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  • @la_voie_du
    la voie du jaguar @la_voie_du CC BY-NC-SA 2/01/2021
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    @rastapopoulos
    @val_k
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    Première partie : Une déclaration… pour la vie

    EZLN

    ▻https://lavoiedujaguar.net/Premiere-partie-Une-declaration-Pour-la-vie

    Frères, sœurs et compañer@s,

    Durant ces derniers mois, nous avons pris contact entre nous de différentes manières. Nous sommes femmes, lesbiennes, gays, bisexuels, transgenres, travestis, transsexuels, intersexes, queers et autres encore, hommes, groupes, collectifs, associations, organisations, mouvements sociaux, peuples originaires, associations de quartier, communautés et un long et cetera qui nous donne une identité.

    Nos différences et les distances entre nous viennent des terres, des ciels, des montagnes, des vallées, des steppes, des déserts, des océans, des lacs, des rivières, des sources, des lagunes, des races, des cultures, des langues, des histoires, des âges, des géographies, des identités sexuelles ou pas, des racines, des frontières, des formes d’organisation, des classes sociales, des capacités financières, du prestige social, de la popularité, des followers, des likes, des monnaies, des niveaux de scolarité, des manières d’être, des préoccupations, des qualités, des défauts, des pour, des contre, des mais, des cependant, des rivalités, des inimitiés, des conceptions, des argumentations, des contre-argumentations, des débats, des différends, des dénonciations, des accusations, des mépris, des phobies, des philies, des éloges, des rejets, des abus, des applaudissements, des divinités, des démons, des dogmes, des hérésies, des goûts, des dégoûts, des manières d’être, et un long et cetera qui nous rend différents et bien des fois nous oppose. (...)

    #EZLN #zapatistes #Mexique #Grèce #Allemagne #France #Pays_basque #Autriche #Belgique #Bulgarie #Catalogne #Chypre #Ecosse #Slovaquie #Europe #Angleterre #Irlande #Norvège #Portugal #République_tchèque #Russie #Suisse #Togo #État_espagnol #Italie #Argentine #Brésil #Canada #Chili #Colombie #Equateur #Etats-Unis #Pérou

    la voie du jaguar @la_voie_du CC BY-NC-SA
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  • @veronique_petit
    CEPED_MIGRINTER_ICMigrations_santé @veronique_petit 22/12/2020
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    @veronique_petit
    @02myseenthis01
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    Alarm at Colombia plan to exclude migrants from coronavirus vaccine | Global development | The Guardian
    ▻http://www.theguardian.com/global-development/2020/dec/22/colombia-coronavirus-vaccine-migrants-venezuela-ivan-duque
    ▻https://i.guim.co.uk/img/media/c0ee7969b7fa65920068fd2a0a540b02b520151d/0_91_4368_2622/master/4368.jpg?width=1200&height=630&quality=85&auto=format&fit=crop&overlay-ali

    Colombia will refuse to administer coronavirus vaccines to hundreds of thousands of Venezuelan refugees within its borders, President Iván Duque has announced, in a move which stunned public health experts and prompted condemnation from humanitarian groups. Speaking to a local radio station on Monday, Duque that only Venezuelans with dual nationality or formal migratory status will have access to the vaccine when it is eventually distributed in the country.According to migration authorities, Colombia currently houses 1.7 million Venezuelans who have fled political repression, economic ruin and widespread food and medicine shortages. Only about 45% have formal status, and hundreds more cross the border unofficially every day.Duque said the controversial decision was taken to prioritize Colombians, and to prevent a rush on the border. “Imagine what we would live through,” he told Blu Radio on Monday morning. “We would have calls to stampede the border as everyone crosses asking for a vaccine.”
    But the comments prompted an immediate backlash.
    “Now is the time to show solidarity; vaccinating migrants and refugees costs less than their hospitalization in an intensive care unit,” said Juan Viloria, a Venezuelan doctor in Colombia and the coordinator of Coalition for Venezuela, a migrant rights group. “Not doing so puts thousands at risk, particularly those most vulnerable who do not have anywhere to isolate, wash their hands, or socially distance,” Viloria added.
    Meanwhile, Colombia faces a resurgent coronavirus outbreak, with cases climbing by over 10,000 a day following months of respite. Lockdowns and other restrictions over the Christmas period have been put in place by local mayors.“Not vaccinating Venezuelans is a bad idea from an epidemiological point of view,” tweeted Alejandro Gaviria, a public intellectual and the dean of Los Andes University in Bogotá.“But it is above all an unethical proposal: it excludes the most vulnerable and discriminates in an almost threatening way against a group of people because of their nationality and immigration status.”Colombia signed deals with the pharmaceutical companies Pfizer and AstraZeneca last Friday to provide 20m doses of Covid-19 vaccines. Duque said at the time that rollout would begin “in the first weeks of 2021”.
    Andrés Cubillos-Novella, a professor of public health specializing in migration at the Javeriana University in Bogotá, warned that not vaccinating migrants and refugees would create broader problems for Colombia’s health response.
    “Many vulnerable migrants live among vulnerable Colombians, and much of that population will be put at risk: access to the vaccine is a question of human rights,” Cubillos-Novella said, adding that the government’s decision may have been made due to financial restraints. “Perhaps that is where international aid could step in.”The Colombian president’s announcement also flies in the face of advice from international organisations which have warned against leaving migrants and refugees behind in vaccination campaigns.“This decision is not ethical or effective,” said Marianne Menjivar, Colombia director for the International Rescue Committee. “We can’t beat Covid anywhere until we beat it everywhere, among all populations, especially those most vulnerable.”

    #Covid-19#migrant#migration#colombie#venezuela#vaccination#inclusion#vulnerabilite#santepublique#c

    CEPED_MIGRINTER_ICMigrations_santé @veronique_petit
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  • @veronique_petit
    CEPED_MIGRINTER_ICMigrations_santé @veronique_petit 12/12/2020
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    @veronique_petit
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    HCR - Il faut aider d’urgence les réfugiés et migrants vénézuéliens confrontés aux traumatismes et aux difficultés
    ▻https://www.unhcr.org/fr/news/briefing/2020/12/5fd36c37a/aider-durgence-refugies-migrants-venezueliens-confrontes-traumatismes-difficu

