city:versailles

  • Salon de l’agriculture : le gouvernement annonce l’éradication des algues vertes
    http://www.eauxglacees.com/Salon-de-l-agriculture-le

    Le secret avait été bien gardé avant la révélation de ce qui s’annonce comme un tournant majeur du quinquennat et de la Politique agricole commune. Une impressionnante escouade de ministres rassemblés autour du président de la République a annoncé le jeudi 28 février à la Porte de Versailles l’avènement du Poichon, fruit de travaux de génie moléculaire de pointe qui ont mobilisé depuis cinq ans des pans entiers de la recherche française. Une annonce qui a fait sensation bien au-delà des frontières (...)

  • « Le chômage, ma cantine, le maire et moi… »… et l’AJDA at Enfants, tous égaux !
    http://www.enfants-tous-egaux.fr/le-chomage-ma-cantine-le-maire-et-moi-et-lajda/#more-838

    Le juriste, également fonctionnaire territorial, nous livre une étude que nous conseillons vivement aux maires et décideurs politiques.

    Rappelons que par un arrêt du 23 octobre 2009, le Conseil d’Etat a jugé que "le moyen tiré de ce que la délibération attaquée interdit illégalement l’accès au service public de la restauration scolaire à une partie des enfants scolarisés, en retenant au surplus un critère de discrimination sans rapport avec l’objet du service public en cause est de nature à créer, en l’état de l’instruction, un doute sérieux sur la légalité de cette délibération"

    #cantines #égalité #service-public

  • La commune de Paris 1871 | Blog Paris Insolite
    http://www.pariszigzag.fr/histoire-insolite-paris/la-commune-de-paris-1871

    Une œuvre sociale audacieuse

    Le hongrois Léo Fränkel, responsable de la Commission du Travail et des échanges, lutte contre le chômage en réorganisant les ateliers abandonnés par les patrons « les francs fileurs », réfugiés à Versailles. La gestion de ces ateliers est confiée à « l’Union des femmes » dirigée par Nathalie Le Mel et Elisabeth Dmitrieff. « Les ateliers vous appartiendront, plus d’exploiteurs, plus de maitres » lit- on sur leurs affiches sur les murs de la capitale. La commission décide la suppression des amendes sur les salaires. Première tentative de satisfaction de la revendication d’égalité des salaires entre hommes et femmes (encore à l’ordre du jour), la commission instaure l’égalité de traitement pour les instituteurs et les institutrices en revalorisant leur salaire (21 mai 1871). Ainsi les femmes et les étrangers ont pris leur place de citoyen dans la société !

  • El Shennawy : recours en grâce déposé auprès de la Présidence de la République le vendredi 14 décembre 2012.
    Reste évidemment que ces hautes autorités prennent leur temps et que le prisonnier de cette magistrature sans dignité se meurt.

    • Un groupe d’avocats parisiens vient de signer un texte collectif à propos des pratiques corporatistes de la chambre d’instruction de la cour d’appel de Paris : même cas que celle de la chambre d’instruction de Versailles, même comportement insupportable de ces magistrats qui s’imaginent être littéralement le « corps » sacré et intouchable de la justice, qui doivent être d’urgence rappelés à plus de réalité et qu’enfin la loi, c’est à-dire le parlement légifère en vue de contrer cette magistrature répugnante que nous trimballons depuis Vichy et bien avant.

  • Avocation - Etienne Noel Avocat Rouen
    http://noeletienne.blogspot.fr/2012/12/dernier-jour-dun-condamnepar-florence.html

    Dernier jour d’un condamné...par Florence AUBENAS

    Le Monde 14/12/12

    Condamné en 1975 pour un braquage puis auteur de plusieurs évasions, Philippe El Shennawy a passé trente-sept ans en prison. Mercredi 12 décembre, le tribunal de Versailles a estimé qu’il devait purger encore trois ans. Dans la nuit, il a tenté, en vain, de se donner la mort
    Neuf heures du matin, c’est l’heure où les décisions de justice commencent à tomber dans les greffes des prisons. Philippe El Shennawy a attendu ce moment toute la nuit dans sa cellule, à la maison centrale de Poissy (Yvelines). Il connaît par coeur la manière dont les choses se passent en détention : cela fait trente-sept ans qu’il y vit. Il déteste en parler. Il ne veut raconter que des choses du dehors. Mozart. La Callas. Les ordinateurs, sa passion. Un gin tonic à la terrasse d’un café. Il a mis toutes ses forces dans une procédure compliquée qui va lui permettre - espère-t-il - de sortir bientôt en liberté conditionnelle. Il n’a jamais tué personne. Il a 58 ans. Il pense tenir sa dernière chance d’une vie en liberté. Il a déjà annoncé qu’il se tuerait si ces démarches n’aboutissaient pas, ou duraient trop longtemps. Tout le monde le sait, son avocate, les juges, l’administration pénitentiaire, la presse, la chancellerie. Ce mercredi 12 décembre 2012, le prisonnier va au greffe chercher sa décision, d’un pas posé, habillé avec élégance. El Shennawy redoute par-dessus tout la pitié.

