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#clochard

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    CDB_77 @cdb_77 17/01/2019
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    #Clochard

    Definizione

    clochard è un termine francese, derivato del verbo clocher «zoppicare». Nel linguaggio giornalistico viene usato al posto di «barbone, mendicante, vagabondo». (Treccani)

    Uso del termine

    Paolo Pezzana, presidente Fio.PSD (Federazione italiana organismi per le persone senza dimora) invita a non usare mai questa parola, frequente come sinonimo di persona senza dimora. “La ritengo categoricamente una mistificazione – spiega Pezzana – clochard viene usato per ingentilire e suggerisce lo stereotipo di vivere sotto i ponti per scelta romantica. La realtà è che molti si adattano in negativo alla situazione che vivono. Persone che si trovano sulla strada si raccontano e raccontano agli altri che dietro ci sia una scelta. Ma è una strategia di sopravvivenza per poter resistere in una situazione di forte disagio, per mantenere quel minimo di autostima che ti consente di non annientarti in una situazione in cui socialmente sei già stato annientato”. Tra scelta e adattamento negativo c’è una bella differenza. Tutti vorrebbero un’alternativa.

    Il ’clochard’, mutuato dal francese, porta con sé un’accentuazione romantica. Viene usata per ingentilire, ricorda figure ottocentesche da romanzo. «Siamo dentro lo stereotipo e in più a clochard si tende ad affiancare l’idea della scelta un po’ boheme, questa roba non esiste. Non ho mai conosciuto in 15 anni che sono andati sotto i ponti per scelta» afferma Pezzana.

    Tra i termini francesi, il presidente Fio.PSD suggerisce come espressione migliore, adottata ufficialmente con un atto del presidente della Repubblica, “#sans_chez_soi”, senza casa propria, che è ancora più adeguato del termine dimora.

    Alternative consigliate

    Le persone #senza_dimora vivono un disagio complesso, non dettato da una “scelta di libertà” (contrariamente a quanto spesso si crede), ma da acuta sofferenza e rottura radicale rispetto alle reti sociali. Per questo la parola clochard va sostituita con ’#persona_senza_dimora' che è la traduzione italiana per homeless.

    ▻http://www.parlarecivile.it/argomenti/povert%C3%A0-ed-emarginazione/clochard.aspx
    #terminologie #SDF #sans-abri #vocabulaire #mots #stéréotypes #préjugés

    CDB_77 @cdb_77
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  • @bce_106_6
    Renée Pélagy @bce_106_6 13/08/2018
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    Si vous allez à San Francisco, vous y verrez des seringues et de la merde (par Nicolas Casaux)
    ▻http://partage-le.com/2018/07/si-vous-allez-a-san-francisco-vous-y-verrez-des-seringues-et-de-la-merde

    (Revue de presse Les Crises : ►https://www.les-crises.fr/revue-de-presse-du-12-08-2018 )

    La ville de San Francisco est régulièrement promue dans les médias de masse comme un modèle de gestion écologique des déchets pour son taux de recyclage de 80%. En France, le film documentaire #Demain, réalisé par #Mélanie_Laurent et #Cyril_Dion, a beaucoup participé à la diffusion de cette idée. Partout où il passe, Cyril Dion brandit le cas de San Francisco comme une preuve de ce qu’il est possible de rendre une ville écolo-durable (« L’exemple le plus impressionnant, que nous présentons dans le film, est celui de la ville de San Francisco qui recycle 80 % de ses déchets »). Si seulement.

