city:salisbury

  • La mort de la Britannique empoisonnée au #Novitchok relance la tension entre Londres et Moscou
    https://www.lemonde.fr/europe/article/2018/07/09/la-mort-de-la-britannique-empoisonnee-au-novitchok-relance-la-tension-entre-

    Quelques heures après des paroles apaisantes du ministre de l’intérieur britannique Sajid Javid à l’égard de la Russie, Dawn Sturgess, la femme britannique de 44 ans contaminée à l’agent neurotoxique Novitchok, est décédée dimanche 8 juillet au soir à l’hôpital de Salisbury (sud-ouest de Londres) où elle avait été admise huit jours plus tôt. Le décès de Dawn Sturgess, femme sans lien apparent avec la Russie et probable victime collatérale de la tension entre Moscou et Londres, a déclenché l’ouverture d’une enquête pour meurtre par Scotland Yard. Peu après l’annonce de la mort de cette mère de trois enfants, la première ministre Theresa May s’est déclarée « horrifiée et choquée ». « La police et les agents de sécurité travaillent pour établir les faits de manière urgente, a-t-elle ajouté. Le gouvernement apporte tout son soutien à la population locale, confrontée à cette tragédie. »

    Dawn Sturgess, qui vivait dans un foyer pour sans-abri, était tombée subitement et gravement malade, vendredi 29 juin, après avoir, selon la police antiterroriste « manipulé un objet contaminé ». L’objet en question pourrait être une seringue ou un récipient qui contenait l’agent innervant utilisé le 4 mars contre l’agent double russe Sergueï #Skripal et sa fille Ioulia, également à Salisbury. La mère de famille avait été retrouvée inconsciente à Amesbury dans la maison de son compagnon Charlie Rowley, 45 ans, à une douzaine de kilomètres de Salisbury. Ce dernier, contaminé comme elle, restait dans un état critique lundi 9 juillet au matin.

    Les experts du laboratoire spécialisé de Porton Down ont établi que le couple a été contaminé par le même type de Novitchok que celui utilisé contre les Skripal, sans pouvoir préciser si le poison provenait du même lot. Ce produit, conçu du temps de l’Union soviétique, agit sur le système nerveux. Il en existe plusieurs versions, dont aucune ne se décompose rapidement.

    L’apparente guérison de Sergueï et Ioulia Skripal, qui sont sortis de l’hôpital de Salisbury après quelques semaines et sont maintenus dans un lieu tenu secret, avait apaisé les habitants de la région de Salisbury. Mais la mort de Dawn Sturgess et la possibilité que des échantillons de Novitchok se trouvent encore dans la nature risquent de raviver leurs doutes sur l’efficacité des vastes opérations de décontamination mises en œuvre par l’armée. Avant le décès de Mme Sturgess, les autorités laissaient entendre que ce nouvel épisode inattendu pouvait aboutir à des révélations sur le mode opératoire utilisé lors de l’empoisonnement des Skripal attribué par Londres à la Russie.

    En visite à Salisbury dimanche pour rassurer les habitants, le ministre de l’intérieur Sajid Javid avait adopté un ton plus modéré à l’égard de Moscou, sommé dans un premier temps de s’expliquer sur ce deuxième double empoisonnement. Affirmant que le gouvernement britannique n’avait « aucun projet pour le moment » d’imposer de nouvelles sanctions à la Russie, il avait appelé à « ne pas tirer de conclusions hâtives » des événements de Salisbury.

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    #de_la_dyslexie_créative

  • [Skripal] Fake News dans Libé – L’avis de @CheckNewsfr est requis !
    https://www.les-crises.fr/fake-news-dans-libe-lavis-de-checknews-est-requis-sonia-delesalle-stolper

    Libération nous a réservé hier un des articles dont il a le secret, sur le rebondissement des empoisonnements à Salisbury. Il est signé “Sonia Delesalle-Stolper Correspondante à Londres”. Je vous propose pour commencer de le lire sur le site de Libération : Au Royaume-Uni, le poison Novitchok est de retour (archive) Quelques points sont particulièrement […]

  • Experts suisses : Le poison des Skripal était un innervant de l’OTAN
    https://www.crashdebug.fr/international/14774-experts-suisses-le-poison-des-skripal-etait-un-innervant-de-l-otan

    « Selon l’Institut suisse pour la protection des armes nucléaires, biologiques et chimiques (Schweizerisches Institut für ABC-Schutz), le poison prélevé à Salisbury par les enquêteurs de l’OIAC, dans l’« affaire Skripal », est du « BZ ».

