city:vauban

  • #Briançon (05) : #ouverture d’un nouveau lieu dans la vieille ville
    https://fr.squat.net/2018/10/29/briancon-05-ouverture-dun-nouveau-lieu-dans-la-vieille-ville

    Un nouveau lieu a ouvert dans le cité Vauban, la vieille ville de Briançon. Il s’agit de l’ancienne maison du gouverneur de l’armée française, désormais squattée, qui vous invite à venir se rencontrer, discuter, échanger sur la thématique des frontières. Ce lieu souhaite remettre en question toutes les formes de frontières : physiques, policières, identitaires, […]

    #Hautes-Alpes #No_Border

  • l’histgeobox : « Merde à Vauban ». Quand la citadelle de Saint-Martin-de-Ré était l’antichambre du bagne.
    http://lhistgeobox.blogspot.com/2018/05/merde-vauban-quand-la-citadelle-de.html

    Après le verdict et un séjour variable en maison centrale, les futurs bagnards sont extraits de leurs geôles avant d’être conduits en wagon cellulaires jusqu’à la gare de La Rochelle. Arrivés à destinations, ils se rendent à pieds à la maison d’arrêt de la ville où ils passent la nuit. Le lendemain, un petit vapeur (le Coligny ou l’Express) les attend au port pour les conduire au pénitencier de Saint-Martin-de-Ré. Sous l’œil des badauds, les forçats prennent place au milieu des marchandises et du bétail. A partir de 1933, des fourgons ou voitures cellulaires amènent les prisonniers directement au port de la Pallice, d’où ils embarquent aussitôt en direction de la citadelle et de ses nombreuses cellules. La traversée, qui dure une heure et demie, marque un premier arrachement : le forçat quitte le continent pour une première île.
    Le capitaine de gendarmerie Pyguillem, en garnison à Saint-Martin en 1935, fait le récit de ce premier exil : « Fripés, mal rasés, revêtus à présent de leur hardes personnelles plus ou moins bien réparées, ils offrent à l’œil qui veut les observer les expressions les plus diverses : les uns gouaillent, d’autres, impassibles, semblent de pierre. Certains ferment les yeux ou se voilent le visage de leurs mains, mais presque tous, quand le bateau s’ébranle, ont un furtif regard vers la terre qu’ils quittent.
    Mal éduqués, tarés, dégénérés, anormaux, oui, sans doute ; mais des hommes quand même et qui se rendent compte à cette minute que le châtiment ne s’évite pas. En moins d’une heure, les deux vapeurs, complètement chargés, ont quitté le port et gagné la passe ; puis ils longent les côtes de l’Ile de Ré et touchent enfin Saint-Martin, première étape vers l’expiation. »

  • Concours SchoolLab - Session 1
    http://lille1tv.univ-lille1.fr/videos/video.aspx?id=269f2b7c-8e0a-435c-8c0c-420ab3b259c8

    Interventions des élèves des collèges Villars de Denain, Langevin Wallon de Grenay, Vauban de Maubeuge, Pierre de Ronsard de Hautmont, Albert Calmette de Wasquehal, Jean-Baptiste Lebas de Roubaix, Paul Eluard de Cysoing, Jules Ferry de Coudekerque-Branche, Carnot de Lille, Pierre Daunou de Boulogne-sur-Mer, de l’Europe d’Ardres, Jean-Jacques Rousseau de Thiant, Westhoek de Coudekerque-Branche

  • La page « #Montpellier » de 20 Minutes, c’est une certaine idée du journalisme :
    https://www.20minutes.fr/montpellier
    – En sortant de discothèque, il abandonne sa compagne sur un rond-point
    – Profitant de l’étreinte d’un couple sur un banc, il vole leur portefeuille
    – En plein tour du monde, un Chinois circulait à vélo sur l’autoroute
    – À bord de sa Twingo, le faux VTC emmenait ses clients en discothèque
    – Il incendie la robe de mariée de sa femme, toute la maison part en fumée
    – Il meurt foudroyé, en pleine partie de paintball
    – Il explore un tunnel et s’égare une journée dans le réseau d’eau pluvial
    – Miraculée, une fillette chute de 15 mètres et tombe sur une haie
    – Interpellé alors qu’il s’apprêtait à jeter un parpaing sur l’autoroute
    – Un homme meurt écrasé par un sac d’engrais d’une tonne

    Et voilà, comme tu peux le constater, ma nouvelle vie est pleine de rebondissements… au point que j’ai même pas besoin #de_la_dyslexie_créative pour faire ma joie

  • Foot, Fric, Firmes et politique : le cas du stade Pierre Mauroy de Lille Alternatives Economiques - Le Blog de Jean gadrey - 15/06/2014
    https://blogs.alternatives-economiques.fr/gadrey/2014/06/15/foot-fric-firmes-et-politique-le-cas-du-stade-pierre-

    Nous sommes dans une période foot. Le journaliste François Ruffin, qui sort de bons petits livres au rythme d’un Maradona au galop, lui-même footeux au prestigieux club du foyer rural de Ribemont-sur-Ancre, vient de publier, avec son ami Antoine Dumini et toute une équipe, « Comment ils nous ont volé le football. La mondialisation expliquée par le ballon » (Fakir éditions, 6 euros). Tonique et instructif. Mais j’aborderai le sujet sous un angle plus étroit : celui du « grand stade » de Lille, fort beau il faut le dire, à deux pas de chez moi.


    Ce cas fait partie des projets pharaoniques nuisibles qui vont peser pendant des décennies sur les finances locales, et sans doute sur l’environnement, au détriment de projets écologiques et sociaux qui auraient fait du bien sur un territoire qui en a besoin, et qui auraient créé beaucoup plus d’emplois durables : transports collectifs, logements sociaux et écolo, entre autres. Si par ailleurs, ce qui me semble assez probable, une nouvelle et grave crise financière éclate dans un ou deux ans, certains regretteront amèrement la folie des grandeurs de Pierre Mauroy et de ceux et celles qui l’ont suivi dans cette aventure, dont Martine Aubry.

    Je vais par la suite me placer dans l’hypothèse où un projet de nouveau stade de foot à Lille était défendable. Hypothèse discutable vu que, selon un sondage réalisé en janvier 2009 pour la Voix du Nord, parmi les grands projets d’aménagement dans la région, « la construction ou l’agrandissement de nouveaux stades pour les grands clubs de football régionaux » arrivait en dernière place des préoccupations des habitants, loin derrière des questions de pollution, circulation routière, universités ou transports en commun.

