city:tunis

  • انطلاق المسابقة القرآنية الأعلى جائزة في العالم (275 ألف دولار) في قطر | القدس العربي Alquds Newspaper
    http://www.alquds.co.uk/?p=638551

    Le Qatar, partenaire géopolitique (conférence de Tunis) et culturel (préservation du patrimoine) de la France lance la plus grande compétition sur la connaissance du Coran, avec un premier prix de 275 000 dollars. (La France ne s’y est pas associée.)

    #qatar

  • Manuel Valls à Tunis pour une conférence internationale des investisseurs - L’Orient-Le Jour
    http://www.lorientlejour.com/article/1020826/manuel-valls-a-tunis-pour-une-conference-internationale-des-investiss

    Le Premier ministre français Manuel Valls est arrivé lundi à Tunis, où il doit rencontrer en soirée le président et le Premier ministre tunisiens avant de participer mardi à une conférence internationale des investisseurs, a constaté une journaliste de l’AFP.
    Plusieurs centaines de participants sont attendus à ce rendez-vous qui doit contribuer à la relance de l’économie tunisienne, en difficulté six ans après la révolution contre la dictature de Zine El Abidine Ben Ali.

    Pas un mot dans les médias sur le fait que la conférence Tunisie 2020, à laquelle se rend Valls et dont l’objectif déclaré est de « marketter la Tunisie » est un projet « pensé » par la diplomatie française mais payé par le Qatar.

    http://www.huffpostmaghreb.com/2016/11/22/tunisie-investissement-mo_n_13147504.html « La France et le Qatar sont les partenaires ou les parrains de l’événement », a ajouté Mourad Fradi. une quarantaine de délégations sont, par ailleurs, attendues parmi lesquelles Manuel Valls et l’Emir du Qatar, le Premier ministre algérien et de nombreuses autres personnalités venues accompagnées d’un certain nombre d’hommes d’affaires.

    #tunisie #qatar

  • De retour au Quai d’Orsay, Boris Boillon est renvoyé devant la justice
    Simon Piel et Joan Tilouine, Le Monde, le 21 novembre 2016
    http://www.lemonde.fr/police-justice/article/2016/11/21/de-retour-au-quai-d-orsay-boris-boillon-est-renvoye-devant-la-justice_503538

    Proche de Nicolas Sarkozy, le diplomate, mêlé aux affaires libyennes, avait été arrêté gare du Nord à Paris en 2013, avec 350 000 euros et 40 000 dollars en liquide.

    En tant qu’ambassadeur de France à Tunis en 2011, M. Boillon a contribué, selon une note de la Direction générale de la sécurité extérieure, à l’exfiltration de Bechir Saleh, ancien directeur de cabinet de Kadhafi, soupçonné de détenir les secrets des relations financières franco-libyennes. La Libye s’enfonce alors dans la guerre, et le patron du renseignement intérieur, Bernard Squarcini, a chargé son ami l’intermédiaire Alexandre Djouhri de mener cette opération sensible. Boris Boillon est en lien téléphonique avec M. Saleh, à qui il aurait fourni une voiture de l’ambassade de France pour le récupérer à la frontière entre la Tunisie et la Libye. Puis Bechir Saleh sera reçu par Boris Boillon à Tunis le 15 novembre 2011. Il sera discrètement hébergé à la résidence de l’ambassade de France, avant de rejoindre pour deux nuits un hôtel cinq étoiles réglé par M. Djouhri, qui l’exfiltrera en jet privé à Paris.

    #France #Boris_Boillon #Bernard_Squarcini #Alexandre_Djouhri #Barbouzes #corruption #Renseignements #Nicolas_Sarkozy #Services_secrets #Secret_défense #parrains #caïds #Libye

  • D’Alep à Paris | Actes Sud
    http://www.actes-sud.fr/catalogue/litterature-etrangere/dalep-paris

    Hanna Dyâb, chrétien maronite d’Alep, fait le récit du voyage effectué dans sa jeunesse en compagnie du Français Paul Lucas, au début du xviiie siècle. Son texte en arabe nous est parvenu sous la forme d’un manuscrit unique, inédit à ce jour, conservé à la Bibliothèque vaticane.
    Le périple conduit l’auteur d’Alep à Tripoli, Saïda, Chypre, puis en Égypte, d’où il rejoint la Libye, puis Tunis. De là il passe à Livourne, Gênes et Marseille, avant de gagner Paris, où son séjour culmine avec sa réception à Versailles dans les appartements de Louis XIV. Sur le chemin du retour, il passe par Smyrne et Constantinople, d’où il rejoint Alep en traversant l’Anatolie en caravane.
    Conteur hors pair, Hanna Dyâb fut l’informateur d’Antoine Galland pour une douzaine de contes des Mille et Une Nuits, notamment Aladin et Ali Baba. Extrêmement vivant, son récit relate rencontres et conversations, déplacements en caravane, tempêtes et attaques de corsaires en mer. Il décrit précisément l’horloge astronomique de l’église Saint-Jean à Lyon, la vie sur les galères, le Grand Hiver de 1709, le supplice de la roue ou une représentation d’Atys de Lully à l’Opéra. Il entrecoupe son récit d’histoires plus ou moins légendaires, inspirées de vies de saints, de contes populaires, de faits divers.
    Le regard vif et original d’un “Oriental” sur le monde méditerranéen et la France au temps de Louis XIV.

    Hannah Dyab, d’Alep à Paris : les pérégrinations d’un jeune Syrien au temps de Louis XIV avec Bernard Heyberger ( EPHE)
    20.11.2016
    https://www.franceculture.fr/emissions/chretiens-dorient/hannah-dyab-dalep-paris-les-peregrinations-dun-jeune-syrien-au-temps-d


    http://rf.proxycast.org/1233849209459843072/10492-20.11.2016-ITEMA_21141322-0.mp3

  • Au coeur de l’IVD : 60 ans d’Histoire à reconstituer | Inkyfada
    https://inkyfada.com/2016/11/ivd-auditions-data-histoire-tunisie

    Le bureau d’accueil de l’Instance Vérité et Dignité à Tunis ne désemplit pas. Venues s’informer de l’avancée de leur dossier ou prendre connaissance de la date de leur audition, les victimes s’impatientent, elles veulent raconter leur histoire. Plus de 60.000 dossiers pour 60 ans d’Histoire, voyage au coeur de l’IVD, en chiffres.

    #Tunisie #IVD #justice #histoire #données #data #dataviz

    • La #révolution existe toujours. Elle est vivante. Dans cette lute pour qu’elle vive, Il y a différents éléments ; les révolutionnaires, les gens honnêtes, les gens qui voudraient un état de droit, mais qui ne voient pas encore très bien comment. Et il y a aussi la justice transitionnelle, qui est un élément fondamental de la révolution. Qu’on ne s’y trompe pas, le problème de la justice transitionnelle ce n’est pas seulement le problème de l’Instance Vérité & Dignité. Mais cette instance joue un role énorme dans ce processus. Non pas parce que ce sont des gens intelligents et volontaires, mais parce qu’ils sont dans une institution qui a sa propres dynamique. Et que cette institution, comme un train une fois lancé sur ses railles, plus rien ne peut l’arrêter. Et cette institution attaquée insultée, non pas directement — personne ne peu plus insulter la révolution directement — cette institution a réussit à ramasser 64000 dossiers sur les violations des droits de l’Homme. Peut-être que si les obstacles continuent, peut être qu’ils réussiront à empêcher que l’autre partie du travail l’IVD soit fait complètement, peut être. Mais déjà aujourd’hui, Ils n’ont pas pu empêcher l’instance, de participer d’une façon radicale et fondamentale, à l’établissement de la chose la plus importante pour la révolution ; Le rétablissement de la vérité. Le rétablissement de la vérité maintenant, il est très difficile de dire que ce n’est pas fait. Et la vérité, quoi qu’on fasse, est révolutionnaire. Merci d’avoir réussit à le faire.

