city:saint-tropez

  • De sa cité à Saint-Tropez, des boîtes des Champs-Elysées à un dîner avec Madame Trump, « Sarah » raconte son ascension sociale grâce au désir des hommes. Dans la lignée de « Crackopolis » et de « Flicopolis », un récit vrai et captivant sur l’univers des « michetonneuses » qui se louent pour une soirée, un sac à main, des bijoux... Un parcours qui résonne étrangement comme un manifeste féministe !
    https://www.arteradio.com/son/61658003/diamant_sur_canape_1
    https://www.youtube.com/watch?v=9b7ZLJaDrjo&list=PLFVzK8A2jIlyPeaiKLl3jPMz7d62hITeJ&index=1


    #michetonneuse

  • Le monarque vous parle ce soir à 20 heures
    Vœux. Dans la tête d’Emmanuel Macron | L’Humanité
    https://www.humanite.fr/voeux-dans-la-tete-demmanuel-macron-665703

    De retour de Saint-Tropez, le chef de l’État peaufine son allocution télévisée de la Saint-Sylvestre. Dans un climat, imagine l’Humanité, de pensée complexe.

    « Bon, opération reconquête. Qu’est-ce que j’avais dit aux Français le 31 décembre 2017, déjà ? Voyons, “sur le plan national, l’année 2018 sera celle de la cohésion de la nation”. Moui, je ne peux pas trop la resservir, cette phrase. Là, entre Alexandre Benalla qui m’a pourri l’été et réduit à néant l’effet Coupe du monde comme il s’apprête à le faire avec la trêve des confiseurs, les gilets jaunes qui m’ont pourri l’automne et l’hiver, comment dire… “Nous nous sommes trop longtemps et trop souvent divisés : les débats sont nécessaires mais les divisions irréconciliables minent notre pays”, disais-je aussi l’an dernier. Ah ça, c’était visionnaire en revanche. Mon souci, c’est que le discours de vœux aux Français, je l’ai déjà prononcé le 10 décembre pour répondre aux gilets jaunes. “Françaises, Français, nous voilà ensemble au rendez-vous de notre pays et de notre avenir.” Bien, ça. Solennel, ça fait très “moi président”. “Cette colère (…) je la ressens comme juste à bien des égards. Elle peut être notre chance.” Bien, ce truc, là, de la crise-qui-peut-être-une-chance. Très start-up dans l’esprit.

    « J’ai renoncé au ski à La Mongie pour les fêtes. Trop ostentatoire. »
    Sylvain ? Sylvain ! (Sylvain Fort, directeur de la communication et superviseur des discours élyséens, féru d’opéra, passe une tête par l’entrebâillement de la porte, sifflotant le Mi chiamano Mimi de la Bohême. L’allusion à Mimi Marchand qui s’est occupée de l’image des Macron l’amuse beaucoup – NDLR). Dis, Sylvain, n’oublie pas dans mon discours de ce soir de caser quelque chose qui fasse président humble, genre “je vous ai compris”. Comme devant cette retraitée, là, en octobre, qui déplorait sa maigre pension, à qui j’ai cité du de Gaulle : “La seule chose qu’on n’a pas le droit de faire, c’est de se plaindre.” Et toc. Sylvain, trouve-moi une formule comme dans le discours du 10, là, où j’ai dit “je sais qu’il m’est arrivé de blesser certains d’entre vous par mes propos”. C’est bien, ça, en une phrase, hop, je fais oublier le pognon de dingue, les illettrées, le costard, et traverser la rue pour trouver un emploi. Déjà que j’ai dû m’excuser fin septembre pour avoir parlé de “Gaulois réfractaires au changement”. J’ai dit que “c’était une erreur”, que “ça nourrit toutes ces espèces de confusions”. Que veulent-ils de plus ? Que j’augmente le Smic ?

    Ah, penser après le discours à tweeter un petit mot aux Français pour le Nouvel An. À Noël j’avais écrit quoi, déjà ? Ah oui : “Brigitte se joint à moi pour souhaiter un joyeux Noël à chacun d’entre vous.” Bien trouvé, ça, juste le prénom, ça fait intime, et en même temps (Pfff !, faut vraiment arrêter avec cette expression) un petit côté Giscard et Anne-Aymone réunis pour les vœux, qui rassure. Quand même, je fais tout mon possible. Je prends la peine de déjeuner dans un Courtepaille à Meaux, la semaine dernière. Ça fait pas président des riches, le Courtepaille. Jolie photo diffusée par la photographe de l’Élysée. Si ça pouvait faire oublier l’épisode du Puy-en-Velay où mon convoi s’est fait courser et insulter par des gilets jaunes… Dire à Brigitte d’éviter à l’avenir de se faire photographier tout sourire avec Marcel Campion, depuis ses saillies homophobes. Et puis zut, quoi, j’ai fait fuiter dans la presse au mois d’avril que je payais moi-même les croquettes de Nemo ! J’ai renoncé au ski à La Mongie pour les fêtes. Trop ostentatoire. Trop tentant aussi pour des gilets jaunes qui s’aventureraient sur les pistes rouges… Je fais tout pour apparaître normal. Un président norm… Non, ce n’est pas le bon mot, ça. Je ne vais tout de même pas annoncer le rétablissement de l’ISF pour les calmer, les gilets jaunes !

