city:pontarlier

  • A Pontarlier, des collégiens font inscrire le nom d’une femme morte pour la France sur le monument de la Grande Guerre
    https://www.francebleu.fr/infos/education/pontarlier-des-collegiens-font-inscrire-le-nom-d-une-femme-morte-pour-la-

    Les élèves ont fait cette découverte de manière tout à fait fortuite, en consultant des registres ouverts au public. « La chose était connue depuis 1919 » souligne Anne Giacoma, une des enseignantes du collège qui a encadré ce projet. « Si elle n’avait pas été une femme, voilà longtemps que son nom aurait été écrit sur le monument aux morts » continue la professeure d’histoire-géographie.

  • Assèchement du Doubs : « Dans 20 ans, l’eau vaudra plus cher que le pétrole » Coralie Claude/jzim - 31 Juillet 2018 - RTS
    http://www.rts.ch/info/monde/9746942-assechement-du-doubs-dans-20-ans-l-eau-vaudra-plus-cher-que-le-petrole-.

    Une réunion d’urgence est prévue mardi pour évoquer l’assèchement du Doubs entre Pontarlier et Morteau, en France voisine. Du jamais vu depuis plus de 40 ans, selon un garde-pêche de la fédération départementale.

    « Je crois que l’on avait pas vu cela depuis l’été 1976 », explique mardi dans La Matinale de la RTS Alexandre Cheval, chargé de développement à la Fédération de pêche et de protection des milieux aquatiques du Doubs. « Côté suisse, il n’y a pas l’air d’avoir le même problème, mais on sait que les niveaux d’eau sont relativement bas. »


    « Tous les pays européens peuvent être concernés par cette situation », ajoute Alexandre Cheval. « Chez nous, c’est particulier, l’eau s’en va aussi en raison de failles. On voit également les effets du réchauffement climatique dans la mesure où les précipitations annuelles ne sont plus du tout les mêmes aujourd’hui qu’il y a 20 ou 30 ans (...) Mais il faut aussi voir les actions entre pics sur ces secteurs, avec l’agriculture, l’urbanisation, l’étanchéification des sols. On a passé notre temps ces 60 dernières années à détruire tout ce qui était zone humide », regrette-t-il, évoquant ces zones tampons qui normalement restituent de l’eau dans les cours.

    Toucher au portefeuille des consommateurs
    « Souvent, nos politiques ou nous-mêmes avons tendance à nous décharger en disant que c’est la faute au réchauffement climatique, mais nous sommes aussi responsables, et pas seulement les entreprises », poursuit Alexandre Cheval, qui évoque pour solution celle de toucher au portefeuille des consommateurs pour qu’ils consomment moins.

    L’appellation « or bleu » prend ainsi toute sa signification quand on constate sa raréfaction dans des cas comme celui-ci, conclut l’expert : « Tant que l’eau sort du robinet, la plupart des gens ne se posent pas de questions. Mais nous, en tant que professionnels, on s’aperçoit que les 10, 15 ou 20 prochaines années, l’eau vaudra plus cher que le pétrole. »

    #Eau #Doubs #Pontarlier #Morteau #urgence #agriculture #urbanisation #destruction des #zones_humides #France #Suisse

  • L’Azerbaïdjan veut faire autre chose que du gros rouge qui tache (et du pétrole)

    Le retour :
    le « président du conseil suprême de la province française de Jonah » refait parler de lui pour la production de pinard en Azerbaïdjan

    Rappel des errements syntaxiques des multiples traductions : http://seenthis.net/messages/190835

    http://www.contact.az/docs/2014/Economics&Finance/100200092223en.htm

    According to the chairman of the supreme council of the French province of Jonah Henry Villiers,

    a.k.a. le conseil général de l’Yonne

    par contre je ne sais pas comment le maire de Pontarlier est devenu maire de « Shaublun »

    The Azerbaijani side was represented by the head of the Executive Power of the area Arif Seyidov, and the French side – by the mayor of French town Shaublun Patrick Genre.

