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  • Réunion cruciale pour Boeing autour des déboires du 737 MAX
    https://www.lemonde.fr/economie/article/2019/05/23/reunion-cruciale-pour-boeing-autour-des-deboires-du-737-max_5465909_3234.htm


    Les avions 737 MAX de la compagnie américaine Southwest Airlines immobilisés sur le tarmac de l’aéroport de Victorville, en Californie, le 28 mars 2019.
    MARK RALSTON / AFP

    Les régulateurs de l’aviation de 34 pays doivent se réunir jeudi à propos du modèle critiqué de la compagnie américaine. Celui-ci est immobilisé depuis 71 jours après le crash de deux avions.

    L’attente vis-à-vis du 737 MAX va-t-elle se prolonger encore longtemps pour la compagnie Boeing ? Cela fait déjà 71 jours que ce modèle de l’avionneur est immobilsé après les catastrophes aériennes d’Ethiopian et de Lion Air, qui ont fait 346 morts. La réunion cruciale entre l’Administration fédérale de l’aviation américaine (FAA) et des régulateurs venant de trente-trois pays qui se tient jeudi 23 mai à Fort Worth (Texas) pourrait justement donner une idée un peu plus précise sur le retour en service du 737 MAX.

    Cette réunion à huis clos, qui débutera à 9 heures (heure locale) – soit 16 heures à Paris –, doit durer toute la journée. Elle devrait fournir des indices sur les intentions et le degré de confiance que les autres autorités de l’aviation civile portent encore à Boeing ainsi qu’à la FAA. Ni Boeing ni les compagnies aériennes n’ont été conviés à cette réunion à l’issue de laquelle aucune déclaration commune n’est prévue, seulement une conférence de presse en fin d’après-midi.

    Le système antidécrochage MCAS (Maneuvering Characteristics Augmentation System) devait être au centre des discussions puisque c’est lui qui a été mis en cause dans le crash d’un avion de la compagnie Ethiopian Airlines en mars, qui a coûté la vie à 157 personnes, et dans la catastrophe de Lion Air en Indonésie fin octobre 2018, au cours de laquelle 189 personnes ont péri. Au mois de mars, la compagnie Boeing avait effectué une mise à jour logicielle du système MCAS du 737 Max.

    Mais les autorités américaines ont d’ores et déjà annoncé mercredi que Boeing n’avait pas encore formellement soumis le correctif du 737 MAX pour certification. Cette annonce intervient alors que Boeing avait affirmé la semaine dernière avoir finalisé les changements exigés par l’agence américaine et que le correctif était prêt pour certification.

    Aussi, la formation finale des pilotes n’a pas encore été déterminée. Les autorités américaines estiment qu’une formation sur ordinateur ou iPad serait suffisante pour des pilotes expérimentés, alors que le régulateur canadien réclame un passage obligé sur simulateur qui a l’avantage de reproduire les conditions de vol.

    Au vu du retard pris par Boeing, il est difficile, selon M. Elwell, de déterminer quand interviendra la levée de l’interdiction de vol. « Je ne suis attaché à aucun calendrier », a fait savoir Dan Elwell, chef intérimaire de la FAA, qui a refusé de s’aligner sur American Airlines et Southwest, deux compagnies clientes du 737 MAX, qui ont annulé les vols programmés pour cet avion jusqu’à la mi-août dans l’espoir que l’interdiction de vol serait levée d’ici à juillet au plus tard.

    « Ça prendra le temps qu’il faudra pour faire les choses comme il se doit », a-t-il assuré, soulignant toutefois qu’en tant qu’autorité d’origine du 737 MAX, la FAA « doit être le premier régulateur » à l’autoriser à voler à nouveau. Jusqu’aux déboires du 737 MAX, avait toujours prévalu un système de réciprocité qui voulait que les autres régulateurs s’en remissent à la certification de l’autorité d’origine. « Il y a de la méfiance vis-à-vis de la FAA et de Boeing et les informations distillées au compte-gouttes sur ce que Boeing savait (…) sont fâcheuses », avance Scott Hamilton, expert chez Leeham.

    Des responsables des autorités de l’aviation de l’Union européenne et du Canada ont expliqué qu’il n’était pas question de faire redécoller le 737 MAX chez eux tant que des questions resteront en suspens. « Il y a des conditions au retour en vol (du 737 MAX) et pour nous c’est que nous procédions à une évaluation indépendante », a fait savoir Jagello Fayl, responsable de la communication de l’agence européenne EASA.

    • Les Boeing 737 MAX interdits de vol pour une durée indéterminée
      https://www.lemonde.fr/economie/article/2019/05/24/les-boeing-737-max-toujours-cloues-au-sol-pour-une-duree-indeterminee_546629


      Les avions 737 MAX de la compagnie American Airlines immobilisés à Tulsa dans l’Oklahoma, le 10 mai.
      HANDOUT / REUTERS

      Aucune date de remise en service de l’avion n’a été décidée à l’issue d’une longue réunion entre les différentes autorités mondiales de l’aviation civile.

      Immobilisé à travers le monde depuis le 13 mars, le Boeing 737 MAX risque encore d’attendre plusieurs mois avant de pouvoir reprendre son envol. Les autorités mondiales de l’aviation civile, réunies jeudi 23 mai au Texas, se sont séparées après huit heures de discussions sans date de retour en service de l’avion-phare de la compagnie américaine.

