city:sequedin

  • Un compteur Linky impliqué dans l’incendie d’un pavillon dans le Loiret
    https://www.crashdebug.fr/actualites-france/15175-un-compteur-linky-implique-dans-l-incendie-d-un-pavillon-dans-le-lo

    Un compteur électrique Linky en cours d’installation à Sequedin (Nord), le 5 janvier 2018. (MAXPPP)

    Un compteur Linky, installé il y a une quinzaine de jours dans un pavillon du Loiret, a explosé samedi, entraînant un incendie qui n’a pas fait de blessé, a indiqué la police à un correspondant de l’AFP.

    « C’est l’explosion du compteur qui a provoqué l’incendie », a assuré le commissariat de Chalette-sur-Loing (Loiret), où s’est produit l’accident samedi en fin d’après-midi.

    L’incendie n’a pas fait de blessé mais il a fortement endommagé le pavillon, occupé par un couple de retraités, qui a été relogé chez son fils.

    Le couloir s’est embrasé en quelques secondes

    Le mari était devant son ordinateur quand une interruption de courant est intervenue. « Naturellement, je me suis levé pour aller actionner le (...)

    #En_vedette #Actualités_françaises

  • Suicides et morts suspectes connus pour 2017

    Derniers #suicides connus
    17-05 M.A. Lille Sequedin Suicide d’un homme en détention provisoire, âgé de 38 ans, par pendaison 15-05 M.A. Niort Suicide d’un homme de 36 ans 14-05 C.P. Nantes (ouvert depuis juin 2012) Suicide d’un homme, 40 ans 07-05 M.A. Nice Suicide d’un homme de 21 ans, par pendaison 28-04 M.A. Villepinte Suicide d’un homme par pendaison, au quartier arrivant 25-03 M.A. Bois d’Arcy Suicide d’un homme d’une vingtaine d’année, par pendaison 13-03 M.A. Villefranche sur Saône Suicide d’un homme par pendaison, 34 ans 12-03 M.A. Nice Suicide d’un homme, âge inconnu, en préventive 03-03 C.P. Perpignan Suicide d’un homme de 36 ans 20-02 C.P. Rennes Suicide d’une femme, d’une quarantaine d’année

    http://prison.eu.org/spip.php?rubrique69
    http://prison.eu.org/spip.php?article15848
    #prison #mort_suspectes #dessin #Berth

  • Quand le Grand Mix aide la prison à libérer la créativité vidéo - La Voix du Nord
    http://www.lavoixdunord.fr/65998/article/2016-10-28/quand-le-grand-mix-aide-la-prison-liberer-la-creativite-video

    Pour la première fois, le Grand Mix a organisé un atelier audiovisuel au centre pénitentiaire d’Annœullin. Huit détenus, déjà rompus aux techniques vidéo, ont imaginé et créé trois vidéos d’animation avec deux artistes : Loup Blaster pour le côté graphique et Numérobé pour le son. Reportage à l’intérieur des murs.

    Par ANNE COURTEL | Publié le 28/10/2016

    Ce jour-là, Antonio et Dominique peaufinent le décor de leur vidéo. Ils ont reconstitué une… cellule de prison avec des bouts de carton et de la récup. Ils ont également écrit le scénario et commencent l’animation. « C’est une personne qui écrit un courrier pour s’inscrire sur les listes électorales. Son co-détenu engage la conversation sur la politique mais on a voulu que ce soit plutôt drôle. » Saïd, le formateur, vient leur expliquer comment animer leurs personnages à l’aide d’un enchaînement de photos. Les deux hommes écoutent. Cela fait plusieurs semaines qu’ils suivent une formation audio vidéo et ils étaient volontaires pour cet atelier d’une semaine. « On en découvre un peu plus chaque jour. Moi, je n’avais jamais touché un ordinateur ; aujourd’hui, je sais travailler les sons. Cela nous passionne même le soir en cellule, on réfléchit à notre vidéo », confie Dominique. Antonio renchérit. « On oublie que l’on est entre quatre murs, ici. Ça nous évade même si nous avons reproduit notre quotidien pour cette vidéo. »

    Les métaphores de la détention
    Plus loin, Khaled a lui dessiné son synopsis avant de le mettre en scène. L’histoire d’un SDF qui regarde passer les voitures dans un tunnel dont on ne voit pas le bout. Une métaphore de la détention. « J’ai écrit l’histoire et je ferai la voix off. Je trouve cet atelier plaisant et enrichissant. Je n’ai aucune prétention, je veux juste apprendre quelque chose. » Sur le tableau blanc, ses dessins semblent s’animer autour de voitures griffonnées sur un carton. Plus loin, Ismaël a, lui, recréé l’arche de Noé avec ses animaux enfermés pour gagner la terre promise. Il réfléchit à animer ses animaux et à créer des sons. Le producteur de musique, Numérobé, est là pour les aider. « On les guide pour trouver les sons et ensuite, on leur apprend à se servir d’un logiciel gratuit qu’ils pourront retrouver dehors pour continuer à faire des montages. » Comme un lien entre l’intérieur et l’extérieur.

