city:sus

  • Sus au soutien-gorge
    https://tagrawlaineqqiqi.wordpress.com/2019/06/19/sus-au-soutien-gorge

    Aujourd’hui, j’ai décidé de me fâcher avec les femmes, en particulier avec celles qui ont une poitrine conséquente. N’allez pas croire que c’est pour le plaisir de les fâcher : bien au contraire, en réalité c’est vraiment et sincèrement pour rendre service. Mais je sais qu’elles vont râler et surtout objecter très exactement ce que j’ai […]

    https://0.gravatar.com/avatar/fae7880a13ff373ef7ab14b76ec88027?s=96&d=identicon&r=G

  • Les redressements pour fraude au travail détaché grimpent en flèche (Les Echos)
    https://www.crashdebug.fr/actualites-france/15980-les-redressements-pour-fraude-au-travail-detache-grimpent-en-fleche

    516.000 travailleurs détachés en France (+46% en un an) Merci l’Europe, pour info je suis désolé mais je n’ai pas pus payer le service RSS de la page Defcon Room, donc ça devrait repartir vers le 8 mai, merci de votre compréhension.

    f.

    Après un léger recul en 2017, les redressements Urssaf pour travail dissimulé battent des records en 2018, à 640 millions d’euros. L’objectif fixé pour 2022 nécessitera d’aller encore plus loin.

    Sus à la fraude au travail détaché. Alors que la France accueille plus d’un demi-million de travailleurs européens censés cotiser dans leur pays d’origine au titre du « détachement », le gendarme de la fraude aux cotisations sociales peine à sévir en cas de fraude. Les chiffres publiés ce jeudi par l’Agence centrale des organismes de Sécurité (...)

    #En_vedette #Actualités_françaises

  • openSUSE Leap 15 est sortie !
    https://linuxfr.org/news/opensuse-leap-15-est-sortie

    Le vendredi 25 mai, lors de leur conférence annuelle, les membres du projet openSUSE ont annoncé la publication de la dernière version de Leap : openSUSE Leap 15 ! Leap est destiné aux utilisateurs soucieux de stabilité. openSUSE Leap 15, muni du noyau Linux 4.12, est un système d’exploitation sûr, stable et fiable. De la même manière que la série 42.x, des versions mineures seront publiées chaque année pendant 3 ans.lien n°1 : Communauté francophone openSUSElien n°2 : Portail openSUSE 15.0 sur opensuse.orglien n°3 : Release notes openSUSE 15.0lien n°4 : Obtenir openSUSE Leap 15Sommaire

    Nouveautés Le retour des Lives. Mise à jour des bureaux et changement de look Mode « serveur transactionnel »

    openSUSE dit adieu à SuSEfirewall2 SuSEfirewall2 vs. firewalld : quelles différences ?

    Autour de la distrisution. (...)

  • Le mai 68 des vieux fourneaux Le Grand soir - 30 janvier 2018 - Théophraste R. (Meneur d’hommes, âgés).
    https://www.legrandsoir.info/le-mai-68-des-vieux-fourneaux.html

    Trop de maltraitances, d’abandons, d’indifférences dans les maisons de retraite. Pour une question de gros sous.
    Les personnels et les vieux (personnes âgées, cheveux d’argent, oui, je sais) se révoltent.
    Allez, les ancêtres, debout (ceux qui le peuvent) ! Dans la rue sous vos casquettes et avec vos cannes. Sus à la préfecture, à Matignon, à l’Elysée, à Versailles, au MEDEF, avec vos panneaux : « Nous avons fait la richesse de ce pays ».

    Allez au contact des CRS : ils n’oseront pas vous frapper. S’ils s’y risquent, leurs mères vont se fâcher, leur dire de se démerder dorénavant tous seuls pour aller chercher leurs enfants à l’école. Elles vont s’accommoder en pénitence des graffitis « CRS, fils de putes » et les jeunes vont arracher les pavés.

    En avant pour votre dernier combat ! Le plus glorieux peut-être, le combat de la dignité. Face à un petit morveux quadragénaire dont le cœur est un coffre-fort qui lui été greffé chez Rothschild, imperméabilisé chez Hollande, ignifugé chez Valls.

    Allez, les vieux fourneaux, refaites-nous votre mai 68, en mieux ! Etonnez le monde !
    Théophraste R. (Meneur âgé).

    #gloup-gloup #ephad #hospices #mouroirs

  • En trente ans, près de 80 % des insectes auraient disparu en Europe

    http://www.lemonde.fr/biodiversite/article/2017/10/18/en-trente-ans-pres-de-80-des-insectes-auraient-disparu-en-europe_5202939_165

    Ce déclin catastrophique est dû à l’intensification des pratiques agricoles et au recours aux pesticides. Il menace la chaîne alimentaire.

    En moins de trois décennies, les populations d’insectes ont probablement chuté de près de 80 % en Europe. C’est ce que suggère une étude internationale publiée mercredi 18 octobre par la revue PLoS One, analysant des données de captures d’insectes réalisées depuis 1989 en Allemagne ; elle montre en outre que le déclin des abeilles domestiques, très médiatisé par le monde apicole, n’est que la part émergée d’un problème bien plus vaste. « Nos résultats documentent un déclin dramatique des insectes volants, de 76 % en moyenne et jusqu’à 82 % au milieu de l’été, dans les aires protégées allemandes, en seulement vingt-sept ans, écrivent Caspar Hallmann (université Radboud, Pays-Bas) et ses coauteurs. Cela excède considérablement le déclin quantitatif, estimé à 58 %, des vertébrés sauvages depuis 1970. » Le facteur majeur permettant d’expliquer un effondrement aussi rapide, avancent les auteurs, est l’intensification des pratiques agricoles (recours accru aux pesticides, aux engrais de synthèse, etc.).

    Formellement, les mesures publiées ne concernent que l’Allemagne. « Mais la France ou le Royaume-Uni ont des systèmes agricoles très semblables et qui utilisent les mêmes intrants qu’en Allemagne, explique Dave Goulson (université du Sussex, Royaume-Uni), coauteur de ces travaux. On ne peut pas l’affirmer, mais je dirais donc qu’il y a une bonne “chance” pour que l’Allemagne soit représentative d’une situation bien plus large. Si c’est effectivement le cas, alors nous sommes face à une catastrophe écologique imminente. » Cet effondrement rapide de l’entomofaune, préviennent en effet les chercheurs, a un impact de grande magnitude sur l’ensemble des écosystèmes – les insectes formant l’un des socles de la chaîne alimentaire.

    En France, de telles données n’ont pas fait l’objet de publication récente. Mais la Zone Atelier Plaine & Val de Sèvre du CNRS, une zone de recherche située dans les Deux-Sèvres, dispose d’un site sur lequel un suivi régulier est effectué depuis plus de deux décennies. « L’exemple que je donne souvent est celui des carabes, notamment l’espèce Poecilus cupreus, le plus abondant des milieux agricoles, puisque 70 % des individus capturés dans le cadre de notre suivi appartiennent à cette espèce, explique l’écologue Vincent Bretagnolle, chercheur (CNRS) qui travaille sur la Zone Atelier. Or, en nombre d’individus capturés, il a diminué de 85 % en vingt-trois ans. » Soit des chiffres plus alarmants encore que ceux publiés par Caspar Hallmann et ses coauteurs, à partir de données allemandes.