    « Les Tontons flingueurs , me voilà en plein dedans »
    Allez, zou, question suivante, justement. Les gilets jaunes. Vont-ils voir que je ne leur ai accordé que de la poudre de perlimpinpin ? Vendu des carabistouilles ? “Nous sommes à un moment historique pour notre pays : par le dialogue, le respect, l’engagement, nous réussirons.” Tiens c’est bien ça, ce que je disais début décembre, qui ne serait pas d’accord ? Moi qui expliquais en 2017 que l’un de mes films préférés était les Tontons flingueurs, me voilà en plein dedans. Audiard a raison, “aujourd’hui, les diplomates prendraient plutôt le pas sur les hommes d’action. L’époque serait aux tables rondes et à la détente”. Il me faudrait Paul Volfoni à l’intérieur. Tiens, Gérard Collomb me manque. Hulot, pas trop.

    En même temps, je ne suis pas venu beurrer les sandwichs, moi. J’ai une élection à gagner, en mai. Le grand débat national qui replace l’immigration dans les questions abordées, sacrée idée pour remettre en selle Marine Le Pen. Ça peut se présenter pas trop mal. J’ai aussi la réforme de l’assurance-chômage, de la fonction publique et des retraites à faire passer en 2019. Déjà que les gilets jaunes ont obtenu le retrait des hausses de carburant et des mesures sociales, il ne faudrait pas qu’ils découvrent tout de suite que, sur le contrôle technique durci au 1er juillet, j’ai déjà fait signer les décrets à Rugy. La réforme institutionnelle ou la PMA, je les ai déjà repoussées. “Réformer sera beaucoup plus compliqué qu’avant”, a confié un ministre à RTL. Je veux son nom. »

    Lionel Venturini


    #Macron

  • https://philharmoniedeparis.fr/sites/default/files/styles/event_slide_full/public/sarah_murcia_adpcemmanuelrioufol.jpg?itok=bpjVhkoO

    https://www.arte.tv/fr/videos/086299-001-A/les-sessions-d-arte-studio-my-favorite-things

    Je vais vous reparler de ce projet un peu fou de Sarah Murcia parce que j’en ai conduit un autre parallèle, moins fou forcément, mais quand même un peu fou, sur le même thème (parce que j’étais un peu de la confidence des déesses), mais voilà treize interprétations différentes du même thème, My Favorite Things, par Sarah Murcia, avec autant de chanteurs et chanteuses différentes et des orchestrations également différentes. En fait c’est juste génial. Comme chaque fois avec Sarah Murcia.

  • Saint-Tropez : marée noire sur la Côte d’Azur Francetvinfo - 16 Octobre 2018
    https://www.francetvinfo.fr/monde/environnement/saint-tropez-maree-noire-sur-la-cote-d-azur_2989389.html

    Les plages de Saint-Tropez (Alpes-Maritimes) sont polluées. Cette pollution est la conséquence de la collision de deux cargos au large de la Corse. La préfecture du Var a ouvert une cellule de crise.

    Des galettes de fioul se sont déposées sur les plages de Saint-Tropez (Alpes-Maritimes). Les tâches sombres et visqueuses s’accumulent sur le sable de la plage des Salins. La pollution est amenée par les vents forts de ces derniers jours sur la région. « Cela nous fait mal au coeur de voir ce qu’il se passe », lance une promeneuse. « On hallucine sur l’état de la plage. On n’avait pas été mis au courant que la pollution pouvait arriver jusqu’à nos côtes » , déplore une riveraine.


    Cinq plages fermées
    Une collision entre deux navires au large de la Corse est à l’origine de la pollution. Près de 600 mètres cubes d’hydrocarbures se seraient échappés des épaves. « Les rochers m’inquiètent. Et les petites criques où l’accès est plus difficile », explique Roland Bruno, le maire de Ramatuelle (Var). Cinq plages ont été fermées dans le département.

  • Photos : Oil Spills After Tunisian Ferry T-Bones Anchored Containership in Mediterranean – gCaptain
    https://gcaptain.com/photos-oil-spills-after-tunisian-ferry-t-bones-anchored-containership-in-m


    photo : Préfecture maritime de la Méditerranée

    Authorities in France and Italy are responding to a major oil slick after a ferry collided with an anchored containership in the Mediterranean Sea off the island of Corsica.

    The collision occurred Sunday morning when the Tunisian roll-on/roll-off ferry Ulysses collided broadside with the Cypriot registered containership CLS Virginia approximately 17 miles (28 km) north of Cape Corsica. 

    The collision caused a breach of the containership’s hull measuring several meters and resulting in the release of bunker fuel.

    An oil slick measuring 20 km long by several hundred meters wide has been observed moving to the northwest, moving away from Corsica, according to France’s Maritime Prefecture for the Mediterranean.

    Photos show the bow of the ferry embedded in the starboard side of the containership, which is not loaded with any containers.