  • De la corvée d‘eau à Tunis au hammam à Givors : une vie de travail #1 | Dire Le Travail - la coopérative
    http://www.direletravail.coop/de-la-corvee-deau-a-tunis-au-hammam-a-givors-une-vie-de-travail

    « suis née en Tunisie, le 19 janvier 1951 à Kasserine. Le village de mon père est à la frontière algérienne. Dans sa famille c’était des agriculteurs. Lui aussi, c’était un paysan. Il avait une terre là-bas. Mais j’ai grandi à Tunis où s’étaient installés mes parents pour trouver du travail. Mon père s’appelait Abdelmajid. Il est parti travailler en France en 1957. Mais »

    #public

  • Financement libyen de la campagne de Sarkozy : l’enquête impossible

    http://www.lemonde.fr/societe/article/2016/11/03/financement-libyen-de-la-campagne-de-sarkozy-l-enquete-impossible_5024793_32

    Les indices s’accumulent sur un possible versement de fonds par Mouammar Kadhafi lors de la campagne présidentielle de Nicolas Sarkozy en 2007.

    Trois ans et demi d’investigations poussées, toujours pas l’ombre d’une preuve définitive, mais de forts soupçons. Les juges du pôle financier Serge Tournaire et Aude Buresi tentent depuis avril 2013 de déterminer si la campagne présidentielle 2007 de Nicolas Sarkozy a bien fait l’objet d’un financement illicite libyen. Ils disposent désormais de centaines de documents : notes des services déclassifiées, interceptions téléphoniques, témoignages sous X… Tous les ingrédients d’une sorte d’enquête impossible, à laquelle Le Monde a eu accès.

    Il en ressort une impression troublante. Ainsi, les enquêteurs ont obtenu pas moins de sept témoignages qui accréditent ­l’hypothèse du versement de fonds par Mouammar Kadhafi à l’équipe de Nicolas Sarkozy, appuyés par le carnet accusateur d’un ancien ministre libyen du pétrole. Beaucoup de fausses pistes et de témoi­gnages invérifiables. Les magistrats doivent en outre compter avec une forte adversité, appuyée sur des réseaux tant politiques que médiatiques.
    En témoigne cette confidence, qui les ­concerne directement, interceptée en mars 2015. « Oui, ils cherchent le lien avec Kadhafi mais ils ne cherchent pas au bon endroit. » Ces propos tenus au téléphone par l’avocat franco-djiboutien Mohamed Aref sur un possible financement par la Libye de la campagne de 2007 de Nicolas Sarkozy ont fait sursauter les policiers qui écoutaient discrètement la conversation.

    Caisse noire

    Ce vendredi 27 mars 2015, M. Aref rassure au téléphone son confrère malaisien Siva Rajendram, tétanisé. Ce dernier a versé 500 000 euros sur le compte de Claude Guéant contre une prétendue vente de deux tableaux de l’artiste Andries van ­Eertvelt. Il fuit les autorités françaises qui le soupçonnent d’être l’un des maillons d’un possible financement libyen de la campagne de Nicolas Sarkozy – plutôt qu’un simple amateur de peinture baroque flamande. « Dis-leur simplement que tu n’as rien à voir avec eux », lâche sèchement M. Aref, lui-même inquiet. Contacté par Le Monde, M. Aref assure pourtant « n’avoir jamais parlé du dossier libyen avec M. Rajendram ».

    En ce début d’année 2015, les magistrats veulent, semble-t-il, accélérer la procédure. L’ancien secrétaire général de l’Elysée, Claude Guéant, a été mis en examen ­samedi 7 mars, de même qu’un richissime homme d’affaires saoudien, Khaled ­Bugshan, soupçonné d’avoir mis à disposition ses circuits financiers pour opacifier les injections de liquide libyen. Non loin de Genève, à Chêne-Bougeries, les villas d’un banquier franco-djiboutien, Wahib Nacer, et de son voisin, Alexandre Djouhri, l’in­termédiaire préféré de la Sarkozie, ont été perquisitionnées. Tous sont soupçonnés d’avoir mis leurs compétences au service d’une caisse noire pour la campagne de ­Nicolas Sarkozy, remplie de cash venu de Tripoli. Tous attendent aujourd’hui avec ­inquiétude le résultat des investigations.

    Les juges disposent de témoignages troublants. L’ambassadeur de France en Libye entre janvier 2008 et février 2011, François Gouyette, leur a ainsi indiqué avoir entendu parler d’un possible financement de la campagne de Nicolas Sarkozy, mais ces rumeurs lui sont parvenues après 2011 et le début de la révolution libyenne. Deux personnes lui en ont fait état. Moftah Missouri, l’ancien interprète du guide, et une autre personne dont il a préféré taire le nom devant les magistrats. L’un d’eux parlait de 5 millions d’euros, l’autre de 50. Mais les magistrats n’ont pas pu recouper les faits révélés.

    « Les “mecs” en chemin ont détourné l’argent »

    Fin septembre, le site Mediapart a relancé l’affaire en dévoilant l’existence d’un carnet d’un ancien ministre du pétrole libyen, Choukri Ghanem, qui mentionnent ­plusieurs versements pour un montant de 6,5 millions d’euros. Ce dignitaire du régime de Mouammar Kadhafi faisait aussi fonction de patron de la société pétrolière nationale et avait la manie de noter scrupuleusement les comptes rendus de ses entretiens. Le 29 avril 2007, durant l’entre-deux-tours de l’élection présidentielle française, il résume les échanges tenus dans la ferme de Bechir Saleh, directeur de cabinet de Kadhafi, et, à ce titre, détenteur de bien des ­secrets, à une quarantaine de kilomètres de Tripoli. En voici la retranscription exacte :

    « A midi, j’ai déjeuné avec El-Baghdadi ­[premier ministre] et Bachir Saleh à la ferme de Bachir. Bachir a parlé, disant avoir envoyé 1,5 million d’euros à Sarkozy quand Saïf ­[Al-Islam Kadhafi, fils du numéro un libyen] donnait 3 millions d’euros. Mais on leur a dit que l’argent n’était pas arrivé. Il semblerait que les “mecs” en chemin l’ont détourné, tout comme ils lui ont pris 2 millions en provenance de Abdallah Senoussi [chef des services de renseignement libyen]. »
    Choukri Ghanem écrit ses doutes quant à l’impact de ces 6,5 millions d’euros : « J’ignore s’ils croient vraiment qu’ils peuvent changer la politique de la France moyennant cet argent. D’abord, les montants qu’ils engagent sont dérisoires à l’échelle de l’Europe. Et puis d’autres pays paient bien plus. »

    Contacté par Le Monde, Bechir Saleh, 70 ans, qui vit à Johannesburg, en Afrique du Sud sous la protection du président Jacob Zuma autrefois proche de Kadhafi, a un trou de mémoire : « Je ne suis pas au courant de cette réunion, ça ne me dit rien. » Choukri Ghanem, lui, a été retrouvé mort le 29 avril 2012 dans le Danube, en Autriche. Une crise cardiaque, selon les enquêteurs autrichiens. De quoi terroriser un peu plus les protagonistes de cette sombre histoire.