      « Le seul calendrier est de s’assurer que l’avion est sûr avant de voler », a déclaré Dan Elwell, chef intérimaire de l’Agence fédérale américaine de l’aviation (FAA), lors d’une conférence de presse. Cette incertitude traduit la méfiance des autres régulateurs envers la FAA, à laquelle ils ont posé « beaucoup de questions » et dont ils voulaient des « clarifications » sur les procédures. M. Elwell a indirectement reconnu l’absence de consensus en déclarant que « chaque pays prendra[it] sa propre décision », en toute indépendance, même si le « dialogue » va se poursuivre, notamment avec des échanges d’informations.
      […]
      Dan Elwell avait jeté un froid mercredi en révélant que Boeing n’avait pas soumis pour évaluation la mise à jour du système antidécrochage MCAS, en raison de questions additionnelles. C’est le dysfonctionnement de ce dispositif, mis en cause dans les accidents d’Ethiopian Airlines, le 10 mars (157 morts), et de Lion Air, le 29 octobre en Indonésie (189 morts), qui a entraîné l’interdiction provisoire de vol du 737 MAX, dernier-né du constructeur américain. L’avionneur avait pourtant affirmé la semaine dernière que le correctif était prêt pour la certification.
      […]
      Au-delà du problème de réputation, la crise du 737 MAX devrait avoir un coût financier important alors que cet avion représentait près de 80 % du carnet de commandes de Boeing à la fin d’avril. Le constructeur, qui a suspendu les livraisons, ne perçoit plus d’argent des compagnies aériennes, qu’il devra aussi indemniser pour leur manque à gagner.

  • Immobilisation du Boeing 737 MAX : les compagnies américaines accusent le coût
    https://www.lemonde.fr/economie/article/2019/04/27/immobilisation-du-boeing-737-max-les-compagnies-americaines-accusent-le-cout


    Un Boeing 737 MAX 8 de la compagnie American Airlines, le 13 mars à New York. Frank Franklin II / AP

    American Airlines et Southwest ont fait part de leurs difficultés après avoir été contraints d’annuler des milliers de vols et de réorganiser leurs services du fait de leurs avions cloués au sol depuis un mois.

    Plus d’un mois après l’immobilisation du Boeing 737 MAX suite à deux crashs aériens, la facture commence à être salée pour les compagnies américaines, grosses clientes de cet avion. American Airlines et Southwest ont fait part, cette semaine, de leurs difficultés après avoir été contraints d’annuler des milliers de vols et de réorganiser leurs services du fait de leurs avions cloués au sol.
    Dans la meilleure des hypothèses, cette crise inédite devrait coûter à American Airlines quelque 350 millions de dollars cette année, a fait savoir la compagnie. Cette dernière a en effet dû annuler 1 200 vols prévus sur ses vingt-quatre 737 MAX au premier trimestre pour un coût de 50 millions de dollars. Elle a déprogrammé tous les autres vols prévus jusqu’au 19 août, soit 115 vols par jour. Cela sera-t-il suffisant ? La compagnie a d’ores et déjà été forcée vendredi de revoir à la baisse ses ambitions financières pour 2019.

    Du côté de Southwest, l’addition est toute aussi douloureuse pour cette compagnie qui exploite trente-quatre exemplaires du 737 MAX et attend une livraison de quarante-et-une unités supplémentaires cette année. L’entreprise a annulé plus de 10 000 vols au premier trimestre – un record depuis le troisième trimestre 2001 affecté par les attaques du 11-Septembre –, en raison non seulement du 737 MAX mais aussi d’un conflit social et des tempêtes dans certaines régions aux Etats-Unis. Résultat : le bénéfice net a chuté de 16 % à 387 millions de dollars. Le transporteur a suspendu en outre tous les vols programmés sur ses 737 MAX jusqu’au 5 août.

  • Garuda annule une commande de 49 Boeing 737 MAX
    https://www.latribune.fr/entreprises-finance/industrie/aeronautique-defense/boeing-tente-de-rassurer-apres-les-deconvenues-du-b-737-max-8-811658.html


    (Reuters)

    Alors que la compagnie indonésienne Garuda a annoncé, ce vendredi 22 mars, renoncer à une commande de 49 Boeing 737 MAX 8 après deux crashs impliquant ce modèle en cinq mois, l’avionneur américain réagit afin de répondre aux inquiétudes ainsi que pour éviter que cette première annulation de contrat n’en appelle d’autres.

    C’est assurément un coup dur pour l’image de marque de Boeing. La compagnie indonésienne Garuda a annoncé, ce vendredi 22 mars, renoncer à une commande de 49 Boeing 737 MAX 8. Une première annulation de contrat pour le constructeur américain qui pourrait en appeler d’autres tant son crédit auprès de ses clients semble s’être érodé après deux crashs impliquant, en cinq mois, le Boeing 737 MAX 8.

    « Nous avons envoyé une lettre à Boeing demandant l’annulation de la commande », « les passagers de Garuda ont perdu confiance » dans le 737 MAX et ne veulent pas voler sur cet avion, a déclaré à l’AFP Ikhsan Rosan, porte-parole de la compagnie indonésienne. Il a précisé que Garuda avait déjà reçu un des 50 Boeing 737 MAX 8 commandés pour une valeur totale de 4,9 milliards de dollars au prix catalogue datant de l’annonce de la commande en 2014.

    Une délégation de Boeing devrait se rendre en Indonésie la semaine prochaine pour discuter de cette annulation, a-t-il précisé. Garuda discute aussi avec Boeing de la question de savoir si la compagnie rendra l’appareil qu’elle a déjà reçu, a indiqué le porte-parole. La compagnie avait déjà versé 26 millions de dollars environ à Boeing. Le PDG de Garuda I Gusti Ngurah Ashkara Danadiputra a déclaré récemment à Detik, un média d’information indonésien, que la compagnie envisagerait d’opter pour une autre version du 737.
    […]
    De fait, pour lutter contre les doutes qui s’installent autour de son appareil, l’avionneur américain a annoncé qu’il allait désormais l’équiper d’un signal d’alerte lumineux pour avertir de tout dysfonctionnement du système anti-décrochage MCAS, mis en cause dans l’accident. Cette fonctionnalité, qui était jusqu’à présent optionnelle, va devenir partie intégrante de l’avion : c’est une des modifications que Boeing va présenter aux autorités américaines ainsi qu’aux compagnies clientes dans les prochains jours, a ajouté cette source sous couvert d’anonymat.

    Elle a par ailleurs indiqué que ni le 737 MAX 8 de la compagnie indonésienne Lion Air ni celui d’Ethiopian Airlines, qui s’est écrasé le 10 mars, faisant 157 morts, n’étaient équipés d’un tel signal. American Airlines, qui exploite 24 737 MAX 8, avait, elle, acheté l’option, anticipant de potentiels désaccords entre les systèmes de l’avion, a indiqué à l’AFP une source interne. Idem pour Southwest, plus grosse cliente de cet avion, qui a même rajouté en début d’année une option supplémentaire visant à activer le "Primary Flight Display (PFD), qui rassemble tous les paramètres nécessaires au pilotage, assure une porte-parole. Contactés par l’AFP, Boeing et l’agence fédérale de l’aviation, la FAA, n’ont pas souhaité faire de commentaire.

