HELP ! Je vais partir en vacances et j’ai plein de livres sérieux à lire, mais je manque de vraiment très bons romans sans lesquels les vacances ne sont pas des vacances.
Des suggestions, anyone ?
HELP ! Je vais partir en vacances et j’ai plein de livres sérieux à lire, mais je manque de vraiment très bons romans sans lesquels les vacances ne sont pas des vacances.
Des suggestions, anyone ?
Vous recommande chaudement Franziska Linkerhand de Brigitte Reimann, auteur majeure de l’ex-Allemagne de l’est pour la première fois publiée en France (De l’incidence éditeur).
Ça dépend de ce que tu aimes lire, comme genre.
Si je peux me permettre... « Du sexe » de Borys Le Roy chez Actes sud, traitant de genre et de politique en mode satirique... pas très vacances pour autant !
Mon dernier gros coup de cœur fut pour Leonora Miano « La saison de l’ombre » Grasset
Le polar, je n’y connais pas grand chose. Mais en SF, après les classiques (Fondation, Dune, K. Dick... que tout le monde a lu), je recommande vivement : Axiomatique, Océanique et Radieux de Greg Egan, Rainbows End de Vernor Vinge, Kirinyaga de Mike Resnick, la Tour de Babylone de Ted Chiang. On m’a beaucoup recommandé récemment The City & The City de China Mieville... que je vais m’empresser d’aller lire.
Ahhhh, @mona... la SF. Indispensable pour se décrasser l’esprit. Sur les conseils de @jean_no, j’ai passé l’été surtout la série de La Culture, de Ian Banks, mais il est probable que tu l’as déjà fait. Là, en ce moment, je me traine un peu sur la série Les Univers multiples de Stephen Baxter qui est un chouia trop libertaprout pour moi, limite fatigant, mais son univers est quand même intéressant. J’avais trouvé sa série Les enfants de la destiné bien plus féconde, même s’il faudrait vraiment qu’il arrête de se faire des IV de Ayn Rand le matin au saut du lit.
Un que j’adore sans modération aucune, c’est Andreas Eschbach, très bon décrassage, super bien écrit, très affûté.
Sinon, bien qu’étant très modérément fantaisy, j’ai trouvé la saga du Trône de Fer bien meilleure que la série dont la dérive putassière me déprime de plus en plus.
Après, on m’a chuchoté de lire 1Q84 de Murakami, quand j’aurais le temps.
Sinon, niveau polard, je suis une buse. J’ai une copine passionnée qui tient un blog à son image sur le sujet : ►http://carnetsnoirs.wordpress.com
et sinon, monsieur Monolecte a beaucoup apprécié les deux premiers volumes des aventures de Fafouine Babouin, un truc très spécial, puisqu’il s’agit d’un polar polar rural, je dirais même plus, d’un polar gascon : ▻http://fafouine-babouin.com
Le pitch du n°5 (Valsez machos !), juste pour rigoler :
Un sordide assassin a décidé de salement régler leur compte aux machos de la région. Et ses méthodes ne relèvent pas de la Bibliothèque rose. Dédé Alibert, marchand de vin, Antoine Pêchedru, agent immobilier, Gaby Conchoux, disc-jockey, Paul Bardollet, colonel à la retraite : tous sont retrouvés plus morts que morts, totalement nus et soigneusement émasculés. Pourquoi ? Par qui ? Comment
?
Monsieur Monolecte te recommande en polar : n’importe quel Paco Ignacio Taibo II ou Cormac McCarthy.
Madame @monolecte a raison sur Song of Ice and Fire et Monsieur a raison sur Paco Ignacio Taibo II. Je rajoute en polar du Sud Andrea Camillieri (remarquable traduction de l’italien très spécial de Camillieri).
Je continue à lire à peu près tous les Pierre Bordage au fur et à mesure qu’ils sortent.
Super, merci beaucoup ! Je note tout.
@monolecte Je suis à jour du « Trône de fer » (malheureusement) ! De Bordage, j’avais adoré « Wang », mais ensuite j’ai trouvé « L’Evangile du serpent » vraiment nul et j’ai arrêté...
Faut pas jeter Bordage avec l’eau du bain. Oui, j’ai trouvé certains bouquins un peu lourdingues, mas pas tous. J’aime bien ses uchronies, comme Ceux qui sauront ou l’Enjomineur.
Sinon, Orson Scott Card, pas grand chose à jeter.
En polar, je confirme Andrea Camilleri… et ses recettes. :D
Et le Pepe Carvalho de Montalban.
En SF, tu peux lire la trilogie du non-A de van Vogt (cf @fil qui l’a relu récemment).
Ah, on me dit aussi que les livres de @bernard, ici présent, sont très biens (le dernier un polar, avant non). Peut-être qu’il peut reprendre de son passé de libraire pour t’aider. :)
@rastapopoulos oui Manuel Vazquez Montalban très très bon.
en roman noir j’avais bien aimé « Un nom de torero » de Luis Sepulveda
@rastapopoulos Le problème avec les livres de Montalban et de Camillieri, c’est que le héros du second s’appele Montalbano et que je confonds donc toujours.
Sinon, ceux qui ont aimé Camillieri apprécieront peut-être le chinois Qiu Xiaolong ▻http://seenthis.net/messages/199539
@Jean_no Oui, il faut lire les Dépossédés, ça ne se discute même pas.
Non, non, ne nous remercie vraiment pas... ;-)
J’arrive trop tard, mais bon... je suppose que vous avez déjà lu « Alamut » de Vladimir Bartol ?
