• #Banco_Palmas

    In 1998, residents from the impoverished Palmeira neighborhood of Fortaleza, Brazil, decided to take their economic future into their own hands. The strategy they took would soon spread to other communities around Brazil: creating a community development bank, governed and managed by local residents, for local needs. Banco Palmas’ founding mission was to help revitalize the local economy, create badly needed jobs, and increase the collective self-reliance of the Palmeira district. The bank’s activities are guided by the principles of solidarity economics.

    One of Banco Palmas’ key innovations has been to issue a neighborhood-scale alternative currency called the “Palma”. Like other local currencies, the Palma was designed to support local commerce by restricting its circulation to the Palmeira neighborhood, preventing money from leaking out of the community.

    The result has been impressive. To date, hundreds of local businesses have signed up to accept Palmas, while the currency has helped strengthen or create thousands of local livelihoods. Moreover, the neighborhood’s spending patterns have seen a dramatic shift since the bank’s founding and the release of the currency. According to one estimate, “In 1997, 80% of [Palmeira] inhabitants’ purchases were made outside the community; by 2011, 93% were made in the district” (from People Money, The Promise of Regional Currencies).

    Another key purpose of Banco Palmas has been to extend basic financial services and access to credit to people excluded from – or exploited by – the conventional banking system. The bank provides micro-credit loans for local production and consumption in either Palmas or the national currency (the Brazilian real). Importantly, loans issued in Palmas are interest free, while others are offered at very low interest rates, providing a much-needed alternative to the kind of predatory lenders that exploit people and businesses in other money-poor communities around the world.

    What’s more, rather than awarding loans based on credit history, proof of income, or collateral – something many people in Palmeira lack – many are issued using a neighbor guarantee system. Banco Palma has been so successful that it has inspired the creation of over 60 similar initiatives throughout Brazil, and spurred the development of the Brazilian Network of Community Banks.

    https://www.localfutures.org/programs/global-to-local/planet-local/local-business-finance/banco-palmas
    #économie #banque #finance #alternative #Brésil #Palmeira #Fortaleza #community_development_bank #économie_locale #travail #emploi #économie_solidaire #monnaie_locale #monnaie_alternative #Palma #crédit #micro-crédit #TRUST #Master_TRUST #banque_communautaire

  • Les formations transformatrices – Quelles capacités viser ? Quels exemples ?

    L’#université_internationale_Terre_Citoyenne développe une « pédagogie de la résilience et du changement” qui s’appuie sur différents apports, démarches : des méthodes d’éducation populaire, la pédagogie de l’opprimé de #Paolo_Freire, la #Théorie_U d’#Otto_Sharmer, l’#Art_of_Hosting, l’approche des situations conflictuelles et complexes d’#Adam_Kahane, l’#Approche_et_la_Transformation_Constructives_des_Conflits (#ATCC) d’#Hervé_Ott et #Karl_Heinz_Bitll, le #Community_Organizing de #Saul_Alinsky, le #Process-Work/#Démocrati_ Profonde d’#Arnold_Mindell

    L’#UITC avec ses organisations associées cherchent à former de nouveaux #leaders_citoyens et sociaux mais aussi des #étudiants, des responsables locaux ou nationaux capables d’accompagner les changements profonds et systémiques et de transformer des situations difficiles. En ce sens, certaines capacités nous apparaissent centrales à acquèrir : celles de faire face aux situations complexes, interculturelles, celles aussi de pouvoir transformer de manière constructive les #conflits au niveau individuel et collectif.

    A partir de situations et de problématiques concrètes et variées, les organisations associées UITC et l’ensemble UITC cherchent à développer, en particulier, les capacités individuelles et collectives suivantes :

    - Développer de la #résilience dans des situations de #crise/ d’#effondrement

    – Créer des conditions de #dialogues générateurs de #changement

    – Créer une #confiance_collective

    – Créer des conditions pour favoriser l’émergence de l’intention personnelle ou collective

    – » #Relier toujours relier » des évènements, des idées, des symboles, des actions, des personnes, des organisations…

    – Créer des conditions favorables afin de pouvoir percevoir le futur en émergence dans une situation complexe et difficile

    - Prendre conscience des différents rôles dans les conflits (victime, agresseur, garant) et de la phase du conflit dans laquelle nous nous trouvons.

    - Transformer de manière constructive des conflits

    - Savoir agir dans des situations qui impliquent des acteurs qui sont en conflits (processus multi acteurs)

    #Agir pour se donner confiance et créer de la #connaissance

    – Sentir dans un moment de vie, de processus, les différentes situations (polarités, émotions,Identifier les limites et les passages de frontières, les ambiances qui agissent sur le groupe…)

    - Sentir les processus de diffusion des émotions, de rang, de désirs mimétiques, de bouc émissaire……..