    « Chacun aura apporté sa connaissance. Ici, on redonne une place à l’humain »
    Saïd assure, depuis quatre ans, cette formation audio vidéo au sein du centre de détention. « Certains y participent depuis un an et ont maintenant de vraies connaissances alors qu’ils peinaient avec l’écriture ou l’ordre chronologique. » Mais surtout, cette formation, ouverte aux longues peines, peut leur permettre de mieux accepter les conditions de détention. « Il y a ici un esprit de groupe, de resocialisation. Si on réussit à créer quelque chose, ce sera le succès du groupe. Chacun aura apporté sa connaissance. Ici, on redonne une place à l’humain. »

    Les quatre clips, créés pendant cette semaine avec les deux artistes du Grand Mix, seront rassemblés sur un CD qui sera remis aux participants.

    La mission du Grand Mix
    La salle de concert tourquennoise n’est pas qu’un lieu de diffusion. Dès sa création, le Grand Mix a souhaité développer de nombreux projets en direction de différents publics. Que ce soit à l’école, à l’hôpital, en maison de retraite, le Grand Mix intervient pour sensibiliser à l’art. « Nous ne sommes pas spécialistes des formations mais, en revanche, nous avons les contacts avec les artistes », explique Juliette Callot, responsable de l’action culturelle.

    Depuis dix ans, le Grand Mix propose des concerts dans les prisons. Mais cette fois, les responsables n’ont pas voulu se contenter de la diffusion. Pour la première fois, trois ateliers sont menés (aux centres pénitentiaires de Lille-Annœullin, de Sequedin et de Quiévrechain).

    Après Annœullin, c’est la maison d’arrêt des femmes de Sequedin qui accueillera une artiste folk, Saso. « Il existe une nursery à la maison d’arrêt de Sequedin. Cela nous a donné l’idée de faire des ateliers d’écriture pour inventer des comptines. Mais cet atelier sera ouvert à toutes les femmes qui le souhaitent et pas seulement à celles qui ont leur enfant avec elles. La création de comptines devrait permettre l’extériorisation des émotions. » Les comptines seront compilées sur un CD, qui pourra faire un beau cadeau de Noël.

  • Quand le Grand Mix aide la prison à libérer la créativité vidéo - La Voix du Nord
    http://www.lavoixdunord.fr/65998/article/2016-10-28/quand-le-grand-mix-aide-la-prison-liberer-la-creativite-video

    Pour la première fois, le Grand Mix a organisé un atelier audiovisuel au centre pénitentiaire d’Annœullin. Huit détenus, déjà rompus aux techniques vidéo, ont imaginé et créé trois vidéos d’animation avec deux artistes : Loup Blaster pour le côté graphique et Numérobé pour le son. Reportage à l’intérieur des murs.

    Par ANNE COURTEL | Publié le 28/10/2016

    Ce jour-là, Antonio et Dominique peaufinent le décor de leur vidéo. Ils ont reconstitué une… cellule de prison avec des bouts de carton et de la récup. Ils ont également écrit le scénario et commencent l’animation. « C’est une personne qui écrit un courrier pour s’inscrire sur les listes électorales. Son co-détenu engage la conversation sur la politique mais on a voulu que ce soit plutôt drôle. » Saïd, le formateur, vient leur expliquer comment animer leurs personnages à l’aide d’un enchaînement de photos. Les deux hommes écoutent. Cela fait plusieurs semaines qu’ils suivent une formation audio vidéo et ils étaient volontaires pour cet atelier d’une semaine. « On en découvre un peu plus chaque jour. Moi, je n’avais jamais touché un ordinateur ; aujourd’hui, je sais travailler les sons. Cela nous passionne même le soir en cellule, on réfléchit à notre vidéo », confie Dominique. Antonio renchérit. « On oublie que l’on est entre quatre murs, ici. Ça nous évade même si nous avons reproduit notre quotidien pour cette vidéo. »

