Vu sur FB le 11.02.1017, posté par @isskein
Immigrazione: alcuni spunti di riflessione per non cadere in trappola
Per colpa dei migranti ci sono meno servizi agli italiani
Invece di dire “per colpa delle politiche economiche di austerity si taglia tutto” è meglio prendersela con chi ottiene briciole di accoglienza. Evidentemente i marxisti che fanno queste affermazioni sono convinti di trovarsi davanti ad una crisi di scarsità di risorse. Peccato sia esattamente il contrario. La crisi è di sovrapproduzione ma con bassi salari e alta disoccupazione nonché prospettive incerte di futuro, lo Stato avrebbe due modi per risolvere i problemi. Il primo prevede una vera progressività fiscale, una patrimoniale per le grandi ricchezze, una tassazione della rendita finanziaria e immobiliare degna di questo nome e una riduzione dell’orario e del tempo di lavoro e adeguamento dei salari ai costi della vita. Dovremmo pretendere questo. Invece i governi di centro destra e di centro sinistra, da decenni risolvono smantellando settori interi del welfare.
▻http://www.altoteverenotizie.it/approfondimenti/immigrazione-alcuni-spunti-riflessione-non-cadere-trappola
No immigrant has taken your job. You were laid off by a capitalist who required cheap labor and took advantage of that immigrant to increase his profits, and nothing makes him happier than to hear you blame the immigrant and not him.
6700 lits d’hôpitaux fermés en 2022.
«Là bas. Un étranger venu voler vos allocs»
#Macron #santé #lits_d'hôpitaux #santé #Emmanuel_Macron #système_de_santé
Un politicien, Maria et un migrant sont devant un tas de dix biscuits...
"L’un de vous deux profite du système"
Plutôt chômeur que contrôleur ras-le-bol du racket des pauvres
Un autre dessin du toujours impeccable #Soulcié dans #CQFD.
►https://cqfd-journal.org/La-guerre-contre-le-chomage
"Homelessness is a failure of the rich not a failure of the poor"
Médecine de classe
▻http://www.laviedesidees.fr/Medecine-de-classe.html
Loin de corriger les #inégalités entre groupes sociaux, l’organisation du système de soins et les pratiques des professionnels de santé les aggravent. La sociologie des rapports sociaux montre qu’on ne recourt pas de la même façon aux soins, et que ceux-ci ne sont pas non plus organisés de la même façon, selon la classe à laquelle on appartient.
Livres & études
/ inégalités, santé, #classes_sociales, #relations_sociales, #hôpital
Même si la loi Santé, promulguée le 26 janvier 2016, cherche à rendre la santé « accessible à tous », le recours aux soins n’est pas le même pour toutes les classes sociales. Pour les coordinatrices du numéro, cette différence « demeure la principale grille de lecture des inégalités de santé, qui structure les politiques de santé » (p. 10). Or, l’accès aux soins en fonction des ressources (financières, mais également géographiques, langagières et sociales) semble être une explication insuffisante pour comprendre les inégalités de santé. À ce premier élément de compréhension peut s’ajouter l’étude de l’offre de soins et des pratiques médicales sous l’angle de la qualité des soins en tant que « facteur sur lequel [il faudrait] agir pour corriger ces inégalités » (p. 10) : celui des variations proposées dans l’offre de soins en fonction des groupes sociaux auxquels elle s’adresse. La prise en charge médicale s’avérant moins bonne quand le patient a des difficultés à interagir avec les soignants, à expliquer sa pathologie, ou à verbaliser tout simplement, une analyse de la qualité des soins prodigués permet de ne pas en rester à la question de l’accès. La « différenciation de la qualité des soins selon les groupes sociaux » (p. 13) oblige en effet à appréhender l’interaction médecin – patient également à partir des relations de pouvoir, de classe, de sexe et de race qui s’y entrecroisent, s’y renforcent et l’influencent.
Merci, merci, merci… depuis des années, on me rigole au nez chaque fois que je raconte que je constate qu’on ne soigne pas du tout de la même manière un ouvrier du bled d’un jeune cadre du centre-ville.
En général, on me rétorque que je n’y connais rien, que je ne suis pas médecin, bla, bla, bla.
Cela dit, j’ai constaté — à travers divers récits directs — que pour des blessures à la main, les prises en charges sont très différentes selon que le gars soit justement un manuel ou un col blanc. Dans le premier cas, on est plus dans la fatalité (« dans ton secteur d’activité, c’est normal de se blesser à la main », « bon, on va tenter de remettre ça, mais on ne promet rien », « bon, ben, faudra faire avec »), dans le second, dans la médecine de pointe (« la main, c’est très délicat, tu vas direct à la clinique de la main », « l’essentiel, c’est que tu n’aies pas de séquelles, ça pourrait nuire à ton travail », « sérieux, faut envisager 5 semaines d’arrêt »).
