company:assad

  • Les quatre minutes de vérité du sénateur Graham
    http://www.dedefensa.org/article/les-quatre-minutes-de-verite-du-senateur-graham

    Les quatre minutes de vérité du sénateur Graham

    28 septembre 2018 – On se rappelle, l’on sait même avec la plus grande certitude, que je n’ai jamais porté le sénateur républicain US Lindsay Graham dans mon cœur. Grand ami et complice de McCain, Graham a été de toutes les incitations, exclamations, manipulations & autres sales coups pour lancer ou entretenir des agressions et des conflits américanistes extérieurs, en Irak, en Afghanistan, en Libye, en Syrie, en Ukraine, etc.

    Graham est toujours le même à cet égard. Il a exprimé ses encouragements à Trump lorsque, à deux reprises avril 2017 et avril 2018), celui-ci a fait tirer des missiles contre la Syrie, regrettant néanmoins les doses homéopathiques employées au lieu d’un vrai carpet-bombing du type Shock & Awe pour en finir avec Assad. Graham (...)

    • AVION RUSSE ABATTU EN SYRIE : MOSCOU ET TEL-AVIV DOIVENT REVOIR LEURS ACCORDS… – Proche&Moyen-Orient.ch
      https://prochetmoyen-orient.ch/avion-russe-abattu-en-syrie-moscou-et-tel-aviv-doivent-revoir-le

      Comme nous l’écrivions dernièrement1, les Américains sont, suffisamment pragmatiques pour comprendre qu’ils ont perdu la bataille de Syrie. Par contre, ils refusent de perdre la guerre des Proche et Moyen-Orient. Les services du Pentagone l’ont affirmé à plusieurs reprises : « nous allons multiplier les ‘bourbiers’ dans lesquels s’enfonceront inexorablement la Russie et l’Iran ». Trois principaux « bourbiers » continuent à être consciencieusement entretenus par Washington : la guerre au Yémen où la coalition saoudo-émirienne poursuit sa destruction de l’un des pays les plus pauvres du monde ; après l’attaque du consulat iranien de Bassorah, c’est maintenant un groupe armé connu pour ses liens avec les services américains qui décime une cérémonie militaire dans la ville d’Ahvaz ; enfin, l’allié sioniste des Etats-Unis poursuit ses ingérences régionales tous azimuts.

      Sur le plateau du Golan, Tel-Aviv délivre des armes aux groupes jihadistes de Jabhat al-Nosra (Al-Qaïda en Syrie) et soigne ses blessés dans des hôpitaux israéliens au nom de « l’action humanitaire ». Dans d’autres régions de Syrie, l’aviation israélienne reconnaît avoir mené plus de 200 bombardements durant les deux dernières années, violant quasiment quotidiennement les espaces aérien et maritime du Liban. A l’évidence, Israël ne cherche pas à annexer les territoires syriens dans lesquels son armée s’ingère. Officiellement, Tel-Aviv prétend cibler des objectifs iraniens et du Hezbollah libanais – ceux-ci étant rarement identifiables comme tels, puisque leurs soldats sont généralement intégrés dans unités de l’armée régulière syrienne. Comme Washington, Londres et Paris,Tel-Aviv veut-il le départ de Bachar al-Assad ? Mais au profit de qui ? Les Frères musulmans, les Salafistes ou d’autres agités ?

      Quoiqu’il en soit, « ce petit pays de merde » – comme l’appelait Daniel Bernard, alors ambassadeur de France à Londres – se permet les pires violations du droit international sans que personne n’y trouve rien à redire : exécutions sommaires, détentions arbitraires, tortures, déportations massives et discriminations ethnico-religieuses… autant de crimes similaires à ceux d’une idéologie responsable de l’une des plus grandes tragédies du XXème siècle. Il serait peut-être temps que cette impunité arrogante, meurtrière et absurde cesse, qu’elle soit condamnée et empêchée de nuire !

      Pour beaucoup moins que cela, n’importe quel pays au monde aurait déjà été bombardé par l’OTAN, traîné devant la Cour pénale internationale ou – à minima – subirait quelques sanctions économiques et politiques, n’en déplaise à John Bolton et ses amis néo-cons !