    Les métaphores de la détention

    Plus loin, Khaled a lui dessiné son synopsis avant de le mettre en scène. L’histoire d’un SDF qui regarde passer les voitures dans un tunnel dont on ne voit pas le bout. Une métaphore de la détention. « J’ai écrit l’histoire et je ferai la voix off. Je trouve cet atelier plaisant et enrichissant. Je n’ai aucune prétention, je veux juste apprendre quelque chose. » Sur le tableau blanc, ses dessins semblent s’animer autour de voitures griffonnées sur un carton. Plus loin, Ismaël a, lui, recréé l’arche de Noé avec ses animaux enfermés pour gagner la terre promise. Il réfléchit à animer ses animaux et à créer des sons. Le producteur de musique, Numérobé, est là pour les aider. « On les guide pour trouver les sons et ensuite, on leur apprend à se servir d’un logiciel gratuit qu’ils pourront retrouver dehors pour continuer à faire des montages. » Comme un lien entre l’intérieur et l’extérieur.

    « Chacun aura apporté sa connaissance. Ici, on redonne une place à l’humain »

    Saïd assure, depuis quatre ans, cette formation audio vidéo au sein du centre de détention. « Certains y participent depuis un an et ont maintenant de vraies connaissances alors qu’ils peinaient avec l’écriture ou l’ordre chronologique. » Mais surtout, cette formation, ouverte aux longues peines, peut leur permettre de mieux accepter les conditions de détention. « Il y a ici un esprit de groupe, de resocialisation. Si on réussit à créer quelque chose, ce sera le succès du groupe. Chacun aura apporté sa connaissance. Ici, on redonne une place à l’humain. »

    Les quatre clips, créés pendant cette semaine avec les deux artistes du Grand Mix, seront rassemblés sur un CD qui sera remis aux participants.

    La mission du Grand Mix

    _La salle de concert tourquennoise n’est pas qu’un lieu de diffusion. Dès sa création, le Grand Mix a souhaité développer de nombreux projets en direction de différents publics. Que ce soit à l’école, à l’hôpital, en maison de retraite, le Grand Mix intervient pour sensibiliser à l’art. « Nous ne sommes pas spécialistes des formations mais, en revanche, nous avons les contacts avec les artistes », explique Juliette Callot, responsable de l’action culturelle.

    Depuis dix ans, le Grand Mix propose des concerts dans les prisons. Mais cette fois, les responsables n’ont pas voulu se contenter de la diffusion. Pour la première fois, trois ateliers sont menés (aux centres pénitentiaires de Lille-Annœullin, de Sequedin et de Quiévrechain).

    Après Annœullin, c’est la maison d’arrêt des femmes de Sequedin qui accueillera une artiste folk, Saso. « Il existe une nursery à la maison d’arrêt de Sequedin. Cela nous a donné l’idée de faire des ateliers d’écriture pour inventer des comptines. Mais cet atelier sera ouvert à toutes les femmes qui le souhaitent et pas seulement à celles qui ont leur enfant avec elles. La création de comptines devrait permettre l’extériorisation des émotions. » Les comptines seront compilées sur un CD, qui pourra faire un beau cadeau de Noël.

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  • Mobilisation pour des moyens humains et financiers dans les Services Pénitentiaires d’Insertion et de Probation (SPIP). Ce vendredi, une trentaine de conseillers pénitentiaires d’insertion et de probation (CPIP) de Lille, Valenciennes, Sequedin et Douai ont manifesté place Mendès-France à Lille.
    http://www.croixdunord.com/mobilisation-pour-des-moyens-humains-et-financiers-dans-les-services-pe
    #SPIPj #SPIPcestaussi #Lille #convergences #luttes #justice #prison #judiciaire
    @fil @monolecte

  • Le témoignage de la compagne d’Adil Taychi, mort d’un ulcère en prison
    https://blogs.mediapart.fr/observatoire-international-des-prisons-section-francaise/blog/200416/le-temoignage-de-la-compagne-dadil-taychi-mort-dun-ulc

    Adil Taychi, détenu à la prison de Sequedin, était en proie à de vives douleurs depuis plusieurs mois et ne parvenait plus à s’alimenter. Il a perdu 23 kg. Malgré des demandes insistantes, il n’a pu bénéficier à temps de soins ni d’examens approfondis pour déterminer la nature de son mal. Il est décédé dans sa cellule le vendredi 12 février 2016 d’un ulcère perforé, comme le révèlera l’autopsie. Source : Dedans-dehors

  • Prison de Sequedin : le dernier parloir d’Adil Taychi, décédé dans sa cellule - La Voix du Nord - Publié le 18/02/2016 |PLANA RADENOVIC - PHOTO ARCHIVES BAZIZ CHIBANE
    http://www.lavoixdunord.fr/region/prison-de-sequedin-le-dernier-parloir-d-adil-taychi-ia21b49774n3337274

    Nous nous sommes procuré le déroulé, de source pénitentiaire, du dernier parloir d’Adil Taychi, décédé dans sa cellule de la prison de Sequedin dans la nuit de vendredi à samedi. L’enquête est en cours. L’autopsie a révélé un décès par arrêt cardiaque, causé par un ulcère au foie perforé.
    Adil Taychi est décédé dans sa cellule de la prison de Sequedin dans la nuit de vendredi à samedi.

