• 100 % de revue de code - Agnès Haasser (Paris-Web 2014)
    http://www.paris-web.fr/2014/conferences/100-de-revue-de-code.php

    nous faisions un peu de revue de code, de temps en temps. Nous avons décidé de faire revoir TOUT notre code par nos collègues avant de le passer en production. Comment nous en sommes-nous sortis ?

    Laissez-moi vous présenter nos outils, nos processus et les bénéfices que nous en avons retirés.

    #github #pull-request ; bien #programmer ; #collaboration

    par @tut_tuuut

  • Je suis tombé sur le cul en lisant ce papier concernant la femme voilée de l’opéra. Pas de surprise, rien n’a changé, le Parisien fait toujours les poubelles, mais deux passages m’ont mis sur le cul, les voici :

    ...lorsque le visage voilé d’une femme assise au premier rang a été repéré par les écrans de contrôle ainsi que par des choristes ...

    ... Certains choristes ont indiqué qu’ils ne voulaient pas chanter ...

    ndlr : j’ai mis en gras ce qui m’a halluciné

    On y est. La société de la balance est active. Les artistes ne doivent certainement pas voter à droite et pourtant, ils balancent, parce que les Libé, Parisien, TF1, TFn leur ont suffisamment foutu la trouille avec du n’importe quoi.
    La société du contrôle total est en marche, et en plus l’esclave ne souhaite pas qu’on lui enlève ses chaînes, au contraire, il en redemande...
    La suite, la voici, comme c’est arrivé dans un aéroport états-uniens : un touché rectal pour être bien certain que tu ne transportes rien.

    Eh la horde, pendant qu’on avait les yeux tournés vers la Russie, ou vers « le régime de bachar », ils ont fait de nous autre chose que des êtres humains, fiers d’être esclaves, mais bien sûr en étant sur de voir l’esclave dans celle que l’on vient de dénoncer.
    http://www.leparisien.fr/societe/paris-une-spectatrice-invitee-a-quitter-l-opera-parce-qu-elle-portait-un-
    #socialist_act #antifa

    • Pour information, je viens d’écouter JMLP qui ce matin en radio a dit (ce n’est pas une blague) :

      j’approuve l’attitude des artistes qui n’ont pas accepté de jouer

      Hidalgo/Le Pen même combat...
      à gerber, et le mot est faible. Les masques continuent de tomber.

    • C’est toujours pour l’émancipation des femmes c’est bien ça ?
      Pour que les #femmes restent à la maison et ne sortent plus ni pour étudier à l’école ou à l’université (le prof de sciences po qui dernièrement s’en prend à une femme voilée et la fait sortir de son cours) ni pour aller à l’opéra ou au musée.
      Au passage, Jean-Philippe Thiellay (Directeur général adjoint de l’Opéra national de Paris, Diplômé de Sciences Po, ancien élève de l’ENA, membre du Conseil d’Etat depuis 1996) comme les choristes qui ne veulent pas chanter, se transforment en #collaborateurs de la police, rôles qu’ils se sont arrogés tout seuls.

    • Le Parisien, parmi les torchons, a toujours détenu le pompon !

      Et son courrier des lecteurs (enfin, si c’est comme les fausses annonces « plan cul » de Libération dans les temps antiques, ce serait le courrier des journalistes !) donne la nausée.

      Excepté pour une étude sociologique, c’est se faire du mal que de lire ça.

      J’hésite toujours à cliquer sur ce type de liens. Je vais me faire spammer. Je montre qu’après tout, la lecture va m’intéresser. D’un autre côté, je ne peux toujours faire comme Catherine de Russie...

    • J’avais fait attention de ne pas accuser l’ensemble des choristes mais bien d’écrire

      les choristes qui ne veulent pas chanter

      .
      Le problème de la mise en place d’une société policière dans ce genre de cas est que la solidarité n’a pas l’espace immédiat pour s’exercer lorsqu’il suffit d’une délation d’une seule personne pour mettre en marche l’appareil de répression suivi de celui des médias. Rien n’empêche cependant l’ensemble des choristes de l’opéra de faire un communiqué, ce serait salvateur.

    • Bernard Arrieta ‏@bernard_arrieta
      @BenHaddock83 Is it the bussines of media judging facts they didn’t see, and judging people (choir) they don’t know ? Are we in Germany ’39 ?

      C’est Bernard Arrieta qui a commencé.

      "La « banalité du mal » désigne d’abord la propension à ne parler que par clichés. Il ne s’approprie pas ce qu’il dit et les règles de langage inventées contribuent à le priver de la conscience de ses actes.
      Elle se caractérise par l’incapacité d’être affecté par ce que l’on fait et le refus de juger. Elle révèle une absence d’imagination, cette aptitude à se mettre à la place d’autrui à penser notamment du point de vue de quelqu’un d’autre.
      l’absence de pensée n’est pas congénitale ; elle est de l’ordre du refus et de la démission.
      Ce conditionnement du comportement humain montre que le danger du défaut de pensée et de jugement consiste en l’adhésion inconditionnée à des règles de conduite prescrites par une époque, une société. En l’absence de tout examen critique, le risque est de s’attacher à la possession formelle de règles et de s’habituer à obéir à un système normatif quel qu’il soit, dont le contenu peut être modifié substantiellement sans susciter de réaction ou de protestation." http://raison-publique.fr/article606.html

  • Pressure
    http://www.enricozini.org/2014/debian/pressure

    Une contribution intéressante sur l’intérêt du concept de « pression » pour analyser la #collaboration entre personnes dans un cadre collectif #anti-autoritaire

    Pressure could be the phrase “you are wrong” without further explanation, spoken by someone with more reputation than I have in a project. It could be someone with the time for writing ten emails a day discussing with someone with barely the time to write one. It could be someone using elaborate English discussing with someone who needs to look up every other word in a dictionary. It could be just ignoring emails from people who have issues different than mine.

