• Osez_le_féminisme_38

    Osez le Féminisme ! 38 est l’antenne Isère de l’association #Osez_le_Féminisme !, créée à Paris en 2009. Nos militant-e-s se réunissent à Grenoble depuis 2011.

    Nous sommes des femmes et des hommes de tout âge et de tout milieu, ayant un même objectif : en finir avec le #sexisme et des millénaires d’#oppression_patriarcale.

    Comme toutes les autres antennes régionales d’Osez le Féminisme, OLF 38 défend un projet de société : faire en sorte que les femmes et les hommes jouissent des mêmes #droits, de la même #reconnaissance et des mêmes #libertés.

    Pour l’aider dans sa tâche, OLF 38 travaille en réseau avec de nombreux partenaires : la Plateforme de Droits de Femmes de l’Isère et le Centre LGBTI Cigale de Grenoble.

    Les militant-e-s d’OLF 38 se forment continuellement grâce à des weekends de #formation, et en prenant part à des #colloques et des #conférences.

    https://osezlefeminisme38.wordpress.com
    #association #féminisme #Grenoble #France #Isère #patriarcat #résistance

  • La face cachée des cartes - Sciencesconf.org

    https://cartocachee2017.sciencesconf.org

    « La face cachée des cartes » c’est tenter de mettre au grand jour l’incroyable nombre de réflexions, gestes et opérations « dissimulés », « non dits », véritables « boîtes noires », pourtant nécessaires à la réalisation de toute carte géographique.

    L’UMR GRED Gouvernance, Risque, Environnement, Développement (UPVM3/IRD), et plus précisément l’axe 4, transversal, « Modélisation et représentations spatiales pour l’aide à la décision en aménagement » propose une rencontre autour de la question de « La face cachée des cartes ». La carte géographique, modèle réduit du paysage, mise en scène d’un territoire à différentes échelles, représentation simplifiée du territoire, aide à la compréhension du Monde ou d’un morceau du Monde et remplace avantageusement un long discours. Elle donne à voir l’empreinte humaine sur le globe et témoigne également de la manière dont ceux qui la produisent pensent leur territoire, le monde d’une part et envisagent leur place et leur action dans l’espace, la société d’autre part. L’usage et la production des représentations spatialisées quittent aujourd’hui l’espace académique avec les images satellitaires et les SIG à la portée de tous. La carte paraît de moins en moins l’apanage des savants ou des experts, tant dans sa production que dans sa lecture et ses usages. Pour autant, on n’a jamais autant mobilisé de technologies de pointe et de ressources de haut niveau pour réaliser des cartes. Cette floraison actuelle, jointe aux multiples dimensions de la carte, entre science, technique, art et politique, la désignent donc comme un objet toujours actuel de réflexion : réflexion sur sa pertinence, mais aussi réflexion sur les intentions plus ou moins explicites de ses auteurs et sur les objectifs qui lui sont assignés en relation avec ses usages.

    #cartographie #colloques #sémiologie #méthodologie au cas où certains et certains d’entre vous seraient dans les environs à cette date ! Ne manquez pas l’excellente contribution de Florence Troin et Anne-Christine Broner surtout !

  • #Géomatique et usages | GdR MAGIS – Carnet de recherche de l’Action Prospective « La géomatique à l’épreuve des usages sociaux et territoriaux de l’information géographique ».
    https://usagis.hypotheses.org

    Le développement croissant des technologies de l’information géographique (#TIG) et de leur couplage avec les TIC conduit aujourd’hui à une diversification des usages et finalités allant bien au-delà de l’approche technicienne et experte des débuts des SIG. L’expansion des TIG, notamment sur Internet, est perceptible dans le champ de l’aménagement du territoire que ce soit au niveau des praticiens, des entreprises et du grand public (diversification des thématiques et des types de territoire et de structure), ainsi que dans le champ de l’action citoyenne et de l’organisation communautaire (diffusion de l’information voire production de données d’usage, services collectifs ou partagés…).

    Cette évolution interpelle profondément le monde de la géomatique, jusqu’alors essentiellement composé de praticiens et de chercheurs travaillant soit :

    pour les #SIG, à travers la production (de modèles) de données géographiques ;
    sur les SIG, en élaborant des méthodes d’analyse et de visualisation des données ;
    avec les SIG, en mettant les deux précédents registres au service d’approches thématiques toujours plus spécialisées.