    - Savoir agir de manière pragmatique (lier la main, le coeur et l’esprit dans un même mouvement) lorsque l’on découvre une nouvelle vision, un nouveau projet

    - Savoir sentir le tout, suivre son intention « traverser la rivière » et « sentir chaque pierre avec ses pieds »

    – Savoir prototyper, tester, modifier et retester, remodifier

    - Savoir déployer individuellement ou collectivement son action.

    Si vous souhaitez connaitre les expériences de formations transformatrices reliées ou impliquées dans le réseau UITC veuillez les contacter directement (voir la liste et des contacts ci-joints) . Si vous voulez participer participer à une session de formation, contactez les personnes indiquées ou le secrétariat de l’UItC. Si vous êtes intéressées de monter des formations, faites de même. Contactez -nous !

    Dans le réseau de l’Université Internationale terre Citoyenne (UITC), nous nous appuyons sur un groupe d’expériences de formation qui, pour nous, ont un caractère transformateur des personnes impliquées mais aussi des réalités auxquelles ces personnes sont confrontées. Quand nous parlons de caractère transformateur, nous pensons au fait que les personnes sortent de ces formations avec une vision du monde différente, transformée, avec des capacités qui leur permettent d’agir avec plus de pertinence et d’efficacité afin de faire face aux situations chaotiques et conflictuelles, aux crises, aux effondrements possibles. Ces compétences doivent leur permettre d’affronter ces réalités mais aussi de tenter de les transformer dans le sens de sociétés plus durables.

    En 2015, nous avions édité un catalogue de 47 formations réalisées par des organisations associées UITC https://issuu.com/almedio/docs/maqueta_catalogo_18sept15

    Aujourd’hui, nous mettons en lumière une liste d’une quinzaine de formations qui ont pour nous un caractère transformateur et avec lesquelles nous sommes engagés dans une processus de valorisation, d’échanges à distance (visioconférences) . Elles sont aussi partie prenante pour une partie d’entre elles à une recherche/ action autour des démarches, des méthodes transformatrices des personnes, des situations, des sociétés. (Pédagogie de la résilience et du changement)

    https://uitc.earth/les-formations-transformatrices

    #transformativité #formation #éducation #transformation #formations_transformatrices

  • Le Village - fanzine
    https://zine-le-village.fr

    « La #justice transformatrice ne cherche pas seulement à transformer le comportement d’une personne qui cause du mal. Elle cherche aussi à transformer la manière dont les #communautés parlent de mal et de guérison, à dissoudre la souffrance comme expérience individuelle isolée et à penser la guérison au niveau collectif et structurel. » — Avery Alder — <a href="https://my.framasoft.org/u/rouge-glace/?9HBEzQ&quot ; title="Permalink">Permalink</a>

    #accountability #community #médiation #partage_collegues #réparer

  • #Bayer - #Monsanto Celebrates the Law to Promote Native Seed

    On March 24, in the midst of the crisis by Covid-19, the so-called federal law for the promotion and protection of native corn was approved with the unanimous vote of the Senate. With such a title many will have assumed that it would be a rule to stop the assault of transnational GM companies on seeds, indigenous peoples and peasant communities. Unfortunately, this is not the case. Beyond the intention of its promoters, this provision favors key interests of the companies that have wanted to advance in the country with their GM and other high-tech seeds for two decades.

    For this reason, the #Mexican_Seed_Association_AC (#AMSAC), whose board is made up of #Syngenta, #Bayer (now owner of #Monsanto), #Corteva (merger of #Dow and #DuPont-PHI Mexico) and other major global seed companies issued a bulletin the same day congratulating legislators on the approval of the law. They declare that this law “is an important step, (…) because it will give certainty to corn producers throughout the country”. They emphasize that “they will continue working to promote the object of this law (…) taking advantage of technological developments, such as improved seeds”. (https://tinyurl.com/vo9pawr)

    AMSAC is a board member of the National Agricultural Council (CNA), which in turn is a founding member of the #Business_Coordinating_Council. They represent, for the most part, the business sectors that have devastated peasant life, sustainable production and healthy food. The six global transnational companies that own more than 70 percent of the global seed and agrochemical markets (and 100 percent of the transgenic seeds) have been on the AMSAC board of directors for years. It is the main lobbyist for the seed industry, acting in conjunction with the ANC. They are the ones who fought for and obtained privileges for the transnationals in all the existing laws regarding seeds and patents. (https://tinyurl.com/ruoc3ka ; https://tinyurl.com/t6lxfov)

