city:tel-aviv

  • Les Palestiniens auteurs des récentes attaques influencés par l’EI ?
    Antoine AJOURY | OLJ | 15/07/2016
    http://www.lorientlejour.com/article/996422/les-palestiniens-auteurs-des-recentes-attaques-influences-par-lei-.ht

    Rumeurs ou réalité ? Un nouvel acteur vient d’entrer en scène dans le conflit israélo-palestinien : le groupe jihadiste État islamique (EI). Le Shin Beth, le service de sécurité intérieure israélien, a révélé la semaine dernière que deux Palestiniens auteurs d’un attentat meurtrier dans un quartier animé de Tel-Aviv, durant le mois du ramadan, ont été inspirés par l’EI.
    Les assaillants, les cousins Makhamrah, « ont commis l’attaque en étant inspirés par l’EI, sans pour autant rejoindre formellement ce groupe ou recevoir de l’aide ou des instructions de sa part », a ainsi déclaré dans un communiqué le Shin Beth, ajoutant que les deux jeunes avaient pris des photos d’eux-mêmes avec le drapeau de l’EI en arrière-plan.
    (…) Résistance vs terrorisme
    « Les responsables israéliens se sont toujours efforcés d’associer la violence palestinienne au terrorisme mondialisé afin de délégitimer la lutte du peuple palestinien pour ses droits nationaux. Le discours actuel d’Israël sur les Palestiniens jihadistes ne diffère pas fondamentalement des assimilations de Yasser Arafat à Oussama Ben Laden exprimées par le Premier ministre Ariel Sharon en septembre 2001 », affirme Jean-Pierre Filiu, professeur à l’université Sciences Po à Paris et spécialiste du jihadisme.
    Pour Jean-Paul Chagnollaud, spécialiste de la question palestinienne, « il n’y a pas de lien structurel entre les attaques palestiniennes et l’appel de l’EI. Qu’il y ait quelques Palestiniens qui s’inspirent de la propagande de l’EI est possible. Il est aussi évident que l’EI cherche à instrumentaliser ces actes en sa faveur ». Selon lui, « nous sommes dans une situation comme nous en avons bien connu auparavant, des moments de violence, faits par de très jeunes Palestiniens qui n’appartiennent à aucun mouvement politique, encore moins à l’EI. Ce n’est même pas une intifada, puisqu’il s’agit de jeunes désespérés qui prennent eux-mêmes une initiative individuelle ».

  • La capitale islandaise décide le boycott de tous les produits israéliens
    vendredi 1 juillet 2016
    http://lecourrierdelatlas.com/1161301072016La-capitale-islandaise-decide-le-boycott-de-tous-le

    Le conseil de Reykjavik, capitale de l’Islande, a adopté cette semaine une motion de boycott des produits d’origine israélienne, rapporte le quotidien de gauche israélien Haaretz. Ce boycott sera observé « tant que se poursuivra l’occupation des territoires palestiniens », selon le texte voté par les élus islandais.

    Le vote a eu lieu à l’initiative de la conseillère Björk Vilhelmsdóttir de l’Alliance démocratique et sociale. Ce boycott est « un acte symbolique » destiné à exprimer le soutien de la ville aux autorités palestiniennes et à condamner la « politique israélienne d’apartheid », précise la motion. C’est aussi un moyen de faire pression sur Tel-Aviv pour la fin de l’occupation, a indiqué la conseillère Sóley Tómasdóttir. Cette dernière n’exclut pas que Reykjavik puisse prendre des décisions de boycott similaire contre d’autres pays violant les droits humains.

  • Qui fait l’apologie du #Terrorisme ?
    http://contre-attaques.org/magazine/article/qui-fait-l

    « Dignité et fierté ! Bravo aux deux Palestiniens qui ont mené l’opération de résistance à Tel-Aviv #Free Palestine. » Le jour de l’attaque menée à Tel-Aviv et qui a fait quatre morts israéliens, une militante du Parti des indigènes de la République (PIR) a publié ce tweet qui a suscité une violente réaction de Gilles Clavreul. Dans un entretien accordé au Figaro le 16 juin 2016, Gilles Clavreul, délégué interministériel à la lutte contre le terrorisme, affirme avoir « transmis à la justice ce tweet qui fait (...)

    #Magazine

    / #carousel, #Tribunes, Terrorisme

    « http://www.lefigaro.fr/vox/politique/2016/06/16/31001-20160616ARTFIG00099-apologie-du-terrorisme-racisme-anti-francais-faut »
    « http://www.haaretz.com/opinion/1.724290 »
    « https://www.washingtonpost.com/news/worldviews/wp/2016/06/10/tel-aviv-mayor-links-terror-attack-to-israeli-occupation-of-palestin »
    « http://orientxxi.info/magazine/ces-francais-volontaires-dans-l-armee-israelienne,0546 »

  • Gaz offshore : de vieilles données peuvent-elles permettre de débloquer le dossier au Liban ? - Cyrille NÊME et Karen OBEID - L’Orient-Le Jour
    http://www.lorientlejour.com/article/992710/gaz-offshore-de-vieilles-donnees-peuvent-elles-permettre-de-debloquer

    ce rapport, qui confirmerait la présence de réserves importantes d’hydrocarbures dans une zone particulièrement stratégique, objet d’un litige frontalier entre le Liban et Israël. Un litige qui dure depuis la décision prise par Tel-Aviv en 2011 d’officialiser sa ZEE en empiétant d’environ 850 km2 sur celle – totalisant 22 730 km2 – déclarée un an plus tôt par Beyrouth à l’Onu.
    Pour les autorités libanaises, ces conclusions constitueraient l’un des chaînons manquants aux nombreuses estimations du potentiel en hydrocarbures dont elles disposaient jusque-là. Or paradoxalement, ces conclusions reposent sur des données remontant à plus d’une décennie !

    #pétrole #gaz

    • Ouais ! #yapuka régler le litige frontalier…

      Quant à la médiation américaine entre les deux pays, elle ne paraît pas appelée à connaître des résultats immédiats. « Lors de sa visite au Liban (le 26 mai), le secrétaire d’État adjoint américain à l’Énergie, Amos Hochstein, nous a annoncé qu’il négociera à nouveau avec les Israéliens avant de revenir vers nous pour résoudre ce conflit », indique simplement M. Hamdan. Pour rappel, le Liban avait déjà refusé il y a trois ans une première proposition consistant à ne lui accorder que 55 % de la zone contestée.

  • Israeli army commander testifies soldier had no justification for shooting al-Sharif
    June 16, 2016 10:24 P.M.
    http://www.maannews.com/Content.aspx?id=771907

    BETHLEHEM (Ma’an) — An Israeli army commander testified in court Thursday that Elor Azaria, the Israeli soldier who shot dead Abdel Fattah al-Sharif while he was lying wounded on the ground after an alleged attempted stabbing in Hebron, saying there was no “operational justification” for Azaria’s actions, according to Israeli news media.