    #prison #longue_peine #El_Shennawy

  • «La victime doit être irréprochable alors que les violeurs mentent en permanence»
    http://www.lesnouvellesnews.fr/index.php/chroniques-articles-section/chroniques/2304-victime-doit-etre-irreprochable-alors-que-les-violeurs-mentent

    Le #viol collectif ne s’arrête pas aux "quartiers défavorisés", il a lieu dans toutes les classes de la société. J’ai défendu une jeune lycéenne victime de viols collectifs à Versailles. Ses violeurs fréquentaient le même établissement scolaire qu’elle. Ils provenaient de la classe moyenne, leurs parents étaient employés ou cadres. Leur ligne de défense ? Celle que l’on retrouve dans ce genre d’affaires, à savoir que la victime était consentante et qu’ils n’avaient fait que répondre à ses attentes. Ils disaient aussi qu’ils n’avaient pas réalisé qu’elle n’était pas d’accord car elle les rejoignait dans les escaliers ou les caves. Pourtant, elle était contrainte : certains de ses agresseurs la menaçaient de tout raconter à ses parents si elle ne se soumettait pas à leurs désirs ; la jeune fille avait un petit ami dans la bande, qui l’a « prêtée aux copains », ce qui démontre la chosification de la victime et entraîne sa déshumanisation.

  • Le Château de Versailles, panneau publicitaire pour Google
    http://esquisses.clochix.net/2012/08/01/Google-Versailles

    On est donc en présence du site d’un établissement public qui incite ses visiteurs à installer un logiciel spécifique, sans que rien ne le justifie. Si j’en crois Wikipédia, un établissement public est financé par des fonds publics et remplit une mission d’intérêt général. Est-ce remplir une mission d’intérêt général que d’inciter les internautes à utiliser un logiciel certes de très bonne facture, mais bien peu respectueux de leur vie privée ?

    Je ne suis pas naïf, je sais bien que si #Google a participé à la réalisation de ce site, ce n’est ni par philanthropie, ni par volonté de rendre une part du patrimoine plus accessible. Je sais bien que les institutions culturelles manquent désespérément de moyens — cf par exemple la série estivale du Canard Enchaîné sur les difficultés du Muséum d’histoire naturelle — et sont fortement incités à faire appel à des financement privés. Et on se retrouve à nouveau dans le même cas de figure que pour les jeux du cirque londoniens. Là-bas, Coca Cola a payé, la consommation d’autres boissons est interdite. Ici, Google a payé, l’utilisation d’autres navigateurs pour visiter le site est interdite.

    #culture #navigateur #WebGL #User_Agent_Switcher
    https://addons.mozilla.org/fr/firefox/addon/user-agent-switcher

  • L’art obligatoire - regards.fr
    http://www.regards.fr/nos-regards/bernard-hasquenoph/l-art-obligatoire,5489

    Une nouvelle fois, les médias ont rendu compte de cette rencontre improbable de manière caricaturale, opposant les « pour » et les « contre », sans jamais poser la question du « comment ». Pourtant, la manière dont Versailles traite l’art contemporain est sans doute ce qui se fait de moins intéressant dans le genre.

    hé hé

    Loin des modes, depuis vingt et un ans, le festival estival breton « #L’art_dans_les_chapelles » creuse discrètement son sillon, offrant à une multitude de créateurs les plus pointus la possibilité d’être vus et à des édifices anciens d’être entretenus et parfois même d’être sauvés. Tout commence en amont par des rencontres publiques avec les artistes, dont certains invités en résidence.

    http://www.artchapelles.com/internet/index.php

    ça c’est vraiment bien, j’y vais quasi tous les ans. Mais pas cette année, je suis scotchée à mes cartons pour le déménagement et ma collection de plantes à récupérer...

    #art

  • La vieille cruauté de la magistrature française s’expose une fois de plus lors de la décision prise par la Chambre d’instruction de la Cour d’Appel de Versailles à l’encontre de El Shennawy. Horreur insigne, esprit de revanche toujours présent dans notre appareil de Justice : l’horreur. Cet homme est seul face à une hiérarchie de pontifes odieux pour qui seul compte d’évidence l’esprit de corps. Honte sur nous.

