city:trump

    • 230 personnes ont été arrêtées lors de manifestations en marge de l’inauguration du nouveau président, à deux pas de la Maison-Blanche, à Washington, vendredi 20 janvier. Six journalistes qui couvraient le défilé, sans participer aux quelques dommages causés par des casseurs (vitrines brisées et une limousine incendiée), sont accusés de crime. Ils ont été libérés, mais risquent 10 ans de prison et 25.000 $ d’amende. Les audiences auront lieu en février ou mars.
      « Des accusations criminelles, bizarres et inédites pour des journalistes ici, en Amérique, qui ont simplement fait leur travail, a déclaré Suzanne Nossel, directeur exécutif de Pen America. Ils n’étaient même pas au mauvais endroit au mauvais moment. Ils étaient au bon endroit. » Carlos Lauria, porte-parole et coordonnateur principal du Comité pour la protection des journalistes, a qualifié les accusations de « totalement inappropriées et excessives », et l’organisation a demandé qu’elles soient abandonnées immédiatement, car « cela pourrait constituer un message de menace aux journalistes qui couvriraient de prochaines manifestations ».

      #censure #journalisme

  • Les chattes contre-attaquent
    http://romy.tetue.net/pussy-hat-anti-trump

    Le Pussyhat Project est bien plus qu’un simple signe visuel distinctif. C’est aussi une façon de tisser des liens : l’occasion de se réunir pour tricoter ensemble et partager, pour se réconforter de l’affront d’une telle élection et ouvrir le dialogue sur les droits des femmes. S’appuyant sur les pratiques artisanales, ce projet montre aussi aux participantes qu’elles peuvent s’engager simplement, de là où elles sont, en contribuant avec ce qu’elles savent faire, ici et maintenant, de façon autonome.

    #pussyhatproject #pussyhat #knitting

    • BALLAST | Résister à Trump par le bas
      https://www.revue-ballast.fr/resister-a-trump-bas

      La grande Marche des femmes a, comme rarement, rassemblé les foules afin d’affirmer la solidarité de tous les opprimés — femmes, travailleurs exploités, minorités ethniques, religieuses, sexuelles, victimes civiles de guerres impérialistes américaines. Comme l’a remarqué le cinéaste Michael Moore, « Trump est un grand unificateur » ! Ces énormes masses hétéroclites, bien que solidement unifiées, se sont rassemblées suite à l’initiative Facebook d’une poignée de femmes anonymes. Contre la misogynie et le racisme affichés de Trump, chacun d’affirmer que l’oppression des femmes est à la base de toutes les autres. On y a vu beaucoup de jeunes qui battaient le pavé pour la première fois, aux côtés de vétérans de toutes les manifestations depuis la guerre du Viêt Nam et Martin Luther King.

  • La #résistance à Trump s’organise dans les rues des grandes villes américaines
    https://www.mediapart.fr/journal/international/220117/la-resistance-trump-sorganise-dans-les-rues-des-grandes-villes-americaines

    Des manifestantes, samedi 21 janvier 2016 à #Washington © TC Des millions de personnes ont manifesté dans le monde pour rejeter le nouveau président des États-Unis. Alors qu’il s’agissait au départ de défendre le droit des #femmes, le mouvement est devenu une coalition de toutes les oppositions à Trump. Combien de temps durera cet élan ?

    #International #Amérique_du_nord #Donald_Trump #Etats-Unis #féminisme #inauguration #manifestation

  • Aventures de Trump dans les griffes du mandarin
    http://www.dedefensa.org/article/aventures-de-trump-dans-les-griffes-du-mandarin

    Aventures de Trump dans les griffes du mandarin

    On a tous dit ouf. On évite au moins la guerre nihiliste des néocons et des harpies comme Hillary et Angela. On va peut-être vers une déconstruction de l’Europe post-nazie que l’on a construite depuis les années 80, et que mon ami John Laughland avait décrite sans sa Tainted Source. En tant que patriotes on doit observer encore comme en 40 que les dangers ne viennent jamais pour nous du supposé complot judéo-bolchévique mais de l’extrême-droite supranationale, celle des banquiers et des dynasties (monarques russophobes et tous membres de plein droit des Bilderbergs), des hauts fonctionnaires gourmands et des rêveurs illuminés et post-terriens. Ils en veulent tous à mort à Trump d’ailleurs.

    Trump peut construire un mur, on s’en fout. Les autres (...)

  • #États-Unis : l’Alt-Right ou l’extrême droite selon Trump
    http://lahorde.samizdat.net/2017/01/18/etats-unis-lalt-right-ou-lextreme-droite-selon-trump

    À J-2 avant l’investiture de Trump à Washington, tout le monde se prépare, et pas seulement les camarades antifascistes et antiracistes. Les fachos, derrière Trump, sont de plus en plus présents sur les réseaux sociaux, vouant toute protestation radicale (ou pas d’ailleurs) aux gémonies. Mais qui sont-ils ? On en a un peu entendu parler [&hellip

    #Disrupt_J20

  • Humeur de crise-29
    http://www.dedefensa.org/article/humeur-de-crise-29

    Humeur de crise-29

    06 janvier 2017 – Il s’agit d’une simple vidéo sur MSNBC, quelques dizaines de secondes d’un échange entre Rachel Maddow et le sénateur démocrate Schumer. Maddow lui présente un document où un anonyme de la CIA proteste à propos du rendez-vous de la CIA avec Trump. Schumer, vieille ordure de Wall Street, prend l’air finaud et diabolique qui convient pour dire qu’à continuer comme ça, il va lui arriver des problèmes, à Trump (« Let me tell you : You take on the intelligence community — they have six ways from Sunday at getting back at you »). Et Rachel, lesbienne, progressiste-sociétale, autrefois pourfendeuse talentueuse de GW Bush et de ses guerres épouvantables où la CIA tint son rang, qui boit ça comme du petit lait, l’annonce par la vieille ordure que la CIA pourrait régler son compte (...)