Les ouvriers et employés sont généralement pris en charge par le système général autour de chez eux, les réparations font toujours l’impasse sur l’esthétique et se concentrent sur le maintient des fonctions de préhension basiques quand les cadres sont très rapidement orienté en métropole régionale, dans des services spécialisés, avec volonté de limiter la dégradation esthétique et surtout de retrouver les fonctions fines de préhension. Les soins durent plus longtemps et la rééducation est systématique, ce qui est loin d’être le cas des ouvriers.
Et les séquelles sont considérées comme normales pour les ouvriers et relativement intolérables pour les cadres.
La localisation rurale aggrave le manque de prise en charge.
Par rapport à la gynécologie j’ai retrouvé le même type de discriminations dont tu parle. Les femmes racisées et surtout les femmes qui ne parlent pas français et sont immigrées, les gyneco leur proposent une piqure contraceptive qui fait effet pendant plusieurs mois mais est tres cancérigène et provoque de nombreux effets secondaires indésirables. Des témoignages disent que cette contraception est parfois administré sans meme en parler à la patiente. Aux femmes blanches on ne propose jamais cette contraception.
Pour la contraception définitive la aussi elle est généralement refusé aux femmes blanches et proposé spontanément aux femmes racisées.
Présidentielle en Autriche : les quartiers populaires de Vienne séduits par l’extrême-droite, « la seule qui ose dire stop »
▻http://www.francetvinfo.fr/monde/europe/presidentielle-en-autriche-les-quartiers-populaires-de-vienne-seduits-p
Où l’on reparle des déclassés, comme en Norvège, etc...
L’extrême-droite séduit un électorat « déclassé », qui se sent délaissé
Si le vote FPÖ est particulièrement fort dans l’Autriche rurale, il l’est également dans les quartiers populaires des grandes villes. À Vienne, c’est dans l’arrondissement Simmering que le parti d’extrême-droite a fait son meilleur score au mois de mai. Les militants ratissent le quartier, distribuant tracts et stylos aux couleurs de Norbert Hofer.
En haut, en bas
▻http://www.laviedesidees.fr/En-haut-en-bas.html
Au début du XXe siècle, Max Weber a élaboré une analyse de la stratification sociale riche et complexe. En reprenant la différenciation wébérienne des ordres sociaux, Pierre Merle montre l’actualité de cette conceptualisation pour comprendre la société française contemporaine.
Essais & débats
/ #classes_sociales, #inégalités, propriété, #parti_politique
Un appel de 60 personnalités contre le « Hollande bashing » Maxime VIVAS - 20 Novembre
▻https://www.legrandsoir.info/un-appel-de-60-personnalites-contre-le-hollande-bashing.html
Extraits de leur manifeste où sont par ailleurs louées les réussites du président (1) : « Nous, artistes, sportifs et créateurs, penseurs, chercheurs, entrepreneurs et citoyens indépendants, dénonçons cet acharnement indigne qui entraîne le débat politique dans une dérive dangereuse pour la démocratie…. François Hollande a droit au respect comme tout citoyen, et comme président de notre République. »
Premiers signataires : Agnès B., Catherine Deneuve, Benjamin Biolay, Juliette Binoche, Denis Podalydès, Irène Jacob, Sylvie Testud, Laure Adler, Patrick Chesnais, Gérard Darmon, François Marthouret, Dominique Besnehard, Jean-Michel Ribes, Mazarine Pingeot, Claudine Nougaret et Raymond Depardon, Andrée Zana Murat et Bernard Murat, Michel Rotman, Patrick Pelloux, Laurent Davenas, Gilles Achache, Gabriel Gautier, Marie d’Ouince, Bruno Masure, Dany Dan - Melopheelo - Zoxea, Layla Metssitane, Touria Benzari, Emilie Chesnais Laurent Hébert, Bertrand Van Effenterre, Anna Medvecsky, Gaëlle Bayssière, Fethi Benslama, Pierre Douglas, Rachid Benzine, David Kodsi, Florence Muracciole, Stephane Distinguin, Jean Minondo, Yohann Diniz, Jean-Philippe Derosier, Sakina M’sa, Éric Dussart, Évelyne Schapira, Philippe Lemoine, Nicole Baldet, Anne Baveray, Rachel Khan, Michel Cantal-Dupart, Anne-Carole Denès, Yves Denès, Gerard Cicurel, Gisela Blanc, Mathieu Sapin, Françoise Huguier, Édouard Brézin, Julie Saavedra, Alex Menu, Pierre-Emmanuel Guigo, Jean-Philippe Derosier, Leïla Grison, Alexandre Leroy, C215, Dominique Miller, Christian Zerbib, Christiane Hessel…
On les comprend puisque, comme ils le disent « cet acharnement indigne […] entraîne le débat politique dans une dérive dangereuse pour la démocratie » , contrairement sans doute à l’Etat d’urgence, au 49-3, à la criminalisation de l’action syndicale, au fichage des citoyens, aux tentatives de faire voter la déchéance de la nationalité, à la sur-médiatisation du FN, à la plongée de 9 millions de citoyens dans la pauvreté, à la multiplication des milliardaires, à l’écoeurement généralisé qui s’exprime par la désertion des urnes .