    Before the final vote in the Senate, from which the initiative came, the law to promote native corn was voted, with changes, in the Chamber of Deputies on March 18, with 270 votes in favor. No one opposed it anymore. Could it be that the PRI, PAN, PRD, Morena and all the parties suddenly realized the importance of protecting the corn peoples, their seeds and cultures against the transgenic invasion? Of course not. Because the law does not provide for such a thing. Nor does it prevent the patenting of peasant seeds. But it does separate corn from its peoples, reducing the complex process of thousands of years of many peoples creating milpas, assemblies, forests, and their own forms of government to the promotion of #community_seed_banks, an expression that the majority of the peoples reject, because it comes from the financial system and is alien to their conception of seeds as an element in the integral politics, economy, and worldview of their peoples. Furthermore, it establishes that only native corn is recognized by #Conabio, not by the peoples and communities themselves. It imposes on them a new #National_Maize_Council, which although merely consultative, has 16 members, of which only six are from indigenous communities or agrarian ejidos.

    But the main reason why the transnationals applaud this law is because it will delimit geographical areas, where the authorities will recognize that there are native maize production systems, which means it opens up the rest of the country to plant any other seed, from hybrids to transgenics or the new biotech seeds that the companies call genetic editing.

    Monsanto, Syngenta, and other companies have insisted on this point for decades: that areas must be defined, that in reality they are not interested in planting where there are farmers, only in the rest of the country. Against this fallacious and extremely risky position, which would eventually cause GM contamination to reach the entire country, we have insisted that all of Mexico – and Mesoamerica – is the center of origin of maize and therefore the planting of any genetically manipulated seed should be prohibited.

    This position of the so-called law of promotion and other serious errors of it – now approved – were clearly expressed by the Network in Defense of Maize since the publication of the commissions’ opinion, in October 2019 (https://tinyurl.com/vjk8qyl).

    Meanwhile, the #Monsanto_Law, as the current biosafety law passed in 2005 is called, remains untouched by all the now-legislators and officials who promised in the campaign that they would repeal it. Furthermore, Semarnat participated in an online forum on biosafety at the Biodiversity Convention in 2020 and its representative joined the seed industry’s position that there is no need to establish new biosafety frameworks, not even for the highly dangerous genetic promoters, transgenic exterminators.

    Why are none of the officials and legislators doing their job to really guarantee biosafety and that what AMLO announced, that no GM maize will be allowed in the country, is a reality?

    https://schoolsforchiapas.org/bayer-monsanto-celebrates-the-law-to-promote-native-seed

    #appropriation_intellectuelle #maïs #graines #semences #Mexiques #loi #peuples_autochtones #Chiapas #OGM #agriculture #multinationales #industrie_agro-alimentaire #loi #brevets #agriculture_paysanne

  • L’agricoltura civica funziona. E batte coronavirus e modello intensivo

    L’approccio «alternativo» risolve molti limiti delle coltivazioni industriali ed è più resiliente nelle crisi. L’università di Firenze rivela: dove si pratica, i contagi calano del 60%

    Cosa ci vuole per uscire dalla crisi economica e sociale che l’emergenza sanitaria da coronavirus (Covid-19 o SARS-CoV-2, se preferite) ci sta imponendo? Una buona agricoltura multifunzionale, che si basa su legami di prossimità, solidarietà e sostenibilità, per esempio. Un’agricoltura lontana dal modello intensivo, industrializzato e standardizzato prediletto dalla grande distribuzione organizzata (la rete dei supermercati, per intenderci).

    La notizia positiva è che questa agricoltura esiste già. Potremmo chiamarla complessivamente agricoltura civica, anche se la formula – come ogni definizione – non riesce a essere esaustiva di un fenomeno articolato. Anche perché stiamo parlando di ciò che sembra un sistema di agricolture, a cui concorrono strumenti di supporto reciproco tra agricoltori e consumatori, e stili di consumo consapevole, abbracciando tante anime della cosiddetta economia civile. A vario titolo vi rientrano, infatti, le cooperative agricole e i soggetti dell’agricoltura sociale o le esperienze di CSA (community-supported agricolture); ne sono un pilastro i gruppi di acquisto solidale (i GAS) e le reti che li alimentano. Ma possono contribuirvi anche le poco note associazioni fondiarie.

    La notizia migliore ad ogni modo è un’altra. Guardando alla resistenza dell’agricoltura civica dimostrata durante le restrizioni imposte dalla pandemia, pensando alla fantomatica fase 2 e a un ipotetico rilancio economico territoriale, auspicando infine l’affermarsi di un modello di sviluppo sostenibile, questa agricoltura offre ottime garanzie – anche sanitarie e ambientali – e soluzioni replicabili.
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    Coronavirus: più contagi dove prevale l’agricoltura intensiva

    Ad oggi, ovviamente, l’aspetto che preoccupa di più è quello della diffusione dell”epidemia. Ecco perché risulta ancora più interessante un studio recente della Scuola di agraria dell’Università di Firenze che, in proposito, ha preso in esame quattro tipologie di aree coltivate. Il risultato? Una minor incidenza media di contagi all’area dove si pratica un modello di agricoltura tradizionale, quindi assai distante da quella industriale, ad esempio.