  • L’étrange destin de la vente libre des armes aux USA
    http://www.dedefensa.org/article/letrange-destin-de-la-vente-libre-des-armes-aux-usa

    L’étrange destin de la vente libre des armes aux USA

    On sait que la question de la vente libre des armes aux USA (armes à feu, armes de guerre, etc.) est un des très-grands débats opposant les conservateurs-populistes (favorables au maintien de la vente libre) aux libéraux et progressiste sociétaux de l’hypergauche (favorable à l’abrogation de la liberté de vente). La querelle a d’autant plus d’âpreté qu’elle implique la Constitution elle-même, où le droit de disposer d’armes est spécifié... Mais rien ne résiste à Trump-le-magicien !

    Donc, en septembre-octobre, les ventes d’armes montaient en flèche, essentiellement voire exclusivement chez les conservateurs qui craignaient qu’une victoire d’Hillary, annoncée partout, entraînât une interdiction rapide des ventes d’armes. Trump élu, on respire... On attend une (...)

  • Une nouvelle loi américaine interdit à Trump de détruire ISIS/Daech
    http://vilistia.org/archives/13175

    lundi 12 décembre 2016 Une nouvelle loi américaine interdit à Trump de détruire ISIS/Daech La capacité du président élu Donald Trump de détruire les terroristes de l’État islamiste (ISIS / ISIL / Daesh) a été réduite à néant la semaine … Lire la suite →

    #USA_TRUMP

  • La tentative de “Coup” contre Trump se poursuit
    http://www.dedefensa.org/article/la-tentative-de-coup-contre-trump-se-poursuit

    La tentative de “Coup” contre Trump se poursuit

    Après la mise en évidence de l’épisode Jill Stein au niveau de la communication (elle n’a jamais attiré autant d’attention sur elle, notamment pendant sa campagne), tout a semblé évoluer vers une certaine “normalisation” ces derniers jours. On a pu penser que l’opposition directe à Trump se dissipait, ou bien perdait son rythme. Certains signes font penser le contraire ; on notera par exemple l’annonce qu’une quinzaine de Grands Électeurs affirment qu’ils ne voteront pas pour Trump, ou bien la mise en place d’un site qui se présente comme organisateur de l’assassinat de Trump.

    Il y a surtout, pour notre compte, une analyse assez longue d’un commentateur confirmé, Jeff Bridge, qui donne sur RT, le 2 décembre, une description extrêmement précise de l’attaque en (...)

  • C’est le ralliement des Démocrates au néolibéralisme qui a offert la victoire à Trump - Naomi KLEIN

    https://www.legrandsoir.info/c-est-le-ralliement-des-democrates-au-neoliberalisme-qui-a-offert-la-v

    Ils mettront ça sur le dos de James Comey et du FBI. Sur le dos des radiations des listes, et du racisme. Ils accuseront le ’Bernie ou rien’ [Bernie or bust] et la misogynie - les petits partis, les candidats indépendants. Ils accuseront les grands médias de lui avoir fourni la plate-forme, les réseaux ’sociaux’d’avoir été le mégaphone, et Wikileaks d’avoir déballé le linge sale.

    Dans tout cela, l’influence principale qui nous amène à vivre ce cauchemar éveillé est ignorée : le néolibéralisme. Cette vision du monde - totalement incarnée par Hillary Clinton et sa machine - ne fait pas le poids en face de l’extrémisme ’à la Trump’. C’est la décision de présenter celle-là contre celui-ci qui a scellé notre sort. Alors s’il-vous-plaît, si nous n’apprenons que cela, au moins tirons les leçons de cette erreur.

    Voici ce que nous devons admettre : énormément de gens souffrent. Avec les politiques néolibérales de dérégulation, privatisation, d’austérité et de business trans-national, leur niveau de vie a brutalement chuté. Ils ont perdu leurs boulots, perdu leurs retraites. La plus grande part du filet de sécurité - qui rendait ces pertes moins effrayantes -, ils l’ont perdue. Pour leurs enfants, ils anticipent un avenir encore pire que leur précarité actuelle.

    Pendant ce temps, ils ont assisté à l’avènement de la classe de Davos, un réseau hyper-connecté de milliardaires de la banque et de la technologie, de dirigeants élus excessivement familiers avec ces intérêts, et de stars hollywoodiennes qui font paraître tout cela odieusement glamour. Le succès est une fête à laquelle ils ne sont pas invités, et ils comprennent intimement que l’ascension de ces fortunes et de ce pouvoir est d’une façon ou d’une autre reliée directement à l’aggravation de leurs dettes et de leur pauvreté.