  • Toux, fièvre, vomissements… une étrange épidémie dans un avion Emirates reliant Dubaï à New York
    https://www.ouest-france.fr/economie/transports/avion/toux-fievre-vomissements-une-etrange-epidemie-dans-un-avion-emirates-re


    Foto : Cortesía
    Alerta bacteriológica en Nueva York : Avión aterriza con 100 pasajeros enfermos

    À leur arrivée à New York, mercredi, plus 500 passagers d’un A380 de la compagnie Emirates ont été examinés. Une centaine d’entre eux présentaient de la fièvre, de la toux et certains étaient pris de nausées. Dix personnes ont été hospitalisées.

    Dix personnes hospitalisées, plus de 100 passagers se plaignant de toux et de fièvre. Le rappeur Vanilla Ice, parmi les 521 personnes bloquées sur le tarmac à New York : l’aéroport John F. Kennedy, s’est mobilisé mercredi face à une alerte santé d’une rare ampleur, probablement due à un épisode grippal.

    L’alerte a été donnée vers 09 h du matin (13 h GMT) à l’atterrissage du vol EK203 de la compagnie Emirates en provenance de Dubaï, assuré par un A380 avec 521 personnes à bord.

    Toux, fièvre et vomissements
    « On nous a informés qu’un grand nombre de passagers étaient malades : 106 présentaient des symptômes allant de la toux à de la fièvre et des vomissements », a expliqué Oxiris Barbot, responsable des services de santé de New York.

    L’appareil a alors été conduit « à distance » des terminaux, et des équipes médicales, dont des spécialistes de l’agence fédérale des Centres de contrôle et de prévention des maladies (CDC), sont montées à bord pour examiner les 521 passagers.

    Parmi eux, le rappeur Vanilla Ice, qui a informé ses fans qu’il était assis à l’étage supérieur de l’A380. « C’est dingue. Apparemment il y a plus de 100 personnes malades à l’étage inférieur, je suis content d’être en haut », a-t-il notamment tweeté.

    • Du coup, on en inspecte d’autres…
      #EK203 (au cas où…)

      These flights have been quarantined and evaluated over sick passengers | Deseret News (article du 9/09/2018)
      https://www.deseretnews.com/article/900030842/these-flights-have-been-quarantined-and-evaluated-over-sick-passengers.

      Several flights across the country have been quarantined and evaluated over the past few days after some passengers showed signs of sickness.

      On Wednesday, a flight from Dubai to John F. Kennedy Airport was quarantined after at least 19 passengers suffered from a confirmed case of the flu, according to ABC News.

      The CDC quarantined the Emirates aircraft, which held 520 passengers. The CDC evaluated 100 passengers, who said they suffered from coughs, headaches, sore throats and fevers, ABC News reported.

      At least 10 people were hospitalized as a “precaution.” The rest were cleared.

      Given the symptoms that we are seeing in the patients and given the history that they present, it looks like this is probably influenza,” acting New York City Health Commissioner Dr. Oxiris Barbot said. “But again, until we have our final results late tonight we won’t be able to give a final determination on what the underlying cause is of this illness.

      Similarly, Southwest Airlines passengers on four flights between Dallas, Houston and Harlingen, Texas, may have been exposed to #measles, the airline company told KTRK-TV.

      The airline said it contacted customers who traveled on the plane two weeks ago to see if anyone onboard had the highly contagious virus.

      The Houston Health Department is working with the Centers for Disease Control and Prevention to speak with the passengers.

      The department told KTRK that the passenger who had the virus did not visit the airport after their flight. They stayed in a waiting room for an hour after the flight.

      And, as The Verg_e reported, two more international flights were evaluated after passengers were caught coughing and showing signs of sickness.

      Both flights were from American Airlines, flying from Munich and Paris to Philadelphia International airport. About 12 people on each flight felt sick, according to a statement from the airport.

      The airport said “_all passengers on the two flights — totaling about 250 plus crew — were held for a medical review and the CDC was notified.

      Allen Parmet, an aerospace medicine expert, told The Verge, “It’s actually pretty common to have somebody coughing in a plane.

      If it turns out to be the flu, this could be an early forecast of the flu season ahead. And the CDC has some tips for keeping the virus from spreading: get vaccinated, and stay home when you’re sick, if you can,” according to The Verge.

      #grippe #flu #influenza
      #rougeole

      les consignes du CDC :
      #se_faire_vacciner
      #rester_chez_soi
      #ne_pas_tousser_dans_l'avion (bon, ça c’est de moi…)

    • C’est un coup des musulmans du pèlerinage #Hajj

      Health Scares At Two U.S. Airports Linked To Pilgrims Arriving From Muslim Hajj In Mecca
      https://www.inquisitr.com/5064809/health-scares-at-two-us-airports-linked-to-pilgrims-arriving-from-muslim-

      U.S. health officials revealed on Friday that major health scares at two U.S. airports involving inbound flights are tied to pilgrims returning from Hajj, the pilgrimage to Mecca that Muslims take at least once in their lifetime, and which ended in late August.

      Health officials on Wednesday sent an emergency response team to the John F. Kennedy International Airport in New York after more than 100 Emirates passengers from Dubai showed flu-like symptoms.

      In an interview with Reuters, Martin Cetron, director for the division of Global Migration and Quarantine at the U.S. Centers for Disease Control and Prevention, said that 11 of the nearly 549 passengers evaluated at the airport were sent to a local hospital for further testing.

      Ten were tested for respiratory pathogen in an attempt to rule out serious infections that may pose health threats to the public.

      Our most critical issue was to rule several respiratory illnesses of urgent public health significance,” Cetron said.

      Two tested positive for a virulent type of the influenza A virus. One of the two was found gravely ill with pneumonia and also infected with another respiratory virus. Another passenger was positive for the cold virus.

