• #Google continue à mélanger #publicité et vidéos climatosceptiques
    https://www.courrierinternational.com/article/gafam-google-continue-a-melanger-publicite-et-videos-climatos

    Le géant de la tech s’était engagé en 2021 à ne plus afficher de pub au côté de contenus niant l’urgence climatique. Mais YouTube associe toujours des annonceurs classiques à des vidéos contestant le réchauffement climatique, dénonce “The New York Times”.

    Google Promised to Defund Climate Lies, but the Ads Keep Coming - The New York Times
    https://www.nytimes.com/2023/05/02/technology/google-youtube-disinformation-climate-change.html

    #climat

  • [Radio Maritime] Le son qui dérange
    https://www.radiopanik.org/emissions/radio-maritime/le-son-qui-derange

    Dans cette émission on reçoit les 10 jeunes participants au stage « Le son qui dérange » mis en place par Oxfam Magasins du monde et le GSARA Bruxelles au COOP, le long du canal de Bruxelles en plein coeur d’Anderlecht. En une semaine ce groupe est amené à réalisé une série de podcast sur différents enjeux climatiques. On échange sur ce qu’on a appris durant la semaine, on écoute des extraits d’interview, on dédicace de la musique...

    « Le son qui dérange » a reçu le soutien de la FWB via l’appel à projet Mind changers

    #jeunesse #migration #climat #inégalités #expression #fast_fashion #jeunesse,migration,climat,inégalités,expression,fast_fashion
    https://www.radiopanik.org/media/sounds/radio-maritime/le-son-qui-derange_15865__1.mp3

  • « Nous, #scientifiques et #experts, appelons les actionnaires de #TotalEnergies à voter contre la stratégie #climat de la firme »
    https://www.lemonde.fr/idees/article/2023/05/07/nous-scientifiques-et-experts-appelons-les-actionnaires-de-totalenergies-a-v

    « Nous, scientifiques et experts, appelons les actionnaires de TotalEnergies à voter contre la stratégie climat de la firme »

    Dans une tribune au « Monde », un collectif de 188 scientifiques et experts, parmi lesquels Valérie Masson-Delmotte, Philippe Descola ou Jean Jouzel, dénonce la « bombe carbone » que représente le projet d’oléoduc en Ouganda de la multinationale française.

    simple pb : les actionnaires ne les votent pas non plus pour d’autre raisons bassement matérialistes, selon des médisants...

  • Réchauffement et chaos climatiques : face aux risques pour les profits de la classe capitaliste, la solution du « #météo_business »

    Entreprises privées de prévision météo : « Avec le #changement_climatique et les événements météo tangibles, les PDG reconnaissent qu’il peut y avoir un besoin »

    Quelle quantité de pluie et de soleil y aura-t-il pour faire pousser les récoltes ? Combien d’énergie solaire va remonter dans le réseau électrique, et quelle sera la demande d’électricité ? Un camion réfrigéré sera-t-il nécessaire pour livrer les vaccins aux pharmacies ? Faut-il mettre les parapluies en vitrine, réapprovisionner les boutiques en crème glacée et en sodas ?

    Dans la vie de tous les jours, les entreprises sont un peu comme Madame Michu : elles n’arrêtent pas de causer de la pluie et du beau temps. A plus forte raison lorsqu’elles sont exposées au changement climatique. Ce risque croissant a ouvert un boulevard aux spécialistes privés de la prévision météorologique, comme #WeatherNews, #DTN, #Accuweather. Ces entreprises qui ne sont ni des start-up ni des multinationales malgré leur forte internationalisation sont en train de diversifier leurs services de conseil, dans une multitude de métiers, et bien au-delà de la #météo.

    Deux d’entre elles se sont installées à Norman, sur le campus de l’université d’Oklahoma, un long tapis de verdure semé de bâtiments de brique rouge disparates. C’est là qu’est implanté le National Severe Storms Laboratory (NOAA), le centre météorologique public qui prévoit et surveille l’apparition des tornades sur tout le territoire américain.

    […] A l’origine, les armateurs se préoccupaient uniquement de la sécurité des bateaux. Mais ils ont désormais accès à des prévisions variées, qui ont un impact direct sur leur compte de résultat, explique Mark Glander : « C’est bien plus que de la météo. Nous pouvons prédire combien de temps va durer le voyage, combien de fuel vous allez brûler, et combien cela va coûter ».

    […] de nombreux métiers commencent juste à découvrir l’importance du conseil météo, assure-t-il : « On ne fait que gratter la surface. On peut résoudre tant de problèmes », dit-il, après avoir évoqué les voitures électriques dont la durée de batterie est parfois divisée par trois à cause du froid, ou les voitures autonomes démunies contre les routes verglacées.

    « On croit souvent qu’on ne peut rien faire en cas de mauvaise météo, ce qui n’est pas vrai, et ce qui pousse à prendre de gros risques réputationnels », insiste-t-il. Si l’organisateur d’un concert en plein air de 10.000 personnes laisse les spectateurs se garer dans la boue, l’affaire peut rapidement devenir un « désastre logistique », illustre-t-il. A l’inverse, en cas de chaleur, mieux vaut prévoir des bouteilles d’eau pour éviter les évanouissements.

    (Les Échos)

    #climat #capitalisme #gestion_des_risques

  • « Nous aurons des années de rendement si faible que l’on ne pourra pas nourrir l’ensemble de la population »
    https://lesechos.fr/idees-debats/sciences-prospective/vin-de-normandie-pates-de-sorgho-que-mangerons-nous-quand-leau-sera-rare-19

    « Tout ce qui est rare est cher », l’adage est bien connu. Or, avec les vagues de sécheresse inédites qui se succèdent en Europe, notamment en ce moment en Espagne , l’eau devient de plus en plus rare. Le #prix de l’or bleu pourrait donc s’envoler. Le ministère des Affaires étrangères néerlandais a voulu alerter sur cet avenir qui se dessine avec le site de vente en ligne The Drop Store (« le magasin de la goutte »). Sur ce site futuriste, la ressource est devenue si rare que chaque produit détaille la quantité d’eau nécessaire à sa production pour justifier son prix devenu exorbitant.