    The company commander of Azaria, Maj. Tom Neeman, recounted to the court the chilling moments after the execution style killing that took place in Hebron’s old city on March 24.

    After the deadly shooting, for which Azaria is now on trial for manslaughter, Neeman testified that he saw "Elor with his hands on the weapon, walking westward.”

    “I approached him and asked, ’Why did you do it?’,” Neeman continued, “He answered me, ’This terrorist was alive, and he needs to die.’” Neeman added: “I was angry at him for doing this. Essentially a shooting had been conducted at the scene that I was in charge of, without my permission.”

    Neeman also added that prior to Azaria’s murder of al-Sharif, no one had paid attention to al-Sharif, who was lying immobilized on the ground, or claimed that the he was booby-trapped.

    • Israël : « le terroriste était vivant, il méritait de mourir » (Azaria)
      Par i24news | Publié : 16/06/2016
      http://www.i24news.tv/fr/actu/israel/diplomatie-defense/116936-160616-israel-le-terroriste-etait-vivant-il-meritait-de-mourir-azaria

      Le commandant Tom Naaman, a affirmé jeudi lors du procès de son soldat Elor Azaria, accusé d’homicide contre le terroriste palestinien Abed Fattah al-Sharif, tué le 24 mars dernier à Hébron alors qu’il gisait à terre, qu’après avoir abattu al-Sharif, Azaria a déclaré que « le terroriste était vivant, il méritait de mourir ».

      « Je suis en colère parce que ce qui s’est passé, est arrivé sans mon approbation », a déclaré le commandant Naaman.

      « Lors des premiers interrogatoires, Azaria ne m’a pas fait part de la présence d’un couteau ou d’un quelconque engin explosif », a-t-il ajouté.

      Naaman a affirmé que le couteau était hors de portée de l’agresseur, et que rien ne paraissait suspect au vu de ses vêtements.

      Le témoignage de Naaman conteste les propos tenus par Azaria certifiant qu’al-Sharif avait bougé sa main, pour atteindre son couteau. En outre, selon le soldat, le Palestinien portait une veste anormalement volumineuse, ce qui suggérait le port d’un gilet explosif.

      Mais selon Naaman, le terroriste portait des vêtements « moulant ».

      « Rien ne pouvait laisser penser que le terroriste portait un engin explosif sur lui », a déclaré Naaman.

      « Personne, présent ce jour-là, ne m’a fait part de l’éventuelle présence d’engin explosif », a-t-il ajouté.

      Par ailleurs, le médecin légiste, Dr. Hadas Gips, a confirmé jeudi lors du procès qu’Abed Fattah al-Sharif est mort d’une balle dans la tête.

      Dr. Hadas Gips, qui témoignait à la cour militaire de Jaffa jeudi, a réitéré les conclusions conjointes des médecins légistes israélien et palestinien prononcées en Avril, affirmant que les autres blessures d’al-Sharif n’engageaient pas le pronostic vital.

      Gips a ajouté que sans la balle tirée par Azaria, al-Sharif aurait survécu même sans soins médicaux immédiats.

      Azaria, dont le procès a commencé le 9 mai, devant le tribunal militaire de Jaffa, au sud de Tel-Aviv, se poursuit à huit clos.

  • Peu relayé dans les médias français : le maire de Tel-Aviv pointe la responsabilité israélienne dans les attentats

    http://www.rfi.fr/moyen-orient/20160611-israel-palestine-attentat-tel-aviv-ron-huldai-maire-ville-accuse-occupa

    Interviewé sur la radio de l’armée, Ron Huldai, maire populaire de la métropole israélienne, ancien pilote de chasse, a déclaré : « Nous sommes peut-être le seul pays au monde ou un autre peuple se trouve sous notre occupation. Nous n’avons pas le courage de prendre des mesures pour envisager un accord. Un changement ne peut intervenir que si nous montrons à nos voisins palestiniens que nous avons de véritables intentions de changer la situation actuelle. Ces gens n’ont aucun droit et ne sont pas des citoyens de l’Etat d’Israël. »

    Pour le maire de la ville, il n’est plus possible de maintenir une population « sous occupation » et de croire qu’elle pense que tout va bien. « La même chose s’est produite avec l’Egypte. Les leaders de ce pays nous ont proposé un accord et nous leur avons dit non. Et alors Sadate a dit qu’il allait faire la guerre pour changer les mentalités... Et il a fait une guerre horrible dans laquelle nous avons perdu 3 300 jeunes gens. Et cette guerre a changé quelque chose dans notre conscience nationale puisqu’elle a abouti à la paix. Mais nous n’en sommes pas encore là. »

    Sur @OrientXXI La nomination d’Avigdor Lieberman inquiète les généraux israéliens http://orientxxi.info/magazine/avigdor-lieberman-ou-la-poussee-de-l-extreme-droite-decomplexee-en-israe

  • Israel demolishes Hebron home of 16-year-old Palestinian accused of killing Israeli settler
    June 11, 2016 10:56 A.M. (Updated: June 11, 2016 3:12 P.M.)

    BETHLEHEM (Ma’an) — Israeli forces early Saturday raided the village of Beit Amra in the municipality of Yatta and destroyed the family home of a 16-year-old Palestinian accused of stabbing and killing an Israeli settler in January, amid an ongoing Israeli blockade imposed in central Yatta.

    • Cisjordanie : destruction de la maison d’un Palestinien meurtrier d’une Israélienne
      Jérusalem (AFP) 11.06.2016 - 09:22
      http://www.courrierinternational.com/depeche/cisjordanie-destruction-de-la-maison-dun-palestinien-meurtrie

      L’armée israélienne a détruit dans la nuit de vendredi à samedi la maison d’un adolescent palestinien accusé d’avoir tué en janvier une Israélienne dans une colonie de Cisjordanie occupée, a annoncé une porte-parole militaire.

      L’opération de destruction s’est déroulé sans incident à Yatta, dans le sud de la Cisjordanie occupée, a-t-elle ajouté.

      Selon des témoins, cette maison de deux étages où logeait sept personnes a été détruite au bulldozer.

      Le meurtre à coups de couteau de Dafna Meïr, une infirmière de 38 ans tuée en présence de ses six enfants dans la colonie d’Otniel, avait provoqué une très vive émotion en Israël et le Premier ministre Benjamin Netanyahu avait prévenu que « la maison du terroriste sera(it) détruite ».

      L’auteur présumé, Mourad Eideis, 15 ans, avait été arrêté peu après l’attaque.

      L’armée israélienne a également dit avoir effectué samedi à Yatta des mesures en vue de la destruction des maisons des deux cousins palestiniens auteurs de la fusillade qui a coûté la vie à quatre Israéliens mercredi à Tel-Aviv.

