company:caisse

  • Nouveau métier dans les lettres ? Philosophe d’entreprise
    https://www.lemonde.fr/campus/article/2019/03/09/les-jeunes-diplomes-en-philo-pour-l-entreprise-tissent-leur-toile_5433589_44

    Ce jeune doctorant est l’un des premiers salariés recrutés par la jeune pousse Spoon, à l’origine de l’automate. Ses missions sont multiples : définir les valeurs de l’entreprise, réfléchir sur les questions éthiques posées par l’intelligence artificielle, en passant par l’organisation de « midis philo » pour ses collègues.

    https://s14-eu5.startpage.com/cgi-bin/serveimage?url=https:%2F%2Fc8.alamy.com%2Fcomp%2FBPGFH8%2Fmarina-

    Pour les non geek, l’image c’est Star Trek : métier « conseiller »

    • J’ai l’impression que ca fait 20 ans que les étudiant·es en philo trouvent leurs débouchés pro dans les « ressources humaines » en entreprises. être diplômé·e de philo ca me semble pas être un synonyme de philosophe et être philosophe ca me se semble pas non plus être un indice de sagesse (au contraire) ou de volonté de bienfait vis à vis de l’humanité. La très large majorité des philosophes sont d’abominables misogynes et ne sont que des #phallosophes .
      #phallosophie

      exemple 2011 :

      Les philosophes sont, paraît-il, appréciés dans les entreprises pour leur rigueur. Ils savent penser, ils savent discuter, ils savent rédiger. Donc si vous un métier vous tente, vous avez le choix :

      CULTURE : conseiller en développement culturel, responsable des affaires culturelles, directeur de centre culturel, médiateur culturel, attaché culturel, responsable d’agence de tourisme.

      ENSEIGNEMENT : formateur, responsable pédagogique, CPE, enseignant-chercheur, professeur des écoles.

      COMMUNICATION : chef de publicité, concepteur-rédacteur, webmaster, pigiste, rédacteur en chef, attaché de presse, chargé de relations publiques.

      SOCIAL : animateur socio-culturel, conseiller en emploi et insertion professionnelle, éducateur spécialisé, administrateur de mission.

      AMENAGEMENT : urbaniste, chargé d’étude en aménagement, conseiller en développement local.

      METIERS DU LIVRE : Conservateur de bibliothèques, bibliothécaire, documentaliste, éditeur, libraire, secrétaire d’édition, responsable d’édition, cyberdocumentaliste.

      RH (ressources humaines) : assistant de direction, assistant ressources humaines, attaché territorial, attaché d’administration centrale, consultant en recrutement.

      MULTIMEDIA : webmaster, développeur multimédia, chef de projet informatique, ingénieur commercial, technicien/ingénieur réseau, consultant internet, infographiste.

      http://laurentpendarias.com/2011/09/que-faire-avec-un-diplome-de-philosophe

      exemple 2007 :

      Il faut insister encore sur le fait que la philosophie a réussi sa conversion à l’économie, qu’elle est donc reconnue aujourd’hui comme une activité professionnelle à part entière. Il n’y a plus de raison en effet de douter de sa capacité à créer des richesses et à prendre part au monde des affaires. Les nouvelles contraintes de la professionnalisation lui ont permis d’augmenter rapidement ses parts de marché et d’entrer en concurrence, dans certains secteurs de pointe, avec des disciplines très compétitives. En s’ouvrant à l’entreprise, aux médias et à la recherche (publique et privée), elle a par ailleurs bénéficié d’une formidable diversification de son champ d’application.

      5Si les philosophes de métier, quand bien même ils disposent de solides portefeuilles de compétences, peinent encore à s’imposer sur le marché du travail, c’est seulement du fait de leur grand nombre au sortir des Universités. Mais on peut d’ores et déjà miser sur une accélération de tendance et, forts de leur popularité auprès des décideurs, la proportion de philosophes contraints de prospecter dans d’autres secteurs devrait, d’ici peu, commencer à décroître — d’autant plus qu’on sollicite à présent leur expertise dans des domaines très attractifs comme les nouvelles technologies ou la gestion des organisations. Ce qui exige en échange qu’ils soient en mesure de vendre leur savoir-faire auprès des cabinets de recrutement.

      https://journals.openedition.org/leportique/1393

      exemple 2004 - la revue l’étudiant conseil les RH
      https://www.youscribe.com/BookReader/Index/434406/?documentId=405041

      –—

      Ici un site de phallosophesse tendance lacano-escroc - branche hyper compatible avec le capitalisme dans sa tournure la plus rapace.
      Et donc cet escroqueuse fait de la didactique en entreprise comme Lacan et Freud en faisaient en leur temps dans le show-biz en oubliant pas de se faire payer en espèces.

