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  • Rueil-Malmaison : 3 femmes dénonçant une pancarte sexiste convoquées par la police - Terrafemina
    https://www.terrafemina.com/article/rueil-malmaison-trois-femmes-denoncant-du-sexisme-convoquees-par-la-police_a348065/1

    C’est l’histoire d’un restaurateur à Rueil-Malmaison, qui chaque jour, pour amuser les passant·es, écrit une blague sur l’ardoise devant son commerce. Parfois, fier de lui, il en poste des photos sur un groupe Facebook d’entraide locale nommé « Rueil-Malmaison ».

    Fin janvier, une jeune femme, C., abonnée à la page Facebook « Rueil-Malmaison », fatiguée du sexisme régulier de ces photos, décide de dénoncer sur Twitter le sexisme des pancartes où on peut par exemple lire : « Un jour, les femmes domineront le monde, mais pas aujourd’hui c’est les soldes », ou une autre encore plus problématique « Mon secret séduction tient en trois mots : Gentillesse, Humour, Bagou. Si ça marche pas ? Je me contente des premières lettres ». Le tout faisant le mot « GHB », soit la drogue du violeur.

    Aujourd’hui, pour avoir dénoncé cette ardoise que l’on pourrait considérer comme un appel au viol, trois femmes sont convoquées au commissariat de Rueil-Malmaison : C., son amie L., qui avait repris la photo pour la dénoncer sur Twitter, et l’une de leurs anciennes professoresses qui avait dénoncé sur sa page Facebook privée les insultes des internautes reçues par C..
    La réponse du restaurateur

    La professoresse explique : « Un brigadier chef m’a appelée sur mon téléphone portable vendredi (1er février) pour me convoquer. Sous le coup de la stupéfaction, j’ai raccroché. J’ai rappelé pour demander pourquoi j’étais convoquée et il m’a dit texto : ’Pour harcèlement sur les réseaux sociaux’, ce à quoi j’ai répondu : ’C’est une plaisanterie ?’. »

    Elles ne savent pas officiellement l’objet de leur convocation qui, pour la professoresse, devait avoir lieu ce jeudi 7 février à 14h30, mais qui est reportée selon le commissariat de Rueil-Malmaison, le brigadier s’occupant de l’affaire étant « malade depuis mercredi ». Pour les deux jeunes femmes, la convocation est reportée sans date pour le moment.

    Le commerçant avait déjà menacé L. de porter plainte via des messages privés sur Twitter envoyés après la première publication et dénonciation de cette pancarte. Ce qu’il semble avoir fait. Contacté, il ne confirme pas, répondant : « Ce dossier est dans les mains de la justice et c’est la justice qui décidera des suites de ce dossier ou pas. »
    Aide juridique de la Fondation des femmes

    Avertie de la convocation le vendredi 1er février, et ne voulant pas y aller seule, la professoresse, enseignante de longue date, a cherché de l’aide, qu’elle a trouvé auprès de la Fondation des Femmes, structure de soutien aux actions pour l’égalité femmes-hommes et qui lutte contre les violences faites aux femmes. La Fondation l’a aiguillée vers sa Force juridique, qui réunit plus de 150 avocat.e.s, professionnel.le.s du droit et expert.e.s bénévoles défendant les droits des femmes.

    Pour Anne-Cécile Mailfert, Président de la Fondation des Femmes, cette affaire de Rueil-Malmaison est « stratégique », tombant la même semaine que le procès pour diffamation contre six femmes ayant témoigné contre l’ex-député EELV Denis Baupin, qui attaque également France Inter et Mediapart ayant enquêté sur le sujet.