    Mais soit, raisonnons sur un stade « de haut niveau », afin de montrer que, même dans cette hypothèse, la folie a prévalu sur la raison. Ce projet a été porté d’abord non pas par la population mais par les dirigeants du LOSC, privatisé en 1999 et vendu à de grands patrons et actionnaires. Michel Seydoux en est actionnaire majoritaire depuis 2002, en attendant qu’il le vende à son tour, peut-être dès cette année, et pour cela un grand stade est un atout. La folie des grandeurs commence donc avec le business d’une grande firme, le club, en quête de croissance de sa « surface de jeu »… financière, dans une concurrence européenne avec d’autres grands clubs/firmes capitalistes. « Jouer dans la cour des grands » est une idée qui se vend bien auprès des supporters en termes sportifs, mais il s’agit avant tout d’une cour économique, financière et médiatique dont un beau sport (mais d’autres ne le sont pas moins) devient le support de vente, mais dont les collectivités locales restent le principal support financier, ce qui suppose l’appui de barons locaux.

    Pour savoir ce que pensent les patrons de cette « cour des actionnaires du sport » des priorités de l’action publique, voici une appréciation de Xavier Thuilot, directeur général du LOSC : « Une grande métropole doit rayonner en envoyant des signes forts à l’extérieur. Et on ne rayonnera pas avec des logements sociaux » (Entreprise et Management n°16 - janvier 2009). Les responsables politiques de gauche, majoritaires, ont suivi le conseil, y compris, c’est désolant, les communistes. La droite aussi. Ce fut l’union sacrée, seuls les Verts et quelques personnalités faisant preuve de clairvoyance.

    Pour moi, et pour beaucoup d’autres, si nouveau stade il devait y avoir, une jauge de 35 000 places aurait amplement suffi au lieu des 50 000 du stade actuel. Au début des années 2000, appuyée par Martine Aubry, une solution raisonnable et relativement peu coûteuse (38 millions d’euros) avait été retenue : l’agrandissement/modernisation du vieux stade Grimonprez-Jooris, dans Lille, pour en porter la capacité à 33 000 places et satisfaire les critères de l’UEFA en vue de rencontres européennes. Ce projet a été retoqué en justice en raison de sa proximité avec la Citadelle historique de Vauban. Là encore, je pourrais discuter, mais ma question est autre : comment en est-on arrivé à retenir un projet pharaonique au moins DIX fois plus cher, et probablement bien plus quand on fera les comptes dans quelques années ?

    Le dérapage est stupéfiant pour qui découvre le dossier, c’est-à-dire très peu de gens. En 2003, Michel Seydoux revendiquait un stade de 50 000 places dont il chiffrait le coût à 100 millions. A l’arrivée, on est quelque part entre 350 et 400 millions d’euros à la charge de la métropole, principalement sous la forme de redevances annuelles pendant pas moins de 31 ans. Sans compter diverses « grosses surprises », dont la mise aux normes sismiques qui pourrait coûter 100 millions de plus, et le projet actuel de chauffage (voir plus loin). Ajoutons que cette communauté urbaine est déjà très endettée, que la gestion Mauroy a fait passer sa dette de un à deux milliards au cours des années 1990, qu’elle a souscrit en masse des emprunts toxiques, au point que Martine Aubry a décidé de mettre fin à sa notation par Standard & Poor’s, qui annonçait une probable dégradation de sa note.

    La décision finale a été prise par Pierre Mauroy, puis votée majoritairement par les élus d’une communauté urbaine fonctionnant largement sur le mode du donnant-donnant entre un seigneur et ses vassaux. Il est donc juste que ce stade de luxe qui va plomber les finances métropolitaines pendant des décennies porte le nom de Pierre Mauroy, même si ce choix résulte en fait du fiasco du projet initial de « naming » (donner à ce stade le nom d’une grande entreprise contre versement par cette dernière de trois ou quatre millions d’euros par an). Pauvre Mauroy, pas du tout amateur de foot, qui ne doit cet hommage posthume qu’à la défection des capitalistes !
    On a appris il y a quelques jours que deux fonctionnaires de cette institution avaient été mis en examen pour des éventuels « faux ou usages de faux » dans le choix de l’entreprise. Beaucoup pensent que ces lampistes n’ont rien à se reprocher, mais laissons la justice avancer. Il est probable que l’affaire va aller plus loin et plus haut, mais tel n’est pas l’objet de ce billet.

    Deux grandes entreprises étaient sur les rangs au moment du choix final. L’une, Bouygues-Norpac, avec un projet moins cher (bien que déjà très cher), avait les faveurs de la totalité de l’administration. L’autre, Eiffage, finalement choisie à la dernière minute par Mauroy en accord probable avec Martine Aubry. Cela se passait en février 2008. Le stade a été terminé en juillet 2012, avec son éventail de grands parkings terriblement sous-utilisés, un autre gâchis à 45 millions aux frais du contribuable.

    Le projet repose sur l’hypothèse d’un LOSC restant pendant des décennies en ligue 1, avec un bon classement, et décrochant certaines années des places européennes. En effet, les recettes sur lesquelles compte la communauté urbaine dépendent en grande partie des résultats du LOSC et du taux de remplissage du stade. Si les résultats sportifs sont mauvais - a fortiori, si l’équipe redescend en ligue 2 - le surcoût sera énorme : « Cela se chiffre en dizaines de millions d’euros », reconnaît Pierre de Saintignon, bras droit de Martine Aubry. Un risque qui serait lui aussi entièrement supporté par les contribuables.

    LA BOITE A SPECTACLE, AUTRE GOUFFRE… SOUS TERRE
    Voici ce qu’a déclaré à La Voix du Nord l’ancien directeur général des services, ayant occupé ce poste entre 2000 et 2009 : « Dans cette affaire, les services autour de Pierre Mauroy ont toujours défendu la solution Bouygues-Norpac, qui était la moins chère, la plus raisonnable et qui répondait parfaitement au cahier des charges. Celle d’Eiffage proposait un équipement décrit comme unique au monde. Et bien, heureusement qu’il l’est resté ! Parce que s’embêter à faire une salle souterraine qui ne servira jamais, on voit aujourd’hui ce que cela donne. Aucun fonctionnaire n’a jamais défendu la solution stupéfiante d’Eiffage. »

    Pour ceux et celles qui se demandent ce qu’est cette « salle souterraine », c’est une salle de spectacle, située en effet… sous la pelouse. Une pelouse, posée sur une forêt de vérins, qu’il faut déplacer pour moitié avec un mécanisme puissant afin de dégager l’espace de la salle.