    Les denrées courantes deviennent en effet des mets précieux et leurs prix flambent. Par exemple, une fiole d’eau « très pure » de seulement 15 ml est vendue 182 euros ; un épi de maïs de 35 grammes, 129 dollars (118 euros) ; deux cubes de fromage, 109 dollars (100 euros) ; ou encore 4 carrés de chocolat, 3.600 dollars (3.200 euros) ! Pour chaque produit, une étiquette précise la cause de sa raréfaction : inondation, sécheresse, pollution…

    L’initiative choc reste une fiction, mais certaines des conséquences esquissées pourraient bien devenir réelles. Première activité consommatrice d’#eau en France, l’agriculture est en effet lourdement affectée par la baisse significative de la recharge des nappes phréatiques, de l’ordre de 10 % à 25 % en moyenne en France métropolitaine.

    D’ici à 2050, la #tendance des températures « sera à la hausse et nous allons connaître d’importantes et nombreuses variations interannuelles. Et ce sera encore plus vrai avec la pluviométrie », confirme Christian Huyghe, directeur scientifique de l’Inrae.

    A cet horizon, le #climat de la #France se rapprochera de celui de la Tunisie. Or, le pays du Maghreb doit se mobiliser pour conserver une forme de souveraineté alimentaire et éviter de nouvelles émeutes de la faim. Cette indépendance a un prix puisque pour maintenir son #agriculture, le pays investit dans le retraitement des eaux usées et construit des stations de dessalement d’eau de mer. Ces installations et leur utilisation ont un coût qui pourrait bien se répercuter sur le prix des denrées.

    […]

    La clé d’une adaptation réussie repose aussi sur un changement des régimes alimentaires pour les orienter vers des produits moins consommateurs d’eau. Sans surprise, les chercheurs plaident unanimement pour une assiette plus végétale. « Vraisemblablement, notre #consommation de produits animaux diminuera avec un #régime_alimentaire qui passera de 60 % de protéines d’origine animale à 40 ou 50 % », avance Christian Huyghe de l’Inrae. « Il faudrait également multiplier notre consommation de légumineuses par cinq », avance Sylvain Doublet.

    Les #fruits et #légumes vont aussi évoluer. Les consommateurs devront s’habituer à des fruits et légumes aux calibres et aux goûts différents. Par exemple, avec moins d’eau, la taille des pommes de terre se réduira ainsi que celle des fruits qui seront aussi plus sucrés. Par ailleurs, avec des rendements agricoles en baisse, la lutte contre le #gaspillage va s’intensifier.

    Un monde où l’eau est rare

    10 % à 25 % : baisse moyenne de la recharge des #nappes_phréatiques en France.

    9 ans : c’est la durée moyenne actuelle pour créer une nouvelle variété agricole en France.

    2050 : le climat de la France sera comparable à celui de la Tunisie.

    40 % à 50 % : proportion de protéines animales dans le régime alimentaire en France en 2050, contre 60 % aujourd’hui.

    182 euros : le prix de 15 ml « d’eau pure », si l’on ne change pas de système alimentaire, selon la politique-fiction des #Pays-Bas.

    • Cinq grains de riz pour 80 euros : un magasin en ligne (fictif) alerte sur les conséquences d’un monde sans eau

      https://www.francetvinfo.fr/replay-radio/le-monde-est-a-nous/cinq-grains-de-riz-pour-80-euros-un-magasin-en-ligne-fictif-alerte-sur-

      Le site internet The Drop Store créé à l’initiative du gouvernement néerlandais est un site très particulier où l’on trouve une dizaine de produits alimentaires seulement. Et pour se les offrir, il faut avoir les moyens.
      Un petit bout d’épis de maïs, 35 grammes : 118 euros. Un petit sachet de cinq grains de riz : 80 euros.
      Un flacon d’eau pure, plus chère que du parfum : 180 euros les 15 ml (l’équivalent d’une cuillère à soupe). On trouve aussi de l’eau normale bien plus abordable, mais elle est marron et, prévient l’étiquette, « susceptible d’être polluée par divers produits chimiques ou pharmarceutiques ». Pour vos petits creux, un snack protéiné, très « crunchy » comme dit l’emballage : on dirait une barre de céréales, c’est un agglomérat d’insectes, mouches, cafards et vers : 138 euros. Un produit de substitution à la viande rouge.

      Mais vous pourriez préférer les pilules en forme de mini-pizza, goût margherita – on dirait une boîte de médicaments – 148 euros. Un avis client (factice, comme le reste) dit : « Je n’ai jamais mangé de vraie pizza, mais d’après mes amis qui en ont déjà goûté, ces pilules ont un goût très ressemblant ».

      Une personne sur trois n’a déjà pas un accès libre à l’eau potable

      Ce site est une fiction pure, ces aliments, évidemment, ne sont pas à vendre. Ils ont été imaginés par l’agence Publicis à l’occasion de la Conférence des Nations unies sur l’eau qui s’est tenue en mars 2023. Car c’est peut-être ce qui nous attend dans un monde sans eau. Un monde où, à cause du changement climatique, des sécheresses et de la hausse des températures, l’eau potable deviendrait une ressource rare, voire inexistante.

      Cela peut vous paraître de la fiction, mais c’est déjà une réalité pour plus d’une personne sur trois dans le monde, selon l’Unicef et l’Organisation mondiale de la Santé. En 2030 (autant dire demain) près de la moitié de la planète aura des difficultés d’accès à l’eau potable.

      Et ce que veulent montrer les Pays-Bas avec ce site The Drop Store, c’est que cette crise de l’eau aura un impact direct, un impact majeur sur nos modes de consommation dans les pays développés. Et donc que le riz, le maïs ou la margherita deviendront des produits de luxe. Parce que pour produire un kilo de maïs, par exemple, il faut au total 1 222 litres d’eau. Chaque aliment a sa fiche de consommation en eau, basée sur une étude scientifique, et le site nous explique pourquoi on risque d’en arriver à cette raréfaction.

      La riziculture utilise par exemple 40% de toute l’eau d’irrigation dans le monde. Le riz contribue au bouleversement climatique, mais il en est aussi victime. Pour la margherita, c’est parce que la sécheresse aura eu raison des récoltes de tomates, d’olives et de blé. Et parce qu’il faut beaucoup trop d’eau aussi pour nourrir les bufflonnes qui produiront le lait pour la mozzarella. Le manque d’eau entraînant de mauvaises récoltes, une réduction de la production et une augmentation des prix pour tout le monde. « De nombreuses choses que nous mangeons et apprécions aujourd’hui disparaîtront complètement, dit The Drop Store, ce qui réduira la diversité et la nutrition de notre alimentation ».