    « Gros travail statistique »

    Celles-ci forment la première évaluation du genre. « Généralement, ce type de travail est conduit sur un taxon, ou sur une espèce particulière, explique Bernard Vaissière (INRA), spécialiste de la pollinisation et des abeilles sauvages, qui n’a pas participé à ces travaux. Ici, c’est la première fois que l’évolution de la biomasse totale d’insectes est évaluée. C’est un travail solide, cohérent avec ce que nous savons sur certaines espèces, des papillons par exemple, mais le chiffre n’en est pas moins énorme. On m’aurait dit cela il y a dix ans, je ne l’aurais pas du tout cru. »

    Une grande part du travail des chercheurs a été de rassembler de nombreuses mesures d’abondance d’insectes réalisées entre la fin des années 1980 et 2016, dans 63 aires protégées d’Allemagne. Toutes ces mesures ont été faites grâce à des « tentes Malaise » (du nom de leur inventeur René Malaise) – des pièges non sélectifs utilisés par les entomologistes depuis près d’un siècle. « Les auteurs ont ensuite fait un gros travail statistique pour chercher des liens entre la diminution de l’abondance des insectes et différents facteurs comme la température, les sols, la biodiversité végétale sur le site, les changements du paysage environnant, explique Bernard Vaissière. Or ces facteurs interviennent localement, mais ne peuvent pas expliquer le déclin au cours du temps. »

    Intensification agricole

    Parfois, c’est même le contraire. En théorie, l’augmentation de la température est par exemple un facteur favorisant l’abondance d’insectes, et, depuis trente ans, les températures moyennes ont grimpé avec le changement climatique. Mais les insectes n’en disparaissent pas moins. « Notre analyse permet d’écarter certains facteurs, comme le changement climatique ou la perte de biodiversité végétale, qui sont parfois avancés pour expliquer le déclin des insectes », détaille M. Goulson. Enfin, la responsabilité des pathogènes naturels (virus, parasites, etc.) peut également être écartée puisque tous les insectes sont touchées par le déclin, quelle que soit leur espèce.

    Les changements de pratiques des agriculteurs forment donc, selon les chercheurs, l’explication la plus plausible à l’effondrement en cours. D’autant que 94 % des aires protégées sur lesquelles l’abondance d’insectes a été mesurée se trouvent au milieu de zones de cultures. En outre, écrivent les chercheurs, d’autres travaux récents mettent en évidence que « l’intensification agricole, dont la disparition des marges des parcelles et les nouvelles méthodes de protection des cultures sont associées à un déclin général de la biodiversité des plantes, des insectes, des oiseaux et d’autres espèces ».

    Parmi les « nouvelles méthodes de protection des cultures », le traitement par enrobage des semences, grâce aux fameux insecticides néonicotinoïdes, est le principal suspect. « Il existe une variété de moyens par lesquels ces substances peuvent passer des zones cultivées vers des zones sauvages et des aires protégées », confirme Alexandre Aebi, chercheur à l’université de Neuchâtel (Suisse). Une étude récente conduite par le chercheur suisse a montré, à partir d’un échantillonnage de 200 miels récoltés sur les cinq continents, que des résidus de néonicotinoïdes y étaient omniprésents. Or le miel, formé à partir du nectar des plantes mellifères, est un bon indicateur de l’imprégnation générale de l’environnement. « Nous avons relevé dans ces miels une teneur moyenne de 1,8 microgramme de néonicotinoïdes par kilo, précise M. Aebi. C’est plus de dix fois au-dessus du seuil à partir duquel des effets délétères sont documentés sur certains insectes… »

    L’existence d’effets à grande échelle ne serait donc pas étonnante. L’estimation du déclin reste, elle, frappante. « C’est la traduction chiffrée de ce que tout le monde peut remarquer en prenant sa voiture, conclut Vincent Bretagnolle. Il y a vingt ans, il fallait s’arrêter toutes les deux heures pour nettoyer son pare-brise tant les impacts d’insectes étaient nombreux, aujourd’hui ce n’est plus du tout nécessaire. »

  • Defend Israel’s anti-occupation group Breaking the Silence -

    Justice Minister Shaked is investigating the spokesman for the army veterans’ group for breaking the silence on what he did in Hebron – nobody else among the countless veterans who’ve told similar stories and worse, just him

    Iris Leal Jun 27, 2017
    read more: http://www.haaretz.com/opinion/.premium-1.797950

    I arrived at the train station in central Tel Aviv last Wednesday and, as usual, got lost. I was en route to the Palestinian village of Sussia to attend an unusual book launch for the Hebrew edition of “Kingdom of Olives and Ash,” a collection of essays about the occupation written by authors from around the world. The ceremony took place in the most appropriate possible place, a hut in a Palestinian village whose residents have been uprooted from their land seven times, while across the road the settlers of Jewish Susya lie in ambush for them night and day, casting covetous eyes on their land.
    As usual, I didn’t manage to find “Venice,” the bus rented by the Breaking the Silence organization, which was waiting at the entrance to the parking lot. A pleasant young man with a beard came to my rescue: Dean Issacharoff, as he introduced himself, the organization’s spokesman.
    The next day, two weeks after Justice Minister Ayelet Shaked urged the attorney general to open an investigation against him, the Hebron police rose to the challenge and, with permission from State Prosecutor Shai Nitzan, questioned Issacharoff at length under caution, as a suspect in a crime.
    Issacharoff, a former officer in the Nahal Brigade and a man of honor, did the deed that lies at the heart of the organization to which he belongs: He broke the silence. A video clip disseminated by a group called Reservists on Duty shows him telling about how, during his military service in Hebron, he beat a Palestinian who threw rocks at him. His testimony confirmed what everyone knows at differing levels of denial and self-deception: There is no sterile occupation. Violence is an inseparable part of our military presence in the territories.
    Shaked, who did everything she could to erase Breaking the Silence from our lives by passing legislation to harass left-wing organizations, found a roundabout way of abusing Issacharoff. She didn’t, heaven forbid, order investigations into the piles of complaints about attacks on Palestinians. She displayed no interest in other stories by soldiers about the violence that was an integral part of their military service. Instead, she targeted this case only and hastened to write the attorney general that “in light of the great importance I attributed to preserving Israel’s good name and that of Israel Defense Forces soldiers, I saw fit to ask you to look into the veracity of this incident. If it turns out to be true, the full force of the law must be applied immediately.”

  • A worthy sacrifice for a Judeo-Samarian
    Amira Hass Mar 09, 2017 1:47 AM
    http://www.haaretz.com/opinion/.premium-1.776072

    The demolitions of Palestinian structures are easy prey. The horns of the altar shout: More. Harder. Bigger. It is not enough to destroy, people must be evicted, driven out, uprooted.