    https://www.unhcr.org/thumb3/5fd338c83.jpg

    Le HCR, l’Agence des Nations Unies pour les réfugiés, lance une mise en garde sur les niveaux de traumatisme et de désespoir sans précédent parmi les réfugiés et les migrants nouvellement arrivés depuis le Venezuela. Beaucoup d’entre eux arrivent dans des conditions désastreuses au sein des communautés d’accueil durement touchées par la pandémie. Un soutien urgent est nécessaire pour les protéger et leur venir en aide.Comme les frontières sont toujours fermées dans la région, les personnes franchissent les frontières par des points de passage informels où opèrent des groupes armés illégaux ainsi que des réseaux de passeurs et de traite des êtres humains. Selon des évaluations rapides menées sur le terrain, environ 500 à 700 personnes quittent le Venezuela chaque jour et sont exposées à des risques accrus de violence, d’exploitation et de traite des êtres humains. Certaines rapportent avoir subi des vols, des extorsions, des violences et des abus dans les zones de transit et frontalières, au cours de leur périple en quête de sécurité.
    Selon les informations fournies par les employés du HCR sur le terrain, 70% des nouveaux arrivants en Colombie ont fait le voyage à pied, certains avec seulement les vêtements portés ce jour-là. Alors que les conditions au Venezuela continuent à se détériorer, beaucoup arrivent en Colombie affaiblis et en état de malnutrition, ayant fait face à la paupérisation et aux difficultés depuis de nombreux mois.Le personnel du HCR sur le terrain dans les zones frontalières observe une augmentation notable du nombre de femmes, d’hommes et d’enfants qui arrivent seuls et dans un état d’extrême précarité. Parmi eux se trouvent des enfants et des adolescents non accompagnés qui ont quitté leur famille ou en ont été séparés.
    Beaucoup souffrent de traumatisme et de détresse psychologique, et ont un besoin immédiat de protection et d’aide humanitaire, notamment en matière de soins de santé, d’hébergement, de nourriture et de soutien psychosocial. Les enfants non accompagnés et séparés, les personnes handicapées et les populations indigènes ont également besoin de soins spécialisés et de prestations de protection.
    Du fait de la fermeture des frontières, beaucoup sont obligés d’entrer en Colombie et dans d’autres pays d’accueil par des points de passage frontière informels, ce qui rend difficile la régularisation de leur statut. Par conséquent, ils ont un accès limité aux droits fondamentaux et aux services essentiels, et risquent également d’être expulsés, de faire l’objet de la traite des êtres humains, du travail forcé ou de l’exploitation sexuelle. Par crainte d’être détenus ou expulsés, certains réfugiés et migrants hésitent à s’adresser aux organisations humanitaires pour obtenir de l’aide, ainsi qu’aux autorités compétentes.

    #Covid-19#migrant#migration#venezuela#colombie#paysdetransit#sante#santementale#frontiere#accessante#violence#handicap

    CEPED_MIGRINTER_ICMigrations_santé @veronique_petit
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  • @veronique_petit
    CEPED_MIGRINTER_ICMigrations_santé @veronique_petit 12/12/2020
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    @veronique_petit
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    L’OIM distribue des bons d’alimentation aux réfugiés et migrants vulnérables touchés par la COVID-19 au Brésil | Organisation internationale pour les migrations
    ▻https://www.iom.int/fr/news/loim-distribue-des-bons-dalimentation-aux-refugies-et-migrants-vulnerables-touc

    https://www.iom.int/sites/default/files/styles/highlights/public/press_release/media/26.11.2020_entrega_cartoes_warao_bsb_c_jhack_1_12.jpg?itok=0-IYohIY

    Brasilia - Près de 4 000 réfugiés et migrants vulnérables au Brésil, touchés par les restrictions de mobilité et les conséquences socioéconomiques de la pandémie de COVID-19, reçoivent des bons de l’Organisation internationale pour les migrations (OIM) pour acheter de la nourriture et d’autres produits de base. Ces bons sont des offres uniques, d’une valeur d’environ 100 dollars.L’OIM coordonne étroitement l’activité avec les gouvernements locaux et 31 partenaires humanitaires, en donnant la priorité aux familles avec enfants et aux personnes âgées qui sont confrontées à l’insécurité alimentaire en raison de l’absence d’un revenu régulier.La distribution des bons a lieu dans plus de la moitié des États du Brésil, États qui ont été sélectionnés en fonction des lieux où vivent les réfugiés et les migrants les plus vulnérables. En particulier, les Vénézuéliens réinstallés par le gouvernement fédéral sont une priorité absolue. Ils résident à São Paulo, Rio de Janeiro, Paraná, Rio Grande do Sul, Santa Catarina, Minas Gerais, Pará, dans le Pernambouc, et dans le district fédéral de Brasilia.
    D’autres États ont été sélectionnés sur la base des demandes des gouvernements locaux et des organisations de la société civile, comme l’État de l’Acre. Nombre d’entre eux sont situés dans la zone frontalière partagée par le Brésil, la Bolivie et le Pérou, où les migrants et les réfugiés sont bloqués en raison des restrictions frontalières imposées par la COVID-19.En septembre, l’OIM a fait état des entraves à la mobilité qui sont l’un des effets les plus fréquents de la COVID-19 sur différentes catégories de réfugiés et de migrants en Amérique latine, en particulier les Vénézuéliens.
    De nombreux migrants sont dans l’incapacité de poursuivre leur voyage et restent bloqués dans les pays de transit ; beaucoup d’autres ne peuvent pas ne pas quitter leur pays pour entreprendre les premières étapes de leur périple. Des migrants bloqués dans les aéroports, les zones de passage des frontières terrestres ou en mer ont été signalés à de nombreuses reprises, tout comme les migrants campant devant les ambassades pour demander l’aide de leur gouvernement (par exemple, des centaines de migrants de l’État plurinational de Bolivie, de Colombie, d’Équateur, du Pérou et de la République bolivarienne du Venezuela ont campé devant leurs ambassades respectives au Chili pour demander de l’aide pour rentrer chez eux).

    #Covid-19#migrant#migration#bresil#venezuela#bolivie#perou#equateur#colombie#transit#frontiere#sante#alimentation#vulnerabilite

    CEPED_MIGRINTER_ICMigrations_santé @veronique_petit
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  • @rastapopoulos
    RastaPopoulos @rastapopoulos CC BY-NC 29/11/2020

    Los reyes de la champeta
    ▻https://www.youtube.com/watch?v=jdxmAaF8l4s

    L’Afrocolombia de Lucas Silva : Paris, Porte d’Afrique
    ▻https://pan-african-music.com/afrocolombia-lucas-silva-episode-1

    https://storage.googleapis.com/assets-pam-blog/2020/11/10b568ae-img_9053-dj-champetaman-nice-copie-1010x673.jpg

    Épisode 1. Lucas Silva s’est passionné pour les liens qui unissent l’Afrique et son pays, la Colombie, au point de faire découvrir au reste du monde les richesses musicales issues de cette connexion. Il nous raconte ses longues années de recherches et de découvertes, dont Paris fut une étape cruciale.

    #musique #Colombie #Afrique #champeta #Lucas_Silva #colonisation #esclavage

    RastaPopoulos @rastapopoulos CC BY-NC
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  • @la_voie_du
    la voie du jaguar @la_voie_du CC BY-NC-SA 22/11/2020
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    @rastapopoulos
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    EZLN : trente-sept ans de dignité et d’autonomie

    Raúl Zibechi

    ▻https://lavoiedujaguar.net/EZLN-trente-sept-ans-de-dignite-et-d-autonomie

    En ces temps féroces, il y a peu à célébrer. Tandis que l’obscurité du système devient routinière, lorsque ceux d’en haut nous dépossèdent par la mort et la violence, les lumières d’en bas brillent de tout leur éclat, déchirant la nuit, illuminant les chemins et les pentes. Le trente-septième anniversaire de l’Armée zapatiste de libération nationale est certainement la lumière la plus puissante du firmament latino-américain.