      Des actions concrètes au quotidien

      L’initiative, pourtant, ne se veut pas culpabilisante. Les Pays-Bas ont surtout voulu créer un choc de conscience, avec l’idée c’est que l’on peut encore agir pour protéger la ressource eau. « Les Nations unies voulaient que nous diffusions ce message à l’échelle mondiale pour que les gens comprennent la valeur de l’eau », dit Eduardo Marques, directeur d’exploitation de Publicis.

      Le site renvoie vers des organisations partenaires comme le WWF ou le mouvement « Fill up the glass » qui propose aux jeunes des actions très concrètes dans la vie de tous les jours, comme limiter sa consommation de viande ou utiliser des protections hygiéniques réutilisables

    • #sorgho

      Le sorgho, une plante millénaire d’avenir

      Le sorgho est l’objet de toutes les attentions. La plante originaire de la région sahélienne constitue déjà l’aliment de base dans plusieurs régions arides et semi-arides. Cette céréale dotée d’un système racinaire profond peut en effet pousser malgré des températures élevées et un déficit hydrique important. La plante riche en protéines « possède des qualités nutritionnelles et énergétiques comparables à celles d’autres céréales », indique David Pot, du Cirad. Elle peut être consommée par les humains, mais aussi les animaux.

      Toutefois, si le sorgho est plus résistant que le maïs à la sécheresse, son rendement reste inférieur lorsque l’eau est abondante. « Cela résulte aussi d’investissements très importants de la recherche et des entreprises de sélection dans le maïs », précise David Pot. La céréale peu gourmande en engrais et en pesticides pourrait faire l’objet de recherche agrologique et d’investissements « laissant aussi présager des gains génétiques importants », indique le chercheur.

  • Collision entre un cargo et une éolienne en mer du Nord

    Un accident s’est produit en mer du Nord entre le cargo Petra L, sous pavillon d’Antigua-et-Barbuda, et une éolienne du parc Gode wind 1 en mer du Nord allemande. L’événement a été découvert lorsque le navire s’est présenté à l’entrée du port d’Emden, en Allemagne.

    Le cargo « Petra L » est arrivé au port d’Emden avec un trou de 15 m² dans sa coque. (Photo : Wasserschutzpolizei)

    Photp => https://lemarin.ouest-france.fr/sites/default/files/styles/full/public/2023/04/27/credit_wasserschutzpolizei.jpg

    Source : https://lemarin.ouest-france.fr/secteurs-activites/energies-marines/collision-entre-un-cargo-et-une-eolienne-en-mer-du-nord-47214

    #énergie #éoliennes #électricité #éoliennes_industrielles #énergie_éolienne #éolien #écologie #environnement #éolienne #énergie_renouvelable #climat #critique_techno #pollution #mer_du_nord

  • [Les Promesses de l’Aube] #holding_up_the_sky - rencontre avec Pieter Van Eecke
    https://www.radiopanik.org/emissions/les-promesses-de-l-aube/holding-up-the-sky-rencontre-avec-pieter-van-eecke

    Ce mercredi, j’aurai le plaisir de m’entretenir avec Pieter Van Eecke, réalisateur du film Holding Up The Sky.

    Après avoir réalisé en 2016 le #documentaire « Samuel In The Clouds », pour lequel il avait filmé le sommet d’une montagne à La Paz en Bolivie. Aujourd’hui, Van Eecke est de retour avec un nouveau film intitulé Holding Up the Sky, un documentaire sur les #yanomami en #amazonie brésilienne.

    Synopsis

    Si les chamans cessent de danser et que la vie dans la forêt tropicale perd son équilibre, le ciel s’écroulera et écrasera tout". Cette sagesse est transmise de génération en génération par les Yanomami du Brésil. Et pourtant, aujourd’hui, les chercheurs d’or polluent les rivières, les chamans meurent, la forêt tropicale disparaît et la terre se réchauffe...

    Davi Kopenawa, chef de tribu et porte-parole (...)

    #climat #urgence_écologique #documentaire,climat,amazonie,yanomami,urgence_écologique,holding_up_the_sky
    https://www.radiopanik.org/media/sounds/les-promesses-de-l-aube/holding-up-the-sky-rencontre-avec-pieter-van-eecke_15759__1.mp3

  • The Challenge of Blue Carbon - Nautilus
    https://nautil.us/the-challenge-of-blue-carbon-298510

    A mangrove swamp might contain 25 times as much carbon as a similar patch of terrestrial forest.

    […]

    “Blue carbon isn’t cheap,” agrees Emily Landis, climate and ocean strategy lead within The Nature Conservancy’s Global Tackle Climate Change team. She hopes that if the per-ton price of carbon continues to increase, and the science of blue carbon becomes more settled, the funding gap will shrink. TNC has more blue carbon projects in the pipeline, including some that it hopes will generate carbon credits within a year.

    Landis worries that as blue carbon grows in popularity, it might fall prey to the type of lower quality or even fraudulent schemes that have plagued forestry projects. “There are going to be issues because there always are where money is involved,” she says. “Investors need to be asking questions before they purchase these carbon credits.”

    TNC, in partnership with Conservation International, Salesforce, and the World Economic Forum, is developing guidelines for what constitutes a high-quality blue carbon project—including, apart from all the scientific and logistical considerations, sharing revenues with local communities. Without their support, the long-term viability of projects is uncertain.

    Even if the numbers add up, though, sea level change could pose an existential problem for some projects. Wetlands submerged by rising seas are likely to release around half of their stored carbon , according to Lane. “The biggest upset of the whole Luling project was trying to prove sustainability over a 50- to 100-year time span,” he says. “Proving that a wetland can survive through sea rise predictions of a meter to two meters is rather problematic, because really it can’t. If there’s a rise of two meters by the end of the century, most of the wetlands in the world are going to be submerged.” This is crucial because the highest-quality verifications, like those provided by Verra, won’t issue credits unless a project is assured of permanence for at least 100 years.

    Friess is more optimistic, noting that coastal ecosystems will vary in their response to climate change. “There are some mangrove forests that will be resilient to sea level rise, because they can increase their surface elevation at the same rate,” he says. In the United States, however, a recent analysis by the U.S. Geological Survey estimates that landward migration of coastal wetlands will not counter seaward losses. Potential migration will likely occur at the expense of either coastal freshwater wetlands, or uplands such as croplands, forests, and pastures.