  • Philippe El Shennawy : sortie de prison prévue en 2032 (Libertés surveillées)
    http://libertes.blog.lemonde.fr/2012/06/17/philippe-el-shennawy-sortie-de-prison-prevue-en-2032

    Philippe El Shennawy est fatigué. Il a mis pour la première fois les pieds en prison en janvier 1972, et il devrait en sortir en août 2032, à l’âge de 78 ans. Il n’a pas de sang sur les mains, mais a accumulé au fil des années les condamnations pour braquage. La cour d’appel de Versailles lui a refusé le 18 mai une confusion significative de ses peines, et il ne voit plus bien aujourd’hui quel sens a sa vie. Il a cessé de s’alimenter le 23 mai. Ce n’est pas une grève de la faim, il n’attend rien. (...) Source : Libertés surveillées

  • Libertés surveillées
    http://libertes.blog.lemonde.fr

    Philippe El Shennawy : sortie de prison prévue en 2032
    Philippe El Shennawy est fatigué. Il a mis pour la première fois les pieds en prison en janvier 1972, et il devrait en sortir en août 2032, à l’âge de 78 ans. Il n’a pas de sang sur les mains, mais a accumulé au fil des années les condamnations pour braquage. La cour d’appel de Versailles lui a refusé le 18 mai une confusion significative de ses peines, et il ne voit plus bien aujourd’hui quel sens a sa vie. Il a cessé de s’alimenter le 23 mai. Ce n’est pas une grève de la faim, il n’attend rien.

    #prison #longue_peine

  • Paris, le lundi 4 juin 2012

    Philippe El Shennawy : les derniers jours d’un condamné

    « D’une certaine façon, je suis en ce moment de vie à la croisée des chemins… Dans quelques jours, j’aurai 57 ans et je me sais encore assez d’énergie et de volonté pour entreprendre quelque chose de positif dans la mesure où une perspective à très court terme se profilerait. Par contre, si la situation et les incertitudes devaient perdurer, il sera plus logique et plus sain d’y mettre un terme de soi-même. Rassurez-vous, …, il ne s’agit pas là d’un discours de désespéré, loin de là.

    Je suis simplement fatigué. »

    (Maison centrale de Poissy, le 7 mars 2011)

    *

    ​La fatigue, le désespoir et la révolte de Monsieur Philippe El Shennawy sont parfaitement compréhensibles, eu égard à la situation qu’il vit depuis maintenant plusieurs décennies. A cinquante-huit ans, il a vécu « emmuré vivant » de manière presque continue depuis l’an 1975, date de sa première incarcération pour vol à main armée. Plus de trente-sept années plus tard, un arrêt rendu le vendredi 18 mai 2012 par la Chambre de l’instruction de la cour d’appel de Versailles statuant en matière de confusion de peines est venu briser toute perspective réaliste d’élargissement.

    ​Désormais « libérable » en 2032, une date de sortie absurde pour un homme qui sera alors âgé de soixante dix-huit ans, et dont aucune expertise ne vient à ce jour souligner le caractère dangereux, Monsieur Philippe El Shennawy a décidé, voici 10 jours, de lâcher prise et de rompre avec une existence entièrement vécue dans l’insoutenable attente de décisions administratives et judiciaires.

    ​Monsieur Philippe El Shennawy a décidé de se laisser mourir de faim.

    ​Il a cessé de s’alimenter au cours de la journée du mercredi 23 mai 2012.

    ​Plus de trente ans après l’abolition proclamée de la peine de mort, la justice française rend de toute évidence encore des décisions qui tuent. Si elle ne condamne plus à la guillotine et l’échafaud, la longueur infinie et l’accumulation des peines prononcées suppriment à petit feu et avec une redoutable efficacité les femmes et les hommes sur lesquelles elles s’abattent. Souvent, comme Monsieur Philippe El Shennawy, ces condamnés à mort d’un genre nouveau n’ont pas la moindre goutte de sang sur les mains.

    S’il existe des décisions que l’on peut comprendre, notamment en ce qu’elles n’ôtent pas toute perspective effective d’avenir, mais laissent encore ouverte la possibilité de se construire un futur, celles qui ont successivement été prises à l’encontre de Monsieur El Shennawy ne comptent pas parmi elles.

    Parce que Monsieur Philippe El Shennawy qui est attendu, dehors, par sa famille, sa femme, ses enfants et petits-enfants, a déjà commencé à se laisser mourir d’inanition, seul derrière les barreaux de la maison centrale de Poissy, il serait insupportable que ce déni d’humanité demeure dans l’ombre.

    Une conférence de presse est organisée par Maître Virginie Bianchi, avocat à la Cour :

    Le jeudi 7 juin, à 11 heures, à la Maison du Barreau (salle Jean Martel) 2, rue de Harlay 75001 Paris

    Contact pour tout renseignement :
    Virginie BIANCHI, 242 bis, boulevard Saint Germain, 75 007 Paris.
    Tél. : 01. 42.22.46.42 - Fax. 01.42.22.63.79, Vest. A 412.