    Affirmer que San Francisco est un modèle de ville durable est une sacrée performance. Ou peut-être est-ce au contraire d’une simplicité confondante : il suffit de répéter cette affirmation sans l’étudier, sans aucun esprit critique. En creusant un peu, on réalise rapidement qu’elle se base sur un certain nombre d’absurdités. À commencer par le fait que le taux de 80% est une arnaque comptable[1]. La ville comptabilise en effet dans son calcul du taux de déchets recyclés, entre autres bizarreries, les déchets du bâtiment et des travaux publics. Ce qu’aucune ville ne fait[2]. Sans ce tour de passe-passe, le taux de recyclage de la ville serait plutôt de l’ordre de 60%. Au passage, on notera que Recology, l’entreprise chargée de la gestion des déchets de la ville, a été condamnée à payer 1,3 million de dollars en 2014 pour des pratiques frauduleuses. Mais cette arnaque comptable n’est rien au regard de ce qui suit.

    La ville de San Francisco (870 000 habitants) produit chaque année toujours plus de déchets, en 2013 elle en a produit plus de 2 millions de tonnes, quand la communauté urbaine Marseille Provence Métropole (plus d’un million d’habitants) n’en produisait que 653 226 tonnes. Un modèle. La ville de San Francisco génère chaque jour environ 1 200 tonnes[3] de déchets non recyclables et non compostables qui sont enfouies sous terre. Un modèle.

    En outre, ce qu’ils (les gouvernements, les entreprises et les médias de masse) qualifient de #recyclage n’a rien d’écologique. Le traitement des déchets se fait toujours loin hors de la ville, dans des usines énergivores (sauf pour le bois/papier qu’ils brûlent en usine de biomasse, une autre catastrophe écologique). Dans le film Demain, on ne voit que la part des déchets qui est compostée, et c’est tout. Sachant que les déchets compostés constituent la part la moins importante des déchets collectés dans la ville. Ce qu’ils n’expliquent pas dans le documentaire, c’est qu’une grande partie des déchets (métaux, plastiques, etc.), uniquement triée, est exportée et disséminée à travers le globe, jusqu’en Chine, aux Philippines et au Vietnam — d’ailleurs, depuis que la Chine a restreint ses importations de déchets en 2017, #Recology se retrouve face à un problème relativement gênant, celui de trouver comment écouler les tonnes d’ordures qu’elle expédiait habituellement vers l’empire du Milieu. C’est-à-dire que ces déchets produits par les San-Franciscains sont compressés en balles en usine puis expédiés à l’autre bout du monde pour être recyclés — sachant que le recyclage n’est pas une véritable solution, d’abord parce que le recyclage infini est un mythe[4], ensuite parce que le recyclage du plastique est particulièrement inefficace[5], et enfin et surtout parce que le recyclage, dans le cadre d’une société industrielle capitaliste de croissance, ne résout aucun des problèmes fondamentaux qu’elle implique (de #surconsommation de ressources, y compris énergétiques, de pollutions en tous genres, d’étalement urbain, de croissance démographique, etc., etc.).

    Récapitulons. Ce qu’ils nous présentent comme un #modèle de vertu écologique, de durabilité, c’est une ville dont la production de déchets par personne, relativement élevée, ne cesse de croître, et dont la gestion de ces #déchets consiste à en enfouir une partie, à en expédier une autre en Chine et ailleurs, et à en brûler une partie en incinérateur  ; c’est aussi une ville qui trafique ses calculs de taux de recyclage. Un modèle.

    Mais nous ne devrions pas avoir besoin de discuter ainsi de la soi-disant #durabilité d’une ville comme San Francisco. Comme toutes les grandes métropoles du monde, San Francisco dépend directement de l’ensemble des infrastructures et des pratiques toutes plus insoutenables les unes que les autres de la civilisation industrielle. Il faut une sacrée dose d’ignorance historique et écologique pour ne pas comprendre que l’urbanisation de la baie de San Francisco a dramatiquement ravagé ce qui était jusqu’à il y a moins de 300 ans un écosystème sain (non pollué) et plein de vie. Où sont passés les condors de Californie, les wapitis, les ours, les loups et ainsi de suite, qui pullulaient dans la baie  ? Les conséquences du développement de la civilisation industrielle dans la baie de San Francisco rappellent les conséquences de son développement partout sur la planète : extermination et disparition de nombreuses espèces vivantes, pollution des eaux (aujourd’hui, on retrouve un peu de tout dans les eaux de San Francisco, du mercure, des résidus de médicaments en tous genres, des huiles de moteur usagées, des déchets plastiques, et ainsi de suite  ; cinq des plages les plus polluées de Californie se trouvent dans la baie, qui ne cesse de s’acidifier), pollution de l’air (en ce moment, la qualité de l’air dans la baie n’est pas loin d’être la pire de tous les États-Unis[6]), etc.