    L’EZLN fête son trente-septième anniversaire en faisant face à l’une des plus grandes offensives militaires depuis longtemps, encouragée par le gouvernement progressiste d’Andrés Manuel López Obrador, par le gouvernement du Chiapas et plusieurs municipalités de ce État, qui ont lancé une guerre d’usure contre les territoires autonomes, pour dépouiller et détruire l’EZLN et ses bases de soutien.

    Mais que célébrons-nous dans les faits ? La continuité et la persévérance d’un mouvement révolutionnaire différent de tout ce qui l’a précédé, quelque chose que nous devons considérer dans toute sa transcendance. Non seulement ils n’ont pas capitulé, ne se sont pas vendus et n’ont pas trahi, mais ils n’ont pas répété le schéma avant-gardiste qui, en transformant leurs dirigeants en nouvelles élites, reproduit la culture dominante. (...)

    #Raúl_Zibechi #Mexique #EZLN #zapatistes #autonomie #dignité #persévérance #Chili #Argentine #Colombie #Pérou

    la voie du jaguar @la_voie_du CC BY-NC-SA
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  • @justiceinfo
    JusticeInfo @justiceinfo 16/10/2020

    Colombie : les FARC sous pression sur les crimes contre les enfants soldats
    ▻https://www.justiceinfo.net/fr/tribunaux/tribunaux-nationaux/45673-colombie-farc-pression-crimes-enfants-soldats.html

    https://www.justiceinfo.net/media/k2/items/cache/8a7412a5720931b5d065ce8caa9c8be8_S.jpg

    Le mois dernier, la Juridiction spéciale pour la paix en Colombie – connue sous le nom de JEP – a décidé d’autoriser des audiences préliminaires publiques. Cela a poussé les anciens membres des Forces armées révolutionnaires de Colombie (FARC) à davantage reconnaître le recrutement forcé d’enfants dans leurs rangs, sujet d’une macro-affaire ouverte par la JEP. Mais de nombreuses vérités sont encore tues dans le débat sur les enfants soldats.

    Sandra Ramírez, ancienne rebelle des Forces armées révolutionnaires de Colombie (FARC) et négociatrice dans les pourparlers de paix, est entrée dans l’histoire lorsqu’elle a été élue, en juillet dernier, à la deuxième vice-présidence du Congrès, un exploit qu’aucun autre ancien rebelle n’avait réalisé auparavant dans un pays qui a vu plusieurs groupes armés illégaux (...)

    #Tribunaux_nationaux

    JusticeInfo @justiceinfo
    • @cdb_77
      CDB_77 @cdb_77 16/10/2020

      #enfants_soldats #Colombie #JEP #FARC

      CDB_77 @cdb_77
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  • @aurelie1
    CETRI - Centre tricontinental @aurelie1 25/09/2020

    Plus d’un millier de syndicalistes et d’activistes assassinés en #Colombie depuis l’accord de #Paix
    ▻https://www.cetri.be/Plus-d-un-millier-de-syndicalistes

    Il y a quatre ans, le 26 septembre 2016, était signé un accord de paix entre les autorités colombiennes et les Forces armées révolutionnaires de Colombie (FARC), censé mettre fin à cinquante-deux ans de conflit armé. Mais la paix, les Colombiens et Colombiennes l’attendent toujours. Une analyse du chercheur Frédéric Thomas (CETRI), parue dans Bastamag. Contrairement à ses deux grands voisins, le Venezuela et le Brésil, la Colombie n’occupe guère de place dans nos médias. À croire que, longtemps coincé (...) #Le_regard_du_CETRI

    / Colombie, Paix, Basta !, #Homepage_-_Actualités_à_la_une, #Le_Sud_en_mouvement, Le regard du (...)

    #Basta_ ! #Le_regard_du_CETRI

    CETRI - Centre tricontinental @aurelie1
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  • @aurelie1
    CETRI - Centre tricontinental @aurelie1 25/09/2020

    #Colombie : en attendant la #Paix ?
    ▻https://www.cetri.be/Colombie-en-attendant-la-paix

    Il y a quatre ans, le 26 septembre 2016 était signé un accord de paix entre les autorités colombiennes et les Forces armées révolutionnaires de Colombie (FARC), devant mettre fin à cinquante-deux ans de conflit armé. Mais la paix ressemble, pour les Colombiens et Colombiennes, à Godot dans la fameuse pièce de Samuel Becket ; celle que l’on attend et dont on ne cesse de parler, et qui n’arrive jamais. Contrairement à ses deux grands voisins, le Venezuela et le Brésil, la Colombie n’occupe guère de place (...) #Le_regard_du_CETRI

    / Colombie, Paix, Basta !, #Homepage_-_Actualités_à_la_une, #Le_Sud_en_mouvement, Le regard du (...)

    #Basta_ ! #Le_regard_du_CETRI

    CETRI - Centre tricontinental @aurelie1
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  • @la_voie_du
    la voie du jaguar @la_voie_du CC BY-NC-SA 8/09/2020

    Colombie
    La Confédération paysanne solidaire
    de la lutte pour la récupération des terres du peuple nasa

    Confédération paysanne

    ▻https://lavoiedujaguar.net/Colombie-La-Confederation-paysanne-solidaire-de-la-lutte-pour-la-rec

    Depuis six ans les communautés indigènes du nord du Cauca, département de Colombie, ont ravivé les processus de récupération de terres qui leur ont été volées lors de la colonisation, épisodes de luttes acharnées.

    En décembre 2014, le peuple nasa occupe plusieurs propriétés terriennes détenues par les géants de la canne à sucre dont les monocultures s’étendent sur des centaines d’hectares dans la vallée. Ces terres sont les plus fertiles du département. Ce sont aussi celles dont ont été chassé·e·s les indigènes pendant la colonisation, où ils et elles ont été exploité·e·s par la suite, avec d’autres travailleu·se·rs pauvres, pour le compte des industries capitalistes qui gèrent la production de sucre de canne.

    Pendant les récupérations, la canne à sucre est coupée, les terres sont amendées et semées, réaménagées pour garantir un équilibre biologique depuis longtemps anéanti. Des animaux sont installés, pour paître les espaces non cultivés. Une véritable réappropriation paysanne pour l’autonomie et l’autosuffisance alimentaire. C’est une lutte que les communautés indigènes ont nommé « la libération de la Terre Mère », un « apport simple aux luttes du monde pour rétablir l’équilibre de la vie, détruit par le délire capitaliste ». « C’est pour cela qu’ils nous assassinent » et « c’est pour cela que nous sommes toujours debout ». (...)