  • Des Trumps, des flics et l’abattoir | Megacombi
    http://audioblog.arteradio.com/post/3074038/des_trumps__des_flics_et_l_abattoir

    Après un sketch à Trump, on part à la manif des flics et on finit à l’abattoir. 2016 ? c’est cool... - Les enfants et la police (carte postale) - A la manif sauvage des policiers en colères (reportage de guerre) - La police tue quand même (édito) - Nouvelles d’un monde de blonds (journal) - Les abattoirs, extrait de « le seigneur des porcheries » de Tristan Egolf et recetted de cuisine (lecture, micro-trottoir) - Freestyle hun ! (freeson) Avec aussi le 9e épisode du feuilleton de l’exil de notre Gribish à Bruxelle (et même un peu plus près de nous). Durée : 1h03. Source : Radio Canut

    http://sons.audioblog.arteradio.com/audioblogs/sons/3012947/3076312_MegaCombi295-PT187-16112016_Trum_Flics_Abbatoir.mp

  • Bolton, la première crise interne de Trump ?
    http://www.dedefensa.org/article/bolton-la-premiere-crise-interne-de-trump

    Bolton, la première crise interne de Trump ?

    La variété des soutiens qu’a réunis Trump tout en restant un homme seul, – ce qui est la marque même de l’antiSystème qui rejette l’étiquette-Système pour le soutien en dépit des différences, – a fait craindre à mesure qu’il s’approchait de la victoire des difficultés non négligeables pour son gouvernement, à commencer par les nominations de son cabinet et de son administration. La nomination de Steve Bannon comme “conseiller stratégique” n’est pas une de ces difficultés parce qu’elle ne déchire pas le soutien à Trump, elle ne fait que relancer le spasme hystérique des anti-Trump. Par contre, une polémique plus sérieuse se développe autour de la nomination d’un secrétaire d’État.

    Après les premiers noms de favori(s) (tel Newt Gingrich), qui ne sont pas hors-course pour (...)

  • Urgent : Qui assassine les officiers d’Al-Qaïda depuis le 9 novembre ?
    http://www.brujitafr.fr/2016/11/urgent-qui-assassine-les-officiers-d-al-qaida-depuis-le-9-novembre.html

    Obama fait le ménage avant de passer les clés à Trump ! Vaut mieux pas laisser trop de traces Depuis la défaite d’Hillary Clinton aux États-Unis, plusieurs officiers jihadistes ont été assassinés non seulement à Alep-Est, mais aussi à Idleb et à Rakka,...

  • Jean Claude Juncker ou l’arrogance et le mépris - RipouxBlique des CumulardsVentrusGrosQ
    http://slisel.over-blog.com/2016/11/jean-claude-juncker-ou-l-arrogance-et-le-mepris.html

    « La politique et l’art d’empêcher les gens de se mêler de ce qui les regarde ». Paul Valéry.
     
    Ce matin, je suis importuné par les radios Françaises. Elles ressassent les ignobles propos tenus par Jean Claude Juncker, président de la Commission Européenne !.
    Son arrogance et son mépris à l’encontre de Donald TRUMP, ils sont intolérables. La déclaration de ce monsieur Juncker reflète-t-elle ce qu’en pense les 27 chefs des Etats de la zone euro ?.
     
    Ce président Juncker, non élu, doit être contredit et sanctionné pour ses élucubrations à l’égard du Président Américain et à l’encontre du peuple américain qui l’a élu.
     
     

    Conclusion empruntée à Talleyrand : " La politique, c’est une certaine façon d’agiter le peuple avant de s’en servir ".
     
     

     
    « Il faudra apprendre à Trump ce qu’est l’Europe, dit Juncker »
     

     
    Extraits :
     
    "Il faudra que nous apprenions au président désigné en quoi consiste l’Europe et quels sont les principes de fonctionnement de l’Europe", a déclaré Jean-Claude Juncker
     
    "Les Américains en règle générale ne portent aucun intérêt à l’Europe. C’est vrai pour la classe politique, c’est vrai pour l’Amérique profonde. Ils ne connaissent pas l’Europe", a déclaré l’ancien Premier ministre du Luxembourg et ancien président de l’Eurogroupe.
     
    "Je crois que nous aurons deux années de temps perdu jusqu’à ce que M. Trump ait fait le tour du monde qu’il ne connaît pas", a déclaré Jean-Claude Juncker
     
    Vendredi 11 novembre 2016 http://www.reuters.fr
     

     
    Spécialités médias, des journalistes Français,
    C’est nager en eau trouble, entretenir le doute.
    Élection Donald TRUMP dévoile leurs excès.
    Le Président Hollande affirme coûte que coûte,
    La future présidente, c’est Hillary Clinton.
    Son chat noir le poursuit même au États-Unis.
    Les sondages et médias avaient le même iPhone.
    Le peuple américain ne vit pas dans le déni.
     
    http://zen-fiatlux.blogspot.fr/2016/11/specialites-medias-des-journalistes.html

  • Mr Gorbatchev Goes to Washington
    http://www.dedefensa.org/article/mr-gorbatchev-goes-to-washington

    Mr Gorbatchev Goes to Washington

    09 novembre 2016 – Une fois l’événement accompli, seulement “alors”, on en prend la mesure. La victoire de Trump est une formidable victoire, non pas de Trump mais de la politique de “la rage cosmique” de l’électeur américain (je ne dis pas “électeur américaniste”, hein ! Sacrée nuance...). Cette victoire s’est faite contre toutes les forces du Système, mobilisée en permanence pendant des mois et des mois.

    Selon Newt Gingrich, qui donnait une estimation à mon sens très raisonnable, cette opposition infamante et totalement illégitime, notamment pour ce qui est de la presse-Système, a couté autour de 20% des voix qui auraient du aller à Trump ; imaginez quel triomphe c’eût été... Pris entre mille commentaires, voici celui de Burt Prelutsky, lundi, la veille du vote, qui (...)

  • Trump a déjà gagné ! - RipouxBlique des CumulardsVentrusGrosQ
    http://slisel.over-blog.com/2016/11/trump-a-deja-gagne.html

    On ne vous l’a pas encore annoncé ?