    Elle dénonce les tentatives de mise sous silence des femmes qui dénoncent le sexisme et les violences : « Un an après #MeToo, on a l’impression qu’il y a ce retour de bâton qui est très préoccupant. #MeToo a permis de libérer la parole et il faut qu’on puisse continuer à le faire dans de bonnes conditions. On ne peut pas dire d’un côté aux victimes ’allez-y parlez’, et puis de l’autre côté ’ha bah non faut pas parler sur Twitter, il ne faut porter plainte’. Et une fois qu’elles portent plainte, on vous attaque pour dénonciations calomnieuses [affaire Baupin], et quand elles parlent sur les réseaux sociaux, on leur dit qu’elles harcèlent. »

    Pour Anne-Cécile Mailfert, quelque chose ne tourne pas rond : « Dans le cas de Rueil, on prendre la plainte pour harcèlement d’un homme sexiste. Il y a probablement un officier de police qui va travailler pendant plus d’une semaine sur cette affaire. C’est vraiment un dévoiement de la justice et de la police, qui sont en train de travailler là-dessus plutôt que sur des choses plus importantes et plus graves. »

    Selon la présidente de la Fondation des Femmes, la pancarte du restaurateur va au-delà du sexisme : « Ça n’est pas juste une ’blague’ sexiste, il est allé encore plus loin. La dernière pancarte sur le GHB, ça c’est un délit puisque c’est une incitation à la commission de délit. »
    "Le dossier du monde à l’envers"

    C’est l’avocate Sophie Soubiran qui accompagnera les trois femmes au commissariat de Rueil-Malmaison. Selon elle, « c’est le dossier du monde à l’envers. On a à l’origine une personne qui fait un délit d’incitation à un crime -qui est un délit de presse puisqu’il le poste sur Facebook- le fait que le GHB est une alternative à la séduction. Il est là, le problème juridique. Qu’ensuite, des jeunes femme courageuses décident d’utiliser les réseaux sociaux pour dénoncer et faire cesser, ça se passe normalement. Là où ça ne va plus, c’est quand on commence à utiliser le droit pour les faire taire. »

    Elle dénonce le deux poids deux mesures : « Quand on connaît le traitement qui est fait aux femmes qui vont déposer plainte dans les commissariats, même s’il y a des choses qui s’améliorent, pour des vraies atteintes... ».

    Et ajoute : « Elles sont toutes les trois convoquées rapidement. Cela veut dire qu’on met en branle tout un dispositif au commissariat pour traiter la plainte de ce restaurateur qui considère qu’il n’a pas à répondre de ses actes. Il y a un problème de disproportion absolu [...] Il ne faut pas que les femmes qui prennent la parole de manière plus globale, dans ce contexte de procès Baupin, soient les victimes au carré avec l’usage du droit. »
    Une plainte pour provocation à la commission d’une infraction

    La professoresse convoquée explique avoir simplement voulu dénoncer du sexisme ordinaire, et dans le cas de son ancien élève, les attaques qu’elle subissait sur Facebook. Elle ne veut pas atteindre au commerce du restaurateur : « Je ne veux pas détruire la vie de quelqu’un, mais je ne veux pas qu’on détruise la mienne ou celles de mes élèves. »

    La vitesse avec laquelle elle a été convoquée l’interpelle, alors qu’elle-même avait porté plainte il y a deux ans pour une autre affaire dont elle vient tout juste d’avoir des nouvelles : « Là, on est convoquées en quinze jours. Il aurait suffit à ce monsieur de dire à L. et C. : ’Désolé, je ne me suis pas rendu compte, j’ai été sexiste’ et ça se serait arrêté là. »

    S’il semble que cela soit le restaurateur qui ait porté plainte, la riposte s’organise pour sa pancarte. Le collectif féministe contre le viol va déposer plainte ce jeudi 7 février pour provocation à la commission d’une infraction, délit passible d’une peine de prison.

    #police #sexisme #culture_du_viol #harcelement #backlash

  • Six Portraits XL 3 & 4
    https://www.nova-cinema.org/prog/2019/172-folk-on-film/alain-cavalier/article/cavalier-portraits-xl-3-4

    •+ Guillaume Alain Cavalier, 2018, DCP, vo fr , 52’ Guillaume Delcourt, chef boulanger, décide de quitter sa boutique parisienne pour ouvrir une nouvelle boulangerie-pâtisserie à Rueil-Malmaison, dans les Hauts-de-Seine. Cet événement passionne Alain Cavalier, une forte complicité s’établit en dépit de la différence d’âge entre les deux hommes. On suit les différents préparatifs, de l’aube à la nuit, qui jalonnent désormais la vie de Guillaume jusqu’au grand jour, celui de l’ouverture. Ce qui semble intéresser le cinéaste, c’est l’énergie débordante que Guillaume déploie pour porter son projet jusqu’au bout, son incessant talent de bâtisseur et d’alchimiste, qu’il s’attelle aux pâtisseries ou qu’il construise son espace et rêve son avenir. Petit à petit, les choses se mettent en place, de (...)