      Seven crew members of the flight who were not at the pilgrimage tested negative for respiratory infections that could be of public health concern.
       
      Another health scare happened at the Philadelphia International Airport the next day. Medical teams had to screen passengers who boarded two American Airlines flights from Europe when 12 passengers showed flu-like symptoms. One of the sick passengers visited Mecca for the Muslim pilgrimage.

      Of the 11 passengers taken to the hospital for evaluation, 10 had respiratory symptoms and one exhibited signs of food poisoning. The 10 patients were also tested for Middle East Respiratory Syndrome, but none was positive. MERS is a highly contagious viral respiratory illness first reported in Saudi Arabia in 2012.

      The incident prompted a medical review of 250 passengers from the two flights. Authorities said that this was done as a precautionary measure.

      While airport operations were not affected, out of an abundance of caution, officials performed medical evaluations and assessments,” the Philadelphia International Airport said on Twitter.

      CDC spokesman Benjamin Haynes said that CDC and public health officers worked with emergency medical service personnel and officials from the Customs and Border Protection to evaluate the sick passengers.

      Twelve were found to have coughs and sore throats, and one tested positive for flu. The CDC said that this is not unusual since flu is a year-round virus.

      #MERS-CoV (ça faisait longtemps, tiens !)

  • Maternités américaines : « Si Tanesia avait été blanche, elle serait encore en vie » - Libération
    http://www.liberation.fr/planete/2018/02/04/maternites-americaines-si-tanesia-avait-ete-blanche-elle-serait-encore-en

    Aux Etats-Unis, et plus encore à New York, les femmes noires sont davantage touchées par la mortalité maternelle. La famille Walker a perdu sa fille en novembre des suites d’un accouchement. Depuis, elle tente de comprendre, entre désarroi et colère.

    « La nuit, je fais des cauchemars. Je rêve que ma sœur est morte. Et quand je me réveille, je réalise qu’elle l’est vraiment. » Assis sur le canapé de l’appartement familial, Dwayne Walker peine à appréhender sa nouvelle réalité. Celle d’une vie sans Tanesia. Sa complice, l’aînée de la fratrie. A ses côtés, leur mère, Marcia, visage hagard plongé dans ses mains, répète d’une voix lasse : « On ne sait pas, on ne sait pas, on ne sait pas… Cela fait deux mois que Tanesia est morte, et on ne sait toujours pas pourquoi. » Elle tripote nerveusement des photos de sa fille, étalées sur la table basse. Sur chaque cliché, un même sourire éclatant. Ultimes vestiges d’un bonheur révolu, d’une vie écourtée brutalement.

    Fin novembre, à peine vingt heures après son accouchement, la jeune femme de 31 ans est morte dans un hôpital de Brooklyn. Et si les résultats de l’autopsie se font attendre, les Walker sont convaincus d’une chose : « Si Tanesia avait été blanche, elle serait encore en vie. » Ils n’ont probablement pas tort. Car loin d’être un cas isolé, le décès de Tanesia Walker illustre une tendance alarmante aux Etats-Unis, seul pays développé où la mortalité maternelle, des femmes noires en particulier, progresse. Faute de statistiques fiables, Washington n’a pas publié de taux officiel depuis une décennie. Mais travaux universitaires et estimations internationales pointent un même constat : dans la première puissance mondiale, les mères meurent beaucoup plus souvent que dans les autres pays riches. Au sein de l’OCDE, seul le Mexique fait pire. Selon l’organisation, le taux de mortalité américain s’élevait en 2014 à 24 décès pour 100 000 naissances. Environ trois fois plus qu’en France, quatre fois plus qu’au Canada et sept à huit fois plus qu’au Japon, aux Pays-Bas ou en Norvège.

    Comme Tanesia Walker, entre 700 et 900 femmes meurent chaque année aux Etats-Unis de complications liées à la grossesse ou à l’accouchement. 50 000 autres souffrent de sévères complications, qui entraînent parfois des séquelles à vie. Pour expliquer ce fléau, les experts avancent plusieurs facteurs, à la fois médicaux et sociaux : forte prévalence de l’obésité et des maladies cardiovasculaires, difficultés d’accès au système de santé, absence de congé maternité obligatoire, taux élevé de césariennes. En 2015, dans les hôpitaux américains, une femme sur trois a ainsi donné naissance par césarienne, contre une sur cinq en France. Avec, fatalement, un risque accru de complications postopératoires.

    Les faiblesses du système médical américain ne sont pas une révélation. Sur une pléthore d’indicateurs, les Etats-Unis sont à la traîne (lire page 9). Mais au-delà des comparaisons internationales, peu flatteuses, c’est l’ampleur du fossé racial qui choque le plus. D’après le Centre pour le contrôle des maladies, « le risque de mortalité dû à la grossesse est trois à quatre fois plus élevé chez les femmes noires que chez les blanches. »

    Fossé racial

    New York fait encore pire. Métropole parmi les plus inégalitaires au monde, la ville occupe une place unique dans ce débat sur la mortalité maternelle. On y trouve à la fois des recherches de pointe sur le sujet, un volontarisme politique inédit et l’une des illustrations les plus criantes de ce saisissant fossé racial. En 2015 et 2016, la municipalité a mené deux études approfondies pour mesurer l’ampleur du problème. De précédents rapports laissaient présager de mauvais résultats, qui se sont révélés pires encore : le taux de mortalité des mères noires à New York est douze fois supérieur à celui des blanches. Et contrairement à certaines idées reçues, obésité, diabète et pauvreté (qui touchent plus fortement la communauté noire) ne suffisent pas - loin de là - à expliquer de telles disparités. Une femme noire de poids normal présente encore deux fois plus de risques de complication qu’une femme blanche obèse.