    #Colombie #peuple_nasa #terres #libération #répression #assassinats #Confédération_paysanne #solidarité

    la voie du jaguar @la_voie_du CC BY-NC-SA
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  • @lemedia
    lemediatv [RSS] @lemedia CC BY-NC-SA 26/08/2020

    Détention d’Uribe : la #Colombie affronte ses démons
    ▻https://www.lemediatv.fr/articles/2020/detention-duribe-la-colombie-affronte-ses-demons--LTsWpwXQi6J-Q7ALN7sBg

    Le mentor de la droite colombienne a été assigné à résidence et placé en détention provisoire, une première pour un ancien président. Entre crimes d’État et complicité avec les paramilitaires, les plaies béantes du conflit armé resurgissent.

    #Amérique_du_Sud #International #Répression

    https://static.lemediatv.fr/stories/2020/thumb_story_list-detention-duribe-la-colombie-affronte-ses-demons--LTsWpwXQi6J-Q7ALN7sBg.jpg

    lemediatv [RSS] @lemedia CC BY-NC-SA
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  • @cdb_77
    CDB_77 @cdb_77 17/08/2020
    @odilon

    Un #rapport de l’ONU s’inquiète de l’augmentation des #violences_sexuelles liées aux #conflits

    Malgré une décennie de lutte, l’#ONU constate que les violences sexuelles restent une #arme_de_guerre dans de nombreux conflits et qu’elles continuent d’augmenter sur toute la planète. L’ONU analyse dans son dernier rapport (https://news.un.org/fr/story/2020/07/1073341) les violations constatées dans 19 pays, principalement contre des jeunes #filles et des #femmes.

    Les violences sexuelles augmentent dans la plupart des #conflits_armés. C’est ce qui ressort du dernier rapport de l’ONU sur les violences sexuelles liées aux conflits publié en juillet dernier.

    Le rapport insiste sur le fait que ce type de violence a un impact direct sur les déplacements en masse de populations, la montée de l’extrémisme, des inégalités et des discriminations entre les hommes et les femmes. Par ailleurs, selon l’ONU, les violences sexuelles sont particulièrement répandues dans des contextes de détention, de captivité et de migration.

    Fin 2019, plus de 79 millions de personnes se trouvaient déplacées dans le monde. Cela signifie que près d’un pourcent de la population mondiale a dû abandonner son domicile à cause d’un conflit ou de persécutiosn. L’an denier, le nombre de déplacés a augmenté, tout comme le niveau de violences sexuelles se produisant sur des sites accueillant des déplacés.

    Ces violences ont notamment lieu quand des femmes et des filles mineures fuient des attaques. Ce 11ème rapport du Secrétaire général de l’ONU (en anglais) sur ce sujet se penche particulièrement sur les violences sexuelles utilisées comme tactiques de guerre ou comme une arme utilisée par les réseaux terroristes.

    Il dresse la situation dans 19 pays, entre janvier et décembre 2019, et se base sur des cas documentés par les Nations unies.

    En tout, 2 838 cas de violences sexuelles ont été rapportés dans ces 19 pays. Dans 110 cas, soit environ 4 % des cas, les victimes sont des hommes ou des garçons.

    #Afghanistan

    En 2019, la Mission d’assistance des Nations unies en Afghanistan (MANUA) a documenté 102 cas de violences sexuelles : 27 étaient liées au conflit qui oppose le pouvoir aux rebelles Talibans, touchant 7 femmes, 7 filles et 13 garçons.

    Alors que la plupart des agressions sont attribuées aux Talibans, les forces de sécurité et des milices pro-gouvernementales ont également été impliquées.

    https://scd.infomigrants.net/media/resize/my_image_big/3ec20cd10e67fc0b925f342320d40dc7e6914c20.jpeg

    #Centrafrique

    La Mission des Nations unies en Centrafrique (MINUSCA) a confirmé 322 incidents de violences sexuelles liées aux conflits, affectant 187 femmes, 124 filles, 3 hommes, 2 garçons, et 6 femmes d’âge inconnu. Parmi ces cas, 174 sont des viols ou tentatives de viol et 15 cas sont des mariages forcés.

    Le gouvernement de Bangui a signé avec les groupes armés, en février 2019, un accord de paix qui appelle à la fin de toutes formes de violences liées au sexe. Mais les signataires continuent d’utiliser la violence sexuelle comme moyen de terroriser les civils, conclut le rapport de l’ONU.

    #Colombie

    En 2019, un organisme de l’État venant en aide aux victimes a recensé 356 victimes de violences sexuelles liées aux conflits dans un pays où sévissent de nombreux groupes criminels et armés. Dans quasiment 90 % des cas, il s’agissait de femmes et de filles. Près de la moitié des victimes avaient des origines africaines.

    51 cas d’abus ont été commis sur des enfants (31 filles et 20 garçons). Dans au moins une dizaine de cas, les agresseurs présumés appartenaient au groupe rebelle de l’Armée de libération nationale ou à d’autres groupes armés et organisations criminelles.

    #RDC

    En 2019, la mission de l’ONU en #République_démocratique_du_Congo (MONUSCO), a documenté 1 409 cas de violences sexuelles liées aux conflits, ce qui représente une hausse de 34 % depuis 2018.

    Parmi ces cas, 955 sont attribués à des groupes armés. Mais des membres de l’armée congolaise sont eux aussi impliqués dans 383 agressions. Enfin, la police nationale est responsable dans 62 cas.

    #Irak

    Au cours de l’année 2019, des civils qui étaient détenus par l’organisation de l’État islamique (OEI) en Syrie ont continué à retourner en Irak. Certains sont des survivants de violences sexuelles.

    En novembre dernier, le gouvernement régional du Kurdistan irakien a publié des statistiques sur les cas de disparition dans la communauté des Yazidis depuis 2014. Plus de 6 400 Yazidis ont ainsi été enlevés. Parmi eux près de 3 500 ont été libérés, en grande partie des femmes et des filles.

    Une commission crée en 2014 par les autorités régionales kurdes pour faire la lumière sur les crimes commis par l’OEI a enregistré plus de 1 000 cas de violences sexuelles liées aux conflits. Ces abus ont en grande partie touché les femmes et filles yazidies.

    https://scd.infomigrants.net/media/resize/my_image_big/3c947abccf19d7b80961448024d4a5dbc34ec51e.jpeg

    #Libye

    La mission de l’ONU en Libye (MANUL) n’a pu vérifier que 7 cas de violences sexuelles qui ont touché 4 femmes, deux filles et un homme activiste pour les droits des LGBTQ.

    D’après le rapport, les femmes retenues dans le centre de détention très controversé de #Mitiga n’ont aucune possibilité de contester la légalité de leur détention. Ce centre est contrôlé par la « Force de dissuasion » qui est placée sous la responsabilité du ministère libyen de l’Intérieur.