    • Dans la nuit du 10 au 11 juin, c’est un étrange message que reçoivent les 1 700 employés d’Ingérop, un grand groupe d’ingénierie dont le siège est situé à Rueil-Malmaison (Hauts-de-Seine). « Cher·e employé·e d’Ingérop », débute le message, avant de dénoncer les conséquences environnementales du projet d’enfouissement de déchets nucléaires à Bure dans la Meuse (Cigéo), dont Ingérop est l’un des principaux prestataires. Plus loin, le courriel se fait plus menaçant, et évoque de futures « actions diverses visant votre entreprise et les personnes impliquées dans le projet Cigéo ». Il se conclut sur un appel aux salariés, leur demandant de transmettre toutes les informations confidentielles à leur disposition sur le projet Cigéo à une adresse e-mail sécurisée.

      Le message est signé d’un collectif baptisé « Les Monstres de Cigéo ». Sur un blog fraîchement créé, le collectif appelle les opposants au projet d’enfouissement à mener campagne contre les sous-traitants qui préparent, sur le site de Bure, le gigantesque chantier d’enfouissement de déchets radioactifs.

      Très critiqué, le projet fait l’objet d’une importante mobilisation de militants écologistes et d’habitants, avec des manifestations régulières et parfois musclées. « Toute forme d’action est la bienvenue, soyons créatif·ve·s, obstiné·e·s, déterminé·e·s, pour obtenir d’Ingérop qu’elle se retire du projet Cigéo et de tous les projets connexes », est-il encore écrit sur le site, sans précisions sur les modalités d’action que le collectif espère voir naître.

      [...]

      80 Go de documents publiés en ligne
      Dans les jours qui suivent, d’autres documents sont mis en ligne, tous sur un sous-domaine du site SystemAusfall, animé par un collectif allemand qui fournit des outils informatiques libres à qui les demande, et qui n’est pas spécialement lié aux mouvements écologistes. Au total, près de 80 Go de documents, que Le Monde a pu consulter, sont ainsi publiés. On y trouve des fichiers administratifs et des dossiers liés à différents chantiers publics, dont certains semblent sensibles de prime abord : ils ont trait à la centrale nucléaire de Fessenheim, aux installations de Bure, ou encore à des centres pénitentiaires français.

      Entre-temps, Ingérop a porté plainte. Les enquêteurs spécialisés ont découvert des accès non autorisés à son réseau interne. L’Anssi, l’agence chargée de la protection informatique de l’Etat qui offre aussi son expertise technique aux sociétés travaillant dans des domaines sensibles, a également repéré la publication des documents. Le 3 juillet, la section du parquet de Paris chargée de la lutte contre la cybercriminalité ouvre une enquête, et sollicite son homologue à Cologne, pour faire cesser la publication des fichiers et recueillir les données techniques du serveur.

      « Les documents incluent les plans de quatre prisons françaises et des documents sur le projet Cigéo et les infrastructures de la centrale de Fessenheim »
      A Cologne, le juge qui examine la requête française prend l’affaire très au sérieux. « Les documents publiés incluent (…) les plans de quatre prisons françaises et des documents sur le projet Cigéo et les infrastructures de la centrale de Fessenheim », située à quelques kilomètres de la frontière allemande, écrit-il dans sa réquisition transmise à la police de Dortmund, où se situe l’un des serveurs utilisé par SystemAusfall.

      Quarante-cinq minutes après avoir reçu le fax de Cologne, le 4 juillet, les policiers de Dortmund se présentent au centre culturel Langer August, qui abrite plusieurs associations, interdisent aux personnes présentes de quitter les lieux, et brisent la porte de la salle serveur, exploitée par l’association scientifique Wissenschaftsladen Dortmund. Les enquêteurs repartent avec plusieurs disques durs et une clé USB – quelques mois plus tard, le ministère de l’intérieur du Land justifiera la perquisition par une « menace sur la sécurité nationale » française.

