des #trains sur la ligne H, entre Creil et Persan Beaumont, sur l’axe Creil - Persan Beaumont - Pontoise, ...Cet article Perturbations trafic RATP et SNCF Transilien les 22-23 février 2014 est apparu en premier sur Point Info Transports.

    #Infos_Trafic #Infos_Trafic_IDF #banlieue #bus #lignes #metro #RER #Tramway