    While you recite Emmanuel Levinas and boast of his being Jewish, and while you prepare the list of guests to invite to celebrate our passing from bondage to freedom, the Jewish high priest sharpens his knife. And while you update the anti-Semitism index with another shattered tombstone and read out poetry on Friday nights in Ashkenazi and Sephardi style, your smug faces are reflected in the gleaming blade. And while you beam with joy at the cleverness of the grandson and youngest daughter and book seats for a show in London, the blade moves closer to the neck of the victim tied on the altar in Amona.

    How can we appease you, Judeo-Samarian, how can we placate your wrath, god of vengeance, if not by destroying 10 times more and by the falsehood of symmetry. Kalansua. Umm al-Hiran. Issawiya. Beit Hanina. Jabal Mukkaber. But Moloch is not satiated. The demolitions there are easy prey. The horns of the altar shout: More. Harder. Bigger.

    The knife moves closer and closer, the blade is shining, the saliva is dripping. It is not enough to destroy, people must be evicted, driven out, uprooted. Moloch wants to see the children wet themselves at night, the women waking up in alarm, the shepherds impoverished and selling their goats to pay the court fee, the old men imagining the army loading them on trucks, while you board a plane for a trek in Chile.

    The newspaper reported: The Civil Administration converted the stop-work orders into demolition orders for some 150 structures in the Jahalin community in Khan al-Ahmar (the village whose school is made of tires). The newspaper also reported: The Civil Administration wants to gather all the Bedouin and settle them permanently on Area C in two or three townships. It also said: According to Israel’s laws these structures are illegal.

    The newspaper didn’t report that these are laws of evil and wickedness, which discriminate between one person’s blood and another’s, between one person’s child and another’s. These laws that have evicted the Jahalin time and again, restricted them, and allowed the children of Adumim who came dozens of years later to build and prosper. And now they have their eye on the Bedouin’s little huts as well.

    The newspaper will report: On Thursday the state prosecution will respond to the village of Sussia’s petition against the state’s intent to uproot it for the fourth or fifth time. It will probably say: The state insists on going ahead with its plan. The master plan the villagers proposed is unacceptable. The newspaper has already reported: The state knows it’s better for Sussia residents to move to a place near their brethren in the city of Yatta, with their power and water. The school will be close, and this proximity will empower the women. In secret ink it will say: Jews need living space and a view that’s cleansed of Arabs and a pleasant breeze blowing between the rocks and the vineyards, and this land will be only for us and our seed.

    This fact, too, wasn’t written in the newspaper: As a prelude to carrying out the court’s order – tearing down the Amona houses that were built in good faith and a pure soul on the enemy’s land – it was agreed and decided to sacrifice the Khan al-Ahmar community on the altar. Only its complete destruction will be accepted as a worthy offering.

    And on the way, we’ll teach the Supreme Court judges another lesson. Granted, they have never intervened to thwart our holy determination to deny the Bedouin water and power and building rights. But the judges have also ruled that houses should not be demolished as long as there’s no alternative. Now we’ll show them that it’s possible to destroy and uproot even without an alternative.

    Sussia and Khan al-Ahmar have become symbols of the struggle against the laws of wickedness, a subject of international interest and statements against forced uprooting, which is a war crime. When these communities are defeated and destroyed and torn out, we’ll prove that the world is good only at making statements.

    We will then find time for all the other communities we aim to wipe out. Arab a-Ramadin, Abu Qubeita, Khalet Hamad, Khatib on Hizme and dozens of other families and communities, for whom the knives are being sharpened. While you’re hurrying to a concert.

  • Nouvel appel à une réunion publique mardi 17 janvier pour la tenue du congrès du FN le 4 février prochain à Lyon
    https://rebellyon.info/Nouvel-appelle-a-une-reunion-publique-17370

    Ripostons le 4 Février lors du congrès du front national à Lyon, par une manifestation centrale. Plus que jamais ce parti est une menace, c’est lui qui impose son ordre du jour dans les débats houleux du monde politique dans lequel s’engouffre tous les partis électoralistes ! Plus que jamais, luttons contre tous les fascismes, qu’ils soient vêtus de costards ou de croix celtiques. Sus aux présidentielles, sus aux fascismes, 2017 n’aura pas lieu. Réunion publique : mardi 17 Janvier à 19H à la GRYFFE (5 rue Sébastien Gryffe).

    #Infos_locales

    / #Extrêmes_droites, Une

    • Une salle municipale a été réservée par le média d’extrême droite Breizh Info pour une conférence publique de Jean-Yves Le Gallou le 3 février 2017. La salle publique de la maison des syndicats servirait donc à Le Gallou et ses thèses sur l’immigration comme une catastrophe. L’ex du Club de l’Horloge, dirigeant du FN jusqu’en 1999, mène aujourd’hui la fondation Polemia, qui prétend « affirmer sans complexe la supériorité de la civilisation européenne » en s’adressant aux « Eurofrançais ». Inventeur du concept de « préférence nationale » désormais renommé « préférence de civilisation », ce grand défenseur de la race blanche est donc invité par le webmedia Breizh info qui parle des migrants comme des « partisans de la mort des Européens » en se demandant s’il est « humainement et juridiquement possible, demain, de couler les bateaux à destination de l’Europe ? »*

      Cette conférence se situe dans un contexte d’installation des groupuscules d’extrême droite radicale à Nantes : plusieurs attaques pendant la dernière année contre des lieux accueillant des migrant·es, plusieurs agressions contre les cortèges des manifestations contre la loi travail, et plus récemment création d’un GUD (Groupe union défense), groupuscule déjà interdit et connu notamment à Lyon et à Paris pour ses comportements violents.

      Johanna Rolland dit avoir commencé à militer quand elle était étudiante en science po à Lille, lors de manifestations pour la régularisation de sans-papiers. Maire de Nantes, elle offre donc quinze ans après une tribune à ces thèses racistes, qui plus est dans un lieu emblématique des luttes du mouvement ouvrier. Au nom de l’histoire syndicale, des mouvements d’émancipation et des principes de solidarité, c’est tout simplement insoutenable. Pour éviter des troubles et des confrontations créées par la présence de cette réunion publique il est encore temps de fermer la porte à cette exhibition d’un vieux cheval de l’extrême droite.

      La CNT demande l’annulation pure et simple de cette réservation de salle et s’associe aux autres syndicats pour que la municipalité social-démocrate refuse la banalisation du racisme.

      L’extrême droite n’a pas sa place à Nantes. Nous la combattrons par tous les moyens !

      * Interview de J.-Y. Le Gallou, 1er mars 2016
      #CNT Nantes
      http://www.cnt-f.org/ulnantes/spip.php?article139

  • How the #FDA Manipulates the Media
    http://www.scientificamerican.com/article/how-the-fda-manipulates-the-media

    The watchdogs are being turned into lapdogs. “Journalists have ceded the power to the scientific establishment,” says Vincent Kiernan, a science journalist and dean at George Mason University.