    « Ma sœur était en excellente santé, dit Dwayne Walker. Elle était sportive, ne buvait pas, ne fumait pas. » Adolescente, avant que la famille quitte les Caraïbes pour New York, Tanesia portait le maillot de l’équipe jamaïcaine d’athlétisme. Etudiante brillante, diplômée en justice criminelle à Manhattan, elle a d’abord été cadre dans une banque. Avant d’entamer, poussée par sa passion du voyage, une carrière d’hôtesse de l’air chez American Airlines, où elle était soumise à des tests médicaux réguliers. « Sa grossesse s’est déroulée sans le moindre problème », assure son frère. Le jour de l’accouchement, c’est lui qui l’a conduite à l’hôpital. Sans imaginer un instant qu’il ne la reverrait jamais vivante.

    Le 27 novembre, vers midi, Tanesia Walker, déjà maman de Tafari, 1 an et demi, donne naissance par césarienne à un second garçon, Tyre. Ses parents lui rendent visitent peu après. Marcia raconte : « Elle souriait, le bébé endormi sur sa poitrine. » En fin d’après-midi, toutefois, elle dit se sentir faible, se demande s’il n’y a pas des complications. « Elle avait perdu du sang pendant l’opération. Sa peau avait un teint verdâtre », assure son père, Junior Walker. « C’est à cause de l’éclairage », aurait balayé une infirmière. Les proches quittent l’hôpital en début de soirée. Vers 2 heures du matin, Tanesia envoie un texto à son fiancé, se plaignant de douleurs abdominales.

    « Peu après 4 heures, l’hôpital nous a appelés pour dire que son état était critique », poursuit Junior. Il se précipite sur place avec sa femme. « C’était la panique, médecins et infirmières s’activaient autour de son lit. Sa chemise de nuit était maculée de sang », dit-il en montrant une photo prise avec son téléphone portable. Vers 6 h 45, le décès est prononcé. Dwayne, qui travaille de nuit, arrive peu après. Sa douleur se mêle à la colère : « J’ai supplié l’équipe médicale de me dire ce qui s’était passé. Personne n’avait l’air de savoir. » Un médecin évoque la piste d’une embolie pulmonaire, une pathologie très souvent évitable mais responsable de près de 20 % des morts maternelles à New York.

    Comme après chaque décès postopératoire, une autopsie a été réalisée par les services médico-légaux de New York. Deux mois plus tard, les résultats n’ont toujours pas été publiés. Un délai qui indigne la famille. « On nous laisse avec nos doutes et nos spéculations », soupire Dwayne. Dans les jours ayant suivi le décès de Tanesia, son père affirme avoir été sollicité plusieurs fois par l’hôpital, malgré ses refus répétés, pour un éventuel don d’organes. « Voulaient-ils cacher quelque chose ? » s’interroge-t-il. Contacté par Libération, l’hôpital public Suny Downstate, géré par l’Etat de New York, se refuse à tout commentaire, invoquant la « confidentialité des patients ».

    « Ville ségréguée »

    Et si Tanesia Walker avait tout simplement accouché… dans le mauvais hôpital ? Le rapport publié en 2016 par la ville a en effet révélé des disparités géographiques criantes en matière de santé maternelle. D’un quartier à l’autre, le risque varie du simple au triple. Le centre de Brooklyn, à très forte population noire, affiche les taux de complication les plus élevés. C’est là que vivent les Walker, à l’extrémité est de Crown Heights, une zone encore épargnée par la vague de gentrification qui recouvre rapidement la ville depuis quinze ans. Le site d’investigation ProPublica, spécialisé dans les sujets d’intérêt public, a publié récemment une longue enquête sur ce dossier. On y apprend notamment que l’hôpital « Suny Downstate, où 90 % des femmes qui donnent naissance sont noires, a l’un des taux de complication d’hémorragie les plus élevés » de tout l’Etat.

    « Les inégalités raciales sont ancrées dans l’histoire de ce pays, admet sans détour le Dr Deborah Kaplan, responsable de la santé maternelle, infantile et reproductive à la municipalité de New York. Les quartiers où vit en particulier la communauté noire ont souffert d’un désinvestissement public ciblé. Cela a contribué à rendre notre ville très ségréguée. » Les hôpitaux sont un marqueur majeur de cette ghettoïsation : moins bien financés et équipés, moins attractifs pour le personnel de santé, les établissements dont la majorité des patients sont noirs affichent les pires statistiques.

    Pour tenter de réduire ce fossé racial « choquant », explique le Dr Kaplan, les autorités de santé veulent agir en priorité dans les zones les plus affectées. Les défis ne manquent pas : mieux informer les jeunes Afro-Américaines sur les risques encourus ; améliorer leur suivi médical avant, pendant et après la grossesse ; mieux former et sensibiliser le personnel soignant. Un comité d’une trentaine d’experts, inédit aux Etats-Unis, vient en outre d’être mis sur pied. Objectif de ces travaux, entamés mi-janvier : étudier en détail chaque cas de mortalité maternelle à New York pour en tirer le maximum d’enseignements.

    Biais raciste

    Parmi les autres initiatives lancées par la ville : un partenariat avec des « doulas », ces femmes chargées d’accompagner, soutenir et informer les mères à tous les stades de leur maternité. C’est le combat de Chanel Porchia. Cette mère de six enfants a créé il y a dix ans à Brooklyn le collectif Ancient Song Doula Services, qui propose notamment un service de doula gratuit ou à prix modique. « Que ce soit lors des rendez-vous médicaux ou dans la salle d’accouchement, on remarque que lorsqu’une doula est présente, il y a un changement dans la manière dont les femmes sont traitées, explique-t-elle. La façon dont les soignants parlent aux patientes, la qualité des soins, tout cela peut changer par notre simple présence. »

    Pour Chanel Porchia, le biais raciste de certains soignants ne fait pas l’ombre d’un doute : « Un client blanc et riche bénéficiera toujours d’une oreille plus attentive. Envers les femmes noires, il y a un comportement très condescendant, une manière de leur dire "vous ne savez pas de quoi vous parlez" et de ne pas être à leur écoute. » Tout en berçant son dernier-né dans son bureau aux murs de briques rouges, elle raconte avoir recueilli des témoignages de femmes « menacées de signalement aux services sociaux pour avoir tenté de refuser une césarienne ». Car, au-delà du #racisme latent, Chanel Porchia dénonce un « système de santé cassé », tourné vers le profit et la productivité : « Aux Etats-Unis, nous manquons de sensibilité culturelle, de compassion pour les femmes qui donnent naissance, car tout est géré comme une entreprise. L’objectif est de libérer les places au plus vite. »