    On peut se dire : c’est génial de pouvoir faire des spectacles toute l’année afin de rentabiliser ce superbe équipement ! Mauvaise pioche, c’est aussi un trou financier. Une dizaine de spectacles étaient envisagés par an, on en est à trois ou quatre. Ils pariaient sur le fait que les travaux du Parc des Princes en vue de l’Euro 2016 allaient contribuer à lancer la salle lilloise comme destination première. Pari déjà perdu.
    Pour réaliser l’opération de rétractation de la pelouse, il faut une journée… et une autre pour tout remettre en place. Et cela coûte à chaque fois entre 100 000 et 200 000 euros, de quoi rendre déficitaires nombre de spectacles potentiellement rentables si l’on ajoute d’innombrables complications techniques coûteuses propres à cette enceinte sous terre. Tous les professionnels du spectacle s’accordent pour dire que cette « boite à spectacle » ne sera jamais économiquement viable, qu’elle est inexploitable. On va donc probablement en venir à des solutions où il faudra remplir la salle en offrant des places, le tout à perte.

    Pis encore, la salle en question n’étant pas chauffée, et comme on est à Lille et pas à Nice, on pèle de froid pendant six mois par an : l’excellent groupe Dépêche Mode a annulé à la dernière minute un spectacle prévu en novembre dernier parce que leur contrat prévoyait au moins 17° et qu’il faisait autour de 5°… On ignore à combien s’est monté le dédommagement pour le groupe, mais je parie qu’il est énorme.
    Ils en sont à envisager une solution de chauffage qui, pour être à la hauteur, va coûter horriblement cher, et dont le bilan carbone sera extravagant : cette salle n’est pas fermée, il y a seulement un rideau, et le toit de l’édifice, situé à une hauteur de 31 mètres, n’est pas vraiment étanche ! Ou bien alors ils se replieront sur une solution minimaliste consistant à tenter de ne chauffer que la scène, ce qui marchera très mal. Pourquoi pas des doudounes chauffantes pour les artistes ?

    Rions un peu avec cette citation de Wikipédia reprenant la pub d’Eiffage « L’équipement répond aux critères de la démarche haute qualité environnementale pour la gestion de l’énergie, de l’eau et pour la maintenance. Il est par ailleurs équipé de deux éoliennes et d’une installation solaire photovoltaïque. » Ce qu’un rapport du Préfet avait épinglé en estimant que l’équipement en énergies renouvelables correspondait en fait aux « seuls besoins énergétiques de l’habitation du gardien » !

    LA FOLIE DES PUISSANTS
    Je vais conclure, sans évoquer d’autres dommages, par exemple le PPP, un piège à… contribuables, fait pour privatiser les bénéfices et socialiser les pertes, ce qui va se produire. Ou encore le fait, bien documenté par des associations écolo et des chercheurs, que pour consolider un terrain dont le sous-sol est un gruyère, on a amassé et tassé des terres ou cendres provenant du bassin minier, polluées, avec des métaux lourds et des radionucléides, ce qui fait peser une menace crédible sur les nappes phréatiques alimentant le territoire. Ou enfin, cette idée formidable du groupe Eiffage de faire du stade lillois un argument de vente de stades semblables au Qatar, pour la coupe de monde en 2022. Dans ce cas, je leur propose une solution « HQE » : un système de climatisation (du gardien) avec leurs deux éoliennes. Mais d’ici-là, si le LOSC est vendu au Qatar, des coopérations sont possibles. Je blague.

    La folie des grandeurs de tels projets voit se rencontrer, ici comme à Notre-Dame des Landes, la démesure du capitalisme financier et celle de pharaons locaux ou nationaux, le tout enrobé dans des discours sur l’attractivité et la compétitivité locales, la croissance et l’emploi, avec en prime, dans le cas présent, l’appel au soutien de supporters d’un sport qui pourrait, comme d’autres, être formidable. Des supporters à qui l’on cache soigneusement les risques à long terme, l’effet d’éviction d’autres projets socialement et écologiquement préférables, ou la possibilité de trouver des solutions alternatives raisonnables et bonnes pour leur sport, mais aussi pour le spectacle vivant et populaire. La démocratie est alors bafouée, y compris dans le vote majoritaire des élus. Lesquels vont ensuite déplorer que les citoyens se détournent d’eux et de leur système politique et se mettent à « mal voter » ou à s’abstenir.

  • Lille : Vélos volés ou détériorés... Gobee.bike réduit la voilure LVDN - A. D. - 08/12/2017
    http://www.lavoixdunord.fr/276929/article/2017-12-08/velos-voles-ou-deteriores-gobeebike-reduit-la-voilure

    Depuis quelques semaines, il est devenu difficile de trouver un vélo vert pomme dispo et en état de rouler dans Lille. Nous en avons fait l’expérience vendredi : 100 % des vélos trouvés dans la rue (sans passer par l’application GPS) étaient « HS ». Gobee.bike annonce le retour d’une grande partie de sa flotte aux ateliers, et une réduction du périmètre « desservi ».


    « Aucun vélo trouvé ». Depuis plusieurs jours, l’appli Gobee.bike permettant de géolocaliser un vélo en libre-service, affiche souvent la même réponse à Lille. Les cinq cents bicyclettes vert pomme qui ont envahi la ville en octobre (louées 50 centimes la demi-heure), ont quasi toutes disparu du centre-ville. Et lorsque l’on déplace la zone de recherches GPS vers les quartiers ou villes voisins, le constat est identique : presque plus de Gobee…

    Ce vendredi, nous avons donc lancé une « Gobee chasse » entre les quartiers Centre, Wazemmes, Lille-Sud, Faubourg-de-Béthune, Vauban et Vieux-Lille. En quatre heures à vélo, nous n’avons croisé aucun cycliste Gobee. Et pire, sur les dix vélos verts trouvés (physiquement, mais non répertoriés sur l’appli), aucun n’était en état de marche : câbles de freins arrachés, selle ou guidon manquant, rayons de roues brisés, garde-boue tordus, et surtout des cadenas-GPS automatiques brisés (ils permettent de garer le Gobee n’importe où, et, à l’utilisateur suivant, de le localiser et le déverrouiller via l’appli).

    « Des dégradations lourdes »
    Est-ce la fin de Gobee.bike à Lille et dans la métropole ? « Non », répond la start-up, via une déclaration officielle, confirmant juste qu’il « est actuellement difficile de trouver un Gobee.bike pour les Lillois ». La société explique être confrontée à deux problèmes (en dehors des vols et de privatisations) déjà observés. Le premier concerne « l’éparpillement » des vélos : « Les utilisateurs de Gobee.bike à Lille se sont déplacés dans toute la métropole lilloise entraînant un éparpillement rapide des vélos. Cette dispersion a pour effet de diminuer la densité de vélos disponibles en centre-ville. » Une solution est déjà en place, sous la forme d’une zone bleue visible sur l’appli indiquant désormais le périmètre « desservi » par les Gobee. De nombreuses villes en sont exclues (lire ci-dessous).