    Leur manière de mesurer la qualité écologique de la ville — et d’une ville en générale — est grotesque. Comme si on pouvait se contenter de statistiques concernant le « recyclage » des déchets produits par une ville pour l’estimer. Comme si on pouvait occulter les nombreux impacts environnementaux (sans parler des impacts sociaux), entre autres choses, de la production mondialisée des appareils électroniques les plus couramment utilisés par les San-Franciscains — iPods, iPads, iPhones, Google Glass… — ou de leurs voitures, réfrigérateurs, téléviseurs, ou de leur nourriture, ou de la construction des infrastructures qu’ils utilisent et des bâtiments dans lesquels ils vivent, et ainsi de suite. Si toutes ces choses étaient prises en compte, on s’apercevrait immédiatement de l’insoutenabilité totale de la civilisation industrielle et de son mode de vie. Mais elles ne le sont pas, évidemment, propagande oblige.

    Et comment ne pas parler des inégalités sociales  ? San Francisco est une des villes les plus chères des USA. La gentrification en cours n’a pour cesse d’épurer la ville de ses habitants les plus pauvres[7] :

    « La ville de San Francisco connaît un processus de #gentrification d’une violence sans commune mesure avec ce que l’on peut constater en France. On l’a longtemps appelé embourgeoisement, ou changement urbain dans le contexte de la recherche académique française, sans pour autant y mettre les significations que contient le terme anglo-saxon. Il faut pourtant être clair : il est bien question ici de processus similaires dans leurs conséquences, bien que la rapidité à laquelle ils se produisent diffère, ou que leur visibilité ne permette pas de les identifier aussi facilement. »

    Et comment ne pas voir toute la folie et l’inhumanité de la civilisation industrielle dans le fait que la ville ne parvient toujours pas à gérer les problèmes qui découlent de la présence des nombreux #sans-abri, souvent atteints de troubles psychiatriques, qui errent dans ses rues, résultat des politiques calamiteuses des gouvernements qui se sont succédé et symptôme du mal-être qui ronge la modernité  ? On estime qu’ils sont 7 500 à vivre dehors sur une population totale de 870 000 habitants (presque 1% de la population). Très récemment, la nouvelle maire de San Francisco, London Breed, dans une des premières interviews[8] qu’elle a accordées depuis son entrée en fonction, a expliqué qu’il y avait « plus d’excréments sur les trottoirs » que jamais, et qu’on « ne parle pas que de crottes de chiens, mais de matières fécales humaines ». Au cours des six premiers mois de l’année 2018, plus de 16 000 plaintes concernant des « excréments » ont été déposées auprès des autorités de la ville. La présence de déchets en tous genres, y compris de seringues, est actuellement un véritable problème pour la municipalité. Ainsi que l’explique le San Francisco Chronicle dans un article[9] intitulé « Pourquoi San Francisco fait face à un déluge de seringues » : « La ville de San Francisco distribue plus de seringues gratuites aux toxicomanes — 400 000 par mois, un chiffre qui ne cesse de croître — que la ville de New York, dix fois plus peuplée ». La consommation de drogue en public est un problème croissant dans toute la ville. Des habitants se plaignent, entre autres, de « devoir enjamber des gens qui s’injectent de l’héroïne dans les stations de métro ».