  • 4 FRANÇAIS INCULPÉS EN ISRAËL POUR "ESCROQUERIE INTERNATIONALE" : PAS UN MOT AU JT DE 20H.
    https://www.facebook.com/panhamza/photos/a.259863080821062.1073741827.258337060973664/674212239386142/?type=3&theater

    Résidents de Netanya près de Tel-Aviv, les Franco-Israéliens Henri Omisi, Daniel Alon, Jérémy Laloum et Mordechaï Lalouch -arrêtés le 2 mai- ont été inculpés le mercredi 8 juin par un tribunal local {http://panamza.com/bpp}.

    Le motif d’inculpation : une escroquerie internationale portant sur près de 10 millions d’euros.
    Le mode opératoire : la technique de "l’arnaque au président" consistant, par exemple, à usurper le nom de dirigeants commerciaux pour obtenir auprès de leurs associés des virements bancaires {http://panamza.com/bpl}.
    Les groupes détroussés : plusieurs entreprises françaises et européennes parmi lesquelles Chanel, Cora, Electrolux et Bosch.
    Les moyens : des appartements israéliens transformés en centres opérationnels grâce à un équipement technologique sophistiqué et des comptes bancaires en République tchèque, en Slovaquie et en Pologne.

    La presse américaine, britannique et allemande a rapporté l’information. La chaîne CBS précise d’ailleurs que les inculpés sont issus de familles pratiquantes et particulièrement « pieuses » {http://panamza.com/bpm ; http://panamza.com/bpn ; http://panamza.com/bpo}.

    À l’inverse, les médias audiovisuels français, pourtant friands de fait divers impliquant les Français de l’étranger, ont totalement gardé le silence sur cette affaire.

    Aucun reportage sur le sujet n’a ainsi été diffusé le 8 juin dans les journaux télévisés de 20h sur TF1 et France 2 {http://panamza.com/bpq ; http://panamza.com/bpr}.

    • En fait les médias ont parlé en mars, de cette escroquerie qui a mis en difficulté des entreprise comme ici, où l’on met plus fortement l’accent sur la Chine que sur Israël :
      http://bfmbusiness.bfmtv.com/monde/l-inventeur-de-l-arnaque-au-president-revele-comment-il-a-blanchi

      Selon des documents judiciaires des polices européenne et américain auxquels Associated Press a eu accès, la Chine est devenue une blanchisserie financière internationale utilisée par « les gangs en provenance d’Israël et d’Espagne ainsi que par les cartels de la drogue d’Afrique du Nord et d’Amérique latine ».

      Mais l’information de l’inculpation mercredi dernier de ces quatre franco-israéliens n’a pas été donnée par les grands médias français.

  • Israel’s obsession with hummus is about more than stealing Palestine’s food | The National

    http://www.thenational.ae/opinion/comment/israels-obsession-with-hummus-is-about-more-than-stealing-palestines-foo

    Pep Montserrat for The National

    son travail ici http://pepmontserrat.com/artwork

    When Israel expelled hundreds of thousands of Palestinians from their villages and homes in 1948, many left with little more than the clothes on their back. Food was left on the stove. Crops were left unharvested. But the land emptied of its inhabitants was soon occupied by new residents.

    From 1948 to 1953, almost all new Jewish settlements were established on refugees’ property. The myth of making the desert bloom is belied by the facts: in mid-1949, two-thirds of all land sowed with grain in Israel was Palestinian land. In 1951, “abandoned” land accounted for nearly 95 per cent of all Israel’s olive groves and almost 10,000 acres of vineyards.

    During these early years, many Palestinian refugees attempted to return to their lands. By 1956, as many as 5,000 so-called “infiltrators” had been killed by Israeli armed forces, the vast majority of them looking to return home, recover possessions, or search for loved ones. Palestinian women and children who crossed the frontier to gather crops were murdered.

    The Nakba in 1948 was the settler colonial conquest of land and the displacement of its owners, a dual act of erasure and appropriation. Citing “reasons of state”, Israel’s first premier David Ben-Gurion appointed a Negev Names Committee to remove Arabic names from the map. By 1951, the Jewish National Fund’s “Naming Committee” had “assigned 200 new names”.

    http://www.geog.bgu.ac.il/members/yiftachel/books/Hagar-Bedouins-%20articles.pdf
    reference page 6 (State Archives; Prewar Archive, C/2613, cited in Benvenisti, 1997:8–9).

    But it did not stop with dynamite and new maps. The Zionist colonisation of Palestine has also included culture, notably cuisine. This is the context for the so-called “hummus wars”: it is not about petty claims and counterclaims, rather, the story is one of colonial, cultural appropriation and resistance to those attempts.

    In the decades since the establishment of the State of Israel on the ruins and ethnically cleansed lands of Palestine, various elements of the indigenous cuisine have been targeted for appropriation: falafel, knafeh, sahlab and, of course, hummus.

    Though these dishes are common to a number of communities across the Mediterranean and Middle East, Israel claims them as its own: falafel is the “national snack”, while hummus, according to Israeli food writer Janna Gur, is “a religion”.

    In a 2002 article on recipes, the Israeli embassy in Washington acknowledged that “Israel lacks a long-standing culinary heritage”, adding that “only a few years ago, Israelis even doubted the existence of their own authentic cuisine”.

    Introduction to Israeli Foods | Jewish Virtual Library
    http://www.jewishvirtuallibrary.org/jsource/Society_&_Culture/foodintro.html

    Such an admission is hard to find these days, as appropriation has become propaganda.

    In 2011, Jerusalem-based chef Michael Katz visited Australia and told a local newspaper how the Israeli government had “decided, through culture, to start improving Israel’s image”.

    “They started sending artists, singers, painters, filmmakers and then the idea came of sending chefs.”

    Israel’s cuisine not always kosher but travelling well
    http://www.theage.com.au/entertainment/restaurants-and-bars/israels-cuisine-not-always-kosher-but-travelling-well-20110521-1ey1s.html

    In 2010, the Israeli government decided to distribute pamphlets at Tel Aviv airport, to equip Israelis who go abroad with, in the words of then-public diplomacy minister Yuli Edelstein, the “tools and tips to help them deal with the attacks on Israel in their conversations with people”. Included in the literature was the claim that “Israel developed the famous cherry tomato.”

    http://www.jpost.com/Israel/Israel-to-use-ordinary-people-for-PR

    Now, as the Jewish Telegraphic Agency put it earlier this year, “Israel has been on the culinary ascent of late, with dozens of food blogs, new high-end restaurants, cooking shows and celebrity chefs, and a fascination with everything foodie”.

    http://www.jta.org/2015/01/28/arts-entertainment/exploring-israels-ethnic-cuisine

    It is not just food that is enlisted in Israel’s global PR initiatives. A few year ago, pro-Israel students at Brandeis University, in Massachusetts, held a “hookah night” with the help of campus-based “hasbara fellows”, professional Israel advocates who noted without any irony that “hookah is not specifically an Israeli cultural facet”.