    (help welcomed)

    #azerbaïdjan #vin #trainspotting

  • La misère devenue télé-réalité | Les racines du ciel
    http://francoismandil.wordpress.com/2013/10/23/la-misere-devenue-tele-realite

    Home
    En général, quand les feux de l’actualité nationale se braquent sur Pontarlier, c’est pour évoquer les médailles des biathlètes. Secteur rural de montagne, avec une densité de population forcément faible, les réseaux militants, sont eux aussi moins actifs que dans les zones urbaines de Besançon, Belfort ou Montbéliard pour ne citer que les plus proches. Si la tempête médiatique qui s’est déchaîné suite à l’expulsion de la famille #Dibrani a débordé l’ensemble des Français, il va sans dire qu’elle nous a totalement écrasés.

    #sans-papiers #lepenisation_des_esprits #racisme #indécences #misère #étranger #télé-réalité

  • Comment l’Elysée veut clore l’affaire Leonarda

    Sur quelle piste atterrir ? A Orly, d’abord, où Manuel Valls est arrivé, samedi 19 octobre dès l’aube, après avoir écourté un déplacement aux Antilles qui devait s’achever 24 heures plus tard. Sur une position de compromis, ensuite, destinée à extirper le gouvernement de la crise politique vers laquelle le cas de Leonarda Dibrani semble tout droit l’emporter. Une issue de secours qui devrait se matérialiser par une nouvelle circulaire « sur la sanctuarisation des temps scolaires et périscolaires », indique-t-on à l’Elysée.

    C’est pour se voir remettre samedi matin, « à lui et à personne et d’autre avant », selon l’un de ses conseillers, le rapport de l’Inspection générale de l’administration (IGA) sur les circonstances de l’expulsion de la collégienne de Pontarlier (Doubs), lequel a été rédigé dans la nuit, que M. Valls a abrégé un séjour en Martinique et en Guadeloupe qui l’a tenu, trois jours durant, éloigné de la principale tempête qu’il ait eu à affronter depuis son installation place Beauvau.

    « Un déplacement très dense, très prenant, sur lequel il est resté concentré », assure l’un des accompagnateurs du ministre, pour qui « il rentre parce qu’il faut aussi qu’il défende ses positions ». « Vu d’ici, tout cela paraissait très décalé, minimise le président de la commission des lois de l’Assemblée nationale, Jean-Jacques Urvoas, également du voyage. Jeudi, lors du dîner, pas une seule fois le sujet n’a été évoqué. Les gens l’ont interrogé sur les huit nouveaux radars ou la pérennisation de l’escadron de gendarmerie mobile envoyé en renfort... »

    LA NÉCESSITÉ DE TEMPORISER

    Loin de l’œil du cyclone, l’équipe du ministre de l’intérieur, qui a scrupuleusement évité le sujet, avait cependant fait parvenir, par SMS et à quelques milliers de kilomètres de distance, cet argumentaire succinct et quelque peu mécanique : « Valls a demandé une inspection ; la gauche, c’est respecter à la fois l’enceinte de l’école et l’application ferme de la loi dans le respect des personnes ; il ne faut céder à aucun emballement et attendre les conclusions de l’inspection ; le ministre est déterminé et serein ; il y a des cas particuliers qui doivent être traités dans le respect des principes mais attention à l’enjeu du dossier de l’asile qui est énorme ! »

    Samedi matin, après son retour, le ministre de l’intérieur s’est s’entretenu du contenu du rapport avec le président et le premier ministre. M. Valls ou M. Ayrault devrait ensuite détailler durant le week-end, devant un média choisi, la position du gouvernement.

    Un exercice des plus délicats qui impose de temporiser. « Nous avons besoin d’analyser attentivement la véracité des faits pour en tirer les conséquences sur ce dossier en particulier, mais aussi sur les modes opératoires de manière générale », indique-t-on à l’Elysée.

    « SUR LE FOND, LE DÉBAT N’EXISTE PAS »

    Un dirigeant socialiste le dit autrement : « Il faut beaucoup de sang-froid pour aborder une situation qui compte de multiples contradictions. Tant que le jeu n’est pas posé, vous ne pouvez pas construire une tactique. » « On ne franchit pas certaines frontières et la porte de l’école en est une », a asséné Valérie Trierweiler, en visite, justement, dans son ancienne école primaire, à Angers. « L’école est un lieu d’intégration, elle n’est pas un lieu d’exclusion », a précisé Mme Trierweiler. Une première de la part de la première dame, qui n’avait plus mis les pieds sur le terrain politique depuis son tweet de juin 2012 : c’est dire que l’affaire était d’importance.