      Des documents confidentiels, mais pas si sensibles
      Quel est le niveau de sensibilité réel de ces documents ? Contrairement à ce qu’a cru comprendre le parquet de Cologne, les dossiers ne comprennent pas de détails sur les infrastructures de Fessenheim – mais une expertise du montant de l’indemnisation pour EDF lorsque fermera la plus ancienne centrale nucléaire française, au plus tard en 2022. Certains fichiers liés au projet Cigéo, porté par l’Agence nationale pour la gestion des déchets radioactifs (Andra) et pour laquelle le bureau d’études Ingérop travaille depuis plusieurs années, sont, eux, confidentiels, à défaut d’être particulièrement sensibles.

      On y trouve une multitude d’éléments sur les risques naturels et les impacts du projet, les tracés étudiés pour l’acheminement des « colis » radioactifs, la configuration des galeries souterraines, l’agencement des installations de surface ou l’implantation d’un transformateur électrique. Des informations dont beaucoup sont en accès libre sur le site même de l’Andra.

      Plus inattendu, un fichier détaille les parcelles agricoles et forestières concernées par l’emprise du chantier, avec les noms de leur propriétaire et de leur exploitant, assortis de la mention « maîtrisé », « maîtrisable » ou « difficile à maîtriser ». Des qualificatifs dont on comprend qu’ils s’appliquent non seulement au contrôle du foncier, mais aussi aux détenteurs des terrains, identifiés comme étant prêts ou non à céder ces parcelles. Un procédé que certains intéressés, qui ont eu connaissance de cette liste, dénoncent comme « un fichage ».

      Un autre document fait état d’une réunion, tenue le 12 mars, au cours de laquelle a été examiné le risque d’une action d’opposants à Cigéo désireux de ralentir les travaux et de médiatiser leur combat. Des « préconisations » y sont formulées pour prévenir un « acte de malveillance », par exemple sur l’accès des engins de déblaiement ou le type de formations végétales à éviter. Ces pages éclairent en réalité certains aspects des pratiques et des préoccupations de l’Andra dans la conduite du projet Cigéo, plus qu’elles ne divulguent des informations véritablement sensibles.

      Le constat est similaire pour les documents liés à la conception ou à la rénovation de trois prisons, la maison d’arrêt de Bordeaux-Gradignan (Gironde), le centre pénitentiaire d’Orléans-Saran, et le tout nouveau centre pénitentiaire de Lutterbach, dans le Haut-Rhin. Ingérop a naturellement accès à des données confidentielles, comme celles évoquant les problèmes d’amiante à Gradignan.

      Les documents en apparence les plus sensibles, des plans détaillés du futur centre de Lutterbach, comprenant l’emplacement des caméras de vidéosurveillance, ne le sont pas tant que ça : « Il s’agit du dossier pour un concours de maîtrise d’œuvre que nous avons perdu », explique François Lacroix, directeur scientifique et technique d’Ingérop. Ce ne sont donc pas ces plans qui sont actuellement utilisés pour construire le centre pénitentiaire.

      « Notre système informatique comporte deux niveaux d’authentification, c’est compartimenté, explique M. Lacroix. C’est très déplaisant de se voir voler des données, mais ça ne représente qu’un nombre très réduit de projets. »

      Documents remis en ligne
      Qui a mis en ligne les documents volés à Ingérop ? Et surtout, qui les a dérobés ? Les indices les plus évidents pointent vers un ou des militants antinucléaires. Mais plusieurs détails laissent planer le doute. Et notamment le fait que les documents aient été volés avant le début des envois de courriels aux salariés d’Ingérop. Selon M. Lacroix, l’attaque qui a visé les systèmes de l’entreprise était « préparée, technique sans être exceptionnelle, mais d’un certain niveau ». Or, le collectif à l’origine des Monstres de Cigéo s’est, d’après son propre historique de mobilisation, davantage illustré par sa propension à l’action directe que par ses capacités de piratage : il a essentiellement revendiqué des blocages, des destructions de biens, des tags… Ses responsables n’ont pas donné suite aux tentatives de contact du Monde.