      http://www.educ-revues.fr/diotime/affichagedocument.aspx?iddoc=32842

      Mon expérience de la consultation philosophique en entreprise

      Eugénie Vegleris, consultante en philosophie dans les entreprises

      Tout ce que je vous dirai s’inspire de mon expérience1. Cette expérience a douze ans et s’est construite au fur et à mesure de mes interventions, et surtout de mes interventions en entreprise. Je suis intervenue, en effet, dans des entreprises très différentes et y ai accompli des missions différentes. Quelques noms connus d’entreprises privées :

      Adidas, entreprise de vêtement de sport.
      Guilbert, entreprise de distribution de matériel de bureau.
      Lilly, entreprise pharmaceutique (qui a perdu l’exclusivité du prosak...).
      Thales, entreprise d’équipements électroniques.
      Thomson, entreprise d’équipements multimedia.
      France Telecom, entreprise française des communications (téléphone fixe, téléphone mobile, Internet).
      Groupe ex Printemps, Pinault, Redoute, entreprises de grande distribution - FNAC - et entreprises de distribution de produits de luxe - Gucci. Le Printemps vient d’être vendu à l’entreprise italienne Rinascente.
      Schneider Electric et Hager Group,entreprises de systèmes électriques et électroniques pour l’équipement des bâtiments.
      La Mondiale, entreprise d’assurances et retraites.
      MACSF, entreprise d’assurance secteur médical.
      Caisses Régionales d’Assurance Maladie (entreprises de sécurité sociale de base).
      Crédit Commercial et Industriel et Caisse Nationale des Dépôts, entreprises bancaires.

      Mais j’interviens également auprès de diverses associations, entre autres :

      La Papothèque, lieu d’accueil de parents et d’enfants dans un environnement urbain défavorisé.
      L’Institut Supérieur de Communication et de Management Médical, lieu de formation des médecins hospitaliers.
      L’Académie de Strasbourg, formation continue des acteurs de l’insertion sociale.

      Avant de parler de ma pratique de la consultation en entreprise, je voudrais dire quelques mots sur l’histoire de la consultation philosophique.

      En 2007 cette didacticienne prétend faire de la « philosophie d’entreprise » depuis 12 ans, ca nous renvoie en 1995.

      Hegel faisait deja de la philosophie d’entreprise en légitimant l’esclavage avec sa dialectique inepte du maitre et de l’esclave. Dialectique idéal pour faire pleuré sur les pauvres dominant·es qui sont besoin des dominé·es.

  • Comme il manquait une raison à @philippe_de_jonckheere pour (encore plus) admirer Macron : Emmanuel Macron à Sète chez Pierre Soulages : récit de la rencontre secrète
    http://www.midilibre.fr/2018/03/16/emmanuel-macron-en-visite-prive-a-montpellier-et-sa-region,1641332.php

    Le président de la République effectue en effet une visite privée ce vendredi midi à Sète. Emmanuel Macron a rejoint l’Île singulière par la route pour déjeuner chez Pierre Soulages, peintre qu’il admire tout particulièrement.

    Grosse enquête pas complotiste pour deux sous, hein, au Midi Libre : #rencontre_secrète

    Cela dit, @simplicissimus, finalement il était dans le coin, s’il n’en a pas profité pour visiter le Shtandart, c’est bien qu’il l’a boycotté :-))
    https://seenthis.net/messages/677298

    • @arno Je vois bien ce que tu essayes de faire, petit coquin : me pousser à une véritable argumentation contre Soulages, mais je n’en ai ni le temps ni l’énergie, sans compter, ce n’est pas tout le temps, mais là j’ai de vraies échéances qui m’attendent, notamment une très copieuse salade de coquillettes qui m’attend avec les corrections des épreuves de Raffut . Désolé, une autre fois peut-être.

      Mais un jour, oui, il faudrait.

    • Non, on ne peut pas vraiment parler de boycott. Comme je le disais ailleurs, le Shtandart est un bâtiment privé. Même si, de fait, il accomplit des missions de représentation ce n’est pas un navire de guerre et ne bénéficie pas des dispositions relatives à ceux-ci. Il n’a pas les attributs de la souveraineté de l’état du pavillon. Un chef d’état qui le visiterait ne peut le faire qu’en visite privée.

      je m’aperçois d’ailleurs à l’occasion que c’est le cas de tous les grands voiliers-écoles russes, même si certains d’entre eux ont par le passé porté le pavillon de la marine de guerre) : Sedov (pas Léon, hein !) ou le Krusenstern. Il n’y pas (plus…) de navire-école dans la flotte de guerre russe (idem d’ailleurs en France où l’ex-Jeanne d’Arc est « remplacée » par des « missions Jeanne d’Arc » de différents bâtiments).

      Statut similaire pour les voiliers français Belem (groupe des Caisses d’Épargne) ou L’Hermione (dont le commandant a ainsi quitté la Marine nationale pour prendre le commandement du Belem avant de passer sur L’Hermione). En revanche, statut militaire pour L’Étoile et La Belle Poule.