    Adil Taychi, 36 ans, était incarcéré à la maison d’arrêt de Sequedin depuis le 19 novembre 2014, il devait être jugé en appel le 14 avril. Nous avions rencontré sa compagne, ainsi que Me Riglaire, en octobre 2015, car Adil Taychi contestait la décision de la commission de discipline de la prison, le condamnant à quinze jours de mitard avec sursis, pour des faits qu’il niait. Une peine qui l’empêchait de travailler.

    Vendredi aux alentours de 23 heures, Adil Taychi s’est éteint, dans sa cellule, sous les yeux de son co-détenu et malgré l’intervention des pompiers. Une plainte a été déposée contre l’administration pénitentiaire, pour homicide involontaire, et pour non-assistance à personne en danger. Sa compagne, que nous avions jointe par téléphone, s’était dite « inquiète », à l’issue du dernier parloir, le 10 février.

  • Lecture en prison : Comment Gallica a aidé un détenu à s’évader
    http://www.actualitte.com/usages/lecture-en-prison-comment-gallica-a-aide-un-detenu-a-s-evader-48325.htm

    Hélène Brochard, bibliothécaire à Lille, a été amenée, à travers une mission « Hors les Murs », à intervenir au sein de la prison de Sequedin. Elle raconte : « Il y avait un détenu condamné à une longue peine, et il avait besoin de travailler. Pour s’occuper l’esprit, conserver une activité... Il s’est donc lancé dans de gros travaux sur le féminisme du XVIIIe siècle. » Évidemment, la bibliothèque ne disposait d’une grosse réserve d’ouvrages sur le sujet : en moyenne, les bibliothèques en prison disposent d’un budget annuel de 2000 € pour les acquisitions...

    Qu’à cela ne tienne : Hélène Brochard a contacté l’administration pénitentiaire afin d’obtenir un accès à Gallica, pour fournir le détenu en ouvrages libres de droits sur lesquels il pourrait travailler. « L’administration contrôlait les ouvrages, qu’elle gravait ensuite sur un CD-Rom, afin que le détenu puisse les lire sur son ordinateur personnel. » Une fois les contrôles de sécurité effectués, il a même s’équiper d’une liseuse, achetée sur ses propres deniers, et mener à bien son travail.

    #prison #gallica

  • L’évadé de la prison de Sequedin prend juste des « vacances »... - Lindépendant.fr
    http://www.lindependant.fr/2013/07/19/l-evade-de-la-prison-de-sequedin-prend-juste-des-vacances,1776794.php

    L’évadé de la prison de Sequedin prend juste des « vacances »...

    Il s’est évadé de la prison de Sequedin, dans le Nord, mardi, en faussant compagnie aux policiers qui le ramenaient au centre pénitentier. Mais sa cavale ne devrait pas durer trop longtemps puisque Mohamed prend seulement des ... « vacances ». C’est en tout cas ce que son frère, Aïssa, a déclaré à nos confrères de La Voix du Nord. Le fugitif aurait l’intention de regagner sa cellule « à la rentrée ».

    « Oui, on s’est vus (mercredi) midi, on s’est promenés au soleil, en plein centre-ville de Lille. On n’a pas mangé, comme c’est le Ramadan », a précisé le jeune homme au quotidien qui lui demandait s’il avait des nouvelles de son frère, en cavale depuis quelques jours.

    La Voix du Nord n’a pas manqué de lui demander si son fugitif de frère avait conscience du risque de voir sa peine rallongée après ces congés estivaux. Ce à quoi le jeune homme a rétorqué : « il fait ce qu’il veut. Il m’a dit ’je fais mes vacances, je rentre en prison à la rentrée’ ». Avant d’ajouter : « J’aurais fait la même chose, c’est tentant. A Sequedin, il dort par terre, dans sa cellule, avec deux Irakiens qui ne parlent même pas français ».

    #prison #évasion #vacances