    #prison #longue_peine

    • Bonjour,
      Ces quelques lignes dans le but de vous informer de la situation de Monsieur Philippe El Shennway, cinquante-huit ans. Il a décidé depuis deux semaines de se laisser mourir de faim dans une cellule de la maison centrale de Poissy, près de Paris. Il n’a rien avalé depuis le 23 mai dernier.
      Peut-être connaissez-vous Monsieur El Shennawy, personnellement ou de réputation. Son nom évoque pour la presse à sensations une condamnation de la France par la Cour européenne des droits de l’homme à cause des fouilles incessantes imposées par l’administration, son évasion de l’Unité pour Malades Difficiles (UMD) de Montfavet pour résister à la folie vers laquelle le poussait l’institution psychiatrique, sa présidence d’honneur de l’association Ban Public, ou encore le célèbre braquage de l’avenue de Breteuil, au milieu des années 70, dans lequel il nie toujours formellement la moindre implication.
      Philippe El Shennawy incarne aussi, pour beaucoup, une sorte de figure emblématique de la « longue peine », de la très longue peine. Bientôt de la peine infinie.
      A cinquante-huit ans, il a vécu emmuré vivant presque en continu depuis 1975, date de sa première incarcération pour un vol à main armée.
      Il a tourné dans quasiment toutes les prisons de France, baluchonné, étiqueté D.P.S, placé pendant 19 ans à l’isolement.
      Plus de trente-sept années plus tard, il est toujours en prison, accumulant des peines qu’il lui reste à faire de 3 ans, 5 ans, 10 ans, 2 ans, 13 ans... Toujours sans avoir la plus petite goutte de sang sur les mains. Il est sous le coup d’une peine de sûreté qui court jusqu’en 2018.
      Comme les condamnations dont il a écopé sont tombées pour des faits commis tous en même temps (à vrai dire, pour financer ses quelques mois de cavale), Monsieur El Shennawy a demandé une confusion de peines aux magistrats, afin que les peines les moins graves soient « absorbées » par les peines les plus importantes. Il l’a fait pour essayer de retrouver un horizon, pour pouvoir à nouveau s’imaginer un avenir, pour ne pas continuer à attendre et à faire attendre sa femme, ses enfants et petits-enfants, comme ça, sans savoir.
      Mais le 18 mai dernier, la Chambre de l’instruction de la Cour d’appel de Versailles s’est contentée de ramener sa date de fin de peine de 2036 à 2032, comme si cela changeait véritablement quelque chose, comme si c’était ce qu’il lui demandait, alors qu’elle aurait légalement pu rapporter cette date de fin de peine vers l’année 2017.
      Il n’y a aucune motivation à cette décision.
      La seule chose à comprendre, c’est que pour la Chambre de l’instruction, il serait parfaitement normal que Monsieur El Shennawy ne sorte qu’à 78 ans, après avoir été privé de ses libertés pendant près de 54 ans.
      Paris, le jeudi 7 juin 2012
      La trajectoire de Philippe El Shennawy est très particulière, elle ne ressemble à aucune autre. Il n’empêche qu’il fait partie de ces centaines d’hommes en France qui, condamnés à la réclusion criminelle à perpétuité ou, tout simplement, à des peines à temps d’une longueur infinie ou qui s’accumulent entre elles, perdent de plus en plus l’espoir d’une perspective réaliste de sortie.
      Son histoire est tout à fait propre à sa personne, son caractère, son entourage (heureusement encore extrêmement présent). C’est un homme d’une grande intelligence et d’un grand courage.
      Dans le même temps, son histoire pose vraiment des problèmes beaucoup plus généraux comme l’allongement et l’accumulation des peines prononcées par les magistrats et les jurés, les discours publics de plus en plus présents sur la « dangerosité » supposée des uns et des autres, l’isolement et la solitude toujours plus grands ou, tout simplement, les peines de mort déguisées.
      Philippe El Shennawy n’attend plus rien. Il ne demande plus rien. Il veut juste essayer de faire en sorte que les gens, dehors, sachent que des situations comme la sienne existent. Et combien elles sont difficilement supportables pour ceux qui les vivent et leurs proches.
      Monsieur El Shennawy espère que les choses vont changer. Pas pour lui, il n’y croit plus, mais pour les autres.
      jours.
      S’il a complètement cessé de s’alimenter, il boit encore de l’eau. C’est un homme fort, solide, mais déjà affaibli par une grève de la faim précédente, de 80
      Son désespoir commence à être plus que pesant.
      Surtout, il faut bien comprendre une chose. Cette fois, Monsieur El Shennawy n’est pas en grève de la faim.
      Il n’a pas de revendications.
      Il n’en peut tout simplement plus.
      Il veut juste que ça s’arrête. Et il importait que vous en soyez averti, que ce déni d’humanité ne reste pas dans l’ombre.
      Si vous voulez écrire à Monsieur Philippe El Shennawy, son adresse est la suivante :
      Maison centrale de Poissy, 17, rue de l’Abbaye, 78 303 Poissy Cedex.
      Merci de bien vouloir faire en sorte que cette information circule le plus possible, dans tous les établissements pénitentiaires de France.