    Whatever the eventual fate of coastal wetlands, these blue carbon ecosystems should help soften the impacts of climate change in years to come by providing fish habitats, trapping pollutants, and absorbing storm surges and other extreme weather. Mangroves alone are estimated to already provide more than $82 billion in annual storm protection globally. TNC says that it is in the final stages of getting approval and validation for monetizing that protection into something called a resilience credit, to be sold alongside the carbon credit. Resilience credits are calculated by looking at the number of people and the value of assets like farms and dwellings protected by coastal ecosystems.

    “We do know that there is interest in the marketplace for resilience credits,” says Landis, “and that blue carbon credits get a higher price with resiliency on top.” The hope is that projects generating both credits would ultimately cover the entire cost of conservation or restoration.

    Ultimately, blue carbon credits face the same dilemma as any nature-based climate solution. A financial framework creates incentives to support the valuable work ecosystems do in storing carbon and protecting communities. The moment those benefits are monetized, though, opportunities to game the system emerge. Yet while it is obviously absurd to reduce the glorious, multifaceted complexity of a healthy swamp to a simple financial instrument, it may give it a better chance to persist—and even help—in the climate struggles that lie ahead.

    “Blue carbon is not a get-out-of-jail-free card,” warns Friess. “But if we can do it correctly, reduce the risks, and overcome some of the barriers, I think it will play a small but meaningful contribution to solving the climate crisis.”

    #climat #carbone #marais #montée_des_eaux

  • Nécro(techno)logie : Claude Lorius n’a rien vu en Antarctique
    https://www.piecesetmaindoeuvre.com/spip.php?article1831

    Toujours en librairie : Le Règne machinal (la crise sanitaire et au-delà). Voir ici

    Le glaciologue Claude Lorius est mort le 21 mars. Nous ne sommes pas du genre à gifler les cadavres, comme le firent les surréalistes à la mort d’Anatole France en 1924. Quoique la main vous démange à la lecture de la presse éplorée. Le Figaro salue le « pionnier de la climatologie moderne », Le Daubé le « lanceur d’alerte précoce », Libération le « géant des glaces », Le Monde le « héros légendaire ». Qu’a donc fait Claude Lorius (à part mourir) pour mériter de telles louanges ? Il a établi, en 1987, le lien entre la teneur en gaz à effet de serre dans l’atmosphère et l’évolution climatique. D’un point de vue scientifique, s’entend. Ses études ont vérifié les observations des montagnards : « ils ont détraqué les saisons ». Ce (...)

    #Nécrotechnologies
    https://www.piecesetmaindoeuvre.com/IMG/pdf/lorius_n_a_rien_vu.pdf

    • Lorius prétend nous livrer la cause du désastre en reprenant le terme d’Anthropocène, forgé au début des années 80 par le biologiste Eugène Stoermer. Celui-ci le popularise en 2002 dans un article de Nature corédigé avec Paul Crutzen, prix Nobel de Chimie 1995. Pardon de rabâcher, mais les nécrologies servent aussi à ça. Stoermer et Crutzen ne font pas remonter les causes du bouleversement géo-climatique à l’apparition de l’anthropos – à « l’ère des humains », comme le prétend Lorius - voici trois millions d’années, ni même à l’émergence du capitalisme. Ils situent le début de cette ère en 1784, année du perfectionnement de la machine à vapeur11 . C’est-à-dire le début de l’usage des énergies fossiles : la révolution thermo-industrielle. Leur terme englobant d’Anthropocène est abusif et commode pour dissimuler la vraie rupture, celle du Technocène. La société industrielle, motorisée par les progrès technoscientifiques, a détruit les équilibres climatiques et écologiques. Point.

      […]

      Remonter à la racine des maux signifie regarder en arrière. Les causes, par définition, sont dans le passé. Lorius le savait bien, qui lisait dans ses carottes de glaces polaires les différentes étapes des dégâts industriels sur notre biotope. Mais ses conclusions, 30 ans plus tard, étaient celles d’un aveugle : « Comment encourager la croissance qui est nécessaire, en respectant l’environnement ?14 »
      La croissance de quoi ? Des températures ? Du niveau des mers ? De la sécheresse ? Bref, Lorius n’avait rien vu dans l’Antarctique. C’était bien la peine d’aller si loin et de brûler tant de kérosène.
      Il est trop tard pour les glaciers. Et pour nous, simples anthropoïdes ?

      #anthropocène #capitalocène #technocène #climat #réchauffement_climatique #écologie #technocratie #Grenoble #science #recherche #Claude_Lorius #glaciers

    • Finalement, les héros légendaires sont des scientifiques comme les autres.

      Oui, et la connaissance de la nature ne garantit pas d’avoir des idées politiques particulièrement intéressantes.

      Qu’a donc fait Claude Lorius (à part mourir) pour mériter de telles louanges ? Il a établi, en 1987, le lien entre la teneur en gaz à effet de serre dans l’atmosphère et l’évolution climatique. D’un point de vue scientifique, s’entend. Ses études ont vérifié les observations des montagnards : « ils ont détraqué les saisons ». Ce que chacun constatait en levant le nez,

      D’un point de vue scientifique… Quel autre point de vue y aurait-il ? Le montagnard qui lève son nez a-t-il accès à des centaines de milliers d’années d’évolution du climat ? Renifle-t-il des concentrations de co2 ? Sa peau sent-elle des augmentations moyennes de température sur le globe ? Ses oreilles détectent-elles des changements d’orbite de la Terre ?

  • En formation « climat » avec les journalistes de France Télévisions | la revue des médias
    http://larevuedesmedias.ina.fr/formation-changement-climatique-giec-journalistes-redaction-fra

    Depuis la publication, en septembre 2022, de la Charte pour un journalisme à la hauteur de l’urgence écologique, plusieurs médias se sont engagés à former leurs rédactions aux enjeux du climat. Reportage à France Télévisions, où ces formations permettent des rencontres entre journalistes et scientifiques.

    #Climat #EMI #Journalisme #Médias

  • 🛑 Climat : l’ONU alerte sur une fonte record des glaciers en 2022...