    Signe d’une prise de conscience, le collectif Black Mamas Matter (« les mamans noires comptent ») a vu le jour en juin 2015. Porté par plusieurs associations et ONG, il ambitionne de sensibiliser un maximum d’acteurs, des futures mères aux professionnels de santé en passant par les élus au Congrès. Le collectif milite notamment pour un meilleur suivi médical, tout au long de la vie, et pas uniquement au cours de la grossesse. Aux Etats-Unis, près de la moitié des naissances se font sous Medicaid, l’assurance publique réservée aux plus modestes. « De nombreuses femmes, noires notamment, deviennent éligibles à Medicaid à partir du moment où elles tombent enceintes », explique Elizabeth Dawes Gay, présidente du comité directeur de Black Mamas Matter. Dans la plupart des Etats, dont New York, cette assurance prend fin six semaines après l’accouchement. « Six semaines, c’est déjà très peu, ajoute Elizabeth Dawes Gay, mais même au cours de cette période, l’attention se porte surtout sur l’enfant. Les soins post-partum dans notre pays sont quasi inexistants. »

    Autre obstacle majeur au suivi médical : l’absence de congé maternité obligatoire. Lentement, les choses évoluent. Au 1er janvier, l’Etat de New York a ainsi mis en place un congé maternité de huit semaines. Mais seule la moitié du salaire est prise en charge. Pour les femmes aux faibles revenus, impossible dans ces conditions de joindre les deux bouts. Beaucoup reprennent le travail trop tôt. « Si vous retournez travailler deux semaines après avoir accouché, quand trouvez-vous le temps de prendre soin de votre santé ? » interroge Elizabeth Dawes Gay.

    « Usure » physique

    Pour cette activiste basée à Atlanta, éviter les interruptions de couverture maladie s’avère d’autant plus crucial que les femmes noires sont par définition plus à risque. Conséquence d’un racisme latent subi depuis le plus jeune âge. « Le racisme intrinsèque à notre société représente une source chronique de stress, souligne Elizabeth Dawes Gay. La crainte des violences policières, les discriminations au travail ou au logement, la ségrégation : tout cela s’accumule pour fragiliser la santé des femmes noires. »

    Le racisme engendrerait donc une détérioration physique, biologique ? La thèse n’a rien de farfelu. Depuis des années, Arline Geronimus, chercheuse à l’université du Michigan, s’intéresse au sujet. L’une de ses études, sur les marqueurs de chromosomes du vieillissement, a livré une conclusion stupéfiante : l’organisme d’une femme noire de 50 ans paraît en moyenne sept ans et demi plus vieux que celui d’une femme blanche du même âge. Cette « usure » physique devrait conduire, selon elle, à une prise en charge médicale adaptée, en particulier en cas de grossesse. En clair : une femme noire de 30 ans devrait être considérée comme étant autant à risque qu’une femme blanche de plus de 35 ans.

    « Une femme ne devrait pas mourir parce qu’elle veut donner la vie. Pas aux Etats-Unis. Il faut que les gens soient informés », dit Dwayne Walker, le frère de Tanesia. Dès que les résultats de l’autopsie seront connus, la famille prévoit de porter plainte contre l’hôpital. Comme souvent ici, le contentieux se réglera sans doute par un gros chèque. De quoi prendre soin, matériellement, de Tafari et de Tyre. Courts cheveux bouclés, bouille malicieuse, l’aîné sort de sa chambre en courant et se précipite dans les bras de sa grand-mère, Marcia. A la vue de la photo de sa mère, il éclate en sanglots. « Tanesia était si aimante, si proche de lui. Depuis sa mort, il pleure beaucoup, refuse de manger. On ne sait pas quoi faire, se désole Dwayne. Ma mission est désormais de m’occuper d’eux. Nous allons leur donner autant d’amour que possible, ajoute Marcia. Mais rien ne remplacera jamais l’amour maternel. »
    Frédéric Autran

    À mettre en lien avec ce magistral article en anglais où la gravité de la non prise en compte de la douleur des femmes noires par le personnel soignant est très bien expliqué :
    https://seenthis.net/messages/650756

    #maternité #accouchement #hôpital #santé #discriminations #femmes_noires #états_unis

  • Réinventer la programmation ? | InternetActu
    http://internetactu.blog.lemonde.fr/2017/11/25/reinventer-la-programmation

    Les programmeurs doivent s’améliorer

    Il n’empêche que bien des logiciels restent fabriqués à l’ancienne. Les ingénieurs écrivent leurs exigences en prose et les programmeurs les codent. Il faut dire que les programmeurs aiment écrire du code. Les outils qui écrivent du code et vérifient son exactitude semblent encore ésotériques à beaucoup, pour ne pas dire trop beaux pour être vrais. Tant et si bien, souligne Somers, qu’il faudrait surtout étudier pourquoi les développeurs sont encore si réfractaires à ces nouvelles méthodes.

    En 2011, Chris Newcombe est déjà chez Amazon depuis 7 ans. Ingénieur principal, il a travaillé sur certains des systèmes parmi les plus critiques de l’entreprise, comme le catalogue des produits, l’infrastructure de gestion des Kindle ou encore Amazon Web Services, l’infrastructure de traitement et de stockage à la demande… La complexité des systèmes rend les événements censés être extrêmement rare peut-être plus probable qu’on ne le pense. Pour lui, les algorithmes des systèmes critiques sont souvent parfaits, mais les bugs se révèlent plus difficiles à trouver quand les algorithmes deviennent plus complexes. Et la démultiplication des tests ne suffit pas toujours à les repérer. D’où son excitation quand il a entendu parler de TLA+, un mélange de code et de mathématique pour écrire des algorithmes « parfaits ».

