company:banque populaire

    • Opération spéciale : un micro-don pour Notre-Dame de Paris - L’ARRONDI
      https://www.larrondi.org/operation-speciale-un-micro-don-pour-notre-dame-de-paris

      La Fondation de France : rebâtissons Notre-Dame de Paris

      Une souscription nationale a été ouverte dès le 16 avril afin de financer la restauration de la cathédrale. Pour participer à cet élan de générosité, différentes enseignes proposent à leur clients de faire un ARRONDI à l’euro supérieur lors de leurs achats dès mercredi dans les magasins Franprix et Monoprix, et jeudi chez Kusmi Tea. L’opération s’étend jusqu’au 5 mai chez Franprix et Kusmi Tea, jusqu’au 6 mai chez Monoprix. Le processus de reconstruction nécessitera plusieurs années, c’est pourquoi chaque centime compte ! 100% des dons seront reversés à la Fondation de France via le fonds de dotation Le Réflexe Solidaire. Il est également possible de faire un don sur le site de la Fondation de France, déductible à 66%.

    • Le chiffre donné par les associations locales est de plus de 5000 personnes qui vivent dans la rue à Toulouse. Des familles avec enfants, des femmes enceintes, à crever dehors de la misère imposée. La dernière fois que je suis allée chez Monoprix en fin de journée, à la boulangerie ils ont refusé de me donner les sacs dans lesquels ils venaient de jeter tout ce qu’il restait des étalages : croissants, pains au chocolat, gateaux divers, je me suis largement engueulé avec eux et ils m’ont dit que c’était les ordres.
      #Monoprix mène la #guerre_aux_pauvres, pire, l’enseigne force la participation à la sauvegarde de la religion caché derrière la reconstruction de l’emblème de ce pouvoir : NDDP.

      https://www.youtube.com/watch?v=fLHgSVp8Byo


      Petrolio... bruceremo le chiese
      a morte lo stato borghese.
      Petrolio... bruceremo le chiese
      e noi vogliamo la libertà.

      A morte il papa, viva Bakunin !
      A morte il papa, viva Bakunin !

      Su una stele di sterco d’uccelli
      a morte il papa Pacelli,
      su una stele di sterco d’uccelli
      e noi vogliamo la libertà.

      A morte il papa, viva Bakunin...
      A morte il papa, viva Bakunin...
      A morte il papa, viva Bakunin...
      a morte il papa !

    • Obtenir de l’argent, pourquoi pas. Mais il s’agit aussi je crois de sortir le #mécénat (le pouvoir de préaffecter sa contribution fiscale) de son isolement, d’établir un pont entre des mondes sociaux (à la louche : fortunés, imposables, pauvres) que tout sépare.
      On redécouvre peut-être l’exemplarité des privatisations thatcheriennes qui, à l’inverse d’ADP, des barrages hydrauliques, (...), tiraient une part de leur légitimité de leur allure #populaire.
      Sous couvert de brame national, l’extension du domaine de la responsabilité individuelle annule la frontière entre ces 45% de « ménages » imposables (fallacieusement rendus égaux par leur aptitude à donner) et les autres.
      L’inclusion des #pauvres, elle se paye.

      #civisme

    • Ah... alors j’essaye de reformuler. Même les plus pauvres qui ne peuvent bénéficier de déduction fiscale de l’impôt sur le revenu peuvent participer, c’est open bar, à chacun selon ses moyens (l’émancipation façon Macron). Et, à la fin, comme il n’y a que pour ceux là que le don est de 100%, c’est eux les plus dignes. mais si. Ces micro décisions que nous sommés de prendre devraient effacer la mauvaise impression produite par l’entrain de quelques milliardaires emblématiques à financer ce qui leur plait (la principale attraction touristique locale). Voyez bien que ce n’est pas la question des déductions fiscales. On cherche à donner forme à l’unité nationale. Pas de séparatisme des #riches, pas de domination radicale de leur égoïsme collectif, pas de mépris social. Il n’est interdit à personne de participer au bien commun tel qu’ils le gèrent et le mettent en scène. Aussi gonflé qu’un vendeur de voiture d’occase. On compte sur l’effet placebo du récit, ça passe ou ça foire. C’est moins maladroit que des privatisations effectuées sans « actionnariat populaire » (au profit visible de grands groupes), mais en effet loin de réparer le tort subi, la modalité choisie (injection au prélèvement volontaire partout) risque de relancer le refus. C’est quoi cet État qui fait la mendicité partout où on doit dépenser du fric ?
      #inflammable

    • #escroquerie #escroc #monoprix #franprix #macronnerie

      ça coûte pas si chère que ça une bonne bâche pour une église quand des gens crèvent dans la rue sans ressources ni espoir
      https://www.lesechos.fr/industrie-services/services-conseils/notre-dame-de-paris-une-lecon-de-mecenat-1012632