    Bechir Saleh a été convoqué le 7 septembre par les enquêteurs français qui avaient tenté, en vain, de l’entendre par visioconférence quelques mois plus tôt. Mais il n’a pas quitté Johannesburg. Un homme lui rend parfois visite à l’improviste. M. Saleh lui doit la vie (et beaucoup de ses ennuis) pour avoir été exfiltré de Libye en 2011, en pleine guerre, vers Paris, via Djerba, en Tunisie.

    Ce visiteur s’appelle Alexandre Djouhri. C’est un proche du patron des services de renseignement intérieur (DCRI) de l’époque, Bernard Squarcini, qui a mené cette mission délicate en lien avec l’ambassadeur de France à Tunis, Boris Boillon. Le tandem Alexandre Djouhri et Bernard Squarcini a ensuite orchestré l’exfiltration secrète de Saleh de Paris vers l’Afrique du Sud, en passant par le Niger, entre les deux tours de l’élection présidentielle française de 2012 et alors qu’il était visé par une notice rouge, un mandat d’arrêt d’Interpol.
    C’est Mohamed Aref, l’avocat franco-djiboutien, proche de Djouhri, qui a réglé, à travers la société Datco, la facture du jet privé dans lequel s’est envolé Bechir Saleh. Ce qu’il dément formellement.

    « Je connais cette société Datco, mais ce n’est pas à moi et je n’apparais pas dans les statuts, se défend M. Aref qui se dit plus proche de François Hollande que de la Sarkozie. Que certains aient utilisé mon nom pour brouiller les pistes, c’est une hypothèse. »
    Alexandre Djouhri, qui apparaît comme un personnage central, est cité depuis une décennie dans nombre d’enquêtes sans jamais avoir été inquiété. Convoqué, lui aussi, le 7 septembre par les juges, il ne s’est pas présenté. Depuis mars 2015 et la mise en examen de Claude Guéant, Alexandre Djouhri a prudemment choisi de ne plus poser un pied en France. Tout au plus, confiait-il à son ami, le député Les Républicains Alain Marsaud, qu’il y passerait peut-être « un week-end » pour éviter une garde à vue.

    En octobre, il séjournait à l’Hôtel Kempinski, à Djibouti, pays d’origine de Mohamed Aref, où il a pris le temps de déjeuner avec le gouverneur de la banque centrale, Ahmed Osman, un proche du président Ismaïl Omar Guelleh. Au bord des eaux turquoise du golfe de Tadjourah comme dans sa résidence suisse ou en Russie où son fils a épousé une descendante d’oligarque, il suit de près les avancées de l’enquête.

    « Le plus tôt serait le mieux »

    Convaincu que Bechir Saleh constituait une porte d’entrée idéale vers la Libye, ses affaires et surtout son argent, Alexandre Djouhri a toujours pris soin de lui. Les enquêteurs ont ainsi mis en évidence qu’il l’avait invité à plusieurs reprises à séjourner au Ritz, à Paris, en 2007 et en 2008, pour un montant avoisinant… les 60 000 euros. Avec discrétion : l’argent de son compte à l’hôtel, ouvert au nom de son fils, avait été abondé de 500 000 euros issus d’un compte bancaire de l’un des membres de la puissante famille saoudienne Bugshan.
    Dans le même temps, Alexandre Djouhri fait son possible pour que l’enquête sur l’argent libyen n’avance pas. Djouhri en est convaincu : les « socialos » ont pris attache avec Bechir Saleh pour qu’il « raconte des conneries » en échange de la levée de son mandat d’Interpol délivré à la demande des nouvelles autorités libyennes.

    Le 11 mars 2014, « Monsieur Alexandre », comme il se fait appeler, retourne voir ­Bechir Saleh à Johannesburg. Il appelle dans le même temps un de ces hommes liges, Hervé Seveno, un ancien policier reconverti dans le privé à qui il demande de rédiger une lettre signée… Bechir Saleh qui innocente Nicolas Sarkozy. Selon les propres termes de M. Djouhri, l’idée de cette lettre est de « démentir catégoriquement toute implication dans le moindre financement de la campagne électorale de M. Nicolas Sarkozy ». Lui se chargera de la faire parvenir aux juges. L’idée n’est pas de lui. Elle vient de Nicolas Sarkozy en personne et a été soufflée par son directeur de cabinet, l’ancien préfet de police Michel Gaudin, à Djouhri. Ce dernier s’interroge néanmoins sur la pertinence de la démarche lors d’une discussion téléphonique avec M. Gaudin le 21 mars 2014 :
    « A mon avis, ça serait pas opportun pendant les municipales là… Non ?
    – Compte tenu de l’accélération des choses (…). Après, on voit, mais vous pensez que ça pourrait se faire vite, donc, d’après ce que je comprends, répond M. Gaudin.
    – Moi, je m’en fous, dit Djouhri. Posez-luila question [à M. Sarkozy] et moi, j’attaque. »

    Deux heures s’écoulent. Michel Gaudin le rappelle pour lui préciser que, selon « le président », « le plus tôt serait le mieux ». L’on ignore aujourd’hui si cette lettre sera finalement envoyée aux magistrats.
    Alexandre Djouhri est diablement efficace. Il obtient en temps réel des informations sur les procédures, grâce notamment à Hugues Moutouh, un ancien conseiller de Claude Guéant au ministère de l’intérieur. Aujourd’hui président du directoire de Guy Dauphin Environnement, il est soupçonné d’avoir transmis des informations confidentielles, émanant des « services ». Comme lors de l’arrestation d’un Saoudien en août 2014 sur lequel il communique des éléments. Ce qu’il dément avec vigueur.

    « Je n’ai jamais transmis une information à Alexandre Djouhri, c’est pour moi une atteinte très grave à ma fonction d’alors. Je n’ai jamais œuvré pour entraver l’enquête. Je suis choqué et scandalisé. Je n’ai rien à voir avec cette affaire de financement libyen », affirme-t-il au Monde.
    Les révélations médiatiques sont surveillées de près par l’entourage de l’ancien président, voire par Nicolas Sarkozy lui-même. Le 12 février 2014, alors que L’Express publiait un nouvel épisode du dossier, Nicolas Sarkozy demandait à son directeur de cabinet Michel Gaudin de « surveiller l’affaire de nos amis d’outre-Méditerranée ». A chaque article sur le soupçon de financement libyen, M. Djouhri agite aussi ses réseaux dans les médias. Il commande à des journalistes « amis » des papiers favorables ou appelle directement les hiérarques – comme le communicant Ramzi Khiroun, conseiller spécial d’Arnaud Lagardère – pour se plaindre s’ils sont trop critiques.