    TLA+, qui signifie « Logique temporelle des actions », est similaire en esprit à la conception basée sur le modèle : c’est un langage pour écrire les exigences – TLA+ les appelle « spécifications » – des programmes d’ordinateur. C’est lui aussi un système de méthode formelle. Ces spécifications peuvent ensuite être entièrement vérifiées par un ordinateur. C’est-à-dire, avant d’écrire un code, vous écrivez un bref aperçu de la logique de votre programme, avec les contraintes dont vous avez besoin pour y répondre (par exemple, si vous programmez un guichet automatique, une contrainte pourrait être que vous ne pouvez jamais retirer le même argent deux fois d’un compte chèque). TLA+ vérifie alors de manière exhaustive que votre logique réponde bien à ces contraintes. Sinon, il vous montrera exactement comment ils pourraient être détournés.

  • ‘Declaration of war :’ Hajj controversy widens row between Saudi Arabia & Qatar — RT News
    https://www.rt.com/news/398027-qatar-hajj-saudi-restrictions-war

    #nuit_torride. Le développement du moment, c’est « l’internationalilsation des lieux-saints » musulmans, demandée par Qatar, et qui reprend un dossier très chaud déjà évoqué par les Iraniens, ce qui n’est pas innocent bien entendu.

    The feud between the Saudi-led block and Qatar escalated over the weekend, with Doha protesting to the UN over restrictions on its citizens flying to Mecca, and Riyadh threatening “war” over what it considers calls to “internationalize the holy sites” in Mecca and Medina.

    Sinon, on note également la mise en place de couloirs de secours pour les vols de l’aviation civile. Curieusement, Qatar dément... https://arabic.rt.com/middle_east/891350-%D8%A7%D9%84%D8%B3%D8%B9%D9%88%D8%AF%D9%8A%D8%A9-%D8%AA%D8%B9%D9%8

  • The Science Behind Arizona’s Record-Setting Heat Wave
    https://psmag.com/environment/terrifying-heat-waves-in-arizona

    - The United States Border Patrol stepped up safety messages, saying “it is physically impossible for the average person to carry enough water to survive.”

    – The National Weather Service also warned against walking pets outdoors, saying that at pavement temperatures above 162 degrees (consistent with air temperatures of 102 [= 39°C]), skin is instantly destroyed.

    Also on Monday, American Airlines canceled 38 flights previously scheduled for Phoenix on Tuesday—simply because it will be too hot to fly. It’s not necessarily that the pilots and ground crew will need extra rest, it’s that the planes’ wings themselves weren’t designed to perform under such conditions. Hotter air is thinner, and provides less lift, making it difficult for planes to take off.

    As for here in Tucson, where I live, it’s so hot right now, I can’t think straight. Even indoors, a heat like this consumes you. “Cold” water from the tap is hot to the touch. You feel trapped; your daily routine changes to accommodate the inferno.

    [...] In short, the background signal of global warming makes the entire atmosphere thinner and less dense, supporting stronger high-pressure centers like the one camped out over Arizona this week, which then tend to get stuck in place—cranking up the thermostat over a multi-state region.

    #climat

  • L’« homonationalisme » drapeau de l’occupation israélienne | Pierre Prier
    http://orientxxi.info/lu-vu-entendu/l-homonationalisme-drapeau-de-l-occupation-israelienne,1804

    Tel-Aviv a été déclarée en 2012 « meilleure ville gay du monde » à l’issue d’une enquête menée par le site gaycities.com et American Airlines, ce qui lui vaut une fréquentation touristique conséquente, notamment en juin, au moment de la Gay pride. Mais cette image « sea, sex and sun » d’ouverture et de tolérance présentée à l’Occident n’est qu’un mirage, selon Jean Stern. Car Israël, pays à la fois colonisateur et largement homophobe, a du mal à passer pour un défenseur des libertés, même si sa politique de (...) Source : Orient XXI

  • Publication de photos inédites de l’attentat contre le Pentagone | États-Unis
    Publié le 31 mars 2017 à 15h52
    http://www.lapresse.ca/international/etats-unis/201703/31/01-5084227-publication-de-photos-inedites-de-lattentat-contre-le-pentagone.

    La police fédérale américaine a rendu publiques 27 photos inédites montrant les suites immédiates de l’attentat du 11 septembre 2001 contre le Pentagone, notamment l’incendie et la dévastation causés par le choc de l’avion détourné par Al-Qaïda.

    Ces images publiées jeudi par le FBI montrent aussi des débris provenant de l’appareil assurant le vol 77 d’American Airlines qui s’était écrasé sur le flanc ouest de l’édifice géant.

    Les photographies émanent d’un service administratif du FBI qui archive les documents rendus publics en vertu de la Loi sur la liberté d’information (FOIA).

    L’attentat du Pentagone avait fait 184 morts, dont 125 qui se trouvaient au sol. En tout, les attentats du 11 septembre ont fait près de 3000 morts, principalement dans l’effondrement des tours du World Trade Center à New York.

    #11_septembre

  • De mystérieux malaises frappent les stewards du groupe American Airlines RTS - Fme - 19 Janvier 2017
    https://www.rts.ch/info/sciences-tech/reperages-web/8322013-de-mysterieux-malaises-frappent-les-stewards-du-groupe-american-airlines

    La compagnie American Airlines a reçu plus de 2300 plaintes de la part de ses stewards. [Susan Walsh - keystone]

    Les nouveaux uniformes d’American Airlines sont pointés du doigt pour expliquer des malaises. Mais le groupe, qui vient de dépenser plus d’un million de dollars dans une batterie de tests, n’a pas trouvé de coupable.

    Éruptions cutanées, vertiges, irritation des yeux, cloques suintantes ou problèmes respiratoires. Ces symptômes figurent dans quelque 2300 plaintes reçues par le groupe American Airlines depuis l’introduction, en septembre, de nouveaux uniformes distribués aux 70’000 hôtesses de l’air et stewards, relate le site Bloomberg.


    Tests toxicologiques
    L’Association professionnelle des agents de bord a demandé au transporteur de rappeler ces vêtements. Mais la compagnie aérienne affirme avoir dépensé plus d’un million de dollars pour trois séries de tests toxicologiques qui n’ont pas révélé de causes évidentes. Après de nombreuses discussions entre la compagnie, le syndicat et le fournisseur d’uniformes Twin Hill, on ne peut toujours pas expliquer la hausse des plaintes de santé.