  • Israel : Putin angry at Syria over downing of reconnaissance plane | The Times of Israel
    https://www.timesofisrael.com/israel-putin-angry-at-syria-after-downing-of-plane

    Poutine fâché contre Assad après le crash de l’Il-20 ? Le Kremlin commente - Sputnik France
    https://fr.sputniknews.com/international/201809211038175684-poutine-assad-il20-crash

    La présidence russe a démenti les informations diffusées par la presse israélienne selon lesquelles Vladimir Poutine aurait refusé de répondre aux appels téléphoniques de Bachar el-Assad suite au drame de l’Il-20 russe au large de la Syrie.

  • La bataille d’Idlib et ses scénarios, par Abdelbari Atwan - Actuarabe
    http://actuarabe.com/bataille-idlib-scenarios

    Le journal de droite Wall Street Journal, considéré comme proche de l’administration américaine, rapporte d’après de hauts responsables que le Président Donald Trump « étudie la possibilité de frappes américaines contre les forces russes et iraniennes en Syrie ». Il affirme aussi que « le Président Al-Assad a donné son accord pour l’utilisation de chlore dans l’attaque d’Idlib, ce qui pourrait entraîner une réaction américaine », et que le Ministère de la défense a préparé le « scénario » d’une intervention armée, qui n’attend plus que l’accord du Président pour être exécuté.

  • Comment le monde est en train d’abandonner les derniers démocrates en Syrie
    https://www.bastamag.net/Comment-le-monde-est-en-train-d-abandonner-les-derniers-democrates-en-Syri

    Le régime syrien et ses alliés entament une nouvelle campagne militaire contre la dernière province rebelle échappant à leur contrôle, celle d’Idlib, coincée contre la frontière turque et encerclée par les forces favorables à Bachar al-Assad. Dominée par un groupe jihadiste, la région est aussi le dernier refuge d’une riche société civile animée par les idéaux de la révolution. Ces démocrates et leurs expérimentations, telles que conseils locaux élus, médias libres et centres de femmes, qui n’ont cessé de (...)

    #Débattre

    / A la une, Démocratie !, #Proche_et_Moyen_Orient, #Guerres_et_résolution_des_conflits, Solidarités (...)

    #Démocratie_ ! #Solidarités_internationales

  • En Syrie, réhabiliter le chemin de fer pour reconstruire le pays
    https://fr.news.yahoo.com/syrie-r%C3%A9habiliter-chemin-fer-reconstruire-pays-060713712.html
    Maher AL MOUNES - AFP - 9 septembre 2018

    Damas (AFP) - Près de Damas, dans sa locomotive, Abou Abdou déborde d’enthousiasme à l’idée de tester des rails fraîchement installés. En Syrie, le gouvernement de Bachar al-Assad veut réhabiliter des centaines de kilomètres de chemins de fer.

    L’initiative doit contribuer aux efforts de reconstruction dans un pays ravagé par la guerre depuis 2011, mais aussi relancer le commerce régional, assurent les autorités, au moment où le pouvoir d’Assad a consolidé son emprise sur près des deux tiers du territoire.

    Avant le conflit, les voyageurs pouvaient parcourir en train des centaines de kilomètres en Syrie, de Damas jusqu’à Homs, Alep, Lattaquié ou encore Deir Ezzor. Mais, dès 2012, les combats dans un pays morcelé ont mis les locomotives à l’arrêt.

    « Quand je conduis un train, j’ai l’impression de piloter un avion ! », se réjouit Abou Abdou, cheminot de 42 ans qui a retrouvé son bleu de travail.

    « J’attends ce jour depuis six ans », s’exclame-t-il en pianotant sur le tableau de commande devant lui pour man ?uvrer sa locomotive.(...)

  • Syrie : Washington affirme avoir des preuves que le régime d’Assad prépare des armes chimiques avant d’attaquer d’Idlib - LCI
    https://www.lci.fr/international/syrie-washington-affirme-avoir-des-preuves-que-le-regime-de-bachar-al-assad-prep

    DECLARATION - Les Etats-Unis ont affirmé jeudi soir détenir « de nombreuses preuves » que le gouvernement syrien préparait des armes chimiques en vue d’une attaque contre la province rebelle d’Idlib. Une offensive serait « une escalade irresponsable », préviennent-ils.