    (Avec une #énormité cependant:

    “I think it’s interesting and somewhat inexplicable, knowing journalists in general as being people who don’t like ceding power.”

    )

  • Condamnée à être expulsée de sa maison, elle s’installe à la CAF - La République des Pyrénées.fr
    http://www.larepubliquedespyrenees.fr/2016/02/29/sus-condamnee-a-etre-expulsee-de-sa-maison-elle-entame-une-g

    Lysiane Gilles a décidé ce lundi de s’installer dans les locaux de la #CAF de Pau pour entamer une grève de la faim. Privée de son #allocation_logement depuis un an, cette habitante de Sus est condamnée à être expulsée de sa maison.

    « Cela fait 22 ans que je vis dans cette maison et je n’ai jamais eu de problème ! » assure Lysiane Gilles, 54 ans. Elle se dit « au bout du rouleau » depuis que, le 20 janvier dernier, la justice a ordonné son #expulsion du logement qu’elle loue à Sus. Avec sa fille de 15 ans, cette mère de famille, bénéficiaire du #RSA, a décidé d’entamer une grève de la faim pour obliger la Caisse d’Allocations Familiales (CAF) à « débloquer sa situation ».
    Car pour cette dernière, cette situation est due à la suspension de son aide au logement depuis le 1er mars 2014 : une allocation qui était versée directement au propriétaire. Lysiane Gilles se retrouve désormais avec 7 754 € de #loyers_impayés même si elle dit avoir toujours réglé le résiduel.
    Son expulsion n’est pas pour autant justifiée par cette dette car, dans le même temps, le tribunal d’instance d’Oloron a ordonné au propriétaire de verser à la locataire 9 400 € de préjudice car la maison louée ne répondait pas « aux critères du logement décent ». La justice a prononcé la résolution du bail et donc l’expulsion de la mère de famille au motif qu’elle aurait fait des travaux dans la maison sans l’accord du propriétaire. Ce que Lysiane Gilles conteste formellement.
    Mise à jour à 15h30 : Lysiane Gilles a été reçue cet après-midi par la direction de la CAF. Dans l’attente d’une solution, elle est alors rentrée chez elle.

  • Burchard le retour : Sus aux Païens ! | Savoirs d’#Histoire
    https://savoirsdhistoire.wordpress.com/2015/12/30/burchard-le-retour-sus-aux-paiens

    Oyez vous-même la Question 62 : « As-tu observé les calendes de janvier selon les rites des païens, c’est-à-dire que tu as fait davantage pour le nouvel an que ce que tu as l’habitude de faire avant ou après, à savoir : préparer la table de ta maison en disposant des pierres ou un festin ; conduire par les rues et les places des chanteurs et des danseurs ; t’asseoir sur le toit de ta maison et tracer un cercle avec ton épée afin de voir et de connaître ce qui t’arrivera dans l’année nouvelle ; t’asseoir à la croisée des chemins sur une peau de taureau pour deviner l’avenir ; cuire du pain pour toi-même, de telle sorte que s’il lève bien et devient dense et haut, tu en déduis la prospérité pour ta vie durant cette nouvelle année ? Si oui, parce que tu as abandonné Dieu ton créateur, que tu t’es converti aux vaines idoles et que tu es devenu apostat, tu feras pénitence deux ans aux jours établis ». Apostasie, pas de miséricorde ! Alors simplement cette année, évitez les décorations de table champêtres à base de cailloux du jardin et allez acheter votre bricheton, de toute façon on ne joue pas avec la nourriture. Pour ce qui est d’aller faire l’andouille sur le toit ou du camping sauvage en plein carrefour, je suis d’accord avec vous, c’est regrettable.

  • J’ai fait avec Mosquito le site d’Avec-Vous Design (avec qui on travaille régulièrement sur les installations d’écrans interactifs) :
    http://www.avecvousdesign.com/spip
    http://www.avecvousdesign.com/spip/S-21-Fontainebleau

    C’est #SPIP #HTML5 #responsive évidemment.

    À noter :

    – le menu de navigation déclenché par un menu hamburger (en haut à gauche), qu’on privilégie désormais (malheureusement encore beaucoup de clients n’en veulent pas en grand écran) ; ici particularité : le logo de la boîte qui slide vers le haut du menu de navigation en changeant de largeur ;

    – dans le slider de page d’accueil (oui, je sais…), le petites transitions CSS qui provoquent l’apparition du texte, c’est assez mignon comme trouvaille,

    – pas mal de boulot sur les pages du « portfolio » :
    http://www.avecvousdesign.com/spip/TMT-Francois-Xavier
    l’image en plein écran en haut de page évidemment, mais surtout les deux colonnes qui scrollent de manière différenciée (à gauche le texte, à droite les images), de façon à démarrer et terminer en même temps le scroll (généralement : la colonne d’image scrolle moins vite que la colonne de texte). Pas évident à régler… (sur petit écran, présentation différente avec un pavé d’images en bas de page).

    – la présentation des rubriques de portfolio (les carrés qui s’animent, la sélection de sous-rubriques dans la même page…) :
    http://www.avecvousdesign.com/spip/Portfolio

    – sur la page « Actualités », en mode #longform :
    http://www.avecvousdesign.com/spip/Actualites
    La présentation de plusieurs images successives sur la même ligne (ou plusieurs lignes selon la taille de l’écran).

    • C’est joli et très clair, super. :)

      Mais :

      malheureusement encore beaucoup de clients n’en veulent pas en grand écran

      Et ils ont raison !

      Masquer le menu principal dès le départ, c’est une mauvaise pratique ergonomique. Et apparemment les dernières études utilisateurs ont fait re-changé l’ergonomie de nombreux gros acteurs du web (qui, c’est certain, sont assez bien informés vu le retour sur investissement qu’ils cherchent, et qu’ils font tous très attention au moindre changement d’interface) pour revenir à afficher au moins les entrées principales les plus importantes dès le départ SANS hamburger, directement visibles, et cela y compris en mobile tout petit écran. FB, Google, Twitter, Airbnb et plein d’autres sont tous revenus a des menus directement visible pour les entrées principales…

      Donc c’est exactement l’inverse que l’état actuel des connaissances (et des utilisateurs, car les utilisateurs changent évidemment) conseille actuellement :
      1) bien garder le menu principal visible en grand écran (au moins les entrées principales) sans rien avoir à cliquer
      2) le garder aussi en petit écran, au moins pour les 3/4/5 entrées principales

      Quand il y a beaucoup d’entrées (ce qui n’est pas le cas de ton site là) la solution est d’afficher 3 ou 4 choses plus un dernier bouton « more » (que ce soit un hamburger, trois petits points horizontaux ou verticaux, ou un mot « more », « plus »…)

      http://seenthis.net/messages/397625
      +
      http://seenthis.net/messages/258219

      Et au passage, quand on utilise un bouton de menu et qu’il n’est pas dans une barre de menus avec plusieurs entrées (ce qui permet de deviner que tous les éléments de la même barre sont cliquables), les tests utilisateurs montrent apparemment que l’icône hamburger seule est très mal comprise :
      http://seenthis.net/messages/241675

      Et que ce qui compte c’est :
      1) avoir un fond ou des bordures qui permettent de deviner que c’est un bouton cliquable (la bordure augmente beaucoup les clics)
      2) avoir un mot « menu », avec ou sans icône, augmente encore beaucoup plus les clics : l’icône hamburger peut alors décorer en plus le mot, mais c’est juste une déco, l’important étant d’avoir un vrai mot

      | ≡ Menu |

      (et donc @visionscarto n’est pas super de ce point de vue là non plus :D)

    • Hello @arno, dis moi, ton truc de « synchronisation du scroll entre deux colonnes », à tout hasard, l’aurais-tu codé dans une fonction un peu générique ? Est-ce qu’on peut l’appliquer à n’importe quelle paire de colonnes côte à côte ?