    Les usagers appelés à la patience
    Mais le second écueil est beaucoup plus grave : les vélos verts sont régulièrement cassés. « Les dégradations lourdes nous obligent à rapporter les vélos trop endommagés à notre entrepôt (…). Une réparation peut prendre une vingtaine de jours, c’est malheureusement autant d’indisponibilité pour les usagers. » La société dit avoir augmenté ses effectifs, avec « dix personnes dédiées à la récupération et la réparation des vélos à Lille ». Elle appelle ses fans à la patience, à communiquer sur l’appli la position des vélos cassés, et à « combattre l’incivilité en respectant le code de bonne conduite Gobee.bike. ». Et elle prévoit un retour « progressif » à un service normal, en fonction de l’état des vélos.

    #Lille #Gobee.bike #Gobee #vélo

    • Zone bleue pour les vélos verts

      C’est une sorte de grande botte, partant d’Haubourdin et s’achevant à Marquette en suivant le cours de la Deûle, et incluant en son centre 80 % de la ville de Lille. La nouvelle « zone bleue » visible sur l’application Gobee.bike, dite « zone desservie par Gobee.bike », représente un territoire pour le moins curieux. Elle exclut le quartier de Fives, ainsi qu’Hellemmes. Pas de Gobee non plus entre Marcq-en-Barœul (et son Grand Boulevard), La Madeleine, Mons, et Villeneuve-d’Ascq, des villes pourtant très cyclables. Au Nord, elle déborde un peu sur Lomme et Lambersart. Et au Sud, Elle renonce à Wattignies et Faches-Thumesnil.

      Les Gobee.bike roulent trop loin
      Cette zone bleue pour vélos verts a été mise en place après le constat d’une forte dispersion des vélos verts en libre-service dans la métropole lilloise. Le principe étant la liberté totale, les utilisateurs n’ont pas à les attacher à des bornes, comme les V’Lille. Mais, du coup, les Gobee cyclistes roulent. Et parfois trop loin, selon l’opérateur.
      Mais comment faire respecter une zone limitée, pour des vélos par définition sans attache ? Gobee.bike indique que la zone bleue est « indicative », et a pour but « de rassembler tous les vélos. » Ce tracé a été choisi d’après « les remarques des usagers et l’analyse de leurs besoins ». Il aura « vocation à s’étendre ». Les utilisateurs ne seront pas pénalisés s’ils doivent stationner en dehors.

  • Stage LaTeX à Dunkerque — Stage LaTeX à Dunkerque 2017
    http://stage-latex-gte.univ-littoral.fr

    Stage gratuit de formation à LaTeX, à l’IUT GTE de Dunkerque
    Le département Génie Thermique et Énergie de l’IUT du Littoral Côte d’Opale organise son 15e stage gratuit de formation au système de préparation et de production de documents LaTeX

    le mercredi 28 juin 2017 de 9h à 17h30

    en partenariat avec l’association GUTenberg (Groupe des Utilisateurs francophones de TeX).

    • (@bce_106_6 il fallait que je sois sur mon ordi qui a les clés de chiffrement)

      Voici l’article revenant sur ces évènements, et les zones d’ombres de l’affaire publié par l’AFA NP2C (Action anti fasciste Nord Pas de Calais) :

      La police couvrait-elle les assassins identitaires lillois qui ont également armé le terroriste de l’Hyper Cacher Amedy Coulibaly ?

      Edit : Libération révèle que la police était au courant depuis au moins l’automne 2015 mais n’avait pas donné suite.

      3 fascistes nordistes connus pour leurs nombreux méfaits viennent d’être emprisonnés [1] [2]. Ils sont accusés d’avoir assassiné Hervé Rybarczyk, guitariste du célèbre groupe de rock’n’roll « Ashtones » mais surtout infatigable militant révolutionnaire et antifasciste.

      Hervé a mystérieusement disparu dans la nuit du 11 au 12 novembre 2011 après un concert à La Chimère (Boulevard Montebello à Lille). A l’époque le parquet de Lille n’envisageait pas « l’hypothèse d’un crime » [3] (nous y reviendrons).
      Pourtant, suite au récent procès du tortionnaire néo-nazi Jérémy Mourain [4], l’enquête sur la disparition de Hervé et des 4 autres victimes dites « du pousseur de la Deûle » fut réouverte. En effet, Mourain, alors en prison, déclare « Pourvu que le juge n’aille pas chercher trop loin dans ma période lilloise. » [5] ou encore « À ma période lilloise, j’ai tué un homme, là-bas. ». La Voix du Nord abonde : « [Cette] bagarre se serait terminée dans la Deûle » [6].

      Hier, 3 membres de la mouvance identitaire lilloise ont été placés en détention à la suite de ces révélations.

      Pour bien comprendre le sens de ces informations, il s’agit de les replacer dans leur contexte de l’époque.

      Mourain était alors un membre important de Troisième Voie. Ce groupuscule néo-nazi fut dissout après que l’un de ses nervis, Esteban Morillo, a assassiné Clément Méric, un jeune membre de l’AFA Paris Banlieue et du syndicat SUD étudiant-es. Morillo comme Mourain étaient originaires de Picardie.

      Mourain était le bras droit de Serge Ayoub en Picardie (le chef de Troisième Voie et de son service Action, les « Jeunesses Nationalistes Révolutionnaires »).
      A son arrivée dans le groupuscule, il fut « parrainé » par le lillois Yohan Mutte [7], un membre de Troisième Voie et des JNR déjà condamné pour avoir attaqué le bar gay « Le Vice Versa » en marge d’une « Manif pour tous » [8]. Il a également participé à de nombreuses actions violentes dans la métropole comme les attaques du bar « le Resto Soleil » [9] (au cours d’une desquelles était présent… Jérémy Mourain) ou encore celle ayant visé le local du syndicat CNT (opérations toujours mises en échec par les antifascistes présents).

      Yohan Mutte est l’un des 3 interpellés d’hier… Il semble qu’au moins l’une de ces ratonnades a entrainé la mort d’un homme, celle d’Hervé.

      Mais ce n’est pas tout. A l’époque, Troisième Voie travaillait en étroite collaboration avec la Maison de l’Identité Flamande (Vlaams Huis), l’ancêtre de La Citadelle, au sein du « Front Populaire Solidariste ».