    In addition to smoking and snacks, the “cultural” evening also included belly dancers. Explaining the rationale for the event, a member of the Brandeis Zionist Alliance said they had found that “students are more receptive to Israel-related education when we use a cultural lens”.

    http://www.hasbarafellowships.org/cgblog/255/Brandeis-Embraces-Israeli-Culture-with-Hookah-Night

    Now we have “International Hummus Day”, launched by an Israeli, Ben Lang, who is explicit about the propaganda value of his project: “The idea was to connect people around hummus and get more people talking about it and hopefully get people to see the good things that are happening in Israel.”

    “I just wanted to make sure that people saw that the initiative started in Israel.”

    http://www.ibtimes.com/international-hummus-day-israeli-entrepreneurs-middle-eastern-food-celebrat

    As everything from food to the keffiyeh is used to “rebrand” the state that colonised Palestine in the first place, Palestinians and their supporters have fought back.

    When an Israeli choreographer included the dabke traditional dance in his company’s repertoire in 2013,

    http://www.nytimes.com/2013/08/02/arts/dance/dance-listings-for-aug-2-8.html?_r=0

    a New York-based dabke troupe responded with a thoughtful critique that noted how, by “appropriating dabke, and labelling it Israeli”, the “power imbalance” is only furthered.

    They added: “This makes us feel taken advantage of. Exploited. Commodified.”

    NYC Dabke Dancers respond to ZviDance “Israeli Dabke” https://www.youtube.com/watch?v=JM9-2Vmq524

    In December 2014, after a campaign by Palestinian students and their allies, the student assembly at Wesleyan University in Connecticut agreed to remove Sabra hummus from campus dining facilities. The product symbolises Israeli appropriation and ongoing brutality; its parent company, the Strauss Group, donates to the Israeli military.

    http://www.huffingtonpost.com/2014/12/10/wesleyan-hummus-boycott_n_6289238.html

    Accusations of cultural appropriation can produce some misleading responses. It’s not about who is “allowed” to eat what, or even about an objection to the natural cross-pollination that occurs in culture through language, cuisine and more.

    That is not the point. It is about the claim of ownership in a context of historic and ongoing violent erasure and displacement.

    It is about efforts to create an artificial history that justifies the establishment and continued existence of a settler colonial state.

    Even a mainstream Israeli food writer like Gil Hovav has pointed to this reality. “Food is about memory and identity,” he told the Israeli media last year. “Claiming ownership over a food is a way to assert a nation’s narrative. Israeli Jews have made hummus their own.”

    http://www.haaretz.com/misc/iphone-article/.premium-1.571496

    Cuisine is where efforts to both deny the existence of Palestine and appropriate its land and heritage meet. It is both an act of theft itself, and a way of justifying that theft.

    Ben White is a journalist and the author of Israeli Apartheid: A Beginner’s Guide

    On Twitter: @benabyad

    #Palestine #Israel #Appropriation_Culturelle #Cuisine #Houmouss #Propagande #Héritage

    • Ici au Canada, ils ont aussi inventé le « israeli couscous », c’est très énervant ! C’est juste une céréale, une autre céréale, du moyen orient, qui existait bien avant 1948 (on me dit que c’est du Maftoul), mais c’est un outil de propagande très efficace, les gens ne pensant pas faire de la politique en utilisant ce terme...

    • @sinehebdo de plus le terme couscous n’a rien à voir avec la région

      Le couscous est un plat berbère originaire du Maghreb . Il est à base de semoule de blé dur. Les légumes qui composent le couscous varient d’une recette à l’autre.
      ...
      Le mot seksu (devenu kuskus, kuskusūn en arabe d’Afrique du Nord, puis couscous en français[1]), existe dans tous les parlers berbères de l’Afrique du Nord et désigne le blé bien modelé et bien roulé [2],[3]. Suivant les régions, le mot a plusieurs prononciations comme kseksu et seksu[4] . Un autre terme qui dérive de la même racine que seksu est le verbe berkukkes, de kukkes « rouler la semoule » et de ber qui signifie « redoubler le travail dans le but d’agrandir les grains »[3]. Le mot taseksut (prononcé en français thasseksouth) est la passoire dans laquelle on fait cuire le couscous.

      Un verbe seksek est utilisé par les Touaregs dans le sens de « passer au crible », rappelant l’usage du tamis dans la préparation[4].

      https://fr.m.wikipedia.org/wiki/Couscous

      #couscous

    • La Chakchouka, nouveau plat tendance
      http://www.huffpostmaghreb.com/2014/04/15/chakchouka-plat-tendance_n_5153680.html

      Une origine qui fait débat

      Aux Etats-Unis, la plupart des restaurants israéliens servent de la Chakchouka, et c’est notamment le chef israélien Yotam Ottolenghi qui a fait la réputation de ce plat au Royaume-Uni, d’où un amalgame quant à son origine.

      Ce dernier précise toutefois dans son livre de recettes « Jerusalem » que _ "la Chakchouka est à l’origine un plat tunisien, mais est devenu extrêmement populaire à Jerusalem". _

      Sa provenance exacte fait néanmoins toujours débat, cette spécialité étant également un incontournable des cuisines algérienne, marocaine, égyptienne et libyenne.

      Dans un autre article du site Buzzfeed, la Chakchouka est citée en tant qu’une des « 13 spécialités gastronomiques qui ne sont pas israéliennes », dénonçant une « colonisation » culinaire et soulignant que « l’appropriation culturelle est pour le moins inappropriée ».

      Essayez (à vos risques et périls) de dire à un Tunisien que la Chakchouka est un plat israélien ou américain !

      #Chakchouka #Tunisie

    • Après lecture je ne comprend toujours pas ce qu’est Le #Shawarma israélien. On peut résumer l’article ainsi : Le Shawarma fait son retour, des restaurants turcs et grecs le font très bien, des restaurants « israéliens » aussi => Le Shawarma Israélien est donc celui fait par des Israéliens descendants des colons Juifs ? (en admétant que les turcs et grecs des restaurants de telaviv sont aussi des citoyens israéliens)

      ici l’article

      The end-of-year summaries are over, and in any case this column doesn’t usually make them – we’d rather eat instead – but if there was one pleasing mini-trend that is worth noting, it’s the ostensible return of shawarma. If in the middle of the last decade, Tel Aviv was full of dozens of shawarma joints, most of which closed pretty quickly, fans of this popular delicacy, frequently called the “queen of the street food,” have lately encountered some new eateries that are making successful attempts to return the dish to its glory days. These include the Mutfak and Babacim Turkish restaurants, and the quasi-Greek Pitos.

      This is all good. In fact it’s very good – but it’s not enough. If it’s to be a true revival we need to talk about what is called “Israeli” shawarma. True shawarma connoisseurs tend to wrinkle their noses when confronted with a skewer of turkey meat, but even they will have to admit that during a time of distress or mere craving, this is the (relatively) lightest, most available and popular solution. Two new places have given us the opportunity to examine the possibility of a shawarma comeback.