    «Considerato il dato medio nazionale della diffusione del coronavirus, pari a 47 casi ogni 100 kmq, nelle aree ad agricoltura intensiva l’intensità del contagio sale a 94 casi ogni 100 kmq, mentre nelle aree ad agricoltura non intensiva il dato scende a 32 casi ogni 100 kmq» spiega Mauro Agnoletti, coordinatore del gruppo di ricerca dell’ateneo toscano.

    La rilevazione punta particolarmente l’obiettivo sulla Pianura Padana, dove si concentra il 61% delle aree ad agricoltura intensiva del Paese, con il 70% dei casi di Covid-19: «nelle aree della Pianura Padana ad agricoltura intensiva si registrano 138 casi ogni 100 kmq, mentre in quelle ad agricoltura non intensiva la media scende a 90 casi ogni 100 kmq». Insomma “balla” un 53% in più di contagi a sfavore delle prime.

    Lo studio non indaga le cause specifiche di questa dinamica. Registra tuttavia che «le aree a media e bassa intensità energetica, dove sono concentrate il 68% delle superfici protette italiane, risultano invece meno colpite dal coronavirus SARS-CoV-2. Queste aree sono distribuite soprattutto nelle zone medio collinari, montane alpine ed appenniniche, caratterizzate da risorse paesaggistiche, naturalistiche ma anche culturali, storiche e produzioni tipiche legate a criteri qualitativi più che quantitativi». Tutte informazioni che potrebbero rivelarsi utili per la ricostruzione che ci aspetta.
    Gas e reti dell’economia solidale: resilienti e vicini

    Di fronte al rischio contagio, insomma, i territori segnati dalla piccola agricoltura tradizionale, e talvolta marginale, si comportano bene. E forse questo ha qualcosa a che fare con le intenzioni di consumo che, dai tempi del Covid-19, potrebbero confermarsi per il futuro.

    Del resto, Michele Russo del consorzio siciliano Le galline felici, realtà storica di quella che è oggi la Rete italiana dell’economia solidale (Ries), sostiene che «questa distanza forzata sta avvicinando le persone».

    Mentre l’economia solidale ragiona sulla pandemia pensando al futuro, rafforza le proprie peculiarità (rapidità di adattamento, relazione con l’utenza) sviluppando servizi, qualcosa accade anche a livello individuale. Si consolida, infatti, la consapevolezza che rifornirsi localmente e direttamente dai produttori garantisce un minore passaggio di mani della merce, confortando sul piano della salute. Questo pensiero, superando i limiti consueti della comunità che frequenta storicamente gli incontri della RIES e alimenta i GAS, spinge «anche quelli meno interessati all’etica» a puntare su produzione e distribuzione di prossimità dei beni alimentari.

    Stando ai produttori, insomma, un numero maggiore di persone riconosce il vantaggio di un sistema che promuove da sempre biologico, coltivazione rispettosa di clima e paesaggio, legalità nei rapporti di lavoro. Un sistema che unisce contadini e consumatori in una forma di sostegno sempre più reciproco, producendo impatti economici di rilievo sul territorio.

    Il consorzio Le Galline felici, per esempio, dà lavoro a 45 dipendenti e raduna 40 aziende agricole per un giro d’affari di circa 3 milioni e mezzo di euro l’anno. E di ciò traggono beneficio circa 500 persone direttamente, oltre alle piccole botteghe che vi si riforniscono, e le migliaia di famiglie che, in Italia e all’estero (soprattutto in Francia, Belgio e Lussemburgo), utilizzano i GAS affiliati per acquistare cibo.

    L’economia civile passa per cooperative e agricoltura sociale

    E se i soggetti dell’economia solidale, sostenitori di uno sviluppo sostenibile e perciò meno compromesso con la pandemia, sono parte di quell’agricoltura civica multifunzionale di cui stiamo trattando, di certo lo sono anche le cooperative del settore agroalimentare. Lo stesso vale per chi fa agricoltura sociale, che spesso rientra anche formalmente nella cooperazione, e affianca la produzione agricola (30% minimo del fatturato) con attività di welfare (inserimento lavorativo di soggetti svantaggiati, assistenza e cura delle persone, servizi educativi).