      La Maison de l’Identité, comme le mouvement identitaire lillois, furent fondés par le tristement célèbre Claude Hermant, un indic et barbouze formé au service Action du Front National [10]. La Vlaams Huis servait de point de rendez-vous aux néo-nazis de Troisième Voie, aux identitaires d’Opstaan (l’ancêtre de « Génération Identitaire »), aux autres groupuscules de l’extrême-droite nordiste… mais aussi aux forces de sécurité.
      Le lieu pouvait compter parmi ses adhérents le chef de la police municipale de Lambersart et des policiers y fêtaient même leurs anniversaires. [11]
      Les flics sympathisants n’hésitaient pas non plus à renseigner les néo-nazis sur les militants de gauche (on verra que le trafic d’armes a dû créer des liens étroits entre fascistes et flics) ; ainsi la Maison Flamande publia à plusieurs reprises des noms et adresses de militants libertaires collectés suite à des interpellations [12]. Une plainte collective fut déposée mais cette affaire fut – bien entendu – classée sans suite.
      Est-ce par ce biais que les assassins d’Hervé ont ciblé leur victime ? Nous ne le saurons probablement jamais… Ce qui est certain c’est qu’Hervé avait été identifié par les fascistes comme « antifa ».

      Au sein de ce panier de crabes on retrouvait bien sûr Mourain et Mutte, mais aussi Aurélien Verhassel (qui participait fréquemment aux activités – dont les tournois de boxe – organisées par « la Vlaams ») et Antoine Denevi.

      Verhassel est l’actuel chef de Génération Identitaire Lille et de « La Citadelle ». Il a lui aussi un casier judiciaire chargé : « violences aggravées, violation de domicile, violences avec préméditation et usage d’une arme… Et même une peine de 80 jours/amende en Allemagne pour « détention et importation de substance explosive » et « utilisation de caractéristiques d’organisations anticonstitutionnelles » » (Libération [13]). Sa proximité avec Troisième Voie, Mutte et Mourain n’est pas récente. Déjà en 2014, Verhassel avait été épinglé pour sa proximité avec les ex du groupuscule dissous. Les mêmes aujourd’hui accusés d’avoir assassiné Hervé [14].
      Depuis, les choses ne se sont pas arrangées. Leur nouveau local « La Citadelle » héberge fréquemment des membres de cette bande néo-nazie. Il sert également de base arrière pour leurs ratonnades, comme celle ayant ciblé des étudiants des Jeunes Communistes en novembre dernier [15].

      Abordons maintenant le cas de Denevi et découvrons pourquoi la police avait tant intérêt à étouffer l’affaire « du pousseur de la Deûle » : Denevi était le chef de Troisième Voie dans le Nord de La France. Mourain et Mutte (tous deux membres de l’organisation dans le Nord) étaient donc sous son autorité. Mais Denevi ne se contentait pas de ratonner : comme l’a révélé il y a quelques semaines Mediapart, il participait à un important trafic d’armes de guerre dont était à la tête… Claude Hermant [16]. Le réseau Hermant-Denevi (c’est à dire le groupe de personnes également accusé d’avoir assassiné Hervé) a, semble-t-il, procuré au djihadiste Amedy Coulibaly le fusil d’assaut et les pistolets Tokarev qui lui ont servi à massacrer des juifs à l’Hyper Cacher, près de la porte de Vincennes à Paris.

      L’histoire ne s’arrête pas là : Hermant était en fait un indic de la police et dit avoir livré ces armes sur demande des forces de sécurité. Comme l’ont révélé Mediapart et la Voix du Nord, rien de moins que la police, la DCRI, la gendarmerie et la douane étaient impliquées dans ce trafic [17]. L’enquête de Mediapart est surréaliste, extrait :

      « À Mediapart, le commissaire divisionnaire Patisson, chef du SDIG du Nord de 2008 à 2011, avant de diriger le CCPD de Tournai, confirme que Christophe Dubroeuq, alias « Monstro », a été l’un de ses informateurs sur l’extrême droite radicale lilloise, et qu’il a communiqué des informations sensibles, avant de devenir « un bon copain ». « Je m’inquiétais de ne pas avoir de nouvelles de “Tof”, dit-il. Puis j’ai appris par mes collègues qu’il avait été interpellé en République tchèque. Je lui avais dit clairement quelques jours avant : “Tu ne mets pas ton nez là-dedans.” On savait que ces armes slovaques avaient été retrouvées dans la filière Kouachi. »

      Quelques années plus tôt, l’ancien chef des RG du Nord avait réussi, par le truchement de « Tof », à approcher Claude Hermant, ancien militaire, figure de l’extrême droite identitaire locale et lui-même informateur de la gendarmerie et des douanes, identifié comme l’un des acheteurs officiels d’une partie des armes slovaques retrouvées entre les mains d’Amedy Coulibaly, en janvier 2015. »

      Résumons, Hervé Rybarczyk (et peut-être d’autres victimes) a probablement été assassiné par un groupe de néo-nazis également trafiquants d’armes. Ces néo-nazis trafiquants d’armes étaient aussi des indics, et ils ont armé Daesh avec l’aval des forces de police.
      Bien qu’il soit invraisemblable que 5 personnes soient accidentellement mortes noyées dans la Deûle en quelques mois alors que cela n’était jamais arrivé (et n’est plus arrivé depuis) ; malgré le vent de panique qui avait alors parcouru la ville ; le parquet n’envisageait pas à l’époque « l’hypothèse d’un crime » et évoquait « la loi des séries ». Or dans le même temps, les services de sécurité couvraient le groupe dans le cadre de son trafic d’armes…

      Encore aujourd’hui, des membres de ce groupe se réunissent toutes les semaines dans le bar raciste qu’ils ont ouvert à l’automne, « La Citadelle », situé 8 rue des Arts à Lille. Malgré les nombreuses manifestations et protestations de la population, ni Martine Aubry ni la police n’a jugé opportun de fermer ce lieu.
      Est-ce que la révélation du meurtre d’Hervé suffira à faire fermer La Citadelle [18] (mais aussi « la Friterie » [19], commerce appartenant à Claude Hermant, rue Solférino à Lille) ou faudra-t-il que les fascistes pro-FN tuent encore ?

      Rendez-vous vendredi 12 mai à 19h sur la Grand Place de Lille afin de rendre hommage à notre camarade Hervé et rappeler aux assassins fascistes que nous leur rendrons coups pour coups.

      Ce texte est ouvert à signature.