      Welcome minimalism

      Mifgash Habracha (65 Hakishon St., Tel Aviv) is the type of place that rarely opens in the city anymore, mainly because it looks and acts as if it has been here for at least 20 or 30 years. Who calls themselves by such a name anymore, unless it’s trying to hint at pseudo authenticity? Who makes do with a simple sign, with no “brand,” no website and no Facebook page?

      This welcome minimalism continues inside, with (turkey) shawarma and schnitzel. The shawarma ranges from 34 to 45 shekels ($9.20 to $12.15); the schnitzel sells for 25 to 35 shekels, depending on whether it’s served in a pita, lafa or baguette, or on a plate. And that’s it.

      Shawarma isn’t at all cheap, for its vendors or its consumers, but I’m happy to say that the portions sold at Mifgash go for somewhat less than the average in Tel Aviv. Take an uncharacteristically generous portion of sliced meat (I ordered it in pita, for 34 shekels), and add to it a counter full of pickles, fried eggplant and grilled hot peppers to be sampled freely, plus classic, fresh, oil-drenched (and addictive) french fries – and you get why this place quickly became a hit among the residents and workers in the Florentine neighborhood (including several employees of Haaretz, whose offices are nearby).

      Condiments and salads for shawarmas at Nurman. Eran Laor

      The retro continues with the turkey meat on the rotating spit, which is huge and coarse in texture, with thick pieces sliced off in a manner that is uncharacteristic of our times – not with some cutting robot, not even with an electric slicer, but with a regular knife by the guy at the counter. The result is uneven meat chunks that are far different from the thin shavings we get elsewhere. The use of the wrong spices (whether too weak or too aggressive) or dry spots on the meat can easily ruin such shawarma, but fortunately that doesn’t happen here. This one doesn’t taste much different from any other turkey shawarma, but one does recognize the cautious use of cumin and turmeric, which makes this shawarma no less tempting, but much less yellowish and phosphorescent.

      Branded design

      A small jump to the center-of-the-center of Tel Aviv and the price for shawarma in pita jumps 10 percent: 38 shekels at Nurman (96 Hahashmonaim St.), whose location under the Gindi Towers left it no alternative but to put on a more sophisticated, modern face. Once – okay, 10 years ago – a place like this would have been called a “high-tech shawarma joint,” but today it is now the standard and it’s places like Mifgash Habracha that are considered a sensation.

      There are two shawarma rotisseries here, with veal/lamb or turkey meat (you can mix them if you like), and a spanking-clean glass case in front of them containing a more than ample selection of toppings: two types of hot pepper (red and green), pickled lemons, pepper spread and the other usual suspects in this genre.

      The turkey shawarma was reasonable. Very thin pieces that were a little less juicy than one might expect (the requisite dome of fat on top was already shrunken when we arrived; while it’s correct to give customers a piece of it if they ask, one must remember that it has a role to play here). The seasoning was the type you find in other places. No complaints, but no special praise here, either.

      The second spit was more successful. The shawarma was dark, soft and juicier – and naturally and understandably less seasoned. I know plenty of people who love meat but still avoid lamb because of its dominant taste that remains long after it’s eaten. That doesn’t happen here, because the lamb mostly takes the form of fat, while the meat itself is decent veal. Forgetting the hummus-tahini option and taking advantage of an unexpected addition of pickled (and sharp) lemon created a portion of shawarma that was relatively original and refreshing.

      In both cases there was nothing sensational. But you know what? We weren’t looking for that. We’d be happy with a few other options like these. If Mifgash Habracha and Nurman survive 2019, we could officially declare that shawarma is back. We hope it won’t ever abandon us again.

    • Avec Cyril Lignac, Israël fait découvrir son patrimoine et sa gastronomie – Le Quotidien du Tourisme
      http://www.quotidiendutourisme.com/destination/avec-cyril-lignac-israel-fait-decouvrir-son-patrimoine-et-sa-gastronomie/160786

      Ici tout y passe : du humous à la chawarma en passant par les aubergines grillées avec la peau et ce petit goût fumé (baba ghanouch) on notera cette phrase qui me file des urticaire

      Il livre aussi une appétissante recette de houmous avec Caleb, « une recette transmise de génération en génération »…

      et sinon,

      Une année record pour le tourisme en Israël
      A l’occasion des vœux de l’Office national israélien du tourisme (Onit) en France, Lina Haddad, sa directrice, a annoncé les bons chiffres de 2017. Une « année record », avec tous les marchés touristiques en hausse qui ont permis de passer la barre des 3 millions de touristes. En 2017, le pays a accueilli « 3.611.800 touristes, soit 700.000 de plus que l’année précédente ». L’Onit explique cette croissance par trois axes : une nouvelle stratégie marketing, des incentives aux compagnies aériennes et des partenariats avec des OTAs (Expedia et Lastminute). La communication sur des destinations (Jérusalem/Tel-Aviv, Eilat et la mer Rouge, le Néguev) comme sous-marques de la destination principale a porté ses fruits. « Ces campagnes ont déclenché l’envie de partir » explique-t-on à l’Onit. Quant aux subventions aux compagnies aériennes, elles ont facilité l’ouverture de routes (low cost notamment) et l’augmentation des rotations. Le premier marché touristique pour Israël reste les Etats-Unis (778.000 arrivées, +20%). La France se classe troisième (308.600, +7%) derrière la Russie (331.500, +25%). Les recettes touristiques ont dépassé l’an dernier les 20 milliards de shekels (environ 4,79 milliards d’euros). Le tourisme a créé 25.000 nouveaux emplois.

  • Derrière le conflit syrien, l’obsession anti-iranienne d’Israël
    https://www.mediapart.fr/journal/international/140516/derriere-le-conflit-syrien-l-obsession-anti-iranienne-d-israel

    Une pièce d’artillerie israélienne fait feu à la frontière libanaise, le 4 janvier 2016 © Jini Photo Agency Ltd/Reuters En #Syrie, alors que la communauté internationale se focalise sur Daech, la politique israélienne vise exclusivement à contrer l’influence de l’Iran et du Hezbollah, considérée comme une menace existentielle. Cependant, cette obsession anti-iranienne risque de conduire Tel-Aviv à sous-estimer la problématique djihadiste.

    #International #Iran #Israël #Moyen-Orient

  • Israël : Deux Genevoises racontent leur détention « choquante » -
    Par Aurélie Toninato 12.05.2016
    http://www.tdg.ch/geneve/actu-genevoise/deux-genevoises-racontent-detention-choquante/story/30402299

    Israël Ces membres du Conseil œcuménique des Eglises devaient assister à une réunion sur le climat à Bethléem. A leur arrivée à l’aéroport de Tel-Aviv, elles ont été enfermées deux jours puis expulsées.