    « Vous m’interrogez sur un cousin ? Vous êtes fou »

    Dans une conversation du 17 mars 2015, dix jours après la mise en examen de Claude Guéant, il appelle Rudi Roussillon, conseiller du Groupe Dassault et président du conseil de surveillance de la Société du Figaro. « Moi je pense quand même que tu devrais quand même faire faire un édito (…) que Thréard [Yves Thréard, directeur adjoint du Figaro] l’appelle, qu’il lui, qu’il prépare un papier. » « Je vais organiser un truc pareil », acquiesce le conseiller médias de Serge Dassault. Le quotidien se contentera d’une brève pour évoquer la mise en examen de M. Guéant mais invitera ce dernier au « Talk Le Figaro » où il aura tout loisir de dénoncer « une volonté de [l]’abattre ».

    Alexandre Djouhri apparaît peu à peu comme le chef d’une « organisation ». Dans les écoutes, il parle d’« équipe » ou de « famille » dont le noyau dur se compose de deux personnes, en plus de lui-même : Mohamed Aref, cet avocat franco-djiboutien de 64 ans qui dit avoir rencontré « il y a trois ans » M. Djouhri, devenu un « ami » et un « client », et qui fait office de trésorier. Et un spécialiste des montages financiers, Wahib Nacer, 72 ans, banquier franco-djiboutien à la retraite, ancien de la filiale suisse du Crédit agricole – par ailleurs cousin germain et beau-frère de M. Aref. Ce dernier s’emporte lorsqu’on l’interroge sur M. Nacer : « Vous m’interrogez sur un cousin ? Vous êtes fou. Ne faites plus cela ! » Tous trois sont domiciliés à Chêne-Bougeries, une commune coquette près de Genève. Contacté à plusieurs reprises, M. Djouhri n’a pas donné suite. De son côté, M. Nacer n’a pu être joint.

    Location d’une « chambre »

    Sur la comptabilité tenue par Wahib Nacer, le nom de M. Djouhri ne figure nulle part, selon les éléments de l’enquête. Monsieur Alexandre n’a que des espèces. Quand il n’en retire pas par millions au guichet d’une banque genevoise, il sollicite sa fille ou un autre « fournisseur », un employé de l’hôtel de luxe de La Cigogne surnommé « Spiros ».
    Seules ses initiales, « AD », et ses alias, « Alpha », « El Attas » ou « Iskandar » (Alexandre en turco-perse) figurent sur les relevés saisis chez Wahib Nacer. Pour ses circuits complexes, « AD » a recours aux comptes bancaires de prête-noms. L’une des hypothèses des enquêteurs est que M. Djouhri ait été utilisé pour blanchir dans ses propres circuits financiers le cash libyen de la campagne de Nicolas Sarkozy. Ils ne sont pas parvenus pour l’heure à l’établir de manière certaine. Un élément les intrigue particulièrement. Pourquoi Claude Guéant a-t-il loué entre le 21 mars et le 31 juillet 2007 un coffre de grande taille, une « chambre » dans le jargon, à l’agence Opéra de la BNP ? Pour entreposer des archives avait assuré l’intéressé, sans convaincre. Contactés par l’intermédiaire de leurs avocats, Nicolas Sarkozy et Claude Guéant n’ont pas donné suite.

    Trois jours de révélations sur le système Sarkozy

    Le Monde révèle, au cours de trois publications successives, l’existence d’un vaste système délictueux, impliquant de hautes personnalités liées à Nicolas Sarkozy. Ce réseau, (dé)voué à la protection de l’ancien chef de l’Etat, est composé de policiers ou magistrats restés fidèles à l’ex-président, mais aussi d’hommes d’affaires, d’intermédiaires, de diplomates et même de journalistes. Une structure informelle qui apparaît aujourd’hui en pleine lumière, à la faveur de plusieurs enquêtes judiciaires, toutes conduites par le juge parisien Serge Tournaire, et auxquelles Le Monde a eu accès - en sus de nos propres investigations.

    Elles mettent en lumière les dessous d’une organisation mise en place dès l’arrivée de Nicolas Sarkozy au ministère de l’intérieur, en 2002, renforcée lors de son accession à l’Elysée en 2007, et qui s’est perpétuée après sa défaite en 2012.

  • #OSMNames open-source project which provides a basic place search / geocoding functionality. It is a lightweight search system powered by full-text engine with world-wide coverage. At the moment it is limited to place names like streets, towns, cities, administrative units, countries, etc.. It can be extended in future with other place types like lake or mountain names and even with POIs. The enhancement with postal addresses (house numbers and zip codes) is also possible.

    http://osmnames.org

    The core of the OSMNames project is the pre-processed data. It comes in easy to handle text format, the #TSV (tab separated value). This allows filtering with UNIX text processing tools (grep, sed, awk, less, cut, etc.) and direct indexing via a full-text search engine.

    The project comes with an open-source server software providing a place search API suitable for a basic #geocoder with autocomplete functionality. The server is written in Python and is powered by the high-performance C++ open-source full-text engine called #Sphinx Search.

    Here you can download the pre-generated data with over 21 million place names for the whole planet.

    http://osmnames.org/download

    The open-source code for generating the data is available in the repository https://github.com/osmnames/osmnames

    The Place Search API used in this website is implemented with the open-source project available at https://github.com/klokantech/osmnames-sphinxsearch

    Doc : http://osmnames.readthedocs.io/en/latest/index.html

  • Babzman – Information historique et socioculturelle sur l’Algérie – Aux lendemains des événements du 17 octobre 1961, El Moudjahid publie un article virulent
    http://www.babzman.com/aux-lendemains-des-evenements-du-17-octobre-1961-el-moudjahid-publie-un-art

    Dans son numéro du 1er novembre 1961, El Moudjahid ouvre ses pages sur les terribles massacres perpétrés dans les rues de Paris, durant les journées du 17 et 18 octobre précédentes. A commencer par le texte d’une déclaration faite par Benyoucef Benkhedda, au nom du GPRA, lors d’un discours prononcé à Tunis le 24 du même mois. S’ensuit un long plaidoyer sur les violences que subissent les Algériens de l’immigration depuis le début de la guerre. Cet article que Babzman vous propose dans son intégralité, est intitulé « La politique du crime ». Il n’est pas signé, comme la quasi totalité des articles d’El Moudjahid de l’époque, mais nous pouvons supposer qu’il s’agit d’une grande figure qui prêtait sa plume à cet organe. L’article est accompagné de la photographie d’un Algérien torturé en France.
     