    Mondi ricchi di professionalità e di peso economico e occupazionale, che in questa fase non sono immuni dai contraccolpi delle restrizioni anti-coronavirus, ma si dimostrano, come già dopo il crollo del 2008, resilienti. «Il vantaggio competitivo di una parte del Terzo settore, cioè della cooperazione, è fatto che vive di stipendio» osserva Giuliano Ciano, portavoce del Forum nazionale dell’agricoltura sociale. «Questo si evidenzia specialmente nei momenti di crisi. Il secondo vantaggio è che il Terzo settoree chi fa assistenza alle persone, inclusa l’agricoltura sociale, in un momento di crisi è capace di mutare, e riesce a trovare sbocchi di natura differente dal punto di vista economico ma anche a modificare le proprie attività».

    Associando agricoltura e servizi socio-educativi, pur tra centinaia di persone oggi in cassa integrazione, le oltre 700 realtà economiche riconosciute per legge nell’agricoltura sociale, per ora, si reinventano e reggono. Ed è fondamentale anche pensando alla cooperazione agricola in generale, dal momento che, stando al Rapporto 2017 dell’Osservatorio della cooperazione agricola italiana, le circa 4700 cooperative agricole italiane registravano 35 miliardi di euro di fatturato (8,9 miliardi per il solo comparto ortofrutta).
    CSA e associazioni fondiarie: l’agricoltura si fa più civile

    Ma le modalità dell’agricoltura “alternativa” non sono finite qui. Ce ne sono almeno un altro paio. Innanzitutto le associazioni fondiarie, riconosciute nel 2016 dal Piemonte, prima tra le regioni italiane. Ancora poco diffuse, a causa della giovane età, le associazioni fondiarie consentono a gruppi di cittadini di acquisire “in prestito” dai proprietari micro-appezzamenti e terreni agricoli incolti o abbandonati, lavorarli e ripristinarli nel rispetto di obblighi paesaggistici, col vantaggio non secondario di prevenire i rischi idrogeologici e gli incendi.

    Ci sono poi le CSA, ovvero le comunità di agricoltori supportate dai cittadini, altra forma di sostegno biunivoco tra chi coltiva e chi consuma. Si tratta di un fenomeno di rilievo internazionale ma non sono ancora molte le community-supported agriculture italiane. Tra le principali ci sono senz’altro Arvaia, a Bologna, la romana Semi di comunità e Cumpanatico Sud in Campania.

    In generale si tratta di cooperative agricole nelle quali soci lavoratori e fruitori partecipano alle attività in campo e fuori, prefinanziando le produzioni orticole. Tuttavia, tra le CSA possiamo incontrare iniziative guidate dai contadini e altre in cui l’impresa è gestita direttamente dalla comunità attraverso la cooperazione. Troviamo accordi tra produttori e comunità, dove quest’ultima garantisce un approvvigionamento a lungo termine, e vere imprese agricole di comunità, che vendono i loro prodotti anche a chi socio non è.

    https://valori.it/agricoltura-civica-coronavirus

    #agriculture_civique #agriculture #crise #crise #résilience #coronavirus #agriculture_intensive #alternative #agriculture_multifonctionnelle #agriculture_biologique #économie_civile #crise_sanitaire #crise_économique #crise_sociale #confinement #contagions #amap #plaine #montagne #galline_felici

    • Définition de #agriculture_civique sur wiki :

      Con il termine agricoltura civica (o civile) si fa riferimento ad un modello economico che pur mantenendo come finalità dell’attività la coltivazione di piante e l’allevamento di animali a fini alimentari, contestualmente persegue il bene comune che, secondo i principi dell’economia civile[1], è il risultato di tutti i livelli di benessere dei singoli individui di una collettività. Per questa ragione, l’agricoltura civica si fonda sul coinvolgimento delle comunità locali e dei cittadini, abbraccia sistemi di produzione e di commercializzazione innovativi, e rappresenta una visione della società fondata su pratiche sociali, economiche e ambientali sostenibili, sull’etica, sul senso di responsabilità, sulla reciprocità. Per tali caratteristiche gli impatti dell’agricoltura civica devono essere valutati attraverso moltiplicatori di tipo ambientale e sociale, oltre che economico.
      L’agricoltura civica fa riferimento a modelli di produzione agricola di piccola/media scala fortemente integrati nel sistema locale, alle comunità di persone ed alle risorse naturali della località. Le pratiche di agricoltura civica consentono di assicurare ai cittadini, oltre al cibo, infrastrutture vitali indispensabili per la vita quotidiana, siano esse di tipo naturale (paesaggi, gestione delle risorse naturali, biodiversità) o sociale (conoscenza del mondo agricolo e rurale, identità e vitalità delle comunità, benessere delle persone, servizi socio-educativi ed assistenziali).
      Le forme di agricoltura civica trovano traduzione concreta nelle pratiche di #community-supported_agriculture #CSA (in italiano, agricoltura sostenuta dalla comunità), dei gruppi di acquisto solidale (#GAS), nelle forme di agricoltura sociale[2][3][4] praticate dalle aziende agricole e dal mondo della cooperazione sociale, nei community gardens (in italiano, giardini condivisi), nella didattica aziendale e nella produzione di servizi alla persona, nelle forme di vendita diretta, in quelle pratiche di qualità economica, ambientale e sociale, che non si esauriscono in uno scambio mercantile, bensì, mantengono al loro interno valori di relazione durevoli e continuativi[5][6].
      Le pratiche di agricoltura civica coesistono con quelle proprie dell’agricoltura convenzionale ed assicurano risorse indispensabili per qualità della vita nei sistemi locali. Anche per questo la pianificazione territoriale guarda con progressivo interesse al modo in cui leggere le pratiche di agricoltura civica ed inserirle negli strumenti di piano.
      Il termine “#civic_agriculture” venne utilizzato per la prima volta da T.A. Lyson nel 1999 durante il Meeting Annuale della Rural Sociology Society[7].