    • Oui, mais est-ce que les auteurices russes présents au salon du livre, et officiellement boycotté-es par Macron au motif de soft power agressif, sont salarié-es par le gouvernement russe ? (Ou bien est-ce qu’en le stand lui-même est géré par l’ambassade ? Comme tu t’en souviens, dans le cas d’Israel, le Quay avait bien pris soin de dire que le stand israélien ne devait pas être confondu avec le gouvernement du pays.)

  • « La cinquième bulle » : un petit lexique de la #Silicon_Valley | Stuart Grabler, Le Monde, 26/10/2016 (manque #disruption)
    http://lemonde.fr/idees/article/2016/10/26/la-cinquieme-bulle-un-petit-lexique-de-la-silicon-valley_5020607_3232.html

    La crise des sociétés d’investissements immobiliers cotées (Real Estate Investment Trust, REIT) de 1974-1975 aux Etats-Unis fut la première de l’après-guerre. Chacune des décennies suivantes connut sa bulle, et son krach.

    Dans les années 1980, les razzias de corporate raiders (les « prédateurs d’entreprise ») gonflaient la LBO bubble (bulle des OPA à effet de levier), la vente de junk bonds (obligations pourries) finançait le rachat de poids lourds de la cote. Cette vogue prit fin lors du krach d’octobre 1987, emportant dans son sillage les Caisses d’épargne américaines (Savings & Loans) précarisées par la surenchère hypothécaire.

    La décennie suivante vit l’essor de la bulle Internet (dotcom bubble). Porté par les start-up et les stock options, l’indice Nasdaq de valeurs technologiques toucha un plus haut en mars 2000... avant de perdre 78 % en trente et un mois.

    Pendant ce temps, la quatrième bulle, celle des subprimes (crédits hypothécaires immobiliers), se formait déjà. A la différence des précédentes, hautement médiatisées, celle-ci se développait dans un huis clos financier où se titrisaient à coups d’algorithmes des prêts hypothécaires accordés à des clients peu solvables. Quand, dans la foulée de la faillite de la banque d’affaires Lehman Brothers en 2008, la bulle éclata, elle faillit entraîner toute la planète finance.

    Et ce n’est pas fini, puisque la cinquième bulle, dont l’épicentre est la Silicon Valley, enfle à vue d’œil. En voici une brève description, à travers un petit lexique de la novlangue anglo-saxonne de rigueur.

    Unicorn (licorne) : jeune pousse technologique valorisée au moins 1 milliard de dollars, sur la base du placement initial de ses backers.

    Backer (soutien) : investisseur pionnier dans une unicorn en herbe. Au tout début, un projet plus ou moins ingénieux suffira pour le séduire. Une fois opérationnelle, l’entreprise mettra les bouchées doubles pour accroître le nombre de ses utilisateurs/clients, décuplant ainsi sa capacité à réussir des tours de table supplémentaires. Stratégie en conformité parfaite avec Metcalfe’s Law.

    Metcalfe’s Law (la loi de [Robert] Metcalfe) : une augmentation arithmétique des utilisateurs d’un réseau suscite une croissance exponentielle de son utilité et, par extrapolation comptable, de sa cote. Rouage-clé de cet engrenage vertueux : le giveaway.

    Giveaway (cadeau) : service dispensé sans contrepartie, ou article vendu à prix coûtant, dans le but d’appâter clients ou utilisateurs. C’est le seul but qui vaille à ce stade précoce ; de sorte que les unicorns en devenir sont souvent dépourvues d’un vrai business model.

    Business model (mode opérationnel) : censé transformer un service gratuit en pièces sonnantes et trébuchantes, il se présente généralement comme une plate-forme où des internautes (Facebook, Twitter), passagers (Uber), voyageurs (Airbnb), auditeurs (Spotify, Deezer) ou prêteurs (LendingClub) sont mis en relation avec des annonceurs, chauffeurs, logeurs, maisons de disques ou emprunteurs. Exception : des unicorns industrielles (Tesla, GoPro) emploient un modèle plus classique. Certaines unicorns (Snapchat, Magic Leap) cherchent toujours le leur, ce qui les empêche de monetize leur activité.

    Monetize (monétiser) : à ne pas confondre avec « rentabiliser » ! Car on a beau traduire son activité en chiffre d’affaires, celui-ci n’est pas synonyme de profits. Hors Facebook, exception qui confirme la règle, peu d’unicorns sont véritablement rentables. Naguère surnommée « la nouvelle Facebook », Twitter s’enfonce toujours dans le rouge. Déficitaire de 470 millions de dollars en 2014 et de 1,27 milliard au premier semestre 2016, Uber est champion de la perte opérationnelle. Montent également au podium Airbnb et Tesla. En Europe, le suédois Spotify, le français Deezer et l’allemand Rocket ne sont pas en reste. Conséquence inéluctable de ces flots d’encre rouge : un énorme cash burn.