Et puis, le parti du président a de l’humour, comme en témoignent ces outils de propagande (du cynisme, vous croyez ?) :
https://www.legrandsoir.info/local/cache-vignettes/L427xH219/affiche_ps_4-5d804.jpg https://www.legrandsoir.info/local/cache-vignettes/L460xH242/affiche_ps_5-47942.jpg
Heureusement, les signataires de l’appel, conscients et informés, ne vont pas en rester là
Laure Adler va probablement démissionner de France Inter, qui ne confond pas radio d’Etat et officine politique. Un des journalistes phare d’un hebdo qui fut « bête et méchant » ne fait que rembourser sa dette à François Hollande qui lui a attribué la Légion d’honneur et qui a fait débloquer un million d’euros pour Charlie Hebdo. Jean-Michel Ribes, va désormais refuser pour son théâtre l’argent ponctionné annuellement dans les poches des Français (de toutes obédiences) via le Ministère de la Culture et la Mairie de Paris. Dans l’exercice de ses activités, aucun de autres signataires n’a reçu d’aide de l’Etat (c’est-à-dire, de nous tous).Ces adversaires du « Hollande bashing » vont signer un de ces quatre une pétition contre le « chômeur bashing », le « salarié bashing », le « stagiaire bashing », l’« enseignant bashing », le « retraité bashing », le « SDF bashing », le « migrant bashing », le « musulman bashing » le « gréviste bashing », le « manifestant bashing », le « sécurité sociale bashing », le « SMIC bashing » le « RSA bashing », le « Code du travail bashing », le « 35 heures bashing », le « retraite à 60 ans bashing », le « Tribunal des Prud’hommes bashing », le « Mélenchon bashing », le « CGT bashing », etc.
Mieux : les 60 s’indignent (en secret pour l’instant) que le pouvoir solférinien s’acharne dans un « Stéphane Guillon bashing » et tous sont (discrètement) solidaires de l’humoriste impudent qui a bizarrement subi trois contrôles fiscaux en six mois.
Fassent le ciel, Michel Sapin et Bercy, que cela leur soit épargné.
Maxime Vivas
#PS #françois_hollande #bashing #propagande #jet_set #privilégiés # #élites #classes_sociales #classe supérieure #establishment #conformisme #système #stupidité_structurellement_induite #éduqués_supérieurs
Les nouvelles #classes_populaires
▻http://www.laviedesidees.fr/Les-nouvelles-classes-populaires.html
Un ouvrage collectif dresse un panorama des classes populaires dans la France d’aujourd’hui. Les sociologues montrent que, si la catégorie conserve sa pertinence conceptuelle, son flou descriptif entretient aussi les instrumentalisations politiques.
Livres & études
/ #classes_sociales, classes populaires, #culture_populaire
BALLAST | Alain Gresh : « On peut être croyant et révolutionnaire »
►http://www.revue-ballast.fr/alain-gresh-on-peut-etre-croyant-et-revolutionnaire
Les espaces de « l’#antiracisme politique » portent en France un discours décomplexé. Un discours de personnes qui comprennent parfaitement comment cette #société fonctionne. Je place beaucoup d’espoirs dans cette génération. Quand j’interviens à leurs côtés, je parle de la question sociale — mais ils n’ont pas besoin de moi pour l’aborder : le porte-parole du CCIF, par exemple, en parle régulièrement. À quoi j’ajoute que les quartiers populaires ne sont pas seulement composés de #musulmans : on en vient donc à la question, plus générale, de la représentation des classes populaires. Et nous revoici à ce que nous disions sur le PC ! Contrairement au mythe des Trente Glorieuses, la situation des #ouvriers n’était pas brillante, dans les années 1950, mais ils avaient une utopie (quand bien même ils n’y croyaient pas tous) et une image. Il y avait des films à leur gloire. Gabin jouait un ouvrier ! On n’imagine plus ça, aujourd’hui… Plus personne n’est capable de s’adresser à ces #classes populaires, prises dans leur ensemble et malgré leurs divisions. Ni les Blancs ni les #racisés. Le Parti des Indigènes de la République pose par ailleurs cette question : dans quelle mesure la classe ouvrière blanche profite-t-elle de la #domination du #tiers-monde ? La classe ouvrière non-blanche française en tire elle aussi profit : il y a un #privilège à vivre en Europe. En partie construit sur le dos du tiers-monde — mais c’est une autre question…
Merci @monolecte, je n’avais pas vu. Du grand @alaingresh que ça fait (beaucoup) du bien de lire dans ce contexte.
