Ploërmel : la justice ordonne d’éteindre les 40 caméras
▻https://france3-regions.francetvinfo.fr/bretagne/morbihan/ploermel-justice-ordonne-eteindre-40-cameras-1574762.ht
La Cour administrative d’appel de Nantes vient d’annuler l’arrêté préfectoral de 2016 autorisant le déploiement de 40 caméras de vidéosurveillance dans la commune de 9500 habitants jugeant ce dispositif disproportionné. Les opposants s’en félicitent. La mairie n’entend pas baisser les armes. Le débat autour des caméras de vidéosurveillance à Ploërmel n’est pas nouveau. La commune qui compte 9500 habitants fait installer dès 2005 vingt caméras. A l’époque le collectif « Ploërmel sans vidéos » se crée pour les (...)
]]>Sur une chaîne de production de la société Josselin Porc Abattage, un homme de 52 ans a tenté de débloquer une machine. « Le bras droit de la victime a été happé, l’homme a alors tenté de s’aider de son bras gauche coincé à son tour », détaille la gendarmerie de Ploërmel.
▻https://www.ouest-france.fr/bretagne/ploermel-56800/josselin-un-homme-s-est-fait-arracher-la-main-lors-d-un-accident-de-tra
#accident_de_travail
Ploërmel : Cette fois-ci le Conseil d’Etat a raison, par Régis de Castelnau Vu du droit - Régis de Castelnau - 31-10-2017
Le Conseil d’État, vient une nouvelle fois de prendre une décision qui a suscité une certaine émotion chez les catholiques. Par un arrêt en date du 25 octobre dernier, il a donné injonction à la commune de Ploërmel de retirer la croix installée au-dessus d’une statue du pape Jean-Paul II. En ces temps de combats furieux sur les questions de laïcité, la décision a été perçue, à la fois comme une injustice mais aussi comme une avanie par une communauté catholique qui se sent maltraitée au regard des complaisances dont bénéficie incontestablement l’islam intégriste. On a donc vu fleurir un tas de commentaires courroucés dans les médias, et les réseaux ont pris le relais avec comme d’habitude les hashtag qui tuent. Cette fois-ci ce sera #montretacroix pour accompagner un déferlement de photos et de commentaires marqués par la plus grande confusion. Souvent assorti d’un second #balancetonConseildÉtat qui en dit long sur la perte d’autorité de l’institution.
#démontetacroix
Dans Causeur, mon confrère et collègue Pierrick Gardien a en termes sévères, critiqué la décision de la haute juridiction, la trouvant « très discutable » et se demandant si celle-ci n’avait pas à cette occasion « abusé de son pouvoir ». Pour ma part, je considère que le Conseil d’État ne pouvait statuer autrement. Et qu’il lui est fait là, pour une fois, une mauvaise querelle.
Revenons rapidement sur les faits tels que l’on peut les connaître aujourd’hui.
Un artiste russe Zurab Tsereteli a offert à la commune de Ploërmel une statue en pied du pape Jean-Paul II. Le maire en exercice a soumis au conseil municipal, « une délibération du 28 octobre 2006 qui avait exclusivement pour objet l’acceptation, par la commune, d’un don de M. R…portant sur une statue représentant le pape Jean-Paul II en vue de son installation sur la place éponyme de la commune ». C’est postérieurement qu’a été prise la décision d’installer cette statue sous une arche surmontée d’une croix. Six ans plus tard, il s’est trouvé deux laïcards obtus qui, un siècle après la loi sur la séparation de l’église de l’État, continuent à bouffer du curé, alors que les cathos n’embêtent plus grand monde. Ils se sont donc réveillés et ont considéré qu’en Bretagne, où il y a un calvaire tous les 50 m, c’était là un spectacle insupportable. Les mêmes semblent avoir d’ailleurs une phobie alimentaire concernant les imams qu’ils se gardent bien de venir asticoter. Le tribunal administratif de Rennes leur a donné raison et la Cour d’appel de Nantes tort.
Pas de prescription
Pour critiquer la décision du Conseil d’État Pierrick Gardien a avancé plusieurs arguments. Tout d’abord que l’ensemble statue surmontée de l’arche de la Croix était artistiquement indissociable. Et qu’il fallait donc apprécier le monument dans sa globalité. C’est tout simplement erroné, la statue seule a été donnée à la commune et c’est celle-ci qui a décidé de la compléter de cette façon. Le droit moral de l’artiste ne porte bien évidemment que sur la statue elle-même.