      J’utilise Sticky Kit, qui fait un truc similaire mais pas pareil : ça fait devenir « fixed » la colonne la plus petite le temps qu’elle rattrape l’autre, puis ça s’arrête.
      http://leafo.net/sticky-kit

      Mais toi ta méthode c’est de faire un effet de ralentissement du scroll sur la plus petite colonne, je trouve ça plus sobre et plus discret.

      Yorait moyen d’en faire une lib générique, tu penses ?

  • Non à la destruction du village de Susiya en Palestine - [UJFP]
    http://www.ujfp.org/spip.php?article4301

    Non à la destruction du village de Susiya en Palestine
    dimanche 19 juillet 2015 par Plateforme des ONG françaises pour la Palestine

    Le village de Susiya en Palestine est menacé de démolition par les autorités israéliennes pour forcer les habitants à partir.
    L’histoire du village de Susiya est l’histoire de nombreuses communautés palestiniennes en Cisjordanie.
    A travers la mise en œuvre de lois d’aménagement du territoire, les autorités israéliennes recourent depuis des années à différents moyens pour forcer les habitants à partir.

    Écrivons à Laurent Fabius, Ministre des Affaires étrangères, pour que la France fasse pression sur Israël pour arrêter l’expulsion.

    Signez et partagez cette pétition proposée par la Plateforme Palestine en cliquant ici

    #SaveSusiya - Stoppons l’expulsion !

    https://www.change.org/p/monsieur-laurent-fabius-savesusiya-stoppons-l-expulsion#petition-letter

  • La mairie de Madrid crée un site destiné à signaler les erreurs des journalistes
    http://www.lemonde.fr/europe/article/2015/07/16/la-mairie-de-madrid-cree-un-site-destine-a-corriger-les-erreurs-des-journali

    La mairie de Madrid, dirigée depuis un mois par une plate-forme citoyenne intégrant le parti antilibéral Podemos, a lancé un site Internet qui répertorie les erreurs contenues dans les articles de presse. Une initiative largement décriée par l’opposition conservatrice et par les associations de journalistes, qui dénoncent une atteinte à la liberté de la presse.

    #madrid #espagne #podemos #journalisme

    • Madrid Versión Original es uno de los canales del Ayuntamiento de Madrid que ofrecen información sobre la actividad municipal directamente a la ciudadanía. Esta web, creada por la Dirección General de Comunicación del Ayuntamiento de Madrid, permite a la ciudadanía y a los medios de comunicación encontrar la información original que dio lugar a una noticia que en su recorrido se ha modificado y contiene afirmaciones inexactas o matizables. Se trata de una web basada en datos contrastables y oficiales y por este motivo no está abierta a comentarios ni es un espacio de debate.

      La página está a disposición de todos los grupos municipales con el fin de asegurar una información municipal completa, veraz y transparente. Madrid V.O. cuenta además con la participación ciudadana a través de una dirección de correo a la que se pueden enviar dudas sobre informaciones supuestamente erróneas, aclaraciones y sugerencias (madridvo@madrid.es). Sus contenidos podrán seguirse en Twitter (@MadridVO).

      http://madridvo.madrid.es/index.php/madridvo-que-es

    • Le besoin de vérité est plus sacré qu’aucun autre. Il n’en est pourtant jamais fait mention. On a peur de lire quand on s’est une fois rendu compte de la quantité et de l’énormité des faussetés matérielles étalées sans honte, même dans les livres des auteurs les plus réputés. On lit alors comme on boirait l’eau d’un puits douteux.
      Il y a des hommes qui travaillent huit heures par jour et font le grand effort de lire le soir pour s’instruire. Ils ne peuvent pas se livrer à des vérifications dans les grandes bibliothèques. Ils croient le livre sur parole. On n’a pas le droit de leur donner à manger du faux. Quel sens cela a-t-il d’alléguer que les auteurs sont de bonne foi ? Eux ne travaillent pas physiquement huit heures par jour. La société les nourrit pour qu’ils aient le loisir et se donnent la peine d’éviter l’erreur. Un aiguilleur cause d’un déraillement serait mal accueilli en alléguant qu’il est de bonne foi.
      À plus forte raison est-il honteux de tolérer l’existence de journaux dont tout le monde sait qu’aucun collaborateur ne pourrait y demeurer s’il ne consentait parfois à altérer sciemment la vérité.
      Le public se défie des journaux, mais sa défiance ne le protège pas. Sachant en gros qu’un journal contient des vérités et des mensonges, il répartit les nouvelles annoncées entre ces deux rubriques, mais au hasard, au gré de ses préférences. Il est ainsi livré à l’erreur.
      Tout le monde sait que, lorsque le #journalisme se confond avec l’organisation du mensonge, il constitue un crime. Mais on croit que c’est un crime impunissable. Qu’est-ce qui peut bien empêcher de punir une activité une fois qu’elle a été reconnue comme criminelle ? D’où peut bien venir cette étrange conception de crimes non punissables ? C’est une des plus monstrueuses déformations de l’esprit juridique. Ne serait-il pas temps de proclamer que tout crime discernable est punissable, et qu’on est résolu, si on a en l’occasion, à punir tous les crimes ?
      Quelques mesures faciles de salubrité publique protégeraient la population contre les atteintes à la vérité.
      La première serait l’institution, pour cette protection, de tribunaux spéciaux, hautement honorés, composés de magistrats spécialement choisis et formés. Ils seraient tenus de punir de réprobation publique toute erreur évitable, et pourraient infliger la prison et le bagne en cas de récidive fréquente, aggravée par une mauvaise foi démontrée.
      Par exemple un amant de la Grèce antique, lisant dans le dernier livre de Maritain : « les plus grands penseurs de l’antiquité n’avaient pas songé à condamner l’esclavage », traduirait Maritain devant un de ces tribunaux. Il y apporterait le seul texte important qui nous soit parvenu sur l’esclavage, celui d’Aristote. Il y ferait lire aux magistrats la phrase : « quelques-uns affirment que l’esclavage est absolument contraire à la nature et à la raison ». Il ferait observer que rien ne permet de supposer que ces quelques-uns n’aient pas été au nombre des plus grands penseurs de l’antiquité. Le tribunal blâmerait Maritain pour avoir imprimé, alors qu’il lui était si facile d’éviter l’erreur, une affirmation fausse et constituant, bien qu’involontairement, une calomnie atroce contre une civilisation tout entière. Tous les journaux quotidiens, hebdomadaires et autres, toutes les revues et la radio seraient dans l’obligation de porter à la connaissance du public le blâme du tribunal, et, le cas échéant, la réponse de Maritain. Dans ce cas précis, il pourrait difficilement y en avoir une.
      Le jour où Gringoire publia in extenso un discours attribué à un anarchiste espagnol qui avait été annoncé comme orateur dans une réunion parisienne, mais qui en fait, au dernier moment, n’avait pu quitter l’Espagne, un pareil tribunal n’aurait pas été superflu. La mauvaise foi étant dans un tel cas plus évidente que deux et deux font quatre, la prison ou le bagne n’auraient peut-être pas été trop sévères.
      Dans ce système, il serait permis à n’importe qui, ayant reconnu une erreur évitable dans un texte imprimé ou dans une émission de la radio, de porter une accusation devant ces tribunaux.
      La deuxième mesure serait d’interdire absolument toute #propagande de toute espèce par la radio ou par la presse quotidienne. On ne permettrait à ces deux instruments de servir qu’à l’information non tendancieuse.
      Les tribunaux dont il vient d’être question veilleraient à ce que l’information ne soit pas tendancieuse.
      Pour les organes d’#information ils pourraient avoir à juger, non seulement les affirmations erronées, mais encore les omissions volontaires et tendancieuses.
      Les milieux où circulent des idées et qui désirent les faire connaître auraient droit seulement à des organes hebdomadaires, bi-mensuels ou mensuels. Il n’est nullement besoin d’une fréquence plus grande si l’on veut faire penser et non abrutir.
      La correction des moyens de persuasion serait assurée par la surveillance des mêmes tribunaux, qui pourraient supprimer un organe en cas d’altération trop fréquente de la vérité. Mais ses rédacteurs pourraient le faire reparaître sous un autre nom.
      Dans tout cela il n’y aurait pas la moindre atteinte aux libertés publiques. Il y aurait satisfaction du besoin le plus sacré de l’âme humaine, le besoin de protection contre la suggestion et l’erreur.
      Mais qui garantit l’impartialité des juges ? objectera-t-on. La seule garantie, en dehors de leur indépendance totale, c’est qu’ils soient issus de milieux sociaux très différents, qu’ils soient naturellement doués d’une intelligence étendue, claire et précise, et qu’ils soient formés dans une école où ils reçoivent une éducation non pas juridique, mais avant tout spirituelle, et intellectuelle en second lieu. Il faut qu’ils s’y accoutument à aimer la vérité.
      Il n’y a aucune possibilité de satisfaire chez un peuple le besoin de vérité si l’on ne peut trouver à cet effet des hommes qui aiment la vérité.