      De nouvelles formes d’engagements sont apparues, à l’instar de Sodexo, offrant un million de repas aux artisans sur le chantier, ou l’Institut de France promettant d’affecter en 2020 la majorité des prix qu’il distribue (25 millions par an) à des sujets en lien avec Notre-Dame. Société Générale ou la Banque Populaire ont créé des collectes internes pour leurs salariés, qu’elles abondent avant de les reverser à la Fondation de France ou à la Fondation du patrimoine.

      je propose de réaffecter tous ces dons à la construction d’un centre d’accueil digne de ce nom

      #ça_ruisselle

      faudrait me payer pour que je bouffe un seul repas sodexo

      #pub_gratuite

  • L’Assemblée entérine 40 milliards d’euros de cadeau fiscal au patronat | L’Humanité
    https://www.humanite.fr/lassemblee-enterine-40-milliards-deuros-de-cadeau-fiscal-au-patronat-664562

    Complètement à rebours des revendications sociales qui montent dans le pays depuis quelques semaines, l’Assemblée nationale entérinait, hier, la loi de financement de la Sécurité sociale pour 2019, dont le contenu ne fait que confirmer l’orientation austéritaire et pro-patronale poursuivie par le gouvernement. À côté des restrictions posées aux budgets des hôpitaux, la majorité LaREM ne bouge pas d’un cheveu sur sa politique de cadeaux aux grandes entreprises en adoptant en lecture définitive le versement de 20 milliards d’euros de CICE (crédit d’impôt pour la compétitivité et l’emploi) et de CITS (crédit d’impôt sur la taxe sur les salaires) au titre de l’année 2018, mais également la transformation de ces avantages en allégements pérennes de cotisations patronales d’assurance maladie de 6 points pour les rémunérations allant jusqu’à 2,5 Smic au 1er janvier 2019. Puis dans un second temps, à compter du 1er octobre 2019, un allégement supplémentaire de 4 points imputés sur l’assurance chômage et les retraites complémentaires pour les salaires au niveau du Smic et de manière dégressive jusqu’à 1,6 Smic. Une facture salée pour les caisses de l’État et disproportionnée par rapport aux effets de ce dispositif observés sur l’emploi. « La transformation du CICE en réductions de cotisations sociales se traduit en 2019 par un quasi-doublement du coût budgétaire, avec, d’un côté, la créance de CICE au titre des années précédentes et, de l’autre, la dépense fiscale due à la réduction des cotisations sociales équivalentes pour les salaires de 2019 », soulignaient, en octobre, des économistes de l’Institut des politiques publiques (IPP), chiffrant par ailleurs à 0,8 point de PIB l’impact d’une telle mesure sur le déficit public. La transformation de cette aide en allégement de cotisation devrait, par ailleurs, bénéficier aux secteurs intensifs en main-d’œuvre peu qualifiée comme l’hôtellerie et la restauration, les services administratifs ou encore la santé et l’action sociale, d’après l’IPP.

    Créé fin 2012 par le gouvernement de François Hollande pour « alléger le coût du travail » et relancer la création d’emplois, le CICE n’a eu de cesse de monter en puissance, passant de 4 % à 6 % de la masse salariale en 2014, sans pourtant jamais faire la preuve de son efficacité macroéconomique. « Les évaluations de l’impact du CICE ont été plutôt mitigées, avec des effets positifs sur les marges des entreprises, mais des effets modestes sur l’emploi, et quasi nuls sur l’investissement », rappelait l’IPP. Vu son mode de calcul, le dispositif a essentiellement profité aux grands groupes. Chez Carrefour, premier employeur privé de France, la CGT estime à 744 millions d’euros le montant du #CICE versé ces cinq dernières années au poids lourd de la grande distribution. La Poste et la SNCF touchent chacune environ 300 millions d’euros annuels au titre de ce cadeau fiscal. Le groupe Banque Populaire – Caisse d’Épargne en tire, de son côté, environ 100 millions d’euros par an. Mais plutôt que d’utiliser cette manne pour créer des emplois, ces groupes ont en grande partie favorisé la restauration de leurs marges et le gonflement de leurs bénéfices. Un pur « effet d’aubaine », pour la CGT.

    Ironie cruelle de l’affaire, à l’heure où les taxes sur les carburants augmentent pour le commun des consommateurs au nom de la transition écologique, c’est justement ces recettes issues de la fiscalité écologique qui seront censées compenser en partie les trous budgétaires laissés par la transformation du CICE en baisse de cotisations. De quoi jeter encore #de_l’huile_sur_le_feu.

    Loan Nguyen

  • Scandale dans la filiale camerounaise du Groupe #BPCE
    https://www.mediapart.fr/journal/economie/081016/scandale-dans-la-filiale-camerounaise-du-groupe-bpce

    La #Bicec, qui se présente comme le premier réseau bancaire du pays, est au centre d’une affaire de malversations qui a conduit plusieurs de ses hauts responsables en prison. Dans le pays, beaucoup se demandent comment les détournements ont pu durer plusieurs années sans être détectés, dans cette filiale du Groupe Banque Populaire-Caisse d’Épargne.