      https://it.wikipedia.org/wiki/Agricoltura_civica
      #agriculture_sociale #commons #biens_communs #communs

    • Coronavirus, agricoltura tradizionale come modello per ripartire Lo studio dell’Università di Firenze

      Nel contesto della attuale emergenza, anche le componenti scientifiche e gli organi di governo del territorio rurale cercano di dare il loro rapporto alla migliore comprensione del fenomeno COVID-19 e alla definizione degli indirizzi post emergenza. In questo contesto, è nata l’idea di svolgere un’indagine congiunta fra l’Osservatorio Nazionale del Paesaggio Rurale (ONPR) del Ministero delle Politiche Agricole e il laboratorio CULTAB, della Scuola di Agraria dell’Università di Firenze riguardo la diffusione dei contagi del Covid-19. L’indagine aveva l’intenzione di valutare la diffusione del virus nelle diverse zone rurali italiane, classificate in base alla intensità delle attività agricole, cercando di individuare la possibile correlazione fra i contagi e il diverso livello di sviluppo socioeconomico e il tipo di agricoltura praticata. Si intendeva usare un approccio diverso rispetto alla classificazione dei dati sui contagi per regione, valutando il numero dei contagi in base al modello di sviluppo rurale. L’analisi si colloca in un periodo particolarmente importante anche perché la discussione sul nuovo budget della UE ha contribuito a rimandare la partenza della nuova politica agricola comunitaria (PAC), offrendo la possibilità di reindirizzare le strategie e le azioni finanziate dalla PAC in vista della fase post emergenza.


      https://www.landscapeunifi.it/2020/04/15/coronavirus-agricoltura-tradizionale-come-modello-per-ripartire-lo-st
      #cartographie #visualisation

  • La politique des putes

    Océan réalise, avec « La #Politique_des_putes », une enquête en immersion dans laquelle il tend le micro à des travailleuses·rs du sexe. Elles disent le stigmate, la marginalisation, la précarité, les violences systémiques mais aussi les ressources et l’empowerment. Pour elles, l’intime est résistance. Dix épisodes de 30 mn pour briser les préjugés.



    La Politique des putes (1/10) - Travailler
    La Politique des putes (2/10) - Stigmatiser
    La Politique des putes (3/10) - Militer
    La Politique des putes (4/10) - Choisir
    La Politique des putes (5/10) - Désirer
    La Politique des putes (6/10) - Migrer
    La Politique des putes (7/10) - Soigner
    La Politique des putes (8/10) - S’échapper
    La Politique des putes (9/10) - Agir
    La Politique des putes (10/10) - Construire

    http://www.nouvellesecoutes.fr/podcasts/intime-politique

    #sex_work #prostitution #patriarchy #capitalism #feminism #wage_labor #whorephobe #whorephobia #pimping #stigma #bias #prejudice #stigmatization #discrimination #systemic_violence #instiutional_violence #heterosexual_concept #sexual_education #normalisation #abolotionism #black_and_white #subventions #decriminalisation #penalty #laws #rights #transphobia #domination #marginalisation #vulnerability #invisbility #undocumented #isolation #fear #police_harassment #physical_violence #rape #precarity #affirmation #empowerment #dignity #trust #solidarity #network #community #choice #perception #society #associations #seropositive #access_to_healthcare #suicidal_thought #debt #menace #voodoo #exploitation #trafficking #migration #borders #family_pressure #clients_image #mudered #testimony #interview #podcast #audio #France #Paris

    “sex work is not dirty - dirty are all the representations about sex work” (La politique des putes 7/10, min 7).