      #éditocrates
      http://classiques.uqac.ca/classiques/weil_simone/enracinement/weil_Enracinement.pdf

    • Ah tiens, ça fait penser à cet article du figaro lu hier,
      http://www.lefigaro.fr/politique/le-scan/2015/07/16/25001-20150716ARTFIG00240-la-laborieuse-consultation-du-patrimoine-des-parl où des journalistes qui essaient d’accéder au patrimoine des parlementaires, en l’occurence Balkany, qui effectivement y arrivent mais n’ont pas le droit d’en parler !!
      Voila, c’est assez comique de voir la mairie de Barcelone taxée en quelque sorte du fascisme orwellien du #ministère_de_la_vérité quand on voit que l’inversement des valeurs n’est bien entendu pas du côté de ceux qui sont critiqués mais de ceux qui se servent de la démocratie pour forcer le pouvoir. Ici les parlementaires français qui votent une loi de transparence sans aucune transparence. #transparence_mon_cul

      Ce salopard de Staline fait payer cher l’amalgame de son fascisme communiste avec l’organisation politique du peuple.

    • J’ai lu hier que pour avoir accès au détail du patrimoine des parlementaires, #c'est_pas_de_la_tarte
      http://rue89.nouvelobs.com/2015/07/16/defi-lete-aussi-consultez-les-patrimoines-elus-260305

      Les parlementaires ont réussi à échapper à cette publication : leurs déclarations ne sont que consultables. Gare à celui qui en divulguera la teneur ! Il risque 45 000 euros d’amende.

      Comment savoir ce que possède votre député ou sénateur ? Vous pouvez d’abord consulter le site de la HATVP pour s’assurer que sa déclaration est disponible. Il vous faut alors appeler le numéro de téléphone de la préfecture concernée.

      Après avoir bravé le répondeur téléphonique (« Pour la carte grise, tapez 1 »), vous prendrez rendez-vous avec une personne (généralement du bureau des élections) en donnant la liste des élu(e)s dont vous souhaitez examiner les déclarations. Il vous faudra alors justifier de votre identité (pièce d’identité) et de votre inscription sur les listes électorales. Cela peut se faire avec une carte d’électeur (l’original) ou une attestation d’inscription sur les listes électorales que vous pouvez demander à votre commune.

      Qu’allez-vous trouver ? Le patrimoine se compose de biens immobiliers, des valeurs mobilières, des comptes bancaires, des assurances vie, des véhicules, et enfin des emprunts et dettes. Attention, on ne plaisante pas, il est interdit de « reproduire, photographier ou copier » le document consulté.

      Pour en revenir à la Mairie de Madrid, puisque ce sont des journalistes qui sont visés, il y a une presse de gauche dans laquelle la maire ou ses sympathisant·es doivent pouvoir s’exprimer pour rétablir la vérité. Sur @seenthis nous sommes tout un tas d’individus aux parcours distincts qui trions, relayons, croisons et confrontons les infos récoltées ici et là pour essayer d’approcher au mieux la « vérité » en donnant une large place au débat. Personnellement je trouve ça nettement plus sain et démocratique que de l’institutionnaliser (la vérité, sans possibilité de débattre).

    • Oui @odilon, pour ton parallèle, car seenthis permet par exemple de #sourcer ou de resituer le contexte, B.A.BA du journalisme ou de la sociologie pour savoir qui parle et d’où, cf l’article de libé qui omet de dire qui est Jeffrey Sachs ! http://seenthis.net/messages/390400#message390440 mais surtout de croiser de façon créative des perspectives, ce qui fait que nous pouvons sortir de l’aspect informationnel (cf #information=ordre chez Deleuze http://seenthis.net/messages/367172 ).

      Au final, ce qui est sous jacent c’est que le #journalisme continue de perdre son crédit à force de n’être qu’un transmetteur sans réflexion. #dépêches

      Mais attaquer le site de la mairie de barcelone sous prétexte de liberté de la presse, je doute de l’argument. A chacun, comme toujours, de se faire son idée, tant que la censure n’est pas à lœuvre pour interdire une parution, ce n’est qu’une source supplémentaire pour croiser des dires.