La cour d’appel de Nantes avait considéré que six ans après, la délibération d’acceptation du don, délais de recours échus était définitive et inattaquable. Or, fort justement la haute juridiction ne l’a pas suivi en constatant qu’il y avait eu deux décisions distinctes : celle du conseil municipal du 28 octobre 2006, mais également et c’est là l’essentiel une autre, prise en dehors de tout formalisme, visant à installer l’arche et la croix au-dessus de la statue. Et pour celle-là, les délais n’étaient pas échus, parce que n’avaient pas été réalisées les formalités de publicité qui s’imposent à toute décision administrative pour être exécutoire et pour faire courir les délais de recours. On pouvait donc toujours en demander l’abrogation. Malicieusement mon confrère fait appel au bon sens et nous dit : « Pour qui a suivi ce raisonnement juridique alambiqué, la contorsion est grossière : comment le maire de Ploërmel aurait-il pu publier une décision qui n’existe pas ? » Et bien non, il n’y a pas de contorsion grossière, ni raisonnement alambiqué. Simplement l’application de ce que l’on appelle précisément « la théorie de l’acte inexistant ». Que les juridictions administratives utilisent depuis fort longtemps ! La décision existe factuellement, mais elle n’a pas « d’existence administrative régulière ». C’est la raison pour laquelle on peut l’attaquer à tout moment, et faire constater son illégalité.
_ 1905-2017, même combat
Voilà ce que nous dit de façon difficilement réfutable le Conseil d’État : « Toutefois, il ressort également des pièces du dossier soumis aux juges du fond que la délibération du 28 octobre 2006 avait exclusivement pour objet l’acceptation, par la commune, d’un don de M. R…portant sur une statue représentant le pape Jean-Paul II en vue de son installation sur la place éponyme de la commune et ne comportait aucun élément relatif à l’arche et à la croix de grande dimension, distinctes de la statue et installées en surplomb de celle-ci. L’installation, au-dessus de la statue, d’une arche et d’une croix doit ainsi être regardée comme révélant l’existence d’une décision du maire de la commune distincte de la délibération du 28 octobre 2006 ».
Bien sûr que la décision du maire existait, puisque l’arche et la croix ont été édifiées aux frais de la collectivité. Elle était grossièrement irrégulière dans la mesure où n’étant pas pas le fruit d’une décision formalisée de la commune opposable aux tiers, elle surtout constituait une violation évidente de l’article 28 la loi de 1905 dont il faut rappeler les termes : « Il est interdit, à l’avenir, d’élever ou d’apposer aucun signe ou emblème religieux sur les monuments publics ou en quelque emplacement public que ce soit. à l’exception des édifices servant au culte, des terrains de sépulture dans les cimetières, des monuments funéraires ainsi que des musées ou expositions ».
Ne pas créer de précédents pour les islamistes *
C’est la raison pour laquelle la mobilisation autour de l’affaire de Ploërmel l’est pour une mauvaise cause. Et ce n’est pas une bonne idée d’invoquer « les racines chrétiennes de la France » ou de mélanger tout en invoquant les foucades de Georges Frêche à Montpellier, ou les obscénités que les escrocs de « l’art » contemporain s’ingénient à installer dans l’espace public.
En ces temps difficiles où le combat pour la laïcité, qui concerne d’abord l’islam intégriste, n’est pas facile à mener, pourquoi créer des précédents et réclamer ainsi pour les chrétiens des « accommodements raisonnables » en essayant de contourner la loi ? Alors qu’il est essentiel justement de les refuser et de les combattre fermement dès lors qu’ils émanent du salafisme ou du wahhabisme. Pour ne prendre que cet exemple, les prières de rue de Clichy-sous-bois où l’on psalmodie des sourates meurtrières contre les mécréants bénéficient d’un laxisme insupportable de l’État. Les territoires perdus, ces petits califats qui ont fait sécession, sont le fruit de la démission des autorités publiques. C’est justement en étant rigoureux sur les principes, et en étant cohérent que l’on pourra mener ces indispensables combats dans l’outil est justement la loi de 1905.
En ne confondant pas l’exigence républicaine avec une guerre de religions.
Source : ▻http://www.vududroit.com/2017/10/ploermel-cette-conseil-detat-a-raison
#religion #obscurantisme #Séparation_de_l_eglise_et_de_l_Etat #Loi_1905 #racines_chrétiennes_de_la_France #Conseil_d_État,
]]>LES PAUVRES SONT EN TROP //MONIQUE PINCON CHARLOT// - YouTube
▻https://www.youtube.com/watch?v=-5adTQl54cI
Manifestation tracto-vélo-piéton à Ploërmel
▻http://zad.nadir.org/spip.php?article3698
Le tract et l’affiche pour la manifestation tracto-vélo-piéton du 26 mars de La Croix-Helléan à Ploërmel (56) sont téléchargeable : l’affiche (3 Mo) : ▻https://mon-partage.fr/f/UNzcGueQ le tract (1 Mo) : ▻https://mon-partage.fr/f/4qaHo4S8 Le programme de la journée : 10 h : rassemblement des tracteurs et vélos au centre bourg de la Croix-Helléan ; 10 h 30 : départ avec un tracteur en tête, le groupe cycliste puis le convoi des tracteurs ; 12 h ou 12h 30 : arrivée du convoi tracto-vélo au (...)