    I like the idea of having “please do not use pressure to bring your issues forward” written somewhere, rather than spend time blacklisting all possible ways of pressuring people.

    I love how the Diversity Statement is elegantly getting all this where it says: «We welcome contributions from everyone as long as they interact constructively with our community.»

    #debian #consensus

  • Pourquoi la #programmation collaborative réussit ?... Et pourquoi parfois elle échoue - Technology Review
    http://alireailleurs.tumblr.com/post/97718078419

    L’excellent blog ArXiv de la Technology Review revient sur un article de recherche qui cherche à comprendre les raisons des succès de la programmation sociale. Pour cela les chercheurs ont analysés l’évolution de 300 000 projets déposés sur GitHub et BitBucket, les deux principales plateformes de partage de code de logiciels. Pourquoi certains projets réussissent-ils plus que d’autres ? Et bien si l’on en croit les chercheurs les projets qui réussissent le mieux, c’est-à-dire ceux qui reçoivent le plus d’attention et de popularité dans le temps, sont avant tout ceux qui ont le plus grand nombre de développeurs en interne, qui travaillent sur le coeur du projet. Mais, les projets les plus efficaces, ceux qui recoivent le plus de validation de développement, impliquent le plus souvent un développeur isolé. (...)

    #collaboration

  • RSLN | Le plus grand musée du monde (Smithsonian) a besoin de votre aide pour numériser ses trésors
    http://www.rslnmag.fr/post/2014/08/28/Le-plus-grand-musee-du-monde-a-besoin-de-votre-aide-pour-numeriser-ses-treso

    Plusieurs millions de pièces et documents du musée ont déjà été numérisés sous forme d’images, et peuvent déjà être vus en ligne. Mais pour un nombre important de documents manuscrits, les technologies actuelles ne permettent pas un déchiffrement automatisé efficace par les ordinateurs, et nécessitent donc une intervention humaine.

    L’ouverture au public et l’appel à collaboration est le moyen le plus efficace (en termes de temps passé et de qualité) de constituer une base numérisée et accessible à tous. Si le musée ne devait compter sur ses seules équipes, cela nécessiterait plusieurs décennies, précise le musée. Grâce au crowdsourcing, au cours de l’année passée ce sont plus de 13 000 pages qui ont été transcrites pendant la phase de beta-test grâce à l’implication de 1 000 volontaires.

  • South African Airways international route map, in 1976, during the apartheid

    https://www.flickr.com/photos/caribb/5385673699

    Flickr

    South African Airways international route map. Back then this carrier was restricted because of the country’s apartheid laws. many countries wouldn’t negotiate landing rights for them or restricted over fly rights.. thus the reason for the routes around Africa instead of over it.

  • Août 1944, la #police s’enferme à la préfecture : tous unis pour maintenir en place l’appareil d’État répressif
    http://www.lutte-ouvriere-journal.org/?act=artl&num=2403&id=14

    La presse, les radios, la télévision ont célébré le « soulèvement » de la police parisienne, le 19 août #1944, « contre l’occupant ». Si cet épisode est bien révélateur de quelque chose, c’est de la mystification qui s’opéra alors autour de ce qu’on appela et qu’on continue d’appeler la « #libération », où gaullistes et direction du #PCF tous unis agirent pour... remettre sur pied l’appareil d’#État qui avait sévi contre la population durant quatre ans [...]

    #vichy #collaboration #résistance

  • #dat - opendata on the command line
    https://github.com/maxogden/dat/blob/master/docs/what-is-dat.md

    dat is a project that seeks providing better tools for data #collaboration:
    – make data syncable. automatic #sync and updates of data sets
    – data sets can be very large (billions of rows or terabytes in size) and/or updated frequently (real time data)
    – data can be either tabular (rows & cells) or blobs (large files and/or unstructured)
    – plugin APIs to connect dat to any existing database/format/language/storage backends
    – built with #automated #workflows in mind

    livré avec un éditeur web : #dat-editor


    #cli #outils #data

    Je l’ai installé en quelques secondes, importé un CSV et joué avec dat-editor :

    npm install dat -g
    mkdir foo && cd foo && dat init
       (entrer le nom du projet…)
    dat import --csv /path/to/mycsvfile.csv
    dat cat # affiche les data
    dat listen # lance le serveur http
    open http://localhost:6461/     # ouvre dat-editor dans le navigateur web
  • Les Britanniques font plus confiance à Wikipedia qu’aux médias - 20minutes.fr

    http://www.20minutes.fr/medias/1427171-britanniques-font-plus-confiance-wikipedia-medias

    via @cdb_77

    MEDIAS - Jimmy Wales, le cofondateur de l’encyclopédie en ligne, trouve cela « un peu effrayant » …

    Le cofondateur de Wikipedia, Jimmy Wales, s’est félicité dimanche à Londres d’un sondage montrant que les Britanniques faisaient davantage confiance à l’encyclopédie en ligne participative écrite par des volontaires qu’aux médias professionnels.

