city:villeroy

  • Quand les marchés sont drogués comme jamais aux taux bas... (Boursorama)
    https://www.crashdebug.fr/diversifion/16157-quand-les-marches-sont-drogues-comme-jamais-aux-taux-bas-boursorama

    Source(s) : Boursorama.com via Contributeur anonyme

    Informations complémentaires :

    Crashdebug.fr : Les emprunts d’État à 10 ans en territoire négatif (Le Figaro)

    Crashdebug.fr : Taux négatifs : Villeroy de Galhau vole au secours des banques

    Crashdebug.fr : Taux d’intérêt négatifs : des banques ne veulent pas rembourser leurs emprunteurs

    Crashdebug.fr : Dix questions pour tout comprendre de l’impact des taux négatifs sur les banques

    Crashdebug.fr : Pourquoi la « Société sans numéraire » est devenue le Graal des gouvernements et des banques centrales

    Crashdebug.fr : P. Jovanovic - P.Y. Rougeyron - La revue de presse (Juin 2019)

    Crashdebug.fr : A-t-on payé 1.400 milliards d’intérêts sur la dette depuis 1979 ?

    Crashdebug.fr : Les coups d’états de Mario Draghi : Euro-obligations secrètes, politique (...)

    #En_vedette #Divers

  • Taux négatifs : Villeroy de Galhau vole au secours des banques
    https://www.crashdebug.fr/actualites-france/15719-taux-negatifs-villeroy-de-galhau-vole-au-secours-des-banques

    Par contre les banques elles ne jouent pas le jeux et n’appliquent pas les taux négatifs aux emprunteurs.... Du reste vous vous voyez être prélevé tout les mois par ce que vous laisser de l’argent sur votre compte en banque ? (Pour ceux qui ne finissent pas tout les mois à -300€ comme moi bien sûr....)

    Le gouverneur de la Banque de France propose d’atténuer les effets indésirables des taux négatifs de la Banque centrale européenne qui pèsent sur les banques.

    Si les banques françaises ont une critique vis-à-vis de la Banque centrale européenne (BCE), c’est bien sa politique de taux négatifs. « Le poison des taux négatifs est très puissant », déclarait début février aux « Echos » le patron de la Société Générale, Frédéric Oudéa, voyant là un désavantage compétitif par rapport aux banques (...)

  • À bout, les GM&S de La Souterraine (Creuse) piègent leur usine et détruisent des machines
    La Souterraine (23300) - La Montagne-Publié le 11/05/2017
    http://www.lamontagne.fr/souterraine/social/creuse/2017/05/11/a-bout-les-gm-s-de-la-souterraine-creuse-piegent-leur-usine-et-detruisent

    Les salariés de GM&S haussent le ton. Depuis ce jeudi matin, ils mènent une action coup de poing sur le site de leur usine, basée à La Souterraine. Bien décidés à dénoncer l’échec des négociations de reprise de leur entreprise et de la hausse des commandes auprès de PSA et Renault, ils ont promis de découper une ou plusieurs machines par jour et ont piégé l’usine avec des bouteilles de gaz.

    Ce jeudi matin, les salariés de GM&S ont passé la vitesse supérieure en terme d’action coup de poing. Opérations escargot sur l’A20 et la RN145, blocages des sites et plate-formes logistiques des constructeurs PSA et Renault à Poissy, au Mans, à Villeroy, à Dompierre-sur-Besbre, manif sur les Champs Élysées, ils avaient multiplié les actions pour se faire entendre.

    Aujourd’hui, ils sont à bout et comme ils l’ont répété maintes fois, ils n’ont « plus rien à perdre ». A commencer par leur usine, leur travail et les machines et outils qui vont avec. Alors ce jeudi, comme un symbole, ils ont décidé de détruire deux machines qui servent à fabriquer les pièces commandées par PSA et Renault.(...)

    • « Il suffit de craquer une allumette, une fois qu’il y aura le feu, même les pompiers ne pourront pas l’arrêter. » Yann, secrétaire (CGT) du Comité d’Entreprise, fait partie des 279 salariés menacés de tout perdre. Cette nuit, à l’unanimité, ils ont décidé d’installer des bonbonnes de gaz et des bidons d’essence, ils se sont mis à détruire leurs outils, une presse et une machine-outil, ils sont prêts à faire exploser leur usine.

      C’est à La Souterraine dans la Creuse, l’usine GM&S Industry, deuxième employeur du département, sous-traitant de la filière automobile française, en redressement judiciaire depuis six mois. Leurs principaux clients, PSA et Renault, réduisent les commandes, pas de quoi continuer ni de permettre à un quelconque repreneur de redresser l’affaire. Désolés, les élus ne peuvent pas grand chose, les pouvoirs publics ne peuvent pas grand chose non plus. Six mois qu’ils se battent, six mois de promesses, de faux espoirs, de mobilisations, de manifs. Le 19 avril, ils ont bloqué l’usine PSA de Poissy [1]. Cette fois, ils craignent la liquidation pure et simple. ON VA TOUT FAIRE PÉTER. Pour ne pas manquer ça, les médias arrivent de partout. Comme au temps des CONTI, le Pujadas de service demandera sans doute au délégué syndical de dénoncer la violence. Depuis des années, cette suite ininterrompue de licenciements ont enfoncé une bonne partie du pays dans la galère sociale, là où le FN vient s’abreuver et prospérer.

      Mais cette fois, les salariés en appellent « au plus haut sommet de l’État ». Emmanuel Macron est passé dans le coin lors de sa campagne, mais n’a pas trouvé le temps de venir les voir. Prêts à faire sauter leur usine, les salariés réclament une rencontre avec PSA, Renault et le nouveau jeune et dynamique président de la République.