  • Les propriétaires de yachts de Saint-Tropez refusent d’aider la SNSM | Mer et Océan Le media des mers
    https://www.mer-ocean.com/les-proprietaires-de-yachts-de-saint-tropez-refusent-daider-la-snsm

    Les propriétaires de yachts n’ont pas daigné répondre à l’appel aux dons des sauveteurs pour payer une pièce de rechange du canot

    A Saint-Tropez, les propriétaires de yachts seraient bien inspirés de ne pas se trouver en situation de détresse ces prochaines semaines. Le canot de la SNSM (Société Nationale de Sauvetage en Mer) de la station est immobilisé jusqu’au 15 août par manque de budget pour changer une pièce. Ils n’ont pas souhaité aider les sauveteurs de la station à rentrer dans leurs frais.

    Donc… faute d’argent, la SNSM ne peut pas sauver des marins en danger dans le port de milliardaires. Car les riches voisins de ponton du canot SNSO66, Bailli de Suffren II, n’ont pas daigné répondre présents à l’appel de la SNSM.

    « Le bateau a 30 ans, nous avons dû attendre deux ans pour pouvoir commander le nouveau » précise ce matin Pierre-Yves Barasc, le président de la station de la SNSM Saint-Topez.

    « Je suis déçu parce qu’on a eu des promesses de dons mais qui n’ont jamais été versés. »

    Aujourd’hui, il n’y a plus d’habitués parmi les propriétaires de yachts tropéziens. « Nous n’avons plus de contacts directs avec eux, déplore le président. Avant, on se croisait, ils savaient à quoi nous servons et nous aidaient. Peut-être que nous n’avons pas su communiquer. Mais je reste confiant car les choses vont peut-être changer. »
    Les milliardaires aux abonnés absents

    « On a demandé à tous les propriétaires importants de bateaux ici – le CAC 40 : Arnault, Pinault, Lagardère… – et à des sociétés, poursuit-il. On n’a eu aucun retour, sauf une promesse jamais tenue. Un seul bateau, loin d’être le plus gros, a donné 10.000 euros. Si 30 personnes en avaient fait autant…on aurait pu avancer plus vite » affirme Pierre-Yves Barasc, le président de la station, comme le rapporte Var Matin.

    Le vice-président de la station, Frédéric Saveuse, renchérit : « On a envoyé une lettre personnalisée aux cent plus grandes entreprises du Var. Une autre aux dix plus grosses fortunes françaises, propriétaires à la fois d’un bateau et d’une maison ici. En tout et pour tout, on a eu deux réponses : le Byblos, qui a joué le jeu, et une autre personne, qui ne nous a pas suivis. C’est frustrant. » C’est surtout vilain !
    La SNSM attend un nouveau canot et des fonds

    La station tropézienne a réalisé l’an dernier 87 interventions, dont 90% entre le 15 juin et le 15 septembre. Le canot immobilisé faut d’argent est la « seule unité de ce type dans le département avec le Bâtonnier Alphonse Grandval basé à Hyères, qui peut prendre la mer peu importe les conditions climatiques et remorquer de grosses unités » explique Var Matin.

    Elle a commandé un nouveau canot mais recherche activement des fonds être sûre de pouvoir payer les options techniques nécessaires au bon déroulement d’un sauvetage en Méditerranée.

  • Saint-Tropez. Les propriétaires de yachts refusent d’aider les sauveteurs en mer
    https://www.crashdebug.fr/actualites-france/15030-saint-tropez-les-proprietaires-de-yachts-refusent-d-aider-les-sauve

    Photo d’illustration. | FOTOLIA

    Un appel aux dons avait été lancé, mi-juin par la Société Nationale de Sauvetage en Mer (SNSM) de Saint-Tropez après l’immobilisation de leur canot de sauvetage. Un appel qui n’a pas rencontré de succès. La faute au manque de générosité des grandes fortunes, propriétaires de yachts.

    Un coup de gueule a été poussé par la Société Nationale de Sauvetage en Mer de Saint-Tropez. Leur bateau de sauvetage est immobilisé jusqu’à la mi-août, selon Var Matin, à cause d’un problème technique. Ils ne disposent que d’un semi-rigide et des vedettes basées à Fréjus et Cavalaire. Des faibles moyens alors que la société a réalisé 87 interventions, dont 90 % entre le 15 juin et le 15 septembre 2017.

    Le remplaçant de leur principal navire n’arrive qu’au printemps prochain. Un délai imposé par (...)

    #En_vedette #Actualités_françaises

  • Georges-Henri Pingusson (1894-1978) Une voix singulière du mouvement moderne | Cité de l’architecture & du patrimoine
    https://www.citedelarchitecture.fr/fr/exposition/georges-henri-pingusson-1894-1978-une-voix-singuliere-du-mouveme

    #Georges-Henri_Pingusson a marqué, par son architecture et par ses mots, des générations d’architectes. Son œuvre construite, pour remarquable qu’elle est, ne peut suffire à exprimer ce qu’est le legs de ce passeur indépendant, humaniste, figure charismatique de l’École des Beaux-Arts puis de l’Unité pédagogique n° 5 de Nanterre.