    « Les Britanniques font davantage confiance à Wikipedia qu’aux médias. C’est quelque chose que nous avons accompli », a-t-il lancé lors de la cérémonie de clôture de « Wikimania », la conférence internationale annuelle de la Fondation Wikimedia.
    Même la BBC ne fait pas le poids

    #réseaux_sociaux #wikipedia #collaboratif

  • #Gaza: The Resistance fights #Israel and its spies
    http://english.al-akhbar.com/content/gaza-resistance-fights-israel-and-its-spies

    A Palestinian walks past the #Hamas administration building after it was hit by an overnight Israeli air strike, on July 16, 2014, in Gaza City. (Photo: AFP-Thomas Coex) A Palestinian walks past the Hamas administration building after it was hit by an overnight Israeli air strike, on July 16, 2014, in Gaza City. (Photo: AFP-Thomas Coex)

    It is not possible for Israel’s warplanes to see everything, so its eyes on the ground are its collaborators. They had always been bothersome for the Resistance, beginning with field operatives to moles in the armed wings. In the third war on Gaza, stories about collaborators were sparse but present nonetheless.

    Ahmed Hadi

    read (...)

    #Palestine #Al-Qassem_Brigades #Articles #collaboraters #Rafah #Shabak #Tel_Aviv

    • @raffa a ajouté en commentaire :

      Splendeur et décadence de l’#économie #collaborative, nième. Et je dirais de l’économie du net en général, 20 ans que j’y suis. Le même modèle se répète inlassablement et systématiquement. D’accord avec Baptiste Camille Rabourdin c’est plus une question sociologique qu’autre chose...

      "« qui finance en dernier recours ? » Des banques, des fonds privées, des hedge funds très bientôt ?[...] le billet proposé par Mediapart [raffa : voir extraits plus bas] est quand même révélateur et fort instructif sur les « dérives » naturelles d’une prise de contrôle d’un projet « utopique » par un fonds d’investissement tellement capitaliste. On appelle cela, à défaut d’être précis, la « #récupération par le système ».

      La chose n’est pas si nouvelle et on aurait tort à mon avis d’accuser le capitalisme. C’est une question anthropologique, celle du don et du contre-don. [...]

      La finance a obvieusement tué l’état d’esprit du #covoiturage, comme le covoitureur tue l’auto-stoppeur et Airbnb le couchsurfer. Mais à l’inverse, on peut aussi dire que le covoiturage BlaBlaCar, par ses multiples dispositifs empêchant toute communication entre conducteur et passager a tué la finance… dans son sens étymologique. La #finance, c’est d’abord la confiance ! le fiduciare (fides la foi) et le crédit (credo je crois).

      Et moi, je continue à réfléchir pour savoir qui est le mieux placé pour changer ce monde : les citoyens, les entreprises, l’Etat ? Un peu des trois ?"

      ***********

      "Blablacar, le site N°1 du covoiturage en France a réussi en l’espace de 5 ans à créer un esprit communautaire et humaniste autour du covoiturage et à le détruire, récit d’un inscrit de la première heure qui vomit ce qu’est devenue la dernière. [...] Pionnier et libérateur de l’économie collaborative sur Internet, le site covoiturageest la résultante de plusieurs facteurs économiques et sociologiques qui ont permis l’émergence, dans les années 2007-2008 d’un état d’esprit covoitureur.[...] J’étais heureux de contribuer à ce qui semblait être un pied-de-nez à la société de surconsommation, un pied-de-nez au « tout profit »[...]

      La douceur, c’est le maître mot du passage du site en mode payant. Région par région, mois après mois, le site communautaire à la limite de l’esprit hippie s’est vu cadenassé par des développements de fonctionnalités toutes plus sécuritaires les unes que les autres et la tenue de discours de peur digne des partis extrémistes pour forcer le passage à son mode payant.[...] Aujourd’hui plus que jamais, le volet social a volé en éclat, laissant place à des dérives de la part des conducteurs et des passagers qui font état que le covoiturage n’est plus ce qu’il était.[...] N’en déplaise aux adorateurs de Blablacar comme j’ai pu l’être, le site n’est aujourd’hui plus qu’une « cash machine » détenue par des financiers[...] Que penser aujourd’hui de ce site qui a mis en avant des idéaux collaboratifs, mais qui en réalité, nous considère comme de simple numéros de carte bancaire ?"

  • #Résistance_naturelle” ou l’insurrection des papilles

    C’est un #film vif, simple, naturel.

    A l’image du « Secondo di Pacina », le vin jeune de Giovanna Tiezzi, Résistance Naturelle, le nouveau film de #Jonathan_Nossiter sur le #vin – dix ans après Mondovino - relève d’une simplicité que seule l’expérience permet d’atteindre. Fruit d’une longue méditation esthétique et d’un engagement personnel, il est sorti tout seul, l’été dernier, sans crier gare, comme un éclat de rire collectif, moqueur et généreux… Et puis il a mûri, s’est bonifié au montage et a vite trouvé des distributeurs en France et en Italie ainsi qu’une place au dernier festival de Berlin. Une éclosion spontanée rare dans le contexte économique actuel. Une bulle d’audace et de liberté dans un monde de contrôle et d’austérité.

    http://culturevisuelle.org/luciddreams/archives/509

  • Le chômage de masse qui vient : une liste #collaborative d’idées et de questions au sujet de l’emploi et du chômage.

    – que faire de la masse de gens qu’on met au chômage et qui va se retrouver sans travail ?
    – peut-on anticiper un minimum le chômage de masse ?
    – utilité du travail productif (industriel et marchand) versus utilité du travail non-productif (non-industriel et non-marchand)
    – utilité sociale des personnes sans travail
    – travail contre-productif ou parasitaire
    – utilité du temps libre (l’oisiveté) pour soi et pour les autres
    – propositions politiques : revenu d’existence incondionnel / revenu de base
    – rareté du travail : comment est-ce possible ?
    – rareté du travail productif dans le cadre industriel
    – notion d’emploi et d’employabilité
    – plein emploi : est-ce encore possible ?
    – peut-on et comment voir plus loin que le concept d’emploi et de travail productif ?