"ce qui devrait nous faire honte est le fait que les Syriens ne veulent plus venir en France ! La France a si longtemps été la terre rêvée des Arméniens et des Juifs… ! Tout le monde voulait venir en France. C’est fini. Les politiques et les médias portent la principale responsabilité dans cette affaire : tout le monde a accepté l’idée — qui relève du mépris social — que les pauvres sont racistes. On a intégré les Italiens, les Espagnols et les Polonais, quand bien même on trouvait, à chaque fois, des raisons pour ne pas le faire. Mais il y avait à l’époque une force politique capable de le faire : le PC. Et ça, c’est fini aussi. Plus grand monde ne s’oppose à l’idée que « le FN pose les vraies questions »."
Ce qui est chiant avec @alaingresh, c’est de trouver un seul passage pour le droit de citation…
"Molenbeek : génération radicale", film sparadrap sur une ville en souffrance
Un an après les attentats de Paris, les habitants de Molenbeek, une commune de #Bruxelles d’où venaient plusieurs terroristes, brisent le silence sur leur réalité quotidienne dans un documentaire diffusé lundi par la RTS.
▻http://www.rts.ch/info/monde/8107443--molenbeek-generation-radicale-film-sparadrap-sur-une-ville-en-souffranc
#radicalisation #ségrégation #frontière_spatiale (et #frontière_sociale) #islam #terrorisme #Belgique #jeunesse #espoir #djihad #religion #classes_sociales #ressources_pédagogiques #documentaire #film
Très bon documentaire à mon sens, qu’il est possible de revoir dès demain, si j’ai bien compris... sur le site de la RTS, probablement ici :
▻http://www.rts.ch/docs/lundi/8030686-le-doc-du-lundi.html
cc @reka
« Dans l’Antiquité, on criait déjà "Allez les verts !" »
▻https://lejournal.cnrs.fr/articles/dans-lantiquite-criait-deja-allez-les-verts
Alors que les Jeux olympiques de Rio sont sur le point de débuter, l’historien Jean-Paul Thuillier revient sur les origines de ces Jeux dans la civilisation gréco-romaine.
[À Rome,] les plus grands champions de l’épreuve phare, la course de chars, gagnent une immense fortune : on sait qu’un certain Dioclès a remporté 35 millions de sesterces, quand la fortune minimum d’un sénateur romain – le plus haut statut de l’époque – devait être d’un million seulement. Cela a donné lieu aux premiers grands débats sur le « sport business » et la rémunération des champions : des intellectuels comme Juvenal ou Martial étaient scandalisés et dénonçaient cette « dérive » dans leurs poèmes.
Why rich parents are terrified their kids will fall into the “middle class”
Politicians and scholars often lament the persistence of poverty across generations. But affluence persists, too. In the U.S. especially, the top of the income distribution is just as “sticky”, in intergenerational terms, as the bottom. The American upper middle class is reproducing itself quite effectively.
▻http://www.brookings.edu/~/media/Blogs/social-mobility-memos/2016/07/12-rich-parents-are-terrified-their-kids-will-fall-into-middle-class-reeves/Reeves-71216001.png?h=402&&w=600&la=en
▻http://www.brookings.edu/blogs/social-mobility-memos/posts/2016/07/12-rich-parents-are-terrified-their-kids-will-fall-into-middle-class-reev
#USA #Etats-Unis #inégalités #pauvreté #richesse #classes_sociales
‘Working class’ more opposed to immigration – social attitudes survey
Those who say they are working class are far more likely to be opposed to immigration, one of the defining issues of the EU Referendum, even when they are in professional and managerial jobs, according to the latest British Social Attitudes Survey.
The public’s sense of social class has withstood dramatic long-term changes in the labour market. As many as 60% of people describe themselves as working class, (including half of people in managerial and professional occupations) almost exactly the same proportion as in 1983 when the annual survey first began checking on social attitudes.
The survey also found:
57% of those surveyed think immigration would be lower if Britain is outside the EU
But 69% are unsure about the impact of Brexit
While 44% believe #Brexit would make little difference to Britain’s influence in the world
And 40% believe the country will be worse off outside the EU
▻http://www.migrantsrights.org.uk/news/2016/working-class-more-opposed-immigration-social-attitudes-survey
#guerre_entre_pauvres #classes_sociales #migrations #pauvres #asile #réfugiés #Angleterre #UK
« Excepté dans les fantasmes des politiciens de droite, le "bobo" ne vit pas dans un loft luxueux à Paris mais souvent en banlieue, il vient plutôt d’un milieu modeste et exerce une profession (graphiste, illustrateur, musicien…) dont il semble acquis qu’elle n’appelle pas de rémunération – ou alors, symbolique. »
▻http://www.liberation.fr/debats/2016/04/25/et-si-on-fichait-la-paix-aux-bobos_1448566
Superbe tag que ce #Front_de_Libération_des_Bobos. @stephane
président !