    Proche de #Robert_Mallet-Stevens, de Jean Prouvé et de Le Corbusier, Georges-Henri Pingusson est pourtant l’une des dernières figures du mouvement moderne français. Architecte aux deux chefs-d’œuvre (l’hôtel Latitude 43 à Saint-Tropez et le Mémorial des martyrs de la déportation à Paris), il a traversé le XXe siècle et produit quantité de projets et de réalisations, empreints d’un total engagement artistique et d’une approche sensible de l’espace.

    #architecture

  • Georges-Henri Pingusson (1894-1978) Une voix singulière du mouvement moderne | Cité de l’architecture & du patrimoine
    https://www.citedelarchitecture.fr/fr/exposition/georges-henri-pingusson-1894-1978-une-voix-singuliere-du-mouveme

    #Georges-Henri_Pingusson a marqué, par son architecture et par ses mots, des générations d’architectes. Son œuvre construite, pour remarquable qu’elle est, ne peut suffire à exprimer ce qu’est le legs de ce passeur indépendant, humaniste, figure charismatique de l’École des Beaux-Arts puis de l’Unité pédagogique n° 5 de Nanterre

    Proche de Robert Mallet-Stevens, de Jean Prouvé et de Le Corbusier, Georges-Henri Pingusson est pourtant l’une des dernières figures du #mouvement_moderne français. Architecte aux deux chefs-d’œuvre (l’hôtel Latitude 43 à Saint-Tropez et le Mémorial des martyrs de la déportation à Paris), il a traversé le XXe siècle et produit quantité de projets et de réalisations, empreints d’un total engagement artistique et d’une #approche_sensible_de_l_espace.

    #architecture

  • On se lève de bonne heure
    Le jour commence à poindre
    Quand nous partons

    Une surprise de taille
    Au bout du port de Saint-Tropez (oui !)
    Le spectacle grandiose de la baie

    Au fond les Alpes enneigées
    Devant elles l’Estérel rougeoyant
    Et, au-devant de nous, la mer sombre

    Je me frotte un peu les yeux
    Tout de même
    Est-ce vraiment moi à Saint -Tropez ?

    À Saint-Tropez, j’éclate de rire
    Au concours de la plus grosse bite
    Yachts dans le port

    À Saint-Tropez
    Grosses bites de substitution
    Et parfum d’évasion fiscale

    En route pour le domaine du Rayol
    Route qui longe la côte redevenue sauvage
    Littoral à couper le souffle

    Au Rayol
    Nous plongeons directement
    Vers la plage escarpée

    Grand vent
    Horizon à perte de vue
    Dans notre dos une végétation luxuriante

    Qu’est-ce que tout ceci me brasse !
    Le sentiment de partir
    D’une feuille vierge

    Déjeuner
    Salade composée magnifique
    Vin blanc des Cévennes !

    On retourne se faire brasser
    Par le vent, et fouetter
    Dans les buissons

    Nous tombons sur l’épave
    De l’Abeille noire
    Tout un poème, un socio-poème marin

    Le vent se lève de plus belle
    Il rabote même de travers les vagues
    Fait de la mer un lac

    Nous nous arrêtons de temps en temps
    Sur la route côtière du retour
    Larges bourrasques, photographie hasardeuse

    Au retour
    Je parle guitare électrique avec Mina
    Je lui achète son ancienne noire !

    Lola surprise
    Tu sais en ce moment
    J’ai envie de faire des trucs nouveaux !

    Tandis que le vent se déchaine dehors
    Nous dînons dans la chaleur
    Et les échanges en bonne intelligence

    Pour rejoindre la petite maison
    Où je dors, je pourrais
    Presque m’envoler !

    Je me réjouis
    Demain je fais la route
    Avec de la compagnie. Covoiturage

    Je lutte un peu pour trouver
    Le sommeil
    Pendant que la maison fait bouclier

    #mon_oiseau_bleu

  • Quand le séga faisait danser Paris... et Jeanne Moreau
    http://7lameslamer.net/quand-le-sega-faisait-danser-paris-1471.html

    #Mambo, #cha-cha-cha, #rumba, #samba, #calypso, #salsa... et #séga ! L’après-guerre connaît en France une vague de musiques et de « danses exotiques ». De l’#exotisme, à travers lequel percent des accents érotiques sublimés par les fantasmes qu’inspirent « les îles » et le #doudouïsme. Le séga y trouve brièvement sa place : en 1959, on danse le séga à #Paris et à Saint-Tropez !

    #JeanneMoreau #LaReunion #Mauritius #creole #danse

  • Diamant sur canapé | Laetitia Druart
    http://arteradio.com/serie/diamant_sur_canape

    De sa cité à Saint-Tropez, des boîtes des Champs-Elysées à un dîner avec Madame Trump, « Sarah » raconte son ascension sociale grâce au désir des hommes. Dans la lignée de « Crackopolis » et de « Flicopolis », un récit vrai et captivant sur l’univers des « michetonneuses » qui se louent pour une soirée, un sac à main, des bijoux... Un parcours qui résonne étrangement comme un manifeste féministe ! Source : Arte Radio

    http://download.www.arte.tv/permanent/arteradio/sites/default/files/sons/10diamantsurcanape1_hq_fr.mp3

  • Mort de David Hamilton : « Il ne faudrait pas transformer notre bourreau en victime » - L’Obs
    http://tempsreel.nouvelobs.com/societe/20161127.OBS1785/mort-de-david-hamilton-il-ne-faudrait-pas-transformer-notre-bou