    L’appellation « Novichok » désigne un programme de recherche soviétique et non pas une substance issue de ce programme.

    Le « BZ » est un innervant de l’Otan, agissant dans les 30 à 60 minutes et pour une durée de 2 à 4 jours. L’URSS, puis la Russie, n’ont jamais travaillé sur ce type de substance.

    L’Institut suisse pour la protection des armes nucléaires, biologiques et chimiques est une référence mondiale en la matière. Il a procédé à cette analyse à la demande de l’OIAC. »

    Source : Voltairenet.org via Olivier Demeulenare

    Information complémentaires :

    Crashdebug.fr : Affaire (...)

  • L’OIAC confirme l’origine russe du poison utilisé en Angleterre contre Sergueï Skripal et sa fille
    http://www.lemonde.fr/europe/article/2018/04/12/l-oiac-confirme-l-origine-russe-du-poison-utilise-en-angleterre-contre-sergu

    L’Organisation pour l’interdiction des armes chimiques (OIAC) a confirmé, jeudi 12 avril, la thèse du gouvernement britannique sur l’origine russe de l’agent innervant utilisé en Angleterre pour empoisonner l’ex-agent double russe Sergueï Skripal et sa fille Youlia.

    « Les résultats de l’analyse menée par les laboratoires désignés par l’OIAC (…) confirment les découvertes du Royaume-Uni quant à l’identité de l’agent chimique toxique utilisé à Salisbury », annonce l’OIAC dans un communiqué publié à Londres, soulignant la « grande pureté » de la substance.

    • NOTE BY THE TECHNICAL SECRETARIAT

      SUMMARY OF THE REPORT ON ACTIVITIES CARRIED OUT
      IN SUPPORT OF A REQUEST FOR TECHNICAL ASSISTANCE BY THE UNITED KINGDOM OF GREAT BRITAIN AND NORTHERN IRELAND

      (TECHNICAL ASSISTANCE VISIT TAV/02/18)

      https://20years.opcw.org/wp-content/uploads/2018/04/s-1612-2018e.pdf

      9. The results of analysis of the environmental samples conducted by OPCW designated laboratories demonstrate the presence of this toxic chemical in the samples.

      10. The results of analysis by the OPCW designated laboratories of environmental and biomedical samples collected by the OPCW team confirm the findings of the United Kingdom relating to the identity of the toxic chemical that was used in Salisbury and severely injured three people.

      11. The TAV team notes that the toxic chemical was of high purity. The latter is concluded from the almost complete absence of impurities.
      12. The name and structure of the identified toxic chemical are contained in the full classified report of the Secretariat, available to States Parties.

      (fin de la note)

    • On doit te lire… nouvelle(s) version(s) du titre du Monde (17h24)
      • en une : L’OIAC confirme l’identité du poison utilisé en Angleterre contre Sergueï Skripal et sa fille
      • pour l’article (à l’instant) : Skripal : les découvertes britanniques sur l’identité du poison utilisé en Angleterre confirmées
      comme d’habitude, l’url garde la trace du titre initial.

      EDIT (17:50) : le titre de une est maintenant identique à celui de l’article

    • Ah ! en fin d’article, la MàJ de 17h18 est ainsi expliquée :

      Cet article a été modifié à la suite d’une précision de l’AFP : l’OIAC ne confirme pas « l’origine russe du poison » mais bien « les résultats obtenus par le Royaume-Uni ».

      – l’article initial est daté de 13h43
      – le message ouvrant ce fil en pointant l’article de 14h01
      – mon commentaire citant le communiqué de l’OACI de 14h04
      – @biggrizzly s’interroge à 15h05
      – la rectification après «  précision  » de l’AFP à 17h18

      Le Monde confierait-il le fact checking de ses articles à l’AFP ?