    Quatre prisonnières ont été violées et forcées de se montrer nues. L’activiste pour les droits des LGBTQ a été victime d’un viol en groupe perpétré par des gardiens de la Force de dissuasion.

    La MANUL a aussi rapporté des schémas de violences et d’exploitation sexuelles, d’extorsion et de trafic de migrants dans des centres de détention de #Zaouïa, #Tadjourah, #Garian, #Tariq_al_Sikka à #Tripoli et #Khoms qui sont liés aux autorités chargées de la lutte contre la migration illégale.

    Certaines femmes et filles migrants sont exposées au risque d’être vendues pour des travaux forcés ou être exploitées sexuellement dans des réseaux criminels internationaux, dont certains sont liés aux groupes armées présents en Libye. A Tariq al-Sikka, deux filles, frappées en public, ont été victimes d’abus sexuels.

    #Mali

    En 2019, la force onusienne au Mali (MINUSMA) a enquêté sur 27 cas de violences sexuelles liées aux conflits, commis contre 15 femmes, 11 filles et un homme. Des accusations d’esclavage sexuel, de mariages forcés, de castration et de grossesses forcées ont également été rapportées.

    #Birmanie (#Myanmar)

    L’absence de responsabilité pour des violences sexuelles perpétrées contre la minorité musulmane #Rohingyas reste de mise.

    Une mission d’enquête sur les violences sexuelles en Birmanie a montré que ce genre d’agressions étaient une marque de fabrique de l’armée birmane lors des opérations qu’elle a menées en 2016 et 2017.

    De plus, comme le rappelle le rapport de l’ONU, les abus sexuels commis contre les femmes et filles Rohingyas étaient une #tactique_de_guerre qui avait pour objectif d’intimider, de terroriser et de punir les populations civiles.

    https://scd.infomigrants.net/media/resize/my_image_big/b595de5ed66359f02b09bbf203bbfcd6324a361a.jpeg

    #Somalie

    La mission de l’ONU en Somalie (ONUSOM) a confirmé près de 240 cas de violences sexuelles liées aux conflits, dont l’immense majorité contre des mineures. Elles sont en majorité attribuées à des hommes armés non identifiés, au groupe des #Shebabs somaliens, mais aussi à des forces de #police locales et à l’armée somalienne. Près de la moitié de ces abus ont été commis dans l’État de #Jubaland, dans le sud-ouest du pays.

    #Soudan_du_Sud

    La mission onusienne de maintien de la paix au Soudan du Sud (MINUSS) a documenté 224 cas de violences sexuelles liées aux conflits, touchant 133 femmes, 66 filles, 19 hommes et 6 garçons.
    Soudan

    En 2019, l’opération de l’ONU au #Darfour (MINUAD) a constaté 191 cas de violences sexuelles contre des femmes et des filles. Les viols et tentatives de viol ont constitué près de 80 % des cas.

    Les agressions ont été attribuées à des nomades armés, des membres de l’#Armée_de_libération_du_Soudan et à des miliciens. Les forces de sécurité du gouvernement, dont les forces armés soudanaises et la police ont également été impliquées.

    #Nigeria

    En 2019, l’ONU a recensé 826 allégations de violences sexuelles liées aux conflits, dont des viols et des #mariages_forcés.

    La quasi-totalité de ces cas sont attribués à des #groupes_armés, dont #Boko_Haram et la #Civilian_Joint_Task_Force, une #milice d’autodéfense. Les forces de sécurité de l’État sont impliquées dans 12% des cas.

    https://scd.infomigrants.net/media/resize/my_image_big/dcf178ef0b0d1afabfb932131d5425d1814ceae6.jpeg

    Les efforts de l’ONU restent vains

    En avril 2019, une résolution (https://www.un.org/press/fr/2019/cs13790.doc.htm) adoptée par le Conseil de sécurité des Nations unies reconnait le besoin d’une approche centrée sur les survivants pour informer et mettre en place des mesures pour lutter contre les violences sexuelles liées aux conflits.

    La #résolution ne peut que constater que « malgré le condamnation répétées des violences, dont les violences sexuelles contre des femmes et des enfants dans des situations de conflit, et malgré l’appel à toutes les parties prenantes dans les conflits armés pour qu’elles cessent ce genre d’actes, ces derniers continuent de se produire. »

    Le rapport conclut en rappelant que l’#impunité accompagne souvent les #abus et que les efforts des parties impliquées dans un conflit à suivre les résolutions de l’ONU restent très faibles.

    https://www.infomigrants.net/fr/post/26635/un-rapport-de-l-onu-s-inquiete-de-l-augmentation-des-violences-sexuell
    #guerres #guerre #viols

    ping @odilon

    CDB_77 @cdb_77
    • @cdb_77
      CDB_77 @cdb_77 17/08/2020

      Violence sexuelle liée aux conflits : l’ONU plaide pour une nouvelle décennie d’action

      https://global.unitednations.entermediadb.net/assets/mediadb/services/module/asset/downloads/preset/Libraries/Production+Library/17-07-2020_UNSC_Angelina_Jolie_Sexual_violence.jpg/image1024x768.jpg

      Il faut continuer à garder les crimes de violence sexuelle dans les conflits et leurs auteurs sous les projecteurs de la communauté internationale, a plaidé vendredi Pramilla Patten, la Représentante spéciale du Secrétaire général de l’ONU sur la violence sexuelle dans les conflits.

      « Comme le dit la célèbre maxime juridique : justice doit être rendue et être vue comme étant rendue. Les survivantes doivent être considérées par leur société comme les détentrices de droits qui seront, en fin de compte, respectés et appliqués », a déclaré Mme Patten lors d’un débat du Conseil de sécurité sur ce thème.

      Outre Mme Patten, l’Envoyée spéciale du Haut-Commissaire des Nations Unies pour les réfugiés, Angelina Jolie et deux responsables d’ONG, Khin Omar, fondatrice et présidente de Progressive Voice s’exprimant au nom du groupe de travail des ONG sur les femmes, la paix et la sécurité, et Nadia Carine Thérèse Fornel-Poutou, présidente de l’Association des femmes juristes de la République centrafricaine, ont pris la parole devant le Conseil.

      Selon la Représentante spéciale, le débat au Conseil de sécurité ouvre la voie à une nouvelle décennie d’action décisive, selon trois axes :

      Premièrement, l’autonomisation des survivantes et des personnes à risque grâce à des ressources accrues et à une prestation de services de qualité, afin de favoriser et de créer un environnement propice dans lequel elles peuvent signaler les violations en toute sécurité et demander réparation.

      Deuxièmement, agir sur la base des rapports et des informations reçus pour faire en sorte que les parties prenantes respectent les normes internationales.

      Troisièmement, le renforcement de la responsabilité en tant que pilier essentiel de la prévention et de la dissuasion, garantissant que lorsque les parties prenantes ne respectent pas leurs engagements, elles sont dûment tenues de rendre des comptes.