    La politique du crime
    Depuis le début de la guerre d’Algérie, les Algériens résidant en France n’ont pas échappé aux mesures répressives qui frappent sans discernement l’ensemble du peuple algérien. Les brimades, les vexations et les humiliations de toutes sortes ont été le lot quotidien de l’émigration algérienne. Les méthodes policières qui ont été sadiquement mises au point en Algérie dans les cillas Susini et autres officines des parachutistes, gagnaient peu à peu les locaux de la DST et les commissariats de police en France. Perquisitions, arrestations arbitraires, tortures deviennent chaque jour davantage les moyens de choix des autorités françaises dans leur tentative de briser la volonté irréductible de l’émigration algérienne dans sa lutte inflexible pour défendre ses droits à la liberté et à la dignité et pour la réalisation d’un des objectifs politiques sacrés du peuple algérien : l’indépendance nationale.
    La violence et le droit
    Des millions d’Algériens ont fait le dur apprentissage de la résistance dans les geôles colonialistes de France. Nombre d’entre eux ont connu dans leur chair et dans leur âme les affres de la torture.
    Depuis 1956, les familles algériennes entassées dans les bidonvilles de Nanterre et e Gennevilliers vivent dans un climat d’insécurité permanente à la merci des policiers et CRS qui organisent des ratissages périodiques avec une brutalité sans pareil.
    Cette terreur policière est loin de venir à bout de la détermination de nos compatriotes en France. Elle n’a fait que renforcer leur combativité au sein du Front de Libération Nationale qui s’est imposé comme creuset où sont venues se fondre les forces vives de toutes l’émigration algérienne.
    Une lutte héroïque s’engagea alors sur le sol même de l’adversaire et les patriotes algériens ont apporté leur précieuse contribution au renforcement du combat libérateur.
    Dans son désarroi, le gouvernement français développe son système répressif. Les prisons étant insuffisantes pour contenir les dizaines de milliers de militants arrêtés, il a fallu ouvrir de véritables camps de concentration en France même : Larzac, Thol, Mourmelon, Neuville-sur-Ain.
    Parallèlement à ces mesures d’inspiration nazie, une vaste campagne d’intoxication est déclenchée au sein de la population française par le gouvernement français et ses émules ultra-colonialistes et fascistes.
    Colonialisme et fascisme
    Pour justifier une guerre d’extermination coloniale sans issue les gouvernements français successifs ont cultivé le mythe de la grandeur de l’Empire français et ont par là même favorisé le déferlement absurde des idées chauvines et racistes qui sont à l’origine du fascisme.
    Cet état d’esprit qui s’est progressivement développé en France atteignait insidieusement certaines couches de la Gauche française elle-même dont elle a paralysé pendant longtemps les traditionnels réflexes de défense des valeurs fondamentales de démocratie et de liberté.
    Les explosions racistes survenus dernièrement à Metz où les parachutistes sous l’œil complaisant de la population civile, se sont livrés à d’odieux lynchages donnent une idée de la situation dramatique des Algériens en France.
    Par des mesures coécrives et arbitraires le gouvernement français a cru trouver les moyens susceptibles de masquer son refus de s’engager dans la voie d’une solution négociée de la guerre d’Algérie. C’est là la véritable solution capable de résoudre tous les problèmes y compris celui des Algériens de France.
    Jusqu’à présent, le gouvernement français s’est acharné à noyer dans le sang la lutte juste d’un peuple pour sa libération. Au lieu de s’engager dans une décolonisation effective, le gouvernement français donne des dimensions gigantesques à la répression. Dans la logique belliqueuse, il a généralisé ses méthodes de génocide et les applique dans toute leur sauvagerie, en France même.
    L’ère du racisme
    Le gouvernement français en instaurant le 5 octobre 1961 couvre-feu pour les Algériens de la région parisienne a érigé en système de la discrimination raciale.
    Par l’extrême gravité de ces décisions les autorités françaises ont ouvert la porte à tous les excès et ont donné la possibilité et les moyens légaux à tous les courants racistes et fascistes de donner libre cours à leur fureur haineuse et à faire le jeu de ceux qui veulent approfondir le fossé qui sépare Algériens et Français.
    Refusant de s’incliner devant ces mesures scélérates et pour attirer l’attention de l’opinion public française et internationale, les Algériens ont décidé, sous l’égide du FLN de manifester pacifiquement, dans l’ordre et la discipline. Des dizaines de milliers de travailleurs, d’étudiants, de femmes et d’enfants algériens sont descendus dans les rues de Paris pour crier leur indignation contre les mesures d’exception à caractère racial qui les frappent.
    Le vrai visage de la police et des forces de la répression est apparu dans toute sa hideur au service d’un système où le lynchage devient légal, la violence et la brutalité de règle.
    Les événements qui viennent de se dérouler dans la région parisienne donne une image de ce qu’est la guerre d’Algérie et des exactions que subit quotidiennement le peuple algérien depuis sept longues années de guerre.
    Ce déferlement de fureur aveugle contre des manifestants désarmés n’est-il pas le signe éclatant de la faillite totale du colonialisme et l’expression évidente des soubresauts de son agonie ?
    Aux yeux du monde entier, ces tragiques événements illustrent une fois de plus le génocide perpétré par le colonialisme français contre le peuple algérien.
    Alors que des perspectives de négociation commencent enfin à apparaître, les chances risquent d’être sérieusement compromises. Et c’est le gouvernement français qui portera la lourde responsabilité de tels agissements.
    On a toujours affirmé que le colonialisme et ses méthodes sont les meilleurs fourniers du fascisme. L’expérience que vit actuellement la France en est la meilleure preuve. Au fur et à mesure que s’intensifient la guerre d’Algérie et la répression colonialiste, le fascisme s’implante de plus en plus solidement en France. Les institutions républicaines sont minées, les dernières libertés démocratiques menacées.
    Certains Français conscients ont compris cette vérité essentielle. Malgré les débordements racistes d’une fraction de la population française, il s’est trouvé cependant des voix pour s’élever avec vigueur et protester contre la politique du pire. Un grand nombre d’organisations démocratiques ont pris clairement position contre les violences policières et le racisme. Elles sont sorties du cadre habituel des protestations purement formelles pour entreprendre des actions concrètes afin de mettre un terme à ces mesures d’exception et à ce règne de terreur raciste.
    Les manifestations organisées par l’UNEF, la déclaration des intellectuels français, les pétitions des ouvriers donnent un souffle nouveau à l’action anticolonialiste. Cette prise de conscience laisse espérer un engagement plus positif du peuple français pour faire prévaloir la seule solution susceptible de mettre fin à la guerre d’Algérie, celle d’une négociation immédiate avec le GPRA, car cette lutte sur la paix qui s’impose aujourd’hui plus impérieuse que jamais, sert non seulement les intérêts véritables des peuples algériens et français, mais elle est aussi le moyen le plus sûr de briser la marée fasciste qui déferle sur la France.
    Quant au peuple algérien, convaincu de l’issue victorieuse de son combat, tout en réaffirmant son désir de parvenir à une solution juste et rapide, par al voie de la négociation, demeure farouchement résolu à poursuivre la lutte jusqu’à la liquidation totale du colonialisme.
    In El Moudjahid N° 86, du 1er novembre 1961

  • L’UE et la Tunisie commencent des #négociations en vue de faciliter la délivrance de #visas et la #réadmission

    La Commission et la Tunisie ont commencé aujourd’hui à Tunis la négociation en parallèle d’un accord destiné à assouplir les procédures de délivrance des visas de court séjour et d’un accord visant à établir des procédures de réadmission des migrants en situation irrégulière.

    http://europa.eu/rapid/press-release_IP-16-3394_fr.htm

    #Tunisie #renvoi #asile #migrations #réfugiés #EU #UE #Europe #accords_de_réadmission

  • RASSEMBLEMENT PLACE DE LA FONTAINE AUX INNOCENTS , À PARIS le 20 octobre 2016 à 16 H, QUARTIER DES HALLES – La Voix De La Libye
    http://lavoixdelalibye.com/2016/10/12/rrassemblement-place-de-la-fontaine-aux-innocents-a-paris-le-20-oct