]]>Essai clinique : le patient décédé était un artiste - Edition du soir Ouest France - 19/01/2016
▻http://www.ouest-france.fr/bretagne/rennes-35000/essai-clinique-le-patient-decede-etait-un-artiste-morbihannais-3979793
« Comme tout le monde, on avait entendu parler de ce drame, mais on ne s’imaginait pas que c’était quelqu’un de la commune. » La stupéfaction règne à Guilliers, commune de 1 300 habitants, près de Ploërmel. Guillaume Molinet, âgé de 49 ans, est décédé dimanche au CHU de Rennes suite à un essai thérapeutique au laboratoire Biotrial. Marié et père de quatre enfants, il s’était installé dans une maison du bourg il y a une dizaine d’années.
« Il avait voulu s’impliquer au niveau culturel. Il faisait de la musique avec son frère. La première année, ils avaient fait une fête de la musique dans une ancienne forge du bourg. Les Guillierois en ont gardé un bon souvenir », raconte Alain Porcheron, conseiller municipal et pharmacien de la commune.
Artiste, peintre, chanteur et producteur sous le nom Arthur Diesel, il était très actif dans la vie culturelle régionale. Il avait transformé cette forge en espace culturel accueillant quelques soirées. Il l’avait baptisé Ô Son d’la forge. « C’était assez jazz, avec un piano à queue. Cela n’a pas tenu longtemps, mais il avait plusieurs cordes à son arc. » La peinture en faisait partie, se souvient une habitante très surprise et attristée par ce qui lui est arrivé. « C’était quelqu’un qui aimait la culture, qui s’intéressait à tout. C’est important dans ces petites communes », confie un riverain.
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Mardi après-midi, le CHU de Rennes faisait un point sur l’état de santé des patients hospitalisés. « Deux patients ont été transférés dans les services de neurologie d’établissements proches de leur domicile, suite à l’amélioration de leur état de santé. » Deux autres patients restent hospitalisés à l’hôpital rennais. « L’amélioration de leur état de santé se confirme. Le cinquième et dernier patient hospitalisé au CHU de Rennes, volontaire sain resté asymptomatique, a regagné son domicile. »
Sur les 84 autres personnes volontaires ayant été exposées à la molécule de l’essai, 18 personnes ont bénéficié d’un examen neurologique et d’une IRM cérébrale au CHU de Rennes. Les anomalies cliniques et radiologiques présentes chez les patients hospitalisés n’ont pas été retrouvées. 22 autres rendez-vous ont été fixés.
]]>▻http://souriez.info/Annulation-de-la-videosurveillance
#Ploermel et son #polonium_du_peuple, ses 60 caméras de #vidéosurveillance pour 8000 habitants, sa statue géante de JenPolpot2 installée en 2006 au frais de la commune et inaugurée par Adler et son ami et maire Paul Anselin.
]]>Quand des métallos deviennent propriétaires de leur usine | Nolwenn Weiler (Basta !)
►http://www.bastamag.net/article2102.html
Les aciéries de Ploërmel, dans le sud de la Bretagne, font beaucoup parler d’elles. Lâchées par les actionnaires, elles ont été reprises en coopérative par les métallos en 2005. Les bénéfices de l’entreprise, spécialisée dans la production de pièces ferroviaires, vont croissant. Les aciéries embauchent et les conditions de travail se sont améliorées. Comme quoi, les salariés ne sont pas des patrons comme les autres. (...) Source : Basta !
]]>Quand des métallos deviennent propriétaires de leur usine - Coopérative - Basta !
►http://www.bastamag.net/article2102.html
Les aciéries de Ploërmel, dans le sud de la Bretagne, font beaucoup parler d’elles. Lâchées par les actionnaires, elles ont été reprises en coopérative par les métallos en 2005. Les bénéfices de l’entreprise, spécialisée dans la production de pièces ferroviaires, vont croissant. Les aciéries embauchent et les conditions de travail se sont améliorées. Comme quoi, les salariés ne sont pas des patrons comme les autres.
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