Un bobo sans moyens, c’est un peu comme un pin des Landes sans tronc…
@monolecte cet article est entre le sanglot de l’homme blanc et un reflet d’une forme de réalité où l’on jette le bébé avec l’eau du bain. Quand tu gagnes 800 ou 1000 euros par mois, que tu lis ou aimes le café, aujourd’hui tu es classé bobo. Mais où est le bourgeois là dedans, je me le demande. #intellos_précaires
Exactement, @supergeante : c’est un détournement complet du sens premier du concept. Le bourgeois bohème , c’est celui qui est à l’aise financièrement et qui affecte des idées et un mode de vie gauchisant. C’est l’acteur majeur de la gentrification des quartiers populaires qui l’attirent pour leur côté peuple précisément alors que sa venue même fait grimper la côte du quartier et en vire le populo par la simple pression de l’argent. C’est un gars qui est trop riche pour le mode de vie qui l’attire, car il continue à ignorer que l’argent pervertit tout et qu’il ne peut donc s’intéresser à rien sans automatiquement le transformer en merde, juste parce qu’il est ce que le #capitalisme préfère (un gros #consommateur) et que partout où il va, il traine avec lui les rémoras du capitalisme.
Sociologiquement, ce sont des gens avec un gros capital financier et avec un capital culturel (et surtout #politique) bien en-deça de ce à quoi ils aspirent.
Ceux qui sont appelés « bobos » actuellement, ce sont les inverses complets des premiers : les #intellos_précaires. Gros capital culturel (et souvent politique, mais pas toujours) et #prolétariat financier. Ce sont eux que les vrais bobos collent au train, dans l’espoir d’imiter leurs innovations culturelles et sociales.
Parce qu’en vrai, personne, absolument personne n’a envie de vivre comme les vrais prolos que l’état d’#exploitation et de #domination total prive des moyens physiques et intellectuels d’améliorer le capital culturel.
Aucun bobo ne fait réellement l’expérience du travail harassant, déshumanisant et privé de sens comme peuvent le faire les vrais prolos. Et personne n’a envie de se retrouver à ronfler devant la télé comme seule version de la récupération physique et de l’enrichissement culturel…
Alors la lutte et le vivre-ensemble, hein !
Les choses ont-elles une #valeur au #Moyen_Âge ?
▻http://www.laviedesidees.fr/Les-choses-ont-elles-une-valeur-au-Moyen-Age.html
Comment établir une valeur quand la monnaie manque ? Laurent Feller montre que, durant le haut Moyen Âge, les échanges étaient structurés par la valeur sociale des personnes et les liens de clientélisme ou de dépendance que ces échanges créaient ou maintenaient entre elles. La valeur apparaît comme indissociable de l’ordre social.
Essais & débats
/ Moyen Âge, #argent, valeur, #reconnaissance, #classes_sociales
L’école des soignants : D’autres écoles pour former les soignants - par Marc Zaffran
▻http://ecoledessoignants.blogspot.fr/2016/01/dautres-ecoles-pour-former-les.html
La différence entre la profession infirmière et la profession médicale ne tient pas aux compétences de leurs membres respectifs, mais uniquement à la différence de statut. Cette différence a longtemps été associée au genre – les hommes devenaient médecins, les femmes infirmières – mais ce n’est plus vrai : il y a aujourd’hui plus de futures médecin femmes que d’hommes. Non, la différence est, à l’heure actuelle, purement et simplement, une différence de classe.
Les médecins (femmes et hommes) continuent à être issus des #classes les plus favorisées. Les infirmiers et infirmières, les sages-femmes (qui en savent souvent plus que les obstétriciens), les orthophonistes (qui en savent souvent plus que les neurologues) viennent plutôt de classes sociales qui ne peuvent pas financer de longues études à leurs enfants.
A Lausanne, l’obésité est une question de quartier - Le Temps
▻http://www.letemps.ch/sciences/2016/01/05/lausanne-obesite-une-question-quartier
Une étude révèle une concentration des habitants en surpoids différente selon les quartiers de Lausanne, les plus populaires étant les plus concernés. L’urbanisme et le voisinage sont des causes possibles, selon les auteurs
L’ouest de la ville en rouge, et l’est en bleu. La carte publiée mardi dans la revue British Medical Journal Open, par des chercheurs lausannois, est sans équivoque et indique une influence de l’habitat sur le poids dans la capitale vaudoise. Elle montre clairement que la concentration d’habitants en surpoids est plus importante dans l’ouest de la commune et au nord, alors que les personnes dont le poids est autour de la moyenne semblent se regrouper à l’est de la ville.
#santé #obésité #déterminant géographique
Que l’obésité soit plus fréquente dans les classes les moins aisées c’est connu et ce n’est pas propre à la Suisse.
Les aliments industriels que l’on trouve en grande distribution sont pour beaucoup déséquilibrés nutritionnellement : le gras, le sucre, le sel, ne coûtent pas cher et rehaussent le goût d’aliments fabriqués avec des matières premières de qualité médiocre (c’est la rançon des très bas prix des produits en grande distribution).