      « La prévention est la meilleure réponse. Pourtant, nous avons du mal à mesurer - ou même à définir - les progrès du pilier prévention de ce programme. Le respect est un exemple concret : la violence sexuelle persiste non pas parce que les cadres et obligations existants sont inadéquats, mais parce qu’ils sont mal appliqués », a souligné Mme Patten.

      « La résolution 1820 de 2008 ne demandait rien de moins que ‘la cessation immédiate et complète par toutes les parties aux conflits armés de tous les actes de violence sexuelle contre les civils’. Cette résolution a écrit une nouvelle norme et a tracé une ligne rouge. Maintenant, nous devons démontrer clairement quelles sont les conséquences quand elle est franchie », a-t-elle ajouté.
      Aller au-delà de la rhétorique

      De son côté, Angelina Jolie a rappelé la résolution 2467 adoptée par le Conseil de sécurité l’an dernier.

      « C’était la première à placer les survivantes, leurs besoins et leurs droits au centre de toutes les mesures. Mais les résolutions, les mots sur papier, ne sont que des promesses. Ce qui compte, c’est de savoir si les promesses sont tenues », a dit l’actrice américaine devant les membres du Conseil de sécurité.

      Celle qui est également réalisatrice de films a noté que la résolution 2467 a promis des sanctions, la justice et des réparations pour les victimes et la reconnaissance des enfants nés de viol.

      « Ce sont toutes des promesses qui doivent être tenues. Je vous exhorte donc tous à vous réengager aujourd’hui à tenir ces promesses : aller au-delà de la rhétorique et mettre en œuvre vos décisions », a dit Angelina Jolie.

      « Je vous prie de demander des comptes aux auteurs, d’aborder les causes profondes et structurelles de la violence et de la discrimination sexistes dans vos pays. Et s’il vous plaît, augmentez d’urgence le financement des programmes qui répondent aux besoins de tous les survivants, et en particulier des victimes invisibles - les enfants », a ajouté la star du cinéma qui a fait preuve ces 20 dernière années d’un engagement pour les causes humanitaires, notamment en faveur des réfugiés et des droits des femmes et enfants.

      https://www.infomigrants.net/fr/post/26635/un-rapport-de-l-onu-s-inquiete-de-l-augmentation-des-violences-sexuell

      CDB_77 @cdb_77
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  • @ceped_migrinter_droitetorganisationsinternationales
    ceped_migrinter_droitetorganisationsinternationales @ceped_migrinter_droitetorganisationsinternationales 22/07/2020
    1
    @ceped_migrinter_droitetorganisationsinternationales
    1

    Desperate living conditions on Venezuela/Colombia border plumb new depths, amid COVID-19 fears - Colombia | ReliefWeb
    ▻https://reliefweb.int/report/colombia/desperate-living-conditions-venezuelacolombia-border-plumb-new-depths-ami

    https://reliefweb.int/sites/reliefweb.int/files/styles/attachment-large/public/headline-images/colombia--guajira_1040x585.jpg?itok=DbpqDQMH

    he arid and over-crowded conditions of La Guajira on the Venezuela/ Colombia border are a potential death trap for the thousands of Venezuelan migrants living in temporary shelters in fear for their lives because of COVID-19 and the lockdown, says HelpAge International today.
    Most at risk are the almost 5,000 older migrants living in La Guajira. According to a survey of the region - carried out by HelpAge in January 2020 - 84% of them have no handwashing facilities and 78% have no access to safe drinking water. This has not improved since the outbreak of COVID and creates serious obstacles to protecting a population at risk from the virus.

    #Covid19#migrant#migration#venezuela#colombie#frontiere

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  • @veronique_petit
    CEPED_MIGRINTER_ICMigrations_santé @veronique_petit 20/07/2020
    1
    @veronique_petit
    1

    Au Venezuela, le pouvoir accuse les migrants qui rentrent de propager le coronavirus
    ▻https://www.lemonde.fr/international/article/2020/07/20/au-venezuela-le-pouvoir-accuse-les-migrants-qui-rentrent-de-propager-le-covi

    https://img.lemde.fr/2020/07/20/377/0/6720/3356/1440/720/60/0/b87b618_146619625-028252.jpg

    Si, pour Donald Trump, le coronavirus est chinois, pour Nicolas Maduro il est colombien. « Nous livrons une terrible bataille pour stopper le virus colombien qui s’étend au Venezuela », lançait le président vénézuélien le 6 juillet lors d’une allocution télévisée. En évoquant une « explosion des cas importés », M. Maduro accuse son homologue colombien et féroce ennemi, Ivan Duque, de vouloir délibérément « infecter » le Venezuela. Pour le gouvernement chaviste, les milliers de migrants vénézuéliens qui rentrent au pays représentent un danger sanitaire. Jeudi, le ministre de l’intérieur, Nestor Reverol, « déclarait la guerre » aux migrants du retour qui passent la frontière clandestinement. Sur Twitter, un jésuite sympathisant du chavisme, le père Numa Molina, les qualifiait de « bioterroristes ». La Compagnie de Jesus a publié vendredi un communiqué pour condamner les propos de son disciple. L’opposition et les organisations de défense des droits humains s’insurgent contre cette rhétorique du gouvernement qui stigmatise les migrants rentrés illégalement et participe de la « xénophobie endogène » qui s’installe. En dénonçant « le supplice » que vivent les Vénézuéliens qui rentrent dans leur pays, l’organisation Human Rights Watch (HRW) rappelle que la situation d’urgence humanitaire au Venezuela ne résulte pas d’une catastrophe naturelle mais de politiques gouvernementales.

    #Covid-19#migrant#migration#colombie#venezuela#sante#contamination#stigmatisation#dangersanitaire#urgencesanitaire#droit

    CEPED_MIGRINTER_ICMigrations_santé @veronique_petit
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  • @veronique_petit
    CEPED_MIGRINTER_ICMigrations_santé @veronique_petit 4/07/2020
    3
    @veronique_petit
    @simplicissimus
    @02myseenthis01
    3

    ’Get me back to Caracas’: desperate Venezuelans leave lockdown Bogotá | Global development | The Guardian
    ▻https://www.theguardian.com/global-development/2020/jul/04/get-me-back-to-caracas-desperate-venezuelans-leave-lockdown-bogota
    ▻https://i.guim.co.uk/img/media/53220cc80fda2fbb5b9acda93b000c1863735324/90_0_4920_2952/master/4920.jpg?width=1200&height=630&quality=85&auto=format&fit=crop&overlay-ali

    More than 4 million Venezuelans have now left, with about 5,000 crossing into neighbouring Colombia each day at the end of last year, according to data from the UN High Commissioner for Refugees (UNHCR). Nearly 2 million live in Colombia.But now, with lockdown shuttering businesses and keeping customers away, there is little work for Venezuelans such as Vera. Unable to pay rent, she was evicted from the house she shared with other migrants in the south of Bogotá. She has spent the past month camped outside a bus terminal on the northern outskirts of the city. Vera, like the 430 others here, would rather be home in Venezuela, where at least shelter is guaranteed. “I can knock on doors but if there’s no work, what can I do?” Vera asks, as she washes her clothes in a stream. “Going home is the only option I have. “The dream is to get home and get a roof over my head,” Vera says. “With a little help from God, I’ll get there.”