    #Israël #kidnap #expulsion

  • Le COE proteste contre le traitement infligé par #Israël à une de ses délégations
    http://www.la-croix.com/Urbi-et-Orbi/Monde/Le-COE-proteste-contre-le-traitement-inflige-par-Israel-a-une-de-ses-deleg

    Lors de leur arrivée à l’aéroport de Tel-Aviv fin avril, pour une réunion de travail sur le changement climatique, les membres d’une délégation œcuménique et internationale ont été retenus, interrogés et intimidés avec brutalité.

    #impunité #complicité « #communauté_internationale »

  • Les rabbins et le divorce -
    Oded Guez est un « refuznik » du divorce : ce juif pratiquant a préféré disparaître que d’accepter la séparation demandée par son épouse qu’il battait.
    De notre correspondante à Jérusalem, Danièle Kriegel
    Modifié le 01/05/2016
    http://www.lepoint.fr/monde/les-rabbins-et-le-divorce-01-05-2016-2036156_24.php

    Un tel appel des juges du tribunal rabbinique est rarissime. Dans leur communiqué, diffusé avant la Pâque juive, ils demandent au public de les aider à localiser Oded Guez. En plus de la photo de l’intéressé, un numéro de téléphone est mis à disposition pour toute personne ayant des informations permettant de le retrouver. Mais pourquoi cet avis de recherche peu banal ? Eh bien Oded Guez, docteur en physique de son état, est un « refuznik » du divorce. Il ne veut pas accorder à son épouse - réfugiée avec ses deux enfants dans un abri pour femmes battues – le « Gett », l’acte de divorce selon la Halacha, la loi juive. Jusqu’ici, rien n’y a fait. Même pas les sanctions dont il est l’objet depuis de longs mois de la part du Rabbinat, à commencer par l’ostracisme. Une véritable mise au ban sociale, professionnelle et religieuse. Personne ne doit lui parler. Aucune synagogue n’a le droit de le recevoir, car il lui est interdit de lire la Torah et de célébrer une cérémonie religieuse ; quant aux deux universités qui l’employaient, elles ont été priées de le licencier, ce qui fut chose faite assez rapidement. Fait rare, le Rabbinat a, de surcroît, autorisé le « Shaming ». Autrement dit la publication sur les réseaux sociaux de son nom et de sa photo.
    Un statut peu enviable

    Préférant disparaître plutôt que céder, ce juif pratiquant, inscrit aussi au département d’études de la Torah à l’université religieuse de Bar-Ilan, près de Tel-Aviv, ne s’est pas présenté à la dernière audience fixée par le Beth-Din (tribunal rabbinique) pour le réexamen du dossier de divorce. Une absence qui a provoqué l’ire de la cour. D’où l’appel au public, justifié, disent les autorités rabbiniques, par une préoccupation majeure à l’égard de l’épouse, qui pourrait devenir, compte tenu de la disparition de son conjoint, une femme « Agouna », littéralement en français « une femme entravée », « enchaînée aux liens du mariage » . Il lui serait alors interdit, selon la loi juive, de se remarier ou d’avoir des enfants, car ceux-ci seraient considérés comme des « Mamzers », vulgairement des « bâtards », un statut peu enviable au regard du judaïsme. Ces enfants illégitimes sont en effet considérés comme non-juifs. Ils ne peuvent se marier qu’entre eux, et cela de génération en génération.(...)

    #divorce

  • Israël place une poétesse en résidence surveillée, après trois mois d’emprisonnement –
    Budour Youssef Hassan | Publié le 22 avril 2016 sur The Electronic Intifada l Traduction : Jean-Marie Flémal
    http://www.pourlapalestine.be/israel-place-une-poetesse-en-residence-surveillee-apres-trois-mois-d

    Dareen Tatour a été arrêtée en octobre dernier. Après avoir passé trois mois en prison, elle a été placée en résidence surveillée en janvier. Elle est aujourd’hui confinée dans un appartement, dans un faubourg de Tel-Aviv.

    « C’est ironique, mais pas surprenant, que j’aie été jetée en prison parce que je protestais contre les meurtres perpétrés contre mon peuple, alors que les véritables tueurs israéliens courent en liberté », a déclaré Tatour dans The Electronic Intifada.

    Alors que, récemment, de nombreux Palestiniens ont été accusés d’incitation à la violence pour des déclarations faites sur Internet, et particulièrement sur Facebook, le cas de Tatour est inhabituel du fait qu’elle est poursuivie à propos d’un poème.
    (...)
    « Ils m’ont envoyée en prison pour avoir écrit un poème », dit-elle. « Mais la poésie est devenue ma clef menant à la liberté et je me cramponnerai à cette clef jusqu’à la fin. »

  • Des milliers d’Israéliens se rassemblent en soutien au soldat qui a « exécuté » un Palestinien
    Middle East Eye | Rori Donaghy |20 avril 2016
    http://www.middleeasteye.net/fr/reportages/des-milliers-d-isra-liens-se-rassemblent-en-soutien-au-soldat-qui-ex-

    TEL AVIV, Israël – Plus de 2 000 personnes se sont réunies dans le centre de Tel Aviv ce mardi soir à l’occasion d’un rassemblement nationaliste mouvementé pour manifester leur soutien à un soldat israélien qui a suscité une controverse en tuant un assaillant palestinien présumé déjà blessé en Cisjordanie occupée.

    Par une chaude soirée au cœur de la ville méditerranéenne, des foules de personnes portant un drapeau israélien autour de leurs épaules ont descendu une avenue bordée de palmiers pour gagner la place Rabin en centre-ville et contester la décision judiciaire d’inculper le sergent Elor Azarya pour homicide suite au meurtre d’Abed al-Fatah al-Sharif à Hébron le 24 mars.

    L’enregistrement du meurtre publié après les faits par le groupe israélien de défense des droits de l’homme B’Tselem a suscité l’indignation internationale : on y voit Azaria abattre Sharif d’un tir à la tête alors qu’il gisait par terre, blessé. Sharif avait prétendument pris part à une attaque et blessé un soldat posté dans la ville-poudrière d’Hébron et a été abattu onze minutes après que l’attaque présumée a été déjouée.

    Mardi soir, des Israéliens jeunes et plus âgés issus de l’ensemble du spectre politique se sont unis sur la place Rabin dans une ambiance qui ne peut être décrite que comme festive, où les participants buvaient de la bière, fumaient des cigarettes et s’occupaient de leurs enfants tout en scandant des slogans en soutien à Azaria, qui est actuellement détenu dans une base militaire dans l’attente de son procès.(...)

    #Abdul_Fatah_al-Sharef

  • Un haut diplomate européen instamment prié d’annuler sa présence à une conférence anti-BDS – Ali Abunimah - Publié le 25 mars 2016 sur The Electronic Intifada
    Traduction : Jean-Marie Flémal
    http://www.pourlapalestine.be/un-haut-diplomate-europeen-instamment-prie-dannuler-sa-presence-a-un

    Il était prévu que l’ambassadeur Lars Faaborg-Andersen, chef de la délégation de l’UE à Tel-Aviv, prenne part le 28 mars à un groupe de travail sur le thème « Combattre le boycott via l’action de l’État », en compagnie du dirigeant des colons en Cisjordanie, Dani Dayan.