  • False-flag pour Novichok
    http://www.dedefensa.org/article/false-flag-pour-novichok

    False-flag pour Novichok

    La Grande-Bretagne est prise d’une frénésie médiatique à cause de l’empoisonnement récent de l’ancien colonel russe Sergueï Skripal et de sa fille à Salisbury, en Angleterre. La Première ministre britannique, Theresa May, a demandé à la Russie de s’expliquer en prétendant qu’ils avaient été empoisonnés en utilisant un agent neurotoxique appelé “Novichok” (“débutant” en russe) qui était un produit de la recherche soviétique sur les armes biologiques. Il n’est plus produit et la destruction des stocks a été vérifiée par des observateurs internationaux. Cependant, sa formule est dans le domaine public et il peut être synthétisé par n’importe quel laboratoire chimique bien équipé, tel que celui de Porton Down, un laboratoire militaire de la Grande-Bretagne, qui, soit dit en passant, n’est qu’à (...)

  • Le doute plane sur les allégations britanniques sur le poison « #Novitchok » dans l’affaire #Skripal - World Socialist Web Site
    https://www.wsws.org/fr/articles/2018/03/20/novi-m20.html

    Alors que Londres intensifie les tensions avec la Russie en accusant Moscou d’empoisonner l’ancien espion britannique Sergei Skripal avec du « Novitchok » à Salisbury le 4 mars, les milieux diplomatiques et scientifiques s’interrogent de plus en plus sur les allégations britanniques. Il n’est même pas clair si l’arme chimique « Novitchok » existe. Londres n’ayant toujours fourni aucune preuve tangible pour étayer ses accusations, on peu légitimement se demander si toute l’affaire contre la Russie est fondée sur des mensonges.

    La semaine dernière, l’ancien ambassadeur britannique en Ouzbékistan, Craig Murray, a écrit une note brève mais dévastatrice sur le « Novitchok ». Son article, intitulé « L’histoire de Novitchok est une arnaque comme les ‘ADM’ irakiennes », compare l’affirmation que la Russie a du « Novitchok » aux mensonges américano-britanniques selons lesquels l’Irak possédait des armes de destruction massive (ADM), qu’ils ont utilisé pour justifier une invasion de l’Irak en 2003.
    Les allégations que Moscou a utilisé du « Novitchok » proviennent de l’Etat britannique et de son installation de guerre biochimique à Porton Down, tout près de Salisbury. Cependant, comme le souligne Murray, le Dr Robin Black, chef du Laboratoire de détection à Porton Down, avait émis des doutes quant à l’existence d’agents neurotoxiques « Novitchok » tout récemment, en 2016.

  • L’empoisonnement d’un ancien espion russe jette un froid entre Londres et Moscou
    https://www.mediapart.fr/journal/international/080318/l-empoisonnement-d-un-ancien-espion-russe-jette-un-froid-entre-londres-et-

    Des policiers à proximité du banc où ont été retrouvés les Skripal, le 6 mars 2018 à Salisbury (Royaume-Uni). © Reuters / Toby Melville. Sergueï Skripal et sa fille ont été retrouvés à l’agonie, dimanche 4 mars, dans le sud-ouest de l’Angleterre, victimes d’une « tentative de meurtre par l’administration d’un agent innervant ». L’affaire rappelle l’empoisonnement au polonium qui a coûté la vie d’Alexander Litvinenko en 2006.

    #International #espionnage #Royaume-Uni #Russie

  • A Tweet to Kurt Eichenwald, a Strobe and a Seizure. Now, an Arrest. - The New York Times
    https://www.nytimes.com/2017/03/17/technology/social-media-attack-that-set-off-a-seizure-leads-to-an-arrest.html

    When the journalist Kurt Eichenwald opened an animated image sent to him on Twitter in December, the message “You deserve a seizure for your posts” appeared in capital letters along with a blinding strobe light. Mr. Eichenwald, who has epilepsy, immediately suffered a seizure.

    On Friday, the Federal Bureau of Investigation said it had arrested John Rayne Rivello, 29, at his home in Salisbury, Md., and accused him of sending the electronic file. The agency charged Mr. Rivello with criminal cyberstalking with the intent to kill or cause bodily harm.

    The unusual case has shown how online tools can be deployed as weapons capable of physical harm. The F.B.I. and the Dallas police led the investigation into Mr. Rivello, and the police said he sent the strobe light knowing that it was likely to lead Mr. Eichenwald, who has publicly discussed his epilepsy, into a seizure.

    #armes_logicielles #haine #épilepsie