    PS : ici « productif » fait référence à la production industrielle et marchande, à la société de consommation, et au clivage entre d’un côté les producteurs et de l’autres les consommateurs.

    #chômage #emploi #employabilité #travail #activité #revenu #existence #productivisme #temps-libre #oisiveté

    @aude_v

    •  :-) c’est très joliement résumé @monolecte.

      C’est clair, il y a une distinction nette à faire entre #travail et #emploi. Et effectivement, y a bien largement suffisamment de travail pour tout le monde dans la société. Mais il me semble que le mot « travail » est un terme d’une signification très large ; il suffit de penser aux professionnels du sport (joueurs de foot, pilotes de formule 1, ...) ou du monde des arts et du spectacle (les comédiens, les clowns, ...). J’aurais tendance à dire qu’il y a des formes de « travail » qui sont librement choisis (plus en rapport avec une passion) et d’autres qui relèvent plus de la nécessité ou de la contrainte.

    • – que faire de la masse de gens qu’on met au chômage et qui va se retrouver sans travail ? —> réinvestir la #paysannerie, repeupler les zones rurales de moyenne montagnes dépeuplées qui ont moins subi l’industrialisation de l’#agriculture, reconvertir les exploitations géantes en fermes à taille humaine plus productives à l’hectare et faisant vivre plus de monde
      – peut-on anticiper un minimum le chômage de masse ? —> oui, avec une politique agricole adaptée
      – utilité du travail productif (industriel et marchand) versus utilité du travail non-productif (non-industriel et non-marchand) —> dans le travail productif il faut aussi ajouter la production de bouffe, le maintien du tissu social rural et de la biodiversité bocagère et pastorale
      – utilité sociale des personnes sans travail —> apprentis paysans (par exemple)
      – utilité du temps libre (l’oisiveté) pour soi et pour les autres —> fêtes, musique, écriture (combinaison de l’art et des rythmes sociaux et saisonniers, réancrés dans des réalités locales et connectés à leur dimension universelle)
      – propositions politiques : revenu d’existence incondionnel / revenu de base —> et réinvestissement des conditions de notre subsistance, plutôt que de les déléguer entièrement à l’industrie. En ce sens, une #dotation_inconditionnelle_d'autonomie comme droit de tirage dans des ressources me paraît déjà plus judicieuse qu’un revenu de base strictement monétaire.
      – rareté du travail : comment est-ce possible ? —> cette rareté va progressivement disparaître avec la raréfaction des #énergies_fossiles
      – rareté du travail productif dans le cadre industriel —> recréation de travail productif durable dans le secteur primaire
      – notion d’emploi et d’employabilité —> ha ha (pardon)
      – plein emploi : est-ce encore possible ? —> ça va peut-être le redevenir
      – peut-on et comment voir plus loin que le concept d’emploi et de travail productif ? —> en posant la question de la maîtrise, collective et locale, des conditions de notre subsistance

    • On tend à répèter que le travail est au centre de la société, et que la société s’organise autour du travail. Au point qu’on ne parle essentiellement que de valeur travail .

      Connaissez-vous la pièce de théâtre L’éloge de l’oisiveté interprétée par Dominique Rongvaux ?

      http://www.youtube.com/watch?v=7KpxsqwNF0o

      Cette pièce s’est inspirée de l’essai Éloge de l’oisiveté écrit en 1935 par Bertrand Russel, et dont voici un extrait :

      Autrefois, les gens étaient capables d’une gaieté et d’un esprit ludique qui ont été plus ou moins inhibés par le culte de l’efficacité. L’homme moderne pense que toute activité doit servir à autre chose, qu’aucune activité ne doit être une fin en soi.
      L’idée que les activités désirables sont celles qui engendrent des profits a tout mis à l’envers.

      La technique moderne a permis de diminuer considérablement la somme de travail requise pour procurer à chacun les choses indispensables à la vie.
      Si le salarié ordinaire travaillait quatre heures par jour, il y aurait assez de tout pour tout le monde, et pas de chômage (en supposant qu’on ait recours à un minimum d’organisation rationnelle).
      Quand je suggère qu’il faudrait réduire à quatre le nombre d’heures de travail, je ne veux pas laisser entendre qu’il faille dissiper en pure frivolité tout le temps qui reste. Je veux dire qu’en travaillant quatre heures par jour, un homme devrait avoir droit aux choses qui sont essentielles pour vivre dans un minimum de confort, et qu’il devrait pouvoir disposer du reste de son temps comme bon lui semble.

      Le bonheur et la joie de vivre prendront la place de la fatigue nerveuse, de la lassitude et de la dyspepsie. Il y aura assez de travail à accomplir pour rendre le loisir délicieux, mais pas assez pour conduire à l’épuisement.
      Les hommes et les femmes ordinaires, deviendront plus enclin à la bienveillance qu’à la persécution et à la suspicion. Le goût pour la guerre disparaîtra, parce que celle-ci exigera de tous un travail long et acharné. La bonté est, de toutes les qualités morales, celle dont le monde a le plus besoin, or la bonté est le produit de l’aisance et de la sécurité, non d’une vie de galériens. Les méthodes de production modernes nous ont donné la possibilité de permettre à tous de vivre dans l’aisance et la sécurité. Nous avons choisi, à la place, le surmenage pour les uns et la misère pour les autres : en cela, nous sommes montrés bien bête, mais il n’y a pas de raison pour persévérer dans notre bêtise indéfiniment.