      Action Antifasciste NP2C

      [1] http://www.liberation.fr/direct/element/trois-jeunes-hommes-proches-de-lextreme-droite-mis-en-examen-dans-laffair
      [2] http://www.lavoixdunord.fr/157289/article/2017-05-03/l-affaire-des-noyes-de-la-deule-relancee-arrestations-au-sein-de-l-ultr
      [3] http://musique.jeuxactu.com/news-ashtones-mysterieuse-disparition-du-guitariste-herve-rybarczy
      [4] http://france3-regions.francetvinfo.fr/hauts-de-france/picardie/somme/amiens/proces-wwk-amiens-neuf-ans-prison-jeremy-mourain-relaxe
      [5] http://www.lavoixdunord.fr/139941/article/2017-03-28/le-leader-du-groupe-d-ultra-droite-est-il-l-auteur-d-un-meurtre-impuni-
      [6] http://www.lavoixdunord.fr/139572/article/2017-03-28/quand-est-dans-cette-ideologie-de-haine-peut-devenir-tres-violent
      [7] https://www.streetpress.com/sujet/1485772451-le-white-wolf-klan-groupe-neonazi
      [8] http://www.liberation.fr/societe/2013/09/04/lille-j-ai-entendu-fils-de-pute-encule-pede_929519
      [9] https://luttennord.wordpress.com/2012/12/10/le-resto-soleil-une-nouvelle-fois-attaque-par-les-nazillons-li
      [10] http://lahorde.samizdat.net/2013/04/23/portraits-et-relations-des-neo-nazis-ayant-attaque-le-bar-gay-du-v
      [11] https://lille.indymedia.org/spip.php?article17732&lang=fr
      [12] http://cettesemaine.info/spip/article.php3_id_article=2505.html
      [13] http://www.liberation.fr/apps/2017/04/generation-identitaire-a-decouvert
      [14] https://luttennord.wordpress.com/2014/05/25/tribann-identitaires-nazi-et-fiers
      [15] http://www.lavoixdunord.fr/75067/article/2016-11-16/des-jeunes-communistes-agresses-dans-un-bar-samedi-
      [16] https://www.mediapart.fr/journal/france/070516/quatre-services-de-securite-connaissaient-les-fournisseurs-d-armes-de-coul
      [17] https://www.mediapart.fr/journal/france/120317/informee-la-police-n-rien-fait
      [18] https://www.facebook.com/fermonslacitadelle
      [19] https://www.facebook.com/FermetureLaFriteRitLille

    • Il semble qu’a Bordeaux et à Nantes il y ai eu le même type de noyades près des clubs et lieux fréquentés par les homos.
      Pour Bordeaux j’ai trouvé la mention de l’ouverture d’un local de néo-nazis le 28/01/12 et la même année on retrouve beaucoup de noyés dans le coin :
      "Maxime Le Bot 24 ans - disparu le 21/02/12 - corps retrouvé le 28/04/12. (Il est mentionné que Maxime aurait disparu quai Paludate et sur ce Quai Gogol m’indique au moins 3 clubs gays et lesbien.
      Vincent Zecca 19 ans, disparu le 04/03/12, corps retrouvé le 29/03/12 - la mère de Vincent est ancienne policière et semble avoir fait le lien entre l’homophobie et le racisme de ces « accidents »
      Julien Teyssier 25 ans, disparu le 27/04/12, corps retrouvé le 09/05/12
      Nicolas Barre 29 ans disparu le 21/06/12, corps retrouvé le 25/06/12"

      à Bordeaux proche de cette période il y a aussi le décès par noyade de Valentin Bernabeu 19ans, disparu le 02/12/11, son corps est retrouvé le 05/12/11
      et Cédric Briant 21ans disparu le 19/05/13- corps retrouvé le 01/06/13.

      à Nantes le 4 décembre 2010 il y avait peut être aussi une fête nazie vu le taux de mortalité chez les gay ce soir là :
      « Rémy Calmejane 19ans - disparu le 04/12/10, son corps est retrouvé le 21/02/11 – Remy sortait d’une boite gay le Calysto
      Grégoire Rigault 24 ans disparu le 04/12/10 son corps est retrouvé le 02/05/11. Il se rendait à la boite gay, Claysto »
      Un double accident la même nuit, au même endroit...

      En cherchant sur google je trouve aussi que le seul à être incriminé dans ces noyades est le patron du bar le Préstige
      « le patron d’un bar, le Privilège, sera renvoyé devant un tribunal correctionnel, suspecté d’avoir servi de l’alcool à la victime déjà ivre. »
      http://www.lavoixdunord.fr/archive/recup%3A%252Fregion%252Fnoyes-de-la-deule-le-parquet-classe-trois-des-q

      A l’époque la press et la police avait accusé l’"hyperalcoolisme" des jeunes, qu’on ne doit pas confondre avec l’alcoolisme pas hyper des flics ( http://www.europe1.fr/faits-divers/les-motards-de-la-police-etaient-ivres-lors-de-leur-accident-2541487 )
      Ou c’est comme l’extrême droitisme, pas ultra des condés, procureures et juges qui ne voient pas d’homophobie dans les agressions qui ciblent les gays commises par les nazis leurs amis : https://www.francebleu.fr/infos/faits-divers-justice/l-agression-dans-un-bar-gay-lille-n-avait-pas-de-caractere-homophobe-selo

      edit -

      Mathieu D., qui faisait partie du groupe, a raconté avoir reçu des confidences de Mourain : il lui a dit avoir commis un meurtre pour rentrer dans les jeunesses nationalistes autonomes (JNR). Ces faits se seraient déroulés à Lille alors que Mourain était avec son parrain JNR Yohann Mutte. Mourain aurait dit à Mathieu D. qu’il avait porté des coups à un individu puis qu’il l’avait jeté à l’eau. Il s’agissait d’un passage obligé pour intégrer les JNR.

      Si frapper une personne et la jeter dans l’eau est le rituel initiatique des JNR, ca veux dire qu’il y a au moins autant de morts par noyades que de membre de ce mouvement ...

  • Les murs de la peur, par Thierry Paquot (octobre 2006)
    http://www.monde-diplomatique.fr/2006/10/PAQUOT/14047 #st

    Les murs appartiennent aux plus anciens vestiges archéologiques, et la Grande Muraille de Chine – élevée au cours des IIIe et IVe siècles avant Jésus-Christ, longue de plusieurs milliers de kilomètres – est visible sur les photographies prises depuis la Lune. Les historiens s’accordent pour dire que la plupart des villes se sont dotées de remparts et de portes gardées la nuit afin d’assurer la paix aux citadins. Le mot « mur » vient du reste du latin murus, qui désigne l’« enceinte » d’une ville, à distinguer de « murailles » (moenia) et du « mur de construction » (paries), qui donnera en français « parois »). D’abord simple palissade en bois, comme en témoignent, par exemple, les découvertes archéologiques du premier site de la future Lutèce, puis en pierres avec chemin de ronde et tours. L’amélioration de l’armement aux XVe et XVIe siècles oblige les ingénieurs à concevoir de nouvelles configurations défensives, dont l’apogée sera le plan en étoile si cher à Vauban.

    http://zinc.mondediplo.net/messages/48987 via Le Monde diplomatique

  • Le quartier Vauban
    http://www.passerelleco.info/article.php?id_article=2020

    Un éco-quartier urbain à Freiburg en Forêt Noire, à 40 km de Colmar (Alsace). Je souhaite vous faire part d’une expérience d’éco-village en milieu urbain sur un terrain de 32 hectares laissé libre par les forces françaises en Allemagne dans les années 80, actuellement complètement intégré dans la ville de Freiburg. Tout d’abord, les bâtiments des casernes ont été squattés, et assez vite la ville de Freiburg a été interpelée par les habitants, qui ont exprimé le souhait (...)