    • Merci @touti pour ce dernier lien que je n’avais pas vu. Je suis bien d’accord qu’il ne s’agit pas d’atteinte à la liberté d’expression, le compliment pourrait d’ailleurs être retourné. Et je comprends bien la tentation. Mais je ne sais pas si c’est le rôle d’une collectivité locale de se lancer dans ce genre de dénonciation quand par ailleurs, la ville doit avoir déjà son site et son journal d’infos pour exposer ses projets en toute transparence. Je ne suis pas convaincue que ça rende le journalisme bas de gamme plus éthique. Bon, je reste réservée :)

  • Israeli colonialism, plain and simple
    In two court decisions involving shoving Palestinians off their land, Supreme Court justices have confirmed what Israel’s critics are saying: that Israel has been a colonialist entity since 1948.
    By Amira Hass | May 11, 2015 | Haaretz
    http://www.haaretz.com/news/diplomacy-defense/.premium-1.655812

    There is a straight line connecting the Palestinian village of Sussia in the southern West Bank and Atir/Umm al-Hiran, a Bedouin community in the Negev. This was highlighted last week by the justices of the Supreme Court. These are two communities of Palestinians that the Jewish state expelled from their homes and land decades ago, and whose families have lived ever since in “unrecognized” villages in shameful humanitarian conditions, forced on them by the Israeli government. One community settled on its agricultural land and the other in an area that the government moved them to during the early years of the state, when the Arabs citizens were under military rule.

    These are two Palestinian communities that Israel is depriving of their planning rights. Instead, it demands of them to crowd in the pales of settlement it has allotted to them, so Jews can fulfill and rejoice and thrive in their new and expanding suburban fantasies.

    The justices have allowed the state to demolish these two Palestinian communities, which are just 25 kilometers (15.5 miles) apart, but are separated by Israel’s 1967 border, the Green Line. On May 4, Justice Noam Sohlberg allowed the state, the Israel Defense Forces and the IDF Civil Administration to demolish Sussia’s tents, tin shacks and livestock pens as they see fit. The community petitioned against the Civil Administration’s decision to reject the master plan it had prepared, and what would be more natural than to stop home demolitions while the hearing of its case was still going on? But without a hearing, Sohlberg rejected the request filed by the community’s representatives – lawyers of Rabbis for Human Rights – for an interim injunction suspending implementation of demolition orders.

    The Civil Administration is demanding that the residents of Palestinian Sussia relocate close to the West Bank Palestinian town of Yata, purportedly for their own good. Yata is in Area A, an enclave under the control of the Palestinian Authority. In other words, the CA intends to squeeze Sussia in one of the West Bank’s Bantustans, as it does and intends to do with Bedouin and other Palestinians who live in Area C, under total Israeli control.

    In good faith?

    Next to the tin shacks of today’s Palestinian Sussia (after the army expelled the residents of their ancient village in 1986 and turned it into an archaeological site where Jews could celebrate), Jewish Susya now wallows in its greenery and abundance. After all, it has to grow and doesn’t want to see Arabs living in shacks and buying water at exorbitant prices from tanker trucks.

    Can a judge who permits demolition work to be carried out as an interim step then in good faith consider a petition challenging the residents’ final expulsion? And is it relevant that Sohlberg is a resident of a West Bank Jewish settlement?

    It is no more and no less relevant than the fact that the other justices of the Supreme Court and their families, and every other Jewish Israeli (including myself), are entitled at any time to move to a West Bank Jewish settlement, and that they – we – live on the Israeli side of the Green Line in manicured neighborhoods for Jews only and in some instances on land from which Palestinians were expelled 65 years ago or yesterday.

    On May 5, two other Supreme Court justices, Elyakim Rubinstein and Neal Hendel, allowed the authorities to demolish the unrecognized village of Atir/Umm al-Hiran. In the face of opposition from their fellow justice, Daphne Barak-Erez, they dismissed a petition filed by the Adalah Legal Center for Arab Minority Rights in Israel that challenged the state’s decision to expel the residents for a second time, from the location to which they were expelled in the 1950s. Go to Hura, the state tells them, and the justices agree – to that Bedouin township that, like similar townships, was designated to condense Bedouins after their primary expulsion from their land. After all, how can we set up expansive farms for Jews and build pioneering communities such as Hiran if we recognize the Bedouin as citizens with rights, history and heritage?

    The honorable justices were ingratiating Habayit Hayehudi even before this party was selected as the fox that guards the hen-house – through its appointment of Uri Ariel as the agriculture minister (who is in also in charge of Bedouin affairs) and Eli Ben-Dahan as a deputy defense minister responsible for the Civil Administration (which carries out the expulsion of Palestinians and the settlement of Jews in the West Bank). Don’t worry, you folks at the Jewish Home, we support the right of Jews to disposes Palestinians in Area C and the Negev, so say the judges. We, like you, are in favor of crowding the Arabs into Bantustans.

    Even before the Supreme Court justices knew that Ayelet Shaked (Habayit Hayehudi) would be the next justice minister, even before they knew that her mentor, party leader Naftali Bennett, would be entrusted with the education of our children as education minister, they were telling us in a loud voice that the justices’ reputation was not what people feared, that the right wing has unjustly portrayed them as a monster seeking equality and justice. The justices had proven that their image as defenders of human rights, even if those humans were Palestinians or left-wing, had been totally twisted.

    Just weeks before, on April 15, they had enthusiastically embraced the Boycott Law. That’s the law through which the right wing is threatening with financial penalties left-wing Israeli dissidents who publicly support sanctions on Israel and a boycott of its institutions and settlement products, as part of the struggle against institutionalized inequality and discrimination.

    That very day, the justices endorsed the law that permits Israel to rob land owned by residents of Bethlehem, Beit Sahur, Beit Jala and Abu Dis. The land is where it has always been since before it was annexed to Israeli-ruled Jerusalem. Its owners remain living where they always did – a few kilometers away from their private land. But now the state declares them “absentees”: beyond the separation barrier.

    The justices dismissed the petition challenging the application of the Absentee Property Law in their case, thus continuing the tradition from the 1950s. That is when we coined the oxymoron “present absentees” in order to facilitate the demolition of villages and robbery of land of Palestinians that remained, those that we failed to expel.

    In the justices’ consent to the demolition of Sussia and Umm al-Hiran, they have drawn a direct line linking 1948 to today. They have confirmed what Israel’s most virulent critics say about the country – that it is a colonialist, dispossessing entity. The justices have parroted what the state has been screaming all along: It’s my right to dispossess, my right to expel, my right to demolish and crowd people into pens. I have demolished and will continue to do so. I have expelled and will continue to expel. I have crowded people in and will continue to do so. I never gave a damn and never will do.

  • Israel seeks to demolish Palestinian village on ‘archaeological’ grounds - Diplomacy and Defense - Israel News | Haaretz
    http://www.haaretz.com/news/diplomacy-defense/.premium-1.649340

    The state has asked the High Court of Justice for permission to demolish the ancient Palestinian village of Sussia and relocate its residents to Yatta, near Hebron, allowing for more archaeological work at the site.

    The government’s intent was noted in a response to the High Court of Justice regarding a petition filled by Sussia residents and human rights organizations about a year ago.