    Vous m’en voyez désolée alors, mais je ne peux pas m’empêcher de tenir votre secret pour un secret de polichinelle...

    J’annonce la couleur :

    Trump a déjà gagné en nous mettant nez à nez avec l’Amérique américaine, cynique et impudique... Adorée, argentée et bronzée.

    Grâce à Trump, on sait que les jeux sont toujours faits, que les gagnants ont du mal à perdre et que les perdants espèrent toujours gagner.

    Dans ce grand pays, on peut tout perdre, excepté la magie de la perte. Surtout pour celui qui croit pouvoir tout gagner, sous prétexte que l’espoir ne se perd jamais...

    C’est le rêve américain : avec rien, on peut arriver à quelque chose...

    Rêve qui pour la majorité des américains se transforme en cauchemar :

    Avec quelque chose, on n’arrive à rien ou à pas grand chose.

    L’assoiffé de savoir meurt avec sa soif.

    Le malade succombe à sa maladie

    Et l’affamé de justice crève de faim.

    Dans ce pays où tout est possible, les hommes meurent sans être ni heureux, ni lumineux.

    C’est une machine infernale qui torture avec de l’espérance.

    On y croit parce qu’on nous a vendu les raisons d’y croire.

    Et on continue de miser pour voir... et de se perdre sans s’en apercevoir !

    Sacré Trump, il a tout compris à cette forteresse vide de sens.

    Que pour être Président, il suffit d’avoir toutes ses dents et savoir faire de l’argent.

    Rien dans la tête, tout dans les poches...

    Ça coule de source, comme de l’eau de roche.

    La politique américaine, version républicaine :

    C’est du cinéma pour se faire de l’argent.

    Contrairement à la version démocrate qui cherche de l’argent pour faire du cinéma.

    C’est Trump qui l’a emporté en nous révélant que l’Amérique n’existe pas pour de vrai. Ce n’est qu’une projection...

    Pour nous autres, ce n’est que l’accomplissement hallucinatoire de notre désir.

    Désir d’être les esclaves d’une fiction, les victimes d’une hallucination

  • La concentration continue sur le marché des bus longue distance
    http://mobil.berliner-zeitung.de/wirtschaft/expansion-fernbus-marktfuehrer-flixbus-uebernimmt-konkurrent-


    La société Flixbus contrôle désormais plus de 80% du marché allemand. On n’entend pas un mot de la part du Kartellamt , l’administration chargée de garantir l’existence d’une concurrence digne de ce nom. Depuis l’introduction des premiers bus longue distance en 2013 les usagers profitent de prix extrêmement bas pendant la bataille pour les parts de marché. Avec la concentrantion de plus en plus avancée on s’attend à d’importantes augmentations des tarifs.

    Flixbus übernimmt Konkurrent Postbus

    Zum Kaufpreis wollte der Flixbus-Gründer keine Angaben machen. Der Deal werde aber zusätzliche Einnahmen von 15 bis 20 Millionen Euro jährlich bringen. Die Übernahme ist am Montag in Kraft getreten.

    Der Postbus war im November 2013 als Kooperation mit dem ADAC an den Start gegangen. Der Autoclub stieg im November 2014 aus dem Projekt aber wieder aus, die Post betrieb das Geschäft alleine weiter.

    „Wir wollen zum Beispiel die Küste häufiger anfahren und den grenzüberschreitenden Verkehr ausbauen, vor allem aber die Regionen stärken.“ Profitieren würden Kleinstädte, die bisher noch nicht an das Fernbus-Netz angeschlossen sind.

    Darüber hinaus wollen Flixbus und Post in der Logistik zusammenarbeiten. Derzeit testet das Bonner Unternehmen einen Express-Kurierservice zwischen Hamburg und Berlin, bei dem DHL-Pakete taggleich mit dem Fernbus versendet werden. „Wir prüfen, wie wir diesen Service gemeinsam mit FlixBus ausweiten“, sagte der Geschäftsführer von Deutsche Post Mobility, Joachim Wessels.

    Ende Juni hatte Flixbus bereits den britischen Konkurrenten Megabus übernommen und damit seine europaweite Expansion vorangetrieben. Anfang des Jahres besaß das im Februar 2013 gegründete Unternehmen nach Zahlen des Marktforschungsunternehmens Iges in Deutschland einen Marktanteil von 71 Prozent - vor Postbus mit 10 Prozent.

    Derzeit fährt Flixbus 900 Ziele an, rund 450 davon im deutschsprachigen Raum. Postbus bietet Verbindungen zu 112 Zielen an, etwa 85 davon in Deutschland, Österreich und der Schweiz.

    Le développement de sociétés privés de transport avec autobus se situe dans le cadre de la politique visant à détruire pour toujours les anciens monopoles des sociétés d’état. La Deutsche Bahn étant privatisée suit cette ligne. Elle ferme les dernières lignes de train régionales peu profitables et participe ainsi à l’étranglement des usagers par des prix dits du marché.

    Bref, on assiste encore une fois à l’expropriation de tous au profit d’investisseurs se cachant derrière des sociétés anonymes.

    Über Dein Fernbus Unternehmen → FlixBus
    https://www.flixbus.de/unternehmen/ueber-flixbus

    Vom deutschen Startup zu Europas Nummer 1

    FlixBus wurde von drei jungen Unternehmern in München gegründet, um nachhaltiges Reisen bequem und gleichzeitig bezahlbar zu machen. Zeitgleich startete „MeinFernbus“ aus Berlin mit grünen Bussen durch Deutschland.