Obésité, le facteur social et urbain
#Stéphane_Joost, Laboratoire de systèmes d’information géographique de l’EPFL et #Idris_Guessous, unité d’épidémiologie populationnelle des HUG. Une étude du CHUV et de l’EPFL révèle une augmentation de l’obésité dans l’Ouest lausannois. Parmi les hypothèses, on trouve le facteur social et urbain, de quartiers populaires, avec aussi un certain mimétisme du poids excessif.
David Graeber : « La bureaucratie sert les intérêts des 1% » - Page 1 | Mediapart
►https://www.mediapart.fr/journal/culture-idees/010116/david-graeber-la-bureaucratie-sert-les-interets-des-1
Pourquoi les classes populaires sont-elles plus susceptibles de voter pour des populistes de droite que pour des partis de gauche ? Parce que leur expérience concrète de l’oppression vient moins du capitalisme en soi que des bureaucrates, de tous ceux dont le boulot consiste à rendre les pauvres malheureux de leur sort. L’ironie, c’est que plus se mettent en place des réformes de droite, plus il y a de bureaucrates. C’est un cercle vicieux qu’il faut dénoncer. Il existe un énorme potentiel pour la critique de gauche anti-bureaucratique.
« J’ai le syndrome du survivant »
▻http://www.liberation.fr/france/2015/10/25/j-ai-le-syndrome-du-survivant_1408773
Je reviens de loin. L’école m’a sauvé. J’ai le syndrome du survivant. Cette histoire, c’est mon détroit de Gibraltar. Je l’ai franchi ! Parfois, je ris jaune. Beaucoup de camarades, perf et non perf, s’y sont noyés : Ibrahim, Conrad, Jérémie, « Pepito », Cédric P., Mamadou, Rudy… Je pense à vous.
-- Balla Fofana, 28 ans, journaliste.
Les derniers bars lesbiens
▻http://www.vice.com/fr/video/les-derniers-bars-lesbiens
San Francisco, New York, Washington et La Nouvelle Orléans sont quatre des plus grands terrains de fêtes homosexuelles aux États-Unis. Pourtant, les bars lesbiens de ces villes ferment les uns après les autres. Pourquoi ces endroits mettent-ils inexorablement la clé sous la porte alors que les bars gays prospèrent ? Broadly et JD Samson, musicienne des groupes Le Tigre et Men, ont traversé ...
#jd_samson, #san francisco, #washington, #le_tigre, #amérique, #états-unis, #gentrification #communautés #classes_sociales #agisme #lgbt #queer et bien sûr #véhicules_utilitaires
Ce qui me fait penser à The Gentrification of the Mind de Sarah Schulman.(j’y reviendrais)
▻http://www.ucpress.edu/book.php?isbn=9780520280069
le problème semble le même a Paris
A Paris et en France, on ne compte plus les bars, clubs, soirées réservées aux gays. En revanche, les bars lesbiens ferment à tour de rôle. En 2007, c’est la célèbre boîte de nuit Le Pulp qui met les clés sous la porte. « Le samedi soir, tu pouvais être sûre que toutes les nanas y allaient », se souvient Claudine*, 32 ans, qui traîne ses guêtres depuis des années dans les soirées parisiennes. « La fermeture du Pulp a laissé un vide dans la nuit lesbienne à Paris. Sept ans après, on m’en parle encore », expliquait à Causette Michelle Cassaro, l’ancienne patronne de l’établissement. Deuxième gros coup dur, en 2012 : la fermeture du Troisième Lieu, pour des raisons financières. « C’était un bar/resto mixte mais ils contrôlaient quand même l’accès des hommes. On pouvait y passer la soirée, boire, manger, jouer au babyfoot, c’était convivial. On n’avait pas l’impression d’être un bout de viande quand on y entrait, comme ça peut être le cas dans d’autres bars », nous explique Camille*, 26 ans. Cette jeune Parisienne en couple depuis depuis deux ans fréquentait beaucoup le milieu lesbien au temps du Pulp. Plus récemment encore, c’est le Calamity Joe, à Pigalle, qui fermait boutique.
Comment expliquer cette vague de fermetures et le nombre disproportionné de bars gays par rapport aux bars lesbiens ? Pour le comprendre, il faut revenir à l’histoire très différente des cultures gay et lesbienne. « On a d’un côté la culture gay, inscrite autour de la sexualité et des lieux commerciaux ; de l’autre celle des lesbiennes, articulée autour du féminisme et de la politique », explique au HuffPost Natacha Chetcuti, sociologue, auteure de Se dire lesbienne (Payot & Rivages ed.). « Des années 70 à 90, la socialisation se faisait, entre les femmes, dans des lieux politisés et emblématiques. Mais l’engagement de cette génération s’est essoufflé », poursuit-elle. L’épidémie du sida a en effet changé la donne, le militantisme s’est approfondi chez les gays, avec des associations comme Act Up. Tandis que les lesbiennes ont pris leurs distances par rapport aux mouvements politiques, parce qu’elles étaient bien moins touchées par le sida. Cette désaffection du champ politique a fortement contribué à leur manque de visibilité et d’espaces dédiés.