    De son côté, Twin Hill, citant lui aussi les tests d’un laboratoire, déplore une communication inexacte et dommageable pour sa réputation.

    Des précédents pour le fournisseur Twin Hill
    Ce n’est pas la première fois que les uniformes produits par Twin Hill font l’objet de plainte, relève le site Bloomberg. Les uniformes de la société avaient déjà été l’objet de plaintes similaires de la part d’environ 400 stewards d’Alaska Airlines, en 2011. Ces plaintes ont été rejetées, un an plus tard, au tribunal de Californie, qui avait donné raison au fournisseur. Alaska Airlines avait fini par remplacer tous les uniformes, deux ans plus tard.

    #American_Airlines #Twin_Hill #Toxique

  • Stolen airline miles: A thief on the flight | The Economist

    http://www.economist.com/blogs/gulliver/2015/01/stolen-airline-miles?fsrc=scn/tw_ec/a_thief_on_the_flight

    Plutôt marrant #dfs #aéroports #transport_aérien

    THIEVES have used stolen usernames and passwords to book awards flights using American Airlines and United Airlines customers’ miles, the Associated Press reported on Monday. The airlines’ own systems don’t appear to have been compromised; instead, the thieves nabbed login information from elsewhere on the web and took advantage of the fact that many people use the same credentials across multiple sites.

  • FAA: Jet Nearly Collided With #Drone Over Florida - ABC News
    http://abcnews.go.com/US/wireStory/faa-jet-collided-drone-23663944

    The near collision with the drone was reported to air traffic control on March 22 by the pilot of an American Airlines Group jet as the pilot approached the Tallahassee runway en route from Charlotte, North Carolina.

    “The airline pilot said that the UAS was so close to his jet that he was sure he had collided with it,” Williams said. “Thankfully, inspection of the airliner after landing found no damage.”

  • The Stories That Galaxies Tell - Issue 10: Mergers & Acquisitions
    http://nautil.us/issue/10/mergers--acquisitions/the-stories-that-galaxies-tell

    The biggest merger to ever hit these parts is coming—a union that promises to be more tumultuous than that of Richard Burton and Elizabeth Taylor, offer more star power than Brangelina, and deliver more jet propulsion than the new American Airlines–US Airways conglomerate. We’re talking about the coming together of the Milky Way galaxy and its nearest large neighbor, Andromeda, in a collision that scientists now deem inevitable. This celestial amalgamation will begin in about 4 billion years and finish within another 2 billion, producing a new, larger elliptical galaxy in place of the two spirals that originally conjoined. Mergers are routine rites of passage for galaxies. “All of the biggest and best studied galaxies around us today are either currently interacting galaxies or collisions (...)

  • Cantor Fitzgerald Settles 9/11 Suit Against American Airlines for $135 Million - NYTimes.com

    http://www.nytimes.com/2013/12/18/nyregion/cantor-fitzgerald-settles-9-11-lawsuit-for-135-million.html?nl=todaysheadli

    J’avais complètement zappé cette histoire... Je me souviens très bien de l’interview du patron le jour des attaques, pleurant à la télé, arrivé en retard en accompagnant ses enfants à l’école.

    More than a dozen years after the Sept. 11 attacks, a last major piece of litigation against the airline industry and other defendants moved toward an end on Tuesday, as the Wall Street firm Cantor Fitzgerald revealed that it would settle its lawsuit for $135 million.
    Related

    Cantor Fitzgerald to Settle 9/11 Lawsuit Against American Airlines (December 14, 2013)

    Cantor had accused American Airlines of negligence in allowing five terrorists to board the plane in Boston that crashed into the World Trade Center’s north tower, killing 658 of Cantor’s almost 1,000 employees in New York.

    #11_septembre #cantor_fitzgerald

  • Obama administration approves merger of airline giants - World Socialist Web Site

    http://www.wsws.org/en/articles/2013/11/14/merg-n14.html

    Obama administration approves merger of airline giants
    By Barry Grey
    14 November 2013

    Attorney General Eric Holder announced on Tuesday that the US government had withdrawn its opposition to the merger of the parent companies of American Airlines and US Airways, paving the way for the creation of the world’s largest air carrier and the further monopolization of the US and international airline industry.

    #états-unis #transport_aérien #fusions_acquisitions #compagnie_aériennes #low_cost #dérégulation

  • American Airlines : un #bug informatique cloue au sol toute la flotte d’avions
    http://www.latribune.fr/entreprises-finance/services/transport-logistique/20130416trib000759918/un-bug-informatique-a-cloue-toute-la-flotte-d-american-mardi.-des-perturba

    C’est l’une des flottes d’avions les plus importantes de la planète (plus de 600 appareils, hors franchisés). Et elle est restée clouée au sol mardi aux Etats-Unis en raison d’un problème informatique sur le système de réservations.

    cc @touti

  • Voilà c’est ce qu’arrive quand les clients sont plus rusés que le directeur du marketing

    The frequent fliers who flew too much - latimes.com
    http://www.latimes.com/business/la-fi-0506-golden-ticket-20120506,0,3094073,full.story

    http://www.flickr.com/photos/39551170@N02/6349060291

    Flickr

    There are frequent fliers, and then there are people like Steven Rothstein and Jacques Vroom.

    Both men bought tickets that gave them unlimited first-class travel for life on American Airlines. It was almost like owning a fleet of private jets.

    Passes in hand, Rothstein and Vroom flew for business. They flew for pleasure. They flew just because they liked being on planes. They bypassed long lines, booked backup itineraries in case the weather turned, and never worried about cancellation fees. Flight crews memorized their names and favorite meals.

    Each had paid American more than $350,000 for an unlimited AAirpass and a companion ticket that allowed them to take someone along on their adventures. Both agree it was the best purchase they ever made, one that completely redefined their lives.

    ..

    But all the miles they and 64 other unlimited AAirpass holders racked up went far beyond what American had expected. As its finances began deteriorating a few years ago, the carrier took a hard look at the AAirpass program.

    Heavy users, including Vroom and Rothstein, were costing it millions of dollars in revenue, the airline concluded.

    La morale de l’histoire : on ne donne qu’aux riches.