    Nach dem Fall des Bahnmonopols in 2013 rollten die beiden Startups als führende Anbieter den Fernbus-Markt auf und setzten sich gegen internationale Großkonzerne durch. Seit dem Zusammenschluss der Teams in München und Berlin sind wir klarer Marktführer in Deutschland.

    Seit 2015 startet FlixBus auch international durch: Fernbusnetze in Frankreich, Italien, Österreich und den Niederlanden sowie grenzüberschreitenden Linienverkehr bis nach Skandinavien, Spanien, England oder Osteuropa. Reisende profitieren heute von Europas größtem Fernbusangebot.

    Hinter dem grünen Fernbusanbieter steht mittlerweile ein internationales Team aus knapp 1.000 Mitarbeitern an Standorten in München, Berlin, Paris, Mailand und Zagreb sowie mehrere tausend Fahrer unserer Partner aus ganz Europa. Jeder Einzelne trägt dazu bei, FlixBus und grüne Mobilität jeden Tag noch besser zu machen. Du hast Persönlichkeit und gleichzeitig den Teamgeist, um gemeinsam mit uns den Fernbusmarkt Europas zu erobern? Dann bewirb Dich bei uns, wir haben den passenden Job für Dich.

    #Allemagne #transport #monopoles

    • Déjà fait… les flixbus mis en place, les trains de nuit ont été supprimés et les prix sur certains trajets sont déjà plus chers que le train.
      #stratégie_libérale voir aussi #ford, le premier a avoir racheté toutes les lignes de bus avant de les couler pour vendre ses voitures en se créant un #monopole. (mais je ne trouve pas de ref valable, on dirait que cette info n’existe plus)

    • C’est assez classique : détruire des « monopoles » d’État sous prétexte que le privé, c’est plus efficace et moins cher (comment cela serait possible puisque les sociétés privées doivent — en plus du « service » — rémunérer le capital et faire de la publicité ?), parce que la concurrence, c’est bon pour notre poil.

      Après une première phase d’expansion où de petits opérateurs s’imaginent ramasser une part du gâteau et mettent en place le côté capillaire du réseau (celui qui coûte cher à développer), les gros font pression sur les prix (dumping, vente à perte), jusqu’à ce que les petits, qui n’ont pas la trésorerie pour faire face, lâchent l’affaire et revendent aux gros (pour les plus malins et rapides) ou se font essorer et reprendre pour des clous symboliques (pour ceux qui ont été assez bêtes pour croire qu’ils jouaient dans la même arène et qu’en persévérant, on finit par gagner).

      La guerre des prix (qui donne l’illusion aux consommateurs qu’ils sont gagnants) se poursuit sur le dos de « la masse salariale », des « liaisons déficitaires », ou des investissements (sécurité, infrastructures, matériel).

      Quand tout est bien nettoyé jusqu’à l’os, on a remplacé un monopole d’État avec prix régulés et comptes rendus à la population par un cartel privé qui a besoin de se refaire sur la bête : augmentation des tarifs à des niveaux jamais atteints auparavant (on vous a bien expliqué qu’il fallait rémunérer le capital en plus de tout le reste, et après la période de consolidation où le capital a claqué du bec, le capital a faim, il a même très très faim !), dégradation du service, des salaires, des conditions de travail, des outils, de la sécurité… jusqu’à ce que ça parte en couilles et que le vilain État doive remettre la main à la poche pour pallier aux dépenses de fonctionnement et d’investissement qui n’ont pas été réalisées correctement.

      Comme ça, client ou pas, tout le ponde paye pour un service moins bien et nettement plus cher !

    • Les transports donnent l’impression de se développer en force de frappe de la #disruption. Avec la privatisation disparaît la possibilité de vérifier les comptes et de tirer des conclusions précises, le travail de vérification étant mis entre les mains d’administrations en manque de fomctionnaires qualifiés.

      Depuis longtems la définition des tâches et stratégies des entreprises publiques en fonction des besoins de la société a fait place à la quête sans limites de la rentabilité. En Allemagne même l’administration publique est obligée à facturer ses « services » au prix coûtant.

      Les abus et fraudes sont omniprésents avec des branches professionnelles entièrement reprises par le crime organisé. On transforme en charnière entre l’économie officielle et les activités illicites les secteurs économiques où le paiement en espèces est coutume, rapprochant ainsi blanchiment d’argent et trafic de stupéfiants des activités économmiques légales.

      Nous observons l’empoisonnement par le non-droit d’un nombre grandissant de secteurs économiques, une situation déjà bien connue des bénéficiares des allocation SGB II / Hartz IV. Les dernières bastions du droit du travail et de l’état de providence demeurent les grandes entreprises et l’administration publique.

      Il est connu qu’à Berlin la majorité des restaurants (pas exclusivement) « italiens » et « chinois » sont victimes de rackets et constituent la facade pour le blanchiment d’argent, les autres restaurateur fraudent quand c’est possible.

      Les taxis fraudeurs
      http://www.berliner-zeitung.de/berlin/verkehr/steuerhinterziehung-die-meisten-taxibetriebe-in-berlin-arbeiten-ill

      Une étude récente, dont le résultat est basé sur des chiffres précis relevés auprès de la quasi totalité des entreprises taxi, vient de trouver que trois quarts des taxis de la capitale ne sont pas rentables. C’est est une preuve irréfutable de fraude fiscale et de non-paiement de primes d’assurance santé, de chômage et de retraite (il n’y a pas de sécurité sociale nationale comme en France, il s’agit d’assurances privées et semi-privées).