    • Désolé le message est long....desolé pas de lien.... désolé c’est un peu:l’urgence....
      solidairement ou piratement votre.....

  • Où l’on trouve une lettre de délation dans les archives de la préfecture de police de Paris : Aurélien Scholl, journaliste et romancier reconnu, dénonce le communard Lavalette à la police de Versailles :
    http://seenthis.net/messages/56193#message57712
    http://seenthis.net/messages/56193#message57731

    Très accessoirement, Lavalette est le mari de la sœur de sa propre femme (son beau-frère, donc)...

    Et où l’on prend un malin plaisir à rappeler ce fait d’armes du sieur Aurélien Scholl sur sa page Wikipedia :
    http://fr.wikipedia.org/wiki/Aur%C3%A9lien_Scholl

    #A_la_recherche_de_Charles_Lavalette #Commune #Commune_de_Paris #Commune_de_Paris_de_1871 #communard #communeux #Charles_Lavalette #Lavalette #Aurélien_Scholl

  • Où l’on découvre avec stupeur qu’il y eut trois Lavalette sous la Commune et qu’ils furent souvent confondus, y compris par la police de Versailles.

    – Lavalette, ex-chirugien fédéré, ex-général insurgé, et gendre ou beau-frère du général fédéré du Bisson.
    – Lavalette, Gilbert, ouvrier gazier, ex-membre du Comité central, réfugié à Genève.
    – Maynard de Lavallette, ex-commandant du Palais de l’Industrie et directeur du Parc d’artillerie sous le Commune.

    Mais alors :
    – Qui est Charles Lavalette ?
    – Et s’appelle-t-il vraiment Charles ? Ou bien Gilbert ?

    http://seenthis.net/messages/56193#message57733

    #A_la_recherche_de_Charles_Lavalette #Commune #Commune_de_Paris #Commune_de_Paris_de_1871 #communard #communeux #Charles_Lavalette #Lavalette

  • Charles Jacquier – André prudhommeaux « Espace contre ciment
    http://raumgegenzement.blogsport.de/2011/12/17/charles-jacquier-andre-prudhommeaux

    PRUDHOMMEAUX André, Léon dit CELLO Jean , dit PRUNIER André.

    Né le 15 octobre 1902 à Guise (Aisne) ; mort le 13 novembre 1968 à Versailles (Yvelines). Militant communiste ultra-gauche puis libertaire. Poète, écrivain et traducteur.

    • Philippe Simonnot , né en 1941, est un économiste et un ancien journaliste français. Docteur en sciences économiques à l’université de Paris X et de Versailles, il est l’auteur de nombreux ouvrages d’économie. Il publie épisodiquement des chroniques économiques dans la presse, notamment dans Le Monde et Le Figaro. En mars-avril 2007, il lance sur internet un observatoire des religions qui a pour objectif de faire entrer la religion dans une réflexion scientifique, notamment économique.

      http://fr.wikipedia.org/wiki/Philippe_Simonnot

      #Philippe_Simonnot

    • Guy Millière (né en 1950 à Marseille) est un écrivain et essayiste français, défenseur des idéologies du sionisme, du libéralisme économique et du néoconservatisme.

      Guy Millière appartient à différents think-tanks néo-conservateurs et libéraux ou pro-israéliens. Il est éditorialiste à la Metula News Agency et à Israël Magazine. Il publie une chronique dans le journal Les 4 Vérités. Il est traducteur et adaptateur en langue française du site de Daniel Pipes. Il a participé aux travaux de l’American Enterprise Institute et de l’Hoover Institution. Il a été conférencier pour la Banque de France, membre du comité de rédaction d’Outre-terre, revue de géopolitique dirigée par Michel Korinman. Il a participé à l’édition d’ouvrages libéraux contemporains comme La constitution de la liberté de Friedrich Hayek en 1994 dans la collection Liberalia, puis dans la collection « Au service de la liberté » qu’il a créée aux éditions Cheminements en 2007. Il a également été rédacteur en chef de la revue éponyme Liberalia de 1989 à 1992. Il a été vice-président de l’Institut de l’Europe libre ainsi que Président et membre du conseil scientifique de l’Institut Turgot. Il fait partie du comité directeur de l’Alliance France-Israël présidée par Gilles-William Goldnadel.

      http://fr.wikipedia.org/wiki/Guy_Millière

      Je sais sur quelles valeurs se sont fondés les Etats Unis, et je sais ce qu’ils incarnent jusqu’à ce jour. Je connais tous les soubassements de ce qu’on appelle l’anti-américanisme. Je critique les Etats Unis quand ils sont dirigés par un Obama, et j’explique pourquoi. J’approuve davantage les Etats Unis dirigés par un Reagan ou un George Walker Bush, et j explique aussi pourquoi. Jean François Revel a écrit un excellent livre appelé "L’obsession anti-américaine" et j’en recommande vivement la lecture. Je ne suis pas “israëlophile” : je connais l’histoire et la réalité d’Israël, je sais ce qu’incarne Israël, et s’il y a un pays qu’on doit défendre contre la haine et le mensonge, c’est bien, aujourd’hui, celui là.