▻http://www.huffingtonpost.fr/2015/03/20/lieux-lesbiens-rarefient-soirees-organisees-collectif-barbieturix-ras
Le doc pointe d’autres raisons, qui en fait on contribué par exemple à la fin du Pulp : non pas le manque de fréquentation, mais la hausse des loyers et la volonté des propriétaires des lieux de viser d’autres clientèles. + le fait d’être passé d’une culture de lieux à une culture de soirées, plus nomades et ponctuelles.
Éducation. Quand l’argent creuse les inégalités scolaires (L’Humanité)
▻http://www.humanite.fr/education-quand-largent-creuse-les-inegalites-scolaires-583456#st_refDomain
Dans son ouvrage "School Business", Arnaud Parienty dresse un constat inquiétant du poids de l’argent dans les parcours de réussite scolaire. Cours particuliers, stages de langue, prépas privées… L’accès à certaines filières et métiers dépend de plus en plus du porte-monnaie.
[…]
Le point de départ est la massification scolaire et non la démocratisation scolaire, qui n’existe pas. La massification dans les conditions où elle s’opère nourrit la concurrence. Elle devient même rude pour les catégories favorisées sur le plan des revenus mais pas nécessairement sur le plan culturel. Il n’y a plus d’automaticité à ce que les enfants suivent la voie des parents. Il faut réunir beaucoup de capital scolaire, beaucoup de travail, de suivi. Face à ce danger de déclassement, ces familles mettent toutes les armes de leur côté en utilisant le capital qu’elles ont, l’argent.
[…]
Les fonds d’investissement souvent anglo-saxons s’intéressent à l’éducation comme ils se sont intéressés aux services à la personne. Des chefs d’entreprise créent leurs écoles, comme le patron de Free, persuadés d’être meilleurs que le secteur public pour former les professionnels de leur domaine. De nombreuses start-up investissent ce marché. La France est en pointe dans le secteur très dynamique de l’« ed.tech », les nouvelles technologies appliquées à l’éducation. Il y a une demande, l’offre suit, c’est la logique du capitalisme. Et il faut le savoir : les entreprises anglo-saxonnes d’éducation, dont les chiffres d’affaires atteignent des milliards de dollars, désignent la France comme cible privilégiée de leurs marchés…
#éducation #inégalités #classes_sociales #éducation_de_classe #marchandisation #oh_bin_ça_alors
School business. Comment l’argent dynamite le système éducatif (AlterÉco)
▻http://www.alternatives-economiques.fr/school-business--comment-l-argent-dynamite-le-systeme-educa
School business. Comment l’argent dynamite le système éducatif, par Arnaud Parienty
La Découverte, 2015, 243 p., 17 euros.
Neuilly fait de la Résistance, critique du Splendid par Pacôme Thiellement
▻http://sedition-revue.fr/neuilly-fait-de-la-resistance
Merci Pacôme, de mettre le doigt sur une troupe qui n’a jamais réussi à me faire vraiment rire.
Franchement, on se sent un peu seul quand depuis l’école-collège tous les amis ou famille, etc, te parle du Père noël, des Bronzés, toussa (et continuent d’en parler en 2015), mais que toi, c’est Hara Kiri, les Monty Python ou Bill Murray qui te font rire.
#Pacôme_Thiellement #Splendid #humour #lutte_des_classes #classes_sociales #Neuilly #racisme #classisme
j’ai jamais aimé l’humour de cette bande là non plus, beaucoup trop axé sur la ridiculisation/humiliation d’autrui.
Ce n’est pas surprenant que, contrairement à Swift, Topor ou South Park, leur humour noir soit imperméable à la poésie, et étranger à la grâce. Le monde imposé par le Splendid à un peuple soumis à l’absorption de son amère ironie est également dominateur et dominé, dévorateur et dévoré. Il est prêt à sacrifier la Terre entière pour tenter d’assouvir sa passion et sa colère, mais rien ne peut même lui suggérer le commencement d’une délivrance. Comme dit le graffiti espagnol, ce n’est pas la fin du monde qui est infernale, c’est la continuation incessante de celui-ci.
Avec ou sans Neuilly, l’analogie avec le passage à l’ennemi de Libération et Charlie est frappante. Pour intégrer la domination, mépriser le populaire.
Un (gros) bémol quand même, Hara-Kiri/Charlie ne s’est jamais privé de taper sur les prolos (je pense à Reiser et Cabu notamment), le Splendid n’avait pas besoin de chercher bien loin pour ça.
Quant aux Bronzés, j’ai toujours pris ça pour une gentille satire du Club Med.