    Before this petition was filed, an additional petition was filed by the Regavim organization, funded by settler-group Amana and regional authorities in the West Bank, calling for Palestinian “illegal outposts” in Sussia to be demolished.

    The state opposed the court’s temporary injunction against demolition, despite the fact it often supports such temporary injunctions when they are made against illegal Jewish outposts.

    Just last month, the government approved such a temporary injunction against the demolition of two structures in the Beit El settlement, after the High Court had already made a ruling.

    The petition criticizes decisions made by the Civil Administration’s planning committee to reject an alternate plan suggested by Sussia residents, stating that the relocation to Yatta is in their best interest. The residents’ petition also seeks to cancel 64 separate demolition orders against all of the 100-or-so structures in the village. Alternatively, the residents ask that the Civil Administration offer a different solution that would allow them to continue living on the land, which they own.

    Attorney Kamar Mishraki-Asad, representing the Sussia residents, told Haaretz, “It’s incredible, but with the settlements, it was already ruled that Sussia land is privately owned and thousands of dunams of land in the area are privately owned by Palestinians. Despite this, for many years the army has prohibited residents from setting up their homes in the area, and has rejected any request for construction or planning permits, in order to keep them away from the Sussia settlement and to allow the settlers to continue seizing the agricultural lands, and expel the residents to Areas A and B.

  • Le sort des habitants du village de Susya, au... - Les chemins d’Hébron

    https://www.facebook.com/permalink.php?story_fbid=509893595732026&id=105281509526572

    Le sort des habitants du village de Susya, au sud du district d’Hébron, menacé par la colonisation israélienne est évoqué dans “Les chemins d’Hébron - un an avec le CICR en Cisjordanie” en son chapitre 19 “Sara ne quittera pas Susya”. L’ONG Breaking the Silence en parle dans un reportage publié récemment.

    Disconnected from all basic infrastructure, including running water and electricity, the people of the Palestinian village of Susya are struggling against ongoing attempts by the Israeli government or army to dispossess them from their lands. The legal discussions on the future of Susya are still in process in the Israeli Supreme Court, where the extreme right-wing organization “Regavim” is advocating for the entire village to be demolished. Join our next tour to Susya—> http://bit.ly/HyXzLb Read more about Regavim—> http://bit.ly/16LjjlU Read more about Susya—> http://thebea.st/PtVbsy (Picture by Jorge Rojas, one of the many international visitors that joined us for a guided tour in South Hebron Hills).
    Disconnected from all basic infrastructure, including running water and electricity, the people of the Palestinian village of Susya are struggling against ongoing attempts by the Israeli government or army to dispossess them from their lands.
    The legal discussions on the future of Susya are still in process in the Israeli Supreme Court, where the extreme right-wing organization “Regavim” is advocating for the entire village to be demolished.

    Join our next tour to Susya—>
    http://bit.ly/HyXzLb

    Read more about Regavim—>
    http://bit.ly/16LjjlU

    Read more about Susya—>
    http://thebea.st/PtVbsy

    (Picture by Jorge Rojas, one of the many international visitors that joined us for a guided tour in South Hebron Hills).

    #palestine #occupation #bédouins

  • Sus aux virus ! par Tomjo
    http://cqfd-journal.org/Sus-aux-virus

    Les derniers développements en matière de cybersécurité sont en train de ringardiser Matrix. Avec la bénédiction de pouvoirs publics disposés, dans ce domaine, à desserrer les cordons de la bourse.

    « Comment la France doit-elle faire pour se préparer contre un cyber-11-Septembre ? », s’est alarmé le député Eduardo Rihan Cypel lors du Forum international de la cybersécurité (FIC) des 28 et 29 janvier, à Lille.

  • Los médicos de Madrid se plantan con una dimisión masiva | Madrid | EL PAÍS
    http://ccaa.elpais.com/ccaa/2012/12/20/madrid/1356012619_886592.html

    El mismo día en que la mayoría absoluta del PP votaba a favor de las cuentas que prevén la privatización de seis hospitales inaugurados en 2008 y 27 centros de salud, los sanitarios se plantaban con una medida de presión que podría paralizar la organización de los 270 ambulatorios de la región. Sus equipos directivos dimitirán en bloque para tratar de evitar las privatizaciones.

    Démission des équipes dirigeantes des 6 hôpitaux et 27 centres de soins dont la privatisation de la gestion a été votée hier par le Conseil régional de la région de Madrid. Ils présenteront leur démission le 27/12 avec effet le jour de la publication des appels d’offres aux futurs gestionnaires privés.

    En 3 semaines de grève, 31.000 consultations reportées et 5.000 interventions chirurgicales non effectuées.

    Vous en avez entendu parler dans vos journaux ? Je viens de faire une recherche sur LeMonde.fr avec le mot clé Madrid : absolument RIEN…

  • France : Sus à l’orthodoxie budgétaire défendue par la Cour des comptes ! - El Correo
    http://www.elcorreo.eu.org/France-Sus-a-l-orthodoxie-budgetaire-defendue-par-la-Cour-des-comptes

    Au lieu de prendre la dette publique pour ce qu’elle est (une conséquence de la crise), ils la présentent comme la cause de tous les maux. A la façon du funeste médecin de Molière, ils préconisent la saignée : l’austérité généralisée. Cette austérité tant budgétaire que salariale plonge la zone euro dans la récession et menace d’y entraîner le monde.

    La récession n’engendre pas seulement contraction du pouvoir d’achat, explosion du chômage et de la pauvreté, elle entraîne également une chute des recettes fiscales, de sorte que déficits et dette publics ne se réduisent pas. Ce qui est « gagné » d’un côté (par la réduction des dépenses) est perdu de l’autre (par la chute des recettes). Qu’importe : puisqu’ils ne se réduisent pas, il faut aller encore un peu plus loin. La spirale est absurde : les politiques d’austérité plombent la croissance, donc creusent le déficit, ce qui justifie de nouvelles politiques d’austérité, et ainsi de suite.

  • NO TAV : monstre manif’ au Val de Suse
    https://www.lereveil.ch/contrib/no-tav-monstre-manif-au-val-de
    « Les estimations du nombre de participants sont hasardeuses (75’000 selon les organisateurs, 15’000 selon la police...), toujours est-il que c’est en masse que se sont déplacés les opposants au train à grande vitesse (TAV) censé traverser le Val de Suze pour relier l’Italie à la France, en ce samedi 25 février. Chars, banderoles, fanfares et sound systems ont égayé le cortège sur les 8 kilomètres que durait cette marche contestataire, entre les villages de Bussoleno et Susa. Un soleil de plomb et une chaleur estivale ont contribué à réchauffer les coeurs et à motiver les troupes. Les slogans et banderoles appelaient également à la libération des activistes emprisonnés. Le cortège s’est terminé à Susa où des discours ont été prononcés, et où le drapeau italien de la place de la gare a été symboliquement remplacé par un drapeau NO TAV sous les applaudissements (voir les photos). »
    #no_tav #val_susa #italie