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    David Hamilton s’est suicidé. Quand la nouvelle est tombée, Flavie Flament (Cap d’Agde, 1987) a immédiatement fustigé la « lâcheté du photographe » qui « nous condamne à nouveau au silence et à l’incapacité de le voir condamné ». Et les autres ? Les trois femmes qui ont témoigné dans « l’Obs » ? Chez toutes, les révélations de l’animatrice avaient fait naître l’espoir d’être enfin entendues. Et là… Lucie (Cap d’Agde, 1987) se dit incapable de parler. « Je n’arriverai pas à exprimer ce que je ressens », dit-elle. Constance (Saint-Tropez, 1967) a senti un « sentiment de culpabilité, remplacé très vite par un sentiment de gâchis : dites, on ne peut pas s’arrêter là ? », demande t-elle.

    ...

    Elodie a porté plainte pour viol, en 2008. Onze ans après la plainte d’Alice Et, pas plus qu’Alice, elle n’a été entendue : elle a écopé d’un non lieu.

    ...

    Elodie avait tellement espéré que « Cette page se tourne, enfin », pour commencer à se construire une vraie vie, avec son amoureux. Sortir de ces blocages et de ces peurs qui l’empêchent d’avancer, encore aujourd’hui. Le geste du photographe la laisse « partagée. Je suis soulagée qu’il ne puisse plus agresser personne, déçue que la justice ne nous soit pas rendue, et inquiète aussi : il ne faudrait, pas, parce qu’il s’est suicidé, que les rôles soient inversés, que notre bourreau soit transformé en victime ! »

  • Cet article d’Annika Joeres est paru dans le TaZ (Tageszeitung), quotidien berlinois à tirage national que l’on pourrait qualifier de « rouge et vert » ou « rouge-rose-vert ».
    Cet article est paru dès le 15 juillet, j’ai voulu le traduire en français et le partager car il tranchait avec ce que je pouvais lire à ce moment dans la presse mainstream française.
    L’auteure de l’article semble cependant présupposer que le tueur avait des motivations terroristes bien définies, ce qui est mis en doute à l’heure actuelle.

    Toutes mes excuses pour les imprécisions qui pourraient subsister dans la traduction française.

    L’article original se trouve à cette adresse :
    https://www.taz.de/!5324909

    Extraits :

    [...] La Promenade des Anglais est un lieu où tous les individus et toutes les nationalités se mêlent.
    Avec l’attentat, un lieu a été sali, qui appartenait à tout le monde : aux riches de la Côte d’Azur, qui ingurgitent leurs huîtres dans les restaurants face à la mer ; aux jeunes, qui jouent de la guitare le soir sur la plage et boivent du vin en brique ; et aux touristes qui bronzent sur les galets. C’est un lieu où se mélangent tous les individus et toutes les nationalités : beaucoup plus coloré et mélangé que ne le sont les plages exclusives des villes voisines de Cannes ou Saint-Tropez.

    [...] le président Hollande avait déclaré hier qu’il mettrait fin à l’état d’urgence. Une amie a appelé juste après cette annonce, tellement était grande la joie de se débarrasser de l’ « état d’urgence ». Car l’état d’urgence a changé notre vie en France, non de manière spectaculaire, mais tout de même, de façon insidieuse. Parce que les triangles rouges s’étalaient partout, et parce que nous ne pouvions plus déposer nos enfants dans la salle de classe à l’école maternelle, obligés de leur dire « au revoir » [1] à la porte d’entrée.
    Parce que pendant le Carnaval de Nice, le plus grand du monde après ceux de Rio et Venise, les clowns étaient surveillés par des hommes lourdement armés, parce que des fêtes ont été annulées, et parce que dans les centres commerciaux les sacs à dos étaient fouillés. Et parce que tout à coup, l’association de parents d’élèves de l’école élémentaire ne se battait plus pour les repas bio à la cantine, mais débattait pendant des heures de l’augmentation de la hauteur des clôtures entourant la cour de l’école.
    Notre quotidien est rempli de tentatives insensées destinées à contenir le terrorisme, mais le sentiment persiste qu’aucune force spéciale au monde ne pourra nous protéger tant que que nous attiserons les conflits en faisant le plein de carburant en provenance du Proche-Orient, et tant que la France exilera ses familles d’immigrés dans de tristes banlieues. [...]

    Le texte complet :

    Après l’attentat de Nice. Un lieu qui était à tout le monde
    Annika Joeres
    Die Tageszeitung, 15/07/2016

    Après l’attentat de Nice
    Chaque attentat conduit à une montée de l’indifférence, à l’acceptation de ce qui est exceptionnel. Insidieusement, l’état d’urgence change la vie.