    ▻https://www.youtube.com/watch?time_continue=1&v=HWdurZWys4I

    Ainsi que l’a récemment titré[10] le Business Insider, « Le centre-ville de San Francisco est davantage jonché de seringues, de déchets et d’excréments que certains des plus pauvres bidonvilles du monde ». Dans l’article, on apprend notamment que « la contamination de certains quartiers de San Francisco est pire que celle de certains endroits du Brésil, du Kenya ou de l’Inde ». Un modèle.

    Je me suis promené dans les rues de San Francisco. Je ne connaissais pas grand-chose de l’histoire de la ville. J’ai été stupéfait par le nombre de #clochards, de #toxicomanes et de malades mentaux qu’on y rencontre. Parfois au pied d’immeubles de luxe réservés aux super-riches, ou devant les bureaux d’#Uber, de #Microsoft, ou de #Twitter. J’ai vu les gratte-ciels, ces manifestations délirantes de l’hubris de la société industrielle, dont les constructions sont autant de désastres écologiques. Les travaux incessants qui font de toutes les villes d’interminables chantiers. Les magasins de luxe de l’#hypercapitalisme actuel. Les businessmen pressés — de faire du profit, toujours plus, en exploitant les hommes et en détruisant la planète, toujours plus — qui ignorent machinalement tous les clochards qu’ils croisent lors de leur jogging matinal. Je n’ai pas vu « des gens doux et gentils, le long des rues de San Francisco », me parler de fleurs et devenir mes amis. Je n’ai pas vu de fleurs dans les cheveux mais des oreillettes Bluetooth et des smartphones dans les mains. Bref, j’y ai vu la démence commune de la modernité.

    Il n’y a rien de #durable à #San_Francisco. Comme beaucoup d’autres, cette ville incarne précisément l’insoutenabilité, l’iniquité et la folie qui gangrènent la civilisation industrielle. Ceux qui se servent de son cas pour suggérer qu’on pourrait la rendre durable ou écologique sont les idiots utiles du #capitalisme_vert. C’est l’évidence même. Ceux qui ne le comprennent (toujours) pas aujourd’hui ne manqueront pas de le constater d’ici quelques années.

    Renée Pélagy @bce_106_6
    • @bce_106_6
      Renée Pélagy @bce_106_6 14/08/2018

       #smart_city #guerre_aux_pauvres

      Renée Pélagy @bce_106_6
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  • @cdb_77
    CDB_77 @cdb_77 23/08/2017
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    @02myseenthis01
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    Roma. Le notti in strada dei profughi (in regola) sgomberati. «Dove andremo?» (VIDEO)

    L’operazione di sgombero compiuta senza predisporre ricoveri alternativi. Molti bambini e diversi anziani invalidi. Sono tutte persone accolte in Italia come rifugiati e con i documenti

    https://www.avvenire.it/c//2017/PublishingImages/060a456e7a2c4bd3b1e84a4e38fd305d/s1.jpg?width=620#.jpg

    ▻https://www.avvenire.it/attualita/pagine/roma-le-notti-in-strada-dei-profughi-le-ong-a-comune-e-governo-serve-soluzi
    #logement #hébergement #asile #migrations #réfugiés #SDF #sans-abri #Rome #vidéo #clochardisation #expulsion

    Lien vers la vidéo:
    ▻https://www.youtube.com/watch?v=3_uudBfC8Zo

    CDB_77 @cdb_77
    • @cdb_77
      CDB_77 @cdb_77 25/08/2017

      Sgombero Roma. La donna ferita: «Violenza gratuita su persone indifese»

      Dall’ospedale parla Gemma Vecchio. “Ho visto il getto d’acqua, poi più niente. Non so perché abbiano azionato l’idrante, in piazza erano rimaste solo le donne”. Ha il naso rotto e diversi dolori. “Quello che è successo ieri, non deve succedere mai più”

      http://cds.redattoresociale.it/File/Foto/592992#.jpg

      ▻http://www.redattoresociale.it/Notiziario/Articolo/544258/Sgombero-Roma-La-donna-ferita-Violenza-gratuita-su-persone-indifese
      #violence #violences_policières