    #géographie #cartographie #colloques #idées #thema

  • #Mobilités et (R)évolutions numériques - Sciencesconf.org

    #Monde_numérique

    https://msfs2016.sciencesconf.org/resource/page/id/1

    Au-delà de la portabilité ou mobilité croissante des technologies de l’information et de la communication (TIC), objets connectés et dispositifs numériques de toutes sortes se diffusent dans le quotidien des individus : la multiplication dans les média spécialisés ou non de références à l’e-mobilité, au robomobile, à la ville 2.0, à l’überisation, à la géolocalisation, etc. en témoigne. Intrinsèquement, la récurrence de ces mots clés révèle une association croissante entre les technologies de(s) transports et technologies numériques. Les liens et interdépendances entre mobilités et TIC sont potentiellement multiples et laissent place à de nombreuses interrogations. Ces dernières ne sont pas nouvelles en soi et dépassent largement le cadre des déplacements (Kellerman, 2012 ; Schwanen et Kwan, 2008 ; Mokhtarian, 2002). Néanmoins, elles ne se limitent plus à des débats entre substitution ou complémentarité et sont éminemment plus complexes (Rallet et al., 2010).

    Un appel en 3 axes

    1- Nos déplacements sont de plus en plus équipés, augmentés par un ensemble d’outils et de dispositifs utilisables en situation de mobilité(s), qui y participent en géolocalisant les individus, en leur permettant d’interagir directement avec leur environnement (notifications spécifiques, QR codes, datamatrix, etc).

    2- Dans la continuité directe du point précédent, les TIC et techniques numériques sont considérées comme de nouveaux moyens potentiels de mesures des pratiques et comportements de déplacements. Soit elles numérisent des dispositifs préexistants (Denissen et al., 2010), soit elles se basent sur d’autres sources de données à travers l’ensemble des données personnelles qu’elles récupèrent (Cardon, 2015).

    3- Enfin, toutes les questions qui précèdent portent en filigrane le titre du présent colloque. Ce point a pour ambition de saisir l’ampleur sociale et sociétale des bouleversements. En quoi les mutations numériques à l’œuvre révolutionnent-elles les mobilités et leurs analyses ? Sommes-nous face à une révolution du fait d’innovations radicales ou plutôt à des évolutions incrémentales (d’où la mise entre parenthèses du r de révolution) ?

    Ces trois axes ne sauraient prétendre cerner l’ensemble des discussions potentielles sur le sujet. Toute proposition s’inscrivant en dehors de ces 3 axes sera prise en compte et bienvenue.

    #colloques #idées #thema

  • Masculins/Feminins 2017 : Geographies feministes : theories, pratiques, engagements - Sciencesconf.org

    https://biennalemasfem4.sciencesconf.org/resource/page/id/3

    La 4e biennale portera sur les géographies féministes. Alors que les trois premières portaient nommément sur le genre ou les sexualités, il a en effet semblé opportun au comité organisateur de se pencher cette fois sur les perspectives qu’offre le féminisme dans la compréhension du rapport des personnes et des sociétés à l’espace. Après tout, les études sur le genre et les sexualités apparaissent historiquement dans les universités américaines et en France grâce au combat féministe dans l’institution universitaire.

    L’objectif poursuivi est d’impulser une dynamique collective sur les apports, les usages et les pratiques féministes en géographie. Cela permettra d’écrire collectivement l’histoire du féminisme en géographie dans le contexte universitaire français. On se demandera parallèlement de quelles façons certaines influences anglo-américaines ont été plus ou moins prises en compte. Nous souhaitons entre autres examiner la présence, l’absence, voire l’éclipse du féminisme dans l’espace de l’institution universitaire et des programmes de géographie. Quels sont donc les espaces des féminismes qui restent ? Quelles sont les références principales qui ont été adoptées, à quels moments ? Quelles sont les réticences qui ont pu limiter le développement de certains types de féminismes ? Quelle place pour les féminismes dans les questions de genre et de sexualités (en lien avec le développement des théories queer et trans notamment). Le colloque a aussi pour ambition d’interroger les liens et les rapports du masculin aux féminismes, non seulement sa théorie mais également sa pratique, par son combat pour l’égalité, par sa critique de la production du savoir, par ses modes pédagogiques de transmission du savoir. Il interrogera également la manière dont l’éventail des masculinités et des féminités cisgenres et transgenres permettent de redéfinir les féminismes. Enfin, au-delà des genres et des sexualités, les féminismes peuvent être pensés de manière intersectionnelle en lien avec les autres rapports de domination ou dans le cadre de différents rapports de pouvoir, liés à l’âge, au statut social, au groupe culturel, aux genres et sexualités, au handicap, etc.

    Le colloque invite des communications de nature théorique, épistémologique, historique, des études de cas, des expériences et des témoignages à propos du féminisme en géographie, dans les sciences sociales en général mais aussi, plus largement, dans les institutions (Éducation Nationale, enseignement supérieur, laboratoires de recherche) et dans la société.