  • Immobilier : comment devenir propriétaire à moindre coût
    https://www.lemonde.fr/societe/article/2020/03/05/les-nouvelles-manieres-de-devenir-proprietaire-a-moindre-cout-se-multiplient

    Dissocier la propriété du terrain et celle du bâti, pour alléger la charge financière à l’achat, n’est pas une idée neuve. Elle est réapparue depuis 2017 dans les zones les plus chères avec les organismes fonciers solidaires (OFS), créés par la loi pour l’accès au logement et un urbanisme rénové de 2014, et avec le bail réel solidaire créé, lui, par la loi dite Macron, du 7 août 2015. C’est Audrey Linkenheld, alors députée du Nord et chargée du logement à la mairie de Lille, qui a porté ce projet de loi et fait en sorte que sa ville soit la première, en février 2017, à créer un OFS et mettre en route deux programmes d’immeubles vendus en bail réel solidaire.

    Dans ce montage, un OFS sans but lucratif achète un terrain financé avec un prêt d’une durée de quatre-vingts ans consenti par la Caisse des dépôts, ce qui permet d’en lisser la charge. Ce terrain sera loué aux occupants des logements, sélectionnés en fonction de leurs ressources plafonnées et liés à l’OFS par un bail réel solidaire d’une durée limitée, dix-huit ou vingt ans. Ils sont donc à la fois locataires du terrain, pour quelques euros par mois le mètre carré, et propriétaires du bâti qu’ils achètent.

    A leur départ, les occupants pourront revendre le bien mais aux conditions fixées par le bail réel solidaire : au prix initial, éventuellement indexé et majoré des travaux réalisés entre-temps. Ils renoncent certes à la plus-value mais récupèrent leur mise de départ, un avantage comparé au statut de locataire. Ce dispositif coupe court à toute spéculation et remet indéfiniment le logement à la disposition de personnes aux revenus tout aussi plafonnés, agréées à leur tour par l’OFS.

    « Il y a beaucoup d’autres pistes à explorer, comme l’accession progressive, l’achat des parties communes de l’immeuble par un opérateur qui les entretient et les loue aux copropriétaires, allégeant ainsi l’investissement de départ, la vente de volume que les acquéreurs aménagent selon leurs souhaits…, témoigne Me Michèle Raunet. Ce foisonnement d’idées renouvelle la conception de la propriété, privilégiant l’usage plutôt que la détention, ce que les Français semblent prêts à accepter. Mais, pour clarifier le paysage, il faudra évaluer ces différentes expériences et choisir les meilleures. »

    Logement #Offices_fonciers_solidaires #Community_Land_Trust #Communs

  • Unzureichende medizinische Versorgung in AHE

    Darmstadt, 3.1.2020

    Seit dem 9. Dezember 2019 ist Mohamed B., 32 Jahre, in der
    Abschiebehafteinrichtung Darmstadt-Eberstadt inhaftiert. Er ist aufgrund politischer Verfolgung aus seinem Heimatland Guinea geflohen. Dort setzte er sich in der Oppositionspartei UFDG für Demokratie und Korruptionsbekämpfung ein. Nun soll er spätestens Anfang Februar diesen Jahres wegen des Dublin-Systems nach Italien abgeschoben werden.

    B. leidet schon seit längerer Zeit an starker Wassereinlagerung in seinen Füßen sowie an Herz- und Nierenschmerzen. Die Beschwerden haben sich seit seiner Inhaftierung deutlich verschlechtert. Er kann aktuell nicht mehr beschwerdefrei gehen und muss die meiste Zeit im Bett liegen. Seiner Aussage nach, war sogar mindestens ein diensthabender Beamter über den stark geschwollenen Zustand seiner Füße erstaunt. Dennoch hatte er seit dem 20. Dezember keine ärztliche Visite mehr erhalten - trotz wiederholtem Erbittens dieser, sowie mehrfacher Versprechungen einer solchen für den nächsten Tag durch verschiedene Beamt*innen.

    Auch wir vom Bündnis Community 4 All haben am 30.12.19 sowohl das Gefängnispersonal, als auch die Sozialarbeiterin, die Seelsorger und den Beirat der AHE über den kritischen Gesundheitszustand informiert. Dennoch ist diesbezüglich nichts passiert. Im Gegenteil wurde ihm seitens des Gefängnispersonals mitgeteilt, er habe „keinen Anspruch auf eine ärztliche Untersuchung und sollte nur die Medikamente nehmen“.

    Laut B. sind dies 10-12 Tabletten täglich, die enorme
    gesundheitsbeeinträchtigende Nebenwirkungen, wie Unwohlsein, Schlaflosigkeit, Kopf-, Bauch- und Gelenkschmerzen, hätten.
    Erst während des Verfassens dieser Pressemitteilung, bekam er nach nun exakt zwei Wochen, eine ärztliche Behandlung. Er sagte hiernach, dass sich die behandelnde Ärztin auch sehr überrascht über den Zustand seiner Füße zeigte, allerdings keine weitere Behandlung veranlasste, während er weiterhin stark leide.