      Les résultats de l’étude taxi n’ont eu aucune conséquence. Les administrations compétentes et le gouvernement municipal ont explicitement exclu des mesures efficaces en utilisant comme prétexte la protection constitutionnelle de la libre entreprise.

      On ne parle pas des facteurs essentiels dans les médias francais

      Pourquoi la guerre VTC/taxis n’a pas eu lieu en Allemagne
      http://geopolis.francetvinfo.fr/bureau-berlin/2015/06/25/pourquoi-la-guerre-vtctaxis-na-pas-eu-lieu-en-allemagne.html
      Cet article nous explique que ne nombre et la qualité des taxis allemands (au fait l’auteure ne parle que de Berlin) est tellement bonne qu’Uber ne trouve pas de clients. C’est une idée superficielle qu’on risque de prendre pour plausible quand on ne connaît rien du métier.
      Malheureuement la raison pricipale pour le succès limité d’Uber dans les villes allemandes est tout aussi simple : Les taxis gagnent si peu que même les pratiques les plus brutales d’Uber ne permettent pas d’imposer des frais de main d’oeuvre en dessous des ce qui se pratique chez les taxis. Un chauffeur moyen gagne actuellement € 6,50 par heure , deux euros en dessous du SMIC allemand.
      L’article dit vrai quand il évoque le grand nombre d taxis. Depuis sa publication il y un an le nombre de taxis berlinois a augmenté de 7600 à 8200. Les 600 licenses supplémentaires ont surtout été délivrés aux fraudeurs qui n’en ont pas obtenu dans les autres grandes villes d’Allemagne.

      On ne peut que constater que les gouvernements de beaucoup de pays européens encouragent et organisent le démantèlement de toute structure protégeant les simples citoyens au profit des grandes entreprises faussement appellées nationales. Dans le cas de Berlin le gouvernment municipal donne l’impression d’être paralysé par les hypnotiseurs de l’économie startup ultra-libérale.

      Industrie 4.0
      https://en.wikipedia.org/wiki/Industry_4.0

      Quand on regarde du côté du gouvernement fédéral (appelé Bund ou Bundesregierung ) on tombe sur la campagne pour une industrie 4.0 . Il s’agit de transformer la production dans les usines dans des chaînes de production flexibles et fiables. Chacun y travaillerait partout et toujours quand la production l’exige.
      D’après l’avis de spécialistes de l’organisation industrielle il s’agit de l’énième tentative depuis les années 1960 d’introduire les mêmes procédés voués à l’échec. Pourtant il faut craindre que ce projet soit poursuivi avec plus d’envergure que dans la passé. Après l’introduction de l’informatique et de l’internet dans le sectuer primaire et tertiaire et les vagues de licenciement qui l’ont suivi on s’attaque au secteur de la production industrielle.

      Outre l’avènement des nouvelles technologies nous sommes aujourd’hui confronté à un ennemi plus expérimenté et décidé qui a réussi le démantèlement des PTT allemands Bundespost et des autres grandes entreprises d’état. L’expérience gagnée par l’incorporation de la RDA dans l’état allemand capitaliste joue aussi en sa faveur.

      Il faudra créer de nouvelles alliances interntionales et dépasser les revendications et structures syndicales du passé afin d’agir avec succès pour les intérêts du commun des mortels.

      #taxi #Berlin #capitalisme

    • Il y a eu orchestration de ce soit-disant retard politique pour éviter aux administrations d’Etat de prendre conscience des bouleversements technologiques qui aurait pu faire avancer la société. Depuis 78, à part créer illégalement puis légaliser des fichiers sur les us et coutumes de chacun avec comme but caché l’interconnexion des données, la surveillance globale et le démantèlement de la CNIL … rien (par exemple) n’a été mis en place pour créer un réseau public de covoiturage, pourtant l’Etat est parfaitement capable de prélever la TVA sur chaque produit que nous achetons. Ca a donc été une façon d’empêcher toutes innovations démocratiques, donc publiques, qui passaient par les échanges numériques (les interdictions ou restrictions sur le P2P, le Logiciel Libre, l’ouverture des savoirs, mais aussi l’inertie flagrante sur la co-économie covoiturage, colocation … etc) et ce n’est pas faute en France d’avoir eu des personnes qui ont tiré la sonnette ou s’y sont intéressés. Je dirais que cette #incapacité_politique d’anticipation créative est verrouillée de façon systémique, mais pas que. Oui, l’élitisme français n’est par essence pas novateur, le relais est toujours effectué par ceux qui ne veulent pas perdre leurs privilèges de caste avec leur conformisme de rigueur, mais il y a eu une stratégie pour empêcher cette innovation et pour laisser la place au privé et au libéralisme. C’est ainsi que je comprends ce que tu dis @klaus quand tu parles de corruption. Bref, énorme déception de ce que le numérique aurait put apporter non pas à quelques nantis mais à l’ensemble de la société.

    • @touti Les governements nationaux (je suppose surtout de d’Allemagne et du Royaume Uni) ont fait inscrire dans le droit européen la priorité des entreprises privées. L’état n’a plus le droit d’exercer une activité économique qu’après avoir apporté la preuve que les entreprises privées n’en sont pas capables. (qu’un spécialiste des directives européennes m’éclaircisse sur les coordonnées du texte précis s.v.p. ;-) ).

      Ce que tu décris est ni plus ni moins que le résultat voulu de la politique de nos gouvernements.