    "Le rapport annuel de l’Organisation météorologique mondiale (OMM) sur l’état du climat confirme que ces étendues de glace disparaissent à une vitesse spectaculaire et que les indicateurs météo ont atteint des niveaux inégalés l’an dernier.
    Ces huit dernières années ont été les plus chaudes jamais enregistrées sur Terre. Et ce n’est que l’une des conséquences inouïes, parmi tant d’autres, de la « progression continue du changement climatique », prévient, ce vendredi 21 avril, l’Organisation météorologique mondiale (OMM), institution spécialisée des Nations unies, dans son rapport 2022 sur l’état du climat. Celui-ci confirme les données alarmantes du Groupe d’experts intergouvernemental sur l’évolution du climat (Giec) ou celles du service européen sur le changement climatique Copernicus : les émissions de gaz à effet de serre (GES) « continuent de croître » et des « populations du monde entier » subissent désormais des « phénomènes météorologiques et climatiques extrêmes », insiste Petteri Taalas, le secrétaire général de l’OMM (...)
    "

    🛑 🌍 #écologie #environnement #climat #glacier #dérèglementclimatique
    > #anticapitalisme #décroissance

    ⏩ Lire l’article complet…

    ▶️ https://www.liberation.fr/environnement/climat/climat-lonu-alerte-sur-une-fonte-record-des-glaciers-en-2022-20230421_4HZ
    342024458_897582728137704_6492768422458601554_n.png (732×390)

  • « La calotte glaciaire du Groenland s’approche du point de non-retour »

    L’American Geophysical Union (AGU), le 27 mars 2023, présentait ainsi sur son site une nouvelle étude. « L’inlandsis du Groenland couvre 1,7 million de kilomètres carrés dans l’Arctique. S’il fondait entièrement, le niveau mondial des mers s’élèverait d’environ 7 mètres, mais les scientifiques ne savent pas exactement à quelle vitesse la calotte glaciaire pourrait fondre. La modélisation des points de basculement, qui sont des seuils critiques où le comportement d’un système change de manière irréversible, aide les chercheurs à déterminer quand cette fonte pourrait se produire ».

    Basée en partie sur les émissions de carbone, une nouvelle étude utilisant des simulations a identifié deux points de basculement pour l’inlandsis du Groenland : la libération de 1000 gigatonnes de carbone dans l’atmosphère entraînera la fonte de la partie sud de l’inlandsis ; environ 2500 gigatonnes de carbone signifieront la perte définitive de la quasi-totalité de l’inlandsis.

    Après avoir émis environ 500 gigatonnes de carbone, nous sommes à peu près à mi-chemin du premier point de basculement.

    https://entreleslignesentrelesmots.wordpress.com/2023/04/21/la-calotte-glaciaire-du-groenland-sapproche-du

    #ecologie #climat

  • The Incredible Disappearing Doomsday
    https://harpers.org/archive/2023/04/the-incredible-disappearing-doomsday-climate-catastrophists-new-york-times-

    However jarring it is to compare this [“The Uninhabitable Earth” (2019)] with the rosy picture in “Beyond Catastrophe" (2022), [David] Wallace-Wells is hardly the only journalist whose framing of the climate crisis has transformed in recent years. Where once the climate corps provided weary summations of daunting research, now they offer assurances that progress has been made and the future may be just fine. Given how quickly the tone has shifted, the average news consumer might assume that something fundamental has changed. Perhaps, thanks to all those new solar fields and international summits, a carbon-neutral future is already on the horizon.

    Unfortunately, that is not the case. [...]

    The last time the tone of the conversation changed this drastically, it happened even more abruptly, over the course of a single night in 2016. “Pessimists will find abundant support for despair this morning,” the MIT researcher John Sterman announced the day after Donald Trump’s election. “It is now virtually certain the world will not meet any of its climate targets,” John Abraham wrote in the Guardian. In The Atlantic, Clare Foran called Trump’s victory a “triumph of climate denial.”

    In the decade leading up to that election, the infuriating tendency of outlets to include quotes from fringe climate change skeptics had started to fade, allowing reporters to shed their defensive posture and explain what climate change was actually doing to the planet. During the Obama years, dispatches from Greenland and the Great Barrier Reef took the form of ever more explicit warnings. Once Trump took office, though, those fact-based stories began to alchemize into pseudoscientific visions of catastrophe.

    [...]

    Did the science really change? Or was there simply a shift in how a handful of influential journalists interpreted it?

    [...] “the future envisioned by the IPCC has remained remarkably static,” with the range of possible temperature increases moving from between 2.9 and 6.2 degrees Celsius in 1990 to between 3 and 5.1 degrees Celsius in 2021.

    [...] stories that give readers the misleading impression that things will be just fine are overcorrecting for our prior fatalism, and risk replacing it with complacency. Writers like Wallace-Wells want us to believe that their own doom-peddling has chastened the world into a response that hasn’t actually occurred. The best course for many journalists may be to take a break from narratives and reconnect with the science.

    #climat #journalisme

  • ChatGPT et l’IA générative sont-ils compatibles avec le virage climatique ? - Standblog
    https://www.standblog.org/blog/post/2023/04/17/ChatGPT-et-l-IA-generative-sont-ils-compatibles-avec-le-virage-climatique

    ChatGPT et l’IA générative sont-ils compatibles avec le virage climatique ?

    N’oublions pas le consommation d’eau, en plus de celle d’énergie : Entraîner ChatGPT aurait consommé 700 000 l d’eau. L’utilisation d’une requête ChatGPT nécessiterait 1,5 l d’eau ;

    Vu comment la plupart des entreprises envisagent l’utilisation de l’IA, c’est à dire un usage massif et indiscriminé visant uniquement à la réduction des coûts et l’augmentation de la productivité, on est (encore) très mal barrés sur la question climatique. Une technologie aussi brillante qu’énergivore va donc être utilisée avec entrain pour faire des posts automatisés sur LinkedIn ou générer des images stupides et sans intérêt du type « 2 hommes blancs et un homme de couleur en costard, 2 femmes en tailleur, qui font une réunion et qui sourient bêtement » (tout ça pour pas payer l’abonnement à un service de photos stock).

    #ia #chatgpt #sobriété #climat

  • Édouard Morena : « Les #ultrariches ont la mainmise sur les #politiques_climatiques »
    https://reporterre.net/Edouard-Morena-Les-ultrariches-ont-la-mainmise-sur-les-politiques-climat

    Édouard Morena : « Les ultrariches ont la mainmise sur les politiques climatiques »
    Édouard Morena : « <small class="fine d-inline"> </small>Les ultrariches ont la mainmise sur les politiques climatiques<small class="fine d-inline"> </small> »

    Dans son livre « #Fin_du_monde et #petits_fours », le chercheur Édouard Morena montre comment les #hyper-riches se construisent une image de héros du #climat pour préserver leurs #profits.