      CDB_77 @cdb_77
    • @cdb_77
      CDB_77 @cdb_77 28/08/2017

      Italian PM holds talks on migration after mass protest over Rome eviction

      Prime minister to meet European and African leaders as clashes expose growing hostility towards new arrivals in Italy

      https://i.guim.co.uk/img/media/498978c70adbc2eafc32ce5bc99ee00e10ff7ea5/0_203_3072_1844/master/3072.jpg?w=620&q=20&auto=format&usm=12&fit=max&dpr=2&s=58ba54f5ed6d8087e5190e6aee463cb0#.jpg

      ▻https://www.theguardian.com/world/2017/aug/28/italian-pm-holds-talks-on-migration-after-mass-protest-over-rome-evicti

      #évacuation

      CDB_77 @cdb_77
    • @cdb_77
      CDB_77 @cdb_77 31/08/2017

      Violent evictions of refugees in Rome reveal inhumanity of modern democracy

      “If they throw something, break their arm,” a police officer was overhead on video saying to anti-riot police on August 24 who were running after refugees and migrants near Rome’s central train station. The migrants were gathering there after police violently removed a group who had been occupying the city’s Piazza Indipendenza. Five days earlier, when around 800 Eritrean and Ethiopian migrants and refugees were forcibly evicted from a nearby squat on via Curtatone, some emptied out into the piazza with all their belongings and occupied it.

      https://cdn.theconversation.com/files/183749/width926/file-20170829-10421-1gvyupu.jpg

      ▻https://theconversation.com/violent-evictions-of-refugees-in-rome-reveal-inhumanity-of-modern-d

      Avec cette vidéo:
      ▻https://www.youtube.com/watch?v=8TJB0V2na50

      CDB_77 @cdb_77
    • @cdb_77
      CDB_77 @cdb_77 1/09/2017

      Migranti. Roma specchio di un’Italia che si scopre sempre più insofferente. E intollerante

      “Non creiamo opposte fazioni”, dice il responsabile della Croce Rossa del centro di accoglienza al Tiburtino III a Roma dopo la rissa tra un immigrato eritreo e una donna del quartiere che rischia di sfociare in un accoltellamento. E la Capitale d’Italia diventa specchio di un paese che si scopre sempre più insofferente verso chiunque abbia un colore di pelle diverso dal bianco.

      ▻https://www.articolo21.org/2017/08/migranti-roma-specchio-di-unitalia-che-si-scopre-sempre-piu-insofferente

      CDB_77 @cdb_77
    • @cdb_77
      CDB_77 @cdb_77 1/09/2017

      Storie di sgomberi e colonialismo in #piazza_Indipendenza a Roma

      Quindi, nonostante le brutture del colonialismo, l’Italia e il Corno d’Africa rimasero in qualche modo in una relazione ambigua. Perché anche se il colonialismo era finito, non era terminato il modo coloniale di relazionarsi. Gli italiani in quei paesi (ci andavano per lavoro) facevano sempre i padroni, insidiavano sempre le donne – “le #belle_abbissine”, “le #faccette_nere” – e andavano a caccia, fingendosi un po’ dei vecchi coloni. Dall’altro lato somali ed eritrei (e in misura molto minore gli etiopici) sognavano quell’Italia di cui conoscevano a memoria tutte le canzoni.

      https://media.internazionale.it/images/2017/08/29/139071-md.jpg

      ►https://www.internazionale.it/opinione/igiaba-scego/2017/08/31/piazza-indipendenza-sgombero-colonialismo

      #histoire #colonialisme #Corne_d'Afrique #colonisation #Italie #Ethiopie #Erythrée #Somalie #Ahmed_Ali_Giama #Giacomo_Valent #racisme #xénophobie

      Dans cet article on parle du livre
      Il latte è buono

      http://www.cosmoiannone.it/wp-content/uploads/2016/11/il-latte-e-buono-ianonne-editore.jpg