    Le groupe de travail en question s’inscrit dans la conférence « Non au boycott » organisée à Jérusalem par les organes de presse israéliens Yediot Ahronot et Ynet.

    En feront partie des responsables israéliens, y compris le ministre de la Sécurité Gilad Erdan, qui supervise les efforts anti-BDS du gouvernement, de même que des dirigeants des groupes de pression d’Israël opérant aux États-Unis, dont « Stand With Us » (Soyez avec nous) et l’Anti-Defamation League » (Ligue anti-diffamation).

  • La campagne #BDS (1/2). Une dynamique européenne dans un contexte de répression
    https://www.mediapart.fr/journal/international/210316/la-campagne-bds-12-une-dynamique-europeenne-dans-un-contexte-de-repression

    Plus de dix ans après son lancement par des associations palestiniennes, la campagne de #boycott d’Israël gagne du terrain en Europe. Si elles ne font pas encore vaciller l’économie israélienne, les actions de boycott et de #Désinvestissement fragilisent Tel-Aviv. Et inquiètent ses amis. Notamment en France, où le mouvement fait l’objet d’une criminalisation politique et judiciaire.

    #International #campagne_BDS #Colonies #conflit_israélo-palestinien #Israël #Moyen-Orient #Palestine

  • Ahmed, survivant d’une famille palestinienne décimée, va voir Ronaldo - Yahoo Sport
    https://fr.sports.yahoo.com/news/ahmed-survivant-dune-famille-palestinienne-d%C3%A9cim%C3%A9e-part-r

    Ahmed Dawabcheh, 5 ans et seul survivant d’une famille palestinienne décimée dans une attaque menée par des extrémistes israéliens, s’est mis en route mardi pour aller rencontrer ses idoles du Real Madrid, ont indiqué ses proches et le patron du sport palestinien à l’AFP.

    Ahmed et ses grand-parents vont passer en soirée la frontière entre la Cisjordanie occupée et la Jordanie, pour prendre un vol à Amman à destination de l’Espagne, a déclaré à l’AFP son grand-père Hussein.

    Là, Ahmed est censé rencontrer son idole : le triple Ballon d’or Cristiano Ronaldo, la star du mythique club de football qui l’avait invité à lui rendre visite quand il serait en état de voyager.

    Il se réjouissait mardi à cette idée, affirmant à l’AFP qu’il prendrait « l’avion pour le Real » en souriant, sous le bonnet médical qui recouvre son cuir chevelu en grande partie brûlé, aux officiels palestiniens qui lui ont remis des fleurs au siège du gouvernorat de Naplouse avant son départ.

    Ahmed était encore jusqu’à récemment hospitalisé près de Tel-Aviv pour de graves brûlures subies le 31 juillet 2015 dans l’incendie criminel de la maison familiale à Douma, près de Naplouse, en Cisjordanie.

  • L’université d’Ariel boycottée par plus d’un millier de sociologues israéliens | Publié : 14/03/2016
    http://www.i24news.tv/fr/actu/israel/politique/106133-160314-l-universite-d-ariel-boycottee-par-plus-d-un-millier-de-sociol

    L’université, située en Cisjordanie, « déçue du comportement semi-fasciste » de ceux qui « refusent le dialogue »

    Plus d’un millier de sociologues israéliens devraient annoncer lundi la réduction de leurs partenariat avec l’université d’Ariel « car elle ne se trouve pas sur le territoire de l’Etat d’Israël », indique la radio militaire Galeï Tsahal.

    L’université d’Ariel est située en Cisjordanie à environ 25 minutes de Tel-Aviv en voiture.

    « Nous ne coopérerons pas avec l’institut nommé université d’Ariel, qui n’est pas situé dans les limites de l’Etat d’Israël », a déclaré au micro de Galeï Tsahal Uri Ram, le président de la Société israélienne de Sociologie.

    Le ministre de l’Education et président du parti Baiyt Hayehudi (national-religieux) Naftali Bennett n’a pas tardé à réagir à cette annonce. « le boycott est le contraire de l’éducation. Le boycott, ce n’est pas le pluralisme, c’est le contraire et il sera traité en tant que tel », a déclaré Bennett.

    La direction de l’université d’Ariel a également commenté l’intention des sociologues : « nous sommes surpris et déçus du fait que des gens dont la bannière et le symbole de leur corporation est le pluralisme pronent un comportement semi-fasciste qui n’acceptent les le dialogue et des opinions différentes des leurs. Nous sommes persuadés que cette position est une opinion minoritaire au sein des sociologues ».

  • IL FAUT SAUVER LE SOLDAT BOURGET !
    Etienne Pellot | 8 février 2016
    Proche&Moyen-Orient.ch
    http://prochetmoyen-orient.ch/editorient-du-8-fevrier-2016

    (...) Dans un premier temps – écoutez bien ! – le TGI de Paris déclare que Jacques-Marie Bourget n’est pas une victime puisque son statut est celui d’un soldat… Et les magistrats ajoutent que « se prononcer sur l’origine de la blessure du journaliste serait s’immiscer dans la politique d’un état étranger et démocratique ». Autrement dit, si un agent israélien a tiré sur le reporter français, c’est qu’il avait de bonnes raisons ! Fermez le ban.

    En appel les juges du TGI lisent les faits et le droit tout autrement. William Bourdon – l’avocat du reporter – glisse la Convention de Genève et celle d’Athènes sous le nez de la cour : un journaliste en zone de conflit reste un civil qu’il faut protéger, ou pour le moins épargner. Que d’efforts pour atteindre le pic du bon sens. L’envoyé de Paris-Match, (abandonné par sa rédaction), est donc une victime qu’il faut indemniser. Patatras, cette décision – qui par sa jurisprudence est une très bonne nouvelle pour tous les « reporters de guerre » – est frappée d’un recours devant la Cour de cassation !

    Résumons. Un journaliste français est tiré comme un gibier par un soldat israélien. Personne ne bouge pour demander des comptes à Tel-Aviv, ni pour soutenir le rescapé. Puis, quinze années après le drame, un tribunal reconnait enfin que l’homme de plume est une « victime ». Très bien ! Et là, subitement un Fonds de Garantie, placé sous l’autorité du gouvernement français, conteste cette qualité, à la fois à Jacques-Marie Bourget et, au-delà, à tous les confrères tués ou blessés en « zone de conflit ». On atteint les sommets de l’indicible !