    #Covid-19#migrant#migration#venezuela#colombie#sante#vulnerabilite#confinement

    CEPED_MIGRINTER_ICMigrations_santé @veronique_petit
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  • @ceped_migrinter_droitetorganisationsinternationales
    ceped_migrinter_droitetorganisationsinternationales @ceped_migrinter_droitetorganisationsinternationales 15/06/2020
    1
    @ceped_migrinter_droitetorganisationsinternationales
    1

    Colombia: Migration and Health Program - Activities for COVID-19 preparedness and response, March - April 2020 - Colombia | ReliefWeb
    ▻https://reliefweb.int/report/colombia/colombia-migration-and-health-program-activities-covid-19-preparedness-an

    https://reliefweb.int/sites/reliefweb.int/files/styles/attachment-large/public/resources-pdf-previews/1521951-Colombia+Activities%20for%20COVID19%20preparedness%20and%20response.png?itok=KZzlTyRg

    This initiated monitoring and preparation by Colombia’s Ministry of Health and Social Protection (MSPS in Spanish). Once the WHO declared the outbreak to be a pandemic, the national government also declared a state of health emergency due to the novel coronavirus. Based on this national declaration, a contingency plan was established along with preventive measures for isolation, quarantine and provisions for health services, (Resolution 385 of March 12, Decree 476 of March 25, Decree 538 April 12, among others).

    #Covid-19#migrant#migration#colombie#etatdurgence

    ceped_migrinter_droitetorganisationsinternationales @ceped_migrinter_droitetorganisationsinternationales
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  • @thomas_lacroix
    CEPED-MIGRINTER-IC MIGRATIONS-MFO-Monde @thomas_lacroix 10/06/2020
    1
    @elsa_gomis
    1

    Le coronavirus pousse les Vénézuéliens sur le chemin du retour
    #Covid-19#migrant#migration#venezuelien#colombie#retour#frontiere

    ►https://www.lemonde.fr/international/article/2020/06/08/le-covid-19-pousse-les-venezueliens-sur-le-chemin-du-retour_6042145_3210.htm

    https://img.lemde.fr/2020/06/08/537/0/5184/2588/1440/720/60/0/bba7758_34CskWXIxGY9OKYTrRSj3XFO.jpg

    Alors qu’ils avaient fui la misère dans leur pays, des milliers de migrants qui s’étaient installés en Colombie préfèrent rentrer affronter l’épidémie au pays, mais sont filtrés à la frontière.

    CEPED-MIGRINTER-IC MIGRATIONS-MFO-Monde @thomas_lacroix
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  • @thomas_lacroix
    CEPED-MIGRINTER-IC MIGRATIONS-MFO-Monde @thomas_lacroix 8/06/2020

    Venezuelan migrants face crime, conflict and coronavirus at Colombia’s closed border - Fairfield Citizen
    #Covid-19#migrant#migration#Venezuelien#Colombie#frontiere#fermeture

    ▻https://www.fairfieldcitizenonline.com/news/article/Venezuelan-migrants-face-crime-conflict-and-15319296.php

    https://www.fairfieldcitizenonline.com/img/pages/article/opengraph_default.jpg

    Millions of Venezuelans fleeing their crisis-ridden country already had plenty to worry about on their journeys, from food to transport and shelter. Crime is also rampant along the border between Venezuela and neighboring Colombia, the destination for many migrants seeking a better life.

    CEPED-MIGRINTER-IC MIGRATIONS-MFO-Monde @thomas_lacroix
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  • @veronique_petit
    CEPED_MIGRINTER_ICMigrations_santé @veronique_petit 8/06/2020
    3
    @veronique_petit
    @simplicissimus
    @02myseenthis01
    3

    Le coronavirus pousse les Vénézuéliens sur le chemin du retour
    ►https://www.lemonde.fr/international/article/2020/06/08/le-covid-19-pousse-les-venezueliens-sur-le-chemin-du-retour_6042145_3210.htm

    https://img.lemde.fr/2020/06/08/760/0/5184/2589/1440/720/60/0/bba7758_34CskWXIxGY9OKYTrRSj3XFO.jpg

    Accaparés par la gestion de la crise sanitaire et la récession économique qui s’installe, ministères et mairies se renvoient dos à dos la prise en charge des Vénézuéliens précarisés. La xénophobie y trouve son compte. « Je préfère avoir faim dans mon pays que me faire humilier ici », soupire Miguel. Le délabrement du système sanitaire vénézuélien ne dissuade pas les migrants de rentrer. « Ici en Colombie, nous n’avons pas non plus accès à un lit d’hôpital », rappelle Mayra. Un de ses voisins renchérit, rageur : « S’il faut crever, je veux crever entouré des miens. Pas dans la rue, comme un chien. » La frontière a été officiellement fermée le 14 mars. Mais deux couloirs humanitaires ont été maintenus, l’un entre la ville de Cucuta et celle de San Cristobal au Venezuela, l’autre dans le département de l’Arauca. Ils permettent aux Vénézuéliens de rentrer chez eux. Covid-19 oblige, Bogota et Caracas ont autorisé les administrations locales à dialoguer. Une première depuis la rupture, il y a seize mois, des relations diplomatiques entre les deux pays. « Le Covid-19 n’a pas de passeport, rappelle Victor Bautista, directeur départemental des affaires frontalières à Cucuta. L’Etat vénézuélien du Tachira et le département colombien du Norte de Santander fonctionnent en miroir : si la situation se dégrade de l’autre côté du fleuve, nous en paierons ici le prix et vice versa. » Des deux côtés de la frontière, les autorités locales – administratives et sanitaires – le savent et coopèrent « en bonne entente ». Bogota et Caracas semblent l’ignorer.

    #covid-19#migrant#migration#Colombie#Venezuela#migrant-retour#santé#frontières#couloir-humanitaire#accès-santé

    CEPED_MIGRINTER_ICMigrations_santé @veronique_petit
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  • @thomas_lacroix
    CEPED-MIGRINTER-IC MIGRATIONS-MFO-Monde @thomas_lacroix 4/06/2020

    Stranded Venezuelans build camp in Colombia amid pandemic - The Public’s Radio : RIPR
    #Covid-19#migrant#migration#Venezuelien#camp#coincé#Colombie

    ▻https://thepublicsradio.org/article/stranded-venezuelans-build-camp-in-colombia-amid-pandemic

    https://content-prod-ripr.thepublicsradio.org/articles/63b5db6fcdcf53d38cc1ec5c55425545/48bc0a7482d24d578f9de8f40ddfce89.jpg

    A growing number of Venezuelan migrants in Colombia displaced during the pandemic have set up a makeshift camp on a tree-covered patch on the outskirts of Bogota, raising fears of an outbreak. They live crowded in tents with no running water or electricity. They’re urging Colombian officials to help them get back to Venezuela, but migration authorities say fewer numbers of people are being allowed to cross the border, creating a bottleneck. Many are children, pregnant women and elderly. The Associated Press visited the makeshift camp and observed a lack of sanitary conditions. Most people don’t have masks and social distancing is nearly impossible.