    Cash burn (consumation de liquidités) : carburant d’une croissance déficitaire, ces fonds partent en fumée. UberChina, avant de jeter l’éponge face à son rival chinois, perdait 1 milliard par an. Dans l’attente de son rachat par Tesla, Solar City (panneaux solaires) brûle 6 dollars pour chaque dollar de revenu. Heureusement, il existe un moyen d’éteindre le feu : le cash out.

    Cash out (décaissement) : exercice qui, conjugué à une levée de fonds, permet aux fondateurs, aux backers et aux dirigeants dotés de stock options de monétiser, moyennant dilution, leurs parts. Pour ce faire, lancer une IPO (introduction en Bourse) était le parcours indiqué. Mais, échaudés par les unicorns s’envolant lors de l’IPO pour plonger ensuite en dessous de la mise à prix, les investisseurs boudent et les IPO se tarissent. Faute d’une IPO, l’unicorn enchaînera les tours de table, sollicitant, contre participation, de l’argent frais, dont une partie finira dans la poche des ayants droit. Sinon, elle pourra se vendre à un géant technologique craignant que la start-up ne l’éclipse un jour (Google/YouTube, Facebook/Instagram), ou alléché par d’éventuelles synergies (Microsoft/LinkedIn), ou cédant au chantage de la start-up qui, vendant à perte sans payer de TVA, lui soutire des parts de marché (Walmart/Jet.com). Mais pour optimiser sa cash-out stratégie, rien ne vaut le creative accounting.

    Creative accounting (comptabilité créatrice) : quitte à publier des résultats conformes aux normes comptables, une unicorn peut aussi communiquer sur une version enjolivée non conforme. Ainsi, Lending Club avait annoncé des bénéfices de 56,8 millions de dollars... et une perte de 5 millions selon les normes. Manipulation qui n’abusera que les initiés imbus de la crédulité symptomatique d’un Ponzi scheme.

    Ponzi scheme (pyramide de Ponzi) : locution apte à qualifier la cinquième bulle, où la haute technologie est mise au service non pas d’une rentabilité pourvoyeuse d’emplois, mais de l’élaboration d’expédients permettant le cash out avant le souffle fatidique du krach...

    • La haute technologie n’était déjà plus pourvoyeuse d’emplois dès la première bulle évoquée, mais il est vrai que cela devient de plus en plus évident avec chaque nouvelle étape

      cf. https://seenthis.net/messages/541433#message549597 et https://seenthis.net/messages/541433#message550356

      Comment expliquer alors la (très) forte valorisation des GAFAM ? Justement par le fait qu’ils opèrent dans la phase renversée du capitalisme où la création de valeur a été remplacée par sa simulation comme moteur de l’économie (y compris « réelle »). Leur valorisation n’est pas le reflet de leur capacité à produire de la valeur, mais à être des « porteurs d’espoirs » pour la production de titres financiers. Cette production doit toujours en effet avoir un point de référence dans « l’économie réelle » (Un indice quelconque corrélé à un espoir de production de valeur et projeté dans le futur). Dans le cas des plateformes numériques, ce point de référence, c’est l’accumulation permanente de données dont tous les acteurs de la sphère financière s’accorde à dire qu’elles sont les ressources pour de futures activités marchandes. Certes, ces activités seront marchandes, mais la quantité de valeur qu’elles produiront sera toujours décevante et il faudra donc se projeter encore dans de nouvelles simulations...

  • Où je réalise, soudainement, en consultant mes courriels, que cela fait des années que je subis, sans m’en débattre, trop amusé par la chose, les pourriels à répétition du Figaro et dont je ne lis que les titres qui tissent une manière de poème de droite, dans lequel les résultats décevants de la politique économique de l’actuel gouvernement de pseudo-socialistes le disputent beaucoup avec les podiums, les médailles, les titres et les records de quelques sportifs français, le tout saupoudré avec talent de toutes sortes de faits divers anxiogènes, et c’est encore mieux quand ces derniers prennent leurs racines dans le terrorisme, et de telles annonces sont généralement suivies de mises en exergue des dernières déclarations de l’ancien président de la pauvre république, fustigeant l’inaction du gouvernement et détaillant comment avec lui, cela ne rigolerait pas du tout s’il était encore aux affaires. C’est presque à regret que je remplis le formulaire de désinscription, c’est toujours triste la mort d’un poète, fut-ce un robot, de droite.