    Tout devait, enfin, revenir à la normale. Enfin nous allions pouvoir, insouciants, faire à nouveau la fête en ville ; enfin les horribles barrières de sécurité, placées devant toutes les mairies et les écoles, allaient être démontées. Enfin nous allions retrouver ce sentiment d’habiter une France familière, et comme tous les ans, nous avions envie de fêter la Révolution française, avec un feu d’artifice, de la musique et beaucoup de rosé.
    Mais un tueur vient de terminer sa course folle sur la Promenade des Anglais à Nice, entraînant dans la mort au moins 84 personnes et enterrant du même coup l’espoir d’une vie quotidienne en France qui soit agréable.
    Maintenant, comme après les attentats de Paris en novembre dernier, de nouveau règne la peur, de nouveau arrivent les appels des amis et de la famille pour savoir si l’on ne se trouvait pas au mauvais endroit en France. À nouveau les enfants nous regardent, les yeux pleins de questions ; et à nouveau le président François Hollande tente de créer un sentiment de sécurité au moyen d’un état d’urgence, de barrières de sécurité dans les écoles ; une sécurité qui ne peut exister quand un camion suffit pour commettre un attentat.
    La cible de l’auteur de l’attentat est pour Nice, dans le Sud de la France, ce que la Porte de Brandebourg est à Berlin ou bien ce que la Tour Eiffel est à Paris : la promenade s’étend sur sept kilomètres le long de la mer, c’est l’emblème de la ville. Pas un habitant du Sud de la France qui n’ait déjà déambulé sur la promenade. Pas un touriste à Nice qui n’ait observé la mer depuis l’asphalte rouge, pas une famille qui n’ait déjà mangé une glace avec ses enfants sous un dattier.
    La Promenade des Anglais est un lieu où tous les individus et toutes les nationalités se mêlent.
    Avec l’attentat, un lieu a été sali, qui appartenait à tout le monde : aux riches de la Côte d’Azur, qui ingurgitent leurs huîtres dans les restaurants face à la mer ; aux jeunes, qui jouent de la guitare le soir sur la plage et boivent du vin en brique ; et aux touristes qui bronzent sur les galets. C’est un lieu où se mélangent tous les individus et toutes les nationalités : beaucoup plus coloré et mélangé que ne le sont les plages exclusives des villes voisines de Cannes ou Saint-Tropez.
    C’est précisément ici que l’auteur de l’attentat a lancé sa course mortelle. Précisément ici et précisément un 14 juillet. Quasiment aucune autre journée ne voit la Promenade des Anglais aussi animée qu’en un jour de fête nationale. Durant plusieurs minutes, le feu d’artifice illumine la promenade le long de la mer, des dizaines de milliers de touristes le contemplent de la Côte d’Azur. Désormais, ce point culminant de l’année est assombri par l’attentat, pour toujours.

    La fin d’un été paisible
    Mais aussi, l’état d’urgence est de nouveau prolongé pour une durée de trois mois, et par conséquent tous les réglements qui ont été introduits depuis les attentats de novembre dernier à Paris. « Cela n’apporte vraiment rien », c’est ce que disent maintenant les amis, car qui peut arrêter des individus qui ne ressentent manifestement que haine envers la société française ? Pour beaucoup de Français, personne ne peut les arrêter ; et la boulangère refuse de lâcher « un mot » [1], « un seul mot » sur l’attentat, parce qu’elle a envie de retrouver « sa France » et que peut être elle pourra, par le silence, y croire encore.
    L’été s’annonçait paisible, ici. Après la réussite de l’Euro 2016, pendant lequel, à l’exception des bagarres de quelques supporters avinés, tout s’était bien passé, le président Hollande avait déclaré hier qu’il mettrait fin à l’état d’urgence. Une amie a appelé juste après cette annonce, tellement était grande la joie de se débarrasser de l’ « état d’urgence ». Car l’état d’urgence a changé notre vie en France, non de manière spectaculaire, mais tout de même, de façon insidieuse. Parce que les triangles rouges s’étalaient partout, et parce que nous ne pouvions plus déposer nos enfants dans la salle de classe à l’école maternelle, obligés de leur dire « au revoir » [1] à la porte d’entrée.
    Parce que pendant le Carnaval de Nice, le plus grand du monde après ceux de Rio et Venise, les clowns étaient surveillés par des hommes lourdement armés, parce que des fêtes ont été annulées, et parce que dans les centres commerciaux les sacs à dos étaient fouillés. Et parce que tout à coup, l’association de parents d’élèves de l’école élémentaire ne se battait plus pour les repas bio à la cantine, mais débattait pendant des heures de l’augmentation de la hauteur des clôtures entourant la cour de l’école.
    Notre quotidien est rempli de tentatives insensées destinées à contenir le terrorisme, mais le sentiment persiste qu’aucune force spéciale au monde ne pourra nous protéger tant que que nous attiserons les conflits en faisant le plein de carburant en provenance du Proche-Orient, et tant que la France exilera ses familles d’immigrés dans de tristes banlieues.