      Si je dois me définir intellectuellement, ce que je fais le moins possible, car je ne veux pas m’enfermer dans des catégories closes, je me dirai libéral classique, jurisnaturaliste et conservateur, tendance néo-conservatrice.

      Je suis libéral classique au sens ou économiquement, le libre marché, le libre échange et la libre entreprise me semblent le meilleur mode de création de richesse et de prospérité dans le respect de la liberté et de la dignité de l’être humain.

      http://louyehi.wordpress.com/2011/07/05/la-france-et-leurope-vers-le-pire-par-guy-milliere

      #Guy_Millière

  • Extrême droite, extrême gauche : Inventaire de la confusion
    http://www.mondialisme.org/spip.php?rubrique135

    #Anticapitalisme
    http://www.mondialisme.org/spip.php?article1729

    L’anticapitalisme de l’extrême gauche ; des altermondialistes et plus récemment des « Indignés » n’est le plus souvent qu’une critique morale des excès du système : spéculation financière, subventions aux banques qui jouent avec l’argent des petits épargnants, avantages fiscaux accordés aux entreprises qui licencient, trusts qui ont un monopole jugé excessif, transnationales qui délocalisent, privilèges financiers des gros actionnaires, stock-options et salaires (...)

    « #Nations_prolétaires »
    http://www.mondialisme.org/spip.php?article1728

    Concept inventé par les fascistes italiens et allemands et qui converge parfaitement avec le tiers-mondisme de l’extrême gauche et des mouvements altermondialistes. Au départ, il s’agissait pour les nationalistes et italiens allemands, après la Première Guerre mondiale, d’expliquer que leur pays avait été spolié par le Traité de Versailles (en Allemagne), ou grugé par les Alliés (en Italie). Puis, pour les nazis, d’envisager une alliance entre le futur empire (...)

    #Anti-impérialisme
    http://www.mondialisme.org/spip.php?article1727

    A l’extrême gauche comme à l’extrême droite on ne connaît généralement qu’un seul impérialisme, l’impérialisme américain, et son « valet sioniste ». Ce sont les jeunes nazis du NPD et les nationalistes-révolutionnaires allemands qui ont, les premiers dans l’extrême droite européenne, théorisé la nécessité de mener une lutte de libération nationale, pour défendre l’identité nationale allemande, et « soutenir “dans un cadre international et (...)

    #Anti-américanisme
    http://www.mondialisme.org/spip.php?article1726

    L’extrême gauche (spécialement en France) a toujours été hostile aux Etats-Unis. Elle a systématiquement dénoncé : – les interventions militaires américaines à l’étranger (tout en étant beaucoup moins bavarde et active sur les interventions militaires françaises en Afrique) ; – les coups d’Etat exécutés avec l’aide de la CIA ; – les missiles placés en Europe contre l’URSS ; – l’usage de l’arme atomique à Nagasaki et (...)

  • Je cherche la source de cette info que je veux publier :

    Le Président français N.S. rejoint les rangs des Openistes.

    Après avoir récemment découvert qu’il faut taxer les produits financiers —n’est-il pas allé jusqu’à réussir à essayer d’en convaincre Obama en direct à la télé ?— , la droite française réalise qu’il faut détaxer les pirates du web.
    Mais ça va prendre du temps : au moins jusque après les élections ; et on est pas certain d’y arriver !

    Un type très bien (l’ancien conservateur du Château de Versailles, Jean-Jacques Aillagon, le moderniste) à expliqué sur France Culture qu’il a l’oreille du Président pour tenter de faire comprendre au monde la nécessité de laisser circuler librement sur le web les contenus du patrimoine communs de l’humanité. Il est quand même président de TV5 Monde et ancien Ministre de la Culture de Raffarin le bonhomme !

    « C’est un enjeu majeur, difficile à faire comprendre » a-t-il déclaré. « Mais je pense que nous y parviendrons ».

    La promesse électorale sous réserve en quelque sorte.

    Étrangement, Jean-Jacques Aillagon à laissé entendre qu’il était « peut-être » de gauche : « qui vous dit que je ne le suis pas ?… » a-t-il sèchement répliqué à la très gentille dame (je cherche son nom) qui semblait le confondre avec un vulgaire type de droite.