      ▻http://www.cosmoiannone.it/prodotto/il-latte-e-buono

      On parle aussi de #mémoire et de #toponymie :

      #Piazza_dei_Cinquecento, la piazza della stazione, è dedicata ai caduti italiani della battaglia di #Dogali, una delle più grandi sconfitte militari che l’Italia abbia subìto in Africa insieme alla battaglia di Adua. Una sconfitta militare che costò caro all’Italia in termini di caduti e di consenso nel paese. Su Dogali gli italiani si divisero e molti si chiesero come mai proprio loro che si erano liberati da poco dal giogo coloniale austriaco ora volevano far subire la stessa sorte a degli africani che nemmeno conoscevano e con cui non c’era nessuna inimicizia.

      http://i.imgur.com/rRluEJg.png

      #stele_di_Dogali #toponymie_politique

      A mettre en lien avec le #film passé sur arte :
      #Colonies_fascistes :
      ►https://www.arte.tv/fr/videos/057865-000-A/colonies-fascistes
      ▻http://seen.li/dewu

      CDB_77 @cdb_77
    • @cdb_77
      CDB_77 @cdb_77 1/09/2017

      Le speculazioni immobiliari di #Idea-Fimit dietro allo sgombero e alle violenze di piazza Indipendenza

      Una delle più importanti Sgr (società di gestione del risparmio) immobiliari italiane che vuole cacciare centinaia di richiedenti asilo da uno stabile di sua proprietà nel centro di Roma; una Sgr (la stessa) che vuole accogliere quanti più migranti possibile in un complesso di sua proprietà fuori Roma; una società di gestione immobiliare che affitta un palazzo occupato da anni.

      ▻https://it.businessinsider.com/le-speculazioni-immobiliari-di-idea-fimit-dietro-allo-sgombero-e
      #spéculation #spéculation_immobilière

      CDB_77 @cdb_77
    • @cdb_77
      CDB_77 @cdb_77 3/09/2017

      Che fine hanno fatto i rifugiati di piazza Indipendenza?

      Si appoggia a una stampella per camminare, zoppica ma non ha perso la sua determinazione. Quando Gemma Vecchio – sessant’anni, occhi verdi e foulard colorato intorno alla testa – arriva davanti a palazzo Valentini, sede della prefettura di Roma, un gruppo di ragazzi eritrei le corre incontro. “Come stai Mamma Africa?”, “Grazie Mamma Africa”, le dicono.

      https://media.internazionale.it/images/2017/08/29/139083-md.jpg

      ▻https://www.internazionale.it/bloc-notes/annalisa-camilli/2017/08/30/rifugiati-piazza-indipendenza-presidio

      CDB_77 @cdb_77
    • @cdb_77
      CDB_77 @cdb_77 4/09/2017

      Asyl und obdachlos in Rom

      Italien bietet Geflüchteten nicht automatisch Wohnraum. Die Räumung eines Gebäudes entzweit die Gesellschaft und politische Institutionen.

      https://www.taz.de/picture/2235820/624/18981777.jpeg

      ▻https://www.taz.de/!5441085

      CDB_77 @cdb_77
    • @cdb_77
      CDB_77 @cdb_77 6/09/2017

      In Rome, Violent Eviction of Migrants ‘Touched a Nerve’

      ROME — The gardens by #Piazza_Venezia in the middle of Rome are normally used as a rest stop by tired tourists. In recent weeks, they have instead become home to weary asylum seekers, evicted from a building in Rome that they had illegally occupied for years.

      https://static01.nyt.com/images/2017/09/05/world/05migrants/05migrants4-master768.jpg

      ▻https://www.nytimes.com/2017/09/04/world/europe/italy-rome-migrants-eviction.html?module=WatchingPortal&region=c-column-middle-span-region&pgType=Homepage&action=click&mediaId=thumb_square&state=standard&contentPlacement=4&version=internal&contentCollection=www.nytimes.com&contentId=https://www.nytimes.com/2017/09/04/world/europe/italy-rome-migrants-eviction.html&eventName=Watching-article-click