Multiracial Dividends & Persistent Hierarchies - Families as They Really Are
▻http://thesocietypages.org/families/2015/07/13/multiracial-dating-changes-and-stays-same
How do multiracial daters fare in a mainstream online dating website? A new study presented recently to the Council on Contemporary Families by scholars at the University of Texas and University of Massachusetts reports that online daters prefer mixed-race over mono-racial individuals. The authors of
#race #class #reproduction #classes_sociales #rencontres #familles
Is “Expat” the New White ? - Une heure de peine...
►http://uneheuredepeine.blogspot.fr/2015/06/is-expat-new-white.html
En Mars dernier, au moins cinq personnes différentes m’ont envoyé un article du Guardian se demandant « pourquoi les Blancs sont des expatriés alors que les autres sont des migrants ? ». Celui-ci a suffisamment retenu l’attention pour faire l’objet de quelques recensions et traductions en français : dans l’Express, dans Courrier International, sur le site Les Mots Sont Importants, sur Slate, sur le site Jeune Afrique. J’en oublie sans doute. La critique du racisme qui se cache derrière la distinction « expatrié/migrant » est un point de passage obligé de toute réflexion sérieuse sur les migrations internationales. Mais appeler, comme le fait l’article, à remplacer « expat » par « migrant » n’est pas une attitude aussi critique que l’on pourrait le croire.
Parmi mes enquêtés « expats », certains se qualifient spontanément de « migrants » ou d’"immigrés". Toujours avec un sourire en coin cependant : ils savent qu’ils ne sont pas comme les autres « immigrés » dont on parle dans les médias, et quand ils me parlent, ils savent que je sais...
Bien vu. Moi je fais souvent le malin avec ça, je vais arrêter :)
Pire encore : les « expats » pourraient même trouver appréciable d’être renommés « migrants » (surtout qu’ils resteront quoi qu’il en soit des « migrants qualifiés »). Je ne compte plus le nombre de mes enquêtés qui m’expliquent qu’ils ne sont pas « comme les autres expatriés », que eux ont fait de vrais efforts pour découvrir leur pays d’accueil, pour s’y intégrer, etc.
Que sont les classes populaires devenues ?▻http://blogs.mediapart.fr/blog/vincent-goulet/100615/que-sont-les-classes-populaires-devenues
#classes_sociales #toread #sociologie
La violence des riches - Rhizome TV
▻http://www.rhizome-tv.be/spip.php?article183
▻http://www.rhizome-tv.be/IMG/mp4/up_pincon-6.mp4
Une conférence de Michel et Monique Pinçon-Charlot
Université Populaire de Bruxelles publié le 14/01/2015
Dans leur ouvrage #La_violence_des_riches – Chronique d’une immense casse sociale (Editions Zones-La Découverte 2013), ils dressent une liste non-exhaustive des violences de ceux qui concentrent les richesses et les pouvoirs. Pour les #Pinçon-Charlot, la casse sociale, sur fond de crise, bat son plein : les vies deviennent jetables et les existences sont sacrifiées. Nous sommes confrontés à une violence et une misère sociales qui n’ont de cesse de s’intensifier. Avec pour premières victimes… les classes populaires. Nous vous invitons à rencontrer ce couple de sociologues qui cogne dur et parle clair ! Avec eux, nous analyserons les rouages de cette véritable « guerre des classes » et réfléchirons à la manière de transformer ce système en redevenant des citoyens à part entière. Afin de ne pas perdre le combat par KO.
La vidéo fait prèsque 1 Gig alors impossible de la visionner sur un portable. Il n’y a pas une solution #MediaSPIP ppour cela ?
@suske, le mieux je pense serait de laisser un commentaire sur la page du site, en signalant que le fichier du film est trop volumineux, et que les gestionnaires du site risquent de payer un surcoût pour dépassement en téléchargement.
La vidéo est proposée maintenant en streaming et je me demande s’ils l’ont compressée...
Elle est en « streaming » (le mp4 qui va bien + flowplayer) sur le site mais j’ai aussi donné le lien de partage du fichier complet. Il n’en reste pas moins qu’elle fait pas loin d’1 Gb.
J’étais #SUPER_CONTENT de pouvoir voir cette conférence, d’où ce seen. Je ne ferai pas de commentaire à Rhizome TV : en l’état ça me va très bien et ils n’ont peut-être pas les moyens de Youtube...
Rhizome TV est une plate-forme vidéo libre et auto-gérée. Elle a pour vocation la constitution d’une base de données vidéo émancipée des prestataires de services commerciaux sur Internet. En outre, elle vise le partage des ressources et la mise en réseau des acteurs de la réalité sociale bruxelloise.
Pour ce faire, elle offre une chaîne web à chaque association partenaire.
Découvrez sans plus tarder les chaînes des associations membres de Rhizome TV !
Je leur ai envoyé un mail pour leur parler de MediaSPIP... ça me dirait bien de relancer le projet
Heu, je ferai un billet la là-dessus si tu veux mais le web doit en regorger...
Suske-au-taquet :-\