    Poussée du Front national
    Cependant, peu nombreux sont ceux qui interrogent les causes profondes. Lors des dernières élections, dans certains quartiers, plus d’une personne sur deux a déjà voté pour le Front national et, selon des sondages récents, Marine Le Pen rallie encore plus de sympathisants. La colère monte, et en même temps s’accroît - et c’est ce qui est surprenant - l’indifférence, oui : l’acceptation de ce qui est exceptionnel. Car les choses ont quand même changé depuis les attentats de Paris, il y a maintenant plus de huit mois. À l’époque, les directeurs d’école, encore sous le coup de la panique, nous disaient de nous placer à l’entrée de l’école, dépassés qu’ils étaient par les nouveaux réglements.
    Avant, voisins et amis étaient sidérés que la France puisse être la cible d’attentats. Cette fois, presque tous s’attendaient à ce qui est arrivé. « Cela ne me surprend pas », dit-on maintenant, même si maintenant cela se passe à proximité directe plutôt que dans la capitale, à 900 km de là. Nous nous sommes habitués à vivre en état d’urgence : la vie normale, insouciante, est encore une fois, pour beaucoup de Français - et tout d’abord pour ceux du Sud de la France - une perspective lointaine.

    Annika Joeres

    [1] En français dans le texte

  • La Halle aux Vêtements, liquidation totale
    http://larotative.info/la-halle-aux-vetements-liquidation-1350.html

    En novembre 2015, le magasin La Halle aux Vêtements de Saint-Pierre-des-Corps a fermé ses portes, dans le cadre d’un vaste plan qui a entraîné la suppression de 1 600 postes et de 220 points de vente sur tout le territoire.

    La Halle aux Vêtements appartient au groupe Vivarte, qui comprend également André, Kookai, Naf-Naf, etc. Le groupe est l’un des leaders français de l’habillement, et affichait en 2014 un chiffre d’affaires de 2,9 milliards d’euros. En juillet 2012, c’est un ancien dirigeant de Lancel, Marc Lelandais, qui en prend la tête. Il lance une stratégie de montée en gamme des enseignes La Halle (vêtements et chaussures), s’appuyant notamment sur une énorme campagne publicitaire, avec Tony Parker et la chanteuse Jenifer en guise d’égéries. Le groupe va aussi ouvrir des magasins La Halle dans le quartier des grands magasins à Paris, boulevard Haussmann, mais aussi à Saint-Tropez. « Dès la présentation de la stratégie de montée en gamme de l’entreprise, les élu-es avaient alerté la direction. Finalement, ces alertes se sont révélées juste », note une responsable de la fédération Commerce de la CGT.

    Un élu de l’entreprise précise : « C’était voué à l’échec. Tu ne retournes pas une entreprise de 30 ans en 2 ans, ça n’existe pas ». Alors que l’enseigne est plutôt implantée sur des zones commerciales périphériques, les magasins de centre-ville vont se transformer en gouffres financiers. Depuis, ils ont tous été revendus. Sans parvenir à attirer de nouveaux clients, la nouvelle stratégie a détourné l’entreprise de sa clientèle traditionnelle, plus populaire. Comme l’explique le même élu :

    « La clientèle qu’on avait, on leur a dit : "on veut plus de vous, vous pouvez partir, on a d’autres clients qui sont plus riches que vous". »

    Au mois de juin, quelques jours de grèves au début des soldes ont permis de faire pression sur les négociations du « plan de sauvegarde de l’emploi » (PSE) et de décrocher une prime supra-légale. Mais les indemnités sur lesquelles pouvaient compter les salarié-es licenciées sont restées faibles. Avec 80 % de temps partiels dans l’entreprise, souvent sur des contrats de 25 heures par semaine, le salaire brut moyen d’un-e employé-e impacté-e par le projet s’élevait à 1 077 euros par mois. Pour une salariée avec cinq ans d’ancienneté, les projections effectuées par les syndicats annonçaient une prime totale de licenciement de 7 154 euros.

    Pour la plupart des salarié-es impacté-es par les fermetures de magasin, la suite est décrite par Christophe, le délégué syndical CGT :

    « Des reclassements, il y en a eu, mais peu. Pour une personne qui travaille 25 heures par semaine, si il n’y a pas de poste dans la zone commerciale où elle travaille, on lui dit qu’elle peut être reclassée, par exemple à Bordeaux alors qu’elle habite Tours. Donc tu sais pertinemment que la personne à 25h, même si tu lui offres un 35h à Bordeaux, elle n’ira pas. Parce qu’elle a construit sa vie à Tours, elle ne va pas la construire à Bordeaux. C’est souvent des femmes qui sont à mi-temps, et qui ont des enfants scolarisés, donc c’est le mari la plupart du temps qui ramène le plus gros salaire. Systématiquement, elles refusent donc le reclassement interne et la mobilité. Du coup, elles vont partir sur un congé de reclassement [1], et puis c’est tout. »

    Le plus formidable ? L’entreprise a touché 4 millions d’euros au titre du Crédit Impôt Compétitivité Emploi (CICE), censé encourager l’emploi, comme son nom l’indique. Au niveau du groupe Vivarte, ce sont 15 millions d’euros qui ont perçus au titre du CICE. Sans compter 30,4 millions d’euros « d’allègements Fillon ». Au final, le plan de licenciement, qui devrait coûter 40 millions d’euros au groupe, sera financé en bonne part de l’argent public. « C’est quasiment une opération blanche », relève un élu.