    La droite prend de l’avance en piquant les idées de gauche pendant que la gauche, qui ne suit pas tous les épisodes du feuilleton, essaie encore et toujours désespérément de trouver des idées à piquer à droite.

    Bon, c’est pas tout ça, mais je cause, je cause, et j’oublie de demander ce que j’étais venu demander : est-ce que quelqu’un aurait entendu la même chose que moi à France Culture (ou France Inter, mais je ne crois pas ?) et serait capable de me dire quel jour et a quelle heure j’ai entendu ça (c’était il n’y a pas longtemps).

    Je voudrais écrire un papier là dessus dans mon canard, mais sans sources précises, je suis pas bien d’aplomb !

    D’avance merci les « amis ».

  • La surveillance numérique : une arme de guerre (presque) assumée | KheOps
    http://reflets.info/la-surveillance-numerique-une-arme-de-guerre-presque-assumee

    J’ai eu la chance de pouvoir aller à Milipol 2011, salon dit « de la sécurité intérieure des États », qui se déroulait du 18 au 21 octobre porte de Versailles, à Paris. C’est l’un des plus grands regroupements mondiaux de représentants industriels et politiques liés à cette thématique. Hormis la presse, seuls les acteurs de cette sphère y sont en théorie admis. Pas de Monsieur et Madame Tout-le-monde, pas de grand public. Parmi les « personnalités », Marine Le Pen et Claude Guéant y ont apparemment fait une apparition. Parmi les exposants dont le nom parlera peut-être au lecteur, on citera la DGA, Renault Trucks, SigSauer, Flash-Ball, Trovicor et Bull-Amesys. Tous ont une place sur le marché de « la sécurité intérieure des États ». Ce salon, dont les stands les plus ludiques sont ceux proposant de s’entraîner à viser avec tel fusil mitrailleur ou telle arme de poing, a également donné l’occasion de mesurer l’importance croissante occupée par les technologies de surveillance de masse des

  • Communautés régionalisées, unité nationale éclatée | Opinions | L’Orient-Le Jour
    http://www.lorientlejour.com/category/Opinions/article/724593/Communautes_regionalisees,_unite_nationale_eclatee.html

    Cette visite [du patriarche maronite à Paris] est une tradition pour tout patriarche maronite nouvellement élu, depuis la déclaration par la France du Grand Liban le 1er septembre 1920, à la suite de l’intervention du patriarche Hoayek au Congrès de la paix à Versailles. Le patriarche maronite a rang auprès de l’État français de Premier ministre (cf le communiqué de presse de l’Œuvre d’Orient).

  • Un groupe pharmaceutique chinois se prend pour Louis XIV | The Observers
    http://observers.france24.com/fr/content/20110913-groupe-pharmaceutique-chinois-prend-louis-xiv-versaille

    Le groupe pharmaceutique a publié sur son site plusieurs photos du siège de l’entreprise située dans la ville d’Harbin, capitale de la province du Heilongjiang. La somptueuse propriété a été construite sur le modèle du château de Versailles, construit en France sous Louis XIV.

    #industrie-pharmaceutique #chine #luxe

  • Visite guidée dans l’enfer des préfectures françaises.+|+Le blog à Bécassine
    http://becassine.owni.fr/2011/09/visite-guidee-dans-lenfer-des-prefectures-francaises

    J’ai croisé durant ma scolarité pas mal d’étudiants étrangers qui me racontaient leurs galères avec leur renouvellement de titre de séjour. Je me souviens particulièrement d’un Bulgare qui devenait littéralement malade une semaine avant de se rendre en préfecture. On leur parlait mal, on les rembarrait pour le moindre truc manquant. Il était sensible : il est reparti avant la fin de son cursus.
    Depuis quelques mois, je suis de nouveau le témoin des mésaventures d’un couple d’amis. Cet été, leur galère semble avoir atteint le paroxysme. Ils se sont longuement confiés, me communiquant leur sentiment de désespoir, d’injustice et l’humiliation qu’ils ont ressentie. J’ai eu honte parce qu’on se sent un peu responsable (à tort ou à raison ?) en tant que Français de la façon inhumaine dont notre pays traite les étrangers. Je me suis sentie impuissante parce que je n’ai pas d’oncle préfet ou haut fonctionnaire, je ne suis dans les petits papiers de personne, je ne peux donc rien faire pour les aider. Je répugne à utiliser ce genre de méthode, mais d’après ce qu’ils ont constaté le copinage et le piston, sont la seule façon de faire aboutir les demandes dans des délais raisonnables. Leur histoire n’est pas extraordinaire, des milliers d’autres non-nationaux vivent la même chose quotidiennement. Mais plus c’est la crise, moins on s’en préoccupe. Ils ont cependant besoin de crier leur indignation et j’ai la possibilité de leur laisser un espace ici.