    Quand c’est le pouvoir russe qui dit la même chose 3 semaines avant, ça ne mérite pas d’être cité. Mais quand c’est le pouvoir américain (lequel ? celui qui publie dans le NYT ou celui qui fait des tweets ?), ça mérite d’être claironné.

    Et chacun de dire « j’ai des preuves ». Et systématiquement, grosses difficultés pour les voir. (il paraît que les russes ont présenté des choses à leurs homologues occidentaux... mais à quoi bon s’y intéresser ?)

  • Syrie & “D.C.-la-folle”, concurrence de paroxysmes
    http://www.dedefensa.org/article/syrie-dc-la-folle-concurrence-de-paroxysmes

    Syrie & “D.C.-la-folle”, concurrence de paroxysmes

    L’actuelle séquence syrienne a commencé par une ou deux sorties (verbales) de l’archi-neocon John Bolton les 21 et 23 août (l’une est publique, l’autre est supposée privée face aux Russes), disant qu’en cas d’attaque chimique évidemment syrienne (venue du “régime Assad”, selon la terminologie-BAO), il y aurait une “très forte riposte” des USA sous la forme de frappes aériennes contre l’armée syrienne (et ceux qui se trouveraient avec elle). A partir de ce moment, le ministère russe de la défense a commencé à détailler les préparatifs avec l’aide du MI6 de l’habituelle attaque-chimique-bidon, dite “sous faux-drapeaux”, faisant office de prétexte pour cette “riposte”, par les djihadistes d’al Qaïda/Daesh regroupés en masse dans la zone d’Iblid (de 10 000 à 20 000 (...)

  • Retour sur un « cessez-le-feu »

    Les braises de la révolution

    paru dans CQFD n°142 (avril 2016), par Oum Ziad, Richard Schwartz

    Le 12 février 2016, les manifestations se multipliaient en Syrie. Le peuple se battait encore. Entretien avec Leila Al-Shami, bloggeuse anarchiste, impliquée dans les réseaux de résistance populaire syriens, et co-auteure, avec Robin Yassin-Kassab de Burning Country : Syrians in war and Revolution .

    http://cqfd-journal.org/Les-braises-de-la-revolution

    Dans ce contexte de guerre et de siège et malgré la famine et les bombardements, comment s’organise ce mouvement de rébellion civile dans ces « zones libérées » ?
    Quand nous parlons de « zones libérées », c’est un peu plus que de la simple rhétorique. Dans Alep, par exemple, les différents conseils locaux continuent d’assurer les services publics et vitaux pour la population locale, ainsi que l’auto-administration de chaque territoire en l’absence de l’État. Je parle de plus de 100 organisations de la société civile, la seconde plus importante concentration de groupes civils actifs du pays. Cela comprend quelque 28 associations de médias libres, des organisations de femmes, d’urgence sanitaire et de soins. Cela inclut également des organisations éducatives, telle Kesh Malek, qui dispensent un enseignement non idéologique aux enfants, et dont les locaux sont souvent installés dans des sous-sols par crainte des bombardements. Sous le règne totalitaire d’Assad, la société civile était inexistante, et aucun média indépendant n’était toléré. Dans la démocratie d’Alep libérée, ces pratiques se sont développées à mesure que les gens ont commencé à s’auto-organiser, puis à auto-administrer leurs communautés. Cela représente, selon moi, les objectifs originels du mouvement révolutionnaire.

  • A no-fly zone for Aleppo risks a war that could engulf us all | Jonathan Steele
    https://www.theguardian.com/commentisfree/2016/oct/12/no-fly-zone-aleppo-war-russia-syria

    There are only three sensible ways to save Aleppo’s people. One is the voluntary departure of the jihadis who, in the words of UN envoy Staffan de Mistura, are holding civilians hostage. One could go further and say they are keeping eastern Aleppo’s civilians as human shields. Why, for example, have most people not left already, given the intensity of Russian bombing: is it that the jihadis are blocking people’s escape? Syria is also mired in a propaganda war, and in the heart-rending images that the rebels put out on social media about life and death in Aleppo, the seamier side of the armed groups’ control is suppressed.