      CDB_77 @cdb_77
    • @cdb_77
      CDB_77 @cdb_77 7/09/2017

      Roma: unica capitale in Europa senza piano accoglienza

      Roma continua ad essere l’unica capitale europea a non avere un piano di accoglienza ufficiale per i migranti. Dalla spianata dove Baobab Experience da una parte subisce continui sgomberi e dall’altra fa da punto di riferimento alla Sala operativa del Comune, fino al centro di Intersos per i minori soli; dal centro della Croce Rossa la cui convenzione col Comune scade ogni sei mesi, fino alla scoperta delle centinaia di persone che vivevano abbandonate in via Vannina; e dai falsi allarmi ai numeri reali degli arrivi, fino ai tentativi abortiti di allestire un hub ufficiale, alle risposte di Ferrovie dello Stato e al silenzio del Comune - Eleonora Camilli ha mappato per noi la situazione di Roma Capitale.

      http://openmigration.org/wp-content/uploads/2017/08/PST8018-1024x683.jpg http://openmigration.org/wp-content/uploads/2017/08/PST8077-1024x683.jpg

      ►http://openmigration.org/analisi/roma-unica-capitale-in-europa-senza-piano-accoglienza

      Ce texte a été traduit en anglais, ici:
      Where is my home? A journey through refugees housing occupations in Rome
      ▻http://openmigration.org/en/analyses/where-is-my-home-a-journey-through-refugees-housing-occupations-in-ro

      CDB_77 @cdb_77
    • @cdb_77
      CDB_77 @cdb_77 30/09/2017

      Aurora Massa : HOMEMAKING OF ERITREANS AND ETHIOPIANS AFTER EVICTION IN ROME

      SPATIAL COMPRESSION AND SPATIAL DISPERSION : THE HOMEMAKING OF ERITREANS AND ETHIOPIANS AFTER THE AUGUST EVICTION IN ROME

      https://erchoming.files.wordpress.com/2017/09/am02.jpg

      ▻http://homing.soc.unitn.it/2017/09/29/aurora-massa-homemaking-of-eritreans-and-ethiopians-after-eviction-

      CDB_77 @cdb_77
    • @cdb_77
      CDB_77 @cdb_77 13/11/2017

      No home for refugees in Rome

      The doors of the hulking building on the corner of Via Curtatone and Piazza Indipendenza are now shut; the handles lashed together with heavy chains and secured by padlocks. At the front entrance, a brief walk from Rome’s main train station, three plain-clothed security officers stand guard at metal barricades and follow the movement of passersby from behind dark sunglasses. Without speaking a word, their message is clear: This building is off limits.

      https://assets.irinnews.org/s3fs-public/styles/responsive_large/public/piazza_indipendenza_1.jpg?wHC9pY0sors6evbvjpTjCbm34LEl5uzx&itok=nNhgVK1H#.jpg

      ▻https://www.irinnews.org/special-report/2017/11/10/no-home-refugees-rome

      CDB_77 @cdb_77
    • @cdb_77
      CDB_77 @cdb_77 19/12/2017

      There is no home – tales from the refugees who used to live on #Via_Curtatone

      The evacuated building on Via Curtatone in Rome is now protected by a barbed wire fence. The homeless refugees are scattered throughout the city, having left behind many of their possessions. Eleonora Camilli has been with them since day one, through multiple evictions and sit-ins, and has gathered oral testimonies from Mediha, Aster, and Biniam.