    Les organisateur.ice.s du colloque lancent un appel à communications et à des ateliers thématiques. Nous proposons d’ores et déjà plusieurs axes thématiques :

    Théories, épistémologies, terrains et méthodes

    Quelles théories féministes pour et en géographie ? (théories, méthodologies, épistémologies) ? Comment le féminisme en tant que positionnement vient déstabiliser la manière de faire de la recherche, proposer d’autres modèles que celui de la science masculine et dite universelle ? Qu’apporte le féminisme à la pensée et à la pratique féministes ? Comment peut-on légitimer des thèmes de recherches qui étaient auparavant considérés comme non légitimes ? Quelles réticences ? Quels blocages ? Quels sont les apports des concepts d’intersectionnalité et de consubstantialité/coextensivité des rapports de domination ?

    Terrain et pratiques au prisme du féminisme

    Quels enjeux pour des corps minoritaires (femmes, personnes queers, trans, non blanches, handicapé.e.s…) sur le terrain, sur des terrains ? Les conceptions du terrain en géographie sont-elles sexistes ? Quelles approches du terrain pour des études féministes ? Quel genre de terrain ?

    Pédagogies critiques et féministes

    Les pédagogies féministes visent à déconstruire le rapport de pouvoir à la connaissance : est-ce possible ? Quelles dynamiques de classe (classroom dynamics) favorisent-elles ? La e.Education est-elle une opportunité ou au contraire menace-t-elle le potentiel d’innovation apporté par les pédagogies féministes ?

    Être féministe dans les institutions de recherche et l’université

    Comment se dire féministe et quelles pratiques dans l’institution ?

    Se déclarer féministe dans le monde universitaire est-il une expérience en soi ? Quelle visibilité pour le féminisme dans l’institution ? Quelles pratiques peuvent permettre de changer l’institution et les différents types de rapports de pouvoir qui s’y manifestent ?

    Militantisme ou engagement ?

    Comment le féminisme se traduit-il en pratique ? Quels liens effectuer entre action féministe dans et hors de l’institution ? Entre action militante et vie quotidienne ?

    Comment le masculin se situe-t-il par rapport au combat féministe ?

    Le genre masculin et les hommes sont-ils solubles dans le féminisme ? Quelles conséquences pour les hommes se déclarant (pro)féministes ? Au-delà de la critique et de la théorie, quelles sont les pratiques adaptées pour les hommes ? Quid des groupes masculinistes (men’s groups) et de l’opposition aux féministes ? Comment penser les alliances entre hommes cisgenres (pro)féministes et femmes féministes ?

    Féminisme à la française ?

    Quelles spécificités nationales ou culturelles ?

    La France connait plusieurs courants féministes depuis les années 1970-1980 : féminismes « lutte de classe », différentialiste, matérialiste, pro-sexe. Comment l’histoire du féminisme en France évolue-t-elle dans le monde de la recherche ces dernières années ? Comment l’émergence des théories queers s’oppose ou se conjugue-t-elle au féminisme ?

    Que signifie être géographe féministe (dans les années 1980, 1990, 2000 et 2010) ? Ou se dire féministe ?

    Pour répondre à cette question, plusieurs axes peuvent être proposés. Comment les géographes entrent-elles en contact avec le féminisme (par le militantisme, par la recherche ?) ? Comment le féminisme (en géographie ?) peut-il être pensé en complémentarité avec d’autres positionnements (trans, queer of color…) ? Comment penser un féminisme qui part des femmes pour s’étendre de façon intersectionnelle à d’autres rapports de domination que le patriarcat ? Existe-t-il une lecture géographique du féminisme ?

    Espaces, lieux et spatialités du féminisme

    Dans quels lieux et espaces se déploient les mouvements féministes (terrain d’expression : militantisme ? académie ?) Mais aussi : dans la rue/espace public (manifestations), sur Internet/espace virtuel (textes, blog, réseaux sociaux…). Que nous révèlent les grandes exploratrices ou les récits de voyages au féminin ? Quelles trajectoires, parcours dans l’Institution, entre légitimité scientifique et discrimination structurelle ?

    Organisation des journées : le comité organisateur a tenu à ouvrir la biennale dans le haut lieu de la géographie en France, soit l’Institut de géographie (matinée du jeudi). Le reste de la biennale aura lieu à la Maison de la Recherche de l’université Paris Sorbonne et possiblement dans un autre lieu. Des rencontres avec des collectifs militants et des performances sont également prévues.

    Document de travail pour la biennale : Le comité d’organisation souhaite mettre à disposition des participant.e.s et des coordinateur.ice.s de session un document pdf de toutes les communications qui seront présentées permettant de faire circuler plus facilement les connaissances quand des sessions se tiendront en parallèle. Pour cette raison, nous demanderons aux participant.e.s d’envoyer une version écrite de leur communication pour le 15 mai. Pour plus d’informations, rendez-vous sur la page "Recommandations aux auteur.e.s".