    Hundreds of civilians recently left the besieged Damascus suburb of Daraya after the rebels gave in, with no reprisals from Assad forces. Gunmen were even allowed to keep their weapons and were taken by buses to rebel-held areas in the north.

    The second option is for Syrian government forces to retake the whole city, just as Iraqi forces retook jihadi-held Ramadi and Falluja in recent months. Iraqi barrel bombs and US airstrikes had left three-quarters of those cities in ruins, but civilians got the chance to rebuild their lives.

    The concept of an Assad victory will stick in the throats of hundreds of thousands of Syrians who have lost so much in the fight against him. But if the secular multicultural tolerance of pre-war Syria is to be restored, it is better to deny victory to the Sunni extremists who pose the main opposition to Assad, whether it is Islamic State, the al-Qaida-linked Jabhat al-Nusra or similar groups.

    The third option is a ceasefire. Last month’s Russian-US agreement provided for the superpowers to separate the al-Nusra fighters from those Syrian Islamists prepared to negotiate with Assad’s representatives in Geneva for a coalition government.

    The ceasefire never took hold because the Islamists refused to split. Al-Nusra understandably did not want to be isolated and left vulnerable to a joint US-Russian air campaign. So they used their dominance among the Aleppo fighters to press the other groups to stick with them. For their part, the non-Nusra fighters feared an alliance between the Americans, the Russians and Assad’s army.

  • A lire la tribune de Frederic C. Hof dans Newsweek, publiée d’abord sur le site de l’Atlantic Council, qui est un plaidoyer pour une invasion du territoire syrien (le fameux plan d’invasion au sol souhaité par les Turcs et les Saoudiens, que certains pensent être le plan B évoqué par Kerry).
    Ce Fred Hof est un ancien officier militaire en poste au Moyen-Orient. Il a le rang d’ambassadeur et a été conseiller spécial pour la « transition » en Syrie auprès d’Hillary Clinton - en clair chargé de l’opération de regime-change en Syrie. Il s’est aussi un peu occupé de paix israélo-arabe, comme on le fait aux USA... Il est désormais senior fellow auprès du Rafik Hariri Center for the Middle East : http://docs.house.gov/meetings/AS/AS00/20130717/101150/HMTG-113-AS00-Bio-HofA-20130717.pdf
    Au milieu de l’habillage argumentatif à base de génocide et des alarmes humanitaires peu crédibles de la part d’un tel personnage, on trouve des vérités rarement dites. D’abord qu’un des objectifs de Poutine en Syrie est de mettre fin aux opérations américaines de regime-change de par le monde en infligeant une défaite aux USA :
    http://europe.newsweek.com/what-putin-next-move-syria-431694?rm=eu

    Putin’s objective need not change: force the United States into a de facto alliance with Assad against ISIS, thereby enabling him to tell Russians that the American worldwide regime change campaign he has vowed to defeat has been stopped cold in Syria , that the American president has been forced to eat his “Assad should step aside” words and that Russia has returned to great power status—thereby ending decades of humiliation.

    Quand on a été préposé à ce genre d’opérations, il y a là de quoi crier au scandale, effectivement.

    Ensuite, que dans le moment actuel sur l’accord de cessation des hostilités, la crainte de M. Hof et d’autres (disons ceux qui financent le Rafik Hariri Center...) soit que l’accalmie relative de la violence au nord-ouest, si elle perdurait, ne permette à Poutine et Assad de se lancer à la conquêt des territoires de Da’ich à l’est. Voire pire, de solliciter publiquement le soutien américain pour cela, légitimant du coup Assad :

    Assad’s negotiators in Geneva would simply stiff-arm any attempt to sideline him. Russian aircraft and Syrian ground forces (supplemented critically with Shia foreign fighters organized by Iran) would move incrementally against ISIS, calling on the American-led anti-ISIS coalition to support what Moscow would characterize as “the legitimate Government of Syria and its elected President in the battle against international terrorism.”

    Du coup, bin, l’invasion au sol est bien évidemment nécessaire :

    The recommendation here remains as it has been for many, many months: A coalition of the willing ground force led by the United States, consisting in large measure of regional forces and excluding Russia, Iran and the Assad regime, should destroy ISIS in eastern Syria and give the Syrian opposition the opportunity to work with local committees (now underground) to establish decent governance in ISIS-liberated Syria.