      Bertrand Russell, Éloge de l’oisiveté, 1935 (extraits)
      Mathématicien, logicien, philosophe, libre penseur britannique, prix Nobel de littérature en 1950.

      #oisiveté

    • Si vous avez déjà eu le temps de regarder L’éloge de l’oisiveté, cette pièce de Dominique Rongvaux - cf. vidéo youtube dans un commentaire plus haut - , pensez-vous maintenant que la question de l’oisiveté et du temps libre est au moins aussi importante que celle du travail ?

      Personnellement, je trouve que les discours académiques et institutionnels nous enferment généralement tous dans le cadre de la morale du travail : la morale du travail comme devoir , et la valeur travail.

      #morale #devoir #travail

    • @la_taupe, ce genre de texte est toujours intéressant bien sûr, mais il ne faut pas oublier de le replacer dans son contexte historique et matériel. Et entre autre qu’à ce moment il y avait abondance d’énergies et de matières fossiles, et beaucoup moins de pollutions (même si certains socialistes non-scientifiques avaient déjà critiqués la mocheté et la puanteur de l’industrialisme, ce n’était pas encore dans les proportions actuelles).

      Ce qui n’empêche pas d’être d’accord pour dire qu’on peut grandement réduire le temps de chacun nécessaire aux besoins de base (nourriture, habitat, vêtements, en gros). Pourtant, plus on avance dans le temps, plus tout est détruit partout (par ex, et non des moindre, la biomasse du sous-sol !), plus on va devoir passer du temps à réparer les choses pour arriver à se nourrir correctement.

      Le temps qu’il va falloir passer pour se nourrir ou se vêtir sans pétrole (ou plus précisément, avec immensément moins), n’est pas négligeable. Mais cela peut se faire sans que ce soit une corvée horrible suivant les conditions sociales dans lesquelles on organise ces activités (càd pas toutes les activités chiantes sur les mêmes personnes, en coopératives et pas en concurrence, etc).

      Et sinon, la glace au lait de brebis, produite localement, c’est excellent de temps en temps, @aude_v ! :D

    • @rastapopoulos , comme tu sembles l’expliquer, la clé serait la réappropriation du temps par chacun, pour mettre ce temps au service des besoins réels : par exemple consacré à l’intérêt général, à la réparation des impacts environnementaux, aux lien social, à la pratique de valeurs capable de pacifier une société.

      Certainement, la nécessité de préparer une transition à l’après-pétrole, celle écologique de restaurer et réparer ce qui a été détruit, comme la biomasse des sols, les activités de subsistance en général, exigent/exigeront une main d’oeuvre importante et un investissement en temps conséquent.

      Cela dit, les individus ont aussi besoin de temps pour eux-même, de temps libre, ou de temps oisif. Et c’est justement ce temps libre, qui à mon avis, est capable de nous reconnecter aux choses essentielles, à la nature et à nous-même. Ensuite, je pense que ce temps libre est capable de créer spontanément de la générosité, de la bonté, du lien, du partage, et de l’entre-aide.

      Finalement, si je devais répondre à la question de « que faire pour occuper utilement les gens (au chômage, etc) dans ce contexte de crise et de transition ? », je répondrais volontier par « commençons par leur offrir du temps libre, ensuite ils prendront le temps de décider par eux-même (la démocratie est faite en principe pour ça), comment ils peuvent se rendre utile à la société, simplement en mettant en oeuvre leur réflexion, leur sens critique, et leur bon sens ».

    • Ce n’est pas spécialement « utopique », ça me parait surtout très vague et déconnecté de la réalité concrète : pour vivre, il faut de la nourriture saine et un endroit décent où dormir, pas du « temps libre » ou de l’argent.

      Voilà pourquoi le principe de redistribuer des denrées (de qualité) ou des logements (décents) directement, plutôt qu’un revenu, me parait pour l’instant beaucoup plus subversif et générateur de libertés futures.

    • Ou à minima de permettre à celleux qui le veulent d’avoir accès à des ressources pour construire une maison ou habiter dans un habitat léger, ou de pouvoir produire de la nourriture (changement de réglementation, réappropriation du foncier, débetonnage, biorémédation de terrains en ville, etc, etc). Là on en est ou carrément on bloque la porte à des personnes qui ne demandent pas grand chose pour se prendre en charge.

    • Voilà pourquoi le principe de redistribuer des denrées (de qualité) ou des logements (décents) directement, plutôt qu’un revenu, me parait pour l’instant beaucoup plus subversif et générateur de libertés futures.

      @rastapopoulos, tu as raison, une fois ces besoins vitaux assurés, on est libre et disponible pour d’autres choses. Mais je ne crois pas qu’actuellement les travailleurs ou les gens en situation d’emploi puissent accepter brutalement tes propositions. En Suisse, « ils » viennent de se prononcer par référendum contre « le » revenu de base, un revenu, certes, très élevé, mais qui aurait permis d’assurer un logement et une alimentation de qualité pour tout le monde.

      Tant qu’il y aura suffisamment de gens inclus sur le marché du travail (et donc complètement absorbés par l’idéologie du « travail ») tes propositions auront du mal à passer auprès de l’opinon publique. Je serais curieux, parcontre, de savoir ce qu’en diraient les espagnols et les grecs, vu leur taux de précarité.