    RASSEMBLEMENT PLACE DE LA FONTAINE AUX INNOCENTS , À PARIS le 20 octobre 2016 à 16 H, QUARTIER DES HALLES
    Ecrit par : Ginette Hess Skandrani, Oct 12, 2016, 1 commentaire
    RASSEMBLEMENT PLACE DE LA FONTAINE AUX INNOCENTS , à PARIS le 20 octobre 2016 à 16 H, QUARTIER DES HALLES POUR RENDRE HOMMAGE à MOUAMMAR KADHAFI
    LE GUIDE DE LA JAMARIHIYA LIBYENNE, CHEF AFRICAIN, ARABE INDÉPENDANT ET COMBATTANT POUR LA LIBERTÉ.
    Nous rendrons hommage à un grand révolutionnaire assassiné, il y a cinq ans à Misrata pour son combat contre l’impérialisme, le sionisme , le colonialisme et l’indépendance de l’Afrique.
    Nicolas Sarkozy et Bernard Henri Levy sont les grand responsables de la déstabilisation de la Libye et de l’assassinat de Mouammar Kadhafi. Ce sont ces deux grands manipulateurs qui ont inventé les mensonges rendant Kadhafi responsable de massacres imaginaires afin de mobiliser l’OTAN, le Qatar, Israël et les USA pour déclencher cette guerre atroce contre le peuple Libyen et ses dirigeants..
    Nous voulons rendre hommage à un dirigeant qui a toujours défendu son peuple, l’Afrique et les Palestiniens.
    Le Comité permanent pour la défense des droits du peuple libyen
    Les Pacifistes de Tunis
    L’Organisation internationale de soutien aux peuples victimes des guerres et des terrorismes
    le CRI – Comité Révolutionnaire International
    Le Comité Anti-impérialiste
    La Voix de la Libye.com
    La pierre et l’Olivier ,réseau de solidarité avec le peuple de Palestine
    L’Association Entre la Plume et l’Enclume

  • Tunis, capitale coloniale

    En avril 1881, 30 000 soldats sont envoyés par Jules Ferry en Tunisie, au prétexte de mettre fin à une incursion des Kroumirs en Algérie. Trois semaines plus tard, Sadok Bey est contraint de signer, au palais Kassar Saïd (banlieue de Tunis), le traité du Protectorat (dit du Bardo) du 12 mai 1881. La colonisation française, ainsi officialisée et complétée par la convention de La Marsa signée le 8 juin 1883, accentue le cosmopolitisme de la ville de Tunis et son ouverture vers la mer, en créant un espace d’administration, de peuplement, d’exploitation économique et de loisirs en direction du port. Après l’achèvement des travaux de ce dernier en 1893, la promenade de la Marine est rebaptisée « avenue Jules Ferry », balisée par le bâtiment consulaire construit en 1860 et investi, avec le protectorat, comme siège de la Résidence Générale à #Tunis.

    https://hctc.hypotheses.org/1543
    #colonialisme #ville

  • Cet article vise à présenter BDS aux lecteurs arabes, et à répondre indirectement aux organisateurs de la conférence sur BDS, qui aura lieu début août à Tunis, organisée par l’#Arab_Center_for_Research_and_Policy_Studies, proche du gouvernement Qatari. Par Ahmed Abbes et Haidar Eid, le 23 juillet 2016 :

    http://ar.lemaghreb.tn/%D9%82%D8%B6%D8%A7%D9%8A%D8%A7-%D9%88%D8%A3%D8%B1%D8%A7%D8%A1/item/7699-%C2%AB%D8%A8%D9%8A-%D8%AF%D9%8A-%D8%A3%D8%B3%C2%BB-%D9%88-%D8%A7%D

    #Palestine #BDS #Tunisie #Qatar

  • Femmes africaines unies contre le microcrédit, l’exploitation des plus pauvres | Entre les lignes entre les mots
    https://entreleslignesentrelesmots.wordpress.com/2016/06/23/femmes-africaines-unies-contre-le-microcredit-

    Être femme, pauvre et africaine. Voici les trois critères favoris des vautours du microcrédit qui, sous prétexte de lutter contre la pauvreté et avec la bénédiction d’organismes comme les Nations Unies (PNUD), USAID ou encore la Banque européenne d’investissement, les escroquent, les endettent et les ruinent. Leurs victimes font l’objet de menaces et se voient même incarcérées, comme au Mali, elles perdent leur famille, tombent dans la prostitution, se suicident, comme au Maroc, ou se sont surendettées pour ne pas mourir sans pouvoir se payer une césarienne, comme au Congo Brazzaville. Désormais, les femmes africaines de divers pays conjuguent leurs forces pour se libérer de l’asservissement de la microfinance. Nous avons eu l’opportunité de rencontrer et d’interviewer Fatima Zahra du Maroc, Amélie du Congo Brazzaville, Émilie du Bénin et Fatimata du Mali à l’occasion de l’Assemblée mondiale du réseau international du Comité pour l’abolition des dettes illégitimes (CADTM) organisée en avril dernier à Tunis. Elles nous y ont fait part de leurs expériences respectives.

    #femmes #Afrique #microcrédit #dette

  • Edgard Pisani, ancien ministre de l’agriculture (1961-1967), ancien commissaire européen (1981-1985), auteur, notamment, d’Un vieil homme et la terre (Seuil, 2004), est mort.

    Il avait écrit plusieurs articles pour le @mdiplo http://www.monde-diplomatique.fr/recherche?auteurs%5B%5D=Edgard%20Pisani

    Et notamment « “Tous ensemble” contre la mondialisation » (janvier 1996)
    http://www.monde-diplomatique.fr/1996/01/PISANI/5167 #st

    Si la #mondialisation c’est la disparition de la capacité régulatrice, nous n’avons pas d’autre choix que de lutter contre elle : parce que nous sommes différents et que nous voulons le demeurer ; parce que nous sommes nés dans des lieux divers, avec des avantages et des insuffisances que vous voulons négocier ; parce que la diversité nous paraît être le ferment de cette recherche d’unité vraie qui constitue un idéal profond, à l’abri de l’uniformité.

    L’unité est une donnée naturelle. Elle est aussi la nécessaire réponse aux excès de la diversité ; elle serait moins désirée si n’existaient pas des différences potentiellement conflictuelles et dangereuses. Unité et diversité sont les pôles d’un jeu dialectique rigoureux. La mondialisation, pour être acceptable, doit se situer dans ce jeu dialectique, où elle a pour contrepoids la sauvegarde des diversités culturelles, la prise en compte des diversités naturelles.

    Seul manque le politique. Il faut peut-être le réinventer.

    Patrick Roger signe sa nécrologie dans Le Monde du jour
    http://www.lemonde.fr/disparitions/article/2016/06/21/mort-d-edgard-pisani-resistant-et-ancien-ministre-de-de-gaulle-et-mitterrand

    Avec la disparition d’Edgard Pisani, mort lundi 20 juin, à l’âge de 97 ans, c’est une page d’histoire de la République qui se tourne, un demi-siècle d’action au cœur de l’appareil d’Etat et des institutions. C’est aussi une haute silhouette, un légendaire collier de barbe, une voix puissante, un regard passionné pour l’Europe, l’agriculture, l’Afrique et son développement, et un homme resté libre de sa parole, un brin utopiste. Mais son caractère hautain, ses manières tranchées, ses jugements catégoriques et une carrière dans les marges lui attirèrent de nombreuses inimitiés.