    #féminisme #droits_des_femmes #colloques #idées #thema

  • 1st International Conference of Anarchist Geographies and Geographers (ICAGG) – Geography, social change and antiauthoritarian practices

    ICAGG2017

    https://icagg.org/wp

    In the last years, an outstanding international and multilingual rediscovery of anarchist geographers has occurred at the level both of academics and of grassroots movements, drawing at the same time on a renewed interest for historical figures like Pyotr Kropotkin (1842-1921) and Elisée Reclus (1830-1905), and on the contributions of anarchist and antiauthoritarian ideas and practices to present-day struggles for social liberation worldwide. Special issues on anarchism and geography have been published by outstanding international journals, such as Antipode and ACME, leading to a flourishing of recent papers and books on these topics, including the organisation of successful sessions on anarchist geographies at the most widely attended geographic international conferences, such as the RGS-IBG, the AAG and the IGU, and for the international conferences of the Anarchist Studies Network. An international mailing list of anarchist geographies has also been inaugurated.

    #anarchisme #colloques #idées #thema

  • Spatial Analysis and GEOmatics 2016 - Sciencesconf.org

    https://sageo2016.sciencesconf.org

    Spatial Analysis and GEOmatics 2016 - Sciencesconf.org
    https://sageo2016.sciencesconf.org

    Sous l’égide du GdR MAGIS du CNRS, la conférence internationale francophone SAGEO est un événement annuel majeur dans le paysage de la Géomatique, de l’Analyse Spatiale et des Sciences de l’Information Géographique. Ses objectifs sont de présenter des travaux de recherche récents et de réunir des chercheurs de disciplines diverses (informatique, géographie, archéologie, urbanisme, sciences de l’environnement, agronomie, etc.). Il s’agit également de promouvoir les échanges entre les différents acteurs du monde de la géomatique (chercheurs et enseignants-chercheurs, ingénieurs, gestionnaires, aménageurs, entrepreneurs...) qui œuvrent au développement et à la valorisation des recherches au sein et auprès des organismes publics, des entreprises et des collectivités territoriales.

    Thèmes de la conférence :

    Acquisition de données spatiales : topographie, géo-senseurs, capteurs
    Aide à la décision spatiale et SIG, analyse multi-critères
    Algorithmes distribués et parallèles pour l’Information géographique
    Analyse d’images et de vidéos, traitement de flux d’informations géographiques
    Analyse des déplacements, des objets et des systèmes, analyse de trajectoires et de flux
    Analyse spatiale, géo-statistiques, modélisation de surfaces
    Applications mobiles spatio-temporelles et services géolocalisés, positionnement et navigation par satellites
    Cognition spatiale : perception et appropriation de l’espace
    Extraction et recherche d’information géographique
    Geo-visualisation et cartographie animée, multimedia, dynamique et interactive, langages visuels, Webmapping
    Géographie participative (VGI), collaboration, participation, médiation, modélisation d’accompagnement
    Gros volumes de données spatiales, Spatial Big Data
    Information géographique et réseaux sociaux
    Information géographique, enseignement de la géomatique et e-learning
    Infrastructures de données spatiales, interopérabilité, observatoires des données géographiques
    Intégration, fusion multi-échelle, généralisation
    Modélisation conceptuelle de données et des relations spatiales et temporelles
    Modélisation et gestion de l’incertitude, propagation des erreurs, analyse de sensibilité
    Modélisation et simulation de systèmes complexes, couplage de modèles
    Planification et géoprospective
    Raisonnement spatial, temporel, spatio-temporel
    Référentiels spatiaux : géodésie, gravimétrie, algorithmes géométriques, projections cartographiques
    Segmentation d’images, extraction de contours, morphologie mathématique
    Services web géographiques, SIG libres, crowdsourcing de données spatiales
    SIG et représentations 3D, virtuelles, augmentées
    Sociétés et usages de l’information géographique
    Systèmes dynamiques, multi-agents, automates cellulaires
    Télédétection, photogrammétrie et traitement d’images, LiDAR, observation de la Terre
    Web sémantique, ontologies spatio-temporelles, métadonnées

    Domaines d’application :

    Climat et changements globaux
    Écologie du paysage, environnement et cadre de vie, gestion des ressources naturelles
    Énergie
    Mers et océans, gestion des zones côtières et des littoraux
    Risques naturels ou industriels, vulnérabilité
    Santé et épidémiologie
    Transport
    Aménagement et urbanisme

    #sig #gis #géomatique #cartographie #sémiologie
    #colloques #idées #thema