    Florilège dudit poète de droite, tel que j’en retrouve quelques éclats dans mon filtre à pourriels

    Notre-Dame-des-Landes : le maire de Nantes porte plainte après les violences
    Affaire Sarkozy : le juge Azibert tente de se suicider
    Jeux Paralympiques : l’or et l’argent pour deux Fran-çaises en Super-G
    Les généreuses primes de cabinet du gouvernement Ayrault en 2013
    SNCF : la grève à nouveau reconduite
    Irak : un porte-avions américain dépêché dans le Golfe
    Un Tunisien qui recrutait des djihadistes à Grenoble a été expulsé en urgence absolue
    Manuel Valls : « le risque de voir Marine Le Pen au second tour de la présidentielle existe »
    Après la démission du gouvernement, retrouvez toutes les infos en direct sur Le Figaro.fr
    Air France : une semaine de grève des pilotes en septembre
    Le gouvernement "n’a pas l’intention" de revenir sur les 35 heures
    Une judoka française devient championne du monde
    Fillette tuée en Alsace : le frère aîné a avoué
    La BCE abaisse son taux directeur à 0,05%, un nou-veau record historique
    L’ex-trader Jérôme Kerviel libéré sous bracelet élec-tronique
    La cote de confiance de François Hollande au plus bas dans l’histoire du baromètre Fig Mag
    Michael Schumacher quitte l’hôpital et regagne son domicile
    Oscar Pistorius n’a pas prémédité le meurtre de sa petite amie, selon la juge
    Les petites retraites ne seront pas revalorisées au 1er octobre
    Grève chez Air France : 60% d’annulations de vol demain
    Drame de Brétigny-sur-Orge : Réseau Ferré de France mis en examen pour "homicides involontaires"
    Grève Air France : 60% des vols à nouveau annulés mercredi
    La France procède à ses premières frappes contre l’État islamique en Irak
    Grève Air France : pas d’amélioration du trafic sa-medi
    la crèche Baby-Loup va déposer le bilan
    La droite obtient la majorité au Sénat, le FN y fait son entrée (on sent qu’ils ont dû sérieusement se retenir de ne pas ponctuer cette phrases avec un point d’exclamation, neutralité journalistique oblige)
    Groupe Gad : près de 300 emplois seront supprimés
    Euro Disney plonge de près de 20% en Bourse
    Les scooters Peugeot passent sous pavillon indien
    Ségolène Royal annonce la suspension "sine die" de l’écotaxe
    Assurance chômage : l’Élysée rejette des négociations dans l’immédiat
    Le Français Jean Tirole remporte le Prix Nobel d’économie
    Mort d’une patiente à la maternité Orthez : l’anesthésiste reconnaît avoir bu le soir du drame
    Le patron d’Areva démissionne
    Le PDG de Total, Christophe de Margerie, meurt dans un accident d’avion
    Le couturier américain Oscar de la Renta est décédé
    Mort de Rémi Fraisse : « Je n’accepte pas qu’en France, on se déchire sur un drame humain » (Hollande)
    Les élections municipales d’Ajaccio annulées
    Mort de l’écrivain Daniel Boulanger, prix Goncourt 1974
    Le gouvernement résilie le contrat avec Ecomouv’
    Manifestation pour Rémi Fraisse : incidents en cours à Nantes (voilà typiquement le genre de descriptions qui fait ma joie de lecteur de ce long poème, le mot incidents pour décrire une émeute)
    En France, la croissance a atteint 0,3% au troisième trimestre
    Coupe Davis : voici la composition des équipes et le calendrier de la finale
    Affaire Jouyet : Fillon ne pourra pas récupérer l’enre-gistrement des journalistes du Monde
    Une filiale suisse de la banque HSBC mise en exa-men à Paris pour blanchiment et démarchage illicite
    Le secrétaire d’État aux Anciens combattants Kader Arif quitte le gouvernement
    Coupe Davis : la Suisse remporte le premier match
    Nucléaire : pas d’accord à Vienne entre les grandes puissances et l’Iran
    Immobilier : les ventes de logements neufs au plus bas depuis fin 2008
    Enfant né sous X et placé dans une famille : la justice refuse la restitution à son père biologique
    Les autoroutes veulent augmenter leur tarif au 1er février 2015
    Sapin assure que le déficit sera "largement en des-sous" des 3% du PIB en 2017
    Lepaon dans la tourmente : la CGT convoque un comité informel demain après-midi
    Boko Haram attaque une cimenterie Lafarge au Ni-geria (Boko Haram a sans doute fait bien pire ce jour-là, a sans doute massacré et violé je ne sais combien de personnes nigérianes, mais la cimenterie Lafarge, pavillon français, CAC40, voilà que la ligne jaune est franchie)
    Colère des taxis : le gouvernement annonce l’inter-diction d’UberPOP au 1er janvier
    Le footballeur Thierry Henry annonce sa retraite
    Syrie : 200 morts dans la prise de deux camps de l’armée par al-Qaida
    Fin de l’attaque au Pakistan, tous les assaillants sont morts
    La starlette de téléréalité Nabilla est sortie de prison
    Des piétons fauchés à Dijon par un automobiliste criant "Allah Akbar"
    La ministre de la Santé annonce une levée du préavis de grève des urgentistes
    Dijon : « Il ne s’agit pas d’un acte terroriste » selon la procureure
    La grève des urgentistes sera levée aujourd’hui
    Suivez l’intervention de François Hollande sur France Inter
    ND-des-Landes : « Quand les recours seront épuisés le projet sera lancé », explique François Hollande
    Charlie Hebdo : Manuel Valls annonce « plusieurs in-terpellations »
    Coups de feu à Malakoff, une commune au sud de Paris
    Coups de feu à Malakoff : 1 suspect interpellé
    L’auteur de la fusillade au sud de Paris est en fuite
    Charlie Hebdo : une personne retenue en otage à Dammartin-en-Goële
    François Hollande présidera un hommage national aux victimes des attentats la semaine prochaine
    Le déficit budgétaire de l’État moins élevé que prévu en 2014
    Attentats : une dizaine d’interpellations dans la nuit en région parisienne
    13 personnes arrêtées en Belgique, le groupe voulait tuer des policiers
    Chômage : les sombres prévisions de l’Unedic pour 2015
    Mobilisation des routiers : 600 km de bouchons en France
    La BCE fait un geste historique pour relancer la croissance en Europe
    Le roi Abdallah d’Arabie Saoudite est mort à l’âge de 91 ans
    Le Conseil constitutionnel valide la déchéance de nationalité d’un djihadiste
    Hollande à Davos : "Il n’y aura pas de prospérité sans sécurité"
    Guide Michelin : deux nouveaux restaurants trois étoiles en 2015
    Rugby : le nouveau maillot des Bleus sera ... rouge
    Le patron de Banque populaire Caisses d’Epargne renvoyé en correctionnelle
    Grèce : la décision choc de la BCE provoque un krach bancaire
    Suivez en direct la conférence de presse de François Hollande
    Prothèses mammaires et cancer : la ministre de la Santé ne recommande pas le retrait
    Ile-de-France : la circulation alternée ne sera pas re-conduite mardi
    Droit d’asile : le rapport choc de la Cour des comptes
    Gaz de schiste : le rapport enterré par Hollande
    Scandale de l’amiante : l’annulation de la mise en examen de Martine Aubry confirmée
    Double homicide dans la Nièvre, le suspect en fuite
    Publicité sur l’alcool : la loi Évin modifiée contre l’avis du gouvernement
    Le légendaire saxophoniste de jazz Ornette Coleman est mort (quand je pense que c’est le Figaro qui m’a annoncé cette disparition !)
    Crise grecque : nouvelle déclaration de Tsipras, les dernières infos dans notre live
    35 heures, Allemagne, Apple : l’actu éco du jour
    Renault-Nissan, Fnac-Darty, Etats-Unis : l’actu éco du jour
    COP21 : des dizaines d’arrestations après des heurts à Paris
    Sondage Régionales : Marion Maréchal-Le Pen creuse l’écart en Paca
    COP21, régionales et Toutankhamon : le récap’ du week-end
    SONDAGE EXCLUSIF - Primaire à droite : Alain Juppé fait la course en tête
    Procès Goodyear, service civique généralisé, crise du secteur pétrolier : l’actu éco du jour
    Calais : la préfecture veut faire évacuer « la moitié de la Jungle »
    Marseille : un mort et quatre blessés dans un accident sur le paquebot Harmony of the Seas