    Né le 9 octobre 1918 à Tunis, d’origine maltaise et, donc, né « sujet britannique » – ce qui lui valut de subir une campagne nauséabonde lors de sa nomination comme préfet –, il fut un résistant de la première heure. Il a été proche de Charles de Gaulle jusqu’en 1967 et de François Mitterrand à partir de 1974, deux chefs d’Etat qu’il voyait comme « deux plasticiens ». Le premier, « un Rodin travaillant le marbre à grands coups de ciseau » ; le second « caressant indéfiniment la glaise ».

    Gaulliste devenu socialiste, européen et tiers-mondiste convaincu, c’était un homme qui avait une vision du monde et de véritables fulgurances. A la Libération, il annonce que va s’ouvrir la période de la décolonisation. En Nouvelle-Calédonie, lors de la violente crise des années 1980, il propose un concept inédit, qui sera repris par la suite, celui d’indépendance-association. L’agriculture, l’aménagement du territoire, les problèmes Nord-Sud, la question foncière, l’énergie, le commerce extérieur… autant de domaines où il a voulu, selon son expression, « inventer des idées » et « changer le paysage ».

    http://zinc.mondediplo.net/messages/30309 via Le Monde diplomatique

  • Les #Frères_musulmans en pleine mutation
    https://www.mediapart.fr/journal/international/170616/les-freres-musulmans-en-pleine-mutation

    Rached Ghannouchi et Béji Caïd Essebsi au congrès d’Ennahda, à Tunis le 20 mai 2016. © Reuters Harcelées en Égypte par le pouvoir militaire, considérées comme terroristes par l’Arabie saoudite, les organisations issues des Frères musulmans tentent de nouvelles alliances, se radicalisent (en Égypte) ou se sécularisent (en #Tunisie). Mais le mouvement est totalement marginalisé, laissant des militants sans perspective politique.

    #International #Egypte #EI #Ennahda #Etat_islamique #Irak #Moyen-Orient #Syrie

  • En #Tunisie, la crise mémorielle et identitaire nourrit la crise politique
    https://www.mediapart.fr/journal/international/100616/en-tunisie-la-crise-memorielle-et-identitaire-nourrit-la-crise-politique

    La statue d’Habib Bourguiba, le 1er juin à Tunis © Reuters Derrière l’ancien président Bourguiba, dont la statue trône depuis le 1er juin sur la grande avenue de Tunis qui portait déjà son nom, la mémoire de la révolution et le bilan des années Ben Ali sont occultés par les dirigeants actuels. Explications avec la politologue Olfa Lamloum et l’historien Khaled Melliti.

    #International #Ben_Guerdane #libye #Moyen-Orient

  • La Tunisie compte lancer son réseau de Wifi public !
    La Tunisie a débuté les démarches pour se doter d’un système de Wifi public. L’Etat a fait appel à la société IPLmedia pour superviser la mise en place du système dans la ville d’El Ghazala, près de Tunis. L’entreprise égyptienne accompagnée de Tunisie Telecom, Orange et Ooredoo se sont engagées dans la phase de test de l’opération.
    Le 25 mai, IPLmedia a lancé la phase de test du projet. Une initiative censée durer pendant plusieurs semaines dans la ville d’El Ghazala, banlieue nord de Tunis, et qui couvrira un périmètre de 4 kilomètres.
    Ces différentes procédures sont le résultat direct de la rencontre de deux hommes. Hatem Zaghloul, président directeur général du groupe IPLmedia et le ministre tunisien du développement et des communications qui se sont entretenus sur le développement du réseau Wifi du pays Une vérification du réseau national est donc en préparation afin de développer le meilleur système possible.
    (via ecomnewsmed)

  • TUNISIE
    Terrorisme et corruption dans les prisons : La justice s’en mêle
    Un juge d’instruction auprès du tribunal de 1ère instance de Tunis a auditionné 2 hauts fonctionnaires chargés des établissements pénitentiaires.
    Suite aux propos d’Olfa Ayari, présidente du Syndicat des prisons et des institutions de réhabilitation pénitentiaire, tenus en décembre dernier dans l’émission ‘‘7/24’’ sur la chaîne Al-Hiwar Ettounsi, le juge d’instruction auprès du tribunal de 1ère instance de Tunis a convoqué Saber Khefifi, directeur général des prisons et de la rééducation au ministère de la Justice, et Fathi Ouechtati, directeur de la prison de Mornaguia, a indiqué ‘‘Tunisie-Télégraph’’.
    http://kapitalis.com/tunisie/2016/05/27/terrorisme-et-corruption-dans-les-prisons-la-justice-sen-mele

  •  Intense lobyying pro-israélien pour censurer un film palestinien au festival de Cannes
    13 mai 2016 - Ali Abunimah - The Electronic Intifada -
    Traduction : Info-Palestine.eu
    http://www.info-palestine.net/spip.php?article16038

    Le maire de Cannes a été jusqu’à déclarer que le déroulement de la séance prévue pourrait menacer « l’ordre public. »

    Un court extrait d’une œuvre de Nasri Hajjaj en cours de réalisation, « Munich : Une histoire palestinienne », devrait être projeté lundi dans le cadre du Marché du Film, une collaboration entre le Festival de Cannes et le Festival International du Film de Dubaï.

    L’initiative permet à un certain nombre de travaux en cours réalisés par des cinéastes arabes d’accéder à des publics et distributeurs internationaux potentiels.

    Le 3 mai, Roger Cukierman, président du principal groupe de pression pro-israélien en France, le CRIF, a écrit au responsable du festival de Cannes pour exprimer « l’inquiétude et le malaise profond » de son organisation au sujet de la projection prévue de l’œuvre de Hajjaj.

    Cukierman a affirmé que le film se livre à « un révisionnisme historique » à propos du raid de 1972 sur les Jeux Olympiques de Munich par le groupe palestinien Septembre noir, au cours duquel 11 athlètes israéliens, un officier de police allemand et cinq preneurs d’otages sont morts.

    Mais comment Cukierman peut-il avoir une idée du film puisque que celui-ci, encore inachevé, n’a jamais été projeté devant aucun public ?...

    #Cannes_Palestine

    • Munich : pourquoi Israéliens et Palestiniens ont-ils masqué le rôle allemand ?
      Par Georges Malbrunot le 5 septembre 2012
      http://blog.lefigaro.fr/malbrunot/2012/09/munich-comment-israeliens-et-p.html

      Officiellement, un commando palestinien issu du groupe « Septembre noir », placé sous la double casquette d’Abou Daoud, dépêché sur place en RFA, et d’Abou Iyad, le chef des services de renseignements de l’OLP, resté lui à Tunis, le siège alors de la Centrale palestinienne. Comme bien souvent, la réalité est quelque peu différente. Et comme bien souvent en Israël, où la presse est extrêmement coriace dans sa recherche d’informations, c’est de l’Etat hébreu que la vérité a fini par percer.

      Le 16 juillet 1992, soit près de vingt ans après le drame, la journaliste israélienne Netty C. Gross, dans le quotidien Jerusalem Post, émettait une autre hypothèse : les otages israéliens n’auraient pas été victimes des seuls Palestiniens, qui attendaient de quitter la RFA pour Le Caire à bord de deux hélicoptères. La journaliste s’étonnait en effet que les Allemands n’aient jamais rendu publics les résultats de l’autopsie des Israéliens, ni les examens balistiques, qui auraient révélé l’origine des projectiles les ayant tués. Seul un rapport « provisoire » d’autopsie fut publié une semaine après le drame, et d’après ses conclusions, l’un des neuf Israéliens, tous ligotés à leurs sièges à l’intérieur des deux hélicoptères qui les avaient transportés depuis le stade olympique, serait mort intoxiqué par la fumée dans celui qui prit feu sur le tarmac de l’aéroport. On peut admettre, ajoutait le rapport, que les huit autres ont tous été tués par de « nombreuses balles ».