    Wir als Community 4 All halten es für absolut unrechtmäßig und
    menschenverachtend, dass Menschen in dieser Stadt offenbar einen völlig unzureichenden Zugang zu medizinischer Versorgung haben und fordern deutlich diese allen Gefangenen umgehend zu gewährleisten – auch zwischen den Jahren!

    Dieser aktuelle Vorfall zeigt erneut in aller Deutlichkeit, dass die Institution Abschiebegefängnis eine Blackbox ohne öffentliche Kontrolle ist, in der solche Vorfälle vorprogrammiert sind.

    Alle Abschiebegefängnisse ersatzlos schließen!

    Flucht ist kein Verbrechen!

    Originalstatement von Mohamed B. - 2.1.20:

    Mon nom est Mohamed B., je suis née le ../../1987 à Conakry/Guinée. Je suis diplômé en sciences de l’éducation depuis 2012 à l’institut supérieur des sciences et l’éducation de Guinée( ISSEG) et j’ai exercé la fonction d’enseignant dans mon pays. Actuellement je suis demandeur d’asile en République Fédérale d’Allemagne.

    En effet, j’ai fui mon pays le 21/04/2018 à cause des persécutions politiques mais aussi pour la cause des enseignants, j’ai été torturé et reçu des menaces de mort en laissant derrière moi un enfant qui avait 1 an dans ce combat.

    A l’aide de notre parti politique UFDG présidé par Elhadj Cellou Dalein Diallo, je me suis retrouvé en République fédérale d’Allemagne le 08/08/2018 sans papier en passant par l’Italie. Après 3 mois de demande d’asile ici, j’ai été confronter à un problème de Dublin de l’Italie alors qu’en passant dans ce pays je n’ai effectué aucune demande d’asyle, et ma condition de santé ne me permettait de rester de vivre sur la route. J’ai tout fait pour contester cette desicion du Bureau d’immigration en le payant 500 € mais ça n’a pas marché. J’ai été expulsé pour l’Italie malgré toute mes consultations.

    L’importance dans tout ça est que j’ai commencé à parler la langue allemande après 4 mois d’école mais surtout avec mes propres efforts.

    Après mon expulsion, l’Italie m’a déjà confirmé que je n’ai pas de … là-bas. Je me suis retourné en ici et en raccourci c’était toujours la même chose. Actuellement je suis dans un centre d’expulsion (Abschiebungshafte Darmstadt) Marienburgstr. 78 / 64297 Darmstadt. Ça fait presque un mois de puis que je suis là et
    dans une condition déplorable. Je suis malade, ma condition de santé est très critique : j’ai un problème de cœur, et tout mes deux pieds sont enflés que je ne n’arrive même pas à marcher, je ne ressens que la douleur. Ça fait 3 semaines que je prends régulièrement les médicaments, je prends 10 à 12 comprimés par jour qui ne font que me doper et me créer d’autres problèmes de santé : le malaise, l’insomnie, maux de tête, maux de ventre,
    douleur articulaire.

    Cela fait 2 semaines je réclame une visite médicale et même le médecin de ce centre ne vient pas. D’ailleurs d’après les agents de garde, quand on l’appelle elle dit que « je n’ai pas droit à une visite médicale, et que je dois seulement prendre des médicaments » qui
    créent d’autres problèmes à ma santé.

    Je me sens aujourd’hui triste, abandonné, ridiculisé, minimisé que je considère dans cette prison comme une sorte de torture. Je suis démunis de mes droit de l’homme ici tandis que la République Fédérale d’Allemagne est un pays de droit et de la liberté.
    Même s’ils doivent m’expulser de ce pays mais que ça soit que je me trouve en bonne état de santé. Je n’ai pas peur de l’expulsion, des dizaines de personnes sont morts devant dans les manifestations alors je ne crains en rien, c’est seulement ma santé qui est la plus importante.

    Alors j’appelle à votre aide pour que je retrouve ma santé et continuer mes procédures de demande d’asile dans de bonnes conditions.

    Merci pour votre bonne compréhension et je vous remercie.

    Source: via HFR Mailing list —>

    Sehr geehrte Damen und Herren,

    anbei eine aktuelle Pressemitteilung zu einem Fall von unzureichender medizinischer Versorgung in der Abschiebungshafteinrichtung Darmstadt unseres Bündnisses ‚Community4All – Solidarische Gemeinschaften statt
    Abschiebegefängnis’. Wir senden Ihnen unsere PM aus aktuellem Anlass, mit der Bitte um zeitnahe Veröffentlichung.

    Angehängt sind neben der PM ein Statement des Betroffenen im Original (Französisch, sowie als Übersetzung).

    #Allemagne #Darmstadt #Community4All #asyle #migration #détention #centre_d'expulsion #santé #accès_aux_soins