    • En tant qu’étranger, je renouvelle de temps à autres mon titre de séjour. Je déménage de temps à autres. Aussi, j’ai pu visiter plusieurs préfectures dans ce but. Quelques endroits me viennent à l’esprit.

      À Rennes, vers 1992, tout le monde, à savoir une grosse vingtaine de personnes, a semble-t-il été convoqué à la même heure. Du coup, une file d’attente longue, inutile, angoissante. Je n’ai gardé que cela comme souvenir.

      À Versailles, la préfecture est à deux pas du Palais. J’y étais vers 2000. On y était reçu dans un service impeccable, équivalent aux autres services, sans aucune distinction sur la qualité de l’accueil, ou de traitement. On prend un numéro, on attend qu’il s’affiche. L’attente se fait dans un cadre neutre. Une administration propre, voire agréable, autant pour l’accueil que pour les fonctionnaires.

      À Lyon, vers 2004, je devais changer mon adresse. D’entrée de jeu, soupçons de me voir arriver plusieurs mois après mon déménagement dans le département. On m’oriente vers les guichets me concernant, distincts des autres services. L’endroit est surpeuplé, semble très désorganisé, la file d’attente est désordonnée, angoissante, on a beau être détendu, on est serrés comme des poulets en attente de l’abattoir pour atteindre l’unique guichet ouvert, que l’on ne voit apparaître qu’au dernier moment, sans jamais, jusqu’alors, connaître la longueur de la file. Les personnes au guichet, en revanche, ont été particulièrement calmes, et même très agréables.

      Bref, mon expérience personnelle du traitement des étrangers — en situation régulière sur le sol français — me laisse à penser que les services dédiés aux étrangers sont parfois moins bien lotis que les autres services de la préfecture d’un point de vue de l’organisation ou de l’accueil, notamment pour ce qui est des locaux. En revanche, les fonctionnaires avec qui j’ai eu à faire dans ce type de situation — renouvellement ou mise-à-jour de carte de séjour ou de résident — ont tous été très corrects, voire tout à fait sympathiques.

  • Agressions sexuelles : des frontières juridiques floues entre séducteur et harceleur | Mediapart
    http://www.mediapart.fr/journal/france/300511/agressions-sexuelles-des-frontieres-juridiques-floues-entre-seducteur-et-h

    En tant que féministe, Catherine Le Magueresse souligne les multiples imperfections de la législation et des décisions en matière de harcèlement, tout en distinguant les « avancées » de la chambre sociale du « conservatisme » de la chambre pénale de la Cour de cassation. Outre que le terme de « faveurs » (utilisé dans les deux codes) lui paraît inapproprié, elle regrette que le défaut de consentement résulte de l’usage de la « violence », de la « contrainte », de la « menace » ou de la « surprise », selon les articles 222-33 et suivants du code pénal, plutôt que du refus de la victime présumée.

    L’absence de définition de ces termes, y compris de « harcèlement », rend selon elle la jurisprudence « extrêmement perméable à la subjectivité des juges et donc aux rapports sociaux et au sexisme ambiant ». « L’accès au corps des femmes reste la norme, estime-t-elle, le code pénal se contentant de réprimer les “abus” éventuels. Ainsi, l’article 222-33 ne réprime qu’un nombre limité de formes de #harcèlement_sexuel, autrement dit il en laisse de côté. »

    Dans un arrêt du 29 novembre 1996, la cour d’appel de Versailles admet une « attitude générale de séduction exempte de délicatesse et de tact et non dénuée d’arrière-pensée, assortie de propos douteux, suggestifs, grivois ou grossiers ». Elle aboutit pourtant à un non-lieu au motif qu’« aucun élément objectif ne vient caractériser les contraintes résultant d’un abus d’autorité en vue de faveurs de nature sexuelle » et que « même si (la) position hiérarchique (de la personne mise en cause) ne peut être occultée, il n’est pas démontré qu’(...) il s’en soit prévalu ».

  • Boycottez le 22 juin « Les coulisses de Sarkofrance
    http://sarkofrance.wordpress.com/2009/06/14/boycottez-le-22-juin

    L’opposition parlementaire aura-t-elle le courage de boycotter le show présidentiel du 22 juin prochain ? Ce jour-là, Nicolas 1er, tel Napoléon III, a convié un Parlement aux ordres à venir l’écouter à Versailles. Le Monocrate a trouvé comment cérémonialiser le lancement de la seconde moitié de sa mandature. Vendredi dernier, Noël Mamère suggérait à l’opposition de ne pas se rendre à Versailles. Qu’y apprendrait-elle ? Gageons que la Web Tv présidentielle et les médias TV nous retransmettront l’intervention de Nicolas Sarkozy.

    #politique #france #Sarko