    #travail #précarité #habillement #la_halle

  • Aqualonde Plongée - La Londe les Maures Var (83) - Les épaves - Le Rubis
    http://aqualonde-plongee.com/articles.php?lng=fr

    Le Rubis fait partie des épaves incontournables de Méditerranée. Classé par le journal Plongeurs International dans son hors-série numéro 2 parmi les 101 plus belles plongées du monde, le Rubis est un pur joyau. Pouvoir observer un sous-marin en parfait état est suffisamment rare pour ne pas se donner l’occasion d’y plonger. La plongée n’est pas difficile mais il faut néanmoins se méfier du courant qui peut sévir seulement en surface ou jusqu’au fond et atteindre 3 nœuds. L’épave ne pose par contre aucun problème d’orientation.
    La profondeur n’étant pas trop importante (40 m max) on peut l’explorer en totalité en une seule fois.

    Tiens c bizarre @seenthis, y’a un script qui empêche l’affichage du gif donné en le remplaçant pour une autre image, cf
    aqualonde-plongee.com/img/rubis-schema.gif
    bon, je change de source

    WP :

    Le Rubis a été désarmé le 4 octobre 1949 et coulé volontairement le 31 janvier 1958 pour éviter qu’un Compagnon de la Libération ne soit livré aux chalumeaux des ferrailleurs. L’épave du Rubis repose à plat sur le sable par 42 mètres de fond au large du Cap Camarat entre Cavalaire et Saint-Tropez. D’abord utilisé comme cible sonar par la Marine nationale, l’épave du Rubis est devenue un site de plongée réputé de la Méditerranée après avoir été « inventée » par deux plongeurs de « L’Idéal » le bâteau de l’École de Plongée de Saint-Tropez en juillet 1974

    https://www.youtube.com/watch?v=WuzX4FkMpQw

    #sous_marin #ghost_boat #épave #exploration_sous_marine #plongée

  • Air cocaïne sur France 2 : le syndrome du coup de boule de Zidane - Rue89 - L’Obs
    http://rue89.nouvelobs.com/2015/10/28/air-cocaine-bugier-les-pilotes-261855

    Innocent parce que Français

    Donc, sur le plateau, Fauret n’est pas d’abord le pilote condamné à vingt ans de prison pour trafic de drogue en République dominicaine, après qu’on a découvert 680 kg de cocaïne répartis dans 26 valises dans l’avion qu’il s’apprêtait à piloter vers Saint-Tropez, mais l’innocent citoyen français, retenu de longs mois dans un Etat fantoche à la légalité incertaine.

  • Air Cocaïne : le rôle trouble de l’eurodéputé FN Aymeric Chauprade
    http://www.leparisien.fr/politique/air-cocaine-le-role-trouble-de-l-eurodepute-fn-aymeric-chauprade-27-10-20

    Aymeric Chauprade est un géopoliticien controversé. Il fait parler de lui en 2009 en se faisant « virer » du Collège interarmées de Défense, où il donne des cours depuis une dizaine d’années, à cause de positions complaisantes avec les théories du complot autour des attentats du 11 septembre 2011 explique Le Monde. Après ce « coup d’éclat », il se rapproche du FN en 2013 et devient tête de liste en Ile-de-France pour les élections européennes. C’est en janvier que Marine Le Pen le désavoue et le remplace après ses propos sur l’existence « d’une cinquième colonne » islamiste en France et d’« une guerre avec les musulmans ». L’élu frontiste connaît par ailleurs bien la République dominicaine, où il a travaillé comme conseiller du président de l’époque entre 2009 et 20012.

    Rencontre récente avec les pilotes

    Chauprade refait parler de lui avec ce nouveau rebondissement autour de l’affaire « Air Cocaïne ». Après la fuite des pilotes, il partage sa satisfaction sur différents médias : « Je me réjouis du fait qu’ils aient retrouvé leurs familles et leur liberté » clame-t-il sur RTL tout en refusant de commenter son éventuelle implication. Pourtant, Aymeric Chauprade ne se prive pas de tweeter plusieurs articles mettant en avant son rôle. Toujours sur le réseau social, il a posté une photo en compagnie des deux pilotes le 21 octobre dernier. Lors de cette rencontre en République Dominicaine, il reconnaît avoir parlé de l’exfiltration.

    Procès « Air Cocaïne » : cinq questions sur la condamnation de quatre Français à 20 ans de prison
    http://www.francetvinfo.fr/faits-divers/justice-proces/proces-air-cocaine/proces-air-cocaine-cinq-questions-sur-la-condamnation-de-quatre-francai

    L’affaire remonte à la nuit du 19 au 20 mars 2013. Renseignée notamment par les Etats-Unis, la police dominicaine intercepte sur le tarmac de l’aéroport de Punta Cana un Falcon 50, avec à son bord 26 valises contenant pas moins de 680 kg de cocaïne. L’avion, qui devait s’envoler pour Saint-Tropez (Var), est piloté par Pascal Fauret et Bruno Odos.Nicolas Pisapia et Alain Castany se trouvent à bord. Comme le rappelle 20minutes.fr, l’avion appartient au lunetier Alain Afflelou. Il le loue à une compagnie SN THS, qui compte parmi ses clients un certain Nicolas Sarkozy, ce qui vaudra à l’ancien chef de l’Etat de voir son nom cité en marge de cette affaire.

    Si je comprends, avec l’alternance, ce serait parmi les alliés de Hollande qu’il serait possible de trouver de la cocaïne pas trop coupée à un prix décent ?