    #Jets privés, super-yachts, #évasion dans l’espace : face à l’urgence climatique, les ultrariches et leur mode de vie ont mauvaise presse. Dans son livre Fin du monde et petits fours, à paraître le 9 février, le chercheur en sciences politiques à l’université de Londres, Édouard Morena, montre comment ces élites, au-delà de symboliser la surabondance et l’excès, sont aussi « des acteurs engagés et influents qui délimitent et imposent le champ des possibles de l’action climatique ». Face à la menace, ces grandes fortunes promeuvent le capitalisme vert comme unique issue pour garantir leurs intérêts de classe, au détriment de politiques plus efficaces et socialement justes. Alors : « Fin du monde. Fin du mois. Fin des riches. Même combat », comme l’écrit Édouard Morena ? Reporterre l’a rencontré dans les locaux de son éditeur, La Découverte, dans le 1ᵉʳ arrondissement de Paris.

    Reporterre — Les ultrariches sont de plus en plus considérés comme des « criminels climatiques ». À juste titre ?

    Édouard Morena — Oui, car les faits sont têtus : ce sont les ultrariches qui détruisent la planète. Depuis plusieurs mois, des comptes Twitter suivent les super-yachts et les jets privés de Bernard Arnault (milliardaire et directeur de LVMH) et consort, et des actions de désobéissance civile dénoncent leurs excès. Mais la responsabilité des élites dans la crise climatique ne se limite pas à leurs modes de vie carbonifères ou à certaines attitudes de repli dans des bunkers : ils ont pris la barre du bateau, d’où ils orientent les politiques de transition bas carbone.

    Ce qui distingue les ultrariches du commun des mortels, c’est leurs immenses fortunes. Ils ne les conservent pas sous leurs oreillers mais les investissent dans tout un tas de projets climaticides. L’an dernier, Greenpeace et Oxfam ont révélé que le patrimoine financier de 63 milliardaires français émettait autant de gaz à effet de serre que celui de la moitié de la population française [34 millions de personnes]. Et en même temps, ces centaines de milliards d’euros investis sont exposées aux conséquences du dérèglement climatique, voire aux politiques climatiques, qui peuvent dévaluer leurs actifs. Imaginez un hôtel de luxe en bord de mer à Miami, menacé par la montée des eaux. Il perd de la valeur. Ces détenteurs d’actifs sont donc à la fois « forceurs de climat » et très « vulnérables au climat ».

    Pour préserver leurs fortunes, les ultrariches ont donc compris qu’ils devaient mouiller la chemise et s’engager dans le débat climatique, à la fois pour réduire la menace, mais aussi pour la transformer en nouvelle source de profits. C’est cette dimension-là, peut-être moins visible mais qui pose des problèmes profonds, que j’ai voulu documenter dans Fin du monde et petits fours.

    Dans le livre, vous présentez la « jet-set climatique », un groupe d’ultrariches qui prétendent guider nos sociétés vers un monde bas carbone. Qui sont-ils ?

    C’est une sorte d’avant-garde éclairée de la classe dominante, qui a identifié avant les autres, à partir du début des années 2000, l’intérêt qu’avaient les super-riches à orienter le débat climatique. Plusieurs figures de proue de ce capitalisme climatique sont de riches hommes d’affaires qui ont bâti leurs richesses grâce au développement des nouvelles technologies de l’information et de la communication, ou de la finance privée.

    La #philanthropie_climatique a joué un rôle central dans la diffusion et la normalisation de leur « esprit vert ». Tout comme leurs interventions publiques, savant mélange de constats d’urgence, de critiques du manque d’ambition des États, et de célébrations des forces du marché. À l’image de Jeff Bezos, le fondateur d’Amazon et du Bezos Earth Fund, qui a tenu un discours à la COP26 en 2021, ils n’hésitent pas à personnaliser l’enjeu climatique en mettant en avant leur trajectoire personnelle, à se présenter comme les seuls capables de nous tirer d’affaire.

    https://www.lemonde.fr/idees/article/2023/04/17/edouard-morena-les-ultra-riches-ont-tout-interet-a-orienter-les-politiques-c

  • [Émissions spéciales] Environnement : un #climat d’insurrection
    https://www.radiopanik.org/emissions/emissions-speciales/environnement-un-climat-dinsurrection

    Un débat radio de l’Agence Alter en collaboration avec Bruxelles Nous Appartient.

    À moins d’avoir passé ces vingt dernières années dans une grotte, personne ne peut dire aujourd’hui qu’il/elle n’est pas au courant des menaces écologiques qui planent au-dessus de notre bonne vieille planète. Changement climatique, déforestation, effondrement de la biodiversité, acidification des océans, la coupe est pleine et les effets de l’anthropocène sur la terre sont chaque jour de plus en plus évidents.

    Face à ces événements, les militants environnementaux ont multiplié les manifestations, les actions de sensibilisation. Mais alors que l’horloge tourne et que rien ne semble vraiment bouger, certains s’interrogent. Faudrait-il passer à quelque chose d’autre, quelque chose de plus tranché, de plus radical comme la (...)

    #agence_alter #activisme #bna-bbot #code_rouge #antispécisme #extinction_rebellion #agence_alter,climat,activisme,bna-bbot,code_rouge,antispécisme,extinction_rebellion
    https://www.radiopanik.org/media/sounds/emissions-speciales/environnement-un-climat-dinsurrection_15713__1.mp3

  • #Canada : Une militante écologiste vandalise le bureau du premier ministre justin trudeau La Presse canadienne à Ottawa

    Deux personnes ont été accusées de méfait après qu’une femme eut lancé de la peinture contre l’immeuble abritant le bureau du premier ministre justin trudeau.

    Elle s’était ensuite attachée à l’immeuble. L’homme qui l’avait accompagnée et l’avait filmée avait également été arrêté.

    La police n’a pas confirmé l’identité des deux personnes accusées. Toutefois, un groupe de défense du changement climatique affirme que l’une d’entre elles est celle qui était montée en mars sur scène les seins nus lors du gala des prix Juno.


    On2Ottawa a publié sur son compte Twitter des photos et une vidéo montrant la femme en train de jeter un seau de ce qui semble être de la peinture rose sur l’entrée, puis poser seins nus pour une photo à côté d’une pancarte disant « Exigeons des mesures climatiques maintenant ».