@vanrubenchtrofen Jamais entendu parler :p
ça a l’air bien, mais c’est trop tard, effectivement ! L’année prochaine ! Ou avant si j’arrive...
@fil A peu près rien de ce qu’on m’a recommandé ici :D
J’ai lu « Dans le jardin de la bête » qu’on m’avait conseillé sur FB (oui je trompe Seenthis avec FB), c’est super. L’histoire de l’ambassadeur américain à Berlin et de sa famille pendant la montée du nazisme (ça se termine sur la Nuit des longs couteaux). C’est un boulot d’historien hyper minutieux qui se lit comme un roman. Génial pour observer comment les gens se comportent quand ils ne savent pas encore comment l’histoire va finir.
D’Alain Damasio, j’ai lu « La Zone du dehors » mais je n’ai pas aimé. Déjà, les longs débats du genre « la violence révolutionnaire est-elle justifiée », ça me rappelle le boulot. Et puis le côté viriliste m’a gavée. Le héros qui déplore que quand les opposants politiques reviennent de camp de rééducation on les retrouve « efféminés »... Les leaders de la révolution sont tous des hommes, la seule femme de premier plan est l’amante du héros et elle est décrite comme « plus animale » qu’eux, sans déconner (le héros est prof d’université, lui)... Je l’ai quand même fini, et ensuite j’ai voulu essayer « La Horde du contrevent », mais au bout de trois pages j’ai trouvé son style trop prétentieux et j’ai laissé tomber.
Même problème avec un roman néerlandais qu’on m’avait recommandé, « La découverte du ciel ». Assez vite l’un des deux héros sort une tirade comme quoi on a tort de parler d’intuition féminine, car seuls les hommes sont intuitifs, raison pour laquelle on leur doit toutes les inventions significatives de l’histoire de l’humanité. Après ça j’avais du mal à m’intéresser encore à ce garçon. En plus, c’est l’histoire d’un triangle amoureux, assez vite la fille est enceinte, puis elle a un accident et elle tombe dans le coma dont elle ne sort plus jamais. Son fils naît par césarienne et il est élevé par les deux héros masculins. En gros la femme sert juste d’utérus et les choses vraiment importantes se jouent entre hommes (mais je suis sûrement très injuste) (on devient parano, à force).
Je recommande aussi « Elles vivaient d’espoir » et « La Survivance » de Claudie Hunzinger.
Pas réussi à mettre la main sur le China Miéville avant de partir, mais je garde toute la liste sous le coude pour quand j’aurai fini d’écrire le mien, de livre :)
C’est vrai qu’à l’usage, le #sexisme est un très bon filtre, parce qu’il va souvent avec des tas d’autres trucs intellectuels rances.
Toxic Algae Bloom Leaves 500,000 Without Drinking Water in Ohio | EcoWatch
▻http://ecowatch.com/2014/08/03/toxic-algae-bloom-500000-without-drinking-water-ohio
The City of Toledo has issued a “Do Not Drink” advisory for residents served by Toledo Water after chemical tests confirmed the presence of unsafe levels of the algal toxin Microcystin in the drinking water plant’s finished water. The advisory, spanning three counties in Ohio and one in Michigan, leaves more than 400,000 people in the Toledo area without drinking water.
Les cyanobactéries ou algues bleues ne sévissent pas seulement dans les rivières bretonnes, elles sévissent partout ! M’enfin il faut attendre la fin de l’article pour en connaître les causes
Commonplace in Lake Erie in the 1960s, toxic algal blooms disappeared from the lake following international, national and state efforts to reduce the phosphorus pollution that drives them. The federal Clean Water Act of 1972 was especially important for reducing phosphorus from city sewage plants and other “point” sources that discharged pollutants from a pipe. The CWA, however, did little to address phosphorus runoff from farms and lawns, known as “nonpoint” sources. Researchers have shown that a rise in phosphorus levels—particularly a form of the nutrient that is readily available to promote algae growth—has coincided with renewed blooms in Lake Erie, and international agencies have called for a reduction in phosphorus to alleviate problematic blooms in Lake Erie and elsewhere in the Great Lakes. The largest bloom ever recorded on the lake occurred in 2011. Scientists and environmental groups say addressing agriculture is particularly important for reducing the blooms.
Pour l’omc, les causes sont, euh.... je sais pas
Les causes
Les cyanobactéries sont également connues sous le nom d’algues bleues, parce que ces micro-organismes présentent les caractéristiques des algues et des bactéries, bien qu’elles soient maintenant classifiées comme bactéries. La couleur bleu-vert provient de leur capacité de photosynthèse, identique à celle des plantes.
Plus de détails ici
▻http://www.plancton-du-monde.org/module-formation/cyano_02.html
L’eutrophisation existe depuis toujours. Elle est provoquée par l’apport important de phosphore et d’azote dans des eaux peu profondes et à des périodes de fort ensoleillement. C’est un phénomène naturel s’autorégulant et sans réel danger dans un milieu en équilibre. Ses manifestations se sont accélérées depuis un demi-siècle et les secteurs touchés se sont étendus. Son augmentation est due à l’intensification des activités humaines (rejet d’eaux usées, diffusion d’engrais azotés…) et ses conséquences peuvent représenter un risque pour la santé publique. Plus de la moitié de la population mondiale vit actuellement sur le littoral, lieu d’échanges entre terre et mer. Dans cette zone de concentration intense, la présence excessive de certains phytoplanctons dans les eaux côtières est problématique.