      Nous sommes arrivés à un point où tout ce qu’on nous a enseigné à l’école sur la relation entre l’état et la société n’est plus valable ou n’existe plus que sous forme de phrase vidée de son sens et transformée en mensonge.

      C’est pourqoui le pouvoir fait un bruit énorme autour des sujets peux couteux comme l’égalité des sexes alors qu’il est complètement égal si c’est Madame Merkel ou Monsieur Schöder qui nous gouverne. Je ne peux pas non plus dire que je préfère Madame Lagarde à Monsieur Strauss-Kahn tous aussi néfastes pour le monde les uns que les autres. Suivons la trace du fric et nous irons droit vers les sources des inégalités.

      P.S. L’engagement pour l’égalité des sexes est important mais il ne faut pas regarder le sujet sans son contexte.

    • @simplicissimus Même si la TVA est gérée par les entreprises, qui en ont l’obligation, cela permet bien à l’Etat comme tu le soulignes d’en tirer la moitié de ses ressources. Ou le discours du « Quand on veut, on peut » du libéralisme non appliqué à lui-même mais à l’individu. La comparaison vaut en ce que L’Etat a des moyens d’action étendus quand il le veut.

      @klaus je ne suis pas d’accord avec toi. Je constate qu’à chaque fois que le mot guerre (guerre sociale, au terrorisme etc) est employé, la préoccupation politique de la place des femmes recule, la guerre c’est du sérieux pour les couillus …

    • Les guerres se font toutes sur le dos des femmes : elles restent à la production, elles maintiennent cohésion sociale et tissu économique, elles produisent (de grès et souvent de force) les effectifs guerriers de remplacement, elles sont collectivisées dans l’effort de guerre, elles sont les premières victimes directes et elles se cognent l’effort de reconstruction avant d’être renvoyées à leurs cuisines.

    • Bref, énorme déception de ce que le numérique aurait put apporter non pas à quelques nantis mais à l’ensemble de la société.

      Tout ce qui se développe en contexte capitaliste bénéficie à terme au capital, parce que le mouvement de ce dernier n’est pas fondé sur un contenu particulier. Il faut d’abord sortir du capitalisme, et après on pourra juger ce qui est souhaitable ou pas de faire avec les techniques numériques (et le reste).

    • @touti : je pense que Klaus voulait souligner que l’égalité des sexes est une thématique utilisée pour détourner des enjeux moins avouables (moins avouables, pas moins importants, évidemment). Cf. par exemple en ce moment même aux US où le sexisme, le racisme, l’homophobie sont utilisés pour valoriser Clinton face à Trump, tout en oubliant les actes des démocrates, des élites, et de Clinton en personne quand elle était au pouvoir. Dans ce contexte, le moins avouable, c’est la perpétuation de l’ordre des choses actuel (soutien sans faille à Wall Street, soutien sans faille au chaos au Moyen Orient et en Europe de l’Est, et en Asie, soutien sans faille à la dérégulation généralisée et au démantèlement des états au profit des transnationales (TIPP...)...).

    • @touti La corruption étant le principe de base du système capitaliste elle est supportable tant qu’elle respecte les règles imposées par le système politique (on parle d’un état de droit) et tant qu’on se situe du côté des gagnants.

      En Allemagne le gouvernement rouge-vert (social-démocrates et verts après les purges de la gauche fondatrice du parti) a introduit une sorte de tiers-monde au sein de l’Allemagne même avec son Agenda 2010 .

      Depuis l’état de droit se trouve en érosion constante les victimes de l’introdution d’un secteur de bas revenus étant les premiers exposés à la nouvelle situation de non-droit.

      L’absence de la possibilité de recours juridique contre les puissants et les administrations est un facteur essentiel pour les pratiques de corruption, l’autre partie de la définition étant l’appropriation illégale de biens par l’exercice abusif du pouvoir dont on dispose.

      Avec la pauvreté de plus en plus généralisée et le dématèlement des droits envers l’état et les entreprises privée (par ex. du secteur de l’immobilier) on est de plus en plus exposé à la corruption et paie un prix de plus en plus élevé pour tout dont on a besoin.
      Le rapprochement des secteurs économiques officiels et illicites n’est qu’un aspect de ce phénomène.

      Qui sont les corrompus et leurs commanditaires ?
      Il y a les élites diverses qui participent à la transformation de l’état et de la société qui se font payer cher pour leur activités. Il y a les politiciens qui touchent des salaires plus élevés que nécessaires et profitent souvent d’occasions supplémentaires pour s’enrichir. Il y les spéculateurs, les industriels, les lobbyistes etc.

      Au fond rien n’a changé depuis le début de l’ère capitaliste.

      Reste à discuter si on peut appeller de la corrution légale les exemple d’avidité abusive qui ne constituent pas d’infractions évidentes au lois ou si on n’a le droit d’appeller de la corruption que les comportements définis dans le code pénal bourgeois. J’ai beaucoup de sympathie pour la première définition.

      #corruption

    • En matière de transports, l’État est bien le seul, parce qu’il ne cherche pas le profit, à pouvoir entretenir des lignes peu rentables.

      L’État n’a pas d’autonomie vis à vis du capital. Pour entretenir les lignes peu rentables, il doit d’abord prélever des moyens sur l’activité des entreprises (à moins de rétablir le travail forcé), ce qui n’est possible que si celles-ci réussissent d’abord et avant tout le processus de valorisation de la valeur pour lequel elles sont fondées (autrement, elles disparaissent, tout simplement, concurrence entre capitalistes oblige).