    #En_Europe_et_dans_le_Monde

  • En Norvège, la maison qui tourne en même temps que le soleil. Je me demande simplement comment ça se passe avec la câblerie et les tuyaux de chiottes

    Dette huset kan snus etter sola - NRK Rogaland - Lokale nyheter, TV og radio

    https://www.nrk.no/rogaland/dette-huset-kan-snus-etter-sola-1.13148591

    Huset til Jarle Hegerland på Torvastad på Karmøy er nemlig bygd på en svingkrans. Det betyr at det kan rotere helt rundt.

    Dermed er det mulig å snu huset helt etter hvor vinden kommer fra, eller hvor sola står på himmelen.

    – I utgangspunktet var det for å gjøre noe litt utenom det vanlige. I tillegg får en utnytta sol og terrasse bedre, og skjerme for vinden, sier Hegerland til NRK.

  • Deux conférences tenues lors du dernier festival #Longueur_d'ondes mises en ligne sur l’#Oufipo

    L’une où Syntone a pris part : « La critique radio »
    http://oufipo.org/La-critique-radio.html

    Entre une tradition de recherche et réflexion sur la #radio jusque dans les années 50 et une presse actuelle très normative et davantage centrée sur le cinéma et la télévision, qu’en est-il aujourd’hui de la #critique_radio ? #Aude_Dassonville (journaliste à Télérama), #Christophe_Deleu (universitaire) et #Étienne_Noiseau (responsable éditorial de Syntone) se sont réunis autour de cette question pour donner leur point de vue. Tous trois estiment que la critique, dans un secteur fragile, comme la radio reste primordial et participe au symbole de reconnaissance pour les auteurs. Cette table ronde est une invitation à imaginer différentes approches de la critique, à prendre conscience de ses impacts et surtout, à donner envie d’écouter la radio et de s’exprimer autour d’elle.

    http://oufipo.org/IMG/mp3/Critique_radiophonique.mp3

    L’autre animée par l’ami #Radio_Fañch : « Dimanche dans un fauteuil »
    http://oufipo.org/Dimanche-dans-un-fauteuil.html

    Ce sont trois hommes de radio, trois amis, #Patrice_Blanc-Francard, #Claude_Villers et #Pierre_Wiehn, qui se sont réunis un dimanche après-midi au Cabaret Vauban aux côtés de l’inénarrable #Fañch_Langoët. Au fil de leurs souvenirs, ils nous font revivre les années 1970 à #France_Inter, la création de l’émission Pas de panique, l’esprit de famille qui régnait alors dans les studios et nous livrent une belle définition de l’écoute radiophonique : « Avec la radio, vous êtes tout seul, et pourtant vous êtes avec les autres. »

    http://oufipo.org/IMG/mp3/Dimanche_un_fauteuil_VFINAL.mp3

    #audio #histoire #création_radio

  • Discrètement, en parallèle — et en réaction — à la campagne d’installation par ERDF, la mobilisation anti-Linky progresse en Bretagne.

    Ouest-France
    http://www.ouest-france.fr/search/site/linky
    (suivi du thème)

    Douarnenez
    Une conférence sur les compteurs Linky
    Jeudi soir, elle organise donc une conférence-débat autour des compteurs Linky d’ERDF et gazpar de ...
    23/03/2016

    Plouëc-du-Trieux
    Les habitants s’informent sur le compteur Linky
    nouveau compteur ERDF, nommé Linky. Ce compteur remplace l’ancien mais tout le monde n’approuve ...
    22/03/2016

    Plonéour-Lanvern
    Relais citoyen : quelles suites donner aux compteurs Linky ?
    Jules-Ferry. L’occasion de débattre des suites à envisager au sujet des compteurs Linky ...
    19/03/2016

    Plonéour-Lanvern.
    Relais citoyen s’interroge sur les compteurs Linky
    compteurs Linky. " Ce type de compteurs, utilisable pour l’électricité comme pour l’eau et le gaz, est ...
    18/03/2016

    Lannilis
    Compteur Linky : un nombreux public à la réunion
    organisée par le collectif Stop Linky, membre de l’association nationale Robin des toits, et ...
    Jeudi 17 mars, permanence de Stop Linky Finistère ...
    16/03/2016

    Saint-Jean-de-Monts
    Un collectif Stop Linky créé sur le canton de Saint-Jean-de-Monts
    à l’installation des compteurs Linky communicants d’ERDF. Il organise une réunion ce vendredi 18 mars. Dans le ...
    14/03/2016

    Saint-Lunaire
    Le compteur Linky inquiète certains Lunairiens
    mécontentement de se voir imposer par ERDF le nouveau compteur Linky. « On en a marre d’être des moutons. ... moratoire sur l’installation du Linky. Mais que faire ? Le maire n’a pu que recevoir ces doléances, ...
    14/03/2016

    Presqu’île de Crozon
    Compteurs Linky : la réunion s’est déroulée dans le calme
    collectif Stop Linky Presqu’île de Crozon. Cette réunion d’information réunissait, autour de plus ...
    14/03/2016

    Réunion débat sur les compteurs Linky
    Le collectif Stop Linky Presqu’île organise un nouveau débat public, le vendredi 11 mars, ... quotidienne. Les membres du collectif expliqueront les caractéristiques techniques du dispositif Linky 11/03/2016

    Cap Sizun, Douarnenez, Plozévet
    Un comité Stop Linky a été créé sur le territoire
    actuels pour les remplacer par des compteurs Linky utilisant la technologie CPL. Ces compteurs sont ... affirment que le système peut être piraté, que huit compteurs ont déjà pris feu. « Linky alourdira aussi la ... facture d’électricité. » Les comités Stop Linky assurent qu’en cas de dépassement du contrat ...
    10/03/2016

    • Le Télégramme - Recherche
      http://www.letelegramme.fr/recherche/recherche.php

      Compteurs Linky. Un collectif d’habitants créé
      Saint-Pierre-Quiberon
      25 mars 2016
      Un collectif d’habitants de la presqu’île de Quiberon s’est constitué pour informer les habitants et interpeller les élus locaux sur les ...

      Collectif Stop Linky. Réunion ce soir au Roudourou
      Guingamp
      25 mars 2016
      Le collectif Stop Linky Côtes-d’Armor organise une réunion ce soir, à partir de 19 h 30, salle n° 5 de l’espace associatif du Roudourou,

      Ondes électromagnétiques. Devoir d’informer
      Plonéour-Lanvern
      24 mars 2016
      L’association Relais citoyen tenait, samedi, son assemblée générale. Forte de ses 52 adhérents, l’association qui se situe dans une dynamique …

      Gazpar et Linky. Conférence demain soir avec Initiatives Citoyennes
      Douarnenez
      23 mars 2016
      Le collectif Initiatives Citoyennes organise demain une soirée-débat sur les compteurs « communicants » Linky et Gazpar, « avec l’objectif de ...