      En revanche, je pense que l’opinion publique accepterait plus facilement l’idée de travailler moins pour avoir plus de temps libre.
      Je pense aussi que le temps libre est un facteur important d’organisation collective, par exemple pour préparer la transition énergétique au niveau local, et expérimenter collectivement ou individuellement des utopies concrète.

    • @nicolasm, j’aime bien les idées d’expériences participatives, qui permettent de s’impliquer, pour la production locale de nourriture ou pour l’auto-construction d’habitats. Vraiment intéressant.

      Pour la production de nourriture, j’ai connaissance du mouvement Incredible edible ( Incroyables comestibles ), je suppose que tu connais - j’ai bien aimé la vidéo de présentation de François Rouillay.

      Pour le foncier, c’est clair, y aurait certainement bien des choses à revoir.

      –—
      PS : merci à tout le monde pour les commentaire, ça fait vraiment plaisir ! :-)

    • Il existe une différence majeure entre la valeur « emploi », entendue comme la notion de salariat, et la valeur « travail », entendue comme la notion d’activité. En France, et en Europe en général, le concept de plein-emploi est un leurre. Les politiques successives contre le chômage n’ont jamais réussi à endiguer sa progression. Et quand bien même, si chacun pouvait finalement obtenir un emploi salarié, nous pensons que chaque citoyen doit être libre de choisir, et non contraint par un rapport de force continu qui l’oblige à être employé dans des conditions qui ne permettent pas son développement personnel. Le choix de l’activité doit être guidé par des motivations comme la confiance et l’épanouissement, et pas uniquement par la valeur financière. Avec l’instauration d’un revenu de base en Europe, le travail prendrait un essor inestimable, que ce soit en terme d’orientations économiques (nouveaux marchés, nouveaux métiers), d’emploi (création et multiplication de structures), mais aussi en terme de bénévolat, une valeur travail importante qui souffre actuellement d’une image ternie par la domination de l’employabilité.

      http://www.so-pirate.eu/blog/la-liste-so-pirate-introduit-le-revenu-de-base-dans-son-programme-europeen

    • @ La Taupe. Non, non, non. Attention à ne pas confondre entre revenu de base et salaire minimum. La Suisse à voté NON contre le « smic » de chez vous. Mais le peuple ne s’est pas encore prononcé sur l’initiative du « revenu de base » dont on cause ici. Et parti comme c’est, trop mal ficelé, trop mal expliqué...il va y avoir un raz de marée de NON. Je crois que c’est pour ça qu’on ne s’est encore pas prononcé là-dessus.
      Et 4’000 balles, c’est cher, d’accord, mais il faut voir ce que la vie coûte en Suisse aussi...Cette initiative a mal été emballée et c’est dommage.
      Va falloir se focaliser sur les conventions collectives de travail maintenant. Je crois que ça, c’est plus important, car nous avons beaucoup perdu ces dernières années et il va falloir remettre la pendule au milieu du village.
      Que les Helvètes arrêtent de voter avec leur porte-monnaie !!!
      Que bigre !

    • @geneghys, désolé pour cette confusion de ma part, et merci d’avoir rectifié l’erreur. En plus, il ne s’agissait pas d’un référendum mais d’une initiative populaire.

      http://www.liberation.fr/monde/2014/05/18/suisse-salaire-minimum-et-avions-de-combat-au-menu-des-votations_1020040

      Pour expliquer le résultat de ce vote, ils invoquent la peur des conséquences sur les petites entreprises, qu’elles soient obligées de réduire le temps de travail ou de mettre au chômage.

      @monolecte, merci pour ce texte du PP et pour le lien :)

      @aude_v, merci pour les pistes de réflexion que tu proposes, j’ai commencé à lire ton blog d’écologie politique. J’apprécie l’écologie politique pour son soucis de l’humain, de la solidarité (et je suppose donc la réciprocité ) , de la convivialité, et du respect des différents modes de vie. Et je comprends tout à fait que le « chômage » puisse aussi être un choix de vie, ce qui me rappelle effectivement les documentaire de Pierre Carles à ce sujet.

      Vous avez raison, penser au temps libre comme « la » solution fait déconnecté de la réalité, notamment dans le contexte de la transition à l’après-pétrole. Quoique dans le cadre actuel, choisir de ne rien faire - être au chômage volontaire et donc forcément un peu oisif - est probablement un acte autant politique que cultiver son jardin ...

    • @Taupe. C’est pas grave ! Tout le monde se fout dedans avec notre système politique. Et il ne faut pas croire que 22 frs/h soit un salaire décent...ici, c’est limite-limite.
      Mais cette initiative a au moins eu le mérite de secouer les patrons des entreprises qui ont rétabli une CCT ou convention collective qui défend un peu mieux les travailleurs. C’est une bonne chose.
      Et à défaut de reconnaître qui travaille au noir sur les chantiers pour un salaire de misère (mais légal en Europe), les ouvriers devront peut-être porter un badge que les inspecteurs pourront reconnaître de loin. Parce que ce sont surtout les frontaliers qui sont lésés, mais pas que. Cela entraîne aussi le dumping salarial. D’où la grogne de celles et ceux qui vivent sur sol helvète et qui ne touchent pas 4’000 balles par mois...
      Chez nous, on les appelle les woorking-poors, c’est dire comme la vie est chère, d’où un salaire « élevé » comme dit dans l’article du Libé.
      Le patronnat a encore joué avec la peur des travailleurs et a gagné ! Misère !