  • Entre Israël et l’Allemagne, des relations pas très conventionnelles -
    par Maxime Perez -Publié le 08 février 2016
    http://www.jeuneafrique.com/mag/296305/politique/entre-israel-lallemagne-relations-tres-conventionnelles

    (...) Ce bâtiment de guerre – U-212 de classe Dolphin – dispose d’une autonomie de cinquante jours et peut opérer sur un rayon de 10 000 kilomètres. Sur requête israélienne, le constructeur allemand HDW aurait aménagé dans chaque sous-marin quatre tubes de 650 mm pour les missiles de croisière de longue portée. Des Popeye Turbo, croit savoir Der Spiegel, d’une portée de 1 500 km et, surtout, pouvant charger des têtes nucléaires.

    L’Allemagne, partenaire d’Israël depuis 1952

    Si Tsahal est en passe de doubler sa flotte sous-marine, elle le doit d’abord aux largesses du gouvernement allemand. En 2005, le ministère israélien de la Défense signe un contrat avec l’entreprise Thyssenkrupp pour acquérir deux navires submersibles. La même année, Angela Merkel visite l’État hébreu à trois reprises et propose de prendre en charge un tiers de la commande, estimée à 2 milliards d’euros. En 2011, un accord est trouvé pour la livraison d’un troisième sous-marin Dolphin. Là aussi, Berlin s’engage à régler une partie de la facture.

    À cette époque, les relations israélo-allemandes ne sont pourtant pas au beau fixe. La chancelière allemande est exaspérée par l’attitude de Netanyahou sur le dossier palestinien. Sous la pression des sociaux-démocrates du SPD, qui l’appellent à interrompre ses ventes d’armes à Israël, comme au temps de la seconde Intifada, en 2000, Merkel se résout à conditionner la livraison des Dolphin à un gel de la colonisation, avant de se rétracter. Au sein du SPD, certaines voix dénoncent aujourd’hui une « tromperie ». La presse germanique est encore plus sévère.

    D’anciens hauts fonctionnaires allemands révèlent que Berlin connaissait l’existence du « projet Samson » – le programme nucléaire israélien – depuis 1961

    « L’Allemagne veut compenser ses crimes contre le peuple juif en faisant d’Israël le plus grand danger contemporain », écrit le journaliste Jakob Augstein. D’anciens hauts fonctionnaires allemands révèlent alors que Berlin connaissait l’existence du « projet Samson » – le programme nucléaire israélien – depuis 1961. L’affaire devient embarrassante, d’autant que Tel-Aviv n’est pas signataire du Traité de non-prolifération nucléaire (TNP).

    La mauvaise conscience allemande dicte les rapports avec l’État hébreu bien au-delà de l’accord de compensation économique signé entre les deux pays en 1952. Dans les années 1990, l’Allemagne avait déjà offert deux sous-marins à l’armée israélienne, puis financé la construction d’un troisième appareil à hauteur de 50 %. À l’époque, le chancelier Helmut Kohl souhaitait se racheter de l’implication de firmes allemandes dans le renforcement de la machine de guerre de Saddam Hussein. Le choix de sous-marins offrant à l’État hébreu une « capacité de seconde frappe » nucléaire n’est pas anodin. En 2005, Angela Merkel déclarait à la Knesset : « La sécurité d’Israël fait partie de notre raison d’État. »

  • La Turquie et “que sont ses amis devenus”...
    http://www.dedefensa.org/article/la-turquie-et-que-sont-ses-amis-devenus

    La Turquie et “que sont ses amis devenus”...

    Il y a quelques jours, le 21 janvier, le ministre de la défense israélien Moshe Yaalon disait dans une conférence à Tel-Aviv qu’entre l’Iran et Daech triomphant en Syrie, il préférait sans aucun doute l’organisation terroriste Daech : « “Si je devais choisir entre l’Iran et Daech, je choisirais Daech”, a déclaré Moshe Yaalon, le ministre israélien de la Défense lors d’une conférence à Tel-Aviv. L’homme politique a estimé qu’il valait mieux que la Syrie tombe entre les mains de Daech plutôt que de l’Iran, car “Téhéran reste le pire ennemi d’Israël”, [il] est “plus puissant que Daech” et plus difficile à combattre... »

    Le 26 septembre, cinq jours plus tard, Yaalon était en visite en Grèce. (Pour ce qui est la Grèce et du vertueux Tsipras, nous (...)

    • Après la rencontre entre les deux ministres de la défense (Kammenos et Yaalon), le ministre grec a fait une déclaration en forme de communiqué pour résumer cette rencontre, dont les deux principaux thèmes étaient effectivement le terrorisme et l’émigration. A une question d’un journaliste à propos de la Turquie, le ministre grec a répondu très précisément même si dans une forme très diplomatique : « ...La vérité est que la majorité du pétrole vendu en contrebande par Daesh l’est par l’intermédiaire de la Turquie et sert à financer le terrorisme. Il serait profitable que la Turquie décide de changer d’attitude, qu’elle stoppe de coopérer avec le terrorisme et de lancer des actions qui posent de nouveaux problèmes dans la région, qu’elle utilise l’argent de l’UE pour stopper le flot de réfugiés qui passe par les côtes de l’Asie Mineure ; [elle devrait faire cela] pour son propre bénéfice, et elle pourrait établir des échanges avec la communauté internationale, de façon à transformer la Méditerranée en une mer de paix, de prospérité et de stabilité. »

  • Miembros del ESL y la coalición siria visitan Tel Aviv
    http://www.almanar.com.lb/spanish/adetails.php?eid=117621

    Les « rebelles révolutionnairs » de (ce qu’il reste de) l’Armée syrienne libre en visite à Tel-Aviv ! Ils vont se rendre populaires chez eux.

    La Radio de Israel ha manifestado que representantes del así llamado Ejército Sirio Libre, que es descrito como la “oposición siria moderada” por EEUU y otros estados occidentales, han participado en la reciente conferencia del Instituto de Seguridad Nacional de Tel Aviv.

    El coronel Abdul Yabbar Aqidi, del ESL, intervino en esta conferencia, que reunió a altos líderes militares y políticos israelíes y a otras personalidades extranjeras de tendencia pro-israelí, a través de una videoconferencia en la que afirmó que “el ESL es capaz de eliminar al EI, Hezbolá y la rama de Al Qaida en Siria, el Frente al Nusra”.

    #syrie

  • إسرائيل تُقّر : خططنا لعقد مؤتمرٍ للمعارضة السوريّة في تل أبيب للإعلان رسميًا عن العلاقات الوطيدة والسريّة والرسميّة معها ولكنّ الخشية من روسيا منعتنا من ذلك | رأي اليوم
    http://www.raialyoum.com/?p=374141

    Selon une source israélienne [apparemment un canard appelé « al-masdar » ?], les Israéliens reconnaîtraient qu’ils « avaient prévu d’organiser une conférence de l’opposition syrienne à Tel-Aviv pour annoncer officiellement l’existence de relations secrètes amicales (entre eux et cette opposition) mais qu’ils en ont été empêchés par crainte des Russes. »

    #syrie