    CEPED-MIGRINTER-IC MIGRATIONS-MFO-Monde @thomas_lacroix
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  • @thomas_lacroix
    CEPED-MIGRINTER-IC MIGRATIONS-MFO-Monde @thomas_lacroix 2/06/2020

    Finance Colombia » Colombia Coordinating Humanitarian Repatriation Flights For Citizens Stranded Abroad
    #Covid-19#migrant#migration#Colombie#rapatriement

    ▻https://www.financecolombia.com/colombia-coordinating-humanitarian-repatriation-flights-for-citizen
    ▻https://www.financecolombia.com/wp-content/uploads/2019/10/c-eldorado-airport-150x150.jpg

    Colombia’s Foreign Ministry, the Ministry of Transportation and Migration Colombia have been coordinating efforts to arrange humanitarian flights allowing the return to Colombia of citizens that have been stranded abroad due to the Coronavirus COVID-19 Pandemic.

    CEPED-MIGRINTER-IC MIGRATIONS-MFO-Monde @thomas_lacroix
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  • @thomas_lacroix
    CEPED-MIGRINTER-IC MIGRATIONS-MFO-Monde @thomas_lacroix 30/05/2020

    Coronavirus : Refugees’ grief as pandemic tears family apart | Newshub
    #Covid-19#migrant#migration#US#Colombien#coince

    ▻https://www.newshub.co.nz/home/shows/2020/05/coronavirus-refugees-grief-as-pandemic-tears-family-apart.html

    https://www.newshub.co.nz/home/shows/2020/05/coronavirus-refugees-grief-as-pandemic-tears-family-apart/_jcr_content/par/brightcovevideo/image.dynimg.1280.q75.jpg/v1590798489491/refugees_still.jpg

    Life in Hamilton is almost as good as it gets for the Gonzales family - former refugees from Colombia. Except for the fact their eldest children are stuck in COVID-19-ridden Ecuador.

    CEPED-MIGRINTER-IC MIGRATIONS-MFO-Monde @thomas_lacroix
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  • @thomas_lacroix
    CEPED-MIGRINTER-IC MIGRATIONS-MFO-Monde @thomas_lacroix 29/05/2020

    Stranded Colombians plead for COVID-19 airlift out of Brazil - StarTribune.com
    #Covid-19#migrant#migration#Colombien#Brésil#coincé

    ▻https://www.startribune.com/stranded-colombians-plead-for-covid-19-airlift-out-of-brazil/570817422

    https://assets.startribune.com/static/img/branding/logos/strib-social-card.png?d=1578508940

    SAO PAULO — Surrounded by boxes, a pile of rice packages and mattresses, José Ávila Saavedra sat on the floor with a thousand-yard stare Wednesday. For two weeks he has lived inside Sao Paulo’s international airport, his life one interminable layover.

    CEPED-MIGRINTER-IC MIGRATIONS-MFO-Monde @thomas_lacroix
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  • @veronique_petit
    CEPED_MIGRINTER_ICMigrations_santé @veronique_petit 26/05/2020

    Réfugiés vénézuéliens : l’UE et l’Espagne organisent une conférence des donateurs
    ▻https://www.seneweb.com/news/International/refugies-venezueliens-l-ue-et-l-espagne-_n_318781.html

    https://images.seneweb.com/dynamic/modules/news/images/gen/fb/1f0a02b25b6a6b653cbeb6d1aea1a98d64e7fe6e.jpg

    #Covid-19#migrant#migration#Venezuela#Colombie#Pérou#Bolivie#Chili#Equateur#Brésil#UE#UNHCR#prise-en-charge#santé#accès-santé

    CEPED_MIGRINTER_ICMigrations_santé @veronique_petit
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  • @veronique_petit
    CEPED_MIGRINTER_ICMigrations_santé @veronique_petit 19/05/2020
    3
    @veronique_petit
    @simplicissimus
    @sinehebdo
    3

    HCR - Les réfugiés indigènes sont durement confrontés à la pandémie de Covid-19 en Amérique latine
    ▻https://www.unhcr.org/fr/news/briefing/2020/5/5ec3efd3a/refugies-indigenes-durement-confrontes-pandemie-covid-19-amerique-latine.html

    https://www.unhcr.org/thumb3/5ec396f415.jpg

    Près de 5000 indigènes vénézuéliens sont déplacés au Brésil, principalement de l’ethnie Warao, mais aussi des communautés Eñapa, Kariña, Pemon et Ye’kwana. Comme la crise de Covid-19 frappe durement cette région de l’Amazonie et que le Brésil est un épicentre de la pandémie, le HCR s’inquiète du fait que beaucoup puissent en subir les conséquences, et ce sans les installations sanitaires ou les services de santé nécessaires.
    En Colombie, un certain nombre de groupes indigènes binationaux, dont les Wayuu, Bari, Yukpa, Inga, Sikwani ou Amorúa vivent près de la frontière avec le Venezuela. Bien que leur lieux de résidence ancestraux se trouvent à cheval sur les deux pays, beaucoup n’ont pas pu régulariser leur séjour en Colombie et sont sans papiers. Certains sont également confrontés à des menaces de la part de groupes armés irréguliers qui contrôlent les zones où ils vivent. Le HCR est préoccupé par le fait que, pour certains Vénézuéliens appartenant à ces communautés autochtones, les problèmes de papiers, notamment leur statut irrégulier, et leurs conditions de vie les exposent à des risques accrus. Beaucoup vivent dans des régions isolées et reculées, où ils n’ont pas accès aux services de santé, à l’eau potable ou au savon. D’autres vivent dans des logements exigus ou au sein d’installations informelles en milieu urbain, sans aucun accès à des équipements de protection. La plupart des groupes indigènes frontaliers sont menacés d’extinction physique et culturelle, en raison d’une alimentation insuffisante et d’une malnutrition sévère, ce qui peut augmenter le risque de contagion. Ces régions manquent également de services de santé de base, ce qui peut encore aggraver la situation actuelle.

    #Covid-19#migrant#migrations#personnes-déplacées#Colombie#Brésil#Venezuela#populations-indigènes#santé#système-santé#vulnérabilité#risques#sans-papier

    CEPED_MIGRINTER_ICMigrations_santé @veronique_petit
    • @sinehebdo
      Dror@sinehebdo @sinehebdo 1/06/2020

      #coronavirus #solidarité #migrants

      Voir aussi la compile des effets délétères indirects de la pandémie :
      ►https://seenthis.net/messages/832147

      Dror@sinehebdo @sinehebdo
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