    Casey Hatherly, qui se fait appeler Ever, a attiré l’attention du pays le mois dernier lorsqu’elle est montée sur la scène de la cérémonie des prix Juno pendant que la chanteuse Avril Lavigne faisait une performance.

    Elle était torse nu et les messages écrits sur le haut de son corps comprenaient « land back » et « save the Greenbelt », en référence à la décision prise par l’Ontario l’année dernière de rendre une zone protégée accessible à la construction de logements.

    #activisme #justin_trudeau #rose #trudeau #femmes #climat

    Source : https://www.ledevoir.com/politique/canada/789182/une-militante-ecologiste-vandalise-le-bureau-du-premier-ministre

    • Les Trudeau en vacances chez de riches donateurs de la Fondation Trudeau Daniel Leblanc - Louis Blouin - Radio Canada

      Le premier ministre Justin Trudeau et sa famille ont célébré le Nouvel An avec des membres d’une famille de donateurs à la Fondation Pierre-Elliott-Trudeau lors d’un voyage qui a coûté plus de 160 000 $ aux contribuables, a appris Radio-Canada.
      . . . .

      Voyage coûteux
      Le séjour de la famille Trudeau dans ce petit paradis terrestre a coûté au moins 162 000 $ aux contribuables canadiens, selon des documents déposés en Chambre en réponse à des questions de députés. Cette somme n’inclut pas les coûts liés à l’utilisation de l’avion Challenger de la Défense nationale pour transporter les Trudeau.


      La GRC a engagé plus de 115 000 $ de frais pour assurer la sécurité du premier ministre et de sa famille. Le corps de police fédéral indique d’ailleurs que d’autres coûts qui n’ont pas été comptabilisés pourraient s’ajouter.

      Une somme de plus de 47 000 $ s’ajoute pour couvrir les dépenses des membres d’équipage des Forces armées canadiennes et d’employés du Bureau du Conseil privé.
      . . . . .
      Les vacances du premier ministre ont souvent défrayé la manchette depuis son arrivée au pouvoir, en 2015. Son séjour familial sur l’île de l’Aga Khan en 2016 lui avait valu un blâme du commissaire aux conflits d’intérêts et à l’éthique. Ce voyage avait coûté 215 000 $ aux contribuables canadiens.
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      Plus récemment, le premier ministre a été vivement critiqué pour avoir loué une luxueuse suite à grands frais (6000 $ la nuit) lors de sa participation aux funérailles de la reine Élisabeth II à Londres.
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      Famille #green #corruption #vacances #prévarication piquer dans la #caisse ( comme en le font les élus français ).

      Source : https://ici.radio-canada.ca/nouvelle/1972328/jamaique-voyage-decembre-green-ethique

  • Au Svalbard, une expédition pour sauver la mémoire des glaciers
    https://lejournal.cnrs.fr/articles/au-svalbard-une-expedition-pour-sauver-la-memoire-des-glaciers

    « Nous sommes un peu comme le moine franciscain du Nom de la Rose, Guillaume de Baskerville, qui essaie de sauver quelques ouvrages dans une bibliothèque en feu  », confie Jérôme Chappellaz, président de la Fondation Ice Memory. Celle-ci ambitionne de sauvegarder des carottes des #glaciers du monde entier, qui contiennent la mémoire de l’environnement et des #climats passés. Le sanctuaire Ice Memory sera constitué en 2024-2025, près de la station franco-italienne Concordia, à 1 100 kilomètres à l’intérieur du continent #antarctique.

    Son principe est le suivant : il s’agit, à 3 200 mètres d’altitude, de creuser une cave à 10 mètres de profondeur puis de créer une arche en neige fraisée pour la recouvrir, en vue d’y stocker les carottes de glace du monde entier. « Cette #carothèque pour les générations futures » sera localisée là où l’on trouve «  le meilleur congélateur du monde », assure Jérôme Chappellaz. À la surface, la température moyenne est de -55 °C, n’atteignant que les -20 °C au plus chaud de l’été.

    [...] Alors que l’urgence devient criante de sauvegarder ces archives mondiales en voie de disparition, huit scientifiques s’apprêtent justement à installer leur camp de forage, durant la deuxième quinzaine du mois d’avril 2023, au sommet du glacier Holtedahlfonna, à 1 150 mètres d’altitude dans l’archipel norvégien du #Svalbard, à 40 kilomètres du village scientifique international Ny-Ålesund.

    [...] Avec le programme Sentinel, qui vise in fine à étudier l’impact de la disparition de la banquise sur les cycles climatiques et biogéochimiques de l’Atlantique Nord supérieur, les chercheurs n’étudient plus seulement les bulles d’air. Ils ont développé au cours des dix dernières années de nouvelles techniques d’investigation, notamment le séquençage du génome des micro-organismes de la glace, pour mieux comprendre comment ces #micro-organismes sont liés aux changements des conditions environnementales et comment ils peuvent être utilisés comme sentinelles pour mesurer l’impact de ces changements.

    #ice_core_science

  • Black Trail (2011)
    https://vimeo.com/543693909


    A propos de la pollution par le transport maritime et les bateaux croisière. Vidéo documentaire en anglais.

    How to kill the planet and get away with it. An investigative documentary into shipping emissions.

    Black Trail is an agenda-setting collaborative investigation into the environmental impacts of the shipping industry — a sector that is all but untouchable as it receives eye-watering subsidies and stashes its profits in tax havens, all the while polluting with impunity.

    This collaboration brings together journalists from newsrooms and TV networks across Europe, including Expresso and SIC TV (Portugal), The Black Sea (Eastern Europe), Reporters United (Greece), VG (Norway) and RTS (Switzerland), with research and reporting support from Financed Uncovered (UK).

    The cross-border team focuses on how the shipping industry has “captured” the International Maritime Organization, the UN agency that has, since 1948, been the only body charged with regulating the emissions of greenhouse gases and pollutants produced by ships.

    Although the shipping industry insists that it carries 90 percent of global freight yet is responsible for less than three percent of carbon dioxide emissions, the investigation exposes a darker — and deadlier — reality.

    It shows how the sector has dodged the climate debate as it continues to burn the dirtiest of all transport fuels. Ship emissions are responsible for more than 50,000 deaths a year in Europe as particles like black carbon drive up cancer rates in Mediterranean port cities.

    Meanwhile, the same emissions are contributing to climate change as they speed up the melting of Arctic icecaps.