    • @geneghys, donc finalement c’est certainement une très bonne chose qu’il y ait eu un débat sur le salaire minimum avant la « prochaine » votation à propos du revenu de base inconditionnel.

      http://bien.ch/fr/story/actualites/chancellerie-federale-linitiative-formellement-abouti

      L’initiative populaire pour un revenu de base a été déclarée valable par la Chancellerie Fédérale.
      (...)
      Et maintenant, que va-t-il se passer ? Le Conseil Fédéral va se pencher sur le revenu de base et préparer un rapport sur le sujet. Il a un an pour cela. Ensuite le débat s’ouvrira au Parlement. Quant à la votation populaire, elle est prévue d’ici deux ou trois ans.

      La votation en Suisse serait donc pour dans 2 ou 3 ans... faut savoir garder patience, non ?

      Que Bigre ! :-)

    • @Taupe Déjà ?!!! Mais il est mal ficelé ce projet. En soi, il va de nouveau jamais passé, nom d’une pipe en bois de chêne ! Ils sont cons, ils font tout pour bousiller une bonne initiative !!
      Il faut voir la faisabilité et comment on peut trouver les subsides. C’est pourquoi, je propose que les salaires des robots soient reversés dans un pot commun et le chef d’entreprise aura droit au 10% pour l’entretien des machines, comme on le fait maintenant avec des emplois qui vont disparaître.
      Pourquoi personne veut lire ce que j’écris !!!
      Que Bigre ! Argggg
       :-)

    • le capitalisme est l’art et la manière de vendre ce qui est gratuit (la terre et la création monétaire), pour se rendre gratuit ce qui lui coûte.

      Et la seule chose qui coûte vraiment, c’est le temps de vie. Vous pouvez capitaliser du temps de vie dans l’espace, mais pas dans le temps lui même. C’est à dire, vous pouvez utiliser le temps de vie d’autrui à votre avantage, mais uniquement dans le temps de vie qui vous est imparti. Au delà, ce sera vos enfants... Ainsi, en capitalisant le temps de vie d’autrui, vous multipliez le votre et divisez celui d’autrui. Car sans cela, personne ne pourrait faire construire un château et dire « ceci est ma propriété ».

  • MakeSense, le réseau d’entrepreneur qui veut sauver la planète - Capital.fr
    http://alireailleurs.tumblr.com/post/85809785481

    Charlotte Laurent pour Capital.fr revient sur le réseau MakeSense, un réseau d’entraide pour entrepreneurs sociaux lancé en 2011 par Christian Vanizette et Romain Raguin, qui organise des “braquage d’idées”, sortes de Barcamp, pour offrir à ceux qui le souhaitent des solutions pour dépasser leurs difficultés. Le réseau est maintenant doté d’un incubateur, SenseCube.

    #innovation #collaboration

  • #GoInstant's OT technology: real-time, collaborative editing in a code editor
    https://goinstant.com/examples/ot

    “Learn about the power of GoInstant’s OT technology (Operational Transformation) by adding real-time, collaborative editing to a code editor. Just like in Google Docs, OT synchronizes people’s changes in the text so everyone ends up with the same document.” Tags: GoInstant #temps_réel #collaboratif #édition #synchronisation #API #JavaScript #JSON

  • Philippe Mairesse, témoignage sur la co-production
    http://dant.fr/2014/05/dant-interview-philippe-mairesse-temoignage-sur-la-co-production

    Pour cette première interview signée DANT, nous avons le plaisir de vous présenter Philippe Mairesse dont voici une brève description :
    – Artiste et consultant, chercheur en théorie des organisations et art.
    – Expert en management par les processus de création.
    – Membre de l’Institut ACTE / équipe Art et Flux ( http://www.art-flux.org ), Paris 1 La Sorbonne.
    – Fondateur de Acces Local ( http://www.acces-local.com ) et Grore Images ( http://www.grore-images.com ).

    http://vimeo.com/87820592

    Très intéressant, j’adhère complètement ! Et Grore Images c’est assez génial aussi.

    #Art #Collaboration #DANT #Management #Numérique #Production #Économie_collaborative

  • Frauen und Grafik-Design Women in Graphic Design 1890-2012
    Warum gibt es in der Designgeschichte scheinbar so wenige Frauen? Warum sprechen immer noch so wenige Frauen auf Konferenzen? Warum werden ehemals bekannte Frauen ›vergessen‹? Welche Auswirkungen hat die Gender-Debatte auf den heutigen Arbeitsalltag? Werden Frauen heute allein aufgrund der Qualität ihrer Arbeiten beurteilt?  Seit den Anfängen der Professionalisierung haben Grafik-Designerinnen aktiv und erfolgreich gearbeitet, dennoch wurden Frauen bis auf wenige Ausnahmen nicht in die ›offizielle‹ Designgeschichte aufgenommen. Auch heute ist – trotz der Behauptung, die Geschlechterfrage im Grafik-Design sei obsolet – nur ein geringer Prozentsatz der tätigen Gestalterinnen öffentlich sichtbar. Der vorliegende, opulent illustrierte Band zeigt Ursachen wie die konstruierte Synthese von Männlichkeit und künstlerischer Genialität auf und stellt wichtige Gestalterinnen vor. Zahlreiche Kurzbiografien vergegenwärtigen ihre Wege zur Professionalisierung, flankiert von Essays, Quellen und ausführlichen Gesprächen mit bekannten heutigen Designerinnen.  Wissenschaftliche Beiträge von Sabine Bartelsheim, Gerda Breuer, Ute Brüning, Jochen Eisenbrand, Ellen Lupton, Julia Meer, Ada Raev, Bettina Richter, Patrick Rössler, Martha Scotford and Judith Siegmund.  Programmatische Schriften von Paula Scher, Sheila Levrant de Bretteville, Natalia Gontscharowa, Ellen Lupton, Martha Scotford, Véronique Vienne, Astrid Stavro, Alissa Walker etc. Interviews mit Irma Boom, Paula Scher, Sheila Levrant de Bretteville, Julia Hoffmann, ‘Swiss Miss’ Tina Roth Eisenberg, Katja M. Becker, Anna Berkenbusch, Heike Grebin, Gisela Grosse, Miriam and Nina Lambert, Iris Utikal and Judith Grieshaber.