    On passera sur l’autre recommandation, assez délirante, de bombarder des bases syriennes au cas où les attaques russes et syriennes prendraient le prétexte de la présence d’al-Nousra...

  • Will #Geneva_II Consolidate Western Alliance With Assad?
    http://english.al-akhbar.com/content/will-geneva-ii-consolidate-western-alliance-assad

    Syrians look at the aftermath of an airstrike on a rebel area of the war-torn northern city of Aleppo on December 15, 2013.(Photo: AFP - Mohammed Al-Khatieb). Syrians look at the aftermath of an airstrike on a rebel area of the war-torn northern city of Aleppo on December 15, 2013.(Photo: AFP - Mohammed Al-Khatieb).

    International relations are not governed by emotions or ethics but rather by state interests. This was clear in the case of the Western-Iranian deal. Neither Israeli nor Gulf pressure succeeded in dissuading Washington from reaching a deal with Iran. The same principle will soon inform the West’s relationship with #syria, as recent leaks seem to indicate.

    Sami Kleib (...)

    #Opinion #Articles #Russia #Saudi_Arabia #united_states

  • The Sunday Times: Assad used aid loophole to obtain money frozen by EU
    https://mtv.com.lb/en/News/284867

    The Syrian president Bachar Assad, along with his cronies, have managed to use an aid loophole to obtain money frozen by the European Union, The Sunday Times reported.

    According to the newspaper, Assad deceived European governments into releasing hundreds of millions of euros from frozen bank accounts by falsely claiming the money would be used for aid relief.

  • A Syrian solution to civil conflict? The Free Syrian Army is holding talks with Assad’s senior staff - Comment - Voices - The Independent
    http://www.independent.co.uk/voices/comment/a-syrian-solution-to-civil-conflict-the-free-syrian-army-is-holding-t

    Six weeks ago, a two-man delegation arrived in secret in Damascus: civilians from Aleppo who represented elements of the Free Syrian Army, the rebel group largely composed of fighters who deserted the regime’s army in the first year of the war. They came under a guarantee of safety, and met, so I am told, a senior official on the staff of President Bashar al-Assad. And they carried with them an extraordinary initiative – that there might be talks between the government and FSA officers who “believed in a Syrian solution” to the war.

    • Intéressant, mais avec des pincettes. Ça semble dans la même logique des quelques mentions cet été (juillet je crois) du programme de Ali Haidar (ministre de la réconciliation nationale) de proposer aux rebelles de rendre leurs armes sur une base volontaire. Mais je n’ai pas vu ensuite d’autres mentions, alors ce genre d’annonce peut aussi bien être une manipulation.

      (Accessoirement, le tout dernier paragraphe concernant le rapport de l’ONU est à mon avis mauvais.)

    • Non, je pense que la logique est différente. Des infos également dans la presse (al-akhbar) selon lesquelles la Jordanie prépare la suite, i.e. se réconcilier avec la Syrie sans trop fâcher les Saoudiens... Premier petit pas : arrestation de qqs jihadites, surveillance un peu plus stricte de la frontière... Reste un pb pas facile, la Jordanie est fauchée ! (Les Iraniens peut-être ;-)

  • Restraining Order - By Marc Lynch | Foreign Policy
    http://www.foreignpolicy.com/articles/2013/08/28/restraining_order_barack_obama_syria?page=0,1

    ... the administration’s loud protestations of limited aims and actions are only partially reassuring. Much the same language was used at the outset of the Libya campaign. Everybody knows that it will be excruciatingly difficult for Obama to hold the line at punitive bombing after those strikes inevitably fail to end the war, Assad remains publicly defiant, the Geneva 2 diplomatic process officially dies, and U.S. allies and Syrian insurgents grumble loudly about the strike’s inadequacy. Once the psychological and political barrier to intervention has been shattered, the demands for escalation and victory will become that much harder to resist. And what happens when Assad launches his next deadly sarin attack — or just massacres a lot of Syrians by non-chemical means? This too Obama clearly knows. But that knowledge may still not be enough to save him.