      ▻http://openmigration.org/en/analyses/there-is-no-home-tales-from-the-refugees-who-used-to-live-on-via-curtatone/?platform=hootsuite
      #évacuation

      CDB_77 @cdb_77
    • @cdb_77
      CDB_77 @cdb_77 27/03/2018

      Sgombero #Curtatone, scade l’ospitalità nei centri. «Persone di nuovo in strada»

      Finiscono i sei mesi di accoglienza temporanea nei centri del Comune di Roma per gli sgomberati di #via_Curtatone. “Non sappiamo dove andare” spiegano i rifugiati. Le associazioni: “Scandaloso, in quei giorni si parlò di un percorso di accoglienza, ora si svela che non c’era niente”

      ▻http://www.agenzia.redattoresociale.it/Notiziario/Articolo/571053/Sgombero-Curtatone-scade-l-ospitalita-nei-centri-Persone-di

      CDB_77 @cdb_77
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  • @kaparia
    kaparia @kaparia 26/03/2017
    6
    @kaparia
    @bce_106_6
    @vanderling
    @suske
    @maieul
    @marielle
    6

    Un collectif bruxellois « pour une ville inclusive et hospitalière » déboulonne les grilles anti-SDF.

    Nous, citoyens bruxellois, nous insurgeons contre des politiques qui prétendent répondre à la détresse des personnes à la rue par la mise en place de grillages, barbelés ou murs.

    #Bruxelles #solidarité #action_directe #SDF #hospitalité #belgique #collectif #action

    ▻http://www.zintv.org/Action-demontage-de-grilles-anti

    kaparia @kaparia
    • @vanderling
      Vanderling @vanderling 28/03/2017

      ►https://seenthis.net/messages/550081

      http://www.theatredurondpoint.fr/wp-content/uploads/2016/04/27_MAL-DORMI_Q-2000x1891.png

      Ne pas sombrer. Être, tout de même.

      #Patrick_Declerck, ethnologue, s’habille en #clochard, se fait ramasser dans #la_rue, pour pouvoir raconter le quotidien des SDF et la vie en centre d’accueil. La compagnie Coup de Poker signe un spectacle militant, portrait d’un bout d’humanité avec sa maladie et sa folie.

      ▻http://www.theatredurondpoint.fr/spectacle/on-a-fort-mal-dormi
      #théatre

      Vanderling @vanderling
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  • @vanderling
    Vanderling @vanderling 10/11/2016

    A Mende pour le festival des arts de la rue, “48 ème de Rue”, l’affiche de Maxime Bonicel et Jacques Chaumard représentait un clochard mangeant une part de gâteau, une coupe de champagne devant lui et disant "10 ans de rue, j’en redemande". Eh bien, cela n’a pas plu aux #clochards de la capitale lozérienne. L’un d’eux, Kik , a protesté contre ce "cliché du clochard " qu’il a trouvé " d’un goût douteux " et l’a fait savoir. Du coup il a créé une #contre-affiche disant " Vivre à la rue, on en crève. 30 ans de vie en moins, 497 morts de la rue en France en 2015 ". Et il l’a collée, partout (murs, abribus) à côté de la vraie. Pour une fois,une réponse appropriée, répliquant de la même manière et ne faisant appel ni à la police, ni à la justice, ni à la violence. Exemplaire !
    Source : N° 50 Papiers Nickelés - La revue de l’image populaire
    ▻http://papiersnickeles.fr

    http://culture.lozere.fr/sites/default/files/upload/affiche-vf-web48e.jpg

    Vanderling @vanderling
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  • @colporteur
    colporteur @colporteur CC BY-NC-SA 10/05/2013
    2
    @cie813
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    Saïd passe en comparution immédiate pour tentative de #vol, le mardi 29 avril 2013. Il est #clochard, parle peu et a l’air résigné. Le procureur réclame la peine plancher, soit 3 ans de #prison ferme et affirme qu’il ne s’agit pas d’une #délinquance de #survie.

    #Justice des #pauvres : peine plancher requise contre un clochard
    ▻http://rebellyon.info/Une-marge-tiers-mondiste.html

    colporteur @colporteur CC BY-NC-SA
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  • #sans-abri
  • #sdf
  • #évacuation
  • country: france
  • #clochards