      Une semaine plus tard, le 23 juillet 1992, un autre journal israélien, Yédiot Aharonot, affirmait, pour la première fois, que huit des neuf athlètes israéliens tués à l’aéroport l’avaient été par la police ouest-allemande. Le journal s’appuyait sur le rapport des médecins légistes allemands en date du 6 septembre 1972, auquel l’avocat des familles des victimes avait eu accès.

      Pourquoi les Palestiniens n’ont-ils jamais reconnu ces faits ? « Munich avait été pour nous une extraordinaire caisse de résonance » , nous déclara il y a quelques années Abou Daoud, depuis sa résidence damascène, où il mourut en 2010. L’un des cerveaux de Munich le raconte d’ailleurs fort bien dans ses Mémoires, écrites en collaboration avec le journaliste français Gilles du Jonchay, aujourd’hui disparu (Palestine de Jérusalem à Munich, Editions Anne Carrière, 1999).

      « Il faut avouer que tout au long des années qui ont suivi Munich, nous n’avons jamais cherché à faire toute la lumière – et encore moins à informer le monde – sur ce qui s’était réellement passé. On en rajouta même dans la désinformation » , confiait-il au journaliste français. Quelques heures après le drame, alors qu’Abou Daoud avait pu regagner Tunis, sans être inquiété le moins du monde par la police allemande à l’aéroport de Munich, Abou Iyad lui confiait ceci :
      « Bravo, nous n’avons pas obtenu la libération de certains de nos camarades emprisonnés en Israël, (c’était le but de la prise en otages des athlètes israéliens, ndlr), mais nous avons atteint tous nos objectifs, et même au-delà. L’opinion mondiale a entendu parler du drame palestinien (cinq ans seulement après la défaite sévère de Juin 1967, ndlr). Quant à l’épilogue tragique, les autorités ouest-allemandes (…) en portent la lourde responsabilité. Enfin, dans le camp arabe et palestinien, notre coup a porté atteinte à l’image d’invulnérabilité des Israéliens »

  • David Thomson, ce soir au Grand débat à Chartres, établit le profil des djihadistes français

    http://www.lechorepublicain.fr/eure-et-loir/actualite/2016/05/10/david-thomson-ce-soir-au-grand-debat-a-chartres-etablit-le-profil-d

    David Thomson les a rencontrés, leur a donné la parole dans son livre Les Français djihadistes (Les Arènes), qui permet de mieux comprendre ces jeunes garçons et filles.

    Grâce à son poste de correspondant en Tunisie, il a pu établir le contact avec ces jeunes gens plus amateurs de réseaux sociaux que de journaux :

    « Je suis arrivé en Tunisie deux semaines après la révolution. Je me suis intéressé de très près au mouvement Ansar Al Charia que tout le monde sous-estimait. La Tunisie est devenue un lieu de rendez-vous de passage pour les jeunes Européens. »

    David Thomson les a rencontrés à Tunis, à Paris, a gardé contact avec ceux partis en Syrie, par Internet.
    Des femmes très idéologisées

    Il raconte sans juger : « Les trois quarts ne parlent pas arabe. Ils sont organisés sur place en brigade par langues. Ils se retrouvent entre eux et souvent ne sont pas très bien vus des autres, car ils apportent avec eux une culture occidentale, souvent celle des cités. »

    David Thomson constate qu’aujourd’hui « la courbe des départs et des retours s’est inversée. On en est à 350 retours depuis le début de l’année ». La situation a changé pour les jeunes djihadistes :

    « Jusqu’en 2014, il n’y avait quasiment pas de combats. Ils étaient entre potes, presque dans un village de vacances. Les revers militaires de l’organisation l’État islamique et la difficulté d’imposer un État, ont un impact sur les sympathisants. La phase euphorique est terminée. »

    Revenir ne signifie pas tourner le dos à l’idéologie. Il le constate notamment chez les jeunes femmes : « Que ce soit les femmes proches de la trentaine souvent moteur dans un couple ou les adolescentes attirées par une forme de virilité, elles sont très idéologisées. Elles reviennent, certes, déçues. Mais gardent foi dans l’organisation. Elles accusent souvent les Français de là-bas d’être la cause des dysfonctionnements. Elles sont convaincues que la hiérarchie garde le cap. »

    #David_Thomson
    #radicalisation
    #retour

  • CHOUFTOUHONNA 2nd edition/ May 13th 14th 15th, 2016 | Chouf Minorities
    http://chouf-minorities.org/chouftouhonna-2nd-edition-may-13th-14th-15th-2016

    Par son ambition féministe et activiste, Chouftouhonna est le premier festival du genre en Tunisie et dans la région.
    La première édition du festival a eu lieu le 17 mai 2015 à Tunis et avait réuni les oeuvres de plus de 70 femmes artistes de 14 pays différents. Plus de 700 personnes s’étaient déplacées pour assister à cette journée.
    Face à ce succès la deuxième édition se tiendra sur trois jours, les 13, 14 et 15 mai 2016.
    Tout au long de ces trois jours auront lieu l’exposition, la diffusion et les performances des différentes oeuvres en compétition et hors-compétition.
    En parallèle se tiendront dans la journée des conférences et des ateliers et dans la soirée, des concerts.
    La compétition réunira six grandes categories artistiques (Arts plastiques, Cinéma, Photographie, Musique, Arts scéniques et Arts graphiques) qui seront chacune récompensées par un prix attribué par le jury du festival. Un septième prix sera octroyé par les votes du public et sera transversal à toutes les categories.
     
    La première édition s’était faite sous le propos de Ziad Rahbani “ Cinq minutes après ta naissance, ils décideront de ton nom, ta nationalité, ta religion, ta sexualité et de ta communauté… et tu passeras toute ta vie à te battre pour des choses que tu n’as pas choisies et à les défendre bêtement. ” Cette deuxième édition aura pour parole les mots de Anasua Sengupta “ Bien trop de femmes dans bien trop de pays parlent la même langue : le silence.
     
    Nous souhaitons que cette deuxième édition permette un espace sécurisé d’expression de partage et de visibilité encore plus large. Afin que toutes les voix des femmes soient audibles à nouveau et résonnent encore plus loin et plus fort.

    #Tunisie #Festival #Art #Feminisme #Activisme

  • MI : 1680 caméras de surveillance prochainement installées dans les lieux publics
    http://www.radioexpressfm.com/lire/mi-1680-cameras-de-surveillance-prochainement-installees-dans-certai

    “1680 caméras de surveillances seront installées dans différents espaces publics, d’ici la fin de l’année 2016,” a annoncé le chargé de communication au sein du ministère de l’Intérieur, Yasser Mosbah, dans Ecomag du vendredi 29 avril 2016. Il a précisé qu’en 2016, 300 caméras seront installées au Grand-Tunis et les autres seront prévues dans certains autres gouvernorats frontaliers comme Jendouba, Kef, Kasserine et Sidi Bouzid. “ A partir de l’année prochaine, ces caméras couvriront tous les gouvernorats en (...)

    #CCTV #surveillance