    #Economie #Afrique #Cameroun #François_Pérol

  • Michel Abhervé » Blog Archive » Une Banque Populaire condamnée à indemniser un de ses sociétaires à qui elle avait conseillé d’investir dans Natixis

    http://alternatives-economiques.fr/blogs/abherve/2014/01/19/une-banque-populaire-condamnee-a-indemniser-un-de-ses-socie

    En septembre 2008, alors que la crise financière commençait, nous nous interrogions dans ce blog sur le sens de l’investissement de deux réseaux bancaires coopératifs, les Banques Populaires et les Caisses d’Epargne dans Natixis (voir Mais qu’allaient-ils faire dans cette galère ?) et terminions l’article ainsi “Il serait maintenant nécessaire que les sociétaires demandent des comptes aux dirigeants qui ont engagé leurs banques dans cette galère.”

    Description de l’image Natixis nouveau logo.gif.

    En avrit 2011 nous nous faisions écho à un coup de gueule de Daniel Mermet, mettant en évidence les nombreuses victimes confiantes de cette incitation à souscrire faite par le conseiller en qui ils avaient confiance (voir Deux millions huit cent mille pigeons)

    En septembre 2011 le Tribunat d’instance de Grenoble donnait raison à un souscripteur ayant poursuivi la Banque Populaire des Alpes, estimant que celle-ci avait “manqué à ses obligations d’information, de conseil et de loyauté”. En décembre 2013, la Cour d’Appel de Grenoble a confirmé le jugement mettant l’accent sur le fait que la BPA n’a pas “expliqué le conflit d’intérêts” résultant de l’acquisition des actions, puisque la BPA est “actionnaire majoritaire de la société Natixis et avait un intérêt majeur à la souscription massive des actions litigieuses“., selon l’article de La Tribune

    Vu le risque que cette décision incite d’autres soucripteurs à solliciter le benéfice d’une décision identique, il est probable que la Banque se pourvoiera en cassation, ce qui , pour le moins, retardera l’échéance,

    Mais on peut d’ores et déjà en tirer deux leçons. La première concerne la nécessité de l’action de groupe : il est en effet tout à fait exceptionnel qu’une personne, pour un préjudice de quelques miliiers d’euros s’engage dans un marathon judiciaire dont le coût est sans mesure avec l’enjeu d’un dossier unique (face à une institution qui a les moyens de se payer une défense de haut niveau), mais pleinement justifié pour l’ensemble des souscripteurs s’estimant lésés. La deuxième tient dans le constat que la Banque coopérative n’a pas su mettre en place en son sein un mode de résolution à l’amiable des conflits avec ses sociétaires, et a préféré s’en tenir à une décision de la justice, dans une relation par nature inégalitaire entre la banque et un souscripteur isolé. Il n’es pas certain que cela soit en phase avec l’idéal coopératif. Mais le groupe BPCE sait-il encore ce que cela signifie ?

    #banques
    #banksters
    #NATIXIS
    #Banques-Populaires
    #Caisses-d’Epargne

  • des banques « systémiques » auxquels les Etats sont pieds et poings liés : des banques privées garanties par le contribuable... l’Etat qui doit séduire des investisseurs privés pour se financer et qui se plie à leurs exigences d’objectifs financiers comme n’importe quelle autre firme privée...
    Le capitalisme en rêvait, le pouvoir politique a acté...

    Un effort supplémentaire est également demandé aux banques systémiques, celles qui risquent de mettre les gouvernements devant le fait accomplit en cas de difficultés, ces banques étant, de par leurs poids, « too big to fail », trop importantes pour faire faillite. Aujourd’hui, 28 banques sont qualifiées de « systémiques » dans le monde dont quatre françaises : Société Générale, BNP Paribas, Crédit Agricole et le groupe Banque Populaire - Caisse d’épargne.

    http://www.atlantico.fr/decryptage/normes-bale-3-vont-elles-asphyxier-financement-notre-economie-christian-bo

  • 737 maîtres du monde contrôlent 80 % de la valeur des entreprises mondiales - Capitalisme - Basta !
    http://www.bastamag.net/article1719.html

    Enfin, au sein de ce groupe de 147 multinationales, 50 grands détenteurs de capital forment ce que les auteurs appellent une « super entité ». On y retrouve principalement des banques : la britannique Barclays en tête, ainsi que les « stars » de Wall Street (JP Morgan, Merrill Lynch, Goldman Sachs, Morgan Stanley…). Mais aussi des assureurs et ds groupes bancaires français : Axa, Natixis, Société générale, le groupe Banque populaire-Caisse d’épargne ou BNP-Paribas. Les principaux clients des hedge fund et autres portefeuilles de placements gérés par ces institutions sont donc, mécaniquement, les maîtres du monde.