    Lire aussi (en édition abonnés) : La « sanctuarisation de l’école », héritage historique

    La position du chef de l’Etat est d’ores et déjà connue, elle figurait, en 50e place, dans la liste de ses engagements de campagne : « Je conduirai une lutte implacable contre l’immigration illégale », expliquait alors le candidat, qui évoquait des « régularisations au cas par cas sur la base de critères objectifs ». Et le président n’a pas l’intention d’y déroger. « Sur le fond, le débat n’existe pas : les Dibrani étaient des demandeurs de droit d’asile qui n’ont pas été reconnus en tant que tel, ils ont épuisé tous les recours, la régularisation n’a pas été accordée », résume-t-on à l’Elysée.

    Lire aussi : Deux tiers des Français contre un retour de Leonarda en France

    C’est bien sûr la forme, donc, celle de l’extraction d’une élève de 15 ans d’un car scolaire, que le président entend corriger le tir, sous la forme d’une nouvelle circulaire « pour qu’il n’y ait pas répétition de cet acte ». Commentaire d’un membre influent de la majorité : « C’est l’os à ronger pour ceux qui se sont offusqués de la façon dont les choses se sont passées. »

    CLARIFIER LES CHOSES

    Cible d’un feu politique nourri ces derniers jours, Manuel Valls, qui répétera « qu’il est totalement pour la sanctuarisation des écoles », indique un conseiller, n’aura pas à reculer. « La situation a changé. Le rapport va clarifier les choses, qui sont plus complexes que ce que certains ont cru au départ », indique son entourage, qui poursuit : « Certains, à gauche, ont du mal à assumer qu’il faille une politique des flux migratoires. Mais il y a un ministre dont c’est la fonction. »

    Quant au président, il se tient plus que jamais sur le fil, en équilibre instable entre ses deux gauches. « Une partie de la majorité est pour une régularisation à niveau plus élevé, c’est vrai. Une autre partie n’est pas sur cette ligne. Il faut faire vivre tout ce monde-là ensemble », confiait récemment M. Hollande à ses proches.

    Certains, au sein même du gouvernement, espèrent encore faire bouger les lignes vers un moratoire total des expulsions de mineurs scolarisés. Diagnostic d’un dirigeant du PS : « Si vous ne faites pas revenir Leonarda, lycéens, droits de l’hommistes et multiples réseaux de gauche en seront ulcérés ; si vous la faites revenir, frontistes et droite dure en feront leurs choux gras. C’est une machine infernale, qui risque de créer soit de l’abstention à gauche, soit de la surmobilisation à droite. »

  • Discussion:La Presse Pontissalienne/Suppression - #Wikipédia
    http://fr.wikipedia.org/wiki/Discussion:La_Presse_Pontissalienne/Suppression

    #Page_à_Supprimer

    Suppression traitée par Michel421 parfaitement agnostique 22 avril 2013 à 18:49 (CEST)
    Raison : consensus relatif des 14 jours

    Un hebdo local de Pontarlier, bien implanté, tiré à 7000 exemplaires.

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    http://fr.wikipedia.org/wiki/Discussion:Le_Ruth%C3%A9nois/Suppression

    Le Ruthénois, hebdo sur Rodez

    Suppression traitée par —Mathis B.Discuter/répondre, le 19 avril 2013 à 11:52 (CEST)
    Raison : Unanimité

    Unanimité de... 1 vote

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    EN COURS
    http://fr.wikipedia.org/wiki/Discussion:La_Tribune_d%27Orl%C3%A9ans/Suppression
    la Tribune d’Orléans, un gratuit hebdo de là-bas

    http://fr.wikipedia.org/wiki/Discussion:Le_Petit_Berrichon/Suppression le petit berrichon

    http://fr.wikipedia.org/wiki/Discussion:Le_Petit_Solognot/Suppression Le petit solognot

    http://fr.wikipedia.org/wiki/Discussion:Lyon_People/Suppression lyon people

    Grand massacre d’indépendants de presse locale en cours donc