    C’est idiot, bien sûr, pervers, sans doute, mais cette lecture quasi quoti-dienne, va me manquer. Et le collage pareillement produit me fait regretter de ne pas avoir gardé tous ces télégrammes de la rive droite du fleuve.

    #qui_ca

  • Les archives papier de l’ancien secrétaire général de l’Elysée, Claude Guéant, ont disparu
    http://www.lemonde.fr/societe/article/2014/02/15/les-archives-papier-de-l-ancien-secretaire-general-de-l-elysee-claude-gueant

    Ça ne sent vraiment pas bon, ou alors, ça sent le roussi…

    Outre le problème général, pénalement répréhensible, de la disparition des archives, dans le cas Pérol-BPCE, les agendas sont impitoyables…

    A défaut d’avoir parcouru les écrits du supérieur de François Pérol, les enquêteurs ont fait « parler » la loge d’honneur de l’Elysée. Chaque fois qu’un visiteur se présente rue du Faubourg-Saint-Honoré, le jour, l’heure et la raison de sa venue sont enregistrés. Or, le juge a relevé que, entre l’été 2007 et le début de l’hiver 2009, les dirigeants des Caisses d’épargne et des Banques populaires, et leurs conseils, ont été fréquemment reçus par François Pérol et Claude Guéant.

    Charles Milhaud, ex-patron des Caisses d’épargne, s’est entretenu à cinq reprises avec le conseiller économique de Nicolas Sarkozy entre le 30 juillet 2007 et le 9 février 2009 et quatre autres fois avec Claude Guéant. François Sureau, son avocat et ami de l’époque, a décroché un rendez-vous avec M. Guéant et au moins quatre avec M. Pérol. On compte 13 entrevues entre M. Pérol et le président des Banques populaires, Philippe Dupont, entre le 19 juin 2007 et le 19 février 2009.