      Cette capacité à prendre en charge les lignes avec un moindre intérêt économique est donc directement corrélée à une accumulation réussie de capital (et toutes les nuisances que ça représente). Si la valeur d’usage (ici le transport) ne peut plus être soutenue par l’État, c’est bien que le capital est en panne depuis plus de 40 ans. Tant mieux en un sens, mais on voit bien que sa décomposition ne conduit pas mécaniquement à son abolition : il faudra s’y coller en dénonçant les derniers forçats qui défendent « les aspects positifs de la colonisation... euh de la marchandisation (y compris étatique) »

    • @aude_v le nom de famille des gosses ce n’est pas seulement symbolique, c’est une loi où l’Etat civil fait perdurer le patriarcat comme principe d’héritage, base forte du capitalisme.
      Au final, dans une société ou prime l’individualisme, on enferme les mômes dans les crèches, les écoles, puis quand on réduit les effectifs et qu’on ferme tout ça, il ne reste plus que la télévision pour se charger de leur éducation. Donner le droit à une femme de s’occuper de ses enfants le dimanche, c’est entériner aussi que nous est retiré le droit de nous occuper collectivement de nos enfants.

  • “Unfit” pour être POTUS ? Qui ? Tous les deux ?
    http://www.dedefensa.org/article/unfit-pour-etre-potus-qui-tous-les-deux

    “Unfit” pour être POTUS ? Qui ? Tous les deux ?

    Étrange situation. Il y a eu ces derniers jours une clameur, allant de Obama à Hollande, pour marteler que Trump est “unfit” : “incapable d’être président”, sans doute intellectuellement et du point de vue du caractère, et certains dans les talk-shows allant jusqu’à évoquer l’état mental et, – pourquoi pas ? – la nécessité d’un séjour dans un établissement psychiatrique. Une fronde de quelques heures des dirigeants républicains contre leur candidat, c’est-à-dire contre eux-mêmes, alla même jusqu’à émettre l’idée baroque qu’on pourrait le retirer de la course à la présidence. Cette élection présidentielle USA-2016 nous réserve bien des surprises.

    ... Car il ne faut certainement pas s’arrêter à Trump. La question se pose également pour Hillary Clinton, de savoir si, (...)

  • Cinq raisons pour lesquelles Trump va gagner | Michael Moore
    http://www.huffingtonpost.fr/michael-moore/trump-president-etats-unis_b_11192430.html

    Pouvons-nous parler en toute franchise ? En premier lieu, je dois avouer que j’aime bien Hillary Clinton. Je crois qu’elle est la cible de critiques non méritées. Mais après son vote en faveur de la guerre en Irak, j’ai promis de ne plus jamais voter pour elle. Je suis contraint de briser cette promesse aujourd’hui pour éviter qu’un proto-fasciste ne devienne notre commandant en chef. Je crois malheureusement qu’Hillary Clinton va nous entraîner dans d’autres aventures militaires, car elle est un « faucon » perché à droite d’Obama. Mais peut-on confier le bouton de nos bombes nucléaires à Trump le psychopathe ? Poser la question, c’est y répondre.

    Cela dit, notre plus grand problème n’est pas Trump mais bien Hillary. Elle est très impopulaire. Près de 70 % des électeurs la considèrent comme malhonnête ou peu fiable. Elle représente la vieille manière de faire de la politique, c’est-à-dire l’art de raconter n’importe quoi pour se faire élire, sans égard à quelque principe que ce soit. Elle a lutté contre le mariage gay à une certaine époque, pour maintenant célébrer elle-même de tels mariages.

  • The Donald-Patton et Hillary, et Sanders in extremis ?
    http://www.dedefensa.org/article/the-donald-patton-et-hillary-et-sanders-in-extremis

    The Donald-Patton et Hillary, et Sanders in extremis ?

    On ne manque pas de clamer haut et fort que pour la première fois, plusieurs sondages donnent Hillary et Trump à quasi-égalité, ou Trump en tête au niveau national, en supposant qu’ils soient les candidats des deux principaux partis ert les deux principaux candidats. Hier matin, l’institut de statistique et de sondage Rasmussen donnait, au niveau national, 42% à Trump et 37% à Hillary. Dans ce dernier sondage, il est notable que l’électorat noir, jusqu’ici considéré comme un point fort de Clinton, apparaît comme manquant notablement d’enthousiasme pour elle puisque seulement 57% des Africains-Américains interrogés affirment qu’ils voteront pour elle, le reste s’abstenant de voter plutôt que de voter pour Trump. C’est un très fort déficit pour (...)

  • Conseil de The Donald aux “cousins” : Brexit
    http://www.dedefensa.org/article/conseil-de-the-donaldaux-cousins-brexit

    Conseil de The Donald aux “cousins” : Brexit

    Cette fois, on pourrait, si l’on avait le goût de la simple équité chronologique, ne pas reprocher à Trump de n’en faire qu’à sa tête et de faire gaffe sur gaffe, d’une façon grossière qui montre son “amateurisme complet et son manque total d’expérience” en matière de politique extérieure, notamment comparé à la prodigieuse “compétence” de sa probable rivale. (Laquelle pourrait se voir interrogée sous peu par le FBI concernant sa “compétence” dans la maniement des emails top-secret.) C’est-à-dire qu’on ne devrait pas reprocher à The Donald de s’ingérer dans les affaires intérieures d’un pays qu’on dit souverain, – le Royaume-Uni en l’occurrence, – en disant son avis selon lequel il serait de l’intérêt des Britanniques qu’ils choisissent de voter en faveur du Brexit. Après (...)