      Coïncidence : le 20 juin, une importante série de perquisitions a également eu lieu en Allemagne, visant des défenseurs des libertés numériques dans le cadre d’un autre dossier lié à Noblogs.org. Mais ces perquisitions reposaient sur des justifications techniques farfelues – certains des militants soupçonnent la police d’avoir surtout cherché à recueillir plus généralement des informations sur des hacktivistes allemands, et accusent à demi-mot la police d’avoir eu des objectifs cachés –, et les perquisitions ont par la suite été annulées par la justice allemande.

      ...

      autre lien :

      http://www.europe1.fr/societe/des-documents-lies-au-site-de-dechets-nucleaires-de-bure-pirates-3791933

  • Rueil-Malmaison (92) : Illumine ta journée, brûle ton lycée !-Non Fides
    http://www.non-fides.fr/?Rueil-Malmaison-92-Illumine-ta-journee-brule-ton-lycee

    @Ad Nauseam - Si les patron-ne-s de ce lycée-usine pensent qu’ils régleront le problème que nous sommes en demandant simplement à un-e de leurs employé-e-s de nettoyer nos messages, ils se trompent. Nous n’en avons pas fini avec l’école et son (im)monde. - Contre (...)

    #Non_Fides / #Mediarezo

  • Grand Paris de l’eau : à la guinguette avec André Santini (6-7)
    http://www.eauxglacees.com/Grand-Paris-de-l-eau-a-la,1755

    Le colloque organisé à Saint-Maur-des-Fossés les 7 et 8 juillet dernier, à l’initiative du Syndicat Marne Vive et de la Métropole du Grand Paris, dédié aux enjeux de la GEMAPI et à la lutte contre les inondations, traduisait aussi, et l’inquiétude des pouvoirs publics, conscients d’être passé à deux doigts de la catastrophe fin mai, et les ambiguïtés d’une construction institutionnelle dont chacun sait qu’elle ne sortira pas indemne de l’après 2017… Patrick Ollier, député-maire (LR) de Rueil-Malmaison et (...)

  • Un restaurateur francilien interdit l’entrée de son établissement aux #banquiers
    http://www.24presse.com/cp.php?id=9918370

    « Autorisé aux chiens. Interdit aux banquiers sous réserve d’un droit d’entrée de 70 000 euros ». Alexandre Callet, le jeune propriétaire des Écuries de Richelieu, restaurant gastronomique répertorié au Guide Michelin situé à Rueil-Malmaison dans les Hauts-de-Seine, savoure sa provocation.

    #bankster #argent

  • Notre-Dame-des-Landes & Paris-banlieue : ni procès, ni expulsion ! Des nouvelles de la mobilisation depuis le 9 janvier
    https://fr.squat.net/2016/01/12/notre-dame-des-landes-paris-banlieue-ni-proces-ni-expulsion

    L’histoire s’accélère à Notre-Dame des Landes : c’est le moment de passer à l’action. Rassemblement mercredi 13 à Rueil, Manifestation samedi 16 à Paris ! RDV de la semaine :Mercredi 13/01, 9h, rassemblement devant Vinci à Rueil-MalmaisonSamedi 16/01, 15h, manifestation, départ de Ménilmontant (suite au (...) — Actualités, Paris, Nantes, Notre-Dame-des-Landes, procès, manifestation, Hauts-de-Seine

  • Perturbations trafic RATP et SNCF Transilien le 31 juillet 2013
    http://www.transports-en-commun.info/perturbations-trafic-ratp-et-sncf-transilien-le-31-juillet-20

    RER A RATP : Travaux entre Rueil-Malmaison et Saint-Germain-en-Laye jusqu’au 23 août 2013. ... Transilien N : Des travaux d’entretien de la voie, réalisés entre Epône Mézières...The post Perturbations trafic RATP et SNCF Transilien le 31 juillet 2013 appeared first on Point Info Transports.

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