    Etait-ce, comme l’assure le collaborateur de M. Sarkozy, à simple titre d’information, ou parce que ce dernier œuvrait activement à la fusion des deux réseaux bancaires ?

  • Dexia : le salaire des dirigeants augmenté de 30 % au 1er janvier, Actualités
    http://www.lesechos.fr/entreprises-secteurs/finance-marches/actu/0203253010488-dexia-le-salaire-des-dirigrant-augmente-de-30-au-1er-janvier-

    Trois dirigeants de la banque franco-belge en cours de démantèlement Dexia ont vu leur salaire augmenter de 30% au 1er janvier, à 450.000 euros par an, révèle le Journal du Dimanche.

    http://www.lesechos.fr/medias/2014/01/19/643887_0203253010551_web_tete.jpg

    Le dossier de la chute de la banque franco-belge Dexia n’en finit pas. E alors que l’établissement enchaîne toujours des pertes, le Journal du Dimanche révèle que trois dirigeants de la banque en cours de démantèlement ont vu leur salaire augmenter de 30% au 1er janvier, à 450.000 euros par an. Selon la direction de Dexia, interrogée par le journal, la liquidation des prêts au bilan de la banque « nécessite des compétences pointues ».

    Nommés mi-décembre au comité de direction de la banque, le directeur financier Pierre Vergnes, le responsable des risques Marc Brugière et le secrétaire général Johan Bohets ont vu leur rémunération passer de 340.000 euros à 450.000 euros, précise le JDD sans citer ses sources. Ces salaires sont comparables à ceux des dirigeants du Crédit Agricole ou des Caisses d’épargne.

    Pierre Vergne et Marc Brugière remplacent Philippe Rucheton, qui était payé 500.000 euros, et Claude Piret, qui était payé 480.000 euros, indique le JDD.
    Une faillite qui a coûté 6,6 milliards d’euros à la France

    Dexia est détenue à 44% par la France et à 50% par la Belgique, où les salaires de dirigeants d’entreprise publique sont respectivement plafonnés à 450.000 et 290.000 euros par an, rappelle le journal.

    Sauvé de la faillite par les Etats belge et français à l’automne 2008, le groupe Dexia a été durement frappé par la crise de la dette, ce qui a rendu nécessaire un second sauvetage en octobre 2011. Selon la Cour des comptes, les déboires de la banque ont coûté 6,6 milliards d’euros à la France.

    #DEXIA
    #banques
    #banksters
    #salaire
    #dirigeants
    #augmentation + 30 % au 1er janvier

    • Dexia, l’illustration parfaite de la. cupidite. Celle des banquiers imaginant créer LE produit financier plus efficace que tout autre, puis venant pleurer après l’argent public . Celle des élus et fonctionnaires qui pensaient initialement faire une bonne affaire sur le dos du marche chouinant à l’envi lorsque le vent tournait . Dexia a coûte et coutera beaucoup d’argent aux contribuables

      PS : JF Cope a été membre du conseil de surveillance de Dexia

    • Piscine intérieure, sauna, hammam et salle de sport. Le luxueux château Saint-Just, dans l’Oise, a accueilli jeudi et vendredi 70 cadres de Dexia pour un « séminaire stratégique ». Deux jours et une nuit en pension complète pour un coût d’environ 20.000 euros. La banque a mis les moyens pour introniser les trois nouveaux dirigeants nommés mi-décembre. Mais elle a oublié de dire que leurs salaires avaient été augmentés de 30% ! Selon nos informations, le directeur financier, Pierre Vergnes, le responsable des risques, Marc Brugière, et le secrétaire général, Johan Bohets, ont vu leurs rémunérations annuelles passer de 340.000 à 450.000 euros. Le patron Karel De Boeck émarge déjà à 600.000 euros.

      Pierre Vergnes et Marc Brugière remplacent Philippe Rucheton — qui partira en mars — et Claude Piret, en cours de négociation pour quitter la banque. Ces derniers gagnaient respectivement 500.000 euros et 480.000 euros. Un niveau plutôt élevé pour une banque détenue à 44% par l’État français et à 50% par la Belgique. En France, les salaires des dirigeants d’entreprises publiques chez EDF, Areva ou encore à La Poste sont plafonnés à 450.000 euros. En Belgique, le plafond descend à 290.000 euros.

      "La banque ne fait plus rien"

      En interne, ces augmentations font grincer des dents. Nationalisée en 2008, Dexia a perdu plus de 15 milliards d’euros en trois ans et a été renflouée par la France et la Belgique pour 5,5 milliards en 2012 ! Au siège, on confirme ces salaires mais on peine à les justifier. Liquider les 238 milliards d’euros de prêts au bilan « nécessite d’avoir des compétences pointues », explique la direction ajoutant : « On ne peut pas offrir d’énormes perspectives de carrière. » Sauf que depuis son démantèlement en 2012, « la banque ne fait plus rien », explique un banquier. Ces salaires sont comparables à ceux des dirigeants de grandes banques comme le Crédit agricole ou les Caisses d’épargne qui comptent près de 150.000 salariés.