    http://www.amazon.de/Frauen-Grafik-Design-Graphic-Design-1890-2012/dp/3868591532

    http://womenofgraphicdesign.org

    #book #collaborate #graphicdesign #history #women

  • Deux raids aériens israéliens sur la bande de Gaza
    Le Monde.fr avec AFP | 11.02.2014
    http://www.lemonde.fr/proche-orient/article/2014/02/11/deux-raids-aeriens-israeliens-sur-la-bande-de-gaza_4363899_3218.html

    L’aviation israélienne a mené deux raids dans la nuit du lundi 10 au mardi 11 février dans la bande de Gaza, qui n’ont pas fait de victime. La première attaque s’est produite près du camp de réfugiés de Nuseirat dans le centre de la bande de Gaza et a visé un camp d’entraînement des brigades Ezzedine Al-Qassam, la branche armée du Hamas, au pouvoir à Gaza.

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    Était-ce pour procurer "une expérience très forte" au commandant de l’Armée de l’Air française, le général Denis Mercier ?
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    La France en visite dans les bases aériennes de Tsahal
    Publié le : février 17, 2014 `
    http://tsahal.fr/2014/02/17/la-france-en-visite-dans-les-bases-aeriennes-de-tsahal

    Le commandant de l’Armée de l’Air française, le général Denis Mercier, a atterri la semaine dernière en Israël. Au cours de sa visite, il a rencontré le commandant de l’Armée de l’Air israélienne, le général de division Amir Eshel, s’est rendu dans les bases aériennes de Tsahal et a même participé à un vol. Venez en apprendre plus sur cette coopération franco-israélienne.

    La visite du général Denis Mercier a été l’occasion de rencontres avec le général de division Amir Eshel et d’entretiens concernant les défis quotidiens présents au Moyen-Orient. La coopération existante ainsi que les intérêts communs entre les deux puissances aériennes ont également été évoqués. Le commandant de l’Armée de l’Air a pu décoller à bord d’un avion F-15L de la flotte israélienne et a déclaré : “c’est un grand avion doté de beaucoup de puissance. C’était une expérience très forte de voler avec pour la première fois.”

    #collaboration_franco-israélienne

  • Un Seine-et-Marnais reconnu interné politique 73 ans après - 28/01/2014 - leParisien.fr
    http://www.leparisien.fr/espace-premium/seine-et-marne-77/un-seine-et-marnais-reconnu-interne-politique-73-ans-apres-28-01-2014-353

    En ce 27 janvier, Journée internationale dédiée à la mémoire des victimes de l’Holocauste, Henry, 81 ans, a la victoire modeste. Résidant dans un village du sud de la Seine-et-Marne, il vient de remporter son recours contre l’Office national des anciens combattants (Onac) qui refusait jusqu’à présent de lui reconnaître le statut d’interné politique au camp de Gurs (Pyrénées- Atlantiques) où il a été emprisonné du 25 octobre 1940 au 27 février 1941.
    Une première durant cette période où l’Etat français à Vichy était encore en zone libre… Juif franco-allemand, Henry avait 8 ans.

    #seconde_guerre_mondiale #antisémitisme #collaboration #état_français

  • Coopératif, collectif, collaboratif : Avec ou sans le numérique
    http://www.cafepedagogique.net/lexpresso/Pages/2014/01/24012014Article635261452467362600.aspx

    A lire la littérature sur l’innovation pédagogique avec le numérique, il est fréquent d’entendre parler de « collaboration », d’apprentissage collaboratif. A coté de ce terme circulent aussi les termes de coopératif, collectif. Il y a maintenant de nombreuses années que des auteurs on parlé du « travail de groupe » ou du « travail d’équipe » pour évoquer des pratiques pédagogiques en classe. L’effet du numérique est-il un simple toilettage lexicale ou un changement de paradigme ? Si l’on en juge par la quantité de travaux sur les notions de groupe, communautés, interactions, entre autres, on peut penser qu’il y a là un simple toilettage.

    #collaboratif #coopératif #pédagogie #numérique #éducation

  • Le département R&D du New York times travaille à un système d’analyse du web collaboratif - NiemanLab.oro
    http://www.niemanlab.org/2014/01/the-new-york-times-rd-lab-is-building-a-quantified-self-semantic-analysis

    Dans une salle de presse numérique, ne serait-il pas intéressant de savoir sur quoi surfe tous les journalistes, afin de mettre en contact ceux qui cherchent des informations sur les mêmes sujets ou faire ressortir des sujets chaud. C’est l’idée de Curriculum, une nouvelle extension pour navigateur à laquelle travaille le département R&D du New York Times. Tags : internetactu2net internetactu fing #media #collaboration

  • Intelligence Collective - Imagination for People
    http://imaginationforpeople.org/fr/i4p/assembl

    Imagination for People travaille à développer un logiciel et une méthodologie pour permettre à des centaines de milliers de personnes de travailler collectivement à un même document. C’est le programme Assembl, dont le logiciel est en cours de développement via le consortium Catalyst : http://catalyst-fp7.eu Tags : internetactu2net fing internetactu #collaboration #intelligencecollective