      Conseil. Les taux d’imposition maintenus
      Trégarvan
      22 mars 2016
      Le conseil municipal s’est réuni jeudi soir, en présence du trésorier de Crozon, François Huygues. Au menu, notamment, le vote des comptes ...

      ErDF. Un collectif citoyen opposé au compteur Linky
      Lanester
      21 mars 2016
      Un collectif citoyen s’est créé pour s’opposer à l’installation dans les foyers du compteur électrique d’ErDF Linky. Il regroupe autour de ...

      Conseil. Des comptes excédentaires
      Bangor
      18 mars 2016
      Mardi, le conseil municipal a voté les comptes du budget 2015. Pour ce qui est du budget principal, le poste investissement, qui était ...

      Compteur Linky. Les inquiétudes persistent
      Lannilis
      17 mars 2016
      Vendredi, la salle Yves-Nicolas était bien remplie, à l’occasion de la réunion publique proposée par le collectif Stop Linky Finistère. ...

      Linky. Il y a de l’électricité dans l’air !
      Pontivy
      17 mars 2016
      Le compteur électrique Linky fait débat un peu partout en France. Et Pontivy n’en est pas exempté. Samedi, lors de la visite de quartier, une ...

      CFDT Défense. Les retraités s’informent
      Crozon
      17 mars 2016
      Lundi après midi, la section CFDT des retraités de la Défense a organisé une réunion d’information à la Maison Ursule, au Fret. Une réunion ...

      Linky. « Des ondes, il y en a partout, mais. »
      Lanvéoc
      15 mars 2016
      Vendredi s’est déroulée, dans la salle polyvalente, une réunion d’information organisée par le collectif « Stop Linky ». Une centaine de ...

      Linky. Un problème de santé publique ?
      Lanmeur
      14 mars 2016
      Si le débat sur le compteur Linky n’était pas à l’ordre du jour du conseil municipal, jeudi, le sujet a été tout de même abordé en fin de ...

      Linky. Des opposants reçus en mairie
      Saint-Lunaire
      12 mars 2016
      Le nouveau compteur Linky de ERDF, dont l’installation a déjà commencé, continue de susciter des oppositions. Pour les écouter, le maire, ...

      Locaux municipaux. Pas de compteur Linky
      Plouguerneau
      12 mars 2016
      Alors qu’ErDF s’apprête à déployer les nouveaux compteurs Linky, leur installation fait l’objet d’une large controverse depuis plusieurs ...

      Linky. Le compteur préoccupe toujours
      Roscanvel
      11 mars 2016
      Treize délibérations étaient à l’ordre du jour du conseil municipal, réuni mercredi, à la mairie. La mise en accessibilité de l’école en ...

      ERDF. Journée d’information pour les lycéens
      Brest
      11 mars 2016
      Des élèves des lycées brestois Vauban, Croix-Rouge et Dupuy-de-Lôme mais aussi du lycée Tristan-Corbière, de Plourin-lès-Morlaix, ont ...

      MSA. La conférence débat a captivé le public
      Pleurtuit (Châteauneuf, Dinard)
      11 mars 2016
      Les élus MSA du secteur de Châteauneuf et Dinard ont organisé une soirée débat mardi, à l’espace Delta, sur le thème des perturbations ...

      Linky. Réunion-débat à Lanvéoc demain
      Crozon
      10 mars 2016
      Le collectif Stop Linky Presqu’île propose un nouveau débat public, demain, de 18 h à 20 h, à la salle polyvalente de Lanvéoc. Cette ...

      Environnement. Manifestation contre Linky
      Milizac
      09 mars 2016
      Samedi, l’Association pour la qualité de la vie à Milizac et les communes voisines (AQVMCV) avait invité les Milizacois à se joindre au …

      Compteurs Linky. Le courant ne passe pas
      Collorec
      09 mars 2016
      Le conseil municipal s’est réuni vendredi. Le maire a apporté un certain nombre de précisions sur l’installation des nouveaux compteurs Linky. ...

    • Pour l’instant, ça ne dépasse pas le niveau des infos locales avec, suivant le correspondant, des titres variant de :

      Un problème de santé publique ?

      à

      Linky : La réunion s’est déroulée dans le calme

      … j’imagine qu’il faut compléter par « bien qu’elle ait été organisée par de dangereux irresponsables »…

  • #Marche et environnements urbains contrastés : perspectives internationales et interdisciplinaires

    Dans le cadre de ce numéro thématique interdisciplinaire sur le #marcheur et son environnement, trois axes sont proposés où, dans un premier temps, nous nous intéressons aux figures du marcheur d’aujourd’hui, dans une seconde partie, aux conditions de possibilités de la marche et, dans une troisième partie, aux manières d’évaluer la marche selon le point de vue du marcheur.

    Sébastien Lord, Emmanuel Ravalet, Olivier Klein et Rachel Thomas
    Marche et #environnements_urbains contrastés : perspectives internationales et interdisciplinaires [Texte intégral]
    Introduction
    Ruth Pérez López
    Quand le #piéton défie la ville : traverser la chaussée à Mexico [Texte intégral]
    When Pedestrians defy the city : crossing the street in #Mexico_City
    Cuando el peatón desafía la ciudad : cruzar la calle en la ciudad de México
    Héloïse Pagnac-Baudry
    Environnement urbain et #marchabilité : l’exemple du quartier des Aubiers à #Bordeaux [Texte intégral]
    Urban environment and walkability, the case of « Les Aubiers » in Bordeaux (France)
    Hélène Melin
    La pratique des #sentiers_périurbains de #Balagne (#Corse) par les habitants : marcher pour réinventer sa vi(ll)e [Texte intégral]
    How do the inhabitants relate to the outer-urban paths in Balagne (Corsica): walking to re-invent the city
    H. Imerzoukene Driad, P. Hamman et T. Freytag
    Impact de la politique d’aménagement sur la #mobilité : Cas des #éco-quartiers de #Vauban et #Rieselfeld à #Fribourg [Texte intégral]
    Impact of land use on mobility: Eco-neighborhoods of Vauban and Rieselfeld in Freiburg
    Mathieu Berger et Lionel Francou
    Policer les espaces publics urbains par la marche ? [Texte intégral]
    Policing urban public spaces through walking?
    ¿Reglamentar los espacios públicos urbanos a través de la marcha?

    http://eue.revues.org
    #marcher #revue #urban_matter #aménagement_du_territoire