      Chez Dexia, les effectifs sont tombés à 1.300 personnes contre 22.000 il y a trois ans. Surtout, les trois dirigeants concernés n’ont pas endossé de nouvelles responsabilités. Ils occupent leurs fonctions depuis plus d’un an. Leur seule entrée au comité de direction, simple organe de gouvernance, justifie leurs émoluments. En octobre 2012, le comité avait été réduit à trois membres pour faire des économies.

      > http://www.lejdd.fr/Economie/Sauvee-par-l-Etat-Dexia-augmente-trois-dirigeants-de-30-649180

  • Que faire ? Agir ici ! (B. Bertez) | Olivier Demeulenaere – Regards sur l’économie
    http://olivierdemeulenaere.wordpress.com/2013/12/15/que-faire-agir-ici-bruno-bertez

    Quotidiennement, vous n’arrivez pas à intégrer le fait que ces gens vous ont déclaré la guerre, à vous et à ce que vous représentez, c’est pourtant la réalité. Mais ils jouent sur le fait que vous n’y croirez pas, que vous tendrez la joue gauche, que vous vous sentirez coupables de vouloir encore vivre debout et non pas à genoux.

    Voici un exemple tiré de la vie quotidienne qui montre ce que chacun peut faire pour un système moins pourri et plus conforme à une économie de liberté. Cet exemple, c’est le Crédit Agricole, lequel vous abreuve de publicités mensongères à la télévision en ce moment.

    Le Crédit Agricole vient de perdre plus de 20 milliards dans des opérations aventureuses à l’étranger. Et que dit sa publicité, aux imbéciles chantant et dansant qui l’interrogent ? Il dit, votre argent, c’est près de chez vous qu’on l’utilise. La preuve qu’il ment est donnée par une nouvelle subreptice qui vient de sortir.

    http://www.youtube.com/watch?feature=player_embedded&v=pGU9WWI_PbA

    Les Echos viennent de révéler un plan secret des francs-maçons du Crédit Agricole pour spolier les Caisses Régionales, vos caisses, en leur transférant ce que l’on appelle pudiquement du risque, entendez par là des pertes à venir. On va leur transférer du risque, donc du coût du risque, donc des pertes, donc on va pomper les fonds propres et les ressources, vos soi-disant ressources puisque l’on dit que ce sont des coopés !

    La structure cotée prépare le transfert du risque de ses compagnies d’assurance vers les caisses régionales. Ce « switch » permettra à Casa de relever son ratio de solvabilité.

    http://www.lesechos.fr/entreprises-secteurs/finance-marches/actu/0203164386310-comment-credit-agricole-sa-va-renforcer-sa-solvabilite-636260

    Déjà la gestion des Caisses Régionales est un scandale pénal avec les opérations immobilières contestables de Caisses comme celles du Crédit Agricole du Nord de la France. Ils sont non seulement incompétents, mais ils abusent dans tous les sens du terme.

    Bien entendu avec la bénédiction du gouvernement, des Finances, des Autorités Européennes, des Allemands et de Roehn et des Loges réunies.

    Ils sont toujours ravis de vous spolier quand il s’agit de conforter le système klepto qui leur est cher à eux, mais coûteux, à nous......

    ......

    Donc la manœuvre est simple, on va voler les Caisses Régionales, c’est-à-dire vous, pour renflouer la Caisse Centrale, c’est à dire les kleptos.

    C’est ce que l’on a fait avec la Caisse d’Epargne, la Bred, Natixis, etc. En toute impunité.

    #banques
    #banksters
    #Credit-Agricole
    #effet-de-levier

  • Attac et les Amis de la Terre passent au crible les pratiques de dix banques - LeMonde.fr
    http://www.lemonde.fr/economie/article/2011/11/03/attac-et-les-amis-de-la-terre-passent-au-crible-les-pratiques-de-dix-banques

    A la veille de la clôture du G20, qui se tient à Cannes jeudi 3 et vendredi 4 novembre, et alors que la zone euro connaît une crise sans précédent, les organisations altermondialistes Attac (Association pour la taxation des transactions financières et pour l’action citoyenne) et les Amis de la Terre ont publié un rapport dit de « notation citoyenne » sur dix banques opérant en France : BNP Paribas, Banques Populaires-Caisses d’épargne (BPCE), Crédit agricole, Crédit coopératif, Crédit mutuel-CIC, Dexia, HSBC, La Banque postale, La Nef et la Société générale.

    Mais Juliette Renaud prévient, « c’est un premier pas » : pas question de s’en contenter. « Ça n’est pas : ’on publie un rapport, les #banques participent et tout s’arrête là’. Il est urgent de réintroduire un contrôle citoyen sur les acteurs économiques, poursuit-elle. Pour qu’enfin chacune des parties concernées par ce secteur puisse faire entendre sa voix. »