    At the core of the project is a story of urgency. The journalists combined painstaking research with an obsessive quest to confront those who have the actual power to change climate policy. The team also strove to bring together clashing narratives by those in power and a new generation of activists who are willing to challenge the status quo.

    Fieldwork for the project stretched from the Arctic Circle to the Aegean, via the Black Sea and the major transport hubs of Europe.

    AUTHOR
    Micael Pereira

    PRODUCED BY
    Zeynep Sentek
    Craig Shaw
    Micael Pereira

    ASSOCIATE PRODUCER
    Nikolas Leontopoulos

    EDITOR
    Marco Carrasqueira

    REPORTERS
    Myrto Boutsi
    Julien Chiffelle
    Runa Engen
    Margot Gibbs
    Nikolas Leontopoulos
    Micael Pereira
    Giulio Rubino
    Zeynep Sentek
    Craig Shaw

    CAMERAS
    João Lúcio
    Julien Chiffelle
    Kristoffer Kumar
    David Langan
    Christos Kodellas (drone)

    ANIMATIONS
    Alexia Barakou

    ANIMATIONS SOUND DESIGN
    Aris Athanasopoulos

    GRAPHICS
    Sérgio Maduro

    COLORIST
    Carlos Isaac

    SOUND MIX
    Edgar Keats

    SUBTITLES
    Spell

    FOR EIC (EUROPEAN INVESTIGATIVE COLLABORATIONS) NETWORK

    COORDINATOR
    Stefan Candea

    FOR EXPRESSO

    EDITOR IN CHIEF
    João Vieira Pereira

    DEPUTY EDITOR IN CHIEF
    Paula Santos

    DIGITAL COORDINATOR
    Joana Beleza

    FOR THE BLACK SEA

    MANAGING EDITOR
    Zeynep Sentek

    INVESTIGATIONS EDITOR
    Craig Shaw

    EDITOR & FACT-CHECKER
    Himanshu Ohja

    FOR SIC TV

    EDITOR IN CHIEF
    Ricardo Costa

    DEPUTY EDITOR IN CHIEF
    Marta Brito dos Reis

    PRODUCER
    Mónica Pinto

    FOR REPORTERS UNITED

    Thodoris Chondrogiannos
    Christoforos Kasdaglis
    Stavros Malichudis

    ARCHIVAL MATERIALS
    AFP
    Reuters
    SIC TV

    This investigation was supported by grants from the Investigative Journalism for Europe (IJ4EU) fund and Journalismfund.eu

    A European Investigative Collaborations (EIC Network) documentary produced by Expresso, The Black Sea, SIC TV, and Reporters United, in co-production with RTS and VG. Finance Uncovered contributed to reporting and research.

    #climat #pollution #armateurs

  • En 1989, Shell savait que ses activités mèneraient au chaos climatique | Mediapart
    https://www.mediapart.fr/journal/ecologie/140423/en-1989-shell-savait-que-ses-activites-meneraient-au-chaos-climatique

    Ce qui frappe toutefois à la lecture de « Scénarios 1989-2010 », c’est sa clairvoyance et sa description précise des impacts du climat si les groupes énergétiques perpétuaient leurs activités fossiles.

    Pour le scénario intitulé « Mercantilisme global », Shell prédit des conditions météorologiques « plus violentes – plus de tempêtes, plus de sécheresses, plus de déluges », mais aussi que « le niveau moyen de la mer augmenterait d’au moins 30 cm » et que « les modèles agricoles seraient radicalement modifiés ».

    Le pétrolier indique par ailleurs qu’une modification « modérée » du régime des précipitations perturberait « les écosystèmes, et de nombreuses espèces d’arbres, de plantes, d’animaux et d’insectes qui ne seraient pas en mesure de se déplacer et de s’adapter ».

    Pour terminer, Shell avertit que les dérèglements climatiques dans un monde dépassant les + 1,5 °C de réchauffement auraient des impacts sans précédent sur les humains, citant les réfugié·es climatiques à venir, l’avènement de nouveaux conflits. Avant de conclure : « La civilisation pourrait s’avérer fragile. »

    Le groupe industriel indique que le scénario « Monde durable », qui atténue le recours aux énergies fossiles, est celui « d’une société qui choisit de flécher certains investissements dans la protection de l’environnement pour faire face à cette éventualité ».

    https://s3.documentcloud.org/documents/23776891/1989-oct-confidential-shell-group-planning-scenarios-1989-2010-cha

  • #Etats-Unis : la Maison Blanche approuve le très controversé projet Willow, une exploitation pétrolière dans l’Alaska
    https://www.francetvinfo.fr/monde/usa/etats-unis-l-administration-biden-approuve-le-projet-willow-une-exploit

    Les défenseurs du projet Willow y voient une source d’emplois, et une contribution à l’indépendance énergétique des Etats-Unis. Mais les associations environnementales dénoncent, elles, une catastrophe pour le #climat. « Willow va être l’une des exploitations de pétrole et de gaz les plus grandes sur des terres fédérales publiques dans le pays », a réagi lundi l’organisation environnementale Sierra Club. « La pollution carbone qu’il va relâcher dans l’air aura des effets dévastateurs pour nos populations, la vie sauvage et le climat. Nous allons en subir les conséquences pour les décennies à venir. »

    Depuis des jours, une vague de vidéos d’opposition au projet avait notamment déferlé sur le réseau social TikTok, et une pétition en ligne avait recueilli plus de 3,2 millions de signatures. La bataille autour du projet Willow dure depuis des années. Il avait initialement été approuvé par l’administration Trump, avant d’être temporairement stoppé en 2021 par un juge, qui l’avait renvoyé à un nouvel examen du gouvernement.

  • 🌍 Qui sont les vrais terroristes de l’environnement ? - Basta !

    Gérald Darmanin accuse les Soulèvements de la Terre d’« écoterrorisme » et veut créer une cellule anti-Zad. Mais les terroristes de l’environnement ne seraient-ils pas plutôt ceux qui détruisent ce que les activistes veulent protéger ? (...)

    🛑 💧💦🌳🔥🌍 #écologie #anticapitalisme #environnement #eau #SainteSoline #mégabassine #inondation #sécheresse #FeuxDeForet #climat #déforestation #pollution #productivisme #consumérisme #croissancisme #dérèglementclimatique #canicule... #ViolencesPolicières

    ⏩ Lire l’article complet…

    ▶️ https://basta.media/qui-sont-les-veritables